Le ternimal

- Par l'auteur HDS Joeytiangel369 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le ternimal Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le ternimal
C’était ma troisième rentrée à l’internat du lycée Voltaire. Quand mes parents avaient déménagé, trois ans plus tôt, je n’avais pas voulu quitter mon école et tous mes amis. Ils ont accepté que je devienne pensionnaire au lycée, ce qui, d’une certaine manière me donnait plus de liberté. En effet, on était très peu surveillé, sans doute parce que nous étions les plus grands (les plus jeunes ont quinze ans) et qu’il n’y avait jamais eu de gros problèmes de discipline : nous étions une quarantaine à y vivre.

J’arrivai donc en terminale et pris place dans ma chambre. Mathieu, le garçon avec qui je partageais ma chambre l’an dernier, avait décroché son bac en juin ; je devais donc avoir un nouveau colocataire pour cette année. D’après ce que m’avaient dit les surveillants, il s’appelait Loïc et il entrait en première. C’était sa première année en internat et au lycée, personne ne le connaissait réellement.

Je repris rapidement mes marques et décidai de prendre une douche pour me détendre avant de rejoindre tout le monde dans la salle commune. Les chambres étaient équipées d’un lavabo et de toilettes. Le premier était directement dans la chambre, seules les toilettes étaient dans une petite pièce à part. Les douches étaient sur le pallier. Je me ceignis d’une serviette et déambulai jusqu’au bout du couloir. Sur le chemin, je croisai Nico, un autre mec de terminale, qui revenait des douches en boxer, ce qui laissait entrevoir un joli paquet. On s’embrassa, nos corps s’effleurèrent. On parla un instant de nos vacances, puis j’entrai dans les douches.

Les petits espaces étaient séparés par des murs s’élevant à moitié, comme dans un vestiaire sportif, si bien que l’on prenait sa douche devant tout le monde. Deux élèves de seconde se savonnaient en discutant : la douche est avant tout un espace convivial puisque quand on en prend une, on voit encore le buste de ses voisins et que quand on y entre, on voit tout des corps de nos camarades. Il est donc facile d’y tenir une conversation.

Je saluai les deux garçons et on discuta de tout et de rien pendant dix minutes. Ils se demandaient s’ils allaient avoir de chouettes profs et s’ils n’allaient pas avoir trop de travail.
Je les rassurai promptement : la seconde n’est pas si terrible. On se sécha et on reprit le chemin de nos chambres, la leur étant à côté de la mienne.

Quand je poussai ma porte, je vis que Loïc était arrivé. Il était en train de vider sa valise. Je le saluai et me présentai en lui souhaitant la bienvenue. Je dois bien dire qu’il était assez mignon, mais qu’il avait l’air super timide. Je me dis que c’était à cause de ma tenue et je m’habillai rapidement avant de lui proposer de faire le tour du propriétaire. Je lui montrai la salle commune, la salle d’étude, la salle à manger et les douches. Il parut assez surpris de constater que tout le monde pouvait voir tout le monde, mais je lui expliquai qu’on s’y faisait très vite et que de toute façon, on était entre mecs.

On mangea tous ensemble et je présentai Loïc à mes amis. La soirée fut excellente : il était drôle et avait beaucoup d’esprit. Je le trouvais de plus en plus mignon ; il avait un charme ravageur. Pourtant, il donnait l’impression de ne pas s’en rendre compte.

A minuit, nous montâmes dans nos chambres, comme le voulait le règlement. Mais là, rien ne nous empêchait de discuter encore un peu. Alors que je me déshabillais pour me coucher et que je me mettais nu dans mes draps, comme d’habitude, je vis que Loïc ne savait pas trop s’il devait faire de même. Après un moment d’hésitation, il dit qu’il allait prendre une douche parce qu’il était éreinté et stressé par cette première journée. C’est vrai que ce n’est pas facile d’arriver dans un groupe déjà formé et de devoir s’y insérer. Je lui dis que je dormirais probablement quand il reviendrait et je lui souhaitai une bonne nuit.

Je m’endormis en effet très rapidement et je n’entendis pas Loïc revenir dans la chambre. Le lendemain, je fus heureux de constater qu’il dormait aussi à poil : un bout de ses fesses dépassait du drap. L’effet de cette vision sur mon organisme fut immédiat : je bandais ferme.
Je me caressais doucement, pour ne pas réveiller Loïc qui était à un mètre de moi, nos deux lits étant séparés par une petite table de nuit. Assis dans mon lit, je le regardais dormir, parcourais du regard ses épaules solides, son dos musclé et ses fesses qui se dessinaient parfaitement sous le drap. Il bougea et j’arrêtai de me toucher pour faire semblant de somnoler un peu. A la forme que prirent ses couvertures, je vis qu’il bandait aussi. Et si je ne faisais rien pour cacher mon érection, il mit son drap autour de la taille avant de se diriger vers les toilettes. Son torse aussi était bien fait, très musclé et imberbe.

Quand il sortit des toilettes, il bandait toujours. Au moins ne s’était-il pas soulagé seul. Je sortis enfin de mon lit, toujours avec ma gaule. Je pris mon temps pour choisir mes affaires et m’habiller. J’allai d’abord me raser, toujours nu. Après quelques minutes, je débandai et arrivai à me calmer. Ca ferait sans doute moins peur à Loïc qui semblait toujours très gêné. Mais il s’y ferait : je n’allais pas changer mes habitudes de vie sous prétexte qu’il n’avait jamais vu un mec à poil et qu’il était gêné par une bite et un cul qu’il avait aussi. Je me retournai et m’habillai comme si de rien n’était, tout en discutant avec lui. Il s’était habillé en me tournant le dos, ce qui fait que je n’ai pu voir que ses fesses dans la glace. Nous nous rendîmes ensuite dans la salle à manger pour prendre notre petit déjeuner.

On se retrouva le soir, après notre première journée de cours. On partagea nos expériences, il me parlait des gens qu’il avait rencontrés. Comme personne n’avait encore beaucoup de choses à faire pour les cours, organisa un match de foot. Loïc fut intégré dans mon équipe et le match se déroula sans problème. Il jouait très bien et grâce à ses deux buts, on gagna cette manche.

On prit ensuite la direction de douches, grisées par la victoire. Il n’y avait bien sûr pas de place pour tout le monde en même temps, ce qui fait que nous dûmes attendre un peu. Je mis donc ma serviette autour de la taille ; Loïc fit de même et on alla faire la file avec les autres mecs. Loïc fut félicité par tous pour son jeu. Une place se libéra et je lui dis d’y aller. Il enleva sa serviette et on put tous voir son splendide corps. Il continuait de discuter avec nous, tout en se savonnant ; la victoire semblait lui avoir ôté toute pudeur. Sa queue n’était pas très grande : huit centimètres maximum au repos, mais elle était bien dessinée. Sans qu’il s’en rende vraiment compte, sa queue commença à gonfler. Moi aussi, je commençais à être excité.
Après un rapide coup d’œil dans l’assemblée, je vis que nous n’étions pas les seuls à bander et que certains qui s’essuyaient déjà avaient la queue complètement dressée. C’est donc sans pudeur que j’allai dans la douche voisine de cette de Loïc. Ma queue était plus grande que la sienne et je commençai à bander. De toute façon, ça arrivait souvent et personne ne posait jamais de questions. Les mecs sont faits comme ça, on n’y peut rien. Comment retenir une érection quand on a quinze ou même dix-huit ans ?

Loïc se sécha et quitta les douches pour rejoindre notre chambre. Quand j’entrai à mon tour, je vis qu’il était sur son lit, en train de se branler. Il lâcha immédiatement sa queue. Je lui dis qu’il ne fallait surtout pas s’arrêter pour moi et que tout le monde ici se branlait devant son camarade de chambre ! J’ôtai ma serviette et commençai à me branler devant lui. Je m’allongeai sur mon lit en ne le perdant pas du regard. Il avait recommencé à se toucher, mais il fermait les yeux. Je jouis assez vite : j’avais une espèce de Dieu qui se touchait devant moi et ça faisait deux jours que je m’abstenais. Je pris ensuite la direction du lavabo, pour me nettoyer. Loïc jouit deux minutes après et vint se placer à côté de moi, pour se rincer aussi.

Après avoir fait disparaître toute trace de sperme de nos corps, on était de nouveau tous les deux à plat. Loïc regardait fixement nos deux engins :

“- Elle est quand même petite, la mienne, me dit-il.
- Tu sais, à partir du moment où elle fonctionne bien…
- C’est con de complexer là-dessus, mais la tienne est quand même beaucoup plus longue et plus grosse. Elle fait quoi ? 12 cm de long et 5 de large au repos ? Et quand tu bandes un bon
18/8 ?…
- Je ne sais pas, je n’ai jamais vraiment mesuré… Mais ça doit être quelque chose comme ça.”

Je mentais : je savais très bien que ma queue était très grande pour mon âge et que ça avait déjà impressionné quelques mecs d’ici moins chanceux. Quand j’étais très excité, elle pouvait atteindre les 20 cm. Il me dit que ça l’intéressait de savoir. Il me tendit une règle et je mesurai : elle fait, au repos, 12 cm sur 6. Loïc fixait ses yeux sur ce sexe qui l’intriguait beaucoup et lui faisait envie. On s’habilla enfin pour prendre le repas du soir.

Le soir, je montai plus tôt dans la chambre : j’avais envie d’être un peu seul et de lire un livre.
Il faisait chaud et je me mis nu sur mes couvertures. Loïc monta à minuit, avec tout le monde.
Notre branlette lui avait montré qu’il n’y avait rien de mal à être nu et il ôta tout de suite ses vêtements pour se brosser les dents. Il se retourna avec la gaule. Il était vraiment bien foutu et très poilu sur les jambes et le pubis. Je lui dit que c’était sans doute à cause de tout ses poils qu’il trouvait sa bite petite. Il était d’accord, mais il ne se voyait pas avec la toison rasée. Je lui dis qu’il suffisait de couper un peu et que je pouvais lui montrer s’il le voulait. J’avais dit cela sur le ton de la plaisanterie, mais il accepta ! Je pris des ciseaux et lui dit de venir près de moi.

Je m’agenouillai et pris sa bite en main. Je taillais dans ses poils pour tout lui dégager. Au final, on voyait mieux sa queue et je bandais aussi. Quand je me relevai, nos queues se mêlèrent et nos torses se touchèrent. On resta un instant collés, puis il me remercia. Il se mit sur son lit et s’astiqua. Je décidai de dormir tout de suite. Il fit du bruit cinq minutes et gicla dans un mouchoir avant de s’endormir.

Le lendemain, il ne bandait pas. Ma gaule du matin est très vite passée, avant même que je ne sorte de mon lit. J’allai me raser puis prendre une douche. Loïc ne se gênait plus : il bandait dans sa serviette quand il est entré dans le local déjà embué, il l’ôta et n’hésitait plus à se toucher sous le jet d’eau. Ca en inspira quelques-uns (leur queue qui se relevait en témoignait). La branlette générale n’allait pas tarder. Des élèves qui attendaient de prendre leur douche enlevèrent leurs caleçons et commencèrent à se toucher. Tous ceux qui étaient sous les douches bandaient. Nico, qui en avait marre d’attendre, vint dans ma douche et me pria d’en sortir, voyant que j’avais fini de me laver. Je me penchai pour reprendre mon shampoing et je sentis sa queue raide sur mes fesses. Je ne dis rien et sorti. Je me finis en me séchant ; tout le monde se branlait, c’était orgiaque. Loïc débandait dans sa douche en se rinçant les cheveux. Je l’attendis pour rentrer dans notre chambre : le spectacle était magnifique.

Sur le retour, je lui dis de ne pas provoquer ça tous les matins, parce qu’on pourrait se faire repérer. Les surveillants se doutaient de nos joutes et les toléraient, si cela ne devenait pas systématique. Il comprit très bien et promit de se soulager avant d’aller aux douches.

Une journée passa. Le soir, Loïc bandait de nouveau comme un âne. Il me demanda la permission de se branler ! Je ne pouvais pas le lui refuser, mais je ne pouvais pas non plus m’empêcher de lui poser une question :

“- Tu as toujours des envies aussi fortes, tout le temps ?
- En fait, chez moi, je n’ai jamais l’occasion d’être à poil ! Je n’ai que des sœurs à la maison et je dois partager ma chambre avec la plus petite qui a 12 ans. Je ne peux jamais me branler comme ça. En plus, tous les mecs de mon ancienne école étaient très à l’aise avec leur corps et à la piscine, ils se baladaient tous à poil, comme ici dans les douches, et pas un ne bandait.
Moi je gardais toujours mon maillot, de peur que ma queue ne se réveille ! Donc c’est neuf pour moi de pouvoir faire tout ça…
- Tu veux dire que tu ne t’es jamais branlé avec d’autres mecs ?
- Non, jamais. Quand j’avais huit ans, j’étais chez mes cousins qui en avaient 15. Ce sont des jumeaux et on dormait tous les trois dans la même chambre parce que leur appartement n’était pas très grand. Ils se sont mis à poil le soir et il y en avait un des deux qui bandait. Je ne savais pas ce que c’était, tu penses… Ils m’ont dit que je devais bien regarder comment on s’en servait. Ils se sont branlé tous les deux sur mon lit, à côté de moi, et ils ont giclé à 20 cm de moi. C’est la seule fois, avant que j’arrive ici, que l’on se branlait devant moi.
- Ok, donc tu rattrapes le retard ! C’est bien naturel et personne ici ne te reprochera de te faire du bien. Surtout pas moi ! Alors quand tu veux te branler, pas besoin de te gêner, même si je ne t’accompagne pas à chaque fois.”

Comme il bandait toujours, je lui dis de se soulager et que j’allais dormir.

Le lendemain, je sentis une main sur moi. C’était Loïc qui me tâtait les couilles et me dressait la bite. Je fis semblant de continuer à dormir et il commença à me branler. Quand elle fut un peu rigide, il posa ses lèvres dessus. Je ne pus retenir un soupir ; il faisait ça très doucement et extrêmement bien. Maintenant qu’il savait que j’étais réveillé, il me branla un peu plus vite et un peu plus fort, jusqu’à me faire jouir. Il m’embrassait les couilles régulièrement, en gobait une de temps en temps. Je ne pensais qu’au plaisir que je prenais !

Quand j’eus joui, il se coucha à côté de moi, tout contre moi, son sexe tendu contre ma jambe.
Je pris à mon tour sa queue dans ma main et l’astiquai. Pendant ce temps, il m’expliquait dans le creux de l’oreille que la véritable beauté était à ses yeux le corps d’un homme et que c’était ceux-là qu’il aimait. Et dire que je n’avais rien vu venir… Le soir même, nous collâmes nos deux lits et nous fîmes l’amour. Le même rituel se répéta chaque soir jusqu’à la fin de l’année : nous nous mettions à poil après la soirée dans la salle commune, nous collions nos deux lits et nous dormions l’un dans l’autre.

Cette année en terminale fut la plus belle de mon parcours scolaire ! Je réussis mon bac sans problème et Loïc vint passer un mois de vacances avec moi chez mes parents. Mais c’est une autre histoire…

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