Madame Leconte (2) : fâchée ?
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Madame Leconte (2) : fâchée ?
Quand on réalise un fantasme, c’est magique sur le moment, mais … après ?
Du haut de mes 19 ans, je viens de me faire une partie de jambes en l’air avec Mme Leconte, une femme merveilleusement attirante qui me fait fantasmer depuis une éternité. Je devais juste lui passer de la crème bronzante dans le dos et j’ai un peu (beaucoup) profité de la situation. Elle était au téléphone et n’a pas osé (ou voulu) m’interrompre pendant que je lui faisais des trucs de plus en plus coquins. Bref, j’ai fini par la baiser -peut être un peu contre son gré- et du coup je ne suis pas à l’aise. Elle est partie depuis plus d’une heure sans dire un mot et moi je passe et je repasse l’aspirateur au fond de cette maudite piscine. Il y a bien longtemps que j’ai fini mon boulot mais je ne sais plus quoi faire. Je m’en vais sans rien dire ? Je vais la voir dans la maison ?
Zut, je ne vais pas récurer cette piscine jusqu’à la nuit. Il faut que je m’en aille, donc je dois lui dire que j’ai fini mon boulot, un point c’est tout. Je range le matériel et me dirige vers la maison. Je crie :- Mme Leconte ! Où êtes-vous ? Mme Leconte !
Je vais ainsi du salon à la cuisine jusqu’au moment où j’entends une voix me répondre.
- Oui ?
Je me dirige vers la porte de la chambre et, plein d’appréhension, je frappe à la porte.
- Entrez !
J’ouvre la porte. Mme Leconte est assise sur le lit, en peignoir. Elle a dû prendre une douche, mais elle ne s’est pas encore rhabillée. Aussitôt je me dis qu’elle est nue sous son peignoir et je me sens déjà émoustillé. Je me ravise en me disant que je suis vraiment trop con : ce n’est pas le moment de penser à des trucs comme ça parce qu’elle a l’air de faire franchement la tête. J’ai peur de devoir payer l’addition et je m’attends au pire.
- Mme Leconte, j’ai fini mon travail, vous n’avez plus besoin de moi ?
- Non, non. Mais … C’est tout ce que tu as à me dire, Thomas ?
- Euh … C’est-à-dire … Comment ça ?
- Eh bien, pour tout à l’heure, quand j’étais au téléphone ?
Ouh, là là ! Ça ne s’annonce pas trop bien, cette histoire. Je ne sais pas quoi répondre et je me mets à bafouiller :- Ben, en fait … Je suis désolé, mais je … Je ne sais pas ce qui m’a pris … Je suis désolé, mais je … Vous savez, je vous trouve si belle et si attirante … Je vous assure, je ne voulais pas vous manquer de respect, mais je …Bon, je ne suis pas le roi de l’éloquence, ça c’est sûr. Mais que dire d’autre ? Je ne vais quand même pas lui raconter qu’elle me fait bander comme un cerf en rut depuis des années, que je me suis déjà branlé un nombre incalculable de fois en pensant à elle, que j’ai adoré la baiser tout à l’heure et que je serais prêt à vendre mon âme au diable pour pouvoir recommencer … Pendant que je m’embrouille dans des explications confuses, elle m’observe attentivement, comme si elle épluchait chacune de mes paroles. Du coup, je me sens encore plus intimidé : j’ai l’impression de passer un oral de rattrapage. Elle finit par me couper la parole avec véhémence :- Mais enfin Thomas, je suis une femme mariée !
- Je sais, je suis désolé mais … (faut que j’arrête de dire que je suis désolé) Je vous assure, Madame Leconte, quand j’ai posé mes mains sur vous, j’ai tout oublié … Votre peau est si douce …Oui, d’accord, c’est pas terrible comme réponse, mais il parait que ça fait toujours plaisir à une femme d’entendre des compliments, alors c’est pas pire qu’autre chose.
- Les hommes, pas un pour racheter l’autre ! Entre mon mari qui m’abandonne et toi qui … Maintenant, je ne vaux pas mieux que lui, et … Oh, je me dégoûte !
Sa voix se casse, elle enfouit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Moi, déjà pas trop à l’aise, je me trouve définitivement con, debout, immobile, les bras ballants. Comment fait-on pour consoler une femme qui pleure quand on en est justement la cause ? Finalement, sans réfléchir, je m’assieds à côté d’elle sur le lit et je m’approche sans réaliser l’absurdité de la situation. C’est le monde à l’envers, j’agis comme un père qui veut consoler sa petite fille malheureuse. Pire : je lui passe même un bras autour de l’épaule. Bizarrement, je trouve quand même des mots à peu près justes :- Mais non, madame Leconte, faut pas dire des trucs comme ça, je vous assure. Vous êtes merveilleuse, c’est vrai. Faut pas penser comme ça. Tout ça c’est de ma faute, je me suis comporté comme un sale type et je regrette si je vous ai fait de la peine …De fil en aiguille, je la tiens dans mes bras, elle est tout contre moi et quand je sens son odeur parfumée je réalise à quel point la situation est troublante. Je reste quelques instants immobile, n’osant plus bouger. Comment on se sort d’une situation comme ça ? Elle ne pleure plus, elle ne bouge plus, elle relève la tête et me regarde comme si elle découvrait ma présence. Qu’est-ce qui va se passer ? Je suis tout contre elle, elle semble se réveiller d’un drôle de rêve. C’est sûr, je vais me la prendre, la gifle qu’elle aurait dû m’envoyer depuis tout à l’heure. Le temps s’immobilise.
Et puis quelque chose change dans son regard. Elle esquisse un sourire et une lueur s’allume dans ses yeux, mais je n’arrive toujours pas à décoder : c’est bon signe ou pas ?
- Sacré Thomas ! Tu es un drôle de garçon, finalement. Je n’avais pas réalisé que tu étais déjà un homme. Mais les hommes, c’est vraiment tous des cochons !
Je ne sais pas quoi répondre. Je me sens une fois de plus un peu débile. Je desserre mes bras autour de ses épaules, j’entame un imperceptible repli.
- Mais que t’arrive-t-il, mon petit Thomas ? Tu deviens timide ? Toi si allant tout à l’heure !
Elle se fiche de moi, c’est évident. D’accord, je l’ai bien mérité. En tout cas, je préfère ça que de me ramasser une claque. Mais tout à coup les choses se précipitent et prennent un tour imprévu. Madame Leconte se dégage et me regarde d’un air de défi :- Tu n’as pas honte ? Profiter de la faiblesse d’une femme ? Profiter de ce que je suis au téléphone pour me déshabiller comme tu l’as fait ?
- Mais … Je … Je suis désolé … (Merde ! Il faut que j’arrête de bafouiller et de dire que je suis désolé)- Espèce de voyeur lubrique ! Tu sais, n’importe qui peut en faire autant, tu n’as pas de quoi être fier …À peine a-t-elle dit ça qu’elle commence à me soulever mon tee-shirt comme pour me l’enlever.
- Mais … Que … Que faites-vous ?
- À ton avis ? Je te rends la pareille !
- Mais enfin … Mais … Madame Leconte !
- Tais-toi et laisse-toi faire ! Tu me dois bien ça si tu veux te faire pardonner !
Je ne comprends rien, les choses vont trop vite pour moi et je n’arrive pas à penser. Comme un somnambule, je lève les bras et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je me trouve torse nu. Mme Leconte est en train de rire, elle a l’air de beaucoup s’amuser, comme si elle voulait me ridiculiser.
- Alors, jeune homme, on perd le bénéfice de l’initiative, on est dépassé par les événements ?
Elle se met debout et me fait lever aussi. Ses mains parcourent mon torse, et je commence à frissonner …- Mmmm … Belle musculature ! J’aurais bien tort de m’en priver …Plus ça va, plus je me sens incapable de réagir, mais j’ai comme l’impression que les choses ne vont finalement pas si mal que ça. Ses mains parcourent mes épaules, mon buste et mon ventre et c’est un vrai bonheur. En plus, en se levant, son peignoir s’est un peu écarté et j’entrevois le galbe de ses seins. Mon regard ne lui a pas échappé.
- C’est bien ce que je disais : un voyeur lubrique, voilà ce que tu es !
Mais, au lieu de refermer son peignoir, elle continue d’explorer mon corps.
- Belle marchandise ! Tablette en chocolat, que du beau muscle !
Je crois que je commence à comprendre son message : « Voilà ce que c’est que d’être traité en objet sexuel ! ». En tout cas, si elle va par-là, moi, je suis d’accord. Je me laisse donc faire. Elle s’est déjà agenouillée devant moi, passe le long des cuisses, puis sur mon bermuda. Elle évalue mon état à travers le tissu.
- Oh, mais que se passe-t-il ? Mon petit Thomas serait donc en état de turgescence ? Il a des idées qui ne sont pas pures ? Il est à l’étroit ? Oh, comme la vie est difficile …Cette situation plus que trouble est effectivement en train de me faire bander. En plus, quand je baisse les yeux, j’ai une vue plongeante dans l’échancrure de son peignoir et ça ajoute à mon émoi. Elle continue de me provoquer et de se moquer de moi, de jouer avec mes sens :- Oh, là là ! Que se passe-t-il donc là dessous ? Je me le demande ?!
Tout en disant cela, elle effleure et caresse mon sexe à travers le bermuda. Cette scène se prolonge et me met de plus en plus sur le gril, avec une érection qui ne fait que progresser. Je commence à avoir la gorge sèche et la respiration qui s’accélère.
- Ça m’inquiète, tout ça, tu es si comprimé là-dedans, il ne faudrait pas que tu aies un accident, quand même !
Elle joint aussitôt le geste à la parole et, le plus naturellement du monde, avant que j’aie eu le temps de réagir, elle me descend mon bermuda et mon slip en un seul mouvement précis. Je me retrouve l’instant d’après toujours debout mais entièrement nu et avec mon sexe au garde à vous.
- Quelle santé ! On n’imaginerait pas un seul instant en le voyant qu’un tel engin ait pu servir il y a si peu de temps !
Tout en disant ça, elle contemple ma queue en érection et se met à me branler tout doucement. Moi, évidemment, je suis au septième ciel. C’est arrivé si brutalement que je n’arrive pas à réaliser mon bonheur. Je me dis que si je veux profiter de la situation sans faire de gaffe, le mieux que j’aie à faire, contrairement à tout à l’heure, c’est de me laisser faire et de ne pas prendre trop d’initiatives. De toutes façons, ce qu’elle me fait subir est si bon et si excitant que je n’ai aucun moyen d’y résister : je ne sais pas si elle m’effleure, me caresse ou me masturbe, mais c’est diaboliquement bon. Je ne peux m’empêcher de réagir :- Mmmm … Ohhh, Madame … Oh, oui … C’est bon … J’aime …Elle se redresse, se plante face à moi tout en continuant à me caresser le sexe. Son peignoir est vraiment en train de s’ouvrir sur sa splendide poitrine. Elle me regarde droit dans les yeux avec un petit sourire coquin :- Eh bien, Thomas, tu es devenu bien passif, toi qui étais si entreprenant tout à l’heure ?
Je ne suis pas sûr de bien comprendre, mais j’ai quand même des indices forts : une femme qui vous déshabille, vous taquine, vous provoque, vous caresse, vous masturbe et vous défie avec son peignoir à moitié ouvert, c’est une invitation à aller plus loin, non ? Il ne va peut-être pas falloir réfléchir pendant trois heures. J’ai une furieuse envie de lui arracher son peignoir, de la basculer sur le lit et de la baiser mais je crois qu’il vaut mieux y aller doucement. J’avance donc mes mains doucement et je défais sa ceinture sans précipitation. J’observe ses réactions. Elle a un petit sourire mystérieux et me regarde droit dans les yeux. J’ai vraiment l’impression de passer un examen et, vu ce qu’il y a au bout, j’ai l’intention de m’appliquer. Il parait que les femmes ont besoin de progressivité, de préliminaires, d’une douce et lente montée vers le plaisir. Je vais essayer mais c’est pas sûr que j’y arrive, car je me sens plus que fébrile !
J’écarte les pans de son peignoir, puis je dégage ses épaules. Le vêtement glisse ainsi au sol. Nous sommes tous les deux debout, face à face et intégralement nus, elle dans sa splendide féminité, moi dans ma triomphante virilité. Mes mains glissent sur ses épaules, sur son cou, puis descendent plus bas. J’effleure ses seins, puis approche mon visage. J’ai envie de la dévorer et de laisser courir mes lèvres partout, mais je ne sais par où commencer. Oh, bon sang, que c’est compliqué, la vie. Je serais tenté de commencer tout de suite par les seins mais j’ai peur que ce soit trop direct. La bouche ça risque d’être gnangnan, conventionnel, ou intrusif (on y met la langue tout de suite, plus tard ou pas du tout ?). Si je descends sous la ceinture, ça va paraître trop « sexe » ou trop bestial.
Comment être à l’aise dans ce genre de situation ? Il parait qu’il faut écouter son corps et laisser les choses se faire naturellement. Facile à dire : avec des idées confuses et contradictoires dans la tête et une bombe nucléaire dans le corps … Bon, j’y vais. Je dépose un baiser tout doux sur son épaule, puis je glisse vers le cou. J’ai vu faire ça dans un film et ça me parait une bonne entrée en matière. Pendant ce temps, mes mains se posent sur ses hanches. Mmmm, j’aime ça, sentir sa peau douce, chaude et sensuelle … Je l’embrasse dans le cou, je remonte sur sa joue, je m’approche de ses lèvres. Oups ! Ma queue tendue vers l’avant lui a touché le ventre, je ne peux pas faire autrement. Elle ne réagit pas, se laisse aller.
Je me sens un peu gauche et hésitant, mais, comme pour me montrer la bonne voie, c’est elle qui prend l’initiative. Elle m’effleure, puis me mordille les lèvres, et, l’instant d’après, revient à la charge après les avoir humidifiées. Mmmm, c’est super, j’ai l’impression qu’elle me donne un cours sur la façon d’embrasser. Et puis viennent ensuite les caresses : je sens ses mains m’effleurer, et du coup j’essaie de me calquer sur son rythme : je laisse glisser les miennes sur ses hanches, ses flancs, puis remonter sur son buste. J’explore ainsi son corps à la recherche des caresses qui la feront chavirer, pendant que nos bouches curieuses et avides commencent à jouer en harmonie.
Aucun doute : c’est elle qui donne le tempo ! Comme si je risquais de l’oublier, elle change tout à coup, me prend le visage à deux mains, m’embrasse avec fougue, introduit une langue conquérante dans ma bouche, puis me pousse vers le lit. Quelques secondes plus tard je me trouve allongé sur le dos alors qu’elle continue son baiser autoritaire et sensuel. Nous sommes l’un contre l’autre, poitrine contre poitrine (oh, que c’est doux, que c’est bon !). Je suis dépassé par les événements, obligé de subir les assauts de cette femme qui, il y a deux minutes à peine était si réservée. Et ça continue : voilà qu’elle s’assied sur mes jambes, puis se saisit de mon sexe pour en vérifier l’état, le guide et l’introduit dans sa fente sans autres préliminaire. Elle s’empale donc sur ma queue et me viole littéralement.
Elle me chevauche maintenant en amazone pour mon plus grand bonheur. Elle me domine et je peux contempler à loisir ses merveilleux seins qui ondulent au gré du rythme qu’elle m’impose, car elle monte et descend sur mon sexe comme une furie. J’ai les mains libres et compte m’en servir. Je lui caresse d’abord timidement les cuisses, les hanches, puis je remonte sur la taille et finis par atteindre mon but : ses seins que je frôle d’abord, puis caresse et finis par saisir à pleines mains. Elle soupire, gémit et commence à pousser de petits cris. Elle se lâche de plus en plus et moi aussi : j’ai l’impression que chaque initiative est bien accueillie : que je lui pince les tétons ou lui saisisse les hanches pour la pénétrer plus profondément, c’est à chaque fois un cri de plaisir qui fuse et ajoute à notre excitation. Et puis, la magie du plaisir opérant, elle finit par perdre toute retenue :- Oh, oui … Oui … Encore … J’aime … Espèce de cochon … Oui … Baise-moi encore, je veux te sentir en moi …Jamais je n’aurais imaginé dans mes fantasmes les plus fous que Mme Leconte pourrait ainsi se lâcher. Je jubile, je suis au septième ciel, je voudrais que ce moment dure éternellement. Maintenant elle fait littéralement du rodéo sur mon sexe et je suis si excité que je crains ne pouvoir tenir longtemps. Je sens déjà le point de non-retour qui s’approche alors qu’elle pousse des cris plus appuyés, visiblement en proie à un orgasme violent.
- Ahhh ! Ouiii ! Encore ! Plus fort, oui, comme ça … Non, ça va plus pouvoir durer longtemps, elle pousse maintenant des cris de façon ininterrompue. De mon côté je grogne, submergé par l’orgasme qui monte en moi. Mon sexe qui coulisse dans sa chatte humide et onctueuse décide à ma place. Après quelques dizaines de secondes de frénésie à peine contrôlée et malgré tous mes efforts pour me retenir, au comble de l’excitation, je finis par pousser à mon tour un long cri quand arrive l’éjaculation libératrice.
Après un interminable soupir, je profite du calme qui s’installe. Madame Leconte s’est également immobilisée. Elle se penche sur moi et remonte à l’assaut de mes lèvres. Tout en m’embrassant et en introduisant une langue coquine, je sens qu’elle contracte son vagin autour de mon sexe. Cette double stimulation est à la fois douce et pleine de sensualité et je profite de ces instants sur un autre registre. Toute fureur m’a quittée, mais, si l’excitation sexuelle est tombée de mon côté, les stimulations de ma partenaire montrent que tout n’est pas fini pour elle et qu’elle compte bien me le faire comprendre.
Ce petit jeu dure encore de longs moments pendant lesquels je me délecte de ces sensations inédites. Petit à petit, le retour au calme intervient aussi pour elle. Le silence et l’immobilité s’installent. Et puis tout à coup elle se redresse, et, pointant toujours aussi fièrement sa poitrine en avant, me jette :- Eh bien, Thomas, nous sommes à égalité maintenant, je vais peut-être pouvoir te pardonner ton audace de tout à l’heure … Peut-être.
Du haut de mes 19 ans, je viens de me faire une partie de jambes en l’air avec Mme Leconte, une femme merveilleusement attirante qui me fait fantasmer depuis une éternité. Je devais juste lui passer de la crème bronzante dans le dos et j’ai un peu (beaucoup) profité de la situation. Elle était au téléphone et n’a pas osé (ou voulu) m’interrompre pendant que je lui faisais des trucs de plus en plus coquins. Bref, j’ai fini par la baiser -peut être un peu contre son gré- et du coup je ne suis pas à l’aise. Elle est partie depuis plus d’une heure sans dire un mot et moi je passe et je repasse l’aspirateur au fond de cette maudite piscine. Il y a bien longtemps que j’ai fini mon boulot mais je ne sais plus quoi faire. Je m’en vais sans rien dire ? Je vais la voir dans la maison ?
Zut, je ne vais pas récurer cette piscine jusqu’à la nuit. Il faut que je m’en aille, donc je dois lui dire que j’ai fini mon boulot, un point c’est tout. Je range le matériel et me dirige vers la maison. Je crie :- Mme Leconte ! Où êtes-vous ? Mme Leconte !
Je vais ainsi du salon à la cuisine jusqu’au moment où j’entends une voix me répondre.
- Oui ?
Je me dirige vers la porte de la chambre et, plein d’appréhension, je frappe à la porte.
- Entrez !
J’ouvre la porte. Mme Leconte est assise sur le lit, en peignoir. Elle a dû prendre une douche, mais elle ne s’est pas encore rhabillée. Aussitôt je me dis qu’elle est nue sous son peignoir et je me sens déjà émoustillé. Je me ravise en me disant que je suis vraiment trop con : ce n’est pas le moment de penser à des trucs comme ça parce qu’elle a l’air de faire franchement la tête. J’ai peur de devoir payer l’addition et je m’attends au pire.
- Mme Leconte, j’ai fini mon travail, vous n’avez plus besoin de moi ?
- Non, non. Mais … C’est tout ce que tu as à me dire, Thomas ?
- Euh … C’est-à-dire … Comment ça ?
- Eh bien, pour tout à l’heure, quand j’étais au téléphone ?
Ouh, là là ! Ça ne s’annonce pas trop bien, cette histoire. Je ne sais pas quoi répondre et je me mets à bafouiller :- Ben, en fait … Je suis désolé, mais je … Je ne sais pas ce qui m’a pris … Je suis désolé, mais je … Vous savez, je vous trouve si belle et si attirante … Je vous assure, je ne voulais pas vous manquer de respect, mais je …Bon, je ne suis pas le roi de l’éloquence, ça c’est sûr. Mais que dire d’autre ? Je ne vais quand même pas lui raconter qu’elle me fait bander comme un cerf en rut depuis des années, que je me suis déjà branlé un nombre incalculable de fois en pensant à elle, que j’ai adoré la baiser tout à l’heure et que je serais prêt à vendre mon âme au diable pour pouvoir recommencer … Pendant que je m’embrouille dans des explications confuses, elle m’observe attentivement, comme si elle épluchait chacune de mes paroles. Du coup, je me sens encore plus intimidé : j’ai l’impression de passer un oral de rattrapage. Elle finit par me couper la parole avec véhémence :- Mais enfin Thomas, je suis une femme mariée !
- Je sais, je suis désolé mais … (faut que j’arrête de dire que je suis désolé) Je vous assure, Madame Leconte, quand j’ai posé mes mains sur vous, j’ai tout oublié … Votre peau est si douce …Oui, d’accord, c’est pas terrible comme réponse, mais il parait que ça fait toujours plaisir à une femme d’entendre des compliments, alors c’est pas pire qu’autre chose.
- Les hommes, pas un pour racheter l’autre ! Entre mon mari qui m’abandonne et toi qui … Maintenant, je ne vaux pas mieux que lui, et … Oh, je me dégoûte !
Sa voix se casse, elle enfouit son visage dans ses mains et se met à pleurer. Moi, déjà pas trop à l’aise, je me trouve définitivement con, debout, immobile, les bras ballants. Comment fait-on pour consoler une femme qui pleure quand on en est justement la cause ? Finalement, sans réfléchir, je m’assieds à côté d’elle sur le lit et je m’approche sans réaliser l’absurdité de la situation. C’est le monde à l’envers, j’agis comme un père qui veut consoler sa petite fille malheureuse. Pire : je lui passe même un bras autour de l’épaule. Bizarrement, je trouve quand même des mots à peu près justes :- Mais non, madame Leconte, faut pas dire des trucs comme ça, je vous assure. Vous êtes merveilleuse, c’est vrai. Faut pas penser comme ça. Tout ça c’est de ma faute, je me suis comporté comme un sale type et je regrette si je vous ai fait de la peine …De fil en aiguille, je la tiens dans mes bras, elle est tout contre moi et quand je sens son odeur parfumée je réalise à quel point la situation est troublante. Je reste quelques instants immobile, n’osant plus bouger. Comment on se sort d’une situation comme ça ? Elle ne pleure plus, elle ne bouge plus, elle relève la tête et me regarde comme si elle découvrait ma présence. Qu’est-ce qui va se passer ? Je suis tout contre elle, elle semble se réveiller d’un drôle de rêve. C’est sûr, je vais me la prendre, la gifle qu’elle aurait dû m’envoyer depuis tout à l’heure. Le temps s’immobilise.
Et puis quelque chose change dans son regard. Elle esquisse un sourire et une lueur s’allume dans ses yeux, mais je n’arrive toujours pas à décoder : c’est bon signe ou pas ?
- Sacré Thomas ! Tu es un drôle de garçon, finalement. Je n’avais pas réalisé que tu étais déjà un homme. Mais les hommes, c’est vraiment tous des cochons !
Je ne sais pas quoi répondre. Je me sens une fois de plus un peu débile. Je desserre mes bras autour de ses épaules, j’entame un imperceptible repli.
- Mais que t’arrive-t-il, mon petit Thomas ? Tu deviens timide ? Toi si allant tout à l’heure !
Elle se fiche de moi, c’est évident. D’accord, je l’ai bien mérité. En tout cas, je préfère ça que de me ramasser une claque. Mais tout à coup les choses se précipitent et prennent un tour imprévu. Madame Leconte se dégage et me regarde d’un air de défi :- Tu n’as pas honte ? Profiter de la faiblesse d’une femme ? Profiter de ce que je suis au téléphone pour me déshabiller comme tu l’as fait ?
- Mais … Je … Je suis désolé … (Merde ! Il faut que j’arrête de bafouiller et de dire que je suis désolé)- Espèce de voyeur lubrique ! Tu sais, n’importe qui peut en faire autant, tu n’as pas de quoi être fier …À peine a-t-elle dit ça qu’elle commence à me soulever mon tee-shirt comme pour me l’enlever.
- Mais … Que … Que faites-vous ?
- À ton avis ? Je te rends la pareille !
- Mais enfin … Mais … Madame Leconte !
- Tais-toi et laisse-toi faire ! Tu me dois bien ça si tu veux te faire pardonner !
Je ne comprends rien, les choses vont trop vite pour moi et je n’arrive pas à penser. Comme un somnambule, je lève les bras et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je me trouve torse nu. Mme Leconte est en train de rire, elle a l’air de beaucoup s’amuser, comme si elle voulait me ridiculiser.
- Alors, jeune homme, on perd le bénéfice de l’initiative, on est dépassé par les événements ?
Elle se met debout et me fait lever aussi. Ses mains parcourent mon torse, et je commence à frissonner …- Mmmm … Belle musculature ! J’aurais bien tort de m’en priver …Plus ça va, plus je me sens incapable de réagir, mais j’ai comme l’impression que les choses ne vont finalement pas si mal que ça. Ses mains parcourent mes épaules, mon buste et mon ventre et c’est un vrai bonheur. En plus, en se levant, son peignoir s’est un peu écarté et j’entrevois le galbe de ses seins. Mon regard ne lui a pas échappé.
- C’est bien ce que je disais : un voyeur lubrique, voilà ce que tu es !
Mais, au lieu de refermer son peignoir, elle continue d’explorer mon corps.
- Belle marchandise ! Tablette en chocolat, que du beau muscle !
Je crois que je commence à comprendre son message : « Voilà ce que c’est que d’être traité en objet sexuel ! ». En tout cas, si elle va par-là, moi, je suis d’accord. Je me laisse donc faire. Elle s’est déjà agenouillée devant moi, passe le long des cuisses, puis sur mon bermuda. Elle évalue mon état à travers le tissu.
- Oh, mais que se passe-t-il ? Mon petit Thomas serait donc en état de turgescence ? Il a des idées qui ne sont pas pures ? Il est à l’étroit ? Oh, comme la vie est difficile …Cette situation plus que trouble est effectivement en train de me faire bander. En plus, quand je baisse les yeux, j’ai une vue plongeante dans l’échancrure de son peignoir et ça ajoute à mon émoi. Elle continue de me provoquer et de se moquer de moi, de jouer avec mes sens :- Oh, là là ! Que se passe-t-il donc là dessous ? Je me le demande ?!
Tout en disant cela, elle effleure et caresse mon sexe à travers le bermuda. Cette scène se prolonge et me met de plus en plus sur le gril, avec une érection qui ne fait que progresser. Je commence à avoir la gorge sèche et la respiration qui s’accélère.
- Ça m’inquiète, tout ça, tu es si comprimé là-dedans, il ne faudrait pas que tu aies un accident, quand même !
Elle joint aussitôt le geste à la parole et, le plus naturellement du monde, avant que j’aie eu le temps de réagir, elle me descend mon bermuda et mon slip en un seul mouvement précis. Je me retrouve l’instant d’après toujours debout mais entièrement nu et avec mon sexe au garde à vous.
- Quelle santé ! On n’imaginerait pas un seul instant en le voyant qu’un tel engin ait pu servir il y a si peu de temps !
Tout en disant ça, elle contemple ma queue en érection et se met à me branler tout doucement. Moi, évidemment, je suis au septième ciel. C’est arrivé si brutalement que je n’arrive pas à réaliser mon bonheur. Je me dis que si je veux profiter de la situation sans faire de gaffe, le mieux que j’aie à faire, contrairement à tout à l’heure, c’est de me laisser faire et de ne pas prendre trop d’initiatives. De toutes façons, ce qu’elle me fait subir est si bon et si excitant que je n’ai aucun moyen d’y résister : je ne sais pas si elle m’effleure, me caresse ou me masturbe, mais c’est diaboliquement bon. Je ne peux m’empêcher de réagir :- Mmmm … Ohhh, Madame … Oh, oui … C’est bon … J’aime …Elle se redresse, se plante face à moi tout en continuant à me caresser le sexe. Son peignoir est vraiment en train de s’ouvrir sur sa splendide poitrine. Elle me regarde droit dans les yeux avec un petit sourire coquin :- Eh bien, Thomas, tu es devenu bien passif, toi qui étais si entreprenant tout à l’heure ?
Je ne suis pas sûr de bien comprendre, mais j’ai quand même des indices forts : une femme qui vous déshabille, vous taquine, vous provoque, vous caresse, vous masturbe et vous défie avec son peignoir à moitié ouvert, c’est une invitation à aller plus loin, non ? Il ne va peut-être pas falloir réfléchir pendant trois heures. J’ai une furieuse envie de lui arracher son peignoir, de la basculer sur le lit et de la baiser mais je crois qu’il vaut mieux y aller doucement. J’avance donc mes mains doucement et je défais sa ceinture sans précipitation. J’observe ses réactions. Elle a un petit sourire mystérieux et me regarde droit dans les yeux. J’ai vraiment l’impression de passer un examen et, vu ce qu’il y a au bout, j’ai l’intention de m’appliquer. Il parait que les femmes ont besoin de progressivité, de préliminaires, d’une douce et lente montée vers le plaisir. Je vais essayer mais c’est pas sûr que j’y arrive, car je me sens plus que fébrile !
J’écarte les pans de son peignoir, puis je dégage ses épaules. Le vêtement glisse ainsi au sol. Nous sommes tous les deux debout, face à face et intégralement nus, elle dans sa splendide féminité, moi dans ma triomphante virilité. Mes mains glissent sur ses épaules, sur son cou, puis descendent plus bas. J’effleure ses seins, puis approche mon visage. J’ai envie de la dévorer et de laisser courir mes lèvres partout, mais je ne sais par où commencer. Oh, bon sang, que c’est compliqué, la vie. Je serais tenté de commencer tout de suite par les seins mais j’ai peur que ce soit trop direct. La bouche ça risque d’être gnangnan, conventionnel, ou intrusif (on y met la langue tout de suite, plus tard ou pas du tout ?). Si je descends sous la ceinture, ça va paraître trop « sexe » ou trop bestial.
Comment être à l’aise dans ce genre de situation ? Il parait qu’il faut écouter son corps et laisser les choses se faire naturellement. Facile à dire : avec des idées confuses et contradictoires dans la tête et une bombe nucléaire dans le corps … Bon, j’y vais. Je dépose un baiser tout doux sur son épaule, puis je glisse vers le cou. J’ai vu faire ça dans un film et ça me parait une bonne entrée en matière. Pendant ce temps, mes mains se posent sur ses hanches. Mmmm, j’aime ça, sentir sa peau douce, chaude et sensuelle … Je l’embrasse dans le cou, je remonte sur sa joue, je m’approche de ses lèvres. Oups ! Ma queue tendue vers l’avant lui a touché le ventre, je ne peux pas faire autrement. Elle ne réagit pas, se laisse aller.
Je me sens un peu gauche et hésitant, mais, comme pour me montrer la bonne voie, c’est elle qui prend l’initiative. Elle m’effleure, puis me mordille les lèvres, et, l’instant d’après, revient à la charge après les avoir humidifiées. Mmmm, c’est super, j’ai l’impression qu’elle me donne un cours sur la façon d’embrasser. Et puis viennent ensuite les caresses : je sens ses mains m’effleurer, et du coup j’essaie de me calquer sur son rythme : je laisse glisser les miennes sur ses hanches, ses flancs, puis remonter sur son buste. J’explore ainsi son corps à la recherche des caresses qui la feront chavirer, pendant que nos bouches curieuses et avides commencent à jouer en harmonie.
Aucun doute : c’est elle qui donne le tempo ! Comme si je risquais de l’oublier, elle change tout à coup, me prend le visage à deux mains, m’embrasse avec fougue, introduit une langue conquérante dans ma bouche, puis me pousse vers le lit. Quelques secondes plus tard je me trouve allongé sur le dos alors qu’elle continue son baiser autoritaire et sensuel. Nous sommes l’un contre l’autre, poitrine contre poitrine (oh, que c’est doux, que c’est bon !). Je suis dépassé par les événements, obligé de subir les assauts de cette femme qui, il y a deux minutes à peine était si réservée. Et ça continue : voilà qu’elle s’assied sur mes jambes, puis se saisit de mon sexe pour en vérifier l’état, le guide et l’introduit dans sa fente sans autres préliminaire. Elle s’empale donc sur ma queue et me viole littéralement.
Elle me chevauche maintenant en amazone pour mon plus grand bonheur. Elle me domine et je peux contempler à loisir ses merveilleux seins qui ondulent au gré du rythme qu’elle m’impose, car elle monte et descend sur mon sexe comme une furie. J’ai les mains libres et compte m’en servir. Je lui caresse d’abord timidement les cuisses, les hanches, puis je remonte sur la taille et finis par atteindre mon but : ses seins que je frôle d’abord, puis caresse et finis par saisir à pleines mains. Elle soupire, gémit et commence à pousser de petits cris. Elle se lâche de plus en plus et moi aussi : j’ai l’impression que chaque initiative est bien accueillie : que je lui pince les tétons ou lui saisisse les hanches pour la pénétrer plus profondément, c’est à chaque fois un cri de plaisir qui fuse et ajoute à notre excitation. Et puis, la magie du plaisir opérant, elle finit par perdre toute retenue :- Oh, oui … Oui … Encore … J’aime … Espèce de cochon … Oui … Baise-moi encore, je veux te sentir en moi …Jamais je n’aurais imaginé dans mes fantasmes les plus fous que Mme Leconte pourrait ainsi se lâcher. Je jubile, je suis au septième ciel, je voudrais que ce moment dure éternellement. Maintenant elle fait littéralement du rodéo sur mon sexe et je suis si excité que je crains ne pouvoir tenir longtemps. Je sens déjà le point de non-retour qui s’approche alors qu’elle pousse des cris plus appuyés, visiblement en proie à un orgasme violent.
- Ahhh ! Ouiii ! Encore ! Plus fort, oui, comme ça … Non, ça va plus pouvoir durer longtemps, elle pousse maintenant des cris de façon ininterrompue. De mon côté je grogne, submergé par l’orgasme qui monte en moi. Mon sexe qui coulisse dans sa chatte humide et onctueuse décide à ma place. Après quelques dizaines de secondes de frénésie à peine contrôlée et malgré tous mes efforts pour me retenir, au comble de l’excitation, je finis par pousser à mon tour un long cri quand arrive l’éjaculation libératrice.
Après un interminable soupir, je profite du calme qui s’installe. Madame Leconte s’est également immobilisée. Elle se penche sur moi et remonte à l’assaut de mes lèvres. Tout en m’embrassant et en introduisant une langue coquine, je sens qu’elle contracte son vagin autour de mon sexe. Cette double stimulation est à la fois douce et pleine de sensualité et je profite de ces instants sur un autre registre. Toute fureur m’a quittée, mais, si l’excitation sexuelle est tombée de mon côté, les stimulations de ma partenaire montrent que tout n’est pas fini pour elle et qu’elle compte bien me le faire comprendre.
Ce petit jeu dure encore de longs moments pendant lesquels je me délecte de ces sensations inédites. Petit à petit, le retour au calme intervient aussi pour elle. Le silence et l’immobilité s’installent. Et puis tout à coup elle se redresse, et, pointant toujours aussi fièrement sa poitrine en avant, me jette :- Eh bien, Thomas, nous sommes à égalité maintenant, je vais peut-être pouvoir te pardonner ton audace de tout à l’heure … Peut-être.
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