Le Voyage De Marina (Suite et Fin...)
Récit érotique écrit par Olivia lena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Voyage De Marina (Suite et Fin...)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- (violence)
Le Voyage De Marina (suite et fin...)
En route vers l'inconnu…
Sans chercher à comprendre ce qui venait de se passer, je sortis du dédale de caves puis de l'immeuble, rentrai tant bien que mal à notre appartement… où je m'arrêtai un instant devant la porte…
Curieusement, contrairement à la première fois où j'avais eu l'impression de sortir tout droit d'un épisode de la quatrième dimension, je n'étais pas du tout paniquée, bien au contraire, je me sentais bien, calme et tranquille, sereine et heureuse, simplement vivante, vivante d'avoir senti battre mon coeur pour la première fois… Alors que la douleur de mon sein se ravivait et me faisait monter les larmes aux yeux, je crus soudain comprendre pourquoi Fazhil m'avait dit "il faut que je te laisse une marque…qui te fasse réfléchir"
Réfléchir pour accepter, accepter ce que j'étais devenue, accepter cette douleur, m'accepter enfin. Et cette fois, pas question de se résoudre à l'oubli comme la dernière fois…
J'enfonçai la clé et entrai, accompagnée de ce parfum de liberté qui nous suit quelquefois.
Immobile sur le seuil du salon, je regardai Tom assis dans notre canapé (écoutant un morceau de Mark Van Hoen comme quelques fois il le faisait vers 3h du matin, plongé seul dans de profondes pensées), et sentis que c'était le moment de lui parler, de ne plus lui mentir…
"Coucou ça va" me dit-il en se retournant.
Alors que j'avançais vers mon Tom, évitant la croisée de son regard, il ajouta d'un air soucieux :
"Tu pleures ??…c'est Maya"
"C'est pas à cause de Maya que je pleurs, mais pour ce que je m'apprête à te "...
Les échanges qui suivirent, tandis que je lui racontais toute l'histoire, alternèrent entre : incrédulité, stupéfaction, consternation, dégout, colère, reproches, rejet… et j'en passe…
Il fallut même que je soulève mon T-shirt pour le faire enfin chavirer et accepter cette nouvelle réalité…
Ne tenant pas en place, nous nous étions souvent déplacés pendant la conversation, et nous nous trouvions à présent dans la cuisine l'un en face de l'autre, quand il me dit :
"Putain mais qui es-tu ???… J'ai l'impression d'un cauchemar…qu'est-ce que tu cherches ???…"
"… Je ne sais pas exactement ce que je veux du futur, mais je sais très bien en revanche ce que je n'accepterai plus du passé… et le "nous tel qu'il est aujourd'hui" fait clairement partie du passé"
En prononçant ces mots, je vis jaillir une lueur au fond de ses yeux que je n'avais jamais vue; ils passèrent de leur bleu aux reflets turquoises à un sombre gris métallique. Il se figea, ses traits se durcirent, sa bouche se crispa en un rictus d'enfant diabolique auquel on refuse ce qu'il veut… ET…
"CLAAAC"
Sa main claqua brusquement mon visage avec une force virulente qui me rappela soudain (comme un flash) son fameux coup droit croisé du tennis - qui m'avait tant impressionnée les premières fois où je l'avais vu jouer. Je fus déséquilibrée et manquai de tomber en arrière… Et je le vis rester là sans bouger, peut-être plus surpris que moi encore de ce qu'il venait d'oser faire… Juste une ou deux secondes après, il redevint lui même, se précipitant vers moi en s'excusant…
Cela mit fin à ces échanges cauchemardesques pour la soirée.
Après ça, je restai un long moment dans la salle de bain, beaucoup moins sereine que tout à l'heure. La lueur que j'avais entraperçue dans le regard de Tom il y a un instant à peine me laissait songeuse. Me retrouvant nue devant la glace, je fermai les yeux et imaginai en mimant l'action que Tom ou Fazhil passait sa main dans mon dos, puis la glissait sous mon bras pour finir par caresser du bout des doigts mon sein meurtri qu'il pinça alors par surprise et fortement…
"Aiiiiiiiiiiiilllll"
J'eus à peine le temps de me mordre les lèvres pour ne pas hurler ma douleur qui fit monter des larmes… Mais cette petite expérience ne fut pas inutile, car tandis que j'allais me coucher, le petit flash que j'avais vu me laissa plein d'espoir…
Les jours suivants se passèrent dans un climat d'extrême tension. Ne sachant ni l'un ni l'autre où tout cela allait nous mener, nous nous contentions de nous épier, nous évitant l'un l'autre en attendant "la suite des carnages"...
De mon coté, devant faire face à un éventuel choix entre mon Tom et Fazhil, je fis pendant la semaine quelques recherches sur le net afin de mieux cerner les enjeux de mes nouvelles pratiques sexuelles que je pensais reconnaitre sous l'appellation de SM.
J'appris notamment que c'est une pratique très codifiée, comme un art de vivre, un équilibre à trouver entre le dominant et le soumis et que les couples qui le pratiquaient en harmonie étaient parmi les plus solides (quand les extrêmes se rencontrent !!!! ).
J'appris également que les convenances entre le maître et l'esclave permettaient le choix d'un mot clé (sorte de signal), qui interrompt immédiatement la pratique en cours, plaçant ainsi une limite de part et d'autre.
Cela ne m'avança pas cependant dans ma décision, qui ne tarda d'ailleurs pas d'arriver et d'une manière complètement inattendue. C'était tout juste une semaine après l'explosion, et nous étions à table avec Tom, partageant plus une routine bien encrée que notre repas, quand la sonnerie de mon portable retentit…
Vue l'heure inhabituelle de l'appel (21h00) et le peu de rapports sociaux que nous entretenions, l'étonnement fut de mise, et nous eûmes Tom et moi le même petit mouvement de tête intrigué en direction de mon téléphone… Un peu anxieuse je répondis avec ma douce voix habituelle…
"…Allo ?"
"C'EST MOI…JE PASSE TE CHERCHER DANS 10 MINUTES…"
Ma respiration se bloqua pendant un certain temps, et seuls mes poumons réamorçant par réflexe mon organisme privé d'air se remirent en marche, débloquant une immense inspiration… J'entendis à peine ce que Tom dit alors sur un ton inquisiteur :
"C'est lui!?"
Complètement incapable de lui répondre, j'acquiesçai simplement d'un vague hochement de tête…
"Et qu'est-ce qu'y veut? "
Je baissais la tête toujours sous le choc…
"He ben dis-moi, y voulait quoi???…"
Sentant enfin quelques forces me revenir je lui dis :
"Moi je crois…"
"QUOI?? mais de quoi tu parles??"
"Il vient me chercher Tom"
"Putain mais Mon coeur ?!…Ma petite fleur sucrée?!…MARINA??? Tu vas pas me quitter comme ça??"
"Je ne te quitte pas Tom, je m'évade, il le faut, je dois savoir qui je suis en réalité…"
"J'y crois pas…tu…tu…peux pas…nous faire ça…??"
"On se l'est fait tout seul…sans jamais vraiment rien y comprendre"
"Mais tu vas aller où??…et tes affaires??
"Laisse tomber, tout cela n'a plus aucune importance maintenant… je pars c'est tout…"
"Non, non, non…je…"
C'est à ce moment que la sonnette retentit comme un déchirement qui venait fendre l'air qui se raréfiait de plus en plus.
"N'y va pas bébé…s'il te plait"
"Laisse-moi partir Tom…"
Tandis que je me retournais pour fuir un passé, et plonger vers mon futur (où déjà quelques agréables picotements étaient venus saluer le bas de mon ventre), j'eus pourtant secrètement la pensée que la lueur que j'avais entraperçue tantôt dans l'oeil de mon Tom allait ressurgir là, maintenant, et qu'il allait m'attraper le bras, pour me jeter loin derrière ; que d'un revers de main, il balancerait Fazhil en bas des escaliers…
Mon rythme cardiaque s'accéléra encore tandis que j'ouvrais la porte, mais rien ne se passa derrière moi, et l'image apaisante de Fazhil percuta cette pensée et la chassa d'un coup…
Je refermai, et sans me retourner, partis pour une nouvelle route…
Une belle voiture (genre Audi au moteur tournant) attendait juste en bas de notre entrée d'immeuble. Mon Fazhil prit le volant et me dit de sa voix douce :
"Installe-toi derrière tu seras bien mieux, tu dois être fatiguée. C'était vraiment trop long cette semaine sans toi..."
J'étais aux anges, il avait pensé à moi, je lui avais manqué (beaucoup), et même il s'inquiétait pour moi, en plus il venait de m'enlever…
Alors que je regardais devant, ce fut très étrange, mais j'eus vraiment la bizarre impression, que ma vie ne commençait que depuis une minute à peine (comme si d'un coup j'étais passé de l'enfance à l'âge adulte), et ce fut vraiment génial de se sentir aussi libre. Je n'avais rien et cela me suffisait.
"Il" me suffisait. Grâce à lui, je pouvais enfin me situer dans ce qui n'était jusqu'alors qu'une immensité vide et sans fond. Je voulais juste le rendre heureux. Il devenait d'ailleurs de plus en plus évident que ma recherche du plaisir passait d'abord par le sien, et que nos jeux de douleurs en étaient la clé de voûte. C'est donc plein d'entrain, mais aussi de confiance que je m'envolais avec mon Fazhil en plongeant dans la nuit sur ce chemin inconnu…
Je ne sais combien de temps dura le trajet, mais dès que la voiture s'immobilisa, je reconnus le quartier glauque où nous étions venus. Peu m'en importait, toute la merde de ce monde ne pouvait submerger mon état de grâce présent.
Il me prit délicatement la main pour me guider le long de ces ruelles sombres, et dans ces dédales de caves dans lesquels j'eus été incapable de retrouver mon chemin. Alors qu'il ouvrait la lourde porte en fer de notre nid d'amour unique en son genre, il me dit :
"Tu sais, j'ai préféré venir ici un moment, c'est plus simple et chez moi, y'a ma famille et on ne serait pas tranquille pour faire câlin, ça te dérange pas?"
Il avait envie d'un câlin avant de me présenter à sa famille (c'était choux) .
"Non, tu as bien fait…et pour tout te dire (je lui chuchotai en me serrant tout contre lui), j'ai très très envie de toi"
Dès qu'il alluma, je remarquai tout de suite les différences, et d'abord les odeurs d'urine qui étaient bien plus marquées (le matelas trempé de droite laissait penser que l'on s'en était servi comme d'un urinoir depuis plusieurs jours), mais il flottait également ce que je pris pour des senteurs de quelques coïts récents. Enfin, il se dégageait une dernière odeur nauséabonde , à proximité du deuxième matelas sur la gauche : du vomi encore liquide lançait sa puanteur dans l'air. Je remarquai également un poste stéréo sur ce qui servait vaguement de table, emplie de mégots...
Heureusement, l'arrivée dans le fond de la cave laissait derrière nous toute cette crasse, pour présenter le troisième matelas (légèrement taché seulement) et l'espace le plus clean depuis l'entrée.
Il ne faisait toujours pas chaud, mais sentant la proximité d'une étreinte, mon corps s'était peu à peu réchauffé depuis que nous avions quitté la voiture.
C'était le troisième contact que nous avions, et tandis que je le regardais se déshabiller de l'autre coté de notre couche improvisée, je me sentis très attirée par cet homme encore inconnu et pourtant si ……………. et je m'en voulais vraiment de l'avoir trouvé moche, gros , sale, car là, nu devant moi, il y avait autre chose que sa sueur qui ressortait de lui, un je ne sais quoi de monstrueux, de monstrueux mais de libre… et cela m'hypnotisait et m'excitait complètement. J'avais très envie de le goûter à nouveau, mais surtout de le sentir entrer en moi (seul véritable sens de l'unité). C'était même devenu une obsession depuis la semaine passée, et je pris peur comme le jour où j'avais perdu ma virginité.
Mais je me laissai aller tandis qu'il prit les choses en mains. Il m'allongea sur le dos et vint m'écraser de son poids, me privant de tout mouvement excepté celui de mes bras qui lui caressaient les cheveux, le cou, et son dos velu. J'étais bien et le sentais progresser dans son érection qui flirtait maintenant avec les bords trempés de ma petite chatte en chaleur de lui. Et quel pied, que cette impression de sentir le moindre de ses poils entrer en contact avec ma peau pour me lancer un frisson à chacun d'eux.
Mais soudain je sens son très large gland commencer progressivement sa pénétration et quel feeling pour moi, emplie enfin par mon nouvel homme…C'était le pied intégral… que je saluai par de longs soupirs de plaisir.
Il me fit l'amour doucement et tendrement pendant quelques minutes puis je le sentis se cabrer, signe de sa libération prochaine que j'attendais impatiemment… Et effectivement je ne fus pas déçue, l'abondance et l'épaisseur de son sperme, remplissait maintenant mon col de l'utérus (et secrètement, j'espérais même pouvoir tomber enceinte de lui).
Il s'étala à coté et alluma une cigarette que l'on partagea avec délice tout en discutant…
(un petit bonheur ou je ne mis connais pas).
"Tu sais Marina, depuis le premier regard que tu m'as lancé, je me suis dit que…" Il s'arrêta.
"oui, quoi??"
"Que je te voulais pour moi tout seul et que ce serait pas facile avec toute la merde que tu avais dans la tête"
"oui, je dois dire que quand j'y repense, j'ai vraiment du mal de croire que c'est bien moi qui suis là"
Alors qu'il me prend dans le creux de son épaule, les émanations de son corps m'enivrent complètement, et j'aime vraiment… Puis il enchaine en me pinçant gentiment la hanche.
"Si, si j'te confirme c'est bien toi, bébé"
"hey oui, c'est drôle l'effet qu'on a l'un sur l'autre…c'est vraiment puissant…"
"un peu trop parfois, non… l'autre fois je t'ai pas fait trop mal j'espère??"
" non t'inquiète pas c'était délicieusement douloureux…hihihihi"
"Ok, c'est bon à savoir… hahahah"
"Par contre, puisqu'on en parle, j'ai lu des trucs sur la pratique du SM, et je me
disais que peut-être on pourrait trouver un mot clé juste au cas où, il y a quelques règles que j'ai trouvé paAAAAHHHHHH……BOUM.
En une fraction de seconde, comme si la foudre venait de me frapper il me dit d'une voix venue d'ailleurs :
"AAAAHHHH MAIS OU TU TE CROIS SALE PUTE…EN VACANCES DANS UN CLUB SADOMASO POUR PETITS BOURGES EN MANQUE DE SENSATIONS FORTES ?"
Alors qu'il m'attrape par les cheveux, je n'ai pas le temps de prendre ses bras pour limiter la douleur qui m'arrache la tête et il me tire sur 2 ou 3 mètres pour me jeter au milieu de la pièce. Je hurle de douleur "AAAIIIIIILLLLLLEEEE"
Et lui enchaine…
"OU VOIS-TU DES CODES ICI…"
"OU VOIS-TU DES REGLES ICI…"
"OU VOIS-TU DES LOIS ICI…"
"HEIN QUE VOIS-TU D'AUTRE QUE LA MERDE DE CE MONDE …ET TU EN FAIS PARTIE…"
"TU M'AS MIS EN COLERE MA PETITE SALOPE ET JE VAIS TE LE FAIRE PAYER CHER…"
"CLAAAC" et il me gifle violemment tandis qu'il m'enjambe et prend son portable...
Alors que je traîne au milieu de la pièce, je deviens dingue d'excitation, je retrouve mon Fazhil, ce monstre caché qui me terrifie autant qu'il m'attire. Cette rage qu'il dégage me stupéfie, j'ai l'impression qu'il pourrait me tuer et ça dépasse toutes les formes d'excitation que j'ai connue jusqu'ici, je m'en tords de douleur et sens carrément une giclée de mouille incontrôlée. J'ai déjà pris mon pied tout à l'heure, mais là c'est bien plus fort.
Je l'entends parler au téléphone :
"J'arrive à rien avec elle, dit au grand qu'il rapplique…et faites vite…"
Je me suis machinalement recroquevillée et glissée sous la table, ce qui l'énerve encore plus…
"SORS DE LA SALE GARCE…JE VEUX PAS TE FAIRE DE MAL MAIS QUE DU BIEN…"
J'obéis et reviens au milieu de la pièce où d'une main il m'attrape de nouveau par les cheveux, me redresse, me plaque contre le mur glacé derrière nous (encore que le froid est le cadet de mes soucis), et prend ma gorge avec son autre main pour l'enserrer complètement. Je peux respirer car la pression n'écrase pas encore mon larynx. Il approche et me dit avant de sortir sa grosse langue baveuse.
"Suce-moi la langue, comme si c'était une bite" … et je m'exécute avec délice en remarquant qu'il bande de nouveau, et plus fort que tout à l'heure. Pour lui faciliter l'approche, j'écarte bien mes jambes, dont l'une passe derrière lui pour l'attirer, ce qui a l'air de lui plaire, car il retire sa langue et me dit :
"Tu m'excites quand tu as peur ma belle, je vais te baiser encore une fois là, et après j'ai appelé deux types à qui tu devras obéir comme si c'était moi, sauf qu'il n'ont pas le droit de baiser ta chatte, son intérieur m'appartient" …A ces paroles je fondais de bonheur (et surtout de mouille).
Il n'eut aucun mal pour me pénétrer, et commença à me baiser violemment me frottant le dos contre le mur râpeux, ce qui vue la douleur occasionnée devrait m'offrir quelques belles contusions… et je pensais "Si ce n'est pas du SM, je ne sais pas ce que c'est mais j'adore cette forme de domination absolue, je la veux, je ferai tout "
Et tandis qu'il redoublait de violence, je crus décoller du sol de légèreté tant l'orgasme fut fort et violent… je pensai alors "…Huuuummm que c'est bon" puis plus rien, le trou noir………………………………………………………
A peine extirpée du paradis perdu, que mes yeux tombent sur deux types louches, dont l'un à l'accent fort, très grand, mince et sombre de peau a vraiment l'air sadique, l'autre blond, de taille normale, à l'air beaucoup plus doux. Un peu inquiète, je tourne la tête, cherchant sans doute à voir la présence que je sens sur la droite. Oui… mon Fazhil est là, assis avec une mine satisfaite, et une érection pleine de promesse, et immédiatement, toute forme d'inquiétude disparait, sa présence me suffit, je n'ai plus peur de rien… Le blondinet s'approche et me dit d'une voix agréable :
"Ca va la puce, prends ton temps pour émerger, je vais m'occuper de toi…"
Fazhil me dit :
"N'aie pas peur ma belle, seul ton plaisir compte, je leur fais cadeau de toi pendant une heure, mais ne t'inquiète pas, je garde pour moi ta petite chatte"
"Ben pourquoi hein ??" dit le grand type.
"He ben moi je pense que la petite chatte, elle est en chaleur et qu'il veut l'engrosser lui même" lui répondit blondinet.
Bah d'façon moi c'est sa bouche qui me plait"
Ne fais pas attention, il a l'air méchant comme ça, mais y ferait pas de mal à une mouche. Viens un peu là me fit le blondinet en tendant ses bras vers moi.
Rassurée, je lui tends les miens et il m'aide à me relever en me dirigeant vers le premier matelas. Il dit à l'autre en passant :
"T'as d'jà pisser dessus ou pas ?"
"Ouais en entrant"
Et il me mit à quatre pattes dessus, me prit les cheveux et me plongea la tête dans le matelas trempé et aux odeurs d'ammoniaque intenables… Mais contre toute attente, dès que mon visage entra en contact avec le tissu mouillé, une forte excitation me vint et j'eus de nouveau les neurones en ébullition et le corps en transe… et de nouveau, j'en voulais plus.
Le type ne tarda pas à sortir sa queue plutôt normale de taille et la présenta directement vers mon anus, très rarement habitué à ce genre de dilatation. Mais il n'eut pas une seconde pour s'y faire que le type poussa de toute ses forces pour forcer la délicate entrée, m'arrachant un nouveau hurlement… "AAAIIIIIIIIILLLLE" accompagné aussi d'un nouvel orgasme primaire.
Alors que je commençais à douter du gentil blondinet. Il prit sa ceinture fine en cuir et tandis qu'il m'enculait de toutes ses forces, il fit s'abattre sur mon corps offert une pluie de coups tous plus féroces et jouissifs les uns que les autres… et là, à cet instant, embarquée dans cette danse sadique, je n'étais plus capable de savoir si mon cri saluait la douleur ou le plaisir.
… Je chavirais de nouveau quand je sentis le foutre du blondinet craché au fond de mes entrailles. Et tandis qu'il se retirait, il redoubla de violence sur ces frappes déchainées par mes cris et les siens qui se faisaient merveilleusement écho.
TIENS CLAC AAAHH TIENS CLAC AAAAHHH PRENDS CA CLAC …"
"AAILLLE…AILLE…AAAIIIILLLLEE…"
Ce vicieux alla même jusqu'à me retourner pour me claquer aussi férocement le ventre, les seins et ma petite chatte que je lui offrais sans aucune résistance… et c'était bien là le problème, non seulement j'aimais ça, mais j'en redemandais encore et encore… et en profitai pour jeter un oeil sur Fazhil, dont je pus constater que le spectacle que je lui offrais était totalement à son goût.
Je ne sais jusqu'où il serait allé, si le grand type ne lui avait pas arraché sa ceinture et balancé par terre en lui gueulant dessus…
"STOP CONNARD, laisse moi s'en un peu"
Le grand me laissa quelques minutes pour reprendre mon souffle, puis me tira d'un coup sec pour me relever. J'avais un peu de mal à garder l'équilibre, car je ne sentais plus mon corps.
Une fois arrivée au milieu de la pièce, il regarda le matelas plein de vomi, me jeta le visage au milieu et le retira deux ou trois secondes après en rigolant puis il recommença plusieurs fois. J'entendis même le blondinet me dire :
"Si t'as faim te gênes surtout pas pour nous"
Une fois son jeu fini, il me redirigea vers le fond de la pièce et me dit d'ouvrir la bouche en grand. J'obéis avec une certaine curiosité de ce qu'il allait bien pouvoir y mettre.
Il retira son pantalon et je vis apparaitre un très long sexe à demi tendu, je pense qu'il devait faire entre 25 et 30 cm et assez large par-dessus le marché.
Je compris qu'il voulait que je le suce, et ne m'en fis pas prier car sa grosse et longue queue m'excitait terriblement.
Evidement, vue sa taille, et alors que je faisais de mon mieux, je ne pouvais pas aller plus loin que la moitié, et même si cela suffit pour le faire bander fort, je sentis qu'il n'était pas satisfait de ma pipe. Tranquillement, il me prit les cheveux encore pleins de vomi, me les tira en arrière pour incliner ma tête dans le même sens, et plaça tout aussi tranquillement une jambe au-dessus comme pour m'enjamber. Il appuya sa jambe en hauteur sur le mur, pour se retrouver avec son énorme sexe bien à la verticale de ma bouche qu'il saisit ensuite de ses deux mains. Il commença à descendre son pilon qui entra facilement jusqu'à la moitié, mais la surprise est qu'il ne s'arrêta pas et qu'il s'enfonça inexorablement au fond de ma gorge ainsi offerte. J'eus évidement envie de régurgiter lorsqu'il frappa ma glotte, mais rien à faire il me tenait fermement et mes possibilités de mouvements réflexes étaient nulles, excepté celui de l'avaler entièrement.
Je dois dire que ce début n'avait rien d'excitant pour moi, et j'attendais, j'attendais qu'il se passe quelque chose. Et alors qu'il continuait de descendre, et que je commençais à chercher quelques rares filets d'air par les narines, je sentis mon nez cogner son bas ventre (ce qui vue la taille de son engin me paraissait impossible il y a 2 minutes à peine) et je senti son sexe râper toute ma gorge, qui lui servait maintenant de vagin… Je sentis bien quelques picotements en bas de mon ventre qui saluaient la nouveauté, mais rien de comparable à l'orgasme des coups de ceinture… Quand soudain, une fois bien plongé au fond de ma gorge, le Salop me pinça le nez, la sensation était exquise, car mon esprit était conscient. En quelque sorte, cette petite mort était appréciable. Mes yeux grands ouverts voyaient très distinctement le regard fou du grand type et j'imaginais parfaitement le pied qu'il devait prendre…
…Et c'est à ce moment précis, que j'eus l'impression de recevoir 2OOOO volt au travers le corps…Hummmmm…je ne pouvais pas appeler ça un orgasme, c'était différent…
Hummmm…Mais alors HUMMMmmmmm…
Puis d'un coup sec, il retira son manche de ma bouche et ses doigts de mon nez, et une géante INSSSSSSSSSSSSPIRATION me ramena à la vie, et je régurgitai une grande quantité de salive en même temps que l'air repassait dans mes poumons par de grandes inspirations. Il me regarda dans les yeux, comme pour me tester, me laissa quelques secondes de récupération et me dit :
"aller encore…c'est bien"
Il m'incita à retrouver la même position, et replongea son sexe au fond de ma gorge, mais cette fois directement, et avec des va et vient plus rapides et plus violents. Puis il repris son petit manège, me privant de nouveau d'oxygène pour me faire jouir. Il recommença l'opération une troisième fois, et finit par lâcher son sperme au fond de ma gorge (sans que je puisse en apprécier la saveur avant de le re-vomir immédiatement après qu'il se soit retiré).
Il me laissa tomber à moitié consciente et rejoignit son compère. Tout deux me regardèrent avec un petit sourire vicieux que j'appréciai… bien que le seul qui m'intéressait vraiment était celui non moins évocateur de Fazhil.
Quelques instants plus tard, alors que ma respiration était redevenue normale, le blondinet s'approcha et me dit :
Alors ma petite ça va…tu récupères ?…on n'y est pas allé trop fort ??"
"Non NON c'était parfait, juste parfait…Merci"
"Le plaisir était partagé tu sais !?" et il enchaîna :
"Dis, tu ne vas pas gaspiller un si bon nectar, tu vas nous faire le plaisir de nettoyer tout ça"
Sans réfléchir, je me penchai vers la petite flaque blanchâtre qui s'étalait à mes pieds, posai mes lèvres ouvertes à même le sol et aspirai en trois fois la totalité de cette délicieuse marre…
"Voilà, c'est bien, t'es une bonne petite ménagère…" ironisa mon généreux bourreau.
"Est-que ça va ? Pas trop de douleur ?"
"c'était très bien comme ça… !!"
"Comme tu voudras… "
...
Je réalisais que je n'avais aucune idée de ce qui m'attendais dans l'avenir.
L'avenir est incertain pour tout le monde, mais il l'était un peu plus pour moi.
EPILOGUE :
Humm...!!!! le truc avec la douleur, c'est que c'est le soulagement qui est jouissif et pas l'inverse…on ne se fait pas du mal pour le plaisir mais c'est parce que le soulagement est délicieux qu'on redemande la douleur.
Et quand vous comprenez vraiment ça, comme je l'ai compris un jour, et bien vous êtes dans la merde, car, allez trouver une limite au bonheur…
Oh il y eut bien d'autres jours et bien d'autres nuits aussi orgasmiques que celle-ci et bien plus encore!!!
Je vécus deux ans avec Fazhil, qui me fit rencontrer sa famille et ses amis. Parfois, quand je n'étais pas "sage", nous descendions dans notre petit nid secret pour un moment de paradis perdu. A ces occasions, Fazhil me présenta encore cinq autres types qui vinrent nous y rendre visite et je peux vous dire que chacun arrivait avec un vice pire que le précédant (mais ceci est une autre histoire…).
Mais malgré tous les plaisirs, et tout l'amour que j'avais trouvé là, je n'ai jamais pu esquisser l'ombre du bonheur avec Fazhil et les autres. Non, il m'en fallait plus, toujours plus, TOUJOURS PLUS…
Un soir où je déambulais dans les rues de ma ville, je me sentis attirée par un étrange souffle puissant venu du fleuve avoisinant…
Tout tranquillement, je m'approchai du rebord et contemplai la force du torrent noir en action et je me dis qu'aucun homme n'ayant eu le courage d'aller au bout avec moi, "le fleuve lui me calmerait jusqu'à ce que je ne puisse plus jamais, jamais respirer"…
Je m'assis sur le rebord et pensai une dernière fois : Quand le plaisir de ne plus avoir mal est plus fort que la douleur elle-même, alors respirer est la dernière chose que je dois m'empêcher de faire…… Absorbée par l'eau noire que je m'apprêtais à rejoindre, je ne pouvais plus penser à rien. Seul me revenait encore en mémoire l'instant où tout avait basculé, cette fameuse nuit où descendant les escaliers avec Fazhil j'avais quitté pour toujours la maison familiale devant les cris de désespoir de mes parents ……………………………………
"Hum..hum..excusez-moi mademoiselle, je ne voudrais pas vous déranger, mais l'eau me semble un peu froide pour un bain de minuit, et je n'ai pas de rechange…"
Contre toute attente, cette douce voix me fit reprendre un souffle d'air et tandis que je me retournais intriguée, je dis mécaniquement :
"J'ai…plein de problèmes…et je suis une mauvaise personne…je ne n'existe plus…"
Au moment même où la découverte de ce bel inconnu aux reflets turquoises au fond des yeux refit battre mon cœur...
"Je vous comprends très bien, mais savez-vous seulement Qu'il Est Mauvais Qu'Une Chose En Devienne Deux…"
"Je…non…"
"He bien si vous descendiez un peu, on pourrait aller boire un café et parler de ça…? non ?"
Alors qu'il me tendit une main, que je sentis chaude et forte, pour m'aider à descendre, je lui dis :
"C'est quoi ce truc qu'est mauvais qu'il en devienne deux?"
"AH ça c'est un truc de Samourai, je vous avoue que j'ai pas encore bien tout pigé, mais on a toute l'éternité pour ça…"
Et il enchaîna :
"Au fait, je m'appelle Tom, enchanté…petite fleur sucrée"
" Je m'appelle Marina"
"Tu as quel âge ?"
"J'ai 20 ans"
FIN...
PS :
Très chers lecteurs, auteurs, et à toute l'équipe d'HDS…
C'est avec beaucoup de sympathie que nous vous écrivons ces quelques lignes afin de vous remercier de votre "fidélité" (toute relative), de vos encouragements, et de vos témoignages sincères et toujours très intéressants. Nous avons trouvé avec le site HDS une façon de partager avec vous des moments de vie qui, à l'exception de "Ne
pas se faire prendre" qui est une fiction de A à Z, sont tous inspirés de nos expériences réciproques. Nos récits ont maintenant rejoints le cours de l'Histoire avec "Le Trou noir" (le 24 janvier 2014), et vous savez bien que dans la vie, les "aventures" qui valent la peine d'être racontées ne sont pas monnaie courante. C'est pourquoi, il vous faudra vous armer de patience jusqu'à ce que le cours mystérieux des sommets du sexe nous envoie quelque matière à vous distraire (ou à vous "toucher".
Bien sûr, nous restons en contact avec notre site préféré
(HDS), et nous nous ferons un plaisir de poursuivre nos échanges autour des récits.
Affectueusement vôtre…
Olivia et Léna
PPS : Pour ma petite langue de vipère…Tu me manque…(
Le Voyage De Marina (suite et fin...)
En route vers l'inconnu…
Sans chercher à comprendre ce qui venait de se passer, je sortis du dédale de caves puis de l'immeuble, rentrai tant bien que mal à notre appartement… où je m'arrêtai un instant devant la porte…
Curieusement, contrairement à la première fois où j'avais eu l'impression de sortir tout droit d'un épisode de la quatrième dimension, je n'étais pas du tout paniquée, bien au contraire, je me sentais bien, calme et tranquille, sereine et heureuse, simplement vivante, vivante d'avoir senti battre mon coeur pour la première fois… Alors que la douleur de mon sein se ravivait et me faisait monter les larmes aux yeux, je crus soudain comprendre pourquoi Fazhil m'avait dit "il faut que je te laisse une marque…qui te fasse réfléchir"
Réfléchir pour accepter, accepter ce que j'étais devenue, accepter cette douleur, m'accepter enfin. Et cette fois, pas question de se résoudre à l'oubli comme la dernière fois…
J'enfonçai la clé et entrai, accompagnée de ce parfum de liberté qui nous suit quelquefois.
Immobile sur le seuil du salon, je regardai Tom assis dans notre canapé (écoutant un morceau de Mark Van Hoen comme quelques fois il le faisait vers 3h du matin, plongé seul dans de profondes pensées), et sentis que c'était le moment de lui parler, de ne plus lui mentir…
"Coucou ça va" me dit-il en se retournant.
Alors que j'avançais vers mon Tom, évitant la croisée de son regard, il ajouta d'un air soucieux :
"Tu pleures ??…c'est Maya"
"C'est pas à cause de Maya que je pleurs, mais pour ce que je m'apprête à te "...
Les échanges qui suivirent, tandis que je lui racontais toute l'histoire, alternèrent entre : incrédulité, stupéfaction, consternation, dégout, colère, reproches, rejet… et j'en passe…
Il fallut même que je soulève mon T-shirt pour le faire enfin chavirer et accepter cette nouvelle réalité…
Ne tenant pas en place, nous nous étions souvent déplacés pendant la conversation, et nous nous trouvions à présent dans la cuisine l'un en face de l'autre, quand il me dit :
"Putain mais qui es-tu ???… J'ai l'impression d'un cauchemar…qu'est-ce que tu cherches ???…"
"… Je ne sais pas exactement ce que je veux du futur, mais je sais très bien en revanche ce que je n'accepterai plus du passé… et le "nous tel qu'il est aujourd'hui" fait clairement partie du passé"
En prononçant ces mots, je vis jaillir une lueur au fond de ses yeux que je n'avais jamais vue; ils passèrent de leur bleu aux reflets turquoises à un sombre gris métallique. Il se figea, ses traits se durcirent, sa bouche se crispa en un rictus d'enfant diabolique auquel on refuse ce qu'il veut… ET…
"CLAAAC"
Sa main claqua brusquement mon visage avec une force virulente qui me rappela soudain (comme un flash) son fameux coup droit croisé du tennis - qui m'avait tant impressionnée les premières fois où je l'avais vu jouer. Je fus déséquilibrée et manquai de tomber en arrière… Et je le vis rester là sans bouger, peut-être plus surpris que moi encore de ce qu'il venait d'oser faire… Juste une ou deux secondes après, il redevint lui même, se précipitant vers moi en s'excusant…
Cela mit fin à ces échanges cauchemardesques pour la soirée.
Après ça, je restai un long moment dans la salle de bain, beaucoup moins sereine que tout à l'heure. La lueur que j'avais entraperçue dans le regard de Tom il y a un instant à peine me laissait songeuse. Me retrouvant nue devant la glace, je fermai les yeux et imaginai en mimant l'action que Tom ou Fazhil passait sa main dans mon dos, puis la glissait sous mon bras pour finir par caresser du bout des doigts mon sein meurtri qu'il pinça alors par surprise et fortement…
"Aiiiiiiiiiiiilllll"
J'eus à peine le temps de me mordre les lèvres pour ne pas hurler ma douleur qui fit monter des larmes… Mais cette petite expérience ne fut pas inutile, car tandis que j'allais me coucher, le petit flash que j'avais vu me laissa plein d'espoir…
Les jours suivants se passèrent dans un climat d'extrême tension. Ne sachant ni l'un ni l'autre où tout cela allait nous mener, nous nous contentions de nous épier, nous évitant l'un l'autre en attendant "la suite des carnages"...
De mon coté, devant faire face à un éventuel choix entre mon Tom et Fazhil, je fis pendant la semaine quelques recherches sur le net afin de mieux cerner les enjeux de mes nouvelles pratiques sexuelles que je pensais reconnaitre sous l'appellation de SM.
J'appris notamment que c'est une pratique très codifiée, comme un art de vivre, un équilibre à trouver entre le dominant et le soumis et que les couples qui le pratiquaient en harmonie étaient parmi les plus solides (quand les extrêmes se rencontrent !!!! ).
J'appris également que les convenances entre le maître et l'esclave permettaient le choix d'un mot clé (sorte de signal), qui interrompt immédiatement la pratique en cours, plaçant ainsi une limite de part et d'autre.
Cela ne m'avança pas cependant dans ma décision, qui ne tarda d'ailleurs pas d'arriver et d'une manière complètement inattendue. C'était tout juste une semaine après l'explosion, et nous étions à table avec Tom, partageant plus une routine bien encrée que notre repas, quand la sonnerie de mon portable retentit…
Vue l'heure inhabituelle de l'appel (21h00) et le peu de rapports sociaux que nous entretenions, l'étonnement fut de mise, et nous eûmes Tom et moi le même petit mouvement de tête intrigué en direction de mon téléphone… Un peu anxieuse je répondis avec ma douce voix habituelle…
"…Allo ?"
"C'EST MOI…JE PASSE TE CHERCHER DANS 10 MINUTES…"
Ma respiration se bloqua pendant un certain temps, et seuls mes poumons réamorçant par réflexe mon organisme privé d'air se remirent en marche, débloquant une immense inspiration… J'entendis à peine ce que Tom dit alors sur un ton inquisiteur :
"C'est lui!?"
Complètement incapable de lui répondre, j'acquiesçai simplement d'un vague hochement de tête…
"Et qu'est-ce qu'y veut? "
Je baissais la tête toujours sous le choc…
"He ben dis-moi, y voulait quoi???…"
Sentant enfin quelques forces me revenir je lui dis :
"Moi je crois…"
"QUOI?? mais de quoi tu parles??"
"Il vient me chercher Tom"
"Putain mais Mon coeur ?!…Ma petite fleur sucrée?!…MARINA??? Tu vas pas me quitter comme ça??"
"Je ne te quitte pas Tom, je m'évade, il le faut, je dois savoir qui je suis en réalité…"
"J'y crois pas…tu…tu…peux pas…nous faire ça…??"
"On se l'est fait tout seul…sans jamais vraiment rien y comprendre"
"Mais tu vas aller où??…et tes affaires??
"Laisse tomber, tout cela n'a plus aucune importance maintenant… je pars c'est tout…"
"Non, non, non…je…"
C'est à ce moment que la sonnette retentit comme un déchirement qui venait fendre l'air qui se raréfiait de plus en plus.
"N'y va pas bébé…s'il te plait"
"Laisse-moi partir Tom…"
Tandis que je me retournais pour fuir un passé, et plonger vers mon futur (où déjà quelques agréables picotements étaient venus saluer le bas de mon ventre), j'eus pourtant secrètement la pensée que la lueur que j'avais entraperçue tantôt dans l'oeil de mon Tom allait ressurgir là, maintenant, et qu'il allait m'attraper le bras, pour me jeter loin derrière ; que d'un revers de main, il balancerait Fazhil en bas des escaliers…
Mon rythme cardiaque s'accéléra encore tandis que j'ouvrais la porte, mais rien ne se passa derrière moi, et l'image apaisante de Fazhil percuta cette pensée et la chassa d'un coup…
Je refermai, et sans me retourner, partis pour une nouvelle route…
Une belle voiture (genre Audi au moteur tournant) attendait juste en bas de notre entrée d'immeuble. Mon Fazhil prit le volant et me dit de sa voix douce :
"Installe-toi derrière tu seras bien mieux, tu dois être fatiguée. C'était vraiment trop long cette semaine sans toi..."
J'étais aux anges, il avait pensé à moi, je lui avais manqué (beaucoup), et même il s'inquiétait pour moi, en plus il venait de m'enlever…
Alors que je regardais devant, ce fut très étrange, mais j'eus vraiment la bizarre impression, que ma vie ne commençait que depuis une minute à peine (comme si d'un coup j'étais passé de l'enfance à l'âge adulte), et ce fut vraiment génial de se sentir aussi libre. Je n'avais rien et cela me suffisait.
"Il" me suffisait. Grâce à lui, je pouvais enfin me situer dans ce qui n'était jusqu'alors qu'une immensité vide et sans fond. Je voulais juste le rendre heureux. Il devenait d'ailleurs de plus en plus évident que ma recherche du plaisir passait d'abord par le sien, et que nos jeux de douleurs en étaient la clé de voûte. C'est donc plein d'entrain, mais aussi de confiance que je m'envolais avec mon Fazhil en plongeant dans la nuit sur ce chemin inconnu…
Je ne sais combien de temps dura le trajet, mais dès que la voiture s'immobilisa, je reconnus le quartier glauque où nous étions venus. Peu m'en importait, toute la merde de ce monde ne pouvait submerger mon état de grâce présent.
Il me prit délicatement la main pour me guider le long de ces ruelles sombres, et dans ces dédales de caves dans lesquels j'eus été incapable de retrouver mon chemin. Alors qu'il ouvrait la lourde porte en fer de notre nid d'amour unique en son genre, il me dit :
"Tu sais, j'ai préféré venir ici un moment, c'est plus simple et chez moi, y'a ma famille et on ne serait pas tranquille pour faire câlin, ça te dérange pas?"
Il avait envie d'un câlin avant de me présenter à sa famille (c'était choux) .
"Non, tu as bien fait…et pour tout te dire (je lui chuchotai en me serrant tout contre lui), j'ai très très envie de toi"
Dès qu'il alluma, je remarquai tout de suite les différences, et d'abord les odeurs d'urine qui étaient bien plus marquées (le matelas trempé de droite laissait penser que l'on s'en était servi comme d'un urinoir depuis plusieurs jours), mais il flottait également ce que je pris pour des senteurs de quelques coïts récents. Enfin, il se dégageait une dernière odeur nauséabonde , à proximité du deuxième matelas sur la gauche : du vomi encore liquide lançait sa puanteur dans l'air. Je remarquai également un poste stéréo sur ce qui servait vaguement de table, emplie de mégots...
Heureusement, l'arrivée dans le fond de la cave laissait derrière nous toute cette crasse, pour présenter le troisième matelas (légèrement taché seulement) et l'espace le plus clean depuis l'entrée.
Il ne faisait toujours pas chaud, mais sentant la proximité d'une étreinte, mon corps s'était peu à peu réchauffé depuis que nous avions quitté la voiture.
C'était le troisième contact que nous avions, et tandis que je le regardais se déshabiller de l'autre coté de notre couche improvisée, je me sentis très attirée par cet homme encore inconnu et pourtant si ……………. et je m'en voulais vraiment de l'avoir trouvé moche, gros , sale, car là, nu devant moi, il y avait autre chose que sa sueur qui ressortait de lui, un je ne sais quoi de monstrueux, de monstrueux mais de libre… et cela m'hypnotisait et m'excitait complètement. J'avais très envie de le goûter à nouveau, mais surtout de le sentir entrer en moi (seul véritable sens de l'unité). C'était même devenu une obsession depuis la semaine passée, et je pris peur comme le jour où j'avais perdu ma virginité.
Mais je me laissai aller tandis qu'il prit les choses en mains. Il m'allongea sur le dos et vint m'écraser de son poids, me privant de tout mouvement excepté celui de mes bras qui lui caressaient les cheveux, le cou, et son dos velu. J'étais bien et le sentais progresser dans son érection qui flirtait maintenant avec les bords trempés de ma petite chatte en chaleur de lui. Et quel pied, que cette impression de sentir le moindre de ses poils entrer en contact avec ma peau pour me lancer un frisson à chacun d'eux.
Mais soudain je sens son très large gland commencer progressivement sa pénétration et quel feeling pour moi, emplie enfin par mon nouvel homme…C'était le pied intégral… que je saluai par de longs soupirs de plaisir.
Il me fit l'amour doucement et tendrement pendant quelques minutes puis je le sentis se cabrer, signe de sa libération prochaine que j'attendais impatiemment… Et effectivement je ne fus pas déçue, l'abondance et l'épaisseur de son sperme, remplissait maintenant mon col de l'utérus (et secrètement, j'espérais même pouvoir tomber enceinte de lui).
Il s'étala à coté et alluma une cigarette que l'on partagea avec délice tout en discutant…
(un petit bonheur ou je ne mis connais pas).
"Tu sais Marina, depuis le premier regard que tu m'as lancé, je me suis dit que…" Il s'arrêta.
"oui, quoi??"
"Que je te voulais pour moi tout seul et que ce serait pas facile avec toute la merde que tu avais dans la tête"
"oui, je dois dire que quand j'y repense, j'ai vraiment du mal de croire que c'est bien moi qui suis là"
Alors qu'il me prend dans le creux de son épaule, les émanations de son corps m'enivrent complètement, et j'aime vraiment… Puis il enchaine en me pinçant gentiment la hanche.
"Si, si j'te confirme c'est bien toi, bébé"
"hey oui, c'est drôle l'effet qu'on a l'un sur l'autre…c'est vraiment puissant…"
"un peu trop parfois, non… l'autre fois je t'ai pas fait trop mal j'espère??"
" non t'inquiète pas c'était délicieusement douloureux…hihihihi"
"Ok, c'est bon à savoir… hahahah"
"Par contre, puisqu'on en parle, j'ai lu des trucs sur la pratique du SM, et je me
disais que peut-être on pourrait trouver un mot clé juste au cas où, il y a quelques règles que j'ai trouvé paAAAAHHHHHH……BOUM.
En une fraction de seconde, comme si la foudre venait de me frapper il me dit d'une voix venue d'ailleurs :
"AAAAHHHH MAIS OU TU TE CROIS SALE PUTE…EN VACANCES DANS UN CLUB SADOMASO POUR PETITS BOURGES EN MANQUE DE SENSATIONS FORTES ?"
Alors qu'il m'attrape par les cheveux, je n'ai pas le temps de prendre ses bras pour limiter la douleur qui m'arrache la tête et il me tire sur 2 ou 3 mètres pour me jeter au milieu de la pièce. Je hurle de douleur "AAAIIIIIILLLLLLEEEE"
Et lui enchaine…
"OU VOIS-TU DES CODES ICI…"
"OU VOIS-TU DES REGLES ICI…"
"OU VOIS-TU DES LOIS ICI…"
"HEIN QUE VOIS-TU D'AUTRE QUE LA MERDE DE CE MONDE …ET TU EN FAIS PARTIE…"
"TU M'AS MIS EN COLERE MA PETITE SALOPE ET JE VAIS TE LE FAIRE PAYER CHER…"
"CLAAAC" et il me gifle violemment tandis qu'il m'enjambe et prend son portable...
Alors que je traîne au milieu de la pièce, je deviens dingue d'excitation, je retrouve mon Fazhil, ce monstre caché qui me terrifie autant qu'il m'attire. Cette rage qu'il dégage me stupéfie, j'ai l'impression qu'il pourrait me tuer et ça dépasse toutes les formes d'excitation que j'ai connue jusqu'ici, je m'en tords de douleur et sens carrément une giclée de mouille incontrôlée. J'ai déjà pris mon pied tout à l'heure, mais là c'est bien plus fort.
Je l'entends parler au téléphone :
"J'arrive à rien avec elle, dit au grand qu'il rapplique…et faites vite…"
Je me suis machinalement recroquevillée et glissée sous la table, ce qui l'énerve encore plus…
"SORS DE LA SALE GARCE…JE VEUX PAS TE FAIRE DE MAL MAIS QUE DU BIEN…"
J'obéis et reviens au milieu de la pièce où d'une main il m'attrape de nouveau par les cheveux, me redresse, me plaque contre le mur glacé derrière nous (encore que le froid est le cadet de mes soucis), et prend ma gorge avec son autre main pour l'enserrer complètement. Je peux respirer car la pression n'écrase pas encore mon larynx. Il approche et me dit avant de sortir sa grosse langue baveuse.
"Suce-moi la langue, comme si c'était une bite" … et je m'exécute avec délice en remarquant qu'il bande de nouveau, et plus fort que tout à l'heure. Pour lui faciliter l'approche, j'écarte bien mes jambes, dont l'une passe derrière lui pour l'attirer, ce qui a l'air de lui plaire, car il retire sa langue et me dit :
"Tu m'excites quand tu as peur ma belle, je vais te baiser encore une fois là, et après j'ai appelé deux types à qui tu devras obéir comme si c'était moi, sauf qu'il n'ont pas le droit de baiser ta chatte, son intérieur m'appartient" …A ces paroles je fondais de bonheur (et surtout de mouille).
Il n'eut aucun mal pour me pénétrer, et commença à me baiser violemment me frottant le dos contre le mur râpeux, ce qui vue la douleur occasionnée devrait m'offrir quelques belles contusions… et je pensais "Si ce n'est pas du SM, je ne sais pas ce que c'est mais j'adore cette forme de domination absolue, je la veux, je ferai tout "
Et tandis qu'il redoublait de violence, je crus décoller du sol de légèreté tant l'orgasme fut fort et violent… je pensai alors "…Huuuummm que c'est bon" puis plus rien, le trou noir………………………………………………………
A peine extirpée du paradis perdu, que mes yeux tombent sur deux types louches, dont l'un à l'accent fort, très grand, mince et sombre de peau a vraiment l'air sadique, l'autre blond, de taille normale, à l'air beaucoup plus doux. Un peu inquiète, je tourne la tête, cherchant sans doute à voir la présence que je sens sur la droite. Oui… mon Fazhil est là, assis avec une mine satisfaite, et une érection pleine de promesse, et immédiatement, toute forme d'inquiétude disparait, sa présence me suffit, je n'ai plus peur de rien… Le blondinet s'approche et me dit d'une voix agréable :
"Ca va la puce, prends ton temps pour émerger, je vais m'occuper de toi…"
Fazhil me dit :
"N'aie pas peur ma belle, seul ton plaisir compte, je leur fais cadeau de toi pendant une heure, mais ne t'inquiète pas, je garde pour moi ta petite chatte"
"Ben pourquoi hein ??" dit le grand type.
"He ben moi je pense que la petite chatte, elle est en chaleur et qu'il veut l'engrosser lui même" lui répondit blondinet.
Bah d'façon moi c'est sa bouche qui me plait"
Ne fais pas attention, il a l'air méchant comme ça, mais y ferait pas de mal à une mouche. Viens un peu là me fit le blondinet en tendant ses bras vers moi.
Rassurée, je lui tends les miens et il m'aide à me relever en me dirigeant vers le premier matelas. Il dit à l'autre en passant :
"T'as d'jà pisser dessus ou pas ?"
"Ouais en entrant"
Et il me mit à quatre pattes dessus, me prit les cheveux et me plongea la tête dans le matelas trempé et aux odeurs d'ammoniaque intenables… Mais contre toute attente, dès que mon visage entra en contact avec le tissu mouillé, une forte excitation me vint et j'eus de nouveau les neurones en ébullition et le corps en transe… et de nouveau, j'en voulais plus.
Le type ne tarda pas à sortir sa queue plutôt normale de taille et la présenta directement vers mon anus, très rarement habitué à ce genre de dilatation. Mais il n'eut pas une seconde pour s'y faire que le type poussa de toute ses forces pour forcer la délicate entrée, m'arrachant un nouveau hurlement… "AAAIIIIIIIIILLLLE" accompagné aussi d'un nouvel orgasme primaire.
Alors que je commençais à douter du gentil blondinet. Il prit sa ceinture fine en cuir et tandis qu'il m'enculait de toutes ses forces, il fit s'abattre sur mon corps offert une pluie de coups tous plus féroces et jouissifs les uns que les autres… et là, à cet instant, embarquée dans cette danse sadique, je n'étais plus capable de savoir si mon cri saluait la douleur ou le plaisir.
… Je chavirais de nouveau quand je sentis le foutre du blondinet craché au fond de mes entrailles. Et tandis qu'il se retirait, il redoubla de violence sur ces frappes déchainées par mes cris et les siens qui se faisaient merveilleusement écho.
TIENS CLAC AAAHH TIENS CLAC AAAAHHH PRENDS CA CLAC …"
"AAILLLE…AILLE…AAAIIIILLLLEE…"
Ce vicieux alla même jusqu'à me retourner pour me claquer aussi férocement le ventre, les seins et ma petite chatte que je lui offrais sans aucune résistance… et c'était bien là le problème, non seulement j'aimais ça, mais j'en redemandais encore et encore… et en profitai pour jeter un oeil sur Fazhil, dont je pus constater que le spectacle que je lui offrais était totalement à son goût.
Je ne sais jusqu'où il serait allé, si le grand type ne lui avait pas arraché sa ceinture et balancé par terre en lui gueulant dessus…
"STOP CONNARD, laisse moi s'en un peu"
Le grand me laissa quelques minutes pour reprendre mon souffle, puis me tira d'un coup sec pour me relever. J'avais un peu de mal à garder l'équilibre, car je ne sentais plus mon corps.
Une fois arrivée au milieu de la pièce, il regarda le matelas plein de vomi, me jeta le visage au milieu et le retira deux ou trois secondes après en rigolant puis il recommença plusieurs fois. J'entendis même le blondinet me dire :
"Si t'as faim te gênes surtout pas pour nous"
Une fois son jeu fini, il me redirigea vers le fond de la pièce et me dit d'ouvrir la bouche en grand. J'obéis avec une certaine curiosité de ce qu'il allait bien pouvoir y mettre.
Il retira son pantalon et je vis apparaitre un très long sexe à demi tendu, je pense qu'il devait faire entre 25 et 30 cm et assez large par-dessus le marché.
Je compris qu'il voulait que je le suce, et ne m'en fis pas prier car sa grosse et longue queue m'excitait terriblement.
Evidement, vue sa taille, et alors que je faisais de mon mieux, je ne pouvais pas aller plus loin que la moitié, et même si cela suffit pour le faire bander fort, je sentis qu'il n'était pas satisfait de ma pipe. Tranquillement, il me prit les cheveux encore pleins de vomi, me les tira en arrière pour incliner ma tête dans le même sens, et plaça tout aussi tranquillement une jambe au-dessus comme pour m'enjamber. Il appuya sa jambe en hauteur sur le mur, pour se retrouver avec son énorme sexe bien à la verticale de ma bouche qu'il saisit ensuite de ses deux mains. Il commença à descendre son pilon qui entra facilement jusqu'à la moitié, mais la surprise est qu'il ne s'arrêta pas et qu'il s'enfonça inexorablement au fond de ma gorge ainsi offerte. J'eus évidement envie de régurgiter lorsqu'il frappa ma glotte, mais rien à faire il me tenait fermement et mes possibilités de mouvements réflexes étaient nulles, excepté celui de l'avaler entièrement.
Je dois dire que ce début n'avait rien d'excitant pour moi, et j'attendais, j'attendais qu'il se passe quelque chose. Et alors qu'il continuait de descendre, et que je commençais à chercher quelques rares filets d'air par les narines, je sentis mon nez cogner son bas ventre (ce qui vue la taille de son engin me paraissait impossible il y a 2 minutes à peine) et je senti son sexe râper toute ma gorge, qui lui servait maintenant de vagin… Je sentis bien quelques picotements en bas de mon ventre qui saluaient la nouveauté, mais rien de comparable à l'orgasme des coups de ceinture… Quand soudain, une fois bien plongé au fond de ma gorge, le Salop me pinça le nez, la sensation était exquise, car mon esprit était conscient. En quelque sorte, cette petite mort était appréciable. Mes yeux grands ouverts voyaient très distinctement le regard fou du grand type et j'imaginais parfaitement le pied qu'il devait prendre…
…Et c'est à ce moment précis, que j'eus l'impression de recevoir 2OOOO volt au travers le corps…Hummmmm…je ne pouvais pas appeler ça un orgasme, c'était différent…
Hummmm…Mais alors HUMMMmmmmm…
Puis d'un coup sec, il retira son manche de ma bouche et ses doigts de mon nez, et une géante INSSSSSSSSSSSSPIRATION me ramena à la vie, et je régurgitai une grande quantité de salive en même temps que l'air repassait dans mes poumons par de grandes inspirations. Il me regarda dans les yeux, comme pour me tester, me laissa quelques secondes de récupération et me dit :
"aller encore…c'est bien"
Il m'incita à retrouver la même position, et replongea son sexe au fond de ma gorge, mais cette fois directement, et avec des va et vient plus rapides et plus violents. Puis il repris son petit manège, me privant de nouveau d'oxygène pour me faire jouir. Il recommença l'opération une troisième fois, et finit par lâcher son sperme au fond de ma gorge (sans que je puisse en apprécier la saveur avant de le re-vomir immédiatement après qu'il se soit retiré).
Il me laissa tomber à moitié consciente et rejoignit son compère. Tout deux me regardèrent avec un petit sourire vicieux que j'appréciai… bien que le seul qui m'intéressait vraiment était celui non moins évocateur de Fazhil.
Quelques instants plus tard, alors que ma respiration était redevenue normale, le blondinet s'approcha et me dit :
Alors ma petite ça va…tu récupères ?…on n'y est pas allé trop fort ??"
"Non NON c'était parfait, juste parfait…Merci"
"Le plaisir était partagé tu sais !?" et il enchaîna :
"Dis, tu ne vas pas gaspiller un si bon nectar, tu vas nous faire le plaisir de nettoyer tout ça"
Sans réfléchir, je me penchai vers la petite flaque blanchâtre qui s'étalait à mes pieds, posai mes lèvres ouvertes à même le sol et aspirai en trois fois la totalité de cette délicieuse marre…
"Voilà, c'est bien, t'es une bonne petite ménagère…" ironisa mon généreux bourreau.
"Est-que ça va ? Pas trop de douleur ?"
"c'était très bien comme ça… !!"
"Comme tu voudras… "
...
Je réalisais que je n'avais aucune idée de ce qui m'attendais dans l'avenir.
L'avenir est incertain pour tout le monde, mais il l'était un peu plus pour moi.
EPILOGUE :
Humm...!!!! le truc avec la douleur, c'est que c'est le soulagement qui est jouissif et pas l'inverse…on ne se fait pas du mal pour le plaisir mais c'est parce que le soulagement est délicieux qu'on redemande la douleur.
Et quand vous comprenez vraiment ça, comme je l'ai compris un jour, et bien vous êtes dans la merde, car, allez trouver une limite au bonheur…
Oh il y eut bien d'autres jours et bien d'autres nuits aussi orgasmiques que celle-ci et bien plus encore!!!
Je vécus deux ans avec Fazhil, qui me fit rencontrer sa famille et ses amis. Parfois, quand je n'étais pas "sage", nous descendions dans notre petit nid secret pour un moment de paradis perdu. A ces occasions, Fazhil me présenta encore cinq autres types qui vinrent nous y rendre visite et je peux vous dire que chacun arrivait avec un vice pire que le précédant (mais ceci est une autre histoire…).
Mais malgré tous les plaisirs, et tout l'amour que j'avais trouvé là, je n'ai jamais pu esquisser l'ombre du bonheur avec Fazhil et les autres. Non, il m'en fallait plus, toujours plus, TOUJOURS PLUS…
Un soir où je déambulais dans les rues de ma ville, je me sentis attirée par un étrange souffle puissant venu du fleuve avoisinant…
Tout tranquillement, je m'approchai du rebord et contemplai la force du torrent noir en action et je me dis qu'aucun homme n'ayant eu le courage d'aller au bout avec moi, "le fleuve lui me calmerait jusqu'à ce que je ne puisse plus jamais, jamais respirer"…
Je m'assis sur le rebord et pensai une dernière fois : Quand le plaisir de ne plus avoir mal est plus fort que la douleur elle-même, alors respirer est la dernière chose que je dois m'empêcher de faire…… Absorbée par l'eau noire que je m'apprêtais à rejoindre, je ne pouvais plus penser à rien. Seul me revenait encore en mémoire l'instant où tout avait basculé, cette fameuse nuit où descendant les escaliers avec Fazhil j'avais quitté pour toujours la maison familiale devant les cris de désespoir de mes parents ……………………………………
"Hum..hum..excusez-moi mademoiselle, je ne voudrais pas vous déranger, mais l'eau me semble un peu froide pour un bain de minuit, et je n'ai pas de rechange…"
Contre toute attente, cette douce voix me fit reprendre un souffle d'air et tandis que je me retournais intriguée, je dis mécaniquement :
"J'ai…plein de problèmes…et je suis une mauvaise personne…je ne n'existe plus…"
Au moment même où la découverte de ce bel inconnu aux reflets turquoises au fond des yeux refit battre mon cœur...
"Je vous comprends très bien, mais savez-vous seulement Qu'il Est Mauvais Qu'Une Chose En Devienne Deux…"
"Je…non…"
"He bien si vous descendiez un peu, on pourrait aller boire un café et parler de ça…? non ?"
Alors qu'il me tendit une main, que je sentis chaude et forte, pour m'aider à descendre, je lui dis :
"C'est quoi ce truc qu'est mauvais qu'il en devienne deux?"
"AH ça c'est un truc de Samourai, je vous avoue que j'ai pas encore bien tout pigé, mais on a toute l'éternité pour ça…"
Et il enchaîna :
"Au fait, je m'appelle Tom, enchanté…petite fleur sucrée"
" Je m'appelle Marina"
"Tu as quel âge ?"
"J'ai 20 ans"
FIN...
PS :
Très chers lecteurs, auteurs, et à toute l'équipe d'HDS…
C'est avec beaucoup de sympathie que nous vous écrivons ces quelques lignes afin de vous remercier de votre "fidélité" (toute relative), de vos encouragements, et de vos témoignages sincères et toujours très intéressants. Nous avons trouvé avec le site HDS une façon de partager avec vous des moments de vie qui, à l'exception de "Ne
pas se faire prendre" qui est une fiction de A à Z, sont tous inspirés de nos expériences réciproques. Nos récits ont maintenant rejoints le cours de l'Histoire avec "Le Trou noir" (le 24 janvier 2014), et vous savez bien que dans la vie, les "aventures" qui valent la peine d'être racontées ne sont pas monnaie courante. C'est pourquoi, il vous faudra vous armer de patience jusqu'à ce que le cours mystérieux des sommets du sexe nous envoie quelque matière à vous distraire (ou à vous "toucher".
Bien sûr, nous restons en contact avec notre site préféré
(HDS), et nous nous ferons un plaisir de poursuivre nos échanges autour des récits.
Affectueusement vôtre…
Olivia et Léna
PPS : Pour ma petite langue de vipère…Tu me manque…(
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
cette histoire est un peu trop tordu pour moi … et j’ai pas compris la fin… j ai lu après coup le deux premiers chapitres et je comprends encore moins la fin …. svp essayez de faire un effort pour rendre compréhensible vos fins ! dernière question: histoire vraie ??
Je viens de relire les 3 chapitres et j’avoue ne toujours pas comprendre la chronologie des faits … elle quitte Tom par ses escaliers et a 30 ans puis elle veut se suicider, Tom la sauve, elle se rappelle de sa fuite pour suivre fatil et elle a 20 ans ?????? Merci d’avoir arrêté d’écrire si vous n’etes pas capable de compter …. Et si c est pour décrire les déchéances d une femme, encore plus un choix raisonné d’avoir stoppé vos écrits
Histoire tout droit sorti d un cerveau ou deux cerveaux aussi malades l un que l autre.Ces auteurs ont dut s échapper d un asile d aliénés
Euh oui le voyage de Marina a un début bizarre et une fin incompréhensible ou alors c est une serie de SF
Pas compris la fin mais y avait il qq chose a comprendre
Si les auteurs peuvent expliquer la fin … elle a 20 ans etne reconnait plus son ex mari tom …..???
Au debut elle a 31 ans, des enfants puis elle s e barre deux ans et ensuite elle a 20 ans ???? J’ai raté qq chose ?
Il y avait matière a une bien meilleur fin, on a l’impression que le seul intérêt de la story c etait de montrer l’avilissement de Marina , sa rédemption aurait mérité qq lignes