Léa
Récit érotique écrit par JKJ33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Léa
C’était un vendredi soir de fin juillet, il faisait bon sans chaleur excessive. Léa m’attendait à la terrasse d’un café de l’ile Saint-Louis, lisant je ne sais quel roman. Des lunettes de soleil et un verre de Pouilly Fuissé sur la table. Tout respirait le beau, l’harmonie et le chic parisien. Léa en était l’incarnation même. Une belle blonde, fine, mûre, racée, une peau bronzée qui mettait en valeur ses bijoux en or. Elle portait une robe moulante mais élégante, de toute façon tout lui allait à ravir. Elle avait surtout de magnifiques yeux bleus dont il est difficile d’échapper à l’attraction.
J’étais heureux et fier de m’assoir à ses côtés. Je savourais cet instant magique. Le bonheur tient à peu de choses et là, toutes les conditions étaient réunies. Nous sentions le regard des passants et touristes, de ces gras américains qui commandaient une glace Bertillon car cela était prescrit sur leur guide touristique. Jeune couple, beau et élégant, nous devions incarner les amants de Paris, ville de beauté et du libertinage.
Amants, nous ne l’étions pas encore. Mais cette période de séduction et de découverte de l’autre était tout aussi excitante. Ayant accumulé notre dose de vitamine B et épuisé les sujets de conversation anodins, après deux verres de blancs, je me montre plus entreprenant et grivois. J’ai envie de lui prendre la main, caresser son visage d’ange, poser un baiser sur ces lèvres délicates. Femme fantasque, Léa va où le vent la porte. Elle attend mon initiative. Alors quoi de plus romantique que de marcher sur les quais de Seine, cela ne peut se refuser ! Nous voilà donc enfin si proche que nous nous touchons continuellement. Sa taille est si fine que mes doigts pourraient l’encercler. Un corps de jeune fille. Elle est légère comme un papillon, sensible au toucher. Je m’imagine la prendre debout, la portant par ses fesses, elle accrochée à mon cou. Elle m’excite avec son aire espiègle de bourgeoise BCBG.
Trouvant un endroit plus isolé, nous nous embrassons enfin. La tension accumulée se traduit en baisers fougueux. Nos langues se mêlent. De baisers plus tendres se posent dans son cou, s’attardent derrière les oreilles. Je me choute à son parfum. Je la sens succomber, je sens ses frissons, je sens son corps réclamer plus. Alors mes mains se détachent de sa chevelure d’or pour parcourir ce corps si délicat. Elle pourrait être gênée mais au contraire elle prend un réel plaisir à sentir des mains entreprenantes glisser sur son corps. Et ce plaisir est partagé ! Tout en l’embrassant, mes doigts effleurent le dos, du cou jusqu’aux fesses. Là, la pression se fait plus intense et virile, ce sentiment d’être possédé l’excite. Qu’elles sont mignonnes ces fesses, comme sa taille, je peux en prendre possession complètement avec mes deux mains. J’aime ça. Je deviens plus fougueux. Je les malaxe maintenant sans ménagement. Sa tête bascule en arrière, j’en profite pour descendre mes baisers le long de sa gorge, jusqu’au décolleté de la robe. Sans ménagement, je remonte alors une main pour en dégager le fin tissu recouvrant la poitrine. En un tour de main, je dégage le sein droit d’un soutien-gorge en coque noir, artifice trompeur masquant une petite poitrine. Petite mais ferme, le téton pointant fièrement en l’air. Après quelques caresses circulaires, ma langue prend le relais, lapant ce téton rose. Elle gémit. Ses mains à son tour prennent possession de mon corps et rapidement s’arrêtent sur la bosse de mon pantalon qu’elle masse avec douceur. Qu’elle est réactive au plaisir ! Ce corps de rêve est fait pour le plaisir et l’amour.
Hardi, je quitte ces seins pour revenir vers les fesses, première étape avant de caresser les cuisses. Puis, je remonte lentement mes mains, coté intérieur, passant cette fois sous la robe. J’aime cet instant, le toucher d’une peau douce et musclée. Je sens une fébrilité, un frisson plus fort. Elle sait ce qui va se passer et par avance elle en prend du plaisir. Mes caresses sont alors légères. Ce n’est que le bout de mes doigts qui remonte jusqu’à la rencontre avec un morceau de tissu. Je l’effleure, joue avec lui, alternant les mouvements, tirant dessus de sorte que le string rentre dans ses fesses. Les mouvements deviennent plus rapides sur son sexe que seul un petit duvet protège. Je ne vais pas plus loin, ce n’est pas le lieu. D’un coup, elle se cambre et emprisonne ma main entre ses cuisses quelques instants. Elles sont trempées, Léa a eu un orgasme. Elle se détend dans mes bras, nous redevenons tendres, nos bouches se retrouvent.
Toujours passive mais consentante, elle attend la suite, jolie poupée docile. Pas le temps de trouver un hôtel, je veux rester dans cette ivresse. Ça tombe bien, juste à côté se trouve le Taken, un club libertin que je voulais découvrir. Je la prends par la main et l’y amène.
J’étais heureux et fier de m’assoir à ses côtés. Je savourais cet instant magique. Le bonheur tient à peu de choses et là, toutes les conditions étaient réunies. Nous sentions le regard des passants et touristes, de ces gras américains qui commandaient une glace Bertillon car cela était prescrit sur leur guide touristique. Jeune couple, beau et élégant, nous devions incarner les amants de Paris, ville de beauté et du libertinage.
Amants, nous ne l’étions pas encore. Mais cette période de séduction et de découverte de l’autre était tout aussi excitante. Ayant accumulé notre dose de vitamine B et épuisé les sujets de conversation anodins, après deux verres de blancs, je me montre plus entreprenant et grivois. J’ai envie de lui prendre la main, caresser son visage d’ange, poser un baiser sur ces lèvres délicates. Femme fantasque, Léa va où le vent la porte. Elle attend mon initiative. Alors quoi de plus romantique que de marcher sur les quais de Seine, cela ne peut se refuser ! Nous voilà donc enfin si proche que nous nous touchons continuellement. Sa taille est si fine que mes doigts pourraient l’encercler. Un corps de jeune fille. Elle est légère comme un papillon, sensible au toucher. Je m’imagine la prendre debout, la portant par ses fesses, elle accrochée à mon cou. Elle m’excite avec son aire espiègle de bourgeoise BCBG.
Trouvant un endroit plus isolé, nous nous embrassons enfin. La tension accumulée se traduit en baisers fougueux. Nos langues se mêlent. De baisers plus tendres se posent dans son cou, s’attardent derrière les oreilles. Je me choute à son parfum. Je la sens succomber, je sens ses frissons, je sens son corps réclamer plus. Alors mes mains se détachent de sa chevelure d’or pour parcourir ce corps si délicat. Elle pourrait être gênée mais au contraire elle prend un réel plaisir à sentir des mains entreprenantes glisser sur son corps. Et ce plaisir est partagé ! Tout en l’embrassant, mes doigts effleurent le dos, du cou jusqu’aux fesses. Là, la pression se fait plus intense et virile, ce sentiment d’être possédé l’excite. Qu’elles sont mignonnes ces fesses, comme sa taille, je peux en prendre possession complètement avec mes deux mains. J’aime ça. Je deviens plus fougueux. Je les malaxe maintenant sans ménagement. Sa tête bascule en arrière, j’en profite pour descendre mes baisers le long de sa gorge, jusqu’au décolleté de la robe. Sans ménagement, je remonte alors une main pour en dégager le fin tissu recouvrant la poitrine. En un tour de main, je dégage le sein droit d’un soutien-gorge en coque noir, artifice trompeur masquant une petite poitrine. Petite mais ferme, le téton pointant fièrement en l’air. Après quelques caresses circulaires, ma langue prend le relais, lapant ce téton rose. Elle gémit. Ses mains à son tour prennent possession de mon corps et rapidement s’arrêtent sur la bosse de mon pantalon qu’elle masse avec douceur. Qu’elle est réactive au plaisir ! Ce corps de rêve est fait pour le plaisir et l’amour.
Hardi, je quitte ces seins pour revenir vers les fesses, première étape avant de caresser les cuisses. Puis, je remonte lentement mes mains, coté intérieur, passant cette fois sous la robe. J’aime cet instant, le toucher d’une peau douce et musclée. Je sens une fébrilité, un frisson plus fort. Elle sait ce qui va se passer et par avance elle en prend du plaisir. Mes caresses sont alors légères. Ce n’est que le bout de mes doigts qui remonte jusqu’à la rencontre avec un morceau de tissu. Je l’effleure, joue avec lui, alternant les mouvements, tirant dessus de sorte que le string rentre dans ses fesses. Les mouvements deviennent plus rapides sur son sexe que seul un petit duvet protège. Je ne vais pas plus loin, ce n’est pas le lieu. D’un coup, elle se cambre et emprisonne ma main entre ses cuisses quelques instants. Elles sont trempées, Léa a eu un orgasme. Elle se détend dans mes bras, nous redevenons tendres, nos bouches se retrouvent.
Toujours passive mais consentante, elle attend la suite, jolie poupée docile. Pas le temps de trouver un hôtel, je veux rester dans cette ivresse. Ça tombe bien, juste à côté se trouve le Taken, un club libertin que je voulais découvrir. Je la prends par la main et l’y amène.
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