Le traquenard du colonel Davis 2

- Par l'auteur HDS RedJumbo -
Récit érotique écrit par RedJumbo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le traquenard du colonel Davis 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Le traquenard du colonel Davis 2
Avant de vous faire découvrir ce deuxième épisode, je souhaitais faire un petit rappel de nos protagonistes, mon bourreau et moi, afin de vous aider à visualiser ces scènes sordides :
Jonathan BRANSON (22 ans / 1,75m / 80kg / pénis en érection de 15x12)Le colonel DAVIS (46 ans /1,98m / 104kg / pénis en érection de 25x16)

Episode 2 :
Après ce pilonnage intensif sous la douche, me voici allongé en vrac sur le grand lit du colonel, l’anus dilaté au-delà de mes limites, un filet de lubrifiant coulant le long de mes cuisses. Je suis complètement désorienté et à bout de forces, je n’ai jamais subi une telle épreuve. Une intense sensation de brulure vient me sortir de ma léthargie : il vient de m’assener une énorme claque sur les fesses, avec ses mains de bucherons.
Il vient à mon oreille : « Alors soldat, toujours opérationnel ? » Je n’ai pas la force de répondre.
« Il va pourtant falloir, nous n’avons pas encore fini notre petite séance » me dit-il avec un sourire sadique.

A ces mots, il se place devant mon visage et commence à me claquer sa bite sur mes joues, il semble s’amuser à voir mes joues rougir.
« Maintenant ouvre ta bouche de salope » m’ordonne-t-il.
Mais je n’ai vraiment pas la force de bouger. Il m’attrape alors fermement la mâchoire et me l’ouvre d’un coup sec, je n’ai pas le temps de réfléchir à ma douleur que son gland gluant est déjà dans ma bouche. Cette largeur putain, comment peut-on avoir une si grosse bite ? Je racle des dents sur toute la longueur du gland, je ne peux pas ouvrir plus large ma mâchoire. Mais il continue de s’enfoncer et mes lèvres se distendent pour laisser place à ce pilon massif. Il n’a même pas rentré la moitié de son membre que je sens déjà son gland toucher ma glotte. Je tente de le repousser en poussant sur ses cuisses mais rien n’y fait et il commence les vas-et-viens. Il grogne fort, me tiens la tête fermement et vient buter brutalement contre ma glotte, j’ai des hauts le cœur. Je n’en peux plus, je dois lui demander d’arrêter… mais sa bite dans ma bouche m’empêche de parler. C’en est trop, mon corps réagis et je vomis sur sa bite, dégoulinant sur le lit et ses jambes.
« Comment oses-tu ?? » hurle-t-il.

Hors de lui, il me saisit par le cou, me soulève du lit et me dépose brutalement sur le sol.
« C’était une faveur d’être baisé sur mon lit, on va donc revenir aux bonnes vieilles méthodes et te faire rentrer ça dans le crâne ! »Une pluie de claques s’abat alors sur mes fesses qui rougissent à vue d’œil. Je ne peux plus bouger, seulement couiner sous les coups sanglants du mastodonte. Je sens alors de nouveau le liquide visqueux couler sur mon anus : Non ! je ne peux plus, pas ça, je vais mourir !
Mais son gland est déjà aux portes de mon fondement, et je le sens pousser à l’intérieur. Il me relève les fesses, et, d’un coup brusque, me pénètre jusqu’à la garde. J’ouvre grand la bouche mais aucun son ne sort, seul un gros filet de bave qui vient retomber au sol. Il m’attrape les épaules par derrière et commence à m’enculer en levrette, enfonçant toujours plus fort et profond son pilon. Il m’assène régulièrement de grosses claques sur les fesses et sur les joues, seul moyen de m’éviter l’évanouissement. Mon calvaire se poursuit vingt bonnes minutes supplémentaires, quand tout à coup, le colonel enlève brusquement sa bite de mon anus et vient éjaculer sur mon dos. Ma vue est brouillée, mes oreilles bourdonnent, mon anus est aussi ouvert qu’un stade de foot. Mon seul ressenti est le sperme chaud et visqueux qui coule le long de mes côtes comme une rivière.

Le colonel m’attrape alors par les cheveux et me fait m’assoir à genoux. Je suis tremblant, je regarde fixement le sol.
« Pas très solide notre Rangers, il va falloir améliorer ton endurance, me sort-il. Je vais te laisser aux soins du médecin en chef Sullivan pour ça ma salope »A ces mots, je vois apparaître une paire de rangers dans la pièce, je lève doucement la tête, le médecin se tient debout, les points sur les hanches, un sourire en coin.
« Je vais m’en occuper mon colonel. Allez lève-toi. »Ce sont mes derniers souvenirs avant de perdre connaissance…

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Texte coquin : Le traquenard du colonel Davis 2
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