Les (més)aventures d’un hétéro (3)
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 24 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Ecrivain2848 ont reçu un total de 342 541 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 25 501 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les (més)aventures d’un hétéro (3)
De plus en plus bizarre, décidément. Je suis hétéro, pour moi, il n’y a jamais eu de doute, mais je viens de me faire sodomiser deux fois par mon copain Sébastien ; malgré ça je reste avec lui à discuter : nous dînons ensemble tout naturellement comme deux potes qui ne se sont pas vus depuis des années. La moitié du temps, je me sens super à l’aise et je retrouve cette amitié qui nous a liés pendant si longtemps, et l’autre moitié du temps je me sens complètement bousculé dans mes certitudes, déboussolé et un peu perdu. Je n’arrive pas à me sortir de la tête comment Sébastien m’a fait jouir en me baisant purement et simplement. Je suis même incapable de déterminer si j’étais consentant ou s’il m’a plus ou moins forcé, si j’en suis comblé ou honteux (ou les deux ?).
Bref, c’est vendredi soir, on a profité d’une bonne séance de sauna et maintenant, après un apéro un peu long, on se finit un petit barbecue sympa et bien arrosé. J’ai l’alcool optimiste, car plus je bois, plus j’en arrive à voir le bon côté des choses. On déconne et on se marre tous les deux, on pique des rigolades comme ça ne nous est pas arrivé depuis des années. C’est bizarre, la vie : on a un super copain, mais un déménagement, quelques années d’études, une copine « pot de colle » et on se perd de vue. Du coup je me sens euphorique de retrouver cette complicité. Il se fait tard et j’évoque mon retour, mais Sébastien réagit aussitôt :- « Non mais tu es fou ? Tu as vu dans quel état du es ? Tu dois avoir presque deux grammes d’alcool dans le sang. Tu restes dormir ici, un point c’est tout. »Je réalise qu’il a raison. Je me rends compte en même temps que je vais me trouver dans une drôle de situation pour la troisième fois aujourd’hui. Je suis obligé de rester, je vais être seul avec Sébastien, tellement pompette que je me sens déjà en état d’infériorité. Mais que se passe-t-il ? Il me manipule et il m’a fait boire pour me garder ici ou c’est moi qui me suis mis volontairement dans cette situation ? Si je n’y prends garde, il va encore me baiser et je vais avoir droit à une troisième tournée en quelques heures. Rien qu’en y pensant, un frisson me parcourt et je me mets à avoir la chair de poule ; une drôle de sensation commence à naître dans mon bas-ventre et je sens un frémissement au niveau de mon cul. C’est pas possible, je deviens dingue : l’idée que Sébastien puisse me faire des trucs m’excite au plus haut point.
- « Eh, qu’est-ce-qui t’arrive ? Tu es tout blanc … Dis-donc, toi, il faut que tu ailles te coucher vite. Viens, je t’emmène. »Autoritairement, Sébastien m’emmène vers la chambre (Laquelle ? La sienne ? La chambre d’amis ?). Je titube un peu mais j’arrive à le suivre. Par contre, je n’arrive pas à penser clairement : qu’est-ce que je veux ? J’ai l’impression que ma volonté et même ma lucidité m’ont quitté. Je le suis comme un automate. Il m’emmène dans la salle de bains, mouille un gant de toilette et me le passe sur le front.
- « On dirait que tu as chaud, hein ? »Je ne réponds pas mais le laisse faire. C’est vrai que ça fait du bien cette fraicheur. Je me sens mieux et moins oppressé. Mmmm, c’est agréable. Je ferme les yeux mais ça tourne alors je les ouvre à nouveau quand je sens que je vais perdre l’équilibre.
- « Doucement, doucement, te casse pas la figure, tiens, viens par là, je vais t’aider … »Il me fait rentrer dans la chambre. Je suis parfaitement lucide mais je me sens tout chose … Sébastien m’adosse contre le mur pour que je ne tombe pas et il commence à me déshabiller.
- « T’as vraiment de la chance d’avoir un copain comme moi pour te border … » Il est face à moi et commence à déboutonner ma chemisette. J’essaie de savoir : il me déshabille « normalement » ou il a une idée derrière la tête ? Maintenant, je suis torse nu et Sébastien s’attaque au bas : des difficultés pendant de longues secondes, car il doit se battre contre les basquets, les chaussettes et le pantalon. Ça y est : je suis presque nu, avec juste mon slip. Sébastien a comme un éclair de satisfaction : je suis à nouveau à sa merci. Il me regarde de haut en bas puis me glisse tout doucement : - « Tiens, je connais un truc super pour se rafraîchir les idées … »Il m’effleure le torse tout doucement, et un délicieux frisson me parcourt. Il insiste un peu sur mes tétons et joue avec. Il décrit des cercles mais revient régulièrement sur la pointe de mes seins. Je tremble comme une feuille à chaque passage.
- « Avoue, c’est pas mal, hein ? Ça réveille, non ? »Il a raison, tout mon corps se réveille et je sens même que mon sexe commence à réagir. Maintenant, Sébastien se fait plus hardi : il passe le bout de sa langue sur mes tétons pour les exciter encore plus. C’est pas possible : comment fait-il pour savoir tout de suite ce qui me plait le plus ? Même moi j’ignorais à quel point ma poitrine est sensible. Il continue, il explore, il essaie, il recommence. Pendant ce temps, une bosse se forme sous mon slip.
- « Je parie que j’arrive à te filer la trique sans même te toucher la queue. Tu vas voir … »En fait, il a déjà presque gagné parce que je suis sacrément émoustillé. Il se penche, me descend mon slip. Maintenant je suis complètement nu, offert à ses regards. Ma queue est à l’horizontale mais ne semble pas vouloir cesser de se dresser. Sébastien recommence à me caresser tout le corps, les épaules, la poitrine, les flancs, les fesses, les cuisses. Effectivement, ma queue se dresse petit à petit sans qu’il ait besoin de la toucher.Puis, tout à coup :- « C’est vrai, il fait trop chaud, moi aussi je vais me mettre à l’aise. »Joignant le geste à la parole, il se retrouve rapidement torse nu, puis totalement nu. Je le regarde et je me dis qu’il est bien foutu, pas de graisse, des muscles harmonieux. Tiens, sa queue prend de l’ampleur aussi mais il n’en est pas au même stade que moi : mon pieu se dresse déjà fièrement. Et puis, tout à coup, avec une détermination affichée, il approche son visage et m’embrasse fougueusement, sans préliminaires. Je sens ses lèvres qui se pressent contre les miennes, sa langue force le passage et me pénètre. C’est aussitôt un combat entre sa langue conquérante et la mienne qui tente de résister. Pendant qu’il essaie ainsi de s’accaparer ma bouche et de forcer cette entrée, je sens son sexe qui durcit, se tend et se dresse contre mon ventre. Ça m’excite de sentir cette queue qui grossit au rythme de ce baiser fougueux. Le cochon ! Maintenant il frotte sa queue contre la mienne. Nous sommes à égalité, notre trique est comparable et à chaque fois que je sens son sexe frôler le mien, mon excitation monte et monte encore. La sienne aussi d’ailleurs. Sébastien respire plus vite, ses gestes se font plus fébriles, son excitation devient plus difficile à contrôler.
- « Salopard, c’est pas possible, faut que je te baise, tu m’excites trop, tu me rends dingue. »À peine a-t-il dit ça qu’il me rapproche du lit, m’allonge sans ménagement sur le ventre, puis me redresse les fesses. Ce salaud est en train de me mettre à quatre pattes et j’ai l’impression qu’il a dans l’idée de me sodomiser en levrette, ni plus ni moins. L’idée me semble à la fois folle et logique. Je suis tellement passif, immobile, à quatre pattes, attendant mon supplice sans bouger, que je suis à peine surpris quand je sens qu’il me met du gel sur l’anus. Quelques secondes de plus et ça y est : il m’a bien enduit la raie de gel, m’a enfoncé un doigt dans le cul, m’a préparé rapidement avec deux ou trois va-et-vient et je sens l’inéluctable : son gland sur ma rondelle, ses mains sur mes fesses ; il me les écarte, pousse sa queue en avant et me voilà encore avec sa bite qui me rentre dans le cul pour la troisième fois de la journée ! C’est comme dans un rêve ou un cauchemar : à quatre pattes, comme une chienne, je suis en train de me faire limer par mon copain. Et comme les deux premières fois –encore plus devrais-je dire ! – j’ai l’impression que je suis vraiment fait pour ça. Cette bite qui me fouille et me lime me procure un plaisir immense. Ma propre queue me fait mal tellement elle est dure. Et Sébastien a pris son rythme de croisière que je commence à connaître : pas trop vite, long, ample, profond et sensuel. Sa queue me pénètre avec détermination et endurance. Je vais encore me faire pilonner pendant longtemps et je m’y prépare. La position est confortable, car je suis à quatre pattes, les jambes bien écartées, cambré, le cul en l’air offert aux assauts de Sébastien qui me lime, me ramone et me tringle.
Je découvre qu’il me besogne devant la glace de son armoire. Je peux donc nous voir tous les deux en tournant la tête légèrement de côté. Cette image est prodigieusement excitante. Je regarde la bite de Sébastien qui va et vient et me rentre dans le cul, et moi, la croupe offerte, qui réagit à chaque coup de piston. Je suis fasciné et ne me lasse pas de contempler cette scène, mais j’ai l’impression que lui aussi se rince l’œil. Nous nous régalons tous les deux du spectacle pendant de longues minutes. Mais Sébastien a apparemment une autre idée en tête car il s’interrompt tout à coup, et, dans une acrobatie périlleuse, sans jamais sortir sa bite de mon cul, nous bascule sur le côté, fait passer une de mes jambes par-dessus sa tête et se retrouve face à moi. Ensuite il pose mes deux jambes sur ses épaules. Me voilà sur le dos, les jambes en l’air, mes mollets sur ses épaules et lui en train de me pilonner et de me regarder droit dans les yeux.
- « J’adore te regarder pendant que je te baise, j’adore quand tu gémis avec tes petit cris d’hétéro offusqué … »Maintenant, Sébastien a les mains libres et il les utilise: il commence à me masturber tout en me sodomisant, pour que je n’échappe pas à l’orgasme. Il me branle tantôt d’une main, tantôt avec les deux, sans jamais cesser de me regarder et de m’observer, de me limer encore et encore avec une endurance redoutable. À chaque fois qu’il sent que je suis sur le point d’éjaculer, il ralentit le rythme pour faire durer le plaisir –le sien ou le mien ?- et c’est ainsi que de longues minutes s’écoulent sans que je puisse atteindre l’orgasme. Impitoyable, Sébastien me maintient dans un état d’excitation extrême sans jamais conclure. Par gourmandise ou sadisme, il fait durer, durer, durer … Je n’en peux plus, je le supplie, je gémis, je crie, mais rien n’y fait. Il a compris comment me baiser longtemps sans me faire éjaculer et il en use, il en abuse.
Depuis combien de temps est-ce que je me fais limer ? Dix minutes ? Vingt minutes ? Plus ? Je ne sais pas, mais quand enfin Sébastien se met à accélérer avec frénésie, je comprends qu’il n’en peut plus et que la libération va bientôt arriver pour l’un comme pour l’autre.
Effectivement, comme tout à l’heure et encore mieux synchronisés –il sait vraiment y faire, le salaud !- , nous montons inexorablement vers l’orgasme et quand nos cris se mêlent et se superposent, nous nous lâchons à nouveau dans un accouplement bestial. Ma queue, pressée dans les mains de Sébastien lâche plusieurs giclées de sperme qui montent à la verticale – je ne me savais pas capable d’éjaculer si haut !- avant de retomber sur mon ventre et mon torse. Quelques instants plus tard c’est au tour de Sébastien de se bloquer en s’enfonçant au plus profond qu’il peut et en poussant un long, très long gémissement rauque. Anéantis, épuisés, vidés et comblés, nous avons à peine le temps de reprendre notre souffle et de nous essuyer que nous sombrons déjà sans un mot dans un sommeil profond et réparateur.
(…)Je me réveille doucement. C’est la nuit noire. Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Je mets un certain temps avant de comprendre la situation. Je sens bien une présence à côté de moi mais il me faut quelques instants pour me souvenir de tout. Comment j’ai atterri dans le lit de Sébastien, et ce que nous avons fait avant de nous endormir. Tous les détails me reviennent en mémoire. Je ne tarde pas à comprendre ce qui m’a réveillé : je suis couché sur le côté et Sébastien, dans mon dos, vient de se rapprocher pour me caresser les fesses ! Je n’en reviens pas, il est tellement sûr de son fait qu’il me flatte la croupe, comme pour bien montrer que mon cul lui est acquis. Je me sens plutôt glauque (j’ai dû boire plus que de raison hier soir) et encore somnolent, donc je n’ai pas vraiment l’énergie de protester, mais quand même ! Je pousse un petit soupir pour manifester … Pour manifester quoi, au fait ? Que je ne suis pas la chose de Sébastien et que j’ai envie de dormir ? Que je n’ai pas le courage de réagir ? Que je suis curieux ? Je n’ai pas le temps de trouver une réponse à cette question que Sébastien se manifeste avec plus d’autorité. Il me caresse, va d’une fesse à l’autre, laisse trainer un doigt dans ma raie, s’y attarde … Je sursaute un peu, je frissonne, j’ondule un peu de la croupe mais je ne me retire pas vraiment. C’est pas désagréable, mais quand même, je trouve qu’il y va un peu fort… Cela dit, je ne suis pas au bout de mes surprises : j’ai à peine le temps de m’interroger sur l’attitude de Sébastien que je sens un truc froid dans la raie de mes fesses. Non, ce n’est pas possible, il m’applique du gel ! Avant que je réalise ce qui se passe Sébastien a déjà trouvé mon petit trou et guide son gland dans ma raie. Il ne lui faut que quelques instants pour trouver le chemin : ses mains m’écartent les fesses pendant que sa bite appuie sur ma rondelle et c’est reparti pour un tour : je vais me faire enculer pour la quatrième fois de suite, mais cette fois-ci, je n’ai même pas eu le temps de voir venir le coup. Il appuie, force un peu et s’enfonce en moi tout naturellement.
« Oohhhh ! », c’est la seule réaction que je réussis à produire, qui peut être interprétée comme on veut.
Il se bloque au fond de mon cul puis s’arrête, comme pour savourer sa victoire –une de plus !- ou pour attendre ma réaction. Moi-même je ne sais pas quoi penser. Sodomisé pour la quatrième fois en quelques heures, des sensations contradictoires me traversent : indignation, surprise, questionnement, dégoût, volupté, fierté, curiosité, désir, lascivité, langueur, … Tout y passe, mais une fois encore, ce sont la curiosité et la volupté qui finissent par l’emporter. Cette présence énorme au fond de mon cul me fascine complètement, d’autant que Sébastien sait en jouer avec brio : il vient pratiquement de me violer par surprise, et, au lieu d’obtenir une réaction de rejet, c’est plutôt une passivité complaisante que je lui oppose. Inutile de dire qu’il sait profiter de la situation. Il me tient à présent bien par les hanches et commence à imprimer son rythme diaboliquement lent qui me fait monter si sûrement. En une seule soirée, il aura trouvé mon point faible et il sait en user, le cochon : une lente et profonde pénétration, des caresses douces et voila que je recommence à gémir comme une chienne en chaleur. J’ai honte mais c’est vraiment trop bon, je me laisse tringler et limer et le plaisir monte à nouveau inexorablement. Sébastien me caresse les fesses, les hanches, les cuisses, la poitrine et le ventre. Quand il descend plus bas pour me toucher le sexe, c’est déjà fait : je bande comme un cerf et il n’a donc plus de doute à avoir, il va pouvoir me baiser comme il veut, aucune résistance n’est à craindre.
Je me contente de gémir, mais c’est juré : cette fois-ci, je ne dirai rien, je ferai comme si j’étais à moitié endormi et presque inconscient. Je suis quand même honteux de m’être fait avoir si facilement, et de couiner comme une belle salope dès que je me prends la bite de Sébastien dans le cul. J’ai honte, mais que c’est bon de sentir une queue qui vous pénètre, que c’est bon de se faire tringler et d’onduler de la croupe comme une salope qui en redemande ! Sébastien est à présent en terrain conquis, il me lime allègrement, me tient bien par les hanches pour imprimer son rythme et accélère ou ralentit au rythme de mes soupirs et de mes gémissements. Par moments, il pose ses mains sur mes épaules et m’attire à lui pour s’enfoncer au plus profond de moi avec force et autorité, pour bien me signifier qu’il est le maître des lieux, que mon cul est son terrain de jeu et qu’il à bien l’intention d’en profiter. Le salaud ! Je n’en reviens décidément pas. Il me lime tranquillement en toute impunité et je ne lui oppose aucune résistance. Au lieu de ça je me contente d’approuver par des petits gémissements et des soupirs éloquents. Comment en suis-je arrivé là ? C’est incompréhensible.
Je n’ai pas le temps d’y réfléchir davantage que je me retrouve à quatre pattes : Sébastien vient de me basculer sur le ventre, puis me redresse l’arrière train pour me mettre en position. Le pire, c’est que non seulement je n’ai opposé aucune résistance, mais en plus j’ai accompagné le mouvement ! Maintenant, je suis en levrette, comme une belle salope qui offre son cul et en redemande … Sébastien est tranquillement agenouillé en train de me besogner par derrière, ses mains tantôt sur mes reins, tantôt sur mon cul, et, encore et toujours, ce mouvement de piston régulier pour me soumettre et me baiser, toujours plus longtemps, plus profondément, … À un moment, il pose une main sur une de mes fesses avec énergie : ma parole, il est en train de me mettre une fessée ! Je suis tellement outré, tellement suffoqué d’indignation, que je ne trouve rien de mieux que de pousser un « OOhhh ! » de surprise ou de protestation. Visiblement, cela ne suffit pas car Sébastien recommence de plus belle. Je réponds par un « AAhhh ! » qui ne vaut pas mieux … En fait, je suis en train de me faire fesser par Sébastien et je réponds par des petits cris complaisants comme pour l’encourager ! C’est pas possible, je deviens fou ! Le pire, c’est que je réalise que je suis plus excité qu’indigné, et que cette situation invraisemblable me plait au plus haut point. Je suis ni plus ni moins en train d’assumer le rôle d’une salope qui se fait tringler encore et encore, et qui prend toujours plus de plaisir à se soumettre et à se faire baiser avec tous les détails les plus crus que l’on peut imaginer : à quatre pattes, gémissant, soupirant, pris par les hanches, pénétré longuement et profondément, flatté de la croupe, baisé violemment, caressé, cajolé, fessé, … Sébastien s’en donne à cœur joie –il aurait tort de s’en priver, ce cochon lubrique ! - , mais visiblement, il doit être super excité et incapable de se maîtriser, car il me pistonne déjà à une vitesse incroyable. Apparemment, le coup de me chevaucher en me filant des claques sur les fesses le met dans un état second et le rapproche de l’orgasme plus vite que quand il m’a baisé devant la glace tout à l’heure. Pour moi, c’est fini la respectabilité et la retenue : je gémis comme une belle salope, je crie des trucs incohérents et imprécis, mais c’est évident que je prends un pied pas possible et Sébastien ne s’y trompe pas.
Dans une telle explosion de fureur lubrique, rien d’étonnant à ce que Sébastien n’en puisse plus : pour la quatrième fois en quelques heures, il se bloque tout à coup et pousse un long cri tout en se vidant au fond de mon cul. Je me suis fait grimper et engrosser par un mâle en rut et le pire, c’est qu’une impression de sérénité et de fierté m’envahit à cet instant.
De longues secondes de silence et d’immobilité passent avant que Sébastien ne se décide à bouger. Il se retire lentement, me flatte la croupe une dernière fois comme pour affirmer une fois encore sa possession, puis me bascule sur le côté d'abord, et enfin sur le dos. Je ne sais pas trop où j’en suis, je suis un peu dépassé par la situation, mais ça ne dure pas longtemps : Sébastien vérifie l’état de ma queue en la prenant en main : j’ai toujours une trique d’enfer (je n’ai pas éjaculé, moi !). Sébastien me masturbe quelques instants, puis me prend en bouche et commence à me sucer tout en me caressant les couilles. Je suis dans un état d’excitation tel que la montée est irrésistible et je recommence à couiner de plus belle. C’est terrible, j’en ai honte mais c’est si bon que je ne peux m’en empêcher. Voilà Sébastien parti dans une fellation diabolique, voluptueuse à souhait et d’une terrible intensité : sa langue s’enroule autour de mon gland, passe sur le sillon et me met littéralement sur le gril. Mes gémissements sont de plus en plus impudiques et sonores et du coup il continue de plus belle pour me soumettre un peu plus, pour que sois sa chose à nouveau.
J’ai compris son fonctionnement : ne pas me faire jouir trop vite, me rendre dingue, m’obliger à gémir et à me trémousser, à me tortiller et à en redemander. C’est évidemment ce que je fais pendant plusieurs minutes. Il n’a pas l’air de se lasser et continue à me soumettre ainsi, à me maintenir dans cet état si proche de l’orgasme. Dès que je suis sur le point d’éjaculer, il s’arrête un peu, attend et recommence quand l’alerte est passée. Je deviens presque fou mais Sébastien, particulièrement endurant, continue à m’infliger ce traitement …Une éternité s’écoule ainsi. Je suis épuisé et pourtant j’en redemande. Mais l’inévitable finit par arriver : quand j’explose dans la bouche de Sébastien, je suis dans un tel état que je me mets à trembler de tout mon corps et à pousser un long cri. Je suis tétanisé, j’ai l’impression d’être dominé par un orgasme si puissant que toute retenue, toute convenance me quitte. Je suis anéanti, vidé, mais comblé. Pendant de longues secondes je reprends mes esprits avant de me laisser aller et de me détendre. Et puis je m’enfonce très vite dans le sommeil avec un bien-être merveilleux mais un peu angoissant. Qu’est-ce-que je suis devenu en quelques heures ? Je viens quand même de subir quatre sodomies et, en plus d’une irritation assez douloureuse, je me sens de plus en plus déstabilisé. Mais la nuit porte conseil, dit-on …
Bref, c’est vendredi soir, on a profité d’une bonne séance de sauna et maintenant, après un apéro un peu long, on se finit un petit barbecue sympa et bien arrosé. J’ai l’alcool optimiste, car plus je bois, plus j’en arrive à voir le bon côté des choses. On déconne et on se marre tous les deux, on pique des rigolades comme ça ne nous est pas arrivé depuis des années. C’est bizarre, la vie : on a un super copain, mais un déménagement, quelques années d’études, une copine « pot de colle » et on se perd de vue. Du coup je me sens euphorique de retrouver cette complicité. Il se fait tard et j’évoque mon retour, mais Sébastien réagit aussitôt :- « Non mais tu es fou ? Tu as vu dans quel état du es ? Tu dois avoir presque deux grammes d’alcool dans le sang. Tu restes dormir ici, un point c’est tout. »Je réalise qu’il a raison. Je me rends compte en même temps que je vais me trouver dans une drôle de situation pour la troisième fois aujourd’hui. Je suis obligé de rester, je vais être seul avec Sébastien, tellement pompette que je me sens déjà en état d’infériorité. Mais que se passe-t-il ? Il me manipule et il m’a fait boire pour me garder ici ou c’est moi qui me suis mis volontairement dans cette situation ? Si je n’y prends garde, il va encore me baiser et je vais avoir droit à une troisième tournée en quelques heures. Rien qu’en y pensant, un frisson me parcourt et je me mets à avoir la chair de poule ; une drôle de sensation commence à naître dans mon bas-ventre et je sens un frémissement au niveau de mon cul. C’est pas possible, je deviens dingue : l’idée que Sébastien puisse me faire des trucs m’excite au plus haut point.
- « Eh, qu’est-ce-qui t’arrive ? Tu es tout blanc … Dis-donc, toi, il faut que tu ailles te coucher vite. Viens, je t’emmène. »Autoritairement, Sébastien m’emmène vers la chambre (Laquelle ? La sienne ? La chambre d’amis ?). Je titube un peu mais j’arrive à le suivre. Par contre, je n’arrive pas à penser clairement : qu’est-ce que je veux ? J’ai l’impression que ma volonté et même ma lucidité m’ont quitté. Je le suis comme un automate. Il m’emmène dans la salle de bains, mouille un gant de toilette et me le passe sur le front.
- « On dirait que tu as chaud, hein ? »Je ne réponds pas mais le laisse faire. C’est vrai que ça fait du bien cette fraicheur. Je me sens mieux et moins oppressé. Mmmm, c’est agréable. Je ferme les yeux mais ça tourne alors je les ouvre à nouveau quand je sens que je vais perdre l’équilibre.
- « Doucement, doucement, te casse pas la figure, tiens, viens par là, je vais t’aider … »Il me fait rentrer dans la chambre. Je suis parfaitement lucide mais je me sens tout chose … Sébastien m’adosse contre le mur pour que je ne tombe pas et il commence à me déshabiller.
- « T’as vraiment de la chance d’avoir un copain comme moi pour te border … » Il est face à moi et commence à déboutonner ma chemisette. J’essaie de savoir : il me déshabille « normalement » ou il a une idée derrière la tête ? Maintenant, je suis torse nu et Sébastien s’attaque au bas : des difficultés pendant de longues secondes, car il doit se battre contre les basquets, les chaussettes et le pantalon. Ça y est : je suis presque nu, avec juste mon slip. Sébastien a comme un éclair de satisfaction : je suis à nouveau à sa merci. Il me regarde de haut en bas puis me glisse tout doucement : - « Tiens, je connais un truc super pour se rafraîchir les idées … »Il m’effleure le torse tout doucement, et un délicieux frisson me parcourt. Il insiste un peu sur mes tétons et joue avec. Il décrit des cercles mais revient régulièrement sur la pointe de mes seins. Je tremble comme une feuille à chaque passage.
- « Avoue, c’est pas mal, hein ? Ça réveille, non ? »Il a raison, tout mon corps se réveille et je sens même que mon sexe commence à réagir. Maintenant, Sébastien se fait plus hardi : il passe le bout de sa langue sur mes tétons pour les exciter encore plus. C’est pas possible : comment fait-il pour savoir tout de suite ce qui me plait le plus ? Même moi j’ignorais à quel point ma poitrine est sensible. Il continue, il explore, il essaie, il recommence. Pendant ce temps, une bosse se forme sous mon slip.
- « Je parie que j’arrive à te filer la trique sans même te toucher la queue. Tu vas voir … »En fait, il a déjà presque gagné parce que je suis sacrément émoustillé. Il se penche, me descend mon slip. Maintenant je suis complètement nu, offert à ses regards. Ma queue est à l’horizontale mais ne semble pas vouloir cesser de se dresser. Sébastien recommence à me caresser tout le corps, les épaules, la poitrine, les flancs, les fesses, les cuisses. Effectivement, ma queue se dresse petit à petit sans qu’il ait besoin de la toucher.Puis, tout à coup :- « C’est vrai, il fait trop chaud, moi aussi je vais me mettre à l’aise. »Joignant le geste à la parole, il se retrouve rapidement torse nu, puis totalement nu. Je le regarde et je me dis qu’il est bien foutu, pas de graisse, des muscles harmonieux. Tiens, sa queue prend de l’ampleur aussi mais il n’en est pas au même stade que moi : mon pieu se dresse déjà fièrement. Et puis, tout à coup, avec une détermination affichée, il approche son visage et m’embrasse fougueusement, sans préliminaires. Je sens ses lèvres qui se pressent contre les miennes, sa langue force le passage et me pénètre. C’est aussitôt un combat entre sa langue conquérante et la mienne qui tente de résister. Pendant qu’il essaie ainsi de s’accaparer ma bouche et de forcer cette entrée, je sens son sexe qui durcit, se tend et se dresse contre mon ventre. Ça m’excite de sentir cette queue qui grossit au rythme de ce baiser fougueux. Le cochon ! Maintenant il frotte sa queue contre la mienne. Nous sommes à égalité, notre trique est comparable et à chaque fois que je sens son sexe frôler le mien, mon excitation monte et monte encore. La sienne aussi d’ailleurs. Sébastien respire plus vite, ses gestes se font plus fébriles, son excitation devient plus difficile à contrôler.
- « Salopard, c’est pas possible, faut que je te baise, tu m’excites trop, tu me rends dingue. »À peine a-t-il dit ça qu’il me rapproche du lit, m’allonge sans ménagement sur le ventre, puis me redresse les fesses. Ce salaud est en train de me mettre à quatre pattes et j’ai l’impression qu’il a dans l’idée de me sodomiser en levrette, ni plus ni moins. L’idée me semble à la fois folle et logique. Je suis tellement passif, immobile, à quatre pattes, attendant mon supplice sans bouger, que je suis à peine surpris quand je sens qu’il me met du gel sur l’anus. Quelques secondes de plus et ça y est : il m’a bien enduit la raie de gel, m’a enfoncé un doigt dans le cul, m’a préparé rapidement avec deux ou trois va-et-vient et je sens l’inéluctable : son gland sur ma rondelle, ses mains sur mes fesses ; il me les écarte, pousse sa queue en avant et me voilà encore avec sa bite qui me rentre dans le cul pour la troisième fois de la journée ! C’est comme dans un rêve ou un cauchemar : à quatre pattes, comme une chienne, je suis en train de me faire limer par mon copain. Et comme les deux premières fois –encore plus devrais-je dire ! – j’ai l’impression que je suis vraiment fait pour ça. Cette bite qui me fouille et me lime me procure un plaisir immense. Ma propre queue me fait mal tellement elle est dure. Et Sébastien a pris son rythme de croisière que je commence à connaître : pas trop vite, long, ample, profond et sensuel. Sa queue me pénètre avec détermination et endurance. Je vais encore me faire pilonner pendant longtemps et je m’y prépare. La position est confortable, car je suis à quatre pattes, les jambes bien écartées, cambré, le cul en l’air offert aux assauts de Sébastien qui me lime, me ramone et me tringle.
Je découvre qu’il me besogne devant la glace de son armoire. Je peux donc nous voir tous les deux en tournant la tête légèrement de côté. Cette image est prodigieusement excitante. Je regarde la bite de Sébastien qui va et vient et me rentre dans le cul, et moi, la croupe offerte, qui réagit à chaque coup de piston. Je suis fasciné et ne me lasse pas de contempler cette scène, mais j’ai l’impression que lui aussi se rince l’œil. Nous nous régalons tous les deux du spectacle pendant de longues minutes. Mais Sébastien a apparemment une autre idée en tête car il s’interrompt tout à coup, et, dans une acrobatie périlleuse, sans jamais sortir sa bite de mon cul, nous bascule sur le côté, fait passer une de mes jambes par-dessus sa tête et se retrouve face à moi. Ensuite il pose mes deux jambes sur ses épaules. Me voilà sur le dos, les jambes en l’air, mes mollets sur ses épaules et lui en train de me pilonner et de me regarder droit dans les yeux.
- « J’adore te regarder pendant que je te baise, j’adore quand tu gémis avec tes petit cris d’hétéro offusqué … »Maintenant, Sébastien a les mains libres et il les utilise: il commence à me masturber tout en me sodomisant, pour que je n’échappe pas à l’orgasme. Il me branle tantôt d’une main, tantôt avec les deux, sans jamais cesser de me regarder et de m’observer, de me limer encore et encore avec une endurance redoutable. À chaque fois qu’il sent que je suis sur le point d’éjaculer, il ralentit le rythme pour faire durer le plaisir –le sien ou le mien ?- et c’est ainsi que de longues minutes s’écoulent sans que je puisse atteindre l’orgasme. Impitoyable, Sébastien me maintient dans un état d’excitation extrême sans jamais conclure. Par gourmandise ou sadisme, il fait durer, durer, durer … Je n’en peux plus, je le supplie, je gémis, je crie, mais rien n’y fait. Il a compris comment me baiser longtemps sans me faire éjaculer et il en use, il en abuse.
Depuis combien de temps est-ce que je me fais limer ? Dix minutes ? Vingt minutes ? Plus ? Je ne sais pas, mais quand enfin Sébastien se met à accélérer avec frénésie, je comprends qu’il n’en peut plus et que la libération va bientôt arriver pour l’un comme pour l’autre.
Effectivement, comme tout à l’heure et encore mieux synchronisés –il sait vraiment y faire, le salaud !- , nous montons inexorablement vers l’orgasme et quand nos cris se mêlent et se superposent, nous nous lâchons à nouveau dans un accouplement bestial. Ma queue, pressée dans les mains de Sébastien lâche plusieurs giclées de sperme qui montent à la verticale – je ne me savais pas capable d’éjaculer si haut !- avant de retomber sur mon ventre et mon torse. Quelques instants plus tard c’est au tour de Sébastien de se bloquer en s’enfonçant au plus profond qu’il peut et en poussant un long, très long gémissement rauque. Anéantis, épuisés, vidés et comblés, nous avons à peine le temps de reprendre notre souffle et de nous essuyer que nous sombrons déjà sans un mot dans un sommeil profond et réparateur.
(…)Je me réveille doucement. C’est la nuit noire. Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Je mets un certain temps avant de comprendre la situation. Je sens bien une présence à côté de moi mais il me faut quelques instants pour me souvenir de tout. Comment j’ai atterri dans le lit de Sébastien, et ce que nous avons fait avant de nous endormir. Tous les détails me reviennent en mémoire. Je ne tarde pas à comprendre ce qui m’a réveillé : je suis couché sur le côté et Sébastien, dans mon dos, vient de se rapprocher pour me caresser les fesses ! Je n’en reviens pas, il est tellement sûr de son fait qu’il me flatte la croupe, comme pour bien montrer que mon cul lui est acquis. Je me sens plutôt glauque (j’ai dû boire plus que de raison hier soir) et encore somnolent, donc je n’ai pas vraiment l’énergie de protester, mais quand même ! Je pousse un petit soupir pour manifester … Pour manifester quoi, au fait ? Que je ne suis pas la chose de Sébastien et que j’ai envie de dormir ? Que je n’ai pas le courage de réagir ? Que je suis curieux ? Je n’ai pas le temps de trouver une réponse à cette question que Sébastien se manifeste avec plus d’autorité. Il me caresse, va d’une fesse à l’autre, laisse trainer un doigt dans ma raie, s’y attarde … Je sursaute un peu, je frissonne, j’ondule un peu de la croupe mais je ne me retire pas vraiment. C’est pas désagréable, mais quand même, je trouve qu’il y va un peu fort… Cela dit, je ne suis pas au bout de mes surprises : j’ai à peine le temps de m’interroger sur l’attitude de Sébastien que je sens un truc froid dans la raie de mes fesses. Non, ce n’est pas possible, il m’applique du gel ! Avant que je réalise ce qui se passe Sébastien a déjà trouvé mon petit trou et guide son gland dans ma raie. Il ne lui faut que quelques instants pour trouver le chemin : ses mains m’écartent les fesses pendant que sa bite appuie sur ma rondelle et c’est reparti pour un tour : je vais me faire enculer pour la quatrième fois de suite, mais cette fois-ci, je n’ai même pas eu le temps de voir venir le coup. Il appuie, force un peu et s’enfonce en moi tout naturellement.
« Oohhhh ! », c’est la seule réaction que je réussis à produire, qui peut être interprétée comme on veut.
Il se bloque au fond de mon cul puis s’arrête, comme pour savourer sa victoire –une de plus !- ou pour attendre ma réaction. Moi-même je ne sais pas quoi penser. Sodomisé pour la quatrième fois en quelques heures, des sensations contradictoires me traversent : indignation, surprise, questionnement, dégoût, volupté, fierté, curiosité, désir, lascivité, langueur, … Tout y passe, mais une fois encore, ce sont la curiosité et la volupté qui finissent par l’emporter. Cette présence énorme au fond de mon cul me fascine complètement, d’autant que Sébastien sait en jouer avec brio : il vient pratiquement de me violer par surprise, et, au lieu d’obtenir une réaction de rejet, c’est plutôt une passivité complaisante que je lui oppose. Inutile de dire qu’il sait profiter de la situation. Il me tient à présent bien par les hanches et commence à imprimer son rythme diaboliquement lent qui me fait monter si sûrement. En une seule soirée, il aura trouvé mon point faible et il sait en user, le cochon : une lente et profonde pénétration, des caresses douces et voila que je recommence à gémir comme une chienne en chaleur. J’ai honte mais c’est vraiment trop bon, je me laisse tringler et limer et le plaisir monte à nouveau inexorablement. Sébastien me caresse les fesses, les hanches, les cuisses, la poitrine et le ventre. Quand il descend plus bas pour me toucher le sexe, c’est déjà fait : je bande comme un cerf et il n’a donc plus de doute à avoir, il va pouvoir me baiser comme il veut, aucune résistance n’est à craindre.
Je me contente de gémir, mais c’est juré : cette fois-ci, je ne dirai rien, je ferai comme si j’étais à moitié endormi et presque inconscient. Je suis quand même honteux de m’être fait avoir si facilement, et de couiner comme une belle salope dès que je me prends la bite de Sébastien dans le cul. J’ai honte, mais que c’est bon de sentir une queue qui vous pénètre, que c’est bon de se faire tringler et d’onduler de la croupe comme une salope qui en redemande ! Sébastien est à présent en terrain conquis, il me lime allègrement, me tient bien par les hanches pour imprimer son rythme et accélère ou ralentit au rythme de mes soupirs et de mes gémissements. Par moments, il pose ses mains sur mes épaules et m’attire à lui pour s’enfoncer au plus profond de moi avec force et autorité, pour bien me signifier qu’il est le maître des lieux, que mon cul est son terrain de jeu et qu’il à bien l’intention d’en profiter. Le salaud ! Je n’en reviens décidément pas. Il me lime tranquillement en toute impunité et je ne lui oppose aucune résistance. Au lieu de ça je me contente d’approuver par des petits gémissements et des soupirs éloquents. Comment en suis-je arrivé là ? C’est incompréhensible.
Je n’ai pas le temps d’y réfléchir davantage que je me retrouve à quatre pattes : Sébastien vient de me basculer sur le ventre, puis me redresse l’arrière train pour me mettre en position. Le pire, c’est que non seulement je n’ai opposé aucune résistance, mais en plus j’ai accompagné le mouvement ! Maintenant, je suis en levrette, comme une belle salope qui offre son cul et en redemande … Sébastien est tranquillement agenouillé en train de me besogner par derrière, ses mains tantôt sur mes reins, tantôt sur mon cul, et, encore et toujours, ce mouvement de piston régulier pour me soumettre et me baiser, toujours plus longtemps, plus profondément, … À un moment, il pose une main sur une de mes fesses avec énergie : ma parole, il est en train de me mettre une fessée ! Je suis tellement outré, tellement suffoqué d’indignation, que je ne trouve rien de mieux que de pousser un « OOhhh ! » de surprise ou de protestation. Visiblement, cela ne suffit pas car Sébastien recommence de plus belle. Je réponds par un « AAhhh ! » qui ne vaut pas mieux … En fait, je suis en train de me faire fesser par Sébastien et je réponds par des petits cris complaisants comme pour l’encourager ! C’est pas possible, je deviens fou ! Le pire, c’est que je réalise que je suis plus excité qu’indigné, et que cette situation invraisemblable me plait au plus haut point. Je suis ni plus ni moins en train d’assumer le rôle d’une salope qui se fait tringler encore et encore, et qui prend toujours plus de plaisir à se soumettre et à se faire baiser avec tous les détails les plus crus que l’on peut imaginer : à quatre pattes, gémissant, soupirant, pris par les hanches, pénétré longuement et profondément, flatté de la croupe, baisé violemment, caressé, cajolé, fessé, … Sébastien s’en donne à cœur joie –il aurait tort de s’en priver, ce cochon lubrique ! - , mais visiblement, il doit être super excité et incapable de se maîtriser, car il me pistonne déjà à une vitesse incroyable. Apparemment, le coup de me chevaucher en me filant des claques sur les fesses le met dans un état second et le rapproche de l’orgasme plus vite que quand il m’a baisé devant la glace tout à l’heure. Pour moi, c’est fini la respectabilité et la retenue : je gémis comme une belle salope, je crie des trucs incohérents et imprécis, mais c’est évident que je prends un pied pas possible et Sébastien ne s’y trompe pas.
Dans une telle explosion de fureur lubrique, rien d’étonnant à ce que Sébastien n’en puisse plus : pour la quatrième fois en quelques heures, il se bloque tout à coup et pousse un long cri tout en se vidant au fond de mon cul. Je me suis fait grimper et engrosser par un mâle en rut et le pire, c’est qu’une impression de sérénité et de fierté m’envahit à cet instant.
De longues secondes de silence et d’immobilité passent avant que Sébastien ne se décide à bouger. Il se retire lentement, me flatte la croupe une dernière fois comme pour affirmer une fois encore sa possession, puis me bascule sur le côté d'abord, et enfin sur le dos. Je ne sais pas trop où j’en suis, je suis un peu dépassé par la situation, mais ça ne dure pas longtemps : Sébastien vérifie l’état de ma queue en la prenant en main : j’ai toujours une trique d’enfer (je n’ai pas éjaculé, moi !). Sébastien me masturbe quelques instants, puis me prend en bouche et commence à me sucer tout en me caressant les couilles. Je suis dans un état d’excitation tel que la montée est irrésistible et je recommence à couiner de plus belle. C’est terrible, j’en ai honte mais c’est si bon que je ne peux m’en empêcher. Voilà Sébastien parti dans une fellation diabolique, voluptueuse à souhait et d’une terrible intensité : sa langue s’enroule autour de mon gland, passe sur le sillon et me met littéralement sur le gril. Mes gémissements sont de plus en plus impudiques et sonores et du coup il continue de plus belle pour me soumettre un peu plus, pour que sois sa chose à nouveau.
J’ai compris son fonctionnement : ne pas me faire jouir trop vite, me rendre dingue, m’obliger à gémir et à me trémousser, à me tortiller et à en redemander. C’est évidemment ce que je fais pendant plusieurs minutes. Il n’a pas l’air de se lasser et continue à me soumettre ainsi, à me maintenir dans cet état si proche de l’orgasme. Dès que je suis sur le point d’éjaculer, il s’arrête un peu, attend et recommence quand l’alerte est passée. Je deviens presque fou mais Sébastien, particulièrement endurant, continue à m’infliger ce traitement …Une éternité s’écoule ainsi. Je suis épuisé et pourtant j’en redemande. Mais l’inévitable finit par arriver : quand j’explose dans la bouche de Sébastien, je suis dans un tel état que je me mets à trembler de tout mon corps et à pousser un long cri. Je suis tétanisé, j’ai l’impression d’être dominé par un orgasme si puissant que toute retenue, toute convenance me quitte. Je suis anéanti, vidé, mais comblé. Pendant de longues secondes je reprends mes esprits avant de me laisser aller et de me détendre. Et puis je m’enfonce très vite dans le sommeil avec un bien-être merveilleux mais un peu angoissant. Qu’est-ce-que je suis devenu en quelques heures ? Je viens quand même de subir quatre sodomies et, en plus d’une irritation assez douloureuse, je me sens de plus en plus déstabilisé. Mais la nuit porte conseil, dit-on …
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Ecrivain2848
13 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours super récit et quelle chance de retrouver un tel ami, bien monté et aussi endurant..... Je suis jaloux !!!!
le plaisir , bien des fois ,depasse la honte et c est la le meilleur .
Deux beaux gars qui font l amour .... huuuummm .
Deux beaux gars qui font l amour .... huuuummm .
Belle histoire et qu'elle endurance. Chapeau j'ai lu les quatre récits absolument excitant !!
Comme depuis le début, j'adore c'est toujours aussi mignon et hot, vivement la suite :)
Belle histoire, heureusement que le copain a une bonne crème !!!!....Vous m'avez bien fait rire tous les deux avec vos réparties (pas méchamment) je veux... Je ne veux pas ? Espérons que
cette histoire aura une suite heureuse. Je vous embrasse.
Chatouredon.
cette histoire aura une suite heureuse. Je vous embrasse.
Chatouredon.
salut a vous tres belle 3er expérience, ca ma fait bander votre partage conplice, je pence que vous vous êtes bien eclatez vous sans vous poser de question bisous a vous deux
c'est excellent et ça attend une suite qui est certainement prévue !
merci et bisous partout et à plus
merci et bisous partout et à plus
Passionnant, vous avez beaucoup de talent pour raconter
Génial !! Mais j'adore !! Vivement la suite !! C'est très excitant à lire !
j'adore, j'aimerais bien que ça se passe avec mec que j'héberge
Toujours aussi excitant! La honte ne sert à rien, il n'y a que le plaisir qui compte. J'aurais donné cher pour observer la scène ou m'être fait prendre par toi alors que ton copain te sodomisait...
Rien de mieux qu'un amant qui nous fait languir... Toujours aussi bien décrit, bravo!
waou, vraiment super cette suite, humm
vraiment bandante, mais tu ne mentionne pas si ton copain Sébastien est gay ou bi ???
il y aurait- il une autre suite .. hi hi
vraiment bandante, mais tu ne mentionne pas si ton copain Sébastien est gay ou bi ???
il y aurait- il une autre suite .. hi hi