Les aventures d’Hélène 2/6 - histoire érotique

Je viens de rentrer chez mes parents après avoir trompé mon mari avec mes copains de jeunesse dont julien, à qui je n’avais jamais cédé et que je dois revoir lundi
Dans mon lit j’ai du mal à trouver le sommeil perturbée les pensées se bousculent dans ma tête pourquoi tromper Xavier ? Je l’ai fait cocu et trois fois dans la même nuit je m’en veux sans regretter le plaisir que j’ai eu et même impatiente d’être à lundi. Ce n’est qu’après quatre heures que je m’endors. Des coups à ma porte me réveillent : « chérie il est bientôt dix heures ! Tu descends pour le petit déjeuner ? ». Je me lève j’enfile mon peignoir et je descends.
- « Bonjour maman merci de m’avoir appelé sinon je dormais jusqu’à midi »
- « Tu es rentrée tard ! Tu as passé une bonne soirée ? »
- « Oui ! Je ai beaucoup dansé, avec la bande on a surtout parlé de nos jeunes années et nous n’avons pas vu les heures passer, je suis rentrée à un peu plus de deux heures »
- « Je sais, je t’ai entendu, ton père il dormait comme un loir. Dépêche-toi de te doucher la messe est à onze heures »
J’avale mon petit déjeuner en vitesse ce qui me permettra de communier (ce n’est pas le moment de froisser ma mère qui ignore que je ne vais plus à l’église) et je monte me doucher. Quand je descends mon père est revenu et nous partons à la messe. A la sortie de l’église nous saluons la famille de Trémos de la touche, Julien en profite pour me balancer quelques piques. Je m’éloigne sans répondre suivie de mes parents. Nous passons le dimanche en famille.
Le lundi après-midi je prétexte un rendez-vous avec une copine au village voisin je prends ma voiture et vais retrouver Julien à la cabane de chasse. En arrivant je me gare près de la voiture de Julien qui sort sur le pas de porte pour m’accueillir.
- « C’est bien petite salope tu es juste à l’heure, retire ta robe, ta culotte aussi, entre vite te faire baiser »
J’entre nue dans la grande pièce et je recule de suite il y un géant métisse d’au moins deux mètres, la soixantaine bien sonnée, mal rasé, une carrure imposante, les cheveux hirsutes et le sourire aux lèvres. Julien me repousse à l’intérieur vers cet inconnu.
- « Fait pas ta mijaurée, dit bonjour à Norbert c’est un retraité qui bûcheronne avec David. Tu ne seras pas déçue il est mieux monté que moi, allez entre ! Nono voici Hélène une copine de Julie et bonne salope!
- « bonjour Hélène tu es bien plus jolie que Julie !»
- « Julien t’es un salop ce n’est pas ce qui était prévu tu devais être seul tu pousses le bouchon »
- « Oui c’est vrai mais tu t’es bien foutu de moi pendant des années c’est à mon tour»
- « bon mais après ça tu me jure que c’est terminé qu’on en parle plus»
- « c’est promis »
Je m’approche de l’homme qui me détaille, ses yeux brillent, d’une main il m’attrape par la hanche et m’attire à lui, ses mains sont de véritables battoirs il m’empoigne les fesses pour me soulever et m’embrasser. Quand il me repose je sens ses mains rugueuses caresser ma peau en remontant vers ma poitrine.
- « cette petite toute fraiche va me changer de ma vieille Andrée, voyons si elle est meilleure que sa copine»
Dans mon dos Julien s’est mis nu il se colle à moi je sens contre mes fesses sa queue déjà dure, face à moi Norbert retire ses vêtements dévoilant un torse encore musclé et libérant une verge énorme déjà bandée. L’homme s’approche la queue à la main.
- « suce ma bite, tu n’auras pas à t’en plaindre »
Je me penche pour prendre en bouche ce membre gonflé, derrière moi julien m’enfile sa bite dans la moule. Dans ma bouche le membre métissé durcit encore. Le bûcheron me tient la tête d’une main. Me voici embrochée entre deux braquemard XXL et j’aime cette sensation, ma chatte mouille autant que ma bouche salive.
Je ne peux articuler la bouche pleine et la mâchoire distendue : « Humm mmmouiiiii ooon »
Juju : « Elle aime la salope, elle mouille un max ! Sûr que la petite bite de son cocu ne l’a jamais rendue aussi heureuse»
Je dois reconnaitre que ce n’est pas faux, le plaisir que j’éprouve en cet instant est de loin supérieur à celui que mon époux me donne. La bouche bien remplie je me régale de cette queue basanée qui palpite sous ma langue, qui masse mon palais, mes joues et pousse ma luette provoquant par moment quelques réflexes nauséeux. Le goût du liquide pré-séminal est si agréable que je prends du plaisir. Et que dire de ce monstre de chair qui me remplit le vagin et me martèle l’utérus entrainant à la fois légère douleur et plaisir.
Je ne sais plus trop où je suis ! Emportée par des spasmes de jouissance successifs je dois abandonner la bite de Nono pour crier mon plaisir.
-« Oooooh! Baise ma chatte! Alléééé! Vas-y baise-moi, comme ça!!!! Encore ! !!! Putaaaaaain !!! Ouiiiiiiii !!!
Ma jouissance déclenche celle de Julien, je sens de puissantes giclées de sperme au fond de mon vagin.
Julien se retire et vient me présenter sa queue que je nettoie. Nono profite de l’instant pour venir planter sa bite dans ma chatte distendue et dégoulinante, il me baise à son tour sous les commentaires de Julien
- « Tu vois comme elle aime la bite ! Elle doit bien sentir ta queue dans sa chatte gonflée! »
A peine remise de mon premier orgasme me voici de nouveau sur le chemin du plaisir, le braquemard de Norbert me remplit plus que celui de Julien et le vieux bûcheron n’est pas en reste pour me donner de son bâton. Julien s’est attablé et bois un verre de vin en nous regardant. Le vieux est encore vert pour son âge, il me baise mieux que mes copains. Il aurait été dommage de ne pas profiter de cette expérience.
A son tour il me fait jouir et me remplit le ventre de sa semence. Il se retire et me claque les fesses en riant.
- «hahahaha.. ! T’es une bonne salope bien serrée on sent que ta chatte n’as pas l’habitude des grosses bites ! »
- « Pour la chatte c’est fait maintenant on va s’occuper de son petit cul »
- « Non ! Je suis vierge de ce côté vous ne pouvez pas vous êtes trop gros !» je commence à avoir peur.
- « nous avons une petite heure, et nous allons bien t’ouvrir l’œillet pour te préparer n’est-ce pas Nono ?»
Norbert s’approche de moi et plonge trois doigts dans ma chatte récupère un mélange de sperme et de cyprine qu’il vient poser sur mon anus. Il entame un massage pour assouplir et me détendre l’œillet. Peu à peu son doigt entre et sort de mon anus sans problème, il en glisse un second avec la même efficacité. À cet instant la porte s’ouvre c’est David le garde-chasse un vieil ami de mon père ils ont le même âge presque 50 ans (Pour moi ce sont des vieux)
- « Excusez-moi Julien j’ai vu une voiture inconnue»
- « Entre David tu vas bien participer à la fête »
- « Mais je la connais c’est la petite Hélène ! Non je ne veux pas de problème avec son père. »
- « Tu ne risques rien cette petite salope adore se faire baiser et ce n’est pas elle qui va se plaindre. Tu tombes bien nous allions l’enculer alors si tu veux être le premier tu feras le passage pour nous. N’est-ce pas Hélène»
- « c’est vrai Hélène tu ne diras rien »
- « Julien m’a invitée ici et c’est pour me faire baiser que je suis venue »
Le garde-chasse s’approche de moi il ouvre sa braguette et en extrait une bite comparable à celle de mon homme. Je le prends en bouche pendant qu’il défait sa ceinture. Nono me fait pivoter et présente mon cul au nouveau venu.
- « Vas-y David tu vois j’ai préparé le terrain tu vas l’enculer facilement »
David pose son gland sur mon petit trou il pousse lentement et fermement, je sens l’orifice s’ouvrir sous la pression.
- « L’œillet de la petite s’ouvre tout seul. Je lui bourre le cul à la mignonne et je ne force même pas»
- « Tu vois que c’est cette petite pute qui demande alors défonce lui la rondelle profite bien du moment »
Le garde-chasse s’agite dans mon fondement ce n’est pas douloureux mais je n’éprouve pas de plaisir. Enfin il me graisse l’intestin de sa jouissance. Il se retire et me donne sa queue à nettoyer je rechigne un peu j’ai des hauts le cœur pas à cause de la taille mais de l’odeur et du goût, je parviens tout de même à nettoyer sa bite sans vomir.
Mon cul étant libéré Julien prend son chibre à la main pour me sodomiser et vu la grosseur le défi est de taille.
- « Allez écartes tes fesses que je vois bien la cible. Je vais t’élargir la rondelle Hélène, ma bite va te ramoner.»
Je m’exécute la tête plongée dans un coussin, mes mains écartent mes fesses, Julien crache sur mon anneau brun entrouvert. Il pose son gland au contact et pousse fermement. Mon œillet s’ouvre et le braquemard s’enfonce d’un coup dans mon intestin. La douleur est vive je me mors la lèvre pour ne pas crier (ce salop aurait trop aimé que je gueule) les larmes coulent sur mes joues. Il faut plusieurs allers-retours avant que cette douleur s’estompe.
Pendant de longues minutes le salop m’encule sans se soucier de ma douleur puis il se met à me fesser. D’abord surprise je lâche un « aie » puis je fais le vide dans ma tête pour supporter les claques viriles. Peu à peu j’ai des papillons dans le ventre qui se manifestent, les douleurs deviennent source de plaisir et après de longues minutes de ce traitement je suis déchainée je réclame les coups de bite et déclame mon plaisir.
- « Oui défonce moi ! Encule moi profondément c’est trop bon, c’est fort ouiiiiii j’aime plus fort ! Oui encule moi à fond je t’en prie fait moi jouir du cul ! »
- « T’es vraiment une salope t’aime ça et ça me plais. Je vais te remplir de mon jus ma salope »
Pendant que je perds toute lucidité il me remplit l’intestin de son huile de couille et cède la place à Norbert qui me défonce le ridé à son tour. Je suis hystérique mon envie de jouir me fait dire et faire des choses dont je ne me serais pas crue capable. J’encourage Nono à me fesser et à m’enculer plus fort.
Le bûcheron entre et sort totalement de mon orifice pour y revenir plus vite et plus fort j’ai l’impression qu’il me pousse l’intestin profondément je jouis longuement avant de m’écrouler sans force mais Nono me tient par les hanches et me baise jusqu’à ce qu’il se vide lui aussi dans mon fondement.
Je suis effondrée sur le canapé, difficilement je me redresse, Je n’ai même pas vu David le garde-chasse partir. Je regarde ma montre il est temps de rentrer chez mes parents. Les deux hommes sont attablés devant un verre, j’enfile ma robe et ma culotte, ils me regardent en souriant satisfait de m’avoir baisée.
- « c’est une bonne pouliche, elle aime se faire monter et défoncer cette belle salope ! »
- « hé voilà ! Une chienne de plus à notre tableau de chasse ça va tu as assez joui petite garce »
- « oui j’en ai assez il est temps que je rentre mais on en parle plus »
- « bien sûr chose promise chose due. »
Me voici rassurée je dis au revoir et me dirige vers la porte la démarche un peu contrainte.
- « Julien regarde la marcher, on dirait qu’elle a quelque chose dans le cul »
- « on peut dire qu’elle a dégusté. Hélène ! Fait attention à ta démarche sinon tes parents vont te demander ce qui t’arrive ! »
Je saute dans ma voiture direction chez mes parents sur le siège confortable je peine à trouver une position non douloureuse.……

A suivre…………….