Leon suite.
Récit érotique écrit par Lipa94 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Leon suite.
A la demande générale de deux personnes, on va donner une suite à l’histoire de Léon.
Seule nue et entravée Marie Camille commençait à trouver le temps long. Au bout d’un moment elle comprit que son amant mystérieux ne viendrait plus et à force de contorsions, elle réussit à se libérer et finit par quitter l’hôtel.
Dire qu’elle était furieuse est un doux euphémisme, surtout qu’elle eut plus jamais de nouvelles de son Maitre (et pour cause).
Au bureau tout le monde parlait de l’accident de Léon, on organisa une quête pour acheter une couronne et puis avec le temps le souvenir s’effaça.
Marie Camille avait du mal à se concentrer sur son travail, elle déjà si distante devenait de plus en plus absente perdue dans ses pensées.
Cette aventure l’avait troublée et les approches lourdingues des dragueurs du bureau l’agaçaient plus qu’autre chose . Elle repensait souvent seule chez elle, à tout ça et se disait plus ou moins consciemment qu’elle aimerait revivre ces sensations.
Mais comment faire ?
Elle commença à surfer sur le net, s’inscrivit sur des sites de rencontres bdsm mais les contacts qu’elle eut la laissèrent sur sa faim (soit elle tombait sur des frustrés en manque de baise qui lui envoyaient des photos de leur sexe ou bien sur des soit disant Maitres expérimentés qui proposaient une rencontre au bout de 2 messages).
Bref tout ça s’avérait frustrant et quelque peu malsain.
Elle commençait à désespérer quand elle tomba sur l’adresse d’un club libertin dédié aux pratiques de domination.
Elle se dit que cela serait peut être intéressant d’y faire un tour et que ce serait moins risqué que de rencontrer un inconnu.
Elle hésita longtemps mais le souvenir de ce qu’elle avait vécue l’obsédait et par une après midi d’été elle se décida à franchir le pas. Elle se disait qu’au fond elle y allait pour observer et puis qu’elle repartirait tranquillement à sa petite vie.
Elle tourna longtemps dans le quartier passant et repassant devant la porte cochère qui abritait le club. Elle avait l’impression que les passants (surtout les hommes…) savaient ce qu’elle s’apprêtait à faire, elle se maudit d’avoir choisi une tenue qui la faisait ressembler à une catin (robe très courte noire, escarpins vertigineux) et encore ils ne voyaient pas les dessous.
Enfin, elle se décida à sonner à la porte, le temps lui parut interminable mais finalement on vint lui ouvrir.
Une femme entre deux âges lui sourit et la fit entrer.
Un comptoir et un aménagement cosy aurait pu être celui de n’importe quel bar un peu chic. Elle commanda un whisky (elle qui ne buvait que très rarement) pour se donner du courage et commença à détailler le lieu. Pas de doute elle était bien là où elle croyait être. Les murs étaient ornés de cadres représentant des femmes et des hommes dans des positions troublantes, quelques cravaches complétaient la décoration.
A cette heure il y avait peu de monde, seuls quelques hommes avachis dans des fauteuils semblaient attendre on ne sait quoi. Bien sur, son entrée avait fait sensation mais dès qu’elle regardait un de ces inconnus celui ci baissait les yeux.
Elle commençait à se dire qu’elle allait finir son verre et quitter cet endroit qui suintait l’ennui quand la maitresse du lieu lui proposa de visiter plus en détail le club.
Elle se leva et prit un escalier en colimaçon qui la mena au sous sol ; là il y avait deux salles, une première où trônait un cheval d’arçon en cuir, au plafond elle remarqua des chaines reliés à des crochets et au mur d’autres instruments de torture.
Dans la seconde salle, elle remarqua un immense canapé posé sur un tapis, face à une table basse en verre.
Les pièces étaient assez sombres et une musique lancinante s’échappait des hauts parleurs.
Perdue dans ses pensées Marie Camille n’avait pas remarqué qu’elle n’était plus seule, un des hommes l’avait suivi et appuyé contre le mur la fixait en souriant.
Elle ne savait plus ce qu’elle devait faire et décida de remonter à l’étage et de partir même si tout cela la troublait.
Elle allait atteindre l’escalier lorsque l’homme lui parla.
- Vous nous quittez déjà, c’est dommage j avais très envie de vous faire découvrir les méandres de ce lieu.
Elle ne répondit pas et chercha à s’engager vers la sortie mais l’homme lui barrait le chemin et lui prit le bras.
- Lâchez moi, je ne suis pas venu pour ça.
- Pourquoi alors, je vous ai remarqué dans la rue et même si vous semblez hésitante vous ne me ferez pas croire que tout cela ne vous excite pas.
- Peut être mais je ne suis pas d’humeur aujourd’hui, je vous en prie laissez moi passer.
- Je ne vous oblige à rien si vous voulez partir allez y, mais quelque chose me dit que vous allez regretter.
- Qui êtes vous pour savoir si je vais regretter ou pas.
- Quelqu’un qui a su voir en vous la petite bourgeoise en quête de sensations fortes qui se dégonfle au dernier moment. Finalement tu n’es qu’une allumeuse, tu as raison dégages !!!
Le ton s’était fait plus agressif et le tutoiement au lieu de la choquer réveillait en elle des souvenirs excitants. Elle était figée ne sachant que faire.
- Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, tu vas aller au milieu de la pièce et te mettre face à moi, les mains sur la tête.
- Ca ne va pas, vous me prenez pour qui ?
- Pour ce que tu es, allez obéis ou casses toi j’ai horreur de perdre mon temps.
Sans trop savoir pourquoi, Marie Camille fit quelques pas en arrière, se mit face à l’homme et mis les mains derrière la nuque.
- Voilà qui est mieux, tu commences à comprendre, Relèves ta robe que je vois un peu ce que tu caches.
Sans un mot elle remonte le tissu et dévoile un string minuscule noir.
- Tu t’es habillée comme une salope et tu veux me faire croire que tu es juste venue observer, Tourne toi et montre moi ton cul.
Le ton et la vulgarité se cet homme au lieu de la faire fuir, commençaient à l’exciter et elle se retourna offrant son joli cul à l’inconnu.
- Bien salope, penches toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains, oui comme ça tu es une bonne chiennasse.
Elle ne maitrisait plus rien, l’excitation était trop forte, elle allait faire tout ce que cet homme lui demanderai.
- Maintenant tu va retirer ta robe et vite.
Mécaniquement elle fit tomber son vêtement sur le sol dévoilant en plus du string noir un soutient gorge sexy.
- Tu es une belle petite pute, allez mets toi à poil, gardes seulement tes chaussures.
Elle était maintenant totalement nue, dans cette pièce sombre, obéissant aux ordres d’un inconnu, elle avait abandonner toute volonté.
- Tu sais ce que font les chiennes ? elles se mettent à quatre pattes et rampent.
Marie Camille commençait à mouiller et si la situation était plus qu’humiliante, elle fit plusieurs fois le tour de la pièce en marchant comme une chienne.
- Tu es une bonne fille, je vais te récompenser, approches toi toujours à quatre pattes et lèches mes chaussures je veux que tu les fasses briller.
Abandonnant toute dignité, Marie-Camille se pencha et commença à passer sa langue sur les souliers.
Toute à son excitation, nue les fesses en l air, la tête contre le sol elle ne remarqua pas que son bourreau n’était plus seul et que certains des hommes de l’entrée l’avait rejoint…...
Seule nue et entravée Marie Camille commençait à trouver le temps long. Au bout d’un moment elle comprit que son amant mystérieux ne viendrait plus et à force de contorsions, elle réussit à se libérer et finit par quitter l’hôtel.
Dire qu’elle était furieuse est un doux euphémisme, surtout qu’elle eut plus jamais de nouvelles de son Maitre (et pour cause).
Au bureau tout le monde parlait de l’accident de Léon, on organisa une quête pour acheter une couronne et puis avec le temps le souvenir s’effaça.
Marie Camille avait du mal à se concentrer sur son travail, elle déjà si distante devenait de plus en plus absente perdue dans ses pensées.
Cette aventure l’avait troublée et les approches lourdingues des dragueurs du bureau l’agaçaient plus qu’autre chose . Elle repensait souvent seule chez elle, à tout ça et se disait plus ou moins consciemment qu’elle aimerait revivre ces sensations.
Mais comment faire ?
Elle commença à surfer sur le net, s’inscrivit sur des sites de rencontres bdsm mais les contacts qu’elle eut la laissèrent sur sa faim (soit elle tombait sur des frustrés en manque de baise qui lui envoyaient des photos de leur sexe ou bien sur des soit disant Maitres expérimentés qui proposaient une rencontre au bout de 2 messages).
Bref tout ça s’avérait frustrant et quelque peu malsain.
Elle commençait à désespérer quand elle tomba sur l’adresse d’un club libertin dédié aux pratiques de domination.
Elle se dit que cela serait peut être intéressant d’y faire un tour et que ce serait moins risqué que de rencontrer un inconnu.
Elle hésita longtemps mais le souvenir de ce qu’elle avait vécue l’obsédait et par une après midi d’été elle se décida à franchir le pas. Elle se disait qu’au fond elle y allait pour observer et puis qu’elle repartirait tranquillement à sa petite vie.
Elle tourna longtemps dans le quartier passant et repassant devant la porte cochère qui abritait le club. Elle avait l’impression que les passants (surtout les hommes…) savaient ce qu’elle s’apprêtait à faire, elle se maudit d’avoir choisi une tenue qui la faisait ressembler à une catin (robe très courte noire, escarpins vertigineux) et encore ils ne voyaient pas les dessous.
Enfin, elle se décida à sonner à la porte, le temps lui parut interminable mais finalement on vint lui ouvrir.
Une femme entre deux âges lui sourit et la fit entrer.
Un comptoir et un aménagement cosy aurait pu être celui de n’importe quel bar un peu chic. Elle commanda un whisky (elle qui ne buvait que très rarement) pour se donner du courage et commença à détailler le lieu. Pas de doute elle était bien là où elle croyait être. Les murs étaient ornés de cadres représentant des femmes et des hommes dans des positions troublantes, quelques cravaches complétaient la décoration.
A cette heure il y avait peu de monde, seuls quelques hommes avachis dans des fauteuils semblaient attendre on ne sait quoi. Bien sur, son entrée avait fait sensation mais dès qu’elle regardait un de ces inconnus celui ci baissait les yeux.
Elle commençait à se dire qu’elle allait finir son verre et quitter cet endroit qui suintait l’ennui quand la maitresse du lieu lui proposa de visiter plus en détail le club.
Elle se leva et prit un escalier en colimaçon qui la mena au sous sol ; là il y avait deux salles, une première où trônait un cheval d’arçon en cuir, au plafond elle remarqua des chaines reliés à des crochets et au mur d’autres instruments de torture.
Dans la seconde salle, elle remarqua un immense canapé posé sur un tapis, face à une table basse en verre.
Les pièces étaient assez sombres et une musique lancinante s’échappait des hauts parleurs.
Perdue dans ses pensées Marie Camille n’avait pas remarqué qu’elle n’était plus seule, un des hommes l’avait suivi et appuyé contre le mur la fixait en souriant.
Elle ne savait plus ce qu’elle devait faire et décida de remonter à l’étage et de partir même si tout cela la troublait.
Elle allait atteindre l’escalier lorsque l’homme lui parla.
- Vous nous quittez déjà, c’est dommage j avais très envie de vous faire découvrir les méandres de ce lieu.
Elle ne répondit pas et chercha à s’engager vers la sortie mais l’homme lui barrait le chemin et lui prit le bras.
- Lâchez moi, je ne suis pas venu pour ça.
- Pourquoi alors, je vous ai remarqué dans la rue et même si vous semblez hésitante vous ne me ferez pas croire que tout cela ne vous excite pas.
- Peut être mais je ne suis pas d’humeur aujourd’hui, je vous en prie laissez moi passer.
- Je ne vous oblige à rien si vous voulez partir allez y, mais quelque chose me dit que vous allez regretter.
- Qui êtes vous pour savoir si je vais regretter ou pas.
- Quelqu’un qui a su voir en vous la petite bourgeoise en quête de sensations fortes qui se dégonfle au dernier moment. Finalement tu n’es qu’une allumeuse, tu as raison dégages !!!
Le ton s’était fait plus agressif et le tutoiement au lieu de la choquer réveillait en elle des souvenirs excitants. Elle était figée ne sachant que faire.
- Bon on va passer aux choses sérieuses maintenant, tu vas aller au milieu de la pièce et te mettre face à moi, les mains sur la tête.
- Ca ne va pas, vous me prenez pour qui ?
- Pour ce que tu es, allez obéis ou casses toi j’ai horreur de perdre mon temps.
Sans trop savoir pourquoi, Marie Camille fit quelques pas en arrière, se mit face à l’homme et mis les mains derrière la nuque.
- Voilà qui est mieux, tu commences à comprendre, Relèves ta robe que je vois un peu ce que tu caches.
Sans un mot elle remonte le tissu et dévoile un string minuscule noir.
- Tu t’es habillée comme une salope et tu veux me faire croire que tu es juste venue observer, Tourne toi et montre moi ton cul.
Le ton et la vulgarité se cet homme au lieu de la faire fuir, commençaient à l’exciter et elle se retourna offrant son joli cul à l’inconnu.
- Bien salope, penches toi en avant et écarte tes fesses avec tes mains, oui comme ça tu es une bonne chiennasse.
Elle ne maitrisait plus rien, l’excitation était trop forte, elle allait faire tout ce que cet homme lui demanderai.
- Maintenant tu va retirer ta robe et vite.
Mécaniquement elle fit tomber son vêtement sur le sol dévoilant en plus du string noir un soutient gorge sexy.
- Tu es une belle petite pute, allez mets toi à poil, gardes seulement tes chaussures.
Elle était maintenant totalement nue, dans cette pièce sombre, obéissant aux ordres d’un inconnu, elle avait abandonner toute volonté.
- Tu sais ce que font les chiennes ? elles se mettent à quatre pattes et rampent.
Marie Camille commençait à mouiller et si la situation était plus qu’humiliante, elle fit plusieurs fois le tour de la pièce en marchant comme une chienne.
- Tu es une bonne fille, je vais te récompenser, approches toi toujours à quatre pattes et lèches mes chaussures je veux que tu les fasses briller.
Abandonnant toute dignité, Marie-Camille se pencha et commença à passer sa langue sur les souliers.
Toute à son excitation, nue les fesses en l air, la tête contre le sol elle ne remarqua pas que son bourreau n’était plus seul et que certains des hommes de l’entrée l’avait rejoint…...
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