Le Voyage De Marina

- Par l'auteur HDS Olivia lena -
Auteur couple.
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Récit libertin : Le Voyage De Marina Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(7.0 / 10)

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Le Voyage De Marina
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Bonsoir, je m'appelle Marina, j'ai 31 ans, je suis avec Tom depuis presque 11 ans et nous sommes mariés depuis 9 ans et cela fait 3ans que nous essayons d'avoir des enfants mais sans succès et sans raison médicale. Je ne sais pas très bien par où commencer mais peut être que si j'en dis un peu plus sur moi vous ne jugerez peut être pas trop vite ce qui va suivre.
Je suis d'une timidité maladive depuis mon enfance où mon éducation s'est faite avec une peur permanente au ventre initiée par mon père qui voyait le mal partout ( sexe=sida= préservatif=copain=alcool=drogue=enceinte etc...) de plus le sacrement du mariage était très important pour lui et ma mère.
Plutôt fine mais pas maigre j'ai toujours été complexée par mon corps que je trouve horrible "seins trop gros, cul plat, petite chatte très poilue,s eul mon visage (excepté le nez) me plaît en moi" donc avec tout ça, inutile de vous dire que lorsque le premier mec qui passait m'a donné confiance en moi je ne l'ai pas lâché et je l'ai encore aujourd'hui, et j'en suis toujours amoureuse dingue, évidement les timides se reconnaîtront mais il est impensable de tromper notre chéri ce dont je suis très fière.
L'histoire qui suit s'est passée il y a 6 mois maintenant alors que je rentrais rejoindre mon chéri par le train Lyon Dijon. je travaillais comme toujours sur mon ordi depuis une demi heure quand j’eus l'impression d'être regardée. Je levais les yeux timidement pour vérifier cette idée et constata qu'en face de moi un homme me fixait avec un drôle de sourire aux coins des lèvres. Je rabaissais très vite mon regard incapable de tenir le sien plus de 2 secondes. Mais en faisant un effort j’essayais de me rappeler de quoi il avait l'air "plutôt très grand, fort , mais plutôt gros et les cheveux assez longs et très noir comme son regard, il était en chemise courte peut être une moustache". Je me remis à travailler mais plus les minutes passaient et plus j'avais l'impression qu'il ne décollait pas son regard de moi; il n'y a pas 36 solution si je voulais en être sûre je devais vérifier. Ma petite voix timide me disait "non reste plongée dans ton bouquin", mais comme par défi je me surpris à lever de nouveau les yeux et aussi rapidement que la première fois à les rabaisser non sans constater qu'il avait le même regard et le même sourire. Et il avait une moustache et une barbe de 3 jours, je lui donnais comme ça plus de 40 ans, un peu comme mon mari mais en plus vieux quand même, plus négligé. Je ne savais plus où me mettre et n'ai pas bougé d' un cil jusqu'à l'arrêt suivant où je vis ses pieds bouger et...
"Excusez moi mademoiselle, je ne voulais pas être impoli mais je ne suis pas d'ici et je voulais juste vous demander un renseignement".
J'étais confuse et sa douce voix à l'accent étranger me décontenança (avec une telle voix, il doit être aussi timide que moi pensais-je alors).
"Non pas de problème je... dites moi?"
"Je dois descendre à cette adresse mais je sais pas si c'est ici".
Il me tendit un papier avec une adresse.
"Non c'est le prochaine arrêt" lui dis je très fière de moi.
"Merci... merci beaucoup"
"De rien".
"Je suis turc et je viens en visite et je parle pas bien ta langue... euh votre langue pardon".
"Non non pas de problème".
"Je peux dire TA ou TU".
"Si on se connaît, oui".
"Et là on se connaît ou pas ?".
"Non on doit se présenter : moi c'est Marina".
"Ah oui, moi c'est Fahzil".
Son coté perdu me toucha et je m'en voulus d'avoir pensé du mal de lui.
"Et toi tu est en vacances ?"
"Non je rentre chez moi" lui dis-je.
"Et tu es pressée de rentrer ?"
"Et bien mon mari m'attend".
"Oh... mariée... pardon je voulais pas être encore impoli".
"Non ça va je t'assure tu n'es pas impoli au contraire".
"Merci au revoir madame".
Il retourna s'asseoir et c'est maintenant lui qui fuyait mon regard. Et tandis que je m'apprêtais à descendre au même arrêt que lui, je vis qu'il tournait les talons pour m'éviter et j'en étais gênée. Je descendis peu après et m'aperçus alors qu'il prenait la mauvaise direction.
"Fahzil..."
Il se retourna.
"Ce n'est pas de ce coté ton adresse mais par là..."
Lui indiquant la bonne direction, je marchais avec lui quelques rues pour lui montrer son adresse.
"C'est très gentil de me montrer mais je veux te remercier car c'est très important dans mon pays et aussi le respect d'une femme mariée".
En marchant, je ne pus m'empêcher de remarquer une très forte odeur qui émanait de lui (en tournant légèrement la tête je vis qu'il transpirait assez fortement).
"Voilà nous arrivons... tu continues cette rue là et c'est à droite... moi je vais par là".
"Oh merci de mille et une fois Marina…laisses moi juste t'offrir un thé turc à menthe... s'il te plaît, pour mon pays sublime… je dois t'offrir quelque chose".
Sa voix si douce était dure à contrarier... je fis mine de regarder l'heure.
"Déjà 16h05 je suis désolée mais mon mari m'attend pour 16h30…".
"Alors c'est parfait au lieu de le boire chaud je le sortirai du frigo c'est aussi bon et ça prendra 10 minutes à peine".
"Je ....."
Je cherchais rapidement une issue mais...
"Je....je dois rentrer".
"Oh aller 5mn pour juste me sentir mieux dans votre pays".
"Je... bon mais juste 5mn alors".
Tandis que je prononçais ces mots je ne pus m'empêcher de repenser à mon père, quand j'étais ado, me mettais en garde sur l'auto stop, l'alcool, les drogues, et bien sûr les viols et les MST comme le sida... et voilà qu'à 31 ans sa fille allait boire un thé chez un inconnu...
Heureusement il me rassura de nouveau de sa douce voix.
"C'est très gentil à toi, tu sais les traditions d'hospitalité son importantes chez moi".
Alors qu'il montait les escaliers devant moi je respirais de nouveau cette forte odeur qui perçait mes narines et me donnait la nausée.
Il frappa mais personne ne répondit... il prit alors une clé simplement sous le paillasson.
"Mon cousin m'a dit qu'il serait absent cette après-midi... mais entres je t'en prie Marina".
Il alla directement chercher le thé au frigo et me servi rapidement un verre.
"En te remerciant pour ta gentillesse Marina".
"Merci mais c'est naturel".
"Ho pas toujours non".
Je bus une gorgée de son thé très fort...
"C'est drôle..."
"Quoi?"
"Eh bien j'avais complètement oublié le goût de la menthe car mon mari est allergique alors j'en ai pas bu depuis des années..."
"J'étais sur que tu étais une épouse parfaite".
Je souris en buvant encore une gorgée.
"Et toi tu n'es pas marié Fahzil ?"
"Non... je n'ai pas encore trouvé d'épouse comme toi".
"Pourtant il n'y a pas de raison... tu est très gentil".
"Ah tu sais chez nous tu te sentirais bien comme femme mariée… tu sais chez nous, une femme mariée ne dois pas supporter le regard d'un autre homme que le sien... et j'ai tout de suite senti que tu étais mariée et fidèle... hein non ?"
"Oui naturellement..."
"Je le savais"…
Le ton de son affirmation fit disparaître d'un coup cette voix si douce qui ne l'avait pas quitté jusqu'ici. Puis il enchaîna.
"Alors pourquoi tu as eu de mauvaises pensées dans le train quand tu m'as regardé la 2° fois ?"
Sa voix s'était métamorphosée, elle était à présent forte et sûr d'elle...
"Non je n'ai pas pensé de mauvaises choses... je suis juste timide c'est t...."
-CLAAAC-…..
Je n'eus pas le temps ni le réflexe d'éviter sa main qui me cingla le visage avec une force qui me fis perdre l'équilibre et tomber par terre complètement sous le choc. C'était la première gifle de ma vie.
Je restai un instant au sol devant ses pieds avec de gros sanglots qui commençaient à couler et la colère me fis bondir d'un coup en hurlant.
"Ca va pas no...."
ET -CLAAAC- la seconde fut plus violente encore et me fis retomber plus loin, mais celle ci fit cesser instantanément les quelques larmes apparues plutôt.
Cette fois je restais à terre et ne releva que la tête et les yeux dans une incompréhension totale. Je cherchais dans son regard une explication qui non seulement ne venait pas, mais en plus je ne trouvais qu'un regard noir, froid et vide de tout remords.


Je passais plusieurs longues secondes avant qu'il ne me tende la main pour m'aider. A peine l'avais-je saisi qu'il tira très fort pour me relever, me tirer vers lui, puis pour me repousser tout aussi violemment contre un buffet qui claqua mon dos.
Il me laissa là à un mètre de lui et me regarda fixement. Bien que je n'osais pas le soutenir et attendis encore de longues secondes...
"Alors... (me dit il)... je veux que tu me dises la vérité et tu pourras partir dans 1mn... d'accord... si tu mens je le saurais..."
Sa voix n'avait plus rien de douce à présent, elle déchirait la pièce.
"D'accord... je vous dirais la vérité..."
"As tu pensé de mauvaises choses sur moi à mon 2° regard dans le train?"
"Oui...oui"
"Je le savais... c'était quoi?"
"J'ai pensé... encore un obsédé..."
"C'est très bien ma chérie. Encore une question et tu peux rentrer retrouver ton mari adoré... ok ?"
"Oui ok"… sentant la fin de mon cauchemar
"Quand tu as reçu la 2° baffe qu'est ce que tu as ressenti exactement... prends bien ton temps et dis moi..."
"Je n'ai pas besoin de réfléchir... j'ai ressenti une grande colère mais pas contre vous.. .mais..."
"Vas y ma belle, continues... contre qui ?..."
"Mais... contre mon mari..."
"Ha oui et pourquoi ça ?"
"Je... je ne sais pas mais je crois... (ma voix se fit presque inaudible alors)... je crois que..."
"Attends ma puce chérie, redis le moi un peu plus fort et tu peux rentrer chez toi"
"Je crois que j'aurais aimé que ce soit lui qui me gifle..."
Aussitôt je rougis très fortement et me mis à regarder le sol...
"Pourquoi tu aurais aimé que ce soit lui ma belle ? Hein ?"
Sans relever la tête je lui répondis.
"Je crois que j'ai aimé ça..."
Et c'est alors qu'un drôle de picotement me parcourut le ventre.
"C'est bien ma beauté tu dis la vérité à présent...je vais te laisser partir.. .mais encore une question tu permets ?"
"Oui..." heureuse du dénouement.
"Tu préfèrerai que ce soit lui là devant toi maintenant ?"
Je connaissais la réponse mais tarda à la dire...
"Je... et bien... je..."
"Tu hésites ?..."
"Non pas du tout mais c'est pas facile... je sais qu'il en serait totalement incapable alors NON je ne préférerais pas qu'il soit là..."
"Et ??..."
"Je préfère que ce soit vous..."
Cette incroyable et inqualifiable aveu me lança une seconde vague de picotements plus forts que les premiers...
"Et moi je suis très content de toi, tu as arrêté de te mentir... je devais te le faire comprendre... tu peux partir tu est libre maintenant" dit il en libérant le passage...
Mais ces mots me percutèrent aussi sûrement que s'il m'avait cogné à point fermé. Je ne voulais pas être libre......
"Attendez je voudrais vous remercier à mon tour comme vous l'avez fait tout à l'heure".
"Ah oui et comment voudrais tu me remercier? Hein ?"
"Demandez ...... deman... demandez moi ce que vous voulez..."
"Écoutes ma jolie chatte... je vais faire comme si j'avais rien entendu et te laisser un chance de retrouver ta vie... ton mariage... ton mari... je ne crois pas que tu sois capable de supporter ça ma puce..."
Je redressais la tête et le lui lançais comme un défi du regard et je su à cet instant que quelque chose pouvait et allait définitivement changer en moi si j'acceptais d'aller plus loin...
Visiblement ce regard avait suffit à le convaincre mais un dernier doute le troublait et il enchaîna...
"D'accord ma toute belle, tu crois que tu est prête mais je te promets que tu ne sais pas où tu mets les pieds sinon tu réfléchirais... alors REFLECHIS "
Je ne trouvais rien d' autre que de me jeter à ces pieds en l'implorant...
"Demandez moi ....CE QUE VOUS VOULEZ..."
"Tout..."
"ABSOLUMENT TOUT CE QUE VOUS VOULEZ..."
"OK je veux bien essayer mais c'est toi qui l'a voulu... relèves toi ma belle..."
Il recula d'un bon mètre et retira son polo qui laissa apparaître un corps entièrement recouvert de poils sombres, sa forte poitrine, son gros ventre tombant, et le tout en sueur libéra la puissante odeur que j'avais déjà senti dans les escaliers... j'étais tétanisée par l'odeur...
"Tu vois ma belle tu me fais suer depuis tout à l'heure...et JE VEUX QUE TU T'APPROCHES ET QUE TU LECHES LA MOINDRE GOUTTE DE SUEUR...VIENS MA BELLE, SOIS A MOI..."
Cette phrase et le ton me firent un tel effet que je sentis de suite mon propre jus couler entre mes cuisses... et sans dire un mot je m'approchais de lui et comme pour m'abandonner complètement .... je pris son bras droit par le poignet, le souleva le plus haut possible et tandis que l'odeur s'intensifiait à mesure de mon approche, je dirigeais maintenant ma bouche à demi ouverte, directement à la source de cette infâme odeur... arrivée à quelques centimètres à peine il m'arrêta d'un coup... et dit :
"Si tu fais ça, tu seras à moi pour toujours ma belle POUR TOUJOURS... réfléchis. C'est ça que tu veux... être mon ESCLAVE ?"
A ce stade aucun mot ne pouvait plus sortir alors pour toute réponse je retirais la main qui m'avait arrêtée… Je me rendis compte de cette soudaine folie qui s'empara de moi, mais le feu du désir qui déchirait mon ventre était trop puissant pour lutter d'avantage, et n'y tenant plus je posais ma langue bien sortie au coeur de son aisselle et me mis à lécher… lécher… laper… je devenais en une seconde complètement dingue de son odeur de vrai mâle animal.

Ce premier contact fut tout simplement divin et je fus instantanément submergée par un puissant et le premier orgasme de toute ma vie… c'est alors que sans plus m’arrêter je me mis à le laper, le lécher sur chaque cm²... et je n'en pouvais plus de jouissance... je mis au moins 20 minutes à lécher chaque parcelle de son torse et de son dos tout aussi poilu et transpirant… je me délectais de lui, de son goût, de sa vraie virilité… et une fois terminé, mon visage entier sentais son odeur et j'aimais ça… j'avais adoré ça… mais il me coupa net ce moment génial… et me dit :
"Bon maintenant casses toi, laisses ton tel sur le meuble à l'entrée, je te ferai signe ma belle salope je suis loin d'en avoir fini avec toi..."

Fin de la 1° partie

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Récit idiot et vulgaire ça n à ni queue ni tête. L auteur est un gros pervers insalubre.



Texte coquin : Le Voyage De Marina
Histoire sexe : Une rose rouge
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