Le sexe entre homme, c'est nippon, ni mauvais
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le sexe entre homme, c'est nippon, ni mauvais
C'est lors d'une visite au Japon, que cette histoire m'est arrivée. Dans les environs de Kobé. Je devais prendre un bus pour aller visiter le musée de la deuxième guerre mondiale. Le bus était bondé et je suis resté debout. Je me tenais à un barreau quand un grand type s'est approché de moi. Il m'a mit la main au cul. J'ai mis ça sur le compte des cahots de la circulation, infernale à Kobé. Mais, le frôlement se fit plus précis. Le gars me pelotait. J'ai essayé de changer de place, mais le colosse me bloquait le passage. Je me retournai, il regardait en l'air, impassible. C'était un Japonnais, massif et musclé. Ce n'était pas un accident. Le gars se rapprocha et inserra un doigt entre mes fesses. J'essayai de me dégager, alors, le blaireau vint se coller à moi.
Il passa une main devant, entre mes cuisses et, à travers le tissu de mon pantalon, il se saisi de mon sexe. Il déboutonna la braguette et glissa sa main à l'intérieur, puis dans le slip. Il tenait ma bite. Lentement, centimètre par centimètre, il baissa mon pantalon et mon slip, découvrant le haut de mes fesses. Il tira encore un peu vers le bas, et m'enfonça un doigt dans le cul. L'impassibilité Japonnaise est légendaire, mais là !
J'ai essayé de le repousser, mais il a saisi mon bras, et l'a serré autour de ma taille. Le message était clair, je devais me laisser faire. Du coup, il se laissa aller. Il baissa slip et pantalon jusqu'à mi-cuisses. Je suis sûr, que tout le monde, derrière nous pouvait voir la blancheur de mes fesses. Pourtant, personne n'a réagi. J'ai même cru voir un petit sourire ironique. Il a saisi ma main, et l'a portée à sa bouche. Il a craché dedans, et de force, il l'a dirigée vers mon cul. J'ai compris que je devais lubrifier le passage de sa queue. De toute façon, la pénêtration était inéluctable. Alors, autant éviter la douleur.
Le massif individu sortit alors son membre. J'ai failli pousser un cri. Le sexe était énorme. Godzilla passa un bras autour de mon cou et me bâillona de sa grosse main. Il saisi sa pine et posa le gland monstrueux sur mon anus. Il passa son bras autour de ma taille et poussa. D'un violent coup de reins, son sexe monstrueux s'enfonça tout entier dans mon cul. J'ai poussé un cri de douleur, étouffé par la main du nippon. Et là, il commença à remuer. Mon trou du cul me brûlait. Bizarrement, au bout du deux ou troisième va-et-vient, la douleur s'est transformée en jouissance. Je venais de prendre un panard d'enfer. Quand il se retira, j'ai eu l'impression d'un manque.
Pendant qu'il me besognait, le sumo m' avait fait les poches. Dans un anglais sans accent, il me dit : - C'est moi qui ai ton passeport et ton billet de retour, rendez-vous dans les toilettes de l'aéroport. Et........ t'as un beau cul ! J'ai hate !
Le reste de mon séjour à Kobé, j'ai passé mes nuits à rêver du gros morceau que je venais de prendre et je me branlais. Vivement le prochain vol.
Tout à coup, le téléphone a sonné. J'ai décroché. Le réceptionniste m'a demandé s'il pouvait laisser monter, un certain monsieur Gozilla. J'ai entendu un léger ricanement.
- C'est un monsieur un peu costaud ? demandais-je.
- C'est cela, répondit le loufiat.
Avec mes papiers, il avait l'adresse de mon hôtel.
- Désolé...fit-il en me voyant. Je n'ai pas pu attendre, dit-il en me tapotant les fesses. J'ai pris un calmant, ajouta-t-il en souriant.
- Surtout pas, ai-je répliqué. J'ai pris un plaisir d'enfer. J'ai hâte de recommencer.
Et j'ai commencé à me déshabiller. Lui était nu sous son kimono. Il s'était déshabillé dans l'ascenseur.
Je me dirigeai vers le lit quand il me retint par l'épaule.
- J'aimerais que tu me suces avant, ici, devant la glace. Tu pourras te voir.
J'ai fini de me foutre à poil. Il m'a traîné devant le miroir. On s'est mis de profil. Ila tendu son sexe énorme, et j'ai ouvert la bouche, un oeil sur notre image. Il a posé une main sur ma nuque. L'autre tenait son gros manche. Quand le gland passa entre mes dents, ses deux mains bloquaient ma tête, et ses reins forçaient l'entrée de mes lèvres.
- Si tu as aimé, cette fois je vais y aller brutalement !
Et il a tenu parole. Il m'a courbé sur le sommier metallique du bas du lit. Et là, sans ménagement, après avoir posé a nouveau l'énorme gland enduit de ma salive, d'un énorme coup de reins, il enfonça tout entière, sa bite monstrueuse au fond de mon cul.
J'ai eu droit à ce traitement toutes les nuits, jusqu'à la date de mon retour.
Godzilla, c'est comme ça que je l'appelai maintenant, me fit une surprise. Il avait fait établir par l'hôtel, un chèque à mon nom. Ca correspondait au montant de mon voyage, tout frais compris. Il avait aussi téléphoner à mon agence de voyage. Il s'était procuré les mêmes billets d'avion et d'hôtels, pour finir le voyage avec moi.
Et donc, tous les soirs, je passais à la casserole. Godzilla vérifiai que les chambres comprenaient bien de grands miroirs. Il m'avoua que voir son gourdin pénêtrer dans mon cul, l'excitait au plus haut point. Pourtant, le summum c'était de se regarder sucer la queue.
- Ta bouche est si moelleuse, aimait-il me dire.
Il passa une main devant, entre mes cuisses et, à travers le tissu de mon pantalon, il se saisi de mon sexe. Il déboutonna la braguette et glissa sa main à l'intérieur, puis dans le slip. Il tenait ma bite. Lentement, centimètre par centimètre, il baissa mon pantalon et mon slip, découvrant le haut de mes fesses. Il tira encore un peu vers le bas, et m'enfonça un doigt dans le cul. L'impassibilité Japonnaise est légendaire, mais là !
J'ai essayé de le repousser, mais il a saisi mon bras, et l'a serré autour de ma taille. Le message était clair, je devais me laisser faire. Du coup, il se laissa aller. Il baissa slip et pantalon jusqu'à mi-cuisses. Je suis sûr, que tout le monde, derrière nous pouvait voir la blancheur de mes fesses. Pourtant, personne n'a réagi. J'ai même cru voir un petit sourire ironique. Il a saisi ma main, et l'a portée à sa bouche. Il a craché dedans, et de force, il l'a dirigée vers mon cul. J'ai compris que je devais lubrifier le passage de sa queue. De toute façon, la pénêtration était inéluctable. Alors, autant éviter la douleur.
Le massif individu sortit alors son membre. J'ai failli pousser un cri. Le sexe était énorme. Godzilla passa un bras autour de mon cou et me bâillona de sa grosse main. Il saisi sa pine et posa le gland monstrueux sur mon anus. Il passa son bras autour de ma taille et poussa. D'un violent coup de reins, son sexe monstrueux s'enfonça tout entier dans mon cul. J'ai poussé un cri de douleur, étouffé par la main du nippon. Et là, il commença à remuer. Mon trou du cul me brûlait. Bizarrement, au bout du deux ou troisième va-et-vient, la douleur s'est transformée en jouissance. Je venais de prendre un panard d'enfer. Quand il se retira, j'ai eu l'impression d'un manque.
Pendant qu'il me besognait, le sumo m' avait fait les poches. Dans un anglais sans accent, il me dit : - C'est moi qui ai ton passeport et ton billet de retour, rendez-vous dans les toilettes de l'aéroport. Et........ t'as un beau cul ! J'ai hate !
Le reste de mon séjour à Kobé, j'ai passé mes nuits à rêver du gros morceau que je venais de prendre et je me branlais. Vivement le prochain vol.
Tout à coup, le téléphone a sonné. J'ai décroché. Le réceptionniste m'a demandé s'il pouvait laisser monter, un certain monsieur Gozilla. J'ai entendu un léger ricanement.
- C'est un monsieur un peu costaud ? demandais-je.
- C'est cela, répondit le loufiat.
Avec mes papiers, il avait l'adresse de mon hôtel.
- Désolé...fit-il en me voyant. Je n'ai pas pu attendre, dit-il en me tapotant les fesses. J'ai pris un calmant, ajouta-t-il en souriant.
- Surtout pas, ai-je répliqué. J'ai pris un plaisir d'enfer. J'ai hâte de recommencer.
Et j'ai commencé à me déshabiller. Lui était nu sous son kimono. Il s'était déshabillé dans l'ascenseur.
Je me dirigeai vers le lit quand il me retint par l'épaule.
- J'aimerais que tu me suces avant, ici, devant la glace. Tu pourras te voir.
J'ai fini de me foutre à poil. Il m'a traîné devant le miroir. On s'est mis de profil. Ila tendu son sexe énorme, et j'ai ouvert la bouche, un oeil sur notre image. Il a posé une main sur ma nuque. L'autre tenait son gros manche. Quand le gland passa entre mes dents, ses deux mains bloquaient ma tête, et ses reins forçaient l'entrée de mes lèvres.
- Si tu as aimé, cette fois je vais y aller brutalement !
Et il a tenu parole. Il m'a courbé sur le sommier metallique du bas du lit. Et là, sans ménagement, après avoir posé a nouveau l'énorme gland enduit de ma salive, d'un énorme coup de reins, il enfonça tout entière, sa bite monstrueuse au fond de mon cul.
J'ai eu droit à ce traitement toutes les nuits, jusqu'à la date de mon retour.
Godzilla, c'est comme ça que je l'appelai maintenant, me fit une surprise. Il avait fait établir par l'hôtel, un chèque à mon nom. Ca correspondait au montant de mon voyage, tout frais compris. Il avait aussi téléphoner à mon agence de voyage. Il s'était procuré les mêmes billets d'avion et d'hôtels, pour finir le voyage avec moi.
Et donc, tous les soirs, je passais à la casserole. Godzilla vérifiai que les chambres comprenaient bien de grands miroirs. Il m'avoua que voir son gourdin pénêtrer dans mon cul, l'excitait au plus haut point. Pourtant, le summum c'était de se regarder sucer la queue.
- Ta bouche est si moelleuse, aimait-il me dire.
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