Militaire, oui mais… histoire complet
Récit érotique écrit par Joeytiangel369 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Militaire, oui mais… histoire complet
Je suis entré très jeune à l’armée, soit à seize ans à peine !..
Je m’étais engagé, pensant que j’apprendrais là des choses plus intéressantes qu’auprès de mes trois sœurs…
J’avais déjà eu plusieurs expériences sexuelles avec des copains du Patro, mais à l’armée, j’allais apprendre vraiment des choses plus, comment dire… « hard », peut-être ?
Les premiers soirs au centre pour recrues auquel j’avais été versé, je faisais encore mes prières au pied de mon lit, naïvement, pensant devoir « donner l’exemple » de ce qu’était ma Foi. Après tout, pourquoi ne pas être soi-même ?
Cela en faisait rire plus d’un, évidemment…
Un des gars de ma chambrée me suivi un soir alors que j’allais aux toilettes, avant de me coucher… Arrivé aux toilettes, au bout du couloir, il se mit ostensiblement à côté de moi, exhibant un engin imposant, pissant comme moi, mais bandant méchamment…
- Alors, l’enfant de chœur, me dit-il, que penses-tu d’une belle bite comme ça ?
Bien qu’un peu gêné, je ne pouvais détacher mes yeux de la queue appétissante qui s’offrait ainsi à mes yeux ébahis… ce qui fit dire au gars :
- Elle te fait envie hein ? Fais voir ce que tu caches là…
Et ce disant, il me retournait vers lui, se rendant compte que j’avais terminé, moi aussi de pisser, mais ne pouvait me décider à partir…<o:p></o:p>
- Oh, mais ce petit engin ne demande qu’à grandir, sûrement ?
Et s’agenouillant devant moi, il se mit à sucer ma petite queue… qui se mit à grandir rapidement dans cette bouche accueillante ! Je faisais donc là ma première expérience du genre à l’armée !...
Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse dans la bouche de l’obligeant soldat qui m’apprenait ainsi que je n’étais pas le seul homo de la chambrée !...
Voyant que j’avais eu mon plaisir, mon camarade, se relevant, appuya sur ma tête me disant : « A ton tour !... », et me voilà avec une queue énorme dans la bouche, l’autre allant et venant au rythme de son désir qui semblait violent… qui m’étouffait littéralement, car il allait bien au fond de ma gorge à chaque mouvement de va et vient !...
Tout à coup, je sentis un flot m’immerger, et je n’eus que la possibilité de tout avaler si je ne voulais pas étouffer tout à fait !
Heureusement que c’était bien des années avant l’apparition du Sida, car je n’oserais plus faire pareil aujourd’hui…
Mon camarade, qui me dit s’appeler Michel, me dit que je devais revenir là le lendemain à la même heure et que… je pouvais bien aller faire mes prières au pied de mon lit à présent !
De honte, je n’ai plus fait ces prières ostensiblement, même si je priais encore dans mon lit, tout seul dans le noir… accompagné des respirations d’une vingtaine de camarades.
Evidemment, je suis retourné souvent au rendez-vous du soir de Michel,… mais ceci est une autre histoire !
Si vous avez aimé celle-ci, je pourrais vous en raconter d’autres de ce temps-là ? Plus véridiques les unes que les autres, d’ailleurs…
Il suffit de demander !
Quelque temps plus tard, Michel et moi avions été versés dans le même Régiment, en Allemagne. Or nous étions en exercice, pour deux jours, sur la plaine de manœuvres... où nous devions ramper dans la boue bien fraîche de la pluie qui tombait encore !
Le soir, au bivouac, avant un repas bien chaud qu’on nous apportait heureusement de la caserne, nous n’avions qu’une chose à faire pour nous débarrasser de cette boue collante : nous laver entièrement, et faire sécher nos affaires pour le lendemain, après avoir rincées nos tenues de camouflage, soi-disant imperméables…
Oui da ! Nous étions là-dessous comme des soupes, et les douches, installées rapidement entre quelques toiles de tentes, étaient les bienvenues.
- Allez, tout le monde à poils, et plus vite que ça ! hurlait le Sergent qui avait sans doute envie de se rincer l’œil gratuitement ?
Et, en effet, il passait l’inspection des soldats sortant de la douche l’instant d’après. J’attendais en faisant la file comme tout le monde, avec Michel dans mon dos qui me caressait de sa bite, comme si de rien n’était,… ce qui m’excitait malgré moi, me faisant bientôt bander comme un taureau !
Le Sergent, qui surveillait la file entrante comme la file sortante, s’aperçut vite de la chose, et son regard sembla s’allumer… me regardant dans les yeux d’un air goguenard, sans rien dire, sur le moment.
Après la douche et le souper, vint le temps de monter les tentes pour la nuit. Dans ce temps-là, chaque militaire possédait une demi toile de tente, qu’il fallait nécessairement coupler à une autre, pour retrouver un couple de soldats chaque fois abrités… L’inventeur de cette solution aurait été pédé que cela ne m’étonnerait pas car, comment favoriser mieux des… expériences de toutes sortes sous ce genre de tentes ?
Toujours est-il qu’au moment où Michel et moi nous apprêtions à joindre nos deux bouts de tentes, le Sergent m’appela :
- Vous là-bas !... Venez ici et mettez votre tente avec la mienne, car je n’ai pas de partenaire, le Caporal étant malade !
- Bien Sergent !... était la seule réponse possible, et après un bref coup d’œil moqueur de Michel, je me rendis à l’ordre du Sergent… tandis que Michel n’avait plus qu’à trouver un autre copain !
Le soir venu tout à fait, le couvre-feu nous fit nous installer dans les tentes, sous une température redevenue clémente entre temps : nos vêtements seraient secs le lendemain.
Le Sergent, un grand gaillard qui était réputé avoir fait la guerre de Corée avec les paras, se déshabilla sans aucune pudeur, et se coucha très vite, nu comme un ver sous sa couverture…
Moi, j’avais gardé mon slip, me disant que c’était quand même « plus convenable », non ?
A peine couché, je sentis deux mains me caresser la poitrine, très doucement, puis m’amuser les tétons jusqu’à ce qu’ils durcissent, et une puis une main descendre doucement, très doucement vers mon slip… Arrivé là, un doigt, puis deux s’introduisent dessous, cherchant quelque chose, semblait-il… qu’ils eurent vite fait de trouver car cet exercice m’avait fait réagir très vite, et je bandais déjà comme un taureau !<o:p></o:p>
- Voyez-vous ça !... entendis-je dans le clair obscur de la tente, tandis que le Sergent s’approchait encore de moi… en me tirant littéralement contre lui : il était d’une force herculéenne, et semblait bâti de même ! Il était beau comme un dieu grec !...
Nous étions relativement près d’un grand feu que nous avions fait tout à l’heure, et ses flammes encore hautes, non seulement nous réchauffaient, mais nous éclairaient aussi… Ecartant sa couverture, j’apercevais maintenant, malgré l’obscurité relative, un corps magnifique, assez poilu, dont émergeait tout contre moi un vît énorme, bien que très fin tout de même.
Le Sergent ne se fit pas prier pour engloutir dans une bouche pleine de douceur, chaude à souhait, mon gland… qui n’attendait que cela !
Le Sergent, semblant sucer un sucre d’orge, grognait avec beaucoup de plaisir semblait-il… ce dont je ne me plaignais aucunement.
Entre temps, ses mains me caressaient partout, me faisant gémir de plaisir à mon tour, ce que voyant, le Sergent s’approchant de ma tête, me dit simplement : « Sois silencieux, soldat ! », avant d’empêcher une quelconque réponse en m’embrassant avec fougue, ma langue fourragée par une autre, très dure et possessive, qui bientôt quitta ma bouche pour se promener sur tout mon corps… qu’il explora encore plus facilement en mettant mes jambes par-dessus ses épaules, en me bouffant le fion !...
Aaah, cette langue !...
Je devais m’empêcher de gémir, puisque j’en avais reçu l’ordre, mais elle me rendais littéralement fou et bientôt, comme il s’y attendait sans doute, le Sergent, avalant ma queue à nouveau, récolta ma liqueur de jeunesse dont il sembla se délecter avec beaucoup de plaisir !
Je n’en avais pourtant pas fini avec lui car, la bouche encore pleine de moi, il retourna à mon anus encore vierge pour le lubrifier à plaisir… avant d’y introduire doucement un doigt, puis deux sans doute ? Le plaisir qu’il me procurait ainsi m’était inconnu jusque là et, quand d’un léger coup de rein, ce fut son gland qui remplaça ses doigts, j’étais prêt comme il le souhaitait pour le grand jeu…
Dès lors, son lent va et viens me fit connaître un plaisir, nouveau pour moi, dont je ne soupçonnait pas l’existence. Mes jambes toujours sur ses épaules, ses reins allaient et venaient de plus en plus vite jusqu’à ce que je senti en moi qu’il gonflait, si possible encore… avant une explosion qui lui fit avoir un bref gémissement, de même qu’à moi, qu’il branlait entre temps, et qu’il avait réussi à faire en sorte que je jouisse à nouveau !...
A peine remis de mes émotions, le sentis à nouveau la langue du Sergent me boire, de façon à ne laisser aucune trace sur nos couvertures des ébats de la nuit… ce qui me fit encore de l’effet !
Nuit bénie où je rencontrai ce Sergent pour la première fois, bien sûr suivie de beaucoup d’autres.
Mais c’est là une autre histoire… que je vous conterai, peut-être ?
Après les courtes manœuvres durant lesquelles j’avais eu l’occasion de connaître mon Sergent sous un autre jour, nous étions rentrés à la caserne depuis deux jours quand je me sentis un peu malade…
Conduit à l’infirmerie, je constatai que nous étions trois recrues à avoir pris un léger refroidissement, et que nous étions légèrement fiévreux tous trois, mais pas du tout gravement. Nous avons été examinés par le médecin militaire qui, prudent, nous consigna à l’infirmerie pour une semaine…
Très gentiment, le Sergent était venu nous voir et nous avait parlé d’une manière martiale, comme à son habitude, mais en m’adressant cependant un clin d’œil à part des autres…
Mes deux copains s’appelaient Jacques et Damien, et ils avaient tous deux dix-huit ans, soit l’âge habituel d’un militaire. Moi, engagé pour cinq ans dès mes seize ans, tout en étant considéré majeur comme tous les autres militaires, j’étais tout de même partout le plus jeune de la bande. Certains autres engagés de notre groupe avaient parfois jusqu’à la trentaine… c’est dire s’il n’était pas rare que je sois un peu leur « tête de turc », à cause de mon âge.
Ici à l’infirmerie, nous étions donc juste trois jeunes gens un peu fiévreux, mais qui, n’ayant rien de bien grave, se trouvaient beaucoup mieux dès le second jour.
Les journées étaient longues, mais nous parlions les uns et les autres de ce que nous faisions avant de nous engager… Jacques faisait des études de dessinateur industriel, mais un revers de fortune de ses parents l’avait conduit à s’engager sans autre retard pour être indépendant.
Damien, fils de fermier, avait laissé ses deux frères aînés aider leur père à la ferme, tandis que lui, qui avait toujours rêvé de gloires militaires s’engageait.
Je leur racontai que moi-même, orphelin de père, j’en avais eu marre d’être toujours entouré de quatre femmes, ma mère et mes trois sœurs, et qu’ainsi je m’étais engagé plus tôt qu’habituellement, mais jugé « apte » par le centre de recrutement…
- Ca ne m’étonne pas ! me dit Jacques. Un jeune et beau gars comme toi, ils allaient pas rater de t’engager !
J’étais flatté que Jacques me trouve beau… Peut-être étais-je à son goût ? Lui-même était joli garçon et l’idée que nous pourrions profiter pour faire plus ample connaissance, cette nuit par exemple, m’excitait déjà…
Mon lit était placé tout près de celui de Jacques, tandis que Damien était en face de nous, le quatrième lit restant libre.
Le soir venu, tandis que Damien était déjà endormi et que Jacques se retournais nerveusement dans son lit, je m’arrangeai pour me découvrir suffisamment pour que ce dernier puisse découvrir une part bonne part de mon anatomie…
Mon pyjama ouvert sur ma poitrine, et la braguette quelque peu béante, il pouvait être tenté pour une approche… ce que j’espérais évidemment de tout cœur !*Je m’étais presque endormi dans cette position lascive, quand je perçu un léger mouvement sur ma droite. A travers mes cils mi clos, j’aperçu Jacques à mon chevet, semblant hésiter à me toucher, ce qu’il fit pourtant très doucement,approchant sa main de cette braguette tentante où une toison noire l’envoûtait visiblement.
Cette main se fit chercheuse… et trouva une queue dont le méat était déjà humide de désir ! Sans plus d’hésitation, il se mit à me masser le gland avec son pouce, très doucement, profitant de cette excrétion pour me huiler tout le gland, tandis que, doucement ma queue se dressait de désir, me faisant à présent gémir doucement dans mon « sommeil »…
Bientôt, je ne pus plus faire semblant de dormir et Jacques, qui s’en étais sans doute rendu compte, me dit tout bas : « Pousse toi… », pour pouvoir s’allonger près de moi… ce que je fis aussitôt.
Dès lors Jacques, tout en continuant sa caresse précise sur mon gland humide, se mit à m’embrasser à pleine bouche. Il avait la salive et l’haleine fraîches, et son baiser me fis fondre littéralement, et je me suis lové tout contre lui, m’attaquant à mon tour à son pyjama qui fut bientôt sur le sol, suivit du mien d’ailleurs. Nos jeunes corps se frottaient l’un à l’autre et se caressaient avec un plaisir évident…
Jacques, visiblement, n’en était pas à sa première expérience, mais sa douceur m’épatait et me rendait fou… Je me mis à l’explorer de mes lèvres, et bientôt je dégustai son jeune membre, solide mais pas trop gros, agréable au possible dans ma bouche qui semblait le connaître depuis toujours…
Nous continuâmes longtemps nos caresses mutuellement, tout en surveillant le calme de l’infirmerie et la respiration de Damien qui restait régulière…
Bientôt, Jacques m’enfourchant, après s’être lubrifié de salive, s’embrocha doucement sur mon membre dressé et, s’appuyant sur mes genoux repliés, commença un mouvement de va et vient vers le haut à un rythme qui semblait lui convenir… comme à moi d’ailleurs !
A ce régime, il ne fallut pas longtemps pour qu’il me fasse jouir et que je l’inonde de ma jeune semence, dont il récolta une partie pour me lubrifier l’anus et, plaçant mes jambes sur ses épaules à la manière du Sergent, m’embrocher doucement à son tour.
Sa manière à lui, toute en douceur toujours, me plu infiniment et je crois bien que c’est à ce moment que je suis tombé amoureux de Jacques… pour un bon moment !
Lui n’avait pas l’air de s’ennuyer non plus avec moi, et ses mouvements s’étant tout à coup faits plus véhéments, il gémit de plaisir tandis qu’il m’inondait de longs jets chauds à l’intérieur de moi, pour mon plus grand plaisir…
Encore une fois, c’était heureusement bien avant que n’apparaisse le sida qui est venu gâcher pas mal de plaisirs, hélas. Nous n’avions donc pas besoin de « protections » à l’époque, et en profitions pleinement !
Le lendemain et les nuits suivantes, Jacques et moi avions approfondi notre complicité de telle manière que Damien avait l’air de se poser des questions…
La dernière nuit était donc arrivée et Jacques m’avait à peine rejoint dans mon lit que j’entendis la voix de Damien demander : « Je peux jouer avec vous ? ».
Difficile de refuser ça !... Et nous fîmes donc une petite place à Damien. Nous nous sommes mis, Jacques et moi, à le caresser tous les deux de telle manière qu’il ne mit pas plus de trois minutes avant de jouir abondamment sur son ventre, placé qu’il était entre nous ! Il s’excusa de son inexpérience, nous avouant que c’était « la première fois », et qu’il n’avait jamais « fait ça » avec personne, ni fille ni garçon…
Dès lors, émoustillés par cet aveu d’innocence, nous nous mîmes sans tarder à initier notre camarade pour qu’en une nuit il n’ignorât plus rien de ce qu’il était possible de faire, entre garçons en tous cas !..
Damien s’étant avéré bon élève, nous avons passé là une des nuits les plus torrides de ma jeunesse, car nous n’avions plus à faire attention à réveiller personne, seuls dans cette infirmerie !...
Nos aventures ne se sont pas arrêtées là… mais il faut en laisser pour une autre fois, pas vrai ? C'est quand VOUS voudrez...
Jacques et moi, nous filions le « parfait amour » depuis notre aventure de l’infirmerie… mais très sporadiquement, car nous n’étions pas dans la même chambrée, même si c’était la même Compagnie.
Nous étions donc obligés de trouver des lieux et des occasions au petit bonheur la chance…
Or, nous approchions de la fête de Noël, et je ne sais plus qui a lancé l’idée d’une grande fête l’après midi de Noël, durant un goûter donné à cette occasion. Il s’agirait d’un concours, en quelque sorte, doté de quelques prix pour l’occasion, comme une montre, un appareil photo, etc. Le premier prix devant être une permission spéciale de trois jours !
J’avais imaginé de monter un spectacle de danse intitulé « Les Blue Bell Girls », me réservant, évidemment le rôle de danseuse étoile !
J’ai décidé quelques copains, dont Jacques et Damien, à tenter l’aventure et cela nous donnait l’occasion de « répétitions » de notre danse, sur une musique genre « danse du ventre », vous pouvez imaginer…
Par ailleurs, nous devions aussi confectionner nos tenues, pour lesquelles nous avions dégotté de vieux rideaux de voiles, et des tentures de brocart vertes, qui firent se splendides « jupes fendues » pour mes « collègues » danseuses, tandis que je me réservais une tenue toute en voiles ne cachant qu’un maillot de bain. Pour le haut, des soutiens-gorge de voiles rembourrés feraient l’affaire.
Toute cette effervescence nous donnait, à Jacques et moi, des occasions de nous retrouver dans le local désaffecté qui nous avait été octroyé pour préparer notre numéro. Il s’agissait d’une petite chambre de sous-officier qui ne serait pas occupée avant janvier, dans un bâtiment proche du nôtre, mais plus calme et où nous étions tranquilles. Evidemment, nous étions rarement seuls puisque nous étions cinq « danseuses »…
Pourtant, il arriva quelquefois que nous soyons seulement trois, avec Jacques et Damien, les deux autres n’ayant pas toujours le même horaire que nous. Nous en profitions alors pour prolonger nos jeux de l’infirmerie et Damien semblait prendre goût à ce que nous lui apprenions, Jacques et moi...
Il n’ignora bientôt plus rien d’une pipe rapide et juteuse… fumée au plus grand plaisir du partenaire, d’un « 69 » ou autre « feuille de rose »… et j’en passe !
Il est évident cependant que Jacques et moi aurions voulu nous retrouver parfois en tête à tête, mais l’occasion ne se présentait pas encore, Damien nous étant un précieux paravent, aussi, quant aux rumeurs qui auraient pu se murmurer si nous n’avions été que deux…
Le numéro se précisait et était drôle quand à mes collègues, plutôt poilus, dont un barbu d’ailleurs, sauf moi-même qui essayait d’être convainquant dans le rôle : il paraît que j’avais un coup de reins digne du moyen orient !...
Vint l’après-midi de Noël où, enfin, nous allions pouvoir concourir avec des numéros de prestidigitation, jonglage et autre jeu de devinettes…
Nous venions en dernier lieu, le passage ayant été tiré au sort, et j’aimais autant ça : la surprise n’en serait que plus grande quand j’entrerais en scène, maquillée comme une vraie professionnelle. Mes « copines » devaient d’abord « chauffer » la salle sans moi, levant la jambe en cadence sur un air de « french cancan », qui s’avéra rigolo par la chute de l’un, et la perte de ses faux seins de l’autre… Quand j’entrai en scène, la musique changeant radicalement, des applaudissements et des sifflements fournis me prouvèrent que beaucoup y croyaient ! Je n’étais pas peu fier !...
Nous eûmes une « standing ovation » formidable à l’issue de notre numéro quand, enlevant nos artifices faits de turbans, car nous n’avions pas trouvé de perruques, et nos seins de voiles rembourrés.
Plus d’un avait cru que j’étais une vraie fille et mon effeuillage, presque un strip-tease, fut une petite ajoute personnelle que j’ajoutai en impromptu, mais qui provoqua des battements de main en cadence, pensant qu’ils allaient découvrir tout autre chose sans doute ! Quand je fus en caleçon de bain, encore tout maquillé, même mes « danseuses » applaudissaient et c’est nous qui avons gagné le premier prix, sans contestation possible !
L’officier du « Welfare » qui nous félicita me regardait avec des yeux particulièrement brillants, ce que je n’ai pas remarqué sur le moment, mais que me signala Jacques par après disant qu’il « me déshabillait du regard », littéralement ! Sur l’instant, je n’y fis pas attention…
Le soir même, après le souper et la Messe du soir à laquelle j’avais tenu à aller, Jacques me proposa une petite promenade du côté des garages où il pensait que nous pourrions trouver un petit coin pour nous deux…
Aussitôt dit, aussitôt fait, et nous voilà en route pour les garages, oubliant presque la sentinelle qui était chargée de garder les véhicules ! Heureusement, il n’y avait qu’une seule sentinelle pour trois garage, et nous parvinrent à nous faufiler facilement après son passage, en la surveillant de loin. Jacques m’entraîna alors vers un véhicule quelque peu hors du commun qui se révéla être un espèce de petit bus haut sur patte, avec de larges coussins de cuir, destiné à emmener les officiers supérieurs sur le terrain en cas de manœuvres !... Rien que ça ! Si nous avions été surpris là-dedans à poils comme nous l’étions après quelques instants, nous serions probablement passés en conseil de guerre !...
Toujours est-il que notre inconscience, et la complicité de Cupidon peut-être, fit que la sentinelle ne s’est jamais doutée de rien, tandis que Jacques et moi nous livrions à notre plus belle partie de jambes en l’air qui se puisse voir ce soir-là sans doute à notre caserne !...
Nous avions faim l’un de l’autre depuis l’infirmerie, et là nous n’avions pas Damien pour tenir la chandelle, ce dont nous avons profité pleinement… Jacques ne m’avait jamais fait l’amour comme cela, me prenant « par tous les trous », comme il disait un peu vulgairement, et moi lui répondant de même, tout aussi gourmand de son corps que lui du mien…
Ce fut ma plus belle nuit de Noël de cette époque, n’en déplaise trop à Dieu qui me pardonne cela !...
Militaire, oui mais… (5)
A quelques temps de là, nous avons eu un cours de « tactique »… avec le même jeune Capitaine qui avait joué le rôle d’officier de Welfare l’après-midi de Noël.
Je m’appliquais à essayer de répondre à ses questions et je me demandais pourquoi il revenait si souvent à moi quand Jacques, qui était assis avec moi sur le même banc, me chuchota : « Il n’a d’yeux que pour toi ! Ma parole, tu as dû le rendre fou, l’autre jour !... », ce qui me fis rire, sans plus.
Pourtant, à la fin du cours, le Capitaine me dit de rester car « il avait quelques remarques à me faire »…
Déjà l’un ou l’autre avait l’air de me plaindre, me faisant la grimace en sortant, tandis que Jacques se contenta d’un clin d’œil complice et d’un petit sourire en coin !
Il se révéla vite que c’était lui qui avait raison : à peine la porte fermée sur mon dernier camarade, le Capitaine fit faire un tour à la clé et s’approcha de moi l’œil brillant :
- Alors, mon garçon ! Vous semblez moins fort en tactique qu’en danse, il me semble ?...
- Peut-être bien, oui, mon Capitaine… Excusez-moi.
- Voyons cela… Pour vous punir, pourriez-vous me refaire, sans musique, votre petit numéro de l’autre jour ?
- Ma foi, mon Capitaine… je peux essayer, balbutiai-je, craintif.
- Allons, détendez-vous, mon garçon ! Je ne vous veux que du bien ! me susurre-t-il encore, la lèvre gourmande. Allez-y !...
Du coup, me voilà obligé, en uniforme, de commencer à onduler de la croupe !... Exercice on ne peut plus difficile, je vous l’assure !... Mais le Capitaine m’encourageait :
- Très bien !... Continuez, mon garçon ! Et pour être plus à l’aise, refaites-moi donc ce strip-tease comme l’autre jour…
J’eus vite compris qu’il voulait un spectacle pour lui tout seul… et je ne fut pas peu surpris quand il mit en route un magnétophone dans un coin de la pièce, diffusant une musique des plus langoureuse sur laquelle je lui fis le plus savant des strip’s que je puisse faire à l’époque !...
Débarrassé de mes guêtrons, bottines et bas, j’attaquai le haut en commençant par mon ceinturon, mon battle-dress, puis suivi ma chemise… Mon pantalon mit un moment à tomber, lancé au loin du bout d’un orteil savant du style « plus lascif que ça tu meurs » !
Il ne restait plus que mon maillot de corps qui se souleva lentement, tandis que je voyais le Capitaine se trémousser dans son froc, cachant difficilement une bosse qui gonflait dans celui-ci !
Quand il ne resta plus que mon slip, je me suis retourné, pour que mon joli cul achève de le faire bander, tandis que mon slip glissait lentement vers mes pieds…
Lorsque je me retournais enfin, le Capitaine était tout près de moi, le pantalon sur les godasses, l’air un peu ridicule, mais avec en main un engin quelque peu effrayant par sa taille !
Mes mains cachaient encore mon sexe, mais les siennes les écartèrent doucement pour admirer mon jeune corps en entier…
- Que tu es beau ! dit-il, tombant à genoux devant moi et avalant mon sexe d’un coup, le faisant bientôt grandir dans sa bouche gourmande…
- Oh, mon Capitaine… fis-je bientôt en gémissant.
- Appelle-moi Léon !... répondit-il en se redressant et m’embrassant tout en me branlant vigoureusement tandis qu’il guidait ma main vers son sexe énorme pour que je fisse de même.
Sentant sans doute qu’il allait jouir, il poussa ma tête vers son sexe et ma bouche fut emplie d’un coup : heureusement qu’il me restait le nez pour respirer !...
Ses coups de boutoir ne durèrent pas, mais ma bouche eu du mal à ingurgiter la manne qui lui était bientôt offerte…
A son tour, et de bonne grâce, mon gentil Capitaine s’agenouilla à nouveau pour une pipe magistrale comme on m’a rarement fait…
- Oh, Léon… pouvais-je tout juste l’encourager en gémissant.
Il ne fallut pas longtemps pour qu’à mon tour je lui jouisse dans la bouche qu’il avait si accueillante et gourmande, d’ailleurs, car il n’en laissa pas une goûte de mon élixir de jeunesse !...
- Eh bien mon garçon !... Comment t’appelles-tu en fait ?
- Alexandre, mon Capitaine !...
- Léon, je t’ai dis… précisa-t-il en me caressant la joue avant de m’embrasser une dernière fois à pleine bouche.
- Mmmm… fis-je.
- Voilà ! dit-il encore en se rajustant enfin. Eh bien, Alex, j’espère que nous nous reverrons bientôt ?
- Comme il vous plaira, mon… Léon ! fis-je toujours intimidé.
- Tiens, mon ordonnance sera démobilisé fin de ce mois… Cela te plairait-il que je fasse en sorte que tu le remplaces ?
- Ma foi… Ce sera sûrement un plaisir… Léon.
- Bien, Alex !... Alors, laisse-moi arranger cela avec l’Etat-Major du Régiment et tu verras ainsi que j’ai le bras long !
- Merci Léon !... fut ma réponse ce jour-là, car je n’imaginais pas que pu être parfois un enfer de solitude que la vie d’une ordonnance d’un officier…
Mais… il y avait aussi pas mal d’avantages, que je vous conterez peut-être une autre fois ?
J’étais à présent l’ordonnance du Capitaine Léon T… depuis quelques jours.
Le Capitaine devait avoir une trentaine d’années, des cheveux bouclés noirs et une moustache noire également, qui lui donnait un air martial et un peu sévère parfois… sauf avec moi à qui il savait sourire si gentiment !...
Il avait l’air fou de moi, et les premiers jours j’en oubliais presque mon ami Jacques… tellement les nuits avec le beau Capitaine étaient torrides !
Il avait un petit appartement au quartier des officiers, étant un des quelques officiers célibataires que comptait le Régiment. J’avais donc une chambre personnelle dans cet appartement, et Léon la sienne, mais c’est dans cette seconde, qu’occupait un grand lit de deux personnes, que nos ébats avaient lieu…
Léon T… était un amant parfait, très doux, même « équipé » qu’il était d’un engin qui aurait pu me faire peur, au début…
Sa douceur lui faisait prendre avec moi des égards que bien des jeunes filles auraient aimées se voir attribuées par leurs jeunes amants !... Je ne regrettais donc rien durant une quinzaine de jours avant que mon ami Jacques vint à me manquer tout de même !
Comme j’étais assez libre, le Capitaine n’étant pas avec moi très exigeant en dehors de l’entretien de « notre » appartement et de ses bottes de cheval et autres bottines, ceinturons etc., je pouvais aller et venir à mon gré dans la caserne, libre désormais de toutes corvées hors du service de mon Capitaine…
Au cours d’une promenade, j’ai rencontré Jacques qui revenait de la cantine, un peu éméché, car il avait bu, me dit-il, pour se consoler de ma défection.
Lui riant au nez, je lui ai proposé de l’emmener chez mon Capitaine, sachant que celui-ci, invité par des amis, rentrerait probablement fort tard…
Dès lors, les choses s’enchaînèrent rapidement, mon Jacques étant super excité par la perspective de faire l’amour avec moi une fois de plus… mais cette fois, nous allions, sans vergogne, profiter du grand lit de Léon, mon Capitaine et amant attitré !...
Il ne fallut pas longtemps pour que nous soyons nus comme des vers sur le lit de Léon, plus accueillant que le mien et que je referais tout à l’heure avant qu’il rentre…
Nos corps se reconnaissaient avec une joie particulière, tant ils semblaient faits l’un pour l’autre !... Jacques, surtout, privé de chair depuis notre nuit de Noël dans le véhicule de commandement, semblait affamé de moi plus que de raison. Il me possédait avec rage, comme pour effacer les traces de ce qu’un autre lui avait pris… et je compris là qu’il était jaloux de mon beau Capitaine !...
- Mon Jacquot, lui fis-je !... Tu me laboures les flans comme si tu ne devais jamais me revoir, mamour ?... Serais-tu jaloux de Léon ?
- Parce que tu l’appelles Léon, en plus ? fit-il, vexé.
- Mais pourquoi pas, puisqu’il me l’ordonne ?... ris-je.
- Ce n’est pas drôle ! fit-il, boudeur.
- Mais mon Jacquot… veux-tu que j’essaie de lui demander de te trouver une place ici, au Mess des officiers, ou comme ordonnance d’un de ses compagnons d’armes ?
Jacques n’eut pas le temps de répondre que j’entendis une voix répondre sur le seuil de la porte :
- Cela ne me semble pas une mauvaise idée !...
Jacques et moi, nous sautâmes sur nos pieds pour nous mettre au garde-à-vous… ce qui devait être assez drôle car mon Capitaine se mit à rire, tout en s’écartant pour laissez apparaître un personnage que nous n’avions pas encore remarqué, soit un jeune Lieutenant arrivé depuis peu au Régiment et qui semblait tout droit sorti de l’école militaire !...
- Que pensez-vous de ça, Lieutenant ?
- Ma foi, mon Capitaine, c’est là un tableau assez, comment dire… étonnant si l’on sait qu’il s’agit là de votre chambre, non ?
- En effet, mon ami, en effet… Mais laissez-moi vous présenter Alex, mon ordonnance et son ami qui se nomme, lui ?
- Ja… Jacques, mon Capitaine ! bredouillais-je.
- Voyez-vous ça !... Jacques et Alex… Alex et Jacques ! Vous savez que vous êtes mignons, tous les deux ? Que pensez-vous d’assister au spectacle des amours de ces jeunes gens, Lieutenant ? Mon ordonnance est très douée pour les planches, je vous l’ai déjà dit, je crois ?
- En effet, mon Capitaine, et je serais curieux de voir cela… Mais je nous avance des sièges, non ? dit-il en se saisissant de deux chaises qui étaient contre le mur pour les approcher au plus près du spectacle…
- Bien, Lieutenant ! Bonne idée, en effet !... Allez, mes gaillards, dit-il encore en s’adressant à Jacques et à moi, qu’attendez-vous pour nous faire une démonstration de vos talents ?
Que pouvions-nous faire d’autre, mon amant et moi que de nous exécuter ?
D’abord intimidés par ces yeux qui nous épiaient, Jacques et moi avons repris nos ébats, faisant bientôt abstraction de nos deux voyeurs, emportés que nous étions par notre fort penchant l’un pour l’autre…
Quelques temps plus tard, pourtant, je devais me rendre compte que d’autres mains que celles de Jacques seul s’occupaient de moi : de simples spectateurs, nos deux officiers n’avaient pu s’empêcher de quitter leur poste pour participer aux ébats… Aussi nus que Jacques et moi, à présent, c’est en « partie carrée » que la soirée devait se terminer !
J’avais une queue en bouche, une autre m’embrochait gentiment, tandis qu’une bouche très douce s’occupait de mon vît, sans que je sache laquelle : le Lieutenant sans doute, car je ne connaissais pas cette façon de faire de la langue et du bout des lèvres comme il le faisait…
Bientôt, les rôles changèrent, et une tournante infernale, digne des pires bacchanales, nous occupa une bonne partie de la nuit… ce qui rendit Jacques absent à l’appel « au pied du lit » à 10h du soir !
Heureusement, le lendemain, le Capitaine avait tout arrangé disant qu’il l’avait réquisitionné pour « une corvée »… et Jacques devenait, trois jours plus tard, l’ordonnance désignée du jeune Lieutenant !
Mais c’est là une autre histoire… que je vous conterai sans doute ?
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