Le traquenard du colonel Davis 3
Récit érotique écrit par RedJumbo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le traquenard du colonel Davis 3
Avant de vous faire découvrir ce troisième épisode, je souhaitais faire un petit rappel de nos protagonistes afin de vous aider à visualiser ces scènes sordides :
Jonathan BRANSON (22 ans / 1,75m / 80kg / pénis en érection de 15x12)Le colonel DAVIS (46 ans /1,98m / 104kg / pénis en érection de 25x16)Le médecin en chef SULLIVAN (34 ans / 1,78m / 72kg / ?)
Episode 3 :
J’émerge très lentement de mon sommeil, les yeux encore troublés de l’épreuve de la veille, l’anus endolori, des courbatures dans le dos et les jambes. Mes oreilles bourdonnent quelques minutes jusqu’à ce que je me réveille complètement. Je suis dans une grande pièce carrelé, fenêtres grillagées, matelas sur le sol. Une dizaine d’hommes m’entoure. Ils sont simplement vêtu d’une serviette nouée autour de la taille, cachant difficilement leurs parties génitales. Mes yeux s’habituant à la clarté ambiante, je commence à reconnaitre des visages : Suarez, Brown, Wilson, McCalloey… tous ces mecs étaient censés rentrer aux Etats-Unis, que font-ils encore ici ?
Je bredouille une phrase, la voix encore abimée par l’assaut buccal du colonel la veille : « Où est-ce qu’on est ? »« En enfer » me répond Brown avec un rictus. Suarez enchaîne « le médecin Sullivan choisit des mecs bien gaulés dans la base, et vérifie dans ses dossiers les contrôles MST… ensuite, il les emmène ici pour devenir les esclaves du colonel »« Qu..quoi ? », je ne parviens pas à réaliser« Il y avait déjà des soupçons sur les tendances douteuses de Davis, même à Fort Benning, mais là c’est du grand délire »« Un malade »« Une bête »« Un tortionnaire »« Ce mec s’injecte de la testo c’est pas possible »Tous craquent et je me rends compte de l’ampleur du bourbier dans lequel je me retrouve. En les écoutant toujours, j’observe la pièce adjacente, séparée par une lourde grille en fonte : des bouteilles de lubrifiants sont rangées méthodiquement, des godes de toutes tailles, des cordes, des liens de toutes sortes, c’est un véritable arsenal de baise. Le colonel utilise tous ces gars comme simples trous à baiser.
Mais je n’ai pas le temps de finir mon analyse que le médecin Sulivan entre dans la pièce. Tous les mecs se taisent, je lis rapidement la crainte sur leur visage. Sullivan sort son pistolet automatique et nous pointe : « Suarez, Benico… c’est votre tour. »A ces mots il ouvre la grille et je comprends alors que les deux fantassins vont passer un sale moment.
Toujours en les pointant de son arme, le médecin les emmène dans une des pièces adjacentes dont le grand mur de marbre m’empêche de voir le contenu.
Je demande assez naïvement : « Que va-t-il leur arriver ? »Un silence pesant s’installe, un hispano penche alors son regard sur moi : « Tu as bien énervé le colonel hier, il va se défouler sur eux pour passer sa frustration… »Ma gorge se noue à l’idée de la douleur que vont endurer ces deux hommes par ma faute.
C’est alors que passe devant la grille le colonel, entièrement nu, son membre déjà raide comme un piquet, un filet de precum coulant le long de la hampe. Il nous regarde d’un air narquois, sans rien dire, sans marquer d’arrêt, puis entre dans l’autre pièce sans fermer la porte.
Ce moment deviendra dans ma mémoire le plus douloureux à me remémorer : pendant une heure nous entendîmes les cris des deux jeunes militaires sous les coups de bite du colonel et du médecin, jusqu’à ce que le médecin nous les ramène dans la cellule, l’anus dilaté à l’extrême, du sperme recouvrant leur corps, les yeux à moitié fermés.
Jonathan BRANSON (22 ans / 1,75m / 80kg / pénis en érection de 15x12)Le colonel DAVIS (46 ans /1,98m / 104kg / pénis en érection de 25x16)Le médecin en chef SULLIVAN (34 ans / 1,78m / 72kg / ?)
Episode 3 :
J’émerge très lentement de mon sommeil, les yeux encore troublés de l’épreuve de la veille, l’anus endolori, des courbatures dans le dos et les jambes. Mes oreilles bourdonnent quelques minutes jusqu’à ce que je me réveille complètement. Je suis dans une grande pièce carrelé, fenêtres grillagées, matelas sur le sol. Une dizaine d’hommes m’entoure. Ils sont simplement vêtu d’une serviette nouée autour de la taille, cachant difficilement leurs parties génitales. Mes yeux s’habituant à la clarté ambiante, je commence à reconnaitre des visages : Suarez, Brown, Wilson, McCalloey… tous ces mecs étaient censés rentrer aux Etats-Unis, que font-ils encore ici ?
Je bredouille une phrase, la voix encore abimée par l’assaut buccal du colonel la veille : « Où est-ce qu’on est ? »« En enfer » me répond Brown avec un rictus. Suarez enchaîne « le médecin Sullivan choisit des mecs bien gaulés dans la base, et vérifie dans ses dossiers les contrôles MST… ensuite, il les emmène ici pour devenir les esclaves du colonel »« Qu..quoi ? », je ne parviens pas à réaliser« Il y avait déjà des soupçons sur les tendances douteuses de Davis, même à Fort Benning, mais là c’est du grand délire »« Un malade »« Une bête »« Un tortionnaire »« Ce mec s’injecte de la testo c’est pas possible »Tous craquent et je me rends compte de l’ampleur du bourbier dans lequel je me retrouve. En les écoutant toujours, j’observe la pièce adjacente, séparée par une lourde grille en fonte : des bouteilles de lubrifiants sont rangées méthodiquement, des godes de toutes tailles, des cordes, des liens de toutes sortes, c’est un véritable arsenal de baise. Le colonel utilise tous ces gars comme simples trous à baiser.
Mais je n’ai pas le temps de finir mon analyse que le médecin Sulivan entre dans la pièce. Tous les mecs se taisent, je lis rapidement la crainte sur leur visage. Sullivan sort son pistolet automatique et nous pointe : « Suarez, Benico… c’est votre tour. »A ces mots il ouvre la grille et je comprends alors que les deux fantassins vont passer un sale moment.
Toujours en les pointant de son arme, le médecin les emmène dans une des pièces adjacentes dont le grand mur de marbre m’empêche de voir le contenu.
Je demande assez naïvement : « Que va-t-il leur arriver ? »Un silence pesant s’installe, un hispano penche alors son regard sur moi : « Tu as bien énervé le colonel hier, il va se défouler sur eux pour passer sa frustration… »Ma gorge se noue à l’idée de la douleur que vont endurer ces deux hommes par ma faute.
C’est alors que passe devant la grille le colonel, entièrement nu, son membre déjà raide comme un piquet, un filet de precum coulant le long de la hampe. Il nous regarde d’un air narquois, sans rien dire, sans marquer d’arrêt, puis entre dans l’autre pièce sans fermer la porte.
Ce moment deviendra dans ma mémoire le plus douloureux à me remémorer : pendant une heure nous entendîmes les cris des deux jeunes militaires sous les coups de bite du colonel et du médecin, jusqu’à ce que le médecin nous les ramène dans la cellule, l’anus dilaté à l’extrême, du sperme recouvrant leur corps, les yeux à moitié fermés.
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