Les (més)aventures d’un hétéro (5) : rencontre sous la douche
Récit érotique écrit par Ecrivain2848 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les (més)aventures d’un hétéro (5) : rencontre sous la douche
J’ai repris le sport. Avec mon célibat forcé, j’ai du temps libre, et je me dis que si
je veux rester un beau mec sportif et attirant ( !), il ne faut pas que je me laisse
trop aller. J’ai trouvé une salle de musculation sympa et pas chère du tout. J’y vais
après le boulot et quand j’arrive, les gens commencent à partir, du coup on ne se
bouscule pas sur les appareils. Comme je finis presque toujours parmi les derniers,
c’est souvent moi qui ferme la boutique (le dernier sorti laisse la clé dans une boîte
aux lettres). Ce n’est pas tout à fait comme chez mon copain Sébastien (il a une salle
de musculation pour lui tout seul !), mais presque. Tiens, en parlant de Sébastien, ça
fait un mois que je ne l’ai pas revu, depuis ce fameux weekend où il m’a « lutiné »
comme disent les poètes … Quand j’y repense, j’en rougis encore et je n’arrive
toujours pas à mettre de l’ordre dans mes idées. Je ne sais pas de qui il faut se
méfier le plus : de lui ou de moi ? Sébastien est un manipulateur et un dominateur ou
c’est moi qui suis plutôt du genre soumis et prêt à tout subir ? Pour l’instant, j’ai
rompu tout contact avec lui (de toutes façons, il n’a ni mon adresse ni mon numéro de
téléphone) car les choses ne sont pas claires pour moi : Sébastien a une vie sexuelle
bien remplie, avec au moins une copine régulière, même si ça ne l’a pas empêché de me
baiser allègrement (il prétend que ça ne lui arrive pas trop souvent mais je n’en suis
pas si sûr). Moi, par contre, je suis toujours seul et, même si je reconnais que c’est
vraiment pas mal de se faire tringler par un homme, je ne suis pas prêt à devenir la
chose de Sébastien de façon durable. Bon, c’est vrai qu’il m’a fait découvrir des
trucs, mais je ne m’en suis pas encore remis. J’irais même plus loin : il y a des fois
où je me surprends moi-même à jeter de drôles de regards sur les hommes autour de moi
…
Tiens, d’ailleurs, en ce moment, il y a dans la salle un type que je vois presque tous
les soirs. Je lui adresse parfois la parole pour dire bonjour ou demander conseil. Je
ne sais pas si c’est lui qui me regarde avec insistance ou l’inverse, mais nos regards
se croisent souvent. En général je souris poliment et ça s’arrête là, mais aujourd’hui
je trouve qu’il y a quelque chose dans l’air. En tout cas, il est super bien foutu,
des abdos bien dessinés, des pectoraux de Chippendale, des biceps et tout le reste ...
Musclé, mais pas trop, la quarantaine rayonnante et puissante, respirant la santé :
c’est comme ça que je voudrais être dans cinq ans. Ce soir il n’y a plus que lui et
moi dans la salle. Je suis allongé sur le banc et je tente mon maximum au développé-
couché. J’ai apparemment mal évalué, car à la troisième tentative, je suis incapable
de remonter la barre. Je suis comme un con, coincé avec 75 kg de fonte qui m’empêchent
de me relever. Heureusement que je ne suis pas seul. Je l’appelle à l’aide et il
s’approche pour me tirer de ce mauvais pas. Il se penche vers moi avec un sourire
indéchiffrable :
- « Seul et sans défense : heureusement que je suis là pour te tirer d’affaire. Tu me
dois un gage … »
Je ne sais pas ce que ça veut dire mais il m’aide à remonter la barre et ça me suffit.
- « Merci. J’ai l’impression que j’ai présumé de mes forces. Je crois que je vais en
rester là pour ce soir. »
- « Je pense que c’est plus sage, en effet … »
Je me dirige vers le vestiaire, puis me déshabille pour prendre ma douche. Hummm …
c’est génial, une bonne douche chaude après l’effort. Je m’abandonne au jet qui me
masse et me détend. J’entends la porte s’ouvrir, le type rentre à son tour. Il se
déshabille pour prendre sa douche lui aussi. C’est normal, non ? Alors pourquoi est-ce
que je commence à me sentir déstabilisé ? Pourquoi est-ce que j’ai le cœur qui bat
plus vite ? Il est nu, il s’approche pour se doucher lui aussi. Il pose sa trousse de
toilette et commence à se savonner. Rien de spécial, et pourtant je ne peux pas
m’empêcher de le regarder à la dérobée et de me sentir bizarre. Deux hommes nus en
train de prendre une douche, c’est quand même logique après le sport, alors qu’est-ce-
que j’ai ? J’ai des drôles d’idées qui me traversent la tête, je repense encore à ce
qui s’est passé le mois dernier avec Sébastien … Pendant ce temps, le gars me regarde
avec de plus en plus d’insistance. Il se savonne doucement le corps, les bras, les
jambes, le sexe. Il insiste tout en me regardant fixement maintenant. Je suis de plus
en plus mal à l’aise et ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil sur son pénis
pendant qu’il le savonne, le frotte et le caresse. Son sexe est bien proportionné, de
taille respectable, mais j’ai surtout l’impression que … Oui, c’est ça, je crois qu’il
grossit tout doucement. Le type s’est encore approché de moi et le voilà qui prend son
sexe dans sa main. Je refuse d’abord d’y croire, mais … Il n’est pas en train de se
savonner, il est tout simplement en train de se tripoter à un mètre de moi en tentant
de capter mon regard. J’essaie d’être naturel, mais ça devient de plus en plus
difficile. Je ne peux pas faire comme si je ne voyais pas ce qui se passe. Il est
vraiment tout près de moi maintenant, alors je lui jette un regard furtif en évitant
de voir son sexe. Il me fixe en souriant, apparemment fier de lui (la vache, il a
presque une demi tête de plus que moi !). Il se savonne le buste, le ventre, puis
descend … Il atteint son sexe et je ne peux pas ne pas voir qu’il a de plus en plus la
trique. Il se dirige vers moi et je commence à avoir la gorge sèche. Qu’est-ce qui se
passe ? Qu’est-ce que je fais ? Qu’est-ce que je lui dis ? Je me sens très con et
plutôt inquiet. Il s’approche encore plus, du coup je me recule un peu et lui fais
face, mais maintenant, je suis contre le mur et il avance encore … Il reprend du
savon, puis le fait mousser. Il me regarde droit dans les yeux, tend ses mains vers
moi et les pose sur mes épaules. Je sursaute. Il commence à me savonner et j’essaie de
me ressaisir, mais c’est dur … Toujours ce regard amusé, sûr de lui et mystérieux. Il
continue de me frotter les épaules, puis descend vers ma poitrine. Je frissonne :
l’effet est terrible. Je suis tendu comme une corde à violon et le fait qu’il me
caresse le buste, ajouté à la sensualité du savon et de l’eau chaude, je perds un peu
les pédales. Je me mets à manquer d’air et ma respiration s’accélère.
Tout à coup j’ai une vision fugitive qui me traverse la tête : celle d’une femme, nue
sous la douche, sans défense et craintive, à la merci d’un homme qui s’approche
d’elle, lui caresse les seins et fait durcir ses tétons. Et cette femme qui pourrait
crier et s’enfuir, elle ne fait rien, elle se laisse faire, soumise, bientôt
abandonnée et gémissante … Cette image que je trouve très excitante, je l’ai déjà
imaginée et fantasmée, mais j’avais le rôle de l’homme, évidemment ! J’ai l’impression
de devenir fou. Je suis un mec, quand même ! Un mec, ça agit, ça réagit, ça lutte, ça
conquiert, ça prend son plaisir mais ça ne se laisse pas faire comme moi en ce moment
… Non, rien à faire, je suis paralysé, incapable de bouger, sans réaction. Sans
réaction ? Pas tout à fait : je frissonne, je sursaute, ma respiration s’accélère,
j’avale ma salive avec difficulté et, surtout, je ne peux pas m'empêcher de commencer
à bander. Je suis hypnotisé par ce mec qui est de plus en plus sûr de lui et de
l’effet qu’il a sur moi. Il a pris possession de mon buste, il le caresse en observant
avec satisfaction l’effet obtenu. Il s’occupe ensuite de mon ventre, puis descend
encore et vient vérifier la rigidité de mon sexe. Je sursaute. Il descend encore, me
caresse les couilles, et puis tout à coup il se penche sur moi et m’embrasse avec
fougue, colle ses lèvres aux miennes, tente de me pénétrer avec sa langue. Je ne songe
même pas à résister et le laisse faire, me contentant de contenir timidement ce baiser
autoritaire et passionné. Il se colle à moi, son sexe tendu et dur frotte contre mon
ventre. Il bouge le bassin et s’arrange pour que nos verges puissent rentrer en
contact et s’exciter mutuellement. Comme si cela ne suffisait pas, il m’adosse au mur,
se colle contre moi comme pour me garder prisonnier. Ce baiser fougueux ne semble pas
devoir s'arrêter. Je suis vraiment dans tous mes états car c'est la première fois
qu'on m'embrasse ainsi, avec autant d'audace, de sensualité, d'initiative et de
passion. Je me sens tout émoustillé à l'idée d'être devenu à ce point un objet de
désir, je me laisse faire, j'accompagne ses lèvres et sa langue, j'encourage mon
compagnon (c'est bien comme ça qu'il faut que je le nomme, non ?) par une respiration
plus hésitante, des soupirs étouffés, des petit gémissements évocateurs. Mmmm ... Ce
cochon m'excite à me rouler une pelle comme ça ! Ce n'est pas un simple baiser
innocent que je suis en train d'expérimenter, c'est bien plus : nous basculons tous
les deux dans un truc torride : je suis collé au mur, immobilisé, coincé, à sa merci,
soumis, haletant et gémissant ; lui joue de ses mains pour m'exciter un peu plus : il
les promène sur mon buste, me caresse le cou ou me tient la tête pour mieux
m'immobiliser et me soumettre à son baiser qui décidément n'en finit pas. Et puis ce
salaud continue d'avancer son bassin et s'arrange pour que nos queues raides de désir
se frottent l'une contre l'autre. L'effet est indescriptible et je me sens de plus en
plus excité mais il n'en reste pas là. Il me mordille maintenant les lèvres avant de
me pénétrer à nouveau avec sa langue. La symbolique est claire : je suis sa chose, sa
proie, sa conquête, en tout cas c'est ainsi que je me sens de plus en plus au fur et à
mesure qu'il me fait perdre le contrôle de moi-même. Et puis, sans me laisser de
répit, le voilà qui continue avec fougue et passion à explorer mon corps de ses mains
baladeuses : les flancs, les hanches, puis les fesses. Mon visage toujours immobilisé
par sa bouche vorace, je sens maintenant qu'il me saisit les fesses à pleines mains,
les serre, les palpe et les pétrit. Plus on avance et plus je me sens une petite chose
frêle entre ses mains avides de sexe, car c'est bien de ça qu'il s'agit. Il y a dix
minutes je soulevais 75 kg à bout de bras, et maintenant je me sens comme une femme
fragile qui subit les assauts lubriques d'un mâle viril.
Et puis tout à coup tout s'arrête : il cesse son baiser, se recule un peu et déclenche
la douche. Nous sommes aussitôt aspergés d’eau chaude et lavés du savon. Il pose ses
mains sur mes épaules et appuie doucement, mais fermement. J’ai compris et
j'accompagne le mouvement. Je m’accroupis à ses pieds et me mets à genoux devant son
sexe en érection. Je lève les yeux un instant, puis, obéissant, je me décide. Je
saisis sa verge à pleines mains et approche le gland de mon visage. J’ouvre la bouche,
je suis à la fois impatient et inquiet. Il y quelque chose de magique dans l’air et je
ne veux pas rompre le charme. Je veux sucer cette queue et la faire durcir encore, j’y
tiens plus que tout à cet instant précis et j’ai pourtant peur de ne pas être à la
hauteur. Je m’applique donc à mettre toute ma motivation, mon talent et ma sensualité
au service de cette fellation que je veux rendre inoubliable pour nous deux. J’avale
son gland chaud, vivant et frémissant et je commence à jouer avec ma langue. Je parts
à la découverte et je suis décidé aller aussi profondément que possible. Je veux
battre des records. Je me sens incroyablement motivé. Cet inconnu, j’ai envie de le
faire jouir comme un dingue pour qu’il s’en souvienne toute sa vie. J’ai envie de le
rendre fou rien qu'avec ma bouche, ma langue, mes lèvres et même ma gorge si j’y
arrive.
Je m’aperçois vite que je suis un peu présomptueux, car j’ai du mal à avaler sa queue
en entier : quand j’arrive au fond, je manque de m’étouffer et je ne peux pas
l’enfoncer jusque dans ma gorge. Malgré tout, à chaque fois, j’en prends un peu plus.
Je crois que suis très doué et particulièrement motivé car au lieu d’avoir un réflexe
vomitif comme quand je mets mes doigts au fond de ma gorge, je vais de plus en plus
loin, même si je sens que je manque d’entrainement et d’expérience. Je me surprends
même à espérer être un jour capable d’avaler une queue jusqu’à la garde. Cette pensée
me conforte dans l’idée que je suis une vraie salope, en définitive. Même si je suis
un mec, je ne trouve aucun terme masculin pour évoquer cette envie d’allumer un homme,
de provoquer et d’attiser son désir, d’être à son service et de le faire jouir jusqu’à
ce que son plaisir atteigne des sommets.
Oui, mon gars, je suis ta salope et tu vas te souvenir de moi, je te suce, je te
branle, je te caresse les couilles et je te pétris les fesses. Tu perds les pédales et
je vais te faire monter très haut. Déjà tu respires avec difficulté, tu gémis et tu
grognes, mais je vais t’avoir et te soumettre. Tu es ma chose et je vais te faire
exploser dans ma bouche, je vais t’infliger la « petite mort » qui fait tourner la
tête de tous les hommes. Tu vas gicler et gueuler et tu t’abandonneras dans ma bouche.
J’ai ce pouvoir et tu n’es pas prêt d’oublier ce que je vais te faire endurer …
Pendant que ce monologue silencieux me trotte dans la tête, je continue ma besogne
avec méthode, constance et volupté. Je commence vraiment à comprendre pourquoi c’est
si bon de sucer la queue d’un homme. Oui, je crois que j’adore … Non, j’en suis sûr !
Mmmm … Je me demande lequel de nous deux prend le plus son pied ? Je n’aurais jamais
imaginé que ma bouche pourrait avoir un tel pouvoir et me donnerait ainsi autant de
satisfaction.
Pendant plusieurs minutes je joue ainsi, toujours plus sensuel, voluptueux, osé,
cochon, lubrique. Mais finalement, alors que je n'imagine pas d'autre fin qu'une
explosion de foutre dans ma bouche dans un long râle du mâle qui se vide, les choses
prennent une tout autre tournure. Je sens ma tête tirée en arrière. Le type sort sa
queue de ma bouche, se tourne pour saisir quelque chose dans sa trousse de toilette,
puis me fait face pour que je comprenne bien ce qui m'attend. Il déchire l'emballage
du préservatif en me regardant droit dans les yeux, puis, calmement, l'enfile devant
moi. Nous n'avons toujours pas échangé un mot mais je crois que c'est inutile.
Quelques gestes précis et rapides plus tard, je suis à nouveau debout, les mains
contre le mur, les jambes un peu écartées et penché en avant. Je sais ce qui m'attend
et j'y suis prêt. Je ne fais rien pour lutter, au contraire. J'accentue ma position,
j'écarte un peu plus les jambes, je me cambre et j'ondule du bassin pour allumer un
peu plus le mâle qui va me saillir. Déjà il glisse sa queue dans la raie de mes fesses
qu'il a savonnée pour la circonstance, et il va de haut en bas. Le moment magique de
la pénétration est proche, nous le savons tous les deux. C'est un instant presque
sacré qui mérite d'être ritualisé. Quelques passages sur ma rondelle plus tard, je
sens enfin son gland qui s'arrête, puis qui appuie avec autorité, qui se retire et qui
revient. Un mouvement de va et vient suggestif commence, et à chaque fois l'amplitude
augmente. Le gland chatouille plus qu'il ne force l'entrée de mon cul, mais je sais
bien que je vais y passer d'un instant à l'autre. Je vais me faire sodomiser et cette
fois je ne pourrai pas dire que je me suis fait piéger. Je frissonne car j'ai un peu
peur. Je ne sais même pas qui est ce type et il a sa bite qui est prête à me rentrer
dans le cul. C'est quand même un peu fort, non ?
Et puis enfin, comme il fallait s'y attendre, sentant que c'est le moment et que je
suis prêt pour l'estocade, il m'écarte les fesses et, dans un mouvement puissant et
continu, il enfonce son dard dans mon cul.
- "Ohhhh ..."
Je pousse un soupir de soulagement ou d'indignation, c'est au choix. Le type
s'immobilise comme pour me laisser digérer cette intrusion brutale, ou savourer la
satisfaction d'avoir conquis une nouvelle proie. Ce moment de la première pénétration
est unique. Il sait qu’il a gagné : le plus dur est fait et il va pouvoir me baiser à
sa guise. Moi, de mon côté, je n'ai plus qu'à attendre et à subir. Le mâle va se
déchaîner en moi. Nous sommes passés de l'autre côté : il y a peu il était encore à ma
merci, docile et gémissant. Je pouvais en faire ce que je voulais, l'exciter,
l'allumer, le rendre dingue de désir, mais maintenant c'est moi qui vais être sa
chose. Une autre façon d'être une salope ...
Déjà il commence à bouger, sentant que j'ai encaissé le coup et que mon cul se détend
et s'assouplit. Il me prend calmement par les hanches. J'ai l'impression de revivre ma
première sodomie, quand Sébastien m'avait enculé sous la douche, justement. Mais il y
a quand même des différences : le type reste silencieux, se contente de me limer en
augmentant assez vite la cadence et la puissance. Ou je suis réceptif, ou il sait y
faire (ou les deux ?), car dès que ses coups de reins deviennent violents, amples,
profonds, je suis aussitôt envahi par un plaisir qui m'inonde le cul et irradie
jusqu'au sexe. Je bande de plus belle et chaque coup de boutoir me tire un cri ou un
gémissement. Apparemment, ça lui fait de l'effet car il commence à accélérer la
cadence à un tel rythme que j'ai littéralement l'impression de me faire défoncer. Il
me baise avec puissance et je suis malmené, secoué. J'ai l'impression d'être une
petite chose fragile abusée par une brute qui s'en donne à cœur joie, trop contente de
pouvoir se défouler sur une belle salope qui prend son pied à se faire pistonner
ainsi.
Il me baise maintenant si violemment que je crie sans discontinuer, et que le plaisir
monte encore. C'est peut-être ça, l'orgasme prostatique dont j'ai entendu parler. Un
plaisir intense, mais qui vient de l’intérieur et qui dure beaucoup plus longtemps
qu'une éjaculation. Plus je me fais limer vite et plus cette jouissance m’envahit.
Nous nous lâchons tous les deux en nous entraînant l'un l'autre : chaque coup de reins
augmente mon plaisir, et je gueule comme une vraie salope. L'effet est double : ça
décuple mon plaisir et ça excite le type qui n'en peut plus ; il grogne, halète et
soupire au rythme de notre jouissance qui ne cesse de monter. Je sens que,
contrairement à Sébastien, il ne va pas pouvoir tenir bien longtemps maintenant.
D'ailleurs, moi non plus. J'ai les jambes qui tremblent et tout mon corps est agité de
spasmes. Je jouis trop intensément, il va falloir que ça s'arrête. Du coup, en restant
appuyé contre le mur avec une main, j'utilise l'autre pour me branler. J'ai envie
d'éjaculer avant de perdre complètement les pédales. Je me masturbe donc à toute
vitesse pour accompagner le rythme de dingue qui m'est infligé. Je sens que le point
de non retour est atteint, mais mon éjaculation est longue à venir. Nous avons atteint
un tel niveau qu'on peut parler maintenant d'un accouplement bestial d'une violence
inouïe.
Enfin je suis terrassé par une sorte de double orgasme et j'éjacule dans un cri si
puissant et si long que je finis par manquer d'air. Je me vide sans savoir ni où ni
comment. De toutes façons j'ai les yeux fermés et je ne sais plus où j'en suis.
J'entends juste la satisfaction du mâle qui continue de me baiser à une vitesse
ahurissante et qui apparemment a lui aussi perdu toute contenance. Il prononce
quelques mots incohérents.
- "Ouais, c'est bon .... Tiens ... Prends ça ... Et ça ... C'est bon, hein ? T'aimes
ça, mon chou, hein que t'aimes ça ?"
De mon côté, je ne suis pas en état de répondre. J'essaie de me ressaisir et de
récupérer mon souffle. Mais j'ai du mal, car si ça se calme par devant, je continue à
avoir mon cul en ébullition et le plaisir ne faiblit pas de ce côté. Finalement le
mâle dominant qui m'enfile arrive au bout de sa besogne : il se raidit, se bloque, se
crispe en m'agrippant les fesses et pousse un long râle. Il se vide ainsi de tout son
air (et je suppose aussi de tout son foutre) et s'éteint tout doucement. C'est
bizarre, un mec qui éjacule : frénétique et violent l'instant d'avant, anéanti et doux
comme un agneau quelques secondes plus tard.
Nous reprenons notre souffle tous les deux, calmement, longuement. Son sexe perd de la
rigidité, il se retire et quitte mon cul. Son propriétaire se débarrasse du
préservatif reprend sa douche comme si de rien n'était. Il se tourne vers moi et me
demande alors avec naturel :
- "Je m'appelle Marc, et toi ?"
- "Nicolas."
- "Alors Nicolas, on s'est assez donnés comme ça, non ? Je t'offre un verre ?"
- "OK."
Que pouvais-je répondre d'autre ? En tout cas, pour moi qui attendais une rencontre
féminine pour m’aider à mettre de l'ordre dans mes idées et à retrouver des
certitudes, c’est pas gagné !
je veux rester un beau mec sportif et attirant ( !), il ne faut pas que je me laisse
trop aller. J’ai trouvé une salle de musculation sympa et pas chère du tout. J’y vais
après le boulot et quand j’arrive, les gens commencent à partir, du coup on ne se
bouscule pas sur les appareils. Comme je finis presque toujours parmi les derniers,
c’est souvent moi qui ferme la boutique (le dernier sorti laisse la clé dans une boîte
aux lettres). Ce n’est pas tout à fait comme chez mon copain Sébastien (il a une salle
de musculation pour lui tout seul !), mais presque. Tiens, en parlant de Sébastien, ça
fait un mois que je ne l’ai pas revu, depuis ce fameux weekend où il m’a « lutiné »
comme disent les poètes … Quand j’y repense, j’en rougis encore et je n’arrive
toujours pas à mettre de l’ordre dans mes idées. Je ne sais pas de qui il faut se
méfier le plus : de lui ou de moi ? Sébastien est un manipulateur et un dominateur ou
c’est moi qui suis plutôt du genre soumis et prêt à tout subir ? Pour l’instant, j’ai
rompu tout contact avec lui (de toutes façons, il n’a ni mon adresse ni mon numéro de
téléphone) car les choses ne sont pas claires pour moi : Sébastien a une vie sexuelle
bien remplie, avec au moins une copine régulière, même si ça ne l’a pas empêché de me
baiser allègrement (il prétend que ça ne lui arrive pas trop souvent mais je n’en suis
pas si sûr). Moi, par contre, je suis toujours seul et, même si je reconnais que c’est
vraiment pas mal de se faire tringler par un homme, je ne suis pas prêt à devenir la
chose de Sébastien de façon durable. Bon, c’est vrai qu’il m’a fait découvrir des
trucs, mais je ne m’en suis pas encore remis. J’irais même plus loin : il y a des fois
où je me surprends moi-même à jeter de drôles de regards sur les hommes autour de moi
…
Tiens, d’ailleurs, en ce moment, il y a dans la salle un type que je vois presque tous
les soirs. Je lui adresse parfois la parole pour dire bonjour ou demander conseil. Je
ne sais pas si c’est lui qui me regarde avec insistance ou l’inverse, mais nos regards
se croisent souvent. En général je souris poliment et ça s’arrête là, mais aujourd’hui
je trouve qu’il y a quelque chose dans l’air. En tout cas, il est super bien foutu,
des abdos bien dessinés, des pectoraux de Chippendale, des biceps et tout le reste ...
Musclé, mais pas trop, la quarantaine rayonnante et puissante, respirant la santé :
c’est comme ça que je voudrais être dans cinq ans. Ce soir il n’y a plus que lui et
moi dans la salle. Je suis allongé sur le banc et je tente mon maximum au développé-
couché. J’ai apparemment mal évalué, car à la troisième tentative, je suis incapable
de remonter la barre. Je suis comme un con, coincé avec 75 kg de fonte qui m’empêchent
de me relever. Heureusement que je ne suis pas seul. Je l’appelle à l’aide et il
s’approche pour me tirer de ce mauvais pas. Il se penche vers moi avec un sourire
indéchiffrable :
- « Seul et sans défense : heureusement que je suis là pour te tirer d’affaire. Tu me
dois un gage … »
Je ne sais pas ce que ça veut dire mais il m’aide à remonter la barre et ça me suffit.
- « Merci. J’ai l’impression que j’ai présumé de mes forces. Je crois que je vais en
rester là pour ce soir. »
- « Je pense que c’est plus sage, en effet … »
Je me dirige vers le vestiaire, puis me déshabille pour prendre ma douche. Hummm …
c’est génial, une bonne douche chaude après l’effort. Je m’abandonne au jet qui me
masse et me détend. J’entends la porte s’ouvrir, le type rentre à son tour. Il se
déshabille pour prendre sa douche lui aussi. C’est normal, non ? Alors pourquoi est-ce
que je commence à me sentir déstabilisé ? Pourquoi est-ce que j’ai le cœur qui bat
plus vite ? Il est nu, il s’approche pour se doucher lui aussi. Il pose sa trousse de
toilette et commence à se savonner. Rien de spécial, et pourtant je ne peux pas
m’empêcher de le regarder à la dérobée et de me sentir bizarre. Deux hommes nus en
train de prendre une douche, c’est quand même logique après le sport, alors qu’est-ce-
que j’ai ? J’ai des drôles d’idées qui me traversent la tête, je repense encore à ce
qui s’est passé le mois dernier avec Sébastien … Pendant ce temps, le gars me regarde
avec de plus en plus d’insistance. Il se savonne doucement le corps, les bras, les
jambes, le sexe. Il insiste tout en me regardant fixement maintenant. Je suis de plus
en plus mal à l’aise et ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil sur son pénis
pendant qu’il le savonne, le frotte et le caresse. Son sexe est bien proportionné, de
taille respectable, mais j’ai surtout l’impression que … Oui, c’est ça, je crois qu’il
grossit tout doucement. Le type s’est encore approché de moi et le voilà qui prend son
sexe dans sa main. Je refuse d’abord d’y croire, mais … Il n’est pas en train de se
savonner, il est tout simplement en train de se tripoter à un mètre de moi en tentant
de capter mon regard. J’essaie d’être naturel, mais ça devient de plus en plus
difficile. Je ne peux pas faire comme si je ne voyais pas ce qui se passe. Il est
vraiment tout près de moi maintenant, alors je lui jette un regard furtif en évitant
de voir son sexe. Il me fixe en souriant, apparemment fier de lui (la vache, il a
presque une demi tête de plus que moi !). Il se savonne le buste, le ventre, puis
descend … Il atteint son sexe et je ne peux pas ne pas voir qu’il a de plus en plus la
trique. Il se dirige vers moi et je commence à avoir la gorge sèche. Qu’est-ce qui se
passe ? Qu’est-ce que je fais ? Qu’est-ce que je lui dis ? Je me sens très con et
plutôt inquiet. Il s’approche encore plus, du coup je me recule un peu et lui fais
face, mais maintenant, je suis contre le mur et il avance encore … Il reprend du
savon, puis le fait mousser. Il me regarde droit dans les yeux, tend ses mains vers
moi et les pose sur mes épaules. Je sursaute. Il commence à me savonner et j’essaie de
me ressaisir, mais c’est dur … Toujours ce regard amusé, sûr de lui et mystérieux. Il
continue de me frotter les épaules, puis descend vers ma poitrine. Je frissonne :
l’effet est terrible. Je suis tendu comme une corde à violon et le fait qu’il me
caresse le buste, ajouté à la sensualité du savon et de l’eau chaude, je perds un peu
les pédales. Je me mets à manquer d’air et ma respiration s’accélère.
Tout à coup j’ai une vision fugitive qui me traverse la tête : celle d’une femme, nue
sous la douche, sans défense et craintive, à la merci d’un homme qui s’approche
d’elle, lui caresse les seins et fait durcir ses tétons. Et cette femme qui pourrait
crier et s’enfuir, elle ne fait rien, elle se laisse faire, soumise, bientôt
abandonnée et gémissante … Cette image que je trouve très excitante, je l’ai déjà
imaginée et fantasmée, mais j’avais le rôle de l’homme, évidemment ! J’ai l’impression
de devenir fou. Je suis un mec, quand même ! Un mec, ça agit, ça réagit, ça lutte, ça
conquiert, ça prend son plaisir mais ça ne se laisse pas faire comme moi en ce moment
… Non, rien à faire, je suis paralysé, incapable de bouger, sans réaction. Sans
réaction ? Pas tout à fait : je frissonne, je sursaute, ma respiration s’accélère,
j’avale ma salive avec difficulté et, surtout, je ne peux pas m'empêcher de commencer
à bander. Je suis hypnotisé par ce mec qui est de plus en plus sûr de lui et de
l’effet qu’il a sur moi. Il a pris possession de mon buste, il le caresse en observant
avec satisfaction l’effet obtenu. Il s’occupe ensuite de mon ventre, puis descend
encore et vient vérifier la rigidité de mon sexe. Je sursaute. Il descend encore, me
caresse les couilles, et puis tout à coup il se penche sur moi et m’embrasse avec
fougue, colle ses lèvres aux miennes, tente de me pénétrer avec sa langue. Je ne songe
même pas à résister et le laisse faire, me contentant de contenir timidement ce baiser
autoritaire et passionné. Il se colle à moi, son sexe tendu et dur frotte contre mon
ventre. Il bouge le bassin et s’arrange pour que nos verges puissent rentrer en
contact et s’exciter mutuellement. Comme si cela ne suffisait pas, il m’adosse au mur,
se colle contre moi comme pour me garder prisonnier. Ce baiser fougueux ne semble pas
devoir s'arrêter. Je suis vraiment dans tous mes états car c'est la première fois
qu'on m'embrasse ainsi, avec autant d'audace, de sensualité, d'initiative et de
passion. Je me sens tout émoustillé à l'idée d'être devenu à ce point un objet de
désir, je me laisse faire, j'accompagne ses lèvres et sa langue, j'encourage mon
compagnon (c'est bien comme ça qu'il faut que je le nomme, non ?) par une respiration
plus hésitante, des soupirs étouffés, des petit gémissements évocateurs. Mmmm ... Ce
cochon m'excite à me rouler une pelle comme ça ! Ce n'est pas un simple baiser
innocent que je suis en train d'expérimenter, c'est bien plus : nous basculons tous
les deux dans un truc torride : je suis collé au mur, immobilisé, coincé, à sa merci,
soumis, haletant et gémissant ; lui joue de ses mains pour m'exciter un peu plus : il
les promène sur mon buste, me caresse le cou ou me tient la tête pour mieux
m'immobiliser et me soumettre à son baiser qui décidément n'en finit pas. Et puis ce
salaud continue d'avancer son bassin et s'arrange pour que nos queues raides de désir
se frottent l'une contre l'autre. L'effet est indescriptible et je me sens de plus en
plus excité mais il n'en reste pas là. Il me mordille maintenant les lèvres avant de
me pénétrer à nouveau avec sa langue. La symbolique est claire : je suis sa chose, sa
proie, sa conquête, en tout cas c'est ainsi que je me sens de plus en plus au fur et à
mesure qu'il me fait perdre le contrôle de moi-même. Et puis, sans me laisser de
répit, le voilà qui continue avec fougue et passion à explorer mon corps de ses mains
baladeuses : les flancs, les hanches, puis les fesses. Mon visage toujours immobilisé
par sa bouche vorace, je sens maintenant qu'il me saisit les fesses à pleines mains,
les serre, les palpe et les pétrit. Plus on avance et plus je me sens une petite chose
frêle entre ses mains avides de sexe, car c'est bien de ça qu'il s'agit. Il y a dix
minutes je soulevais 75 kg à bout de bras, et maintenant je me sens comme une femme
fragile qui subit les assauts lubriques d'un mâle viril.
Et puis tout à coup tout s'arrête : il cesse son baiser, se recule un peu et déclenche
la douche. Nous sommes aussitôt aspergés d’eau chaude et lavés du savon. Il pose ses
mains sur mes épaules et appuie doucement, mais fermement. J’ai compris et
j'accompagne le mouvement. Je m’accroupis à ses pieds et me mets à genoux devant son
sexe en érection. Je lève les yeux un instant, puis, obéissant, je me décide. Je
saisis sa verge à pleines mains et approche le gland de mon visage. J’ouvre la bouche,
je suis à la fois impatient et inquiet. Il y quelque chose de magique dans l’air et je
ne veux pas rompre le charme. Je veux sucer cette queue et la faire durcir encore, j’y
tiens plus que tout à cet instant précis et j’ai pourtant peur de ne pas être à la
hauteur. Je m’applique donc à mettre toute ma motivation, mon talent et ma sensualité
au service de cette fellation que je veux rendre inoubliable pour nous deux. J’avale
son gland chaud, vivant et frémissant et je commence à jouer avec ma langue. Je parts
à la découverte et je suis décidé aller aussi profondément que possible. Je veux
battre des records. Je me sens incroyablement motivé. Cet inconnu, j’ai envie de le
faire jouir comme un dingue pour qu’il s’en souvienne toute sa vie. J’ai envie de le
rendre fou rien qu'avec ma bouche, ma langue, mes lèvres et même ma gorge si j’y
arrive.
Je m’aperçois vite que je suis un peu présomptueux, car j’ai du mal à avaler sa queue
en entier : quand j’arrive au fond, je manque de m’étouffer et je ne peux pas
l’enfoncer jusque dans ma gorge. Malgré tout, à chaque fois, j’en prends un peu plus.
Je crois que suis très doué et particulièrement motivé car au lieu d’avoir un réflexe
vomitif comme quand je mets mes doigts au fond de ma gorge, je vais de plus en plus
loin, même si je sens que je manque d’entrainement et d’expérience. Je me surprends
même à espérer être un jour capable d’avaler une queue jusqu’à la garde. Cette pensée
me conforte dans l’idée que je suis une vraie salope, en définitive. Même si je suis
un mec, je ne trouve aucun terme masculin pour évoquer cette envie d’allumer un homme,
de provoquer et d’attiser son désir, d’être à son service et de le faire jouir jusqu’à
ce que son plaisir atteigne des sommets.
Oui, mon gars, je suis ta salope et tu vas te souvenir de moi, je te suce, je te
branle, je te caresse les couilles et je te pétris les fesses. Tu perds les pédales et
je vais te faire monter très haut. Déjà tu respires avec difficulté, tu gémis et tu
grognes, mais je vais t’avoir et te soumettre. Tu es ma chose et je vais te faire
exploser dans ma bouche, je vais t’infliger la « petite mort » qui fait tourner la
tête de tous les hommes. Tu vas gicler et gueuler et tu t’abandonneras dans ma bouche.
J’ai ce pouvoir et tu n’es pas prêt d’oublier ce que je vais te faire endurer …
Pendant que ce monologue silencieux me trotte dans la tête, je continue ma besogne
avec méthode, constance et volupté. Je commence vraiment à comprendre pourquoi c’est
si bon de sucer la queue d’un homme. Oui, je crois que j’adore … Non, j’en suis sûr !
Mmmm … Je me demande lequel de nous deux prend le plus son pied ? Je n’aurais jamais
imaginé que ma bouche pourrait avoir un tel pouvoir et me donnerait ainsi autant de
satisfaction.
Pendant plusieurs minutes je joue ainsi, toujours plus sensuel, voluptueux, osé,
cochon, lubrique. Mais finalement, alors que je n'imagine pas d'autre fin qu'une
explosion de foutre dans ma bouche dans un long râle du mâle qui se vide, les choses
prennent une tout autre tournure. Je sens ma tête tirée en arrière. Le type sort sa
queue de ma bouche, se tourne pour saisir quelque chose dans sa trousse de toilette,
puis me fait face pour que je comprenne bien ce qui m'attend. Il déchire l'emballage
du préservatif en me regardant droit dans les yeux, puis, calmement, l'enfile devant
moi. Nous n'avons toujours pas échangé un mot mais je crois que c'est inutile.
Quelques gestes précis et rapides plus tard, je suis à nouveau debout, les mains
contre le mur, les jambes un peu écartées et penché en avant. Je sais ce qui m'attend
et j'y suis prêt. Je ne fais rien pour lutter, au contraire. J'accentue ma position,
j'écarte un peu plus les jambes, je me cambre et j'ondule du bassin pour allumer un
peu plus le mâle qui va me saillir. Déjà il glisse sa queue dans la raie de mes fesses
qu'il a savonnée pour la circonstance, et il va de haut en bas. Le moment magique de
la pénétration est proche, nous le savons tous les deux. C'est un instant presque
sacré qui mérite d'être ritualisé. Quelques passages sur ma rondelle plus tard, je
sens enfin son gland qui s'arrête, puis qui appuie avec autorité, qui se retire et qui
revient. Un mouvement de va et vient suggestif commence, et à chaque fois l'amplitude
augmente. Le gland chatouille plus qu'il ne force l'entrée de mon cul, mais je sais
bien que je vais y passer d'un instant à l'autre. Je vais me faire sodomiser et cette
fois je ne pourrai pas dire que je me suis fait piéger. Je frissonne car j'ai un peu
peur. Je ne sais même pas qui est ce type et il a sa bite qui est prête à me rentrer
dans le cul. C'est quand même un peu fort, non ?
Et puis enfin, comme il fallait s'y attendre, sentant que c'est le moment et que je
suis prêt pour l'estocade, il m'écarte les fesses et, dans un mouvement puissant et
continu, il enfonce son dard dans mon cul.
- "Ohhhh ..."
Je pousse un soupir de soulagement ou d'indignation, c'est au choix. Le type
s'immobilise comme pour me laisser digérer cette intrusion brutale, ou savourer la
satisfaction d'avoir conquis une nouvelle proie. Ce moment de la première pénétration
est unique. Il sait qu’il a gagné : le plus dur est fait et il va pouvoir me baiser à
sa guise. Moi, de mon côté, je n'ai plus qu'à attendre et à subir. Le mâle va se
déchaîner en moi. Nous sommes passés de l'autre côté : il y a peu il était encore à ma
merci, docile et gémissant. Je pouvais en faire ce que je voulais, l'exciter,
l'allumer, le rendre dingue de désir, mais maintenant c'est moi qui vais être sa
chose. Une autre façon d'être une salope ...
Déjà il commence à bouger, sentant que j'ai encaissé le coup et que mon cul se détend
et s'assouplit. Il me prend calmement par les hanches. J'ai l'impression de revivre ma
première sodomie, quand Sébastien m'avait enculé sous la douche, justement. Mais il y
a quand même des différences : le type reste silencieux, se contente de me limer en
augmentant assez vite la cadence et la puissance. Ou je suis réceptif, ou il sait y
faire (ou les deux ?), car dès que ses coups de reins deviennent violents, amples,
profonds, je suis aussitôt envahi par un plaisir qui m'inonde le cul et irradie
jusqu'au sexe. Je bande de plus belle et chaque coup de boutoir me tire un cri ou un
gémissement. Apparemment, ça lui fait de l'effet car il commence à accélérer la
cadence à un tel rythme que j'ai littéralement l'impression de me faire défoncer. Il
me baise avec puissance et je suis malmené, secoué. J'ai l'impression d'être une
petite chose fragile abusée par une brute qui s'en donne à cœur joie, trop contente de
pouvoir se défouler sur une belle salope qui prend son pied à se faire pistonner
ainsi.
Il me baise maintenant si violemment que je crie sans discontinuer, et que le plaisir
monte encore. C'est peut-être ça, l'orgasme prostatique dont j'ai entendu parler. Un
plaisir intense, mais qui vient de l’intérieur et qui dure beaucoup plus longtemps
qu'une éjaculation. Plus je me fais limer vite et plus cette jouissance m’envahit.
Nous nous lâchons tous les deux en nous entraînant l'un l'autre : chaque coup de reins
augmente mon plaisir, et je gueule comme une vraie salope. L'effet est double : ça
décuple mon plaisir et ça excite le type qui n'en peut plus ; il grogne, halète et
soupire au rythme de notre jouissance qui ne cesse de monter. Je sens que,
contrairement à Sébastien, il ne va pas pouvoir tenir bien longtemps maintenant.
D'ailleurs, moi non plus. J'ai les jambes qui tremblent et tout mon corps est agité de
spasmes. Je jouis trop intensément, il va falloir que ça s'arrête. Du coup, en restant
appuyé contre le mur avec une main, j'utilise l'autre pour me branler. J'ai envie
d'éjaculer avant de perdre complètement les pédales. Je me masturbe donc à toute
vitesse pour accompagner le rythme de dingue qui m'est infligé. Je sens que le point
de non retour est atteint, mais mon éjaculation est longue à venir. Nous avons atteint
un tel niveau qu'on peut parler maintenant d'un accouplement bestial d'une violence
inouïe.
Enfin je suis terrassé par une sorte de double orgasme et j'éjacule dans un cri si
puissant et si long que je finis par manquer d'air. Je me vide sans savoir ni où ni
comment. De toutes façons j'ai les yeux fermés et je ne sais plus où j'en suis.
J'entends juste la satisfaction du mâle qui continue de me baiser à une vitesse
ahurissante et qui apparemment a lui aussi perdu toute contenance. Il prononce
quelques mots incohérents.
- "Ouais, c'est bon .... Tiens ... Prends ça ... Et ça ... C'est bon, hein ? T'aimes
ça, mon chou, hein que t'aimes ça ?"
De mon côté, je ne suis pas en état de répondre. J'essaie de me ressaisir et de
récupérer mon souffle. Mais j'ai du mal, car si ça se calme par devant, je continue à
avoir mon cul en ébullition et le plaisir ne faiblit pas de ce côté. Finalement le
mâle dominant qui m'enfile arrive au bout de sa besogne : il se raidit, se bloque, se
crispe en m'agrippant les fesses et pousse un long râle. Il se vide ainsi de tout son
air (et je suppose aussi de tout son foutre) et s'éteint tout doucement. C'est
bizarre, un mec qui éjacule : frénétique et violent l'instant d'avant, anéanti et doux
comme un agneau quelques secondes plus tard.
Nous reprenons notre souffle tous les deux, calmement, longuement. Son sexe perd de la
rigidité, il se retire et quitte mon cul. Son propriétaire se débarrasse du
préservatif reprend sa douche comme si de rien n'était. Il se tourne vers moi et me
demande alors avec naturel :
- "Je m'appelle Marc, et toi ?"
- "Nicolas."
- "Alors Nicolas, on s'est assez donnés comme ça, non ? Je t'offre un verre ?"
- "OK."
Que pouvais-je répondre d'autre ? En tout cas, pour moi qui attendais une rencontre
féminine pour m’aider à mettre de l'ordre dans mes idées et à retrouver des
certitudes, c’est pas gagné !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour je suis toujours aussi charmé par tes histoires qui nous permettent de visualiser les scènes qu'on se place d'un côté ou de l'autre
Tu es super génial , continue dans cette voie pour notre plus grand plaisir exitant au possible qui nous procure d'intenses vibtations
Tu es super génial , continue dans cette voie pour notre plus grand plaisir exitant au possible qui nous procure d'intenses vibtations
Je croyais que tu avais arrêté d'ecrire mais je me trompais. C'est l'histoire la plus exitante que j'ai lu
Magnifique !
Moi qui s'est justement dit aujourd'hui que ça faisait un petit temps qu'on ne t'avait plus lu! Je suis heureuse de ton retour. Tu écris toujours terriblement bien et tu m'as fait ressentir toutes sortes d'agréables sensations. Qu'est-ce que je donnerais pour savoir qui tu es... Merci encore pour ce moment magique!
très heureux de te retrouver !
c'est tellement bon ,j'espère que tu vas continuer !
merci et bisous
c'est tellement bon ,j'espère que tu vas continuer !
merci et bisous
Salut toi.. tjs tres hallechantes tes histoires... au bord de la piscine.. je lis ton histoire et je bande dur .. merci pour ce moment magique... ne te poses pas de questions et profite bien... bizz
hummm trop trop hot
et ça se dit hétéro ? dis mon gars t'aime tellement la bitte qu'au mieux t'es bi !
mais quel cul quel tempérament de bonne saloppe miamm continue de nous faire bander mec !
et ça se dit hétéro ? dis mon gars t'aime tellement la bitte qu'au mieux t'es bi !
mais quel cul quel tempérament de bonne saloppe miamm continue de nous faire bander mec !