Maudites vacances (9): Quand la routine s’installe …
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Maudites vacances (9): Quand la routine s’installe …
Je me réveille. Corinne n’est déjà plus là, elle est partie faire des courses. Jonathan dort encore. J’ai à peu près bien dormi cette nuit, mais je ne suis pas rassuré par la journée qui m’attend. Jonathan va encore me faire cocu avec ma bénédiction, je vais encore devoir lui faire des gâteries. Je n’ai vraiment pas le beau rôle. Non seulement j’ai la honte de me laisser faire, mais je me sens minable avec ma petite bite de branleur pendant que Jonathan fait grimper ma femme aux rideaux plusieurs fois par jour ; en plus, je suis toujours inquiet à l’idée que Corinne puisse me surprendre et découvrir ce que je suis : cocu excité, voyeur honteux, branleur refoulé et suceur inspiré. La totale ! Pas sûr que ça plaise à une femme de découvrir son homme sous cet aspect. Maudites vacances !
Je me lève, je vais prendre une douche pour me détendre et me réveiller. L’eau chaude, le savon : mmmm, je profite de ce moment de douce sensualité, mais ça ne dure pas. Tout à coup Jonathan entre dans la salle de bains et s’invite sans me demander mon avis. La douche est spacieuse, mais je trouve qu’il aurait quand même pu me demander mon avis.
- Tu as raison, rien de tel qu’une bonne douche pour bien commencer la journée. Et une bonne pipe aussi ! Il ne faudrait pas perdre le rythme.
En fait, je suis devenu son esclave sexuel, ni plus ni moins. Une fois de plus je n’ai pas la force de répondre et d’argumenter. Je ne dis rien, je le laisse mariner un peu. Mais avec Jonathan, tout est prétexte à revenir au même sujet. Il se savonne très vite partout, puis s’attarde sur son sexe et me regardant fixement. Il commence évidemment à bander, car il sait ce que je vais lui faire. Quelle ordure, je n’arrive décidément pas à m’y habituer !
- Tu vois, je te prépare le travail, je suis un vrai pote, non ?
Je comprends son langage à peine codé. Il se caresse la queue, et cette dernière se dresse déjà fièrement. C’est pas possible, ce type est une machine à bander. Maintenant, il se rince et s’adosse au mur de la douche en me regardant avec un petit sourire satisfait au coin des lèvres. Je m’agenouille à ses pieds et lui saisis la queue déjà dure. Je le branle un peu avant de l’avaler, et c’est reparti pour une pipe matinale. J’espère simplement qu’il ne va pas se retenir une éternité comme hier soir, car le sol de la douche n’est pas vraiment confortable. Je vais donc tout faire pour qu’il puisse éjaculer rapidement, et qu’on passe à autre chose. Il va avoir droit au grand jeu.
Je suis devenu une vraie salope de suceuse. Tout y passe : les lèvres, la bouche, la langue et même un peu la gorge par moments. J’y mets aussi les mains pour ajouter du piment : des caresses sur les couilles et sur les fesses. Il est sous le charme : il soupire, il gémit, il grogne, il m’encourage.
- Putain, ma salope, tu suces vraiment trop bien, j’adore, oui, encore, c’est ça …
Je l’ai bien en bouche ce matin, il part au quart de tour. Je vais le mettre sur le gril et lui faire la totale. Un peu de savon, et je glisse dans la raie de ses fesses. J’arrive très vite sur son petit trou, je passe et repasse dessus, puis je lui rentre mon doigt dans le cul.
- C’est pas possible, où est-ce que t’as appris des trucs comme ça ? Mmm … oui, c’est super …
C’est parti pour lui doigter le cul. Je sens qu’il va me supplier en gémissant dans quelques minutes. Ça va, c’est moi qui maîtrise la situation : j’en fais ce que je veux.
Quelques secondes plus tard, je suis d’autant plus surpris quand il m’interrompt et me relève. Que se passe-t-il ? Il n’apprécie pas le traitement ? Je ne comprends pas. Il est face à moi, il commence à prendre du savon et me tourne face au mur. Il me savonne les épaules. On fait quoi, là ? On va où ? On arrête ?
Quand je sens Jonathan qui descend sur mes reins et qui me savonne les fesses, puis qu'il passe un doigt dans ma raie et qu’il s’attarde sur ma rondelle, je frissonne et sursaute.
- Non, mais … ? Qu’est-ce-que tu fais ?
- Mais mon vieux, je fais comme toi : tu me mets un doigt dans le cul, je te rends la pareille.
Et, effectivement, la seconde d’après, le voilà qui me doigte le cul et qui vérifie l’état de ma queue : pas de doute, j’ai la gaule. Il s’enhardit et me lime avec son doigt tout en me branlant. Je ne peux pas faire semblant. Je respire plus fort, je pousse des petits cris d’indignation, mais ça n’a pas l’air d’inquiéter Jonathan qui continue de plus belle. Quand il retire son doigt, qu’il appuie sur mes épaules pour que je me penche en avant et que je sens sa queue raide qui glisse dans ma raie, je réalise vraiment ce qui m’attend.
- Attends, c’est bon, là ! T’arrêtes un peu, oui ?
- Jamais de la vie ! Tu bandes comme un âne chaque fois que tu me suces, tu me mets un doigt dans le cul et tu gémis comme une pucelle quand j’en fais autant, j’ai compris ton jeu : t’es comme ta femme, il te faut une bonne bite dans le cul pour te calmer, c’est tout !
Il a calé son gland sur ma rondelle, il m’a saisi les fesses et maintenant il les écarte tout en avançant son bassin.C’est pas possible ! Il veut définitivement me soumettre en me sodomisant, comme si ça ne lui suffisait pas de me cocufier et de m’utiliser comme vide-couilles !
- Non, mais arrête, c’est bon, j’ai pas envie !
- Menteur, je sais bien que t’es qu’une salope, au fond. Je préfère baiser ta femme, mais je suis un vrai copain, je vais t’aider à te révéler et à t’assumer. Tu vas sentir ma bite dans ton cul, ça te fera une expérience !
- Mais je t’ai rien demandé, moi ! Ohhh … !
L’espace d’une seconde, j’ai eu un réflexe malheureux. Au lieu de serrer les fesses pour l’empêcher de passer, je me suis détendu pour ne pas avoir mal. Ça y est, son gland a passé la barrière de mon sphincter et je me fais tout simplement enculer. Ce que Jonathan ne sait pas, c’est que ce n’est pas ma première expérience de ce genre. Je me suis déjà fait sodomiser plus d’une fois et j’avais apprécié à l’époque. Simplement, je supporte mal de me trouver en état d’infériorité une fois de plus. Je me fais donc enculer par le mec qui me fait cocu, mais le plus humiliant, c’est que sa bite me fait un bien fou : j’ai un plaisir immense à sentir sa grosse queue qui me rentre dans le cul. Je me sens tendu, envahi, humilié et misérable, mais j’aime sentir ce pieu qui pénètre mon intimité et me donne des sensations à nulle autre pareille.
- T’as le cul serré mais pas tant que ça, finalement. Je vais pouvoir comparer avec ta femme …
- Salaud, tu ne crois pas que t’en eu assez, non ?
- Ben non, justement. Baiser le mari après la femme, c’est sympa, non ? Mais rassure-toi, je vais y aller doucement au début.
Je ne sais plus quoi faire. Il se met en marche et commence à me limer très lentement pour ne pas me faire mal, ce qui est une précaution inutile car je prends déjà un plaisir immense à me faire ainsi fouiller le cul et à sentir son engin qui coulisse si bien. J’essaie de cacher mon excitation et mon plaisir mais je crains bien que Jonathan ne se laisse pas berner longtemps. En voyant que je le laisse faire avec résignation et soumission, il accélère un peu le rythme et le résultat ne se fait pas attendre : je respire plus fort, je soupire et je lâche même quelques gémissements qui me trahissent. Jonathan a compris.
- C’est bien ce que je pensais : en fait t’es une vraie salope, comme ta femme. Je commence à comprendre pourquoi tu bandes à chaque fois que je la baise ou que tu me suces. Tu apprécies ma queue, un point c’est tout. Plus je te lime, et plus ça te plait, hein ? Tu vois, je suis sympa, je t’en fais profiter.
- Ohhh … T’es qu’un gros dégoûtant, un vicieux, un obsédé …
- Mmmm … C’est bien ça, on croirait entendre ta femme.
- Tu penses donc qu’à ça ?
- Ben, oui. Tant que ça marche, pourquoi se priver ? Et puis, baiser le mari après la femme, c’est plutôt bandant, finalement. Un petit cul de salope en plus à limer, ça se refuse pas.
Ce mec est un monstre et moi je suis le dernier des derniers. Rien à faire, non seulement il dispose de moi à sa guise, mais j’arrive de moins en moins à cacher le plaisir qu’il me fait subir. Quand je sens sa grosse queue qui va et vient dans mon cul, l’image du mâle et de la femelle me submerge et c’est la confusion la plus totale dans ma tête. Je pense à ma femme qui me cocufie depuis trois jours, je pense à la position que j’occupe en ce moment. Jonathan augmente un peu plus la cadence et je ne peux m’empêcher de pousser des soupirs, des gémissements et des petits cris. Il ralentit un peu et vérifie l’état de ma queue. C’est foutu : je suis dur comme du bois.
- Eh ben, ma salope, je le crois pas : t’es fait pour te faire bourrer le fion ! T’as de la chance d’avoir un copain comme moi … Puisque t’aimes ça, tiens-toi bien, tu vas avoir droit au grand jeu, ma poule.
Je déteste la vulgarité de ces propos et pourtant je suis toujours plus excité par cette domination qu’il m’impose et par ses commentaires graveleux. Maintenant, Jonathan a encore accéléré : il me bourre comme une brute. Je pousse des cris à chaque coup de bite. Le plaisir monte au fur et à mesure que sa queue me fouille et que ses mains m’agrippent les hanches. C’est sûr, je ne suis plus qu’une belle salope qui se fait limer et qui encaisse avec volupté les assauts d’un mâle qui veut se défouler et se soulager.
- Ouais … C’est tout bon, je te nique le cul …
- Ahhh ! Ohhhh !
- Oui, c’est ça, vas-y, gueule … T’aimes ça, en fait …
- Ahhh !
- Putain, j’en peux plus, je vais te saillir comme une femelle. Oh, oui, je sens que ça vient …
Tout en lâchant ses dernières forces dans la bataille, il se met à grogner et, dans la folie de l’éjaculation qui s’approche, il me tient d’une main et me met une claque sur une fesse de l’autre. Je pousse un cri d’indignation, mais ça ne semble pas le gêner, au contraire. Il recommence de plus belle et commence à m’administrer d’autres claques sur les fesses. Dans la frénésie de l’orgasme qui l’envahit et du plaisir qui commence à m’inonder, je ne sais plus ce qui m’arrive et je perds pied. Je crie à chaque coup de rein et à chaque claque, mais plus je fais ça, plus Jonathan interprète ça comme un encouragement pour aller plus loin ; du coup, il met la barre plus haut et continue à me traiter de tous les noms, à m’enculer sauvagement et à me considérer comme sa chose.
Le truc classique, mais bestial : il finit par s’acharner sur moi comme une furie et quand il se bloque pour m’engrosser comme si j’étais sa femelle, je suis moi-même dans un état second, incapable de faire autre chose que de gémir continuellement comme la belle salope que je suis devenu.
Cette fois, ça y est : je sens sa queue qui se bloque et des jets de sperme chaud qui m’inondent le cul. Jonathan se vide de son air et de son foutre et, vaincu, décide de m’entraîner dans sa folie orgiaque : son membre viril toujours planté en moi, il me prend la queue et me branle à toute vitesse pour que je le rejoigne dans l’orgasme. Ça ne traîne pas et je finis à mon tour par juter en criant, un orgasme honteux me prenant en tenaille entre mon sexe et mon cul.
Le retour au calme se fait comme les autres fois : Jonathan fier de son coup et me faisant des compliments sur mes qualités de salope bonne à bourrer, moi honteux non seulement de l’avoir laissé faire mais aussi (et surtout) d’y avoir pris du plaisir.
Ce qui m’inquiète le plus, c’est « l’effet cliquet » ou « les avantages acquis » que Jonathan applique à chaque situation depuis le début de la semaine. Maintenant qu’il m’a sodomisé, je crains bien qu’il ne décide de remettre ça, et je ne vois pas bien ce que je pourrai faire pour l’en empêcher. Bon, on verra bien, après tout, la journée ne fait que commencer …
(…)
10 h 30
Je me suis de nouveau éclipsé misérablement sous prétexte de faire un footing avant l’arrivée de la chaleur. Je suis à présent aux ordres de Jonathan et il me tient totalement en son pouvoir, alors je n’ai pas le choix. Autant que je lui laisse la place pour baiser Corinne, de toute façon je n’arrive pas à l’en empêcher.
J’ai repris mon poste d’observation de la veille mais pour l’instant il ne se passe rien. Jonathan reste immobile, allongé sur son transat, comme s’il n’était pas intéressé par ma femme. Ça marche bien car c’est finalement elle qui prend l’initiative. Elle doit être vexée qu’il ne lui saute pas dessus comme un bouc en rut, alors elle s’approche de lui et commence à le provoquer, à le taquiner. Jonathan fait le mec blasé, ce qui a le don d’énerver Corinne. Du coup elle sort la grosse artillerie : elle s’assoit d’abord sur les cuisses de Jonathan. Ainsi installée, elle peut mieux le dominer et l’empêcher de bouger. Ensuite elle retire son haut de maillot pour qu’il puisse contempler ses seins qui ondulent au gré des mouvements lascifs qu’elle exécute. Pour être sûre de son coup, elle ouvre une bouteille d’huile pour le corps et commence à s’en enduire les bras, les épaules, le ventre et, bien évidemment, les seins.
Je pense que Jonathan ne va pas tenir longtemps. Elle pousse des petits soupirs de salope en chaleur, mais il essaie de rester impassible, et il a apparemment du mal car une bosse se forme au niveau de son maillot. Corinne commence à jubiler : elle est rassurée sur ses charmes.
- Oh là là ! Moi qui croyais que tu voulais te reposer … Il y a décidément toujours une partie de ton corps qui n’arrive pas à rester au calme. Mon pauvre ! Il va encore falloir qu’on s’occupe de ton problème …
Elle se redresse, retire son bas de maillot avant d’en faire de même avec celui de Jonathan. Le sexe de ce dernier jaillit et se dresse pour la plus grande satisfaction de Corinne qui le regarde d’un air gourmand. Elle se rassoit sur ses cuisses, et, le plus naturellement du monde, se met à le branler à deux mains en l’aguichant avec des mouvements sensuels. Jonathan a compris le message et, toujours allongé et immobilisé par le poids de Corinne qui est assise sur lui, il commence à s’occuper de ses seins. Quelle salope ! Quand je pense que c’est ma femme que je regarde, j’ai toujours autant de mal à m’y faire, même si ça m’excite comme les autres fois.
Quelques minutes de ce traitement et, en toute logique, Corinne finit par se redresser légèrement, juste de quoi guider la queue de Jonathan vers sa fente. Elle se rassoit et s’empale sur la grosse bite de mon « copain » en poussant le soupir de satisfaction qui va avec. Me voici donc cocufié une fois de plus. Je sors mon sexe bien dur et commence à me branler. C’est encore ce que j’ai trouvé de mieux pour « faire baisser la pression », car j’ai envie d’exploser, comme les autres fois. Je ne peux pas dire que j’apprécie de voir ma femme se faire baiser, ni même que je m’y habitue, mais presque … En tout cas, ce rituel me permet de prendre une forme de plaisir malgré tout.
Bon, je passe les détails : après vingt minutes à voir ma femme se faire limer et peloter les seins, à l’entendre gémir et jouir comme la belle salope qu’elle est devenue (deux orgasmes coup sur coup ce coup-ci), la libération arrive : Jonathan finit par se lâcher dans son vagin et je l’imite presque aussitôt dans mon mouchoir. Corinne reprend son souffle, fière d’avoir pu se prouver une fois de plus qu’elle était irrésistible.
J’attends le moment propice pour quitter discrètement mon poste d’observation, mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Corinne emmène Jonathan dans la piscine et les voilà qui se baignent sans même avoir remis leurs maillots de bain. Deux minutes plus tard, je m’aperçois que Corinne recommence à provoquer et taquiner Jonathan, et même à se moquer de lui :
- Oh, là là ! Comme c’est dommage, ce petit machin encore si vaillant il y a quelques minutes … Au moment où ça devenait intéressant !
Elle parle évidemment du sexe de Jonathan, à présent au repos et d’une taille beaucoup moins spectaculaire. Avec son esprit d’à propos habituel, la réponse de Jonathan ne tarde pas :
- Que veux-tu ? Il a besoin de sollicitations. Il se sent seul et oublié …
Piquée au vif, Corinne répond comme je le craignais : elle s’approche de Jonathan et se met en tête de le refaire bander. Pendant une fraction de seconde, j’espère qu’elle ne va pas y arriver : après tout, il vient de la baiser il y a seulement deux ou trois minutes ; mais hélas, quand Corinne a une idée en tête …
Toujours pire : c’est la devise. Tout y passe : caresses, masturbation, branlette Espagnole, fellation. Quelques minutes plus tard, c’est reparti pour une belle érection : Corinne à genoux à moitié dans l’eau s’occupe de la trique de Jonathan qui, debout et rayonnant, profite du plaisir qui monte.
Pendant dix bonnes minutes j’ai droit au spectacle de Corinne qui s’acharne sur la queue de Jonathan pendant que ce dernier se laisse faire avec ravissement.Il fait durer le plaisir pour ne pas éjaculer trop vite (facile quand on vient de baiser quelques minute avant !). Et puis, comme je m’y attendais, quand Corinne estime qu’elle a assez donné de sa personne, elle se met en place pour se faire ramoner une fois de plus, dans cette position qu’elle semble affectionner : assise au bord de la piscine, cambrée et la poitrine offerte. Jonathan ne se fait pas attendre. Il la prend sous les genoux, lui écarte bien les jambes et la pénètre une fois de plus.
Le rituel est préservé : en bon voyeur cocu que je suis, j’ai eu le temps de me remettre à bander et je commence à me caresser la queue tout doucement car j’ai un sombre pressentiment : je pense qu’il il va la limer pendant une éternité, surtout qu’il sait que je suis planqué en train de mater et de me masturber.
Je ne suis pas déçu : plus d’une demi-heure de débauche, de sexe et de fureur (avec quand même quelques baisses de rythme pour reprendre leur souffle) ; plusieurs orgasmes sonores de la part de Corinne (c’est pas possible cette nana ! C’est une machine à jouir ou quoi ?) et la panoplie qui va avec : changements de position, commentaires graveleux, …
Quand enfin Jonathan jette ses dernières forces dans la bataille en la défonçant littéralement et en finissant lui aussi par un orgasme violent, je suis presque surpris. Je pensais que ces deux là baiseraient toute la journée sans interruption. Je m’achève aussi (je mets un point d’honneur à éjaculer aussi souvent que Jonathan, pour me prouver que finalement, d’une certaine manière, j’ai autant de capacités que lui) puis, dès que l’occasion se présente, je quitte mon poste d’observation.
(…)
14 h 30.
Corinne est partie chez le coiffeur. Comme je le craignais, Jonathan a aussitôt exigé que je lui taille une pipe. Évidemment, il fait durer car il sait que nous ne risquons pas d’être dérangés avant une heure ou deux. Ça fait bien un quart d’heure que je le suce pendant que ce salopard commente la scène, m’encourage, me donne des instructions, me félicite ou me traite de salope selon l’inspiration. Je ne me pose plus de question, je suis devenu aussi une bête de sexe à ma manière. D’ailleurs, comme les autres fois, j’ai une érection significative qui conforte Jonathan dans l’idée que je suis bien dans mon rôle. Nous sommes dans la chambre, c’est plus confortable et ça limite les risques de se faire surprendre par un étranger.
Ce que je craignais depuis ce matin arrive : Jonathan a décidé de me faire subir l’outrage ultime. Il interrompt ma fellation et m’allonge sur le lit avec autorité. Une fraction de seconde j’espère qu’il va me rendre la pareille, mais je déchante très vite : il prend un tube de gel, en met sur son doigt et me badigeonne la rondelle, m’enfonce un doigt dans le cul et se met en position pour me sodomiser.
Il s’accroupit devant moi, me prend sous les genoux, m’écarte les jambes et cale son gland sur mon anus. Quand il me pénètre en exigeant que je le regarde dans les yeux, je décèle en lui un plaisir sadique à la mesure de la honte que je suis obligé de subir. Je me fais sodomiser une fois de plus, et mon sexe tendu est impossible à cacher.
- Allez, ma salope, cette fois c’est toi qui vas te branler pendant que je te lime. Regarde-moi bien dans les yeux, tu sens comment je t’encule ? Oui, c’est ça … C’est bien, comme ça …
Je veux t’entendre gueuler pendant que tu prends ma bite dans le cul.
J’obéis. De toute façon, c’est encore le meilleur moyen de se tirer de cette situation, non ? Je me décide donc à me masturber pendant que la queue de Jonathan va et vient dans mon cul. C’est affreux : encore plus que ce matin, je suis incapable de cacher le plaisir que me fait subir Jonathan et c’est ça qui me rend malade. Plus j’ai honte et plus je suis excité. Je laisse échapper des soupirs, puis des gémissements et enfin des cris. Le plaisir monte par ma queue et mon cul et je perds les pédales, du coup je gueule de plus en plus fort et Jonathan semble se délecter. Bizarre, quand même de se trouver dans cette situation pour deux hétéros, non ?
Je n’ai aucune envie de faire durer, et je veux que tout ceci cesse. Je décide donc d’abréger cette scène et j’accélère le rythme. Je suis devenu un virtuose de la branlette et j’arrive très vite à atteindre le point de non retour, mais la sodomie que m’inflige Jonathan décuple mon plaisir et le fait durer, si bien que je suis submergé par un orgasme qui dure plusieurs dizaines de secondes pendant lesquelles je me fais pistonner le cul en gueulant et en éjaculant sur mon ventre.
Jonathan semble apprécier le résultat obtenu et finit de me bourrer le cul en grognant et en me traitant de salope. Moi, je n’ai même pas besoin de me forcer pour assumer mon rôle : pendant qu’il me lime et bien qu’ayant déjà éjaculé, je continue de ressentir un bien-être merveilleux au niveau de mon cul, pour mon plus grand malheur (ou bonheur ?).
(…)
16 h 30
Corinne est rentrée de chez le coiffeur depuis une petite demi-heure. Moi, je fais comme hier, en prétextant qu’il fait trop chaud et que j’ai envie de faire la sieste au frais dans la chambre. Elle va finir par se douter de quelque chose, mais je n’ai pas trouvé d’excuse valable pour m’éclipser discrètement. Faudra que je trouve un truc nouveau pour la prochaine fois. J’ai repris mon poste d’observation, planqué derrière les rideaux du salon.
Jonathan est parti à la cuisine, il revient avec un plateau et tout ce qu’il faut pour un goûter rafraichissant : fraises, chantilly, sucre … Quelques instants plus tard je découvre ce qu’il a en tête. Il compte simplement faire une variation sur le thème « sexe et gastronomie ».
- C’est l’heure du goûter, je m’occupe de tout, laisse-toi faire.
Corinne, allongée sur le transat, jette un coup d’œil curieux pendant que Jonathan s’organise. Elle pousse un petit cri suivi d’un rire coquin quand Jonathan lui retire le plus naturellement du monde son maillot de bain. Pas de doute, il est vraiment le maître chez lui, et il dispose de ma femme à sa guise ! Je sens que je vais encore passer un mauvais moment.
La suite me donne raison. Jonathan a décidé de jouer avec la nourriture, en développant ce qu’il a fait l’autre jour avec une glace italienne : badigeonner les seins de Corinne avec de la crème chantilly pour pouvoir la lécher ensuite. Dans le genre, il réussit plutôt bien son coup, car Corinne apprécie et l’encourage en roucoulant, en riant et en soupirant. Par moments il prend une fraise qu’il trempe dans la chantilly, accrochant au passage le téton d’un sein avec lequel il joue, puis il mordille ce dernier délicatement avant de s’occuper de la fraise. Il recommence en y mettant du sucre, il lèche ensuite consciencieusement un sein en entier, puis l’autre, et recommence avec des variations. Après avoir passé un bon moment à lécher les seins de Corinne, il s’occupe de sa chatte, puis, comme il fallait s’y attendre, Corinne lui rend la pareille en s’occupant de sa queue. Il n’y a plus de fraises, ils ont l’un et l’autre abandonné la chantilly et se contentent maintenant d’une gastronomie naturelle en se finissant avec un 69 des plus classiques. À entendre les gémissements et les grognements des deux côtés, ils ont l’air sacrément excités tous les deux. Au moins, comme ils ont la bouche pleine, je n’ai pas à entendre ces habituels commentaires que j’ai tant de mal à encaisser … Encore que le spectacle et les gémissements qui me sont proposés valent tous les commentaires du monde : c’est chaud, c’est très chaud ! Ils ont l’air super motivés tous les deux pour faire jouir l’autre avec leur bouche, et ça ressemble à une compétition de haut niveau.
Moi, comme d’habitude, je compte les points en me masturbant. En fait, l’homme à la queue de béton, c’est moi ! Vu comment je bande, je crois que j’ai droit à une mention spéciale, non ?
Quelques minutes plus tard, c’est la fin : Jonathan éjacule dans la bouche de ma femme, mais il n’a pas perdu la partie pour autant car Corinne est tout flagada : elle a encore joui comme une dingue et ça n’a échappé à personne, surtout pas à moi qui achève de me branler tout seul dans mon coin.
(…)
18 h 30
Jonathan et Corinne m’on refait le coup d’hier : pendant que je lézardais au soleil, Corinne est soi-disant partie prendre une douche, mais comme Jonathan l’a suivie, je leur ai emboîté le pas discrètement pour mater. Ils sont dans la chambre, j’entends leurs voix. La seule différence d’avec hier, c’est que la porte est fermée et qu’il est en train de la tringler sans que je puisse voir quoi que ce soit. Je me sens incroyablement frustré. Je sais qu’il est en train de la baiser, mais même en regardant par le trou de la serrure, je n’arrive à rien voir. Je colle mon oreille contre la porte pour écouter. Au lieu d’être soulagé, c’est plutôt pire. J’ai juste le son. Tout y passe : soupirs, halètements, gémissements, cris, feulements, … En définitive, le pire quand on est cocu, c’est d’entendre sans rien voir :
- Mmmm … T’es vraiment trop bonne à culbuter, toi !
- Ohhh ! Ahhh !
- T’es vraiment faite pour vivre à quatre pattes, ma salope. Oui, c’est ça, j’aime quand tu remues du croupion, ça me motive.
- Ohhh … Tu penses donc qu’à ça ?
- Ouais … T’es vraiment trop bonne, faut que je te baise. Avoue, t’aimes bien sentir ma grosse bite dans ta chatte, hein ?
- Ohhhh …
- Réponds, espèce de salope, t’en veux encore, hein ?
- Ohhh, ohhh … Oui, c’est bon, continue …
- T’inquiète, je vais bien te limer, tu vas encore avoir droit à une bonne bourre avant dîner, ma poule.
Je déteste quand il l’appelle « ma poule », mais … que faire ? Comme d’habitude, je me remets à bander, et comme les autres fois, je recommence à me branler.
- Tiens, faut pas perdre les bonnes habitudes, je vais m’occuper de ton cul, maintenant …
- Espèce de salaud … T’es vraiment qu’un gros dégoûtant … Ohhh !
- Ça calme, hein ? Une bonne bite dans le cul, il n’y a pas mieux, non ?
- Ohhhhh !
- J’aime bien t’enculer : j’ai remarqué que ça te coupait tous tes arguments.
- Ahhh … Ahhhh !
- Toi, ma biche, t’es faite pour la sodomie, il y a pas de doute. T’as de la chance, avec moi, tu vas être servie. J’ai pas fini de t’enculer, tu vas voir …
- Hhhh …. Mmmm …
- Voilà, c’est bien. Oui, laisse-toi aller, je sais que t’aimes ça, au fond.
- Mmmm …
- C’est ça, oui, cambre-toi bien. Tu y prends goût, hein ma salope ?
- Mmmm … Ohhh … Cochon … Oui, c’est bon … Encore …
Moins de dix minutes plus tard, au vu de la bande son, des gémissements, des cris et des grognements, je sens que c’est la fin. Corinne se fait apparemment bourrer comme une chienne et gueule de plaisir. C’est insupportable. Je n’en peux plus, je me soulage et j’éjacule dans mon mouchoir. Je reste quelques instants encore et ça confirme ce que je pensais : eux aussi arrivent au bout. Jonathan pousse un long cri, puis le silence s’installe. Je me sauve sans demander mon reste.
(…)
23 h 00
Il y a eu un orage ce soir et Jonathan ne m’a pas fait le coup de la balade au clair de lune. J’ai craint le pire, mais finalement, il ne s’est rien passé ce soir. On a dîné, on a regardé un film et tout le monde s’est couché chastement. Ouf ! Je peux souffler. Quand je refais le compte de la journée, je comprends pourquoi tout le monde veut dormir : Jonathan a baisé ma femme quatre fois (dont une sodomie et un 69) et m’a sodomisé deux fois. De mon côté, j’en suis à deux sodomies passives et six éjaculations masturbatoires. Quand je pense que suis censé me reposer ! Finalement, c’est sacrément long et fatigant, cette semaine de vacances …
Je me lève, je vais prendre une douche pour me détendre et me réveiller. L’eau chaude, le savon : mmmm, je profite de ce moment de douce sensualité, mais ça ne dure pas. Tout à coup Jonathan entre dans la salle de bains et s’invite sans me demander mon avis. La douche est spacieuse, mais je trouve qu’il aurait quand même pu me demander mon avis.
- Tu as raison, rien de tel qu’une bonne douche pour bien commencer la journée. Et une bonne pipe aussi ! Il ne faudrait pas perdre le rythme.
En fait, je suis devenu son esclave sexuel, ni plus ni moins. Une fois de plus je n’ai pas la force de répondre et d’argumenter. Je ne dis rien, je le laisse mariner un peu. Mais avec Jonathan, tout est prétexte à revenir au même sujet. Il se savonne très vite partout, puis s’attarde sur son sexe et me regardant fixement. Il commence évidemment à bander, car il sait ce que je vais lui faire. Quelle ordure, je n’arrive décidément pas à m’y habituer !
- Tu vois, je te prépare le travail, je suis un vrai pote, non ?
Je comprends son langage à peine codé. Il se caresse la queue, et cette dernière se dresse déjà fièrement. C’est pas possible, ce type est une machine à bander. Maintenant, il se rince et s’adosse au mur de la douche en me regardant avec un petit sourire satisfait au coin des lèvres. Je m’agenouille à ses pieds et lui saisis la queue déjà dure. Je le branle un peu avant de l’avaler, et c’est reparti pour une pipe matinale. J’espère simplement qu’il ne va pas se retenir une éternité comme hier soir, car le sol de la douche n’est pas vraiment confortable. Je vais donc tout faire pour qu’il puisse éjaculer rapidement, et qu’on passe à autre chose. Il va avoir droit au grand jeu.
Je suis devenu une vraie salope de suceuse. Tout y passe : les lèvres, la bouche, la langue et même un peu la gorge par moments. J’y mets aussi les mains pour ajouter du piment : des caresses sur les couilles et sur les fesses. Il est sous le charme : il soupire, il gémit, il grogne, il m’encourage.
- Putain, ma salope, tu suces vraiment trop bien, j’adore, oui, encore, c’est ça …
Je l’ai bien en bouche ce matin, il part au quart de tour. Je vais le mettre sur le gril et lui faire la totale. Un peu de savon, et je glisse dans la raie de ses fesses. J’arrive très vite sur son petit trou, je passe et repasse dessus, puis je lui rentre mon doigt dans le cul.
- C’est pas possible, où est-ce que t’as appris des trucs comme ça ? Mmm … oui, c’est super …
C’est parti pour lui doigter le cul. Je sens qu’il va me supplier en gémissant dans quelques minutes. Ça va, c’est moi qui maîtrise la situation : j’en fais ce que je veux.
Quelques secondes plus tard, je suis d’autant plus surpris quand il m’interrompt et me relève. Que se passe-t-il ? Il n’apprécie pas le traitement ? Je ne comprends pas. Il est face à moi, il commence à prendre du savon et me tourne face au mur. Il me savonne les épaules. On fait quoi, là ? On va où ? On arrête ?
Quand je sens Jonathan qui descend sur mes reins et qui me savonne les fesses, puis qu'il passe un doigt dans ma raie et qu’il s’attarde sur ma rondelle, je frissonne et sursaute.
- Non, mais … ? Qu’est-ce-que tu fais ?
- Mais mon vieux, je fais comme toi : tu me mets un doigt dans le cul, je te rends la pareille.
Et, effectivement, la seconde d’après, le voilà qui me doigte le cul et qui vérifie l’état de ma queue : pas de doute, j’ai la gaule. Il s’enhardit et me lime avec son doigt tout en me branlant. Je ne peux pas faire semblant. Je respire plus fort, je pousse des petits cris d’indignation, mais ça n’a pas l’air d’inquiéter Jonathan qui continue de plus belle. Quand il retire son doigt, qu’il appuie sur mes épaules pour que je me penche en avant et que je sens sa queue raide qui glisse dans ma raie, je réalise vraiment ce qui m’attend.
- Attends, c’est bon, là ! T’arrêtes un peu, oui ?
- Jamais de la vie ! Tu bandes comme un âne chaque fois que tu me suces, tu me mets un doigt dans le cul et tu gémis comme une pucelle quand j’en fais autant, j’ai compris ton jeu : t’es comme ta femme, il te faut une bonne bite dans le cul pour te calmer, c’est tout !
Il a calé son gland sur ma rondelle, il m’a saisi les fesses et maintenant il les écarte tout en avançant son bassin.C’est pas possible ! Il veut définitivement me soumettre en me sodomisant, comme si ça ne lui suffisait pas de me cocufier et de m’utiliser comme vide-couilles !
- Non, mais arrête, c’est bon, j’ai pas envie !
- Menteur, je sais bien que t’es qu’une salope, au fond. Je préfère baiser ta femme, mais je suis un vrai copain, je vais t’aider à te révéler et à t’assumer. Tu vas sentir ma bite dans ton cul, ça te fera une expérience !
- Mais je t’ai rien demandé, moi ! Ohhh … !
L’espace d’une seconde, j’ai eu un réflexe malheureux. Au lieu de serrer les fesses pour l’empêcher de passer, je me suis détendu pour ne pas avoir mal. Ça y est, son gland a passé la barrière de mon sphincter et je me fais tout simplement enculer. Ce que Jonathan ne sait pas, c’est que ce n’est pas ma première expérience de ce genre. Je me suis déjà fait sodomiser plus d’une fois et j’avais apprécié à l’époque. Simplement, je supporte mal de me trouver en état d’infériorité une fois de plus. Je me fais donc enculer par le mec qui me fait cocu, mais le plus humiliant, c’est que sa bite me fait un bien fou : j’ai un plaisir immense à sentir sa grosse queue qui me rentre dans le cul. Je me sens tendu, envahi, humilié et misérable, mais j’aime sentir ce pieu qui pénètre mon intimité et me donne des sensations à nulle autre pareille.
- T’as le cul serré mais pas tant que ça, finalement. Je vais pouvoir comparer avec ta femme …
- Salaud, tu ne crois pas que t’en eu assez, non ?
- Ben non, justement. Baiser le mari après la femme, c’est sympa, non ? Mais rassure-toi, je vais y aller doucement au début.
Je ne sais plus quoi faire. Il se met en marche et commence à me limer très lentement pour ne pas me faire mal, ce qui est une précaution inutile car je prends déjà un plaisir immense à me faire ainsi fouiller le cul et à sentir son engin qui coulisse si bien. J’essaie de cacher mon excitation et mon plaisir mais je crains bien que Jonathan ne se laisse pas berner longtemps. En voyant que je le laisse faire avec résignation et soumission, il accélère un peu le rythme et le résultat ne se fait pas attendre : je respire plus fort, je soupire et je lâche même quelques gémissements qui me trahissent. Jonathan a compris.
- C’est bien ce que je pensais : en fait t’es une vraie salope, comme ta femme. Je commence à comprendre pourquoi tu bandes à chaque fois que je la baise ou que tu me suces. Tu apprécies ma queue, un point c’est tout. Plus je te lime, et plus ça te plait, hein ? Tu vois, je suis sympa, je t’en fais profiter.
- Ohhh … T’es qu’un gros dégoûtant, un vicieux, un obsédé …
- Mmmm … C’est bien ça, on croirait entendre ta femme.
- Tu penses donc qu’à ça ?
- Ben, oui. Tant que ça marche, pourquoi se priver ? Et puis, baiser le mari après la femme, c’est plutôt bandant, finalement. Un petit cul de salope en plus à limer, ça se refuse pas.
Ce mec est un monstre et moi je suis le dernier des derniers. Rien à faire, non seulement il dispose de moi à sa guise, mais j’arrive de moins en moins à cacher le plaisir qu’il me fait subir. Quand je sens sa grosse queue qui va et vient dans mon cul, l’image du mâle et de la femelle me submerge et c’est la confusion la plus totale dans ma tête. Je pense à ma femme qui me cocufie depuis trois jours, je pense à la position que j’occupe en ce moment. Jonathan augmente un peu plus la cadence et je ne peux m’empêcher de pousser des soupirs, des gémissements et des petits cris. Il ralentit un peu et vérifie l’état de ma queue. C’est foutu : je suis dur comme du bois.
- Eh ben, ma salope, je le crois pas : t’es fait pour te faire bourrer le fion ! T’as de la chance d’avoir un copain comme moi … Puisque t’aimes ça, tiens-toi bien, tu vas avoir droit au grand jeu, ma poule.
Je déteste la vulgarité de ces propos et pourtant je suis toujours plus excité par cette domination qu’il m’impose et par ses commentaires graveleux. Maintenant, Jonathan a encore accéléré : il me bourre comme une brute. Je pousse des cris à chaque coup de bite. Le plaisir monte au fur et à mesure que sa queue me fouille et que ses mains m’agrippent les hanches. C’est sûr, je ne suis plus qu’une belle salope qui se fait limer et qui encaisse avec volupté les assauts d’un mâle qui veut se défouler et se soulager.
- Ouais … C’est tout bon, je te nique le cul …
- Ahhh ! Ohhhh !
- Oui, c’est ça, vas-y, gueule … T’aimes ça, en fait …
- Ahhh !
- Putain, j’en peux plus, je vais te saillir comme une femelle. Oh, oui, je sens que ça vient …
Tout en lâchant ses dernières forces dans la bataille, il se met à grogner et, dans la folie de l’éjaculation qui s’approche, il me tient d’une main et me met une claque sur une fesse de l’autre. Je pousse un cri d’indignation, mais ça ne semble pas le gêner, au contraire. Il recommence de plus belle et commence à m’administrer d’autres claques sur les fesses. Dans la frénésie de l’orgasme qui l’envahit et du plaisir qui commence à m’inonder, je ne sais plus ce qui m’arrive et je perds pied. Je crie à chaque coup de rein et à chaque claque, mais plus je fais ça, plus Jonathan interprète ça comme un encouragement pour aller plus loin ; du coup, il met la barre plus haut et continue à me traiter de tous les noms, à m’enculer sauvagement et à me considérer comme sa chose.
Le truc classique, mais bestial : il finit par s’acharner sur moi comme une furie et quand il se bloque pour m’engrosser comme si j’étais sa femelle, je suis moi-même dans un état second, incapable de faire autre chose que de gémir continuellement comme la belle salope que je suis devenu.
Cette fois, ça y est : je sens sa queue qui se bloque et des jets de sperme chaud qui m’inondent le cul. Jonathan se vide de son air et de son foutre et, vaincu, décide de m’entraîner dans sa folie orgiaque : son membre viril toujours planté en moi, il me prend la queue et me branle à toute vitesse pour que je le rejoigne dans l’orgasme. Ça ne traîne pas et je finis à mon tour par juter en criant, un orgasme honteux me prenant en tenaille entre mon sexe et mon cul.
Le retour au calme se fait comme les autres fois : Jonathan fier de son coup et me faisant des compliments sur mes qualités de salope bonne à bourrer, moi honteux non seulement de l’avoir laissé faire mais aussi (et surtout) d’y avoir pris du plaisir.
Ce qui m’inquiète le plus, c’est « l’effet cliquet » ou « les avantages acquis » que Jonathan applique à chaque situation depuis le début de la semaine. Maintenant qu’il m’a sodomisé, je crains bien qu’il ne décide de remettre ça, et je ne vois pas bien ce que je pourrai faire pour l’en empêcher. Bon, on verra bien, après tout, la journée ne fait que commencer …
(…)
10 h 30
Je me suis de nouveau éclipsé misérablement sous prétexte de faire un footing avant l’arrivée de la chaleur. Je suis à présent aux ordres de Jonathan et il me tient totalement en son pouvoir, alors je n’ai pas le choix. Autant que je lui laisse la place pour baiser Corinne, de toute façon je n’arrive pas à l’en empêcher.
J’ai repris mon poste d’observation de la veille mais pour l’instant il ne se passe rien. Jonathan reste immobile, allongé sur son transat, comme s’il n’était pas intéressé par ma femme. Ça marche bien car c’est finalement elle qui prend l’initiative. Elle doit être vexée qu’il ne lui saute pas dessus comme un bouc en rut, alors elle s’approche de lui et commence à le provoquer, à le taquiner. Jonathan fait le mec blasé, ce qui a le don d’énerver Corinne. Du coup elle sort la grosse artillerie : elle s’assoit d’abord sur les cuisses de Jonathan. Ainsi installée, elle peut mieux le dominer et l’empêcher de bouger. Ensuite elle retire son haut de maillot pour qu’il puisse contempler ses seins qui ondulent au gré des mouvements lascifs qu’elle exécute. Pour être sûre de son coup, elle ouvre une bouteille d’huile pour le corps et commence à s’en enduire les bras, les épaules, le ventre et, bien évidemment, les seins.
Je pense que Jonathan ne va pas tenir longtemps. Elle pousse des petits soupirs de salope en chaleur, mais il essaie de rester impassible, et il a apparemment du mal car une bosse se forme au niveau de son maillot. Corinne commence à jubiler : elle est rassurée sur ses charmes.
- Oh là là ! Moi qui croyais que tu voulais te reposer … Il y a décidément toujours une partie de ton corps qui n’arrive pas à rester au calme. Mon pauvre ! Il va encore falloir qu’on s’occupe de ton problème …
Elle se redresse, retire son bas de maillot avant d’en faire de même avec celui de Jonathan. Le sexe de ce dernier jaillit et se dresse pour la plus grande satisfaction de Corinne qui le regarde d’un air gourmand. Elle se rassoit sur ses cuisses, et, le plus naturellement du monde, se met à le branler à deux mains en l’aguichant avec des mouvements sensuels. Jonathan a compris le message et, toujours allongé et immobilisé par le poids de Corinne qui est assise sur lui, il commence à s’occuper de ses seins. Quelle salope ! Quand je pense que c’est ma femme que je regarde, j’ai toujours autant de mal à m’y faire, même si ça m’excite comme les autres fois.
Quelques minutes de ce traitement et, en toute logique, Corinne finit par se redresser légèrement, juste de quoi guider la queue de Jonathan vers sa fente. Elle se rassoit et s’empale sur la grosse bite de mon « copain » en poussant le soupir de satisfaction qui va avec. Me voici donc cocufié une fois de plus. Je sors mon sexe bien dur et commence à me branler. C’est encore ce que j’ai trouvé de mieux pour « faire baisser la pression », car j’ai envie d’exploser, comme les autres fois. Je ne peux pas dire que j’apprécie de voir ma femme se faire baiser, ni même que je m’y habitue, mais presque … En tout cas, ce rituel me permet de prendre une forme de plaisir malgré tout.
Bon, je passe les détails : après vingt minutes à voir ma femme se faire limer et peloter les seins, à l’entendre gémir et jouir comme la belle salope qu’elle est devenue (deux orgasmes coup sur coup ce coup-ci), la libération arrive : Jonathan finit par se lâcher dans son vagin et je l’imite presque aussitôt dans mon mouchoir. Corinne reprend son souffle, fière d’avoir pu se prouver une fois de plus qu’elle était irrésistible.
J’attends le moment propice pour quitter discrètement mon poste d’observation, mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Corinne emmène Jonathan dans la piscine et les voilà qui se baignent sans même avoir remis leurs maillots de bain. Deux minutes plus tard, je m’aperçois que Corinne recommence à provoquer et taquiner Jonathan, et même à se moquer de lui :
- Oh, là là ! Comme c’est dommage, ce petit machin encore si vaillant il y a quelques minutes … Au moment où ça devenait intéressant !
Elle parle évidemment du sexe de Jonathan, à présent au repos et d’une taille beaucoup moins spectaculaire. Avec son esprit d’à propos habituel, la réponse de Jonathan ne tarde pas :
- Que veux-tu ? Il a besoin de sollicitations. Il se sent seul et oublié …
Piquée au vif, Corinne répond comme je le craignais : elle s’approche de Jonathan et se met en tête de le refaire bander. Pendant une fraction de seconde, j’espère qu’elle ne va pas y arriver : après tout, il vient de la baiser il y a seulement deux ou trois minutes ; mais hélas, quand Corinne a une idée en tête …
Toujours pire : c’est la devise. Tout y passe : caresses, masturbation, branlette Espagnole, fellation. Quelques minutes plus tard, c’est reparti pour une belle érection : Corinne à genoux à moitié dans l’eau s’occupe de la trique de Jonathan qui, debout et rayonnant, profite du plaisir qui monte.
Pendant dix bonnes minutes j’ai droit au spectacle de Corinne qui s’acharne sur la queue de Jonathan pendant que ce dernier se laisse faire avec ravissement.Il fait durer le plaisir pour ne pas éjaculer trop vite (facile quand on vient de baiser quelques minute avant !). Et puis, comme je m’y attendais, quand Corinne estime qu’elle a assez donné de sa personne, elle se met en place pour se faire ramoner une fois de plus, dans cette position qu’elle semble affectionner : assise au bord de la piscine, cambrée et la poitrine offerte. Jonathan ne se fait pas attendre. Il la prend sous les genoux, lui écarte bien les jambes et la pénètre une fois de plus.
Le rituel est préservé : en bon voyeur cocu que je suis, j’ai eu le temps de me remettre à bander et je commence à me caresser la queue tout doucement car j’ai un sombre pressentiment : je pense qu’il il va la limer pendant une éternité, surtout qu’il sait que je suis planqué en train de mater et de me masturber.
Je ne suis pas déçu : plus d’une demi-heure de débauche, de sexe et de fureur (avec quand même quelques baisses de rythme pour reprendre leur souffle) ; plusieurs orgasmes sonores de la part de Corinne (c’est pas possible cette nana ! C’est une machine à jouir ou quoi ?) et la panoplie qui va avec : changements de position, commentaires graveleux, …
Quand enfin Jonathan jette ses dernières forces dans la bataille en la défonçant littéralement et en finissant lui aussi par un orgasme violent, je suis presque surpris. Je pensais que ces deux là baiseraient toute la journée sans interruption. Je m’achève aussi (je mets un point d’honneur à éjaculer aussi souvent que Jonathan, pour me prouver que finalement, d’une certaine manière, j’ai autant de capacités que lui) puis, dès que l’occasion se présente, je quitte mon poste d’observation.
(…)
14 h 30.
Corinne est partie chez le coiffeur. Comme je le craignais, Jonathan a aussitôt exigé que je lui taille une pipe. Évidemment, il fait durer car il sait que nous ne risquons pas d’être dérangés avant une heure ou deux. Ça fait bien un quart d’heure que je le suce pendant que ce salopard commente la scène, m’encourage, me donne des instructions, me félicite ou me traite de salope selon l’inspiration. Je ne me pose plus de question, je suis devenu aussi une bête de sexe à ma manière. D’ailleurs, comme les autres fois, j’ai une érection significative qui conforte Jonathan dans l’idée que je suis bien dans mon rôle. Nous sommes dans la chambre, c’est plus confortable et ça limite les risques de se faire surprendre par un étranger.
Ce que je craignais depuis ce matin arrive : Jonathan a décidé de me faire subir l’outrage ultime. Il interrompt ma fellation et m’allonge sur le lit avec autorité. Une fraction de seconde j’espère qu’il va me rendre la pareille, mais je déchante très vite : il prend un tube de gel, en met sur son doigt et me badigeonne la rondelle, m’enfonce un doigt dans le cul et se met en position pour me sodomiser.
Il s’accroupit devant moi, me prend sous les genoux, m’écarte les jambes et cale son gland sur mon anus. Quand il me pénètre en exigeant que je le regarde dans les yeux, je décèle en lui un plaisir sadique à la mesure de la honte que je suis obligé de subir. Je me fais sodomiser une fois de plus, et mon sexe tendu est impossible à cacher.
- Allez, ma salope, cette fois c’est toi qui vas te branler pendant que je te lime. Regarde-moi bien dans les yeux, tu sens comment je t’encule ? Oui, c’est ça … C’est bien, comme ça …
Je veux t’entendre gueuler pendant que tu prends ma bite dans le cul.
J’obéis. De toute façon, c’est encore le meilleur moyen de se tirer de cette situation, non ? Je me décide donc à me masturber pendant que la queue de Jonathan va et vient dans mon cul. C’est affreux : encore plus que ce matin, je suis incapable de cacher le plaisir que me fait subir Jonathan et c’est ça qui me rend malade. Plus j’ai honte et plus je suis excité. Je laisse échapper des soupirs, puis des gémissements et enfin des cris. Le plaisir monte par ma queue et mon cul et je perds les pédales, du coup je gueule de plus en plus fort et Jonathan semble se délecter. Bizarre, quand même de se trouver dans cette situation pour deux hétéros, non ?
Je n’ai aucune envie de faire durer, et je veux que tout ceci cesse. Je décide donc d’abréger cette scène et j’accélère le rythme. Je suis devenu un virtuose de la branlette et j’arrive très vite à atteindre le point de non retour, mais la sodomie que m’inflige Jonathan décuple mon plaisir et le fait durer, si bien que je suis submergé par un orgasme qui dure plusieurs dizaines de secondes pendant lesquelles je me fais pistonner le cul en gueulant et en éjaculant sur mon ventre.
Jonathan semble apprécier le résultat obtenu et finit de me bourrer le cul en grognant et en me traitant de salope. Moi, je n’ai même pas besoin de me forcer pour assumer mon rôle : pendant qu’il me lime et bien qu’ayant déjà éjaculé, je continue de ressentir un bien-être merveilleux au niveau de mon cul, pour mon plus grand malheur (ou bonheur ?).
(…)
16 h 30
Corinne est rentrée de chez le coiffeur depuis une petite demi-heure. Moi, je fais comme hier, en prétextant qu’il fait trop chaud et que j’ai envie de faire la sieste au frais dans la chambre. Elle va finir par se douter de quelque chose, mais je n’ai pas trouvé d’excuse valable pour m’éclipser discrètement. Faudra que je trouve un truc nouveau pour la prochaine fois. J’ai repris mon poste d’observation, planqué derrière les rideaux du salon.
Jonathan est parti à la cuisine, il revient avec un plateau et tout ce qu’il faut pour un goûter rafraichissant : fraises, chantilly, sucre … Quelques instants plus tard je découvre ce qu’il a en tête. Il compte simplement faire une variation sur le thème « sexe et gastronomie ».
- C’est l’heure du goûter, je m’occupe de tout, laisse-toi faire.
Corinne, allongée sur le transat, jette un coup d’œil curieux pendant que Jonathan s’organise. Elle pousse un petit cri suivi d’un rire coquin quand Jonathan lui retire le plus naturellement du monde son maillot de bain. Pas de doute, il est vraiment le maître chez lui, et il dispose de ma femme à sa guise ! Je sens que je vais encore passer un mauvais moment.
La suite me donne raison. Jonathan a décidé de jouer avec la nourriture, en développant ce qu’il a fait l’autre jour avec une glace italienne : badigeonner les seins de Corinne avec de la crème chantilly pour pouvoir la lécher ensuite. Dans le genre, il réussit plutôt bien son coup, car Corinne apprécie et l’encourage en roucoulant, en riant et en soupirant. Par moments il prend une fraise qu’il trempe dans la chantilly, accrochant au passage le téton d’un sein avec lequel il joue, puis il mordille ce dernier délicatement avant de s’occuper de la fraise. Il recommence en y mettant du sucre, il lèche ensuite consciencieusement un sein en entier, puis l’autre, et recommence avec des variations. Après avoir passé un bon moment à lécher les seins de Corinne, il s’occupe de sa chatte, puis, comme il fallait s’y attendre, Corinne lui rend la pareille en s’occupant de sa queue. Il n’y a plus de fraises, ils ont l’un et l’autre abandonné la chantilly et se contentent maintenant d’une gastronomie naturelle en se finissant avec un 69 des plus classiques. À entendre les gémissements et les grognements des deux côtés, ils ont l’air sacrément excités tous les deux. Au moins, comme ils ont la bouche pleine, je n’ai pas à entendre ces habituels commentaires que j’ai tant de mal à encaisser … Encore que le spectacle et les gémissements qui me sont proposés valent tous les commentaires du monde : c’est chaud, c’est très chaud ! Ils ont l’air super motivés tous les deux pour faire jouir l’autre avec leur bouche, et ça ressemble à une compétition de haut niveau.
Moi, comme d’habitude, je compte les points en me masturbant. En fait, l’homme à la queue de béton, c’est moi ! Vu comment je bande, je crois que j’ai droit à une mention spéciale, non ?
Quelques minutes plus tard, c’est la fin : Jonathan éjacule dans la bouche de ma femme, mais il n’a pas perdu la partie pour autant car Corinne est tout flagada : elle a encore joui comme une dingue et ça n’a échappé à personne, surtout pas à moi qui achève de me branler tout seul dans mon coin.
(…)
18 h 30
Jonathan et Corinne m’on refait le coup d’hier : pendant que je lézardais au soleil, Corinne est soi-disant partie prendre une douche, mais comme Jonathan l’a suivie, je leur ai emboîté le pas discrètement pour mater. Ils sont dans la chambre, j’entends leurs voix. La seule différence d’avec hier, c’est que la porte est fermée et qu’il est en train de la tringler sans que je puisse voir quoi que ce soit. Je me sens incroyablement frustré. Je sais qu’il est en train de la baiser, mais même en regardant par le trou de la serrure, je n’arrive à rien voir. Je colle mon oreille contre la porte pour écouter. Au lieu d’être soulagé, c’est plutôt pire. J’ai juste le son. Tout y passe : soupirs, halètements, gémissements, cris, feulements, … En définitive, le pire quand on est cocu, c’est d’entendre sans rien voir :
- Mmmm … T’es vraiment trop bonne à culbuter, toi !
- Ohhh ! Ahhh !
- T’es vraiment faite pour vivre à quatre pattes, ma salope. Oui, c’est ça, j’aime quand tu remues du croupion, ça me motive.
- Ohhh … Tu penses donc qu’à ça ?
- Ouais … T’es vraiment trop bonne, faut que je te baise. Avoue, t’aimes bien sentir ma grosse bite dans ta chatte, hein ?
- Ohhhh …
- Réponds, espèce de salope, t’en veux encore, hein ?
- Ohhh, ohhh … Oui, c’est bon, continue …
- T’inquiète, je vais bien te limer, tu vas encore avoir droit à une bonne bourre avant dîner, ma poule.
Je déteste quand il l’appelle « ma poule », mais … que faire ? Comme d’habitude, je me remets à bander, et comme les autres fois, je recommence à me branler.
- Tiens, faut pas perdre les bonnes habitudes, je vais m’occuper de ton cul, maintenant …
- Espèce de salaud … T’es vraiment qu’un gros dégoûtant … Ohhh !
- Ça calme, hein ? Une bonne bite dans le cul, il n’y a pas mieux, non ?
- Ohhhhh !
- J’aime bien t’enculer : j’ai remarqué que ça te coupait tous tes arguments.
- Ahhh … Ahhhh !
- Toi, ma biche, t’es faite pour la sodomie, il y a pas de doute. T’as de la chance, avec moi, tu vas être servie. J’ai pas fini de t’enculer, tu vas voir …
- Hhhh …. Mmmm …
- Voilà, c’est bien. Oui, laisse-toi aller, je sais que t’aimes ça, au fond.
- Mmmm …
- C’est ça, oui, cambre-toi bien. Tu y prends goût, hein ma salope ?
- Mmmm … Ohhh … Cochon … Oui, c’est bon … Encore …
Moins de dix minutes plus tard, au vu de la bande son, des gémissements, des cris et des grognements, je sens que c’est la fin. Corinne se fait apparemment bourrer comme une chienne et gueule de plaisir. C’est insupportable. Je n’en peux plus, je me soulage et j’éjacule dans mon mouchoir. Je reste quelques instants encore et ça confirme ce que je pensais : eux aussi arrivent au bout. Jonathan pousse un long cri, puis le silence s’installe. Je me sauve sans demander mon reste.
(…)
23 h 00
Il y a eu un orage ce soir et Jonathan ne m’a pas fait le coup de la balade au clair de lune. J’ai craint le pire, mais finalement, il ne s’est rien passé ce soir. On a dîné, on a regardé un film et tout le monde s’est couché chastement. Ouf ! Je peux souffler. Quand je refais le compte de la journée, je comprends pourquoi tout le monde veut dormir : Jonathan a baisé ma femme quatre fois (dont une sodomie et un 69) et m’a sodomisé deux fois. De mon côté, j’en suis à deux sodomies passives et six éjaculations masturbatoires. Quand je pense que suis censé me reposer ! Finalement, c’est sacrément long et fatigant, cette semaine de vacances …
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La femme est trop stupide et l'amant qu il lui envoie son point ds la figure
Franchement...bravo, j'adore cette série
Personnellement, j'adore le côté dominateur de l'amant, qui prend toute la place. Il agit comme un révélateur sur la sexualité de ce couple.
J'aimerais cependant que le rôle féminin devienne lui aussi un peu plus "castrateur" avec son mari^^...moins en retenue ! Là je trouve que tout est un peu trop séparé au niveau des actes...A quand le rapprochement inévitable ?
En tout cas, belle plume...je guette la suite tous les jours.
Félicitations
Personnellement, j'adore le côté dominateur de l'amant, qui prend toute la place. Il agit comme un révélateur sur la sexualité de ce couple.
J'aimerais cependant que le rôle féminin devienne lui aussi un peu plus "castrateur" avec son mari^^...moins en retenue ! Là je trouve que tout est un peu trop séparé au niveau des actes...A quand le rapprochement inévitable ?
En tout cas, belle plume...je guette la suite tous les jours.
Félicitations
Moi je me pose des questions entre la réalité et le fantasme. Et je me dit que plus le texte se passe plus il s'enfonce dans le fantasme.
D'ailleurs au début on lisait le texte ensemble avec ma chérie. Cela nous rappellais quelques vacances passé; Mais la avec de dernièrs épisodes, elle m'a répondu. C'est fini, je raccroche. Sa deviens du grand n'importe quoi. Dans 2/3 chapitres les parents du cocu vont arriver et sa mère, son père, ces frères se feront enculé par son pote qui baiseras et bandera toutes les 5 minutes.
Et de surcroit, la femme est cencé etre en couple avec son mec et l'aimer. Mais il n'y a aucun lien d'amour. D'ailleurs les journées sont sans aucun rapport l'un avec l'autre. S'adresse-t-il au moins la parole.... A en douter... En tout cas très loin de la réalité.
Pour être cocu.... une femme qui trompe son mec et l'aime,,,, continu de baiser avec son amant ok, mais n'humilie jamais autant son mec et a des rapports avec. On connais déjà par avance le reste.
Ce qui débutait comme un bon texte tourne de plus en plus vers un gachis. Dommage.
D'ailleurs au début on lisait le texte ensemble avec ma chérie. Cela nous rappellais quelques vacances passé; Mais la avec de dernièrs épisodes, elle m'a répondu. C'est fini, je raccroche. Sa deviens du grand n'importe quoi. Dans 2/3 chapitres les parents du cocu vont arriver et sa mère, son père, ces frères se feront enculé par son pote qui baiseras et bandera toutes les 5 minutes.
Et de surcroit, la femme est cencé etre en couple avec son mec et l'aimer. Mais il n'y a aucun lien d'amour. D'ailleurs les journées sont sans aucun rapport l'un avec l'autre. S'adresse-t-il au moins la parole.... A en douter... En tout cas très loin de la réalité.
Pour être cocu.... une femme qui trompe son mec et l'aime,,,, continu de baiser avec son amant ok, mais n'humilie jamais autant son mec et a des rapports avec. On connais déjà par avance le reste.
Ce qui débutait comme un bon texte tourne de plus en plus vers un gachis. Dommage.
Pourquoi faut-il que ce soit le mari cocu qui se fasse enculer par l'amant de la femme, cette histoire devient trop prévisible, il faudrait que le mari ai sa part de vengeance, pour voir aussi comment la femme infidèle réagirait en voyant son homme baiser une autre.
Il faudrait que ce pauvre Nico soit nul à ce point pour que sa salope de femme l'humilie comme ça? Il n'y aurai pas une tièrce femelle pour soulager la frustration du mari? Enfin, de quoi enrager la femme infidèle parce que l'histoire se déroule dans un sens et c'est pas du tout interressant à lire, ça devient du n'importe quoi tout simplement. Ou bien l'auteur est un Jonathan qui a subi ses outrages de la part d'un Nicolas et il trouve en quelque sorte une part de vengeance en humiliant un Nicolas dans ses histoires qui sait? Pour moi ça a tout l'air d'un rendement de compte mais sur virtuel.