Léa, ma belle-fille 1

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Léa, ma belle-fille 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Léa, ma belle-fille 1
Léa***


« Tu es contente ? Le spectacle t’a plut ? »En cette chaude après midi d’été, je venais de faire l’amour à ma femme et elle venait de partir à la salle de bains se rafraîchir sous la douche. Ma maîtresse avait assisté à la scène, cachée dans le dressing, à travers les lames de la porte à persiennes. C’est à elle que s’adressait ma réplique.
Mais comment en étions-nous arrivés à cette situation irréelle ?
Revenons plusieurs mois en arrière…Le dimanche matin, ma femme a l’habitude d’aller au supermarché. C’est plus calme, sans se presser ni attendre, elle peut faire les achats de la semaine. Elle quitte la maison vers neuf heures pour revenir deux heures plus tard.
J’ai pris l’habitude de rester au lit, au moins une heure après son départ. Je somnole, rêvasse, je suis bien ! La « grass’mat » dans toute sa splendeur !
La porte de la chambre a tendance à ne pas rester fermée. Plusieurs fois, au début je me levais, mais elle se ré-ouvrait ensuite. Maintenant, je la laisse ainsi, d’autant que sa fille traîne au lit, ou du moins dans sa chambre, jusqu’à midi.
Il fait chaud et je suis nu sur le lit. Mes rêveries érotiques me font bander. Je me branle doucement, simplement pour maintenir l’excitation. C’est un moment très agréable que j’aime prolonger.
Un léger bruit attire mon attention. Entrouvrant les yeux, j’aperçois Léa, la fille de ma femme, qui me mate par l’interstice de la porte entrouverte. Je ne sais quelle attitude adopter. Je referme les yeux, ayant oublié mon rêve érotique éveillé. Curieusement, de façon malsaine, cet incident, loin de me faire débander, accentue encore mon érection. Savoir que je suis observé, de plus par ma belle-fille, m’excite ! Au lieu de me retourner de dos à la porte, je reste ainsi sur le dos, exposant ma virilité à son regard de jeune fille.
Elle a tout juste dix sept ans. Les filles d’aujourd’hui sont au fait de ces choses là. Malgré tout, ce n’est pas tout à fait normal comme situation. A travers mes cils je la vois appuyée contre la cloison, l’œil fixé sur mon sexe tendu.
Je fais alors mine de m’éveiller, je m’étire et lorsque j’ouvre les yeux, elle a disparu et j’entends la porte de sa chambre se refermer tout doucement.
Je ne veux pas accorder plus d’importance à cet incident, aussi je décide de me taire. Le reste de la journée et de la semaine, aucune manifestation ne vient troubler la maisonnée.
Le dimanche suivant, même scénario. A peine la voiture de ma femme partie, j’entends la porte de la chambre de Léa qui s’ouvre discrètement. Volontairement je suis tourné de dos à la porte. J’essaye d’écouter, mais aucun bruit de parvient. Est-elle repartie ? Je me tourne alors sur le dos. L’entrebâillement de la porte est vide. Elle a dû se reculer en me voyant me tourner, ou bien elle est partie. Après quelques instants, je vois sa silhouette reprendre place. Je ne bande pas, elle voit donc un tout petit sexe et j’espère que cela la convaincra de repartir.
Malheureusement pour moi, la situation à nouveau m’excite et ma queue se gonfle inéluctablement. Je ne veux pas créer de tension, mais il faut que je réagisse. Que faire pour arrêter cela ? Je ne fais plus semblant d’être endormi. J’ouvre les yeux et tourne doucement ma tête vers la porte. D’une voix que j’espère assurée et calme je murmure :« Tu ne devrais pas rester là. Ce n’est pas un spectacle pour une jeune fille et ce n’est pas correct.
Elle est belle ! Lance-t-elle toujours à moitié cachée derrière la cloison.
Ce n’est pas une raison et puis tu as un copain, il sera très heureux que tu regardes la sienne et… même plus.
Elle n’est pas belle comme la tienne. La sienne est pleine de poils. C’est dégueulasse !
Dis lui de se raser.
Il ne veut pasTu lui as demandé ?
O…Oui ! … Euh… Quand j’ai vu la tienne, j’ai aimé.
Bon. Maintenant c’est assez. Tu ne peux pas continuer comme ça à venir me mater chaque dimanche.
Ah, tu m’as déjà vue ?
Oui. Je cherchais comment te faire comprendre qu’il fallait arrêter. Je ne veux pas me fâcher, ni que tu te fâches, mais il ne faut pas continuer. Ta mère serait très fâchée !
Je ne lui dirai rien.
Ce n’est pas ça le problème. Ça ne se fait pas de regarder son beau-père. En plus je suis vieux.
C’est pas vrai !
Et tu es très jeuneJ’ai bientôt dix huit ans !
Justement !
Mon copain, je m’en fous ! Je veux apprendre à caresser, à… sucer !
Arrête !
Ne dis pas que tu n’aimes pas ça, tu bandes toujours ! »Effectivement, le dialogue qui aurait dû me faire baisser pavillon, a un effet contraire. La petite n’a plus de raison de se cacher elle repousse la porte et est maintenant presque dans la chambre, à moins d’un mètre du lit. Dans une chemise d’homme déboutonnée qui laisse entrevoir son corps juvénile, elle est très belle. La petite fille, puis l’adolescente que j’ai connue un peu enrobée, a fait place à une jeune fille très bien proportionnée.
J’avais pû remarquer sur la plage il y a quelques temps, que sa silhouette avait changé. Son attitude aussi. Elle qui auparavant me parlait peu, n’hésitait plus maintenant à discuter et à venir dans l’eau avec moi. Je n’y avais pas prêté attention jusqu’au jour elle s’était couchée sur sa serviette de plage, ses pieds à quelques centimètres de ma tête. Entre ses jambes écartées, à travers son maillot, je pouvais deviner la forme de son abricot fendu. Elle m’avoua plus tard l'avoir fait exprès pour m’exciter et que cela l'excitait aussi. Je lui expliquais alors qu’une petite tâche humide m’avait alerté, même si cela pouvait être et c’est ce que j’avais conclu cette fois là, l’humidité du maillot après la baignade. J’avais surtout retenu le dessin de ses lèvres intimes sous le tissu.
La petite coquine savait déjà comment exciter les hommes, fusse son beau-père !
Revenons à ce matin là. Elle accepte tout de même de repartir, sans manquer en un bref éclair, d’écarter entièrement sa chemise et me dévoiler son corps nu. La salope ! J’ai été obligé d’aller me branler sous la douche, pour calmer mon érection.
Que ce soit au repas de midi, après la sieste coquine que nous faisions chaque dimanche avec sa mère, ou quand nous nous retrouvions un instant seuls dans la semaine, elle ne manquait jamais, par des sourires en coin, une petite langue sortie ou pire, en croisant et décroisant ses jambes dénudées face à moi, enfoncée dans un fauteuil bas, de laisser plonger mon regard entre ses cuisses. J’avais suffisamment de contrôle et ne manquais jamais sous ses yeux, de faire un geste tendre à sa mère. Ce que je ne savais pas alors, c’est que cela ne faisait que l’exciter encore plus.
Le samedi suivant, nous avions eu une soirée un peu alcoolisée et tardive avec des amis. Le dimanche matin, je n’entends pas ma femme partir faire ses courses. Je dors, j’ai chaud, je fais un rêve érotique semi-éveillé lorsque je sens un contact sur mon sexe. Je me réveille alors complètement et découvre Léa assise au bord du lit, totalement nue, qui me caresse. Je me redresse d’un coup et tente de l'écarter.
« Arrête ! Tu es folle !
J’ai envie de toucher, elle est chaude, elle est douce et dure à la fois ! J’aime !
Mais arrête donc ! Il ne faut pas…Laisse-moi faire ! Apprend-moi plutôt comme bien faire ! Laisse-toi aller ! » J’aurais dû la chasser, mais au contraire je l’encourage perversement.
« Serre un peu plus ta main... Descend la peau sur le gland... Pas trop… Voilà ! Remonte en serrant. Tu peux me caresser les couilles aussi de temps en temps. »Léa suit mes instructions, le regard fixé sur ma bite. Mordant ses lèvres en signe de concentration.
« Tu vas gicler ?
Je ne suis pas ton copain pour partir vite. A mon âge il en faut un peu plus.
Je veux voir ton sperme sortir.
Tu es bien présomptueuse ! Je ne jouis pas sur commande et je ne gicle pas non plus comme un jeune homme ! »Le bruit de la voiture de sa mère revenue pour une fois plus tôt, nous interrompt brutalement. Elle court dans sa chambre, oubliant sa chemise qu’elle avait retirée. Heureusement, alors que je me précipite à la salle d’eau, je trouve son vêtement au pied du lit. Je ramasse la chemise, fonce à sa chambre, dont j’ouvre la porte brutalement, la trouvant assise nue sur son lit. Effrayée de mon entrée fracassante, elle se couvre les seins et le sexe alors qu’elle me les dévoilait il y a quelques instants. Sans un mot, je lui jette le vêtement et me précipite sous la douche.
Dans la semaine, je trouve un moment pour lui dire d’arrêter, que je ne veux plus qu’elle vienne. Loin de la décourager, elle ne loupe aucune occasion de se montrer à moi. Sachant sa mère un peu éloignée, ou déjà couchée alors que je monte au lit après elle, Léa ouvre sa porte et me dévoile son corps. Pire même ! Au cours d'un repas, alors que ma femme va chercher un plat à la cuisine, elle se tourne vers moi et ouvre en grand ses jambes me montrant son entrejambes poilu, dépourvu de culotte.
Le dimanche d’après, je me lève en même temps que ma femme et lui propose de l’accompagner faire les courses. Elle en est très heureuse. J’évite ainsi la visite de Léa. Mais, au final, mal m’en a pris !
Le lundi matin, sa mère va la voir dans sa chambre, car Léa ne s’est pas levée à l’heure habituelle pour aller en cours. Léa lui indique qu’elle a mal au ventre et lui demande d’envoyer un mail au lycée pour prévenir de son absence.
Sa mère à peine partie au travail, Léa débarque dans ma chambre. Elle n’a même pas pris la peine de mettre un vêtement et nue, se dresse au pied du lit. Ce jour là, j’avais posé une RTT. La maligne avait enregistré l’information et monté une combine pour se retrouver seule avec moi.
« Tu croyais pouvoir m’éviter, c’est ça ? C’est pour ça que tu es allé avec maman hier ?
Tu n’es pas raisonnable. Tu veux m’entraîner dans une histoire scabreuse et immorale. Je ne suis pas d’accord. Nous en avons déjà fait plus que la décence ne le permet. Maintenant, c’est fini !
Puisque tu ne veux rien comprendre. Je vais dire à maman que tu as voulu me caresser et que tu es entré dans la salle de bain alors que j’étais nue !
Tu veux faire du chantage ? Vas-y ! Ta mère sait comment sont les adolescentes. Je lui dirais que c’est toi qui te fais des films. A ton avis, qui elle croira ? Tu vois, sentant venir cela, je lui ai même dis que tu commençais sérieusement à être aguicheuse avec tout le monde et qu’elle ferait bien de t’expliquer la différence entre le sexe et l’amour, les jeunes de ton âge ou les plus grands qui pourraient profiter de toi.
Elle m’a même demandé à ce que je te parle. Ce qui serait plus facile avec moi car tu m’écouterais.
Je lui ai répondu que même si aujourd’hui ça se passe mieux, tu n’as jamais beaucoup accepté ma présence. Ce à quoi elle m’a répondu qu’elle avait parlé avec toi. Que tu lui avais dis que finalement je n’étais pas si mal et qu’on pouvait parler avec moi. Qu’avec ton père, tu ne pouvais pas aborder ce genre de chose.
Bon. J’ai compris ! Ce que je veux, c’est que tu m’apprennes à m’occuper d’un homme.
Tu en as de bonnes toi ! Tu crois que ça se passe comme ça ? Tu n’as qu’à apprendre avec ton copain.
Non ! D’abord, il ne sait rien, et je n’aime pas sa bite. La tienne est plus belle.
Ce n’est pas une raison. Il est plus normal que ce soit avec un jeune de ton âge qu’avec un vieux, en plus quand celui-ci est ton beau père !
Peut-être, mais toi, je t’ai sous la main… enfin… dans la main ! » Dit l’effrontée en saisissant ma pine qui n’a pas débandé.
« Arrête voyons !
Ne me dis pas que tu n’aimes pas ! Tu es bien dur dis donc… pour un vieux ! C’est moi qui te fais cet effet ?
Je suis un homme et une belle fille nue, qui en plus me branle, comment veux-tu que je reste sans réaction ?
Je ne suis pas belle !
Détrompe-toi ! Tu es devenue une très jolie jeune fille. Tu es bien faite. De jolies et longues jambes bien galbées et une poitrine qui attire l’œil.
Salaud !
Ce n’est pas vrai ou quoi ?
Je… oui, mais…Je sais. Les filles qui ont une belle poitrine se plaignent d’en avoir trop. Toi tu as une très belle poitrine, 85 C. C’est ça non ?
Oui. Comment tu sais ?
ça, ma petite, c’est l’expérience. Regarde, à ton âge, elle ne tombe pas, alors tiens-toi droite, mets-là en avant. C’est un atout pour toi. Je continue. Tu as de beaux yeux et tes hanches se dessinent bien, mais fais attention, à ne pas prendre de ventre. Pour l’instant c’est parfait.
Tu es gentil ! Mais…A ton âge, on a toujours des complexe qu’on est seul à voir : les oreilles, le nez, la bouche… que sais-je. Non ! Tu es jolie et je pense que les mecs doivent bien te regarder.
Justement, il y a des vieux qui …Qu’est-ce que tu appelles des vieux ? De quel âge ?
Vingt… vingt cinq…C’est bien ce qui me semblait. C’est normal, les garçons de ton âge, à part ton amoureux, sont intimidés en face d’une jolie fille. Ceux qui sont plus âgés, sont déjà plus à l’aise et ils t’ont déjà repérée.»Ce dialogue surréaliste, car Léa qui continue à m’astiquer, ne fait rien pour calmer mon érection. Lâchement, je laisse faire. Pire même ! Ma main remonte entre ses cuisses et atteint sa fourche intime.
Léa, surprise, a un petit recul, mais très vite, elle écarte ses jambes, m’ouvrant l’accès à son intimité. Je caresse son bouton déjà dardé et découvre l’humidité qui perle de ses lèvres. J’ai déjà oublié que c’est quasiment une enfant et qu’elle est ma belle-fille !
Elle gémit très vite et accentue sa caresse sur ma queue, ne se contrôlant plus. Cela devient douloureux pour moi, aussi j’arrête ma caresse et lui demande de faire de même.
« Je le fais mal ? C’est ça ?
C’est ma faute. Je n’aurais pas dû te caresser.
C’était trop bon !
Je sais, mais tu ne te contrôlais plus, ça devenait douloureux. C’est normal. Bon, une remarque. Il faudra que tu tailles un peu ta toison. C’est plus joli et tu verras, plus agréable pour caresser et… lécher.
Tu veux me le faire ?
Tu es gonflée toi ! C’est un conseil que je te donne, ce n’est pas une proposition…Tu vas me le faire. Je vais chercher ce qu’il faut. »Elle m’abandonne et en courant, s’échappe vers sa chambre et la salle d’eau. Elle revient très vite, toujours nue, avec une bassine d’eau savonneuse, une serviette et un rasoir jetable. Je lui déconseille d’utiliser le rasoir, car la repousse sera rapide et irritante. Je l’envoie chercher de la crème dépilatoire, ce que toute jeune fille possède de nos jours.
Léa s’installe à la tête du lit, impudique, les jambes écartées face à moi. Je bande comme un fou et j’ai du mal à me retenir de plonger ma langue dans son entrejambes. Je lui propose de laisser une touffe au dessus de sa fente. Léa a une toison juvénile de blonde, mais elle préfère je j’enlève tout. Je mouille sa peau et étale la crème, y compris au bord des lèvres et vers son périnée, ce qui la surprend tout d’abord. Il faut que j’insiste pour m’occuper aussi de son entre fesses, ce qui la trouble. Elle cache ses yeux sous son bras, dévoilant ses aisselles épilées dans une position qui la rend encore plus excitante. J’ai toujours adoré les dessous des bras des femmesEn attendant que la crème fasse son effet, elle reste les jambes relevées, m’exposant toute son intimité comme elle ne l’a jamais fait devant personne. Elle se rend compte alors de l’impudeur de sa position, mais il est trop tard.
« Ne me regarde pas trop ! Dit-elleJe vais bien être obligé quand je vais tout enlever.
Je sais, mais ça me gêne !
C’est normal ! On appelle ça la pudeur. Tu vois, jusque là, tu pensais que tout était possible, mais avec un vieux vicieux comme moi, ça bouscule un peu tes certitudes. Attend-toi à ce que je te provoque et à ne pas pouvoir accepter ce que je te ferai. Dans ce cas, nous arrêterons tout ! Pour l’instant, dis-toi que je suis comme ton gynéco.
A part que mon gynéco, il ne bande pas lui !
Ça tu n’en sais rien !
C’est une femme, alors !
Raté ! Les femmes peuvent être sensibles à la beauté féminine aussi ! Sait-on jamais !
Tu es affreux toi !
Tu m’as demandé de t’apprendre, alors attend-toi à ce genre de chose… entre autres ! Ah tu te croyais forte !
… »Cinq minutes sont passées. Cela commence à bien chauffer et Léa s’agite. Muni de la spatule, j’ôte rapidement tous les poils sur son pubis. Pour la proximité des grandes lèvres, je suis obligé de glisser un doigt dans sa fente et je trouve une belle humidité. Son odeur de fille monte à mes narines, me troublant fortement. Mes doigts dans sa chatte la troublent malgré tout. J'évite son clitoris car je la sens presque à la limite de la jouissance. Tout son pubis est dégagé. Il faut maintenant que je m'occupe de la partie arrière. Je lui fais relever les jambes qu'elle maintient souplement écartées dans une position totalement impudique. Je termine mon travail en dégageant bien tous les petits poils de son périnée et autour de sa corolle qu’elle m’expose involontairement. Je pense être le premier à la regarder à cet endroit intime ! Elle se rend compte de l'obscénité de sa pose et quand je lève mes yeux vers elle, je vois son trouble. Sa figure est cramoisie, mais elle ne bouge pas. Je suis aussi troublé qu'elle, même si je ne le montre pas, ou si tout du moins j'essaye de ne pas le montrer alors qu'elle est totalement abandonnée.
Enfin, je lave abondamment toute la zone pour éliminer toute trace de crème dépilatoire qui irriterait sa peau. Lâchement, j'en profite pour passer mes doigts plus qu'il ne faut sur cette zone sensible et si attirante. Je me reprend tout de même à temps avant de passer à des caresses plus... sexuelles et je vais chercher un miroir à main pour montrer le résultat à Léa. Cela me permet aussi de retrouver mes esprits , car la petite mouille fort et penché sur elle, son odeur pénétrait intensément mes narines, il s’en est fallu de peu que je ne plonge ma langue dans sa cramouille !
« C’est joli ! Dit-elle en examinant son bas ventre totalement imberbe.
Tu ressembles encore plus à une petite fille. Tes lèvres ressortent encore mieux. C’est vraiment un joli abricot !
Tu trouves joli toi ?
C’est magnifique tu veux dire ! Franchement, qui pourrait résister à un si joli minou ?
Tu résistes bien, toi.
Je... J’ai du mal. Il faut d’ailleurs que je te laisse. Il faut que j’aille me branler.
Pourquoi tu ne le fais pas ici ? Tu dois m’apprendre, donc, autant que je vois comment tu fais !
Je… Bon… Un point pour toi ! D’accord, mais on va le faire en même temps. Tu vas aussi te branler devant moi. Je verrai comment tu te donnes du plaisir.»
C’est à son tour d’être gênée. Mais à cet âge, ça passe vite, surtout pour une fille motivée.
Je m’installe à l’autre bout du lit. Nous sommes positionnés face à face, jambes écartées et emmêlées, chacun a les yeux rivés sur le sexe de l’autre. Le premier, je dois bien donner l’exemple, j’empoigne ma queue et commence ma caresse. A son tour elle pose sa main sur sa fente et tourne deux doigts sur le bouton. Très vite, elle semble oublier sa gêne. Un petit clapotis se fait entendre. Je lui explique en même temps les parties sensibles de mon sexe. Comment bien découvrir la peau du gland sans aller trop loin, comment serrer. Je lui demande d’écarter ses lèvres pour bien voir son clito, qui d’ailleurs est assez proéminent et donc sera facile à trouver. Cette fille est superbe et quand elle aura complètement perdu ses rondeurs d’adolescente, elle fera des ravages. En attendant, c’est moi qui suis ravagé ! Le spectacle de ma belle-fille nue, qui se branle sans pudeur face à moi accélère la montée de mon plaisir.
« Je vais jouir ! Lui dis-je. Regarde ! » J’accélère le mouvement. Elle a arrêté sa propre caresse quand mon sperme jaillit. Je ne pense plus que je suis en face de ma jeune belle-fille. Peut importe. Seul compte mon plaisir. Je gicle alors, comme ça ne m’est pas arrivé depuis longtemps. Mon sperme retombe sur la serviette entre nous et sur le bas de son ventre. Je continue ma caresse le temps que ma jouissance retombe. Léa a réduit son rythme masturbatoire pour figer son regard sur ma bite qui expulse son jus blanchâtre. Elle est tétanisée, puis sourit en me regardant. M’étant repris, j’interviens.
« Cela gicle moins que chez un jeune. Avec ton copain, tu risques plus d’être arrosée s’il fait la même chose.
Il n’osera jamais !
Ce n’est pas facile, c’est vrai ! Je ne l’ai pas fais souvent non plus, mais cela permet de voir comment ton partenaire prend du plaisir. A toi maintenant. Fini ton travail. Écarte tes lèvres que je vois bien ta chatte. Montre-moi comment tu jouis !
Tu sais, j’ai déjà joui deux fois !
Tu ne l’as pas assez montré. Il me semblait bien, mais je n’en étais pas sûr. Si tu veux exciter ton partenaire, tu ne dois pas hésiter à gémir, à crier. Les mecs adorent ça ! Au début tu te forceras peut-être un peu, mais ça deviendra vite naturel.
Quand je suis seule et tranquille je crie, mais le soir, dans ma chambre, j’ai peur qu’on entende, alors je me retiens, comme maintenant, j’avais honte !
Tu ne dois pas ! Ne te retiens plus ! Lâche-toi au contraire. » Décomplexée, la petite reprend ses caresses et très vite ses gémissements montent en gamme. Elle halète puis pousse des petits cris qui finissent dans un grand OUIIIIII quand elle jouit. Sa minette se couvre de cyprine qui scintille. J’ai beaucoup de mal à ne pas goûter ce suc qui doit être délicieux. Je lui demande de lécher ses doigts. Elle hésite un peu, rougit, puis se décide enfin. Elle a l’air d’apprécier.
« Tu avais déjà goûté ?
N… Non.
Alors ?
C’est pas mauvais. Tu en veux un peu ?
En temps normal, je ne dirais pas non, mais je ne préfère pas.
Toujours tes principes ?
Tu te rends compte tout de même que nous ne faisons pas quelque chose de très… normal ?
D’accord, mais je me branle, on se branle face à face, tu crois que c’est normal déjà ?
Ne retourne pas la situation. D’ailleurs, nous devons arrêter.
Oh non ! Les leçons ne sont pas finies ! Apprend-moi à sucer !
Pas question !
Tu pourras ensuite me lécher.
A plus forte raison !
On ne me l’a jamais fait !
Demande ça à ton copain, il en sera très heureux.
Justement, je lui ai demandé et il n’a pas voulu. Du coup, moi je n’ai pas voulu le sucer.
Tu vois ! C’est un échange entre deux personnes consentantes.
Moi je n’ai pas voulu car j’avais peur de m’y prendre mal, alors que lui, il trouve que c’est dégoûtant !
C’est un jeune con. Quand il aura essayé une fois, il ne pourra plus s’en passer !
C’est vrai ?
Oui, c’est très agréable de lécher une belle chatte humide et odorante !
Et maman tu la lèche ?
ça ne se demande pas ce genre de chose, mais oui, bien sûr !
Tu la fais jouir comme ça ?
Oui, elle adore.
J’aimerais que tu me le fasses !
Je t’ai dis que non, c’est non !
Dis-moi au moins où et comment il faut sucer !
Et bien, vois-tu, sous le gland, là, c’est le frein et c’est très sensible avec la langue. Tu peux aussi prendre le gland entre les lèvres et passer la langue autour et dans le trou. Tu peux aussi passer la langue tout le long de la hampe et gober une couille sans serrer. Certains hommes aiment qu’on leur mette un doigt dans le cul en les suçant.
C’est dégueulasse ! Tu aimes ça toi ?
Tu verras qu’il n’y a rien de dégueulasse. Oui j’aime ça !
Maman te le fait ?
Arrête avec ta mère !
ça te gêne ?
Oui, un peu.
Tu vois tu es un peu bloqué toi aussi.
Ce n’est pas ça, mais d’en parler me rappelle que tu es sa fille et que l’on ne devrait pas …On ne devrait pas, mais on le fait. Il s’agit de leçons. Moi je le prends comme ça.
On est quand même tous les deux nus dans un lit, on se branle face à face. Ce ne sont pas des choses qui se font entre beau-père et belle-fille.
J’ai lu des histoires et c’est fréquent !
Ce n’est pas fréquent ! Disons que ça existe mais …Tu vois ! On peut le faire alors !
Je te rappelle que non seulement tu es ma belle fille, mais en plus, j’ai trois fois ton âge.
Ce n’est pas un problème ! Ta queue est plus belle que celle de mon copain et je ne veux que ça !
Que ça ? Tu y vas fort !
Je te ferais remarquer que tu bandes à nouveau comme un bouc ! ça prouve que tu aimes ça !
Je ne dis pas que je n’aime pas, je dis simplement que cela ne se fait pas.
ça restera un secret entre nous.
Tu n’en sais rien. Si quelqu’un le découvre, on est dans la merde complète !
C’est ça qui t’empêche ?
Entre autre. En plus, j’aime ta mère et je ne veux pas lui faire de mal.
Elle n’en saura rien. J’ai lu aussi que dans certaines sociétés, c’est le père ou le beau père qui éduque la fille.
Tu lis vraiment trop ! » Sans rien dire, elle attrape à nouveau mon chibre et le caresse. Nous n’avions pas changé de position assis nus face à face. Ma queue réagit et durcit encore entre ses doigts. Elle me demande de la caresser à nouveau sur sa fente. Comme je ne bouge pas, elle attrape ma main et la porte à sa minette déjà humide.
La chair est faible, dit l’adage, alors, je la caresse, décapuchonne son clitoris qui grossit rapidement. Tout à coup, d’une pirouette rapide, elle se met à genoux et avant que je n’esquisse le moindre recul, se précipite sur ma queue qu’elle avale goulûment.
Je suis fait ! Je ne résiste plus ! Je guide ses caresses – ne suis-je pas le prof ? – Elle se débrouille bien la coquine ! Elle suit mes recommandations, lève les yeux pour me regarder, quand je le lui suggère. Elle tente une « gorge profonde » et après quelques rejets et haut-le-cœur, parvient à avaler entièrement mon chibre. Je la félicite et lui dis que cette pratique sera appréciée de ses futurs amants.
Ses actions portent leur fruit et je sens les prémices de la montée de la sève. Il y a longtemps que je n’ai pas ressenti cela. A ma demande elle mouille, puis glisse un doigt entre mes fesses. Je la préviens de l’arrivée du sperme en lui laissant le choix de se retirer. Elle fait non de la tête et pour sa première pipe veut recevoir mon sperme dans la bouche. Sa bouche vorace et son doigt dans mon cul me font grimper rapidement. Je sens monter ma sève et me je lâche dans sa bouche en grognant. Sa mère n’est jamais parvenue à me faire jouir ainsi et elle, à son premier essai y arrive comme une pro de la pipe ! Elle n’avale pas et recrache sur mon ventre en se relevant. Un énorme sourire illumine son visage. Fière d’avoir réussi à faire cracher son homme.
« ça a un goût bizarre, mais ce n’est pas mauvais !
Tu es fabuleuse ! Je peux te prédire un avenir brillant de petite « cochonne » comme en raffolent les hommes !
Tu es gentil, mais mon professeur est doué aussi.
ça ne t’as pas dégoûté de me mettre un doigt au cul ? Tu peux l’enlever d’ailleurs !
Oh pardon ! Dit-elle en le retirant. Je n’ai pas réfléchi. J’étais prise par tes paroles. ça fait drôle mais j’ai aimé te le mettre espèce de vieux vicieux !
Tu verras, quand je t’en mettrai un aussi, tu aimeras !
Tu veux me mettre un doigt au cul ? Vieux dégueulasse !
Oui ! A condition que tu me laisses lécher ta moule.
Oh oui ! Vieux salaud ! Viens lécher ta petite salope ! Donne-moi du plaisir avec ta langue ! Fais-moi jouir ! »Je ne réfléchi plus. Peu importe la situation. Léa se couche sur le dos, écarte ses jambes et me donne son sexe à lécher.
Elle est trempée ! Elle sent bon ! Faire une pipe l’excite ! Cette petite est trop bonne ! Ses grandes lèvres sont gonflées et sitôt enfilée, ma langue trouve son bouton érectile. Très vite, Léa gémit, se tortille et avance son bassin vers ma bouche vorace. Je lape sa mouille abondante en alternant ma caresse entre son clitoris dressé et son vagin. Je me régale ! J’ai si longtemps résisté à la tentation que je ne raisonne plus. Peu importe que cette chatte liquoreuse soit celle de ma belle-fille et qu’elle n’ait pas encore dix huit ans. J’oublie tout hypocritement, mais c’est si bon. Son abricot juteux est un délice sous mes lèvres et en plus elle réagit immédiatement à toutes mes caresses.
- « Oh oui ! C’est bon ! C’est encore meilleur que les doigts ! Salaud ! Tu me tues ! Je vais partir ! Oh mon dieu ! Je me fais bouffer la chatte par mon beau-père et j’adoooore ! Salaud ! Salaud Continue ! Je suis une salope ! Pardon ! Pardon maman mais c’est trop bon ! Je viens ! Je viens ! Ouiiiii ! »Son cri est interminable Son ventre se contracte et elle se répand dans ma bouche. Ce n’est pas encore une fontaine, mais Léa en a toutes les qualités ! Elle masse ses seins, pince ses tétons, relève son bassin cambrée sur la couche. Enfin elle s’effondre haletante, transpirante, anéantie.
La petite n’a mis que quelques minutes pour jouir. Le visage plongé dans sa fente, ma figure est recouverte de son jus. Je remonte alors sur son corps et l’embrasse sur la bouche pour lui faire partager son suc. Elle ne refuse pas le baiser qui nous unit longuement. Un baiser au goût d’inceste ! Je bande à nouveau, mais j’ai assez de contrôle pour ne pas tenter de la pénétrer. Elle sent pourtant ma bite gonflée entre nos ventres et remue son bassin de façon suggestive.
Je me détache d’elle et m’étale de dos sur le lit, vidé moralement après cette débauche. Elle aussi a du mal à retrouver son calme.
Après de longues minutes de repos, je l’entraîne sous la douche pour récupérer un peu. L’étalement du gel douche n’est qu’un prétexte pour se caresser et Léa n’est pas la dernière. Ma bite est câlinée, caressée, branlée. Elle adore rouler mes couilles entre ses doigts. A genoux dans la baignoire elle est à deux doigts de me faire jouir à nouveau d’autant que la salope, m’encule de deux doigts en même temps. Elle les a bien enduits de gel ainsi que mon anus et n’a eu aucun mal à me pénétrer. Vraiment cette petite est douée. Je la caresse aussi, me régalant de ses seins ronds et fermes, aux tétons érectiles, que je suce goulûment. Mes doigts aussi pénètrent sa chatte et même son anus inviolé.
On recommence plusieurs fois le savonnage en échangeant des baisers bien baveux. Elle prend plaisir à me sucer et me maintenir bien raide, puis me faire agenouiller, poser un pied sur le bord de la baignoire et me donner sa chatte à lécher.
C’est l’eau qui refroidit qui nous oblige à quitter l’endroit. Nous avons vidé l’eau chaude avec une seule douche !
Le séchage n’est pas plus calme. Même si j’ai honte de ma vieille carcasse à côté de son beau corps juvénile, Léa elle, trouve des charmes à mes poils, mon cul et surtout ma queue toujours dressée. Enfin secs, nous restons nus. Je vais tout de suite relancer le chauffage de l’eau et en remontant je retrouve Léa qui m’attend nue sur le lit dans ma chambre.
Là, je redescends sur terre. La chambre et les draps sentent le foutre et l’odeur de Léa. Il est presque midi. Je téléphone à sa mère pour lui dire que sa fille vient de se réveiller et qu’elle va mieux. Je la rassure, je ne veux surtout pas qu’elle déboule maintenant à la maison.
- « Ne t’inquiètes pas, je prépare le repas.
Et toi ? Qu’as-tu fais mon chéri ?
Pas grand-chose. J’ai travaillé un peu sur l’ordinateur et, ah oui ! J’ai fais le ménage dans notre chambre et j’ai changé les draps !
Tu les as mis dans la machine ?
Non, je vais le faireD’accord. Bon appétit et bon après-midi mon chéri ! Drôle de RTT pour toi !
Oh ! ça ne m’a pas dérangé. Léa n’a pas bougé de la chambre (je ne dis pas laquelle). Cet après-midi j’irai me balader puisqu’elle va bien.
Je t’embrasse ! A tout à l’heure ! Je rentrerai vers dix huit heures ! »Aidé de Léa qui reste nue « ça ne te gênes pas au moins ? » glisse-t-elle mutine. Nous changeons les draps et rangeons la chambre. J’ouvre la fenêtre en grand pour évacuer l’odeur de foutre et effacer toute trace de notre activité matinale.
Le repas est vite expédié, le lave linge mis en route et afin d’éviter toute tentation ou prétexte, je m’esquive rapidement. Léa n’insiste pas. Elle a besoin aussi de récupérer et va faire la sieste.
Au cours de cet après-midi loin de la maison, je fais le point sur la matinée. Je me traite de fou, d’inconscient. Je mets en péril mon ménage pour une gamine et satisfaire mes pulsions sexuelles que je devrais contrôler en tant qu’adulte responsable. Je décide de parler sérieusement à Léa et de mettre fin à cette aventure nocive pour tous les deux.
A mon retour, malheureusement, ma femme est déjà rentrée. Elle s’est libérée et a quitté son travail plus tôt. Quand j’arrive, elle discute avec sa fille. Le repas se passe en silence. Aussitôt après, Léa monte se coucher. Ma femme va étendre le linge pendant que je débarrasse la table et nous montons à notre tour.
Comme toujours le soir, nous nous caressons. Parfois cela s’arrête là, mais ce soir, je ne sais pourquoi, ma femme a des envies de sexe. Je ne peux, ni n’ai envie de me dérober. J’adore lui faire l’amour et ce soir, me retrouver dans ce lit où quelques heures auparavant j’étais avec sa fille m’excite particulièrement.
Que dire lorsque je lèche sa chatte avec la vision de celle de Léa qui m’obsède ! Alors que nous sommes en soixante neuf, je me retrouve à comparer la technique de la mère et de la fille et l’avantage est bien du côté de la plus jeune ! Au moins, la mère je peux la baiser. Mes prestations matinales font que je suis long à venir, pour le plus grand plaisir de ma femme.
Après l’amour, nous parlons un peu. Ma femme me raconte que Léa et elle ont discuté. Mon cœur se serre.
« Oui, je crois qu’elle en avait besoin, dis-je. Ce midi, avec moi elle a aussi beaucoup parlé. Elle a des problèmes de jeune fille.
Elle m’a dit qu’avec toi c’était plus facile de parler. Que tu la comprends mieux que son père. Je lui ai tout de même dit de ne pas t’embêter.
Pas de problème ! Elle ne m’embête pas du tout (si tu savais !!) Je ne sais pas si je suis le mieux placé, mais si cela doit lui faire du bien, j’essayerai de lui prodiguer des conseils, même si je crois qu’un vieux comme moi, aura du mal à comprendre une jeune fille comme elle.
Je te fais confiance. Je crois que tu y arriveras ! Et puis, je suis contente que vous vous rapprochiez tous les deux ! Ça n’a pas toujours été facile ! Depuis quelques temps, je sens qu’elle est moins hostile envers toi !
Hostile est un bien grand mot ! Il a fallu qu’elle s’habitue à ma présence. Elle a fini par comprendre que je ne voulais pas prendre la place de son père. Et puis, elle grandi ! Je crois surtout qu’elle a peur de « passer à l’acte ». Tu vois, ces jeunes, bien qu’ils paraissent plus au fait que nous à leur âge, conservent encore quelques incertitudes et c’est très bien ! C’est tout de même un passage délicat. Elle prend la pilule au moins ?
Oui, mais ce n’est pas cela qui l’inquiète.
C’est vrai ! Elle m’a dit qu’elle avait peur de ne pas « faire bien ». Elle voulait savoir comment réagissent les garçons. Ce n’est pas très facile de parler de ça avec des mots qui ne sont pas crûs !
Oh je crois que tu peux parler de bite ou de chatte. Les jeunes ne sont pas aussi pudibonds.
Toi tu m’encourages à parler comme ça à ta fille ?
Si cela doit l’aider, pourquoi pas ! Je suis sûre que tu sauras te débrouiller. Je vous laisserai tranquilles pour que vous discutiez (j’hallucine !) Tu sembles le mieux placé pour ça.
Je… Si tu crois… Je ne sais pas.
Écoute. Si elle veut t’en parler, comme ce matin, pas de problème, je suis certaine que tu sauras être à la hauteur ! »Heureusement que la lumière est éteinte et qu’elle ne me touche pas, car ma femme verrait l’érection que je me tiens alors que je viens de jouir en elle. Elle vient de bien savonner la planche sur laquelle je me trouve ! Elle me donne sa bénédiction pour passer plus de temps avec sa fille ! Si elle se doutait comment on passe ces moments !
Dès lors, chaque dimanche matin, Léa vient dans ma chambre (pour ne pas dire dans mon lit. J’ai averti sa mère de cette situation, en lui disant que Léa profitait du moment où elle est absente et que je pouvais l’écouter tranquillement.
Sachant cela, ma femme, nous laisse volontairement encore plus de temps. Le dimanche matin, en plus des courses, elle va voir une copine et rentre plus tard. Elle fait du bruit pour annoncer son arrivée. Elle s’attarde à ranger les achats. Bref, elle fait tout pour que nous ayons le plus de temps possible pour rester seuls et tranquilles !
Au début, elle m’interrogeait, pour savoir ce que nous avions dit. J’inventais un peu en occultant mon rôle actif. Je me remplaçais par son copain dans mes récits que soit disant Léa me faisait de ses expériences. Léa s’en était d’ailleurs inventé un autre, inconnu de sa mère pour ne pas qu’elle le rencontre. J’insistais tout de même auprès d’elle pour qu’elle s’en trouve un vrai.
Parfois tout de même, au retour de ma femme, je suis déjà debout, douché et habillé. Léa s’arrange aussi de temps en temps, pour être sortie voir une copine et ne revenir que pour déjeuner, ou parfois plus tard.
Ces matins-là donc, nous passons une ou deux heures à nous caresser, nous branler, nous sucer. J’ai convaincu Léa de laisser pousser une petite touffe au dessus de sa fente. Nous commençons par ce petit « entretien ». Je retaille le ticket de métro, chasse le moindre poil autour de ses lèvres et son anus. Le rituel se termine par un léchage en règle de toutes les zones.
Après quelques réticences, Léa a appris à aimer sentir ma langue, sur et dans, son petit trou. Elle me rend la pareille. Je lui ai expliqué que dans le sexe, il s’agit d’échanges et de confiance entre les partenaires. La petite cochonne adore « lécher le cul de son beau-père ! » Petit à petit elle a appris la force des paroles. Elle s’en gargarise, cela l’excite !
« Alors, beau-papa, vieux dégoûtant, tu aimes ça que ta fifille te bouffe le cul ? Espèce de pervers ! Si tu te voyais à genoux et les fesses en l’air ! I Tu mériterais une fessée !
Tu n’oserais pas ?
Mais bien sûr que si ! Espèce de salaud ! Je suis sûre que tu en as envie ! Je suis sûre que tu aimerais que je t’encule aussi ! Vieux dégueulasse ! Tu as vu comment tu bandes ? »Elle a mis beaucoup de temps pour cela. Chaque fois je l’encourageais à aller plus loin. Maintenant elle se lâche complètement, quitte à demander pardon ensuite en se rendant compte des énormités proférées. En souriant, j’explique qu’il faut oublier les conventions, que tout ce que l’on dit à cette occasion ne sert qu’à alimenter l’excitation. Je ne manque pas non plus, quand c’est mon tour, de lui débiter tout un vocabulaire ordurier et au vu de la quantité de cyprine et de l’intensité de plus en plus forte de ses orgasmes, je vois bien qu’elle apprécie de plus en plus.
La seule limite que je fixe, est celle de la pénétration. Bien sur, j’introduis un ou deux doigts dans sa chatte tout en la léchant, pour caresser son point G, que je lui ai fais découvrir. Je sollicite aussi son petit trou, soulignant le plaisir des hommes à utiliser la « porte étroite » mais aussi le plaisir qu’elle ressentira par cette voie.
Léa a compris et décide un jour que « toutes les saloperies » que je lui propose sont bonnes à essayer. Elle s’abandonne donc à mes dépravations, y trouvant ensuite un surplus de plaisir.
Bien sûr, elle ne manque pas de me presser pour que je la « fasse femme ». Je refuse tout net. D’une part parce qu’elle est mineure, même si sexuellement la majorité est à quinze ans, d’autre part, parce que ce sera mieux de faire ça avec un garçon de son âge.
- « Il va faire ça mal et je n’aurai pas un bon souvenir ! Avec toi, je sais que ce sera bien ! »Je reste inflexible, d’autant plus facilement que l’après-midi, nous faisons comme d’habitude, une sieste coquine avec sa mère, qui bénéficie de mes ardeurs.
Depuis quelques temps, nous avons choisi de « faire nos rencontres » dans sa chambre, ce qui évite de laisser traces et des odeurs dans le lit conjugal. Parfois, pourtant, grâce à une serviette posée sur le drap je lèche Léa sur ma couche. Une fois, oubliant qui était ma partenaire j’ai été à deux doigts de la pénétrer ! Je me suis repris au dernier moment et me suis branlé en giclant sur son corps abandonné. Elle m’a regardé si sérieusement que j’en ai eu presque peur. Si je m’étais laissé aller, elle n’aurait rien fait pour m’en empêcher !
Nous adorons tous les deux une position, que je pratique aussi avec sa mère. Je suis couché sur le dos, et Léa vient s’agenouiller autour de ma tête. Elle pose ainsi sa chatte sur ma bouche. Elle coule abondamment de plaisir au fond de ma gorge. Elle mouille encore plus dans cette position ! Petit à petit elle devient une fontaine. Elle ne gicle pas encore comme certaines femmes, mais je peux littéralement « boire » son plaisir.
Elle, tournée vers mes pieds, prend plaisir à me regarder me branler. Quand je jouis, elle plonge sur ma queue pour lécher mon sperme. Elle a pris l’habitude de l’avaler maintenant et même d’en garder un peu dans la bouche pour venir m’embrasser et m’en rendre un peu. Elle se trouve très perverse ainsi.
Ma femme est enchantée. Léa, au fil des mois, devient plus stable, son physique aussi change. Elle est devenue une très belle jeune femme. Pour « compenser » notre trahison, sa fille et moi sommes attentionnés envers elle, sans trop toutefois, pour ne pas éveiller des soupçons.
Léa a quitté son petit ami qu’elle jugeait immature. Je l’encourage à se trouver un garçon apte à la satisfaire. Bientôt, un étudiant en droit de six ans son aîné, qui lui faisait une cour assidue, entre dans sa vie. Un beau gosse un peu « coincé » sexuellement au dire de ma belle-fille, qui a maintenant des désirs et des expériences de femme.
Il ne lui manque qu’une chose, être véritablement déflorée ! Le jour où elle s’est cachée dans le dressing de la chambre pour nous observer, - C’était donc bien elle qui nous a observés et que j’ai interpellée après que sa mère et moi ayons fait l’amour -, ce jour-là donc, a conforté sa décision.
Le dimanche suivant, nous avons eu une discussion. Léa avait vu le plaisir de sa mère lorsque je l’avais prise en levrette et rêvait de connaître cela.
« Mais, ça ne te gêne pas de voir ta mère ainsi ?
Au début, oui ! J’ai l’habitude de la voir nue, mais là, avec toi, faire… L’amour ! Avec elle je fais l’amour. Avec toi je baise…enfin… façon de parler.
Justement. Après un moment, j’ai adoré vous voir ensemble. Je comprends pourquoi elle est heureuse avec toi. Tu baises vraiment bien, vieux salaud ! J’étais jalouse de ma mère, j’aurais voulu être à sa place ! Alors je veux que tu me baises. Dans deux mois j’aurais dix huit ans. Mon copain aussi a envie de me baiser. Je lui ai fais promettre d’attendre cette échéance, mais je veux que ce soit toi qui me dépucelle et ce n’est pas négociable ! Ensuite, on arrêtera les « conneries ». Ce sera un merveilleux souvenir dont je ne te remercierai jamais assez. Pour toi aussi j’espère !
Je crois que tu es devenue une grande fille raisonnable. Tu as compris que nous ne pouvions continuer comme ça. Quand à ton… dépucelage, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne solution.
Je t’ai dis que ce n’était pas négociable. Ma décision est prise. Je ne changerai pas d’avis. Tu me feras l’amour complètement, partout, tu auras ma chatte et mon cul, ensuite ce sera terminé. J’ai convaincu maman de me payer un séjour au ski pour mes dix huit ans, en février. Comme elle ne peut plus en faire et qu’elle travaille à ce moment là, c’est toi qui me « chaponneras ». Nous aurons toute la semaine tous seuls. »Cette diablesse a tout prévu, tout organisé.
A la date venue, ma femme nous accompagne et reste avec nous pendant le week-end. Elle veut voir comment nous serons installés. Le samedi soir, nous fêtons ensemble l’anniversaire de Léa qui est rayonnante. Au restaurant, elle appelle intentionnellement son « chéri » pour bien montrer son attachement. Pendant la conversation qu’elle tient en face de sa mère et moi, elle m’adresse de fréquents regards de connivence. Ma femme est enchantée de la tournure des événements et alors que Léa s’est levée pour un dialogue plus secret avec son amoureux, elle me remercie d’avoir aidé sa fille à devenir adulte et manifestement heureuse. J’ai un peu de mal en sachant ce qui va se passer après son départ, mais je me dis aussi que toutes les familles ont leur secret et que le principal est que tout le monde soit heureux ! A son retour, avant de s’asseoir, Léa nous embrasse tous les deux en nous remerciant « Toi maman pour ce magnifique séjour et toi… Jean, pour tout ce que tu m’a appris » Un ange passe… Séquence émotion !
Le dimanche matin, le soleil est radieux et avec Léa, nous partons skier toute la journée. Sa mère restée au chalet, nous a préparé le repas du soir et quelques uns pour la semaine « Il suffira de réchauffer ». Je prends rapidement une douche avant de ramener ma femme à la gare, pour prendre son train de retour.
En me quittant sur le quai, elle me recommande de bien m’occuper de sa fille ! - Si elle savait ! - Passez du bon temps et à samedi !
J’ai un peu de mal à rester sérieux en pensant à ses paroles. Je culpabilise aussi, mais je me dis aussi que nous avons trouvé la meilleure façon de terminer cette aventure. Le secret restera enfoui dans nos mémoires et personne ne sera blessé.
Au retour, en montant vers la station, la neige commence à tomber. Quand je rentre dans le chalet, une douce chaleur règne. Sur la table du salon, deux verres et une bouteille de champagne. D’une voix forte, je lance :« Ta mère est bien partie ! Je suis de retour ! Il commence à neiger !
Super ! Mets-toi à l’aise et ouvre le champagne ! Me crie Léa depuis sa chambre. J’arrive ! »Je tire les rideaux, quitte veste et tricot car il fait vraiment chaud dans le chalet. Je m’installe dans le canapé et mets de la musique sur la télé. Je m’apprête à ouvrir la bouteille de champagne, lorsque Léa fait son entrée dans le salon. Je suis scotché !
C’est une créature de rêve qui se présente à moi. Léa s’est maquillée et coiffée. Ses longs cheveux sont lâchés sur ses épaules. Elle porte une nuisette noire transparente, sous laquelle on devine qu’elle est nue à l’exception d’un string minuscule ! Elle a enfilé des bas auto-fixants et des chaussures à talon.
Elle est bien loin la petite fille un peu boulotte qu’elle était encore il y a un an. C’est une vraie femme qui s’avance langoureusement vers moi. Sans me toucher, je sais que je bande. Il faut dire, qu’en prévision de la soirée j’ai pris une pilule « énergisante » en arrivant au chalet.
« Je te plais, mon vieux salaud de beau-père pervers et incestueux ?
Tu ferais bander un jésuite ma chérie ! Tu es magnifique !
Je te plais mon petit papounet ? » Elle ne m’a jamais appelé comme ça« Tu es splendide ! Viens que je te caresse, que je te lèche partout !
Je veux que tu me baises, tu le sais ?
Oui ma chérie ! On va prendre notre temps. Avant je veux que tu jouisses sous mes doigts et ma langue, comme tu le fais si bien. Après seulement tu m’offriras ta virginité.
Mes deux virginités ! N’oublie pas ! ça s’arrose ! Ouvre le champagne ! Il faut boire à cet événement !»Léa se pavane autour de moi alors que j’ouvre la bouteille, jouant avec les lumières et les transparences. Après que j’ai rempli les verres, elle me prend la main et me fait lever. Collée contre moi, elle m’offre ses lèvres et pendant notre baiser, elle retire mes habits.
« J’ai honte de ma vieille carcasse !
Ne t’en fais pas pour ça ! Ta vieille carcasse comme tu dis, possède une très belle queue qui va me rendre femme et heureuse. En attendant, je vais te faire une pipe au champagne. Il parait que c’est génial !
Tu t’es renseignée ou quoi ?
Oui ! Je veux que cette nuit et cette semaine soient mémorables ! Ensuite nous redeviendrons un beau-père et une belle-fille « normaux ». C’est pour ça que cela doit rester gravé dans nos mémoires !
Tu crois que l’on pourra résister ?
C’est toi qui as résisté si longtemps et maintenant je t’en remercie. Je sais que tu aimes maman et moi aussi je l’aime et je t’aime. Tu m’as fais grandir dans mon corps et tu vas finir le travail. Tu m’as fais aussi grandir dans ma tête. J’ai compris que nous ne pouvions pas continuer. Tu vas me faire un merveilleux cadeau, enfin, deux plutôt.
Non. C’est plutôt toi qui va me faire ces cadeaux !
On va les partager alors. Il sera temps samedi de tirer le rideau. Assied-toi ! »Je retire vite chaussures et pantalon et me retrouve nu, la bite dressée. Léa, dans sa tenue suggestive s’agenouille, me tend une coupe et nous trinquons. Elle boit un peu, c’est la première fois que je la vois prendre de l’alcool. Elle se penche et avale ma queue. Je sens aussitôt le frais et les bulles sur mon gland. La sensation et géniale. En plusieurs fois elle va vider ainsi son verre me gratifiant de sa savante caresse.
Je décide ensuite de lui rendre la pareille. Je la couche par terre. Fais couler le champagne sur son ventre. Le lape dans son nombril ce qui la chatouille. Depuis quelques temps, elle s'est fait poser un piercing au nombril, ce qui est particulièrement érotique. Elle m'a dit que j'étais le seul à le voir pour l'instant, elle le retire pour voir son copain. C'est moi qui lui ai payé après que je l'ai léchée la première fois. Maintenant le liquide coule vers son vagin, imprégnant sa petite touffe et glissant lentement entre ses lèvres intimes. Ma langue vient débusquer son bouton et je me délecte du mélange champagne-cyprine.
Je la connais bien maintenant et je sais retarder la montée de son plaisir. Elle réclame sa jouissance que je lui refuse plusieurs fois. Elle crie,devient folle, supplie... Enfin, je la délivre et elle explose dans ma bouche. Elle me régale de sa jouissance de plus en plus abondante et toujours savoureuse. Après nos « rapports » du dimanche matin, je prends bien garde de me laver pour ne pas conserver son parfum de femme.
Le moment crucial est arrivé ! Lentement, je remonte sur son corps. Son visage devient subitement grave. Elle sait que c’est maintenant que tout va changer. Cette pénétration d’un sexe tant attendue, va la faire devenir femme pleine et entière. Nous n’avons pas à nous protéger. Léa prend la pilule et nous en avons discuté longuement. Nous voulons que ce moment soit total. Nous voulons sentir nos sexes en contact direct. Sentir la chaleur et l’humidité de sa corolle se serrant sur mon gland et ma hampe. Nous en avons souvent parlé et Léa veut connaître cela sans barrière siliconée pour sentir mon sperme gicler dans sa matrice.
Mes yeux plongés dans les siens, je guide ma verge au bord de ses lèvres. Je frotte un peu le gland sur son clitoris, faisant remonter son plaisir. Je pèse ensuite peu à peu à l’entrée de son vagin. Le gland se fraye un passage entre ses lèvres vierges d'une queue.
Elle agrippe alors mes fesses et en me fixant dans les yeux de manière intense me dit « viens ! » Lentement, je m’enfonce dans sa chatte qui me reçoit sans douleur. Son hymen est déchiré depuis longtemps par ses activités sportives. C’est donc un acte plus mental que physique.
Je fais durer ce moment exceptionnel pour nous deux. Pour mon plaisir et aussi le sien, je la pénètre en plusieurs fois. Je sens sur mon gland, la pression de ses nymphes étroites mais gorgées de sang et de cyprine. Nous sommes en communion, les yeux dans les yeux de l'autre, presque graves, pour vivre pleinement cet acte unique. Cet acte que d'aucuns condamneraient, presque un délit ! Dans tous les cas réprouvé par la morale, mais qui pour nous à ce moment, est une sublimation de l'amour familial. Un acte complètement insensé, qui pour nous est un aboutissementEnfin, mon bassin bute sur le sien. Je suis au fond de son vagin, Léa est une femme ! Je reste immobile au fond de sa caverne. Nous savourons tous les deux ce moment unique en échangeant des baisers passionnés. Une larme coule au coin de sa paupière, je la lèche. Je suis aussi ému qu’elle de son cadeau.
Ma bite n’a jamais été aussi raide me semble-t-il. Je sens les parois de son vagin la serrer. Je compare mentalement avec celui forcément plus large de sa mère. Son étroitesse me sublime ! Je sais maintenant que je vais pouvoir la contenter. L’amener au plaisir par ma bite. L’expression « turgescente » employée par les auteurs de romans érotiques me revient à l’esprit. Une impression de puissance m’étreint ! J’entame alors le mouvement éternel du mâle dans sa femelle. Lentement tout d’abord. Je profite de ce moment fabuleux au maximum ! Je ressors complètement, lui occasionnant une sensation de vide, pour revenir ensuite d’un coup au fond de sa chatte inondée. Chaque va et vient est un bonheur intense. Je voudrais ne jamais arrêter ! Être capable de rester ainsi, bras tendus au dessus de Léa, bite raide la baisant sans fin ? Je « vois » littéralement mon gland se frayer un chemin dans ses nymphes, explorant chaque centimètre, écartant les chairs sur son passage.
Léa a ouvert les yeux. Elle aussi veut profiter de ce moment. Elle me regarde intensément, regarde ma queue entre ses jambes, appelle mes baisers. Elle est belle ! Elle est magnifique ! Sa poitrine se soulève, m’offrant la beauté de ses seins aux tétons tendus. Ses yeux s’embrument alors qu’elle jouit une première fois. Sa tête s’agite de gauche à droite. La bouche grande ouverte à la recherche d’air. Son corps et son visage se couvrent de transpiration. Elle est brûlante !
J’accélère alors mon pilonnage. Mes bras ne me tiennent plus et je me couche sur elle, lui faisant sentir le poids du mâle sur sa femelle. Elle me donne ses lèvres. Nos langues s’affolent dans une lutte amicale. Moi qui suis long à jouir, je sens monter ma sève. Je me redresse sur mes bras pour contempler encore le corps somptueux de ma belle-fille que je baise comme dans un rêve.
« Je vais jouir ! Dis-jeOui ! Viens ! Moi aussi ! Je veux jouir avec toi ! Viens mon chéri ! Donne-moi ta semence ! Engrosse-moi ! Qu’elle est bonne ta queue ! N’arrête pas ! Baise-moi encore ! Baise-moi toujours ! Que c’est bon une bite dans le con ! Viens ! Viens ! Viens !» Son corps est brûlant ! Je ne tiens plus. Je jette mes dernières forces dans ce coït incroyable. Alors que Léa crie son plaisir, je me libère enfin au fond de son vagin. Je crie. Elle crie. C’est un instant incroyable ! Le sommet du plaisir ! Pour elle, c’est la première fois. Pour moi, peut-être la dernière ? C’est énorme. Une vague de bonheur nous submerge ! Je crois que je perd pied un instant. Léa se fige, comme morte. Une morte dont la superbe poitrine se soulève fortement à la recherche de l’air qui lui manque. Moi aussi je suis « mort »Nous sommes épuisés, autant par l’intensité physique de l’acte, que par sa folie. Je me couche sur ce corps merveilleux. Le cœur battant, conscient de l’immense et unique moment que nous venons de vivre.
« Merci ! Oh merci ! Je savais que ce serait bien, mais là c’est merveilleux ! Que c’est bon une vraie bite dans le con ! J’aime tes doigts et ta langue mais là, c’est le pied ! Tu as bien fait de me faire attendre ! Je n’oublierai jamais ce moment ! Merci, merci, merci !
Merci à toi ! Tu ne te rends pas compte du cadeau que tu m’as fais ! Un vieux comme moi, faire l’amour à une jeune fille superbe, la déflorer et la faire jouir ! Tu es si belle ! Si… inaccessible ! C’est incroyable ! »Nous sommes à deux doigts de pleurer. L’émotion nous étreint. J’attrape la bouteille de champagne, rempli les verres et nous trinquons à son dépucelage et son nouvel état de femme.
Mon téléphone sonne alors. C’est ma femme qui m’annonce qu’elle est rentrée. Le timing est incroyable ! Cinq minutes avant elle intervenait au milieu de notre ébat !
« Quel temps fait-il la haut ? J’ai l’impression qu’il commençait à neiger !
Oui, il y a déjà une bonne couche. Heureusement qu’on a bien skié aujourd’hui, demain on risque d’avoir du mauvais temps !
Léa est avec toi ?
… Elle est au lit. Elle était fatiguée par cette première journée. Il faut dire qu’elle en a bien profité ! Elle s’est couchée aussitôt après le repas.
Tu es au lit toi aussi ?
Non. Je regardais un peu la télé. J’attendais ton appel et je ne vais par tarder non plus à y aller.
Je t’embrasse. Bonne nuit ! Et encore merci de t’occuper de Léa ! »
J’ai envie de lui crier que je viens de baiser sa fille comme une bête ! Qu’on a joui comme des fous ! Que sa fille est une bombe sexuelle ! Qu’on a pris un pied d’enfer ! Que son corps me rend fou ! J’arrive à dire simplement :« Bonne nuit chérie ! »Léa, pendant ce temps, s’est affalée dans le fauteuil en face de moi et, impudiquement, se caresse une main sur un sein, l’autre dans sa chatte. Elle lèche ses doigts tout en me fixant d’un œil gourmand. Quand je raccroche avec sa mère, elle lance :« Je vois que tu es de nouveau en forme ! Lance-t-elle en fixant mon ventre. Pour un vieux, tu tiens bien la route !
Il faut dire que tu ne fais rien pour me calmer ! Tu es une vraie salope ! Tu te branles en face de moi alors que je parle avec ta mère !
C’est toi qui m’a fais devenir salope et je sais que tu aimes, ça se voit, tu bandes salaud ! Tu sais ce que je voudrais ?
Recommencer, je suis sûr !
Oui ! Mais j’aimerais que tu me fasses comme … à maman l’autre fois !
C’est moi qui suis vicieux ? Dis-moi ce que tu veux !
Tu sais… à genoux... et toi derrière.
On dit en levrette.
Oui en levrette ! Mais viens, regarde, dans la baie vitrée ça fait comme une glace, je voudrais nous voir.
Alors toi, tu es une sacrée… cochonne ! A peine dépucelée, que tu veux faire des trucs que des femmes de quarante ans n’osent pas faire !
C’est bien toi qui m’a dis que dans le sexe, il fallait toujours chercher des trucs nouveaux ?
Un point pour toi ! Allez ! Mets-toi en position, petite chienne habillée en cochonne – elle a gardé ses bas et ses chaussures.
Oui ! Viens saillir ta chienne espèce de vieux bâtard vicieux ! » En riant elle se positionne de côté près de la porte fenêtre. Son corps se détache dans la lumière et je ne peux m’empêcher de l’admirer. « Qu’est-ce que tu attends ?
Tu sais, la vue est quelque chose d’important et de te voir comme ça, tu es splendide, magnifique, je veux imprimer ça dans ma mémoire. C’est inouï !
Oui, c’est incroyable ! Moi non plus je ne veux pas oublier ce moment ! Si on pouvait en faire un film !
Tu n’y pense pas ! Quelqu’un le trouvait un jour ! Non. Gardons ça pour nous, au fond de nos mémoires, mais c’est tellement beau, qu’il faut profiter du moindre moment pour s’en imprégner.
Tu es un poète ! Mais viens me baiser mon papounet !
Arrête avec ce nom ridicule !
Tu n’es pas mon papa ! Ah oui ! Tu es mon beau-papa ! Viens me baiser beau-papa ! ça m’excite de parler comme ça ! C’est bien ce que tu m’a dis de faire ? D’ailleurs je vois que toi aussi ça t’excite vieux salaud ! Viens baiser ta belle-fille ! »Aussitôt en position derrière elle, je ne peux m’empêcher d’admirer ses courbes gracieuses, son bassin qui s’élargit sur des fesses somptueuses. Cette fille est une beauté ! Moi son beau-père indigne, j’en profite de façon ignoble ! A ce moment, il n’y a plus ni beau-père, ni belle fille, mais une femme que j’ai envie de baiser. Je pointe ma queue sur sa cramouille baveuse et m’enfonce d’un seul coup. Puisqu’elle le veut, je me comporte comme un soudard et l’embroche comme la salope qu’elle est !
M’agrippant aux hanches, je la besogne sans précaution, après tout, elle n’est plus vierge ! De son côté, elle a tourné la tête sur le côté et regarde notre duo dans la vitre. Bras tendus, ses seins ballottent sous son torse. Je n’en reviens toujours pas de baiser cette belle et jeune fille. Le visage à quelques centimètres de la baie vitrée, elle crie son orgasme, bouche grande ouverte. Ayant déjà donné je peux faire durer. Je continue à labourer son vagin. Déchaîné comme jamais tout en regardant moi aussi notre couple étrange dans le reflet de la vitre. J’empoigne ses seins, roule les tétons entre mes doigts et Léa meugle de plus belle !
- « Salaud ! Tu me tues ! Défonce ta femelle ! Malaxe bien mes tétons ! Baises-moi fort ! J’aime ! » Qui penserait que cette femme a dix huit ans depuis la veille ? C’est vrai que je l’ai formée, encouragé à se laisser aller, conseillé à regarder des sites d’histoires de cul. Tout ça ressort. Léa est déjà une sacré baiseuse et ceux qui auront par la suite, la chance de lui faire l'amour comme moi aujourd’hui, seront de sacré veinards et auront intérêt à assurer, car elle va être quémandeuse !
Deux fois, trois fois, quatre fois, Léa va jouir avant de demander grâce ! Son corps est luisant de transpiration et je ne suis pas mieux. Mes genoux sont douloureux. Après s’être cambrée, m’offrant une vue sublime de son corps, elle s’écroule, la tête dans ses bras qui ne la portent plus. Ses fesses ressortent d’autant. Je me retire enfin, et j’admire encore sa magnifique silhouette avant, à mon tour, de me coucher à ses côtés.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour votre histoire est très très jolie une suite peut être ?



Texte coquin : Léa, ma belle-fille 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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