Marseille

- Par l'auteur HDS JKJ33 -
Récit érotique écrit par JKJ33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Marseille Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marseille
La semaine dernière, il m’est arrivé une aventure extraordinaire. Je ne suis pas prêt de d’oublier ces vacances et cela hante déjà mes nuits.

Après une longue journée de route, nous faisions halte à Marseille. Il faisait chaud et lourd. Ma femme est allée directement se coucher mais j’avais besoin de me dégourdir un peu les jambes et de me désaltérer. Au bar de l’hôtel, je commande donc un croquemonsieur et une pression. C’est alors qu’entre un couple qui, près de moi, regarde la carte. De suite je suis subjugué par la jeune femme. Non qu’elle soit d’une beauté divine, elle n’a pas l’allure d’une bimbo mais au contraire elle a le look d’une mère de famille respectable, la bonne quarantaine posée. Mais un détail vestimentaire ne m’échappe pas : elle ne porte pas de soutien-gorge. Tenue par deux fines bretelles, sa robe légère d’été est largement échancrée dans le dos, ne laissant aucun doute sur le sujet. Sur le devant, un cache cœur enserre bien ses seins, limitant leurs mouvements dans les déplacements. Ils doivent être fermes et relativement fournis. Les pointes se dressent et transparaissent sous le tissu, c’est très excitant et j’ai du mal à détacher mon regard de cette vision fantasmagorique. Elle s’en aperçoit et j’en suis extrêmement gêné. Contre tout attente, elle sourit, fière de son effet et un brin provocante elle n’hésite pas à venir près de moi regarder la carte des boissons. Est-ce un jeu, un défi pour elle-même ou pour son mari ? Ils quittent en effet aussitôt le bar et j’imagine qu’ils regagnent prestement leur chambre pour faire quelques galipettes après ce bon échauffement.

Je me morfonds donc seul avec mes pensées du moment, pas très catholiques. Je ne peux que penser à cette femme « ordinaire », sur laquelle certainement personne ne se retourne quand elle est dans la rue mais qui, en ce soir de vacances balnéaires, a décidé de jouer à la femme libérée pour vivre un fantasme. Je suis encore dans mes réflexions quand je la vois revenir, seule. Le barman est retourné à la réception et la salle est vide. Elle me regarde, traverse la salle lentement comme pour un défilé de mannequin et rejoint les toilettes aux fonds de la pièce, non sans se retourner vers moi. Que dois-je faire ? Est-ce un appel ? Entre ma timidité, la peur d’être surpris, celle de la choquer, et mon ardant désir, j’hésite. Pas longtemps, certes. Je laisse tout en plan et je me dirige fébrilement vers les toilettes. Je rentre dans celles des femmes après avoir soigneusement refermé toutes les portes. Nous sommes bien isolés. Elle est face à la glace et me regarde arriver, elle ne laisse rien paraitre comme émotion. Je suis décontenancé, que dois-je faire maintenant ? Comment m’y prendre ?

Je m’avance, nous nous regardons dans la glace, sans échanger un mot. Je n’ose la toucher ni l’embrasser, j’ai peur de rompre le charme de la situation. J’ai pourtant terriblement envie d’elle et je me force à rester calme et serein. Son visage et ses formes sont bien celles d’une femme mûre mais sa tenue et son allure ont un charme fou. N’y tenant plus, je fais glisser les fines bretelles le long des épaules, découvrant ainsi sa poitrine extraordinairement provoquante. Les courbes sont parfaites. Ses seins se dressent fièrement et les tétons pointent vers le haut. Nul besoin de soutien-gorge, à se demander si c’est bien naturel tout cela... Qu’importe, c’est un ravissement pour la vue et j’ai une envie croissante de caresser. Je la retourne face à moi et c’est avec la langue que je commence les caresses. Je fais des mouvements circulaires autour des auréoles puis titille les mamelons, y mettant alors un peu de dents. Elle semble apprécier et met ses mains sur ma tête. Pour plus de confort, je la soulève et la pose sur le rebord du lavabo. Continuant les caresses buccales, je fais glisser ma langue le long de son ventre, insiste sur le nombril. Sa robe repose sur ses hanches. Elle écarte alors les cuisses, comme une invitation à aller plus loin. Sa peau est un peu collante par la sueur du jour et je n’ai pas envie de la lécher comme cela, sans la connaitre et sans une bonne douche avant ! Mes mains entrent alors en action et tout en remontant ma langue de nouveau vers ses seins puis son cou, je fais glisser le bout de mes doigts des mollets jusqu’à l’intérieur des cuisses. Des frisons et des gémissements m’encouragent. Je titille le lobe de l’oreille puis finalement nos bouches se croisent. Mais le baiser est assez bref, elle ne semble pas apprécier cette intimité, je n’insiste pas. Mes mains se frottent désormais à son pubis. Elle mouille de plaisir, je me dis que j’ai bien fais de ne pas mettre mon nez dans cette affaire-là… Elle est très sensible et les mouvements de va-et-vient de mes doigts, de haut en bas, lui procure de vifs gémissements. Je pénètre de temps à autre un doigt dans son vagin, puis de façon permanente avec maintenant deux doigts en accélérant la cadence. Son plaisir augmente, tout en se retenant de crier pour ne pas attirer l’attention. Je la regarde prendre son plaisir et je ne peux m’empêcher de sucer de nouveaux ces seins si parfaits.

Elle serre brusquement ses cuisses, emprisonnant ma main et je la regarde. C’est beau une femme qui jouit. Elle n’a pas pratiquement pas criée, quelle maitrise ! Elle se décontracte et me fait un beau sourire. Je suis assez fier de moi ! Après quelques secondes de repos elle descend du rebord et je me réjouis de la suite. Je bande si fort que j’en ai mal au sexe ! J’ai hâte qu’elle s’occupe de moi mais j’attends qu’elle prenne les choses en mains…
Elle prend son temps, se lave les mains, se rince le visage et, contre toute attente, remet ses bretelles, m’embrasse sur la joue et s’en va ! Pas très fair-play ! Je me retrouve tout penaud, le sexe dans une érection quasi douloureuse, frustré d’en rester là. Ma bourgeoise avec qui je n’ai pas échangé un mot, ne serait-ce que son nom, a bien profité de sa liberté mais sans aller trop loin. J’imagine que c’est son mari qui va bientôt avoir le droit à la belle fellation dont je rêvais. Il ne me reste donc plus qu’à me soulager devant la cuvette, ma main encore gluante de son jus. Je ne tarde pas à jouir en deux temps trois mouvements… finalement j’ai peut-être évité la honte d’une éjaculation trop rapide ! Quelles vacances.

Les avis des lecteurs

Quelle salope, allumer et oublier d'éteindre la lumière...



Texte coquin : Marseille
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