Les aventures d’Hélène1/6
Récit érotique écrit par les-jacanas [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures d’Hélène1/6
Alan et moi vous proposons le récit des aventures d’un couple de nos connaissances.
j'ai du remanier ce texte qui risque de se retrouver après les parties suivantes
Au retour de nos vacances en septembre 2022 nous passons par Limoges. C’est en sortant du musée Adrien Dubouché que nous reconnaissons Hélène une jeune femme, d’à peine quarante ans rencontrée avec son mari quatre ans plus tôt au sauna libertin de Bordeaux. Elle nous invite à déjeuner le lendemain à midi chez elle. Son époux est absent mais prévenu de notre visite. Je me retrouve avec Hélène dans le lit conjugal pour notre plus grand plaisir et celui d’Alan candauliste. Après ce moment de plaisirs saphiques nous discutons tous les trois, et évoquons le récit de nos aventures publiés sur HDS. Merci à notre amie Hélène de nous avoir confié comment son adultaire les a amenés au libertinage, elle nous a demandé de les transcrire pour les publier sur HDS. Nous avons mis ses confessions en forme pour publier les récits en espérant ne pas avoir trahis sa confiance et qu’elle et Xavier seront satisfaits du résultat. Les noms ont été modifiés par discrétion
Au lycée nous étions une bande, deux filles (Julie ma meilleure amie et moi Hélène un peu délurées) pour 5 garçons : Julien (de Trémos de la touche) moche comme un pou se prend pour le mâle alpha il drague ma copine Julie. Éric Bruno et Paul ont un physique moyen et sont à l’origine de mes premiers émois et enfin Xavier le timide. Nous n’étions pas en avance au niveau scolaire et avions tous un ou deux ans de retard dus au redoublement du fait de notre manque de sérieux
C’est un ouvrier agricole de 26 ans qui me dépucelle à tout juste dix-huit ans il m’a donné le goût du sexe. Au lycée après être sortie avec Éric, Bruno puis Paul c’est vers Xavier le beau gosse de la bande que je me suis tournée, d’une famille très religieuse, il est très timide toujours puceau je l’ai même cru homo, c’est peut-être ce qui m’a attiré chez lui. Par défi je décide de lui faire perdre son pucelage avant le Bac. Trop heureux que je fasse les premiers pas en fin de seconde il cède à mes avances me dit qu’il n’osait pas me draguer à cause des autres gars de la bande avec qui je couchais.
En 2002 ce qui devait arriver arriva le coït interrompu il ne maitrise pas et me glisse un polichinelle dans le tiroir. Dans cette situation en dépit de nos dix-huit ans nos parents qui sont amis et aussi très croyant décident avec notre accord de nous marier. (C’est de famille je suis là parce que mon père a mis ma mère enceinte elle en avait dix-huit). Ils précipitent le mariage. Le samedi débutant les vacances, en présence de nos quatre parents, le beau Xavier devient mon mari. Mon troisième mois de grossesse est entamé le jour de la cérémonie mon ventre est à peine arrondi, ma robe de mariage bleue est ample et cache mes rondeurs.
En cadeau de mariage mon père m’offre la petite maison hérité de ses parents dans un village à cinquante kilomètre qui venait d’être rénovée pour être louée. Le père de Xavier nous aide financièrement et dès le début des vacances il trouve un travail de charpentier chez un de ses amis qui assure en même temps la formation de Xavier.
En fin d’été alors que je fais des ménages pour un peu d’argent je fais une fausse couche. Cela se passe mal je passe par la case hôpital où le médecin m’annonce que je ne pourrais plus avoir d’enfant.
Ma marraine nous paye des cours par correspondance pour parfaire notre formation académique. En 2004 nous obtenons le BAC général pour moi et un BAC pro filière bois pour Xavier.
Je donne des cours particuliers aux enfants pour un peu d’argent. Grace à l’aide de notre entourage Xavier part à cent cinquante kilomètres préparer un BTS en alternance et il apprend l’anglais, en 2006 il obtient son BTS. Durant cette période son absence me pèse, surtout que lorsqu’il rentre le WE soit il est fatigué soit il travaille ses cours. Son maitre de stage du côté lui propose un CDI, mais il refuse car il veut devenir fustier. Xavier trouve dans l’est une société de construction qui accepte de l’embaucher en CDI et de le former. Nous revendons la maison des grands parents pour nous installer plus près de son travail. Il performe dans l’entreprise de construction de chalets et moi je fais des missions de renfort en secrétariat auprès d’artisans locaux. En 2012 après six années d’expérience dans l’entreprise Xavier est promu responsable de chantiers.
Il est un mari fidèle, aimant et attentionné, il ne boit pas et ne fume pas. Coté sexe ce n’est pas un foudre de guerre ni en imagination ni en ardeur. Son sexe est de taille moyenne mais il n’est pas très endurant et sa position préférée, pour ne pas dire la seule, est la position du missionnaire (préjugés religieux). Sa bouche n’a jamais gouté mon sexe, il accepte la fellation mais ne jouit jamais dans ma bouche. Ses absences de plus en plus fréquentes pour son travail me pèsent. Je suis fidèle mais je me masturbe fréquemment, j’ai acheté un godemiché vibrant qui me procure un peu de plaisir. Fin avril 2013 il part trois mois au Québec pour une formation complémentaire jusqu’à fin juillet.
Mi-juin cela fait un mois et demi que Xavier est au Canada, ma mère m’appelle :
« Hélène chérie si tu venais passer quelques jours avec nous, le six juillet c’est la fête du village avec le banquet et le bal ce sera l’occasion pour nous de te voir et tu pourras revoir les gens du village. »
« Je serai en vacances venir quelques jours me changera les idées. J’arriverai le mercredi soir et repartirai mercredi suivant le matin si vous voulez »
Mes parents sont heureux de me voir pour eux je suis toujours leur gamine. Quand j’arrive le mercredi soir maman a préparé un bon repas avec mon plat préféré. Papa parle beaucoup de Xavier dont il glorifie la réussite et le côté travailleur, maman dit qu’il ne faut pas qu’il me néglige. Je les rassure mais il se fait déjà tard je vais me coucher dans ma chambre de jeune fille inchangée depuis mon mariage si ce n’est le lit deux places.
Le vendredi matin avec maman nous partons de bonne heure pour faire quelques courses dans le village. Maman est bavarde et il est onze heures et demie lorsque nous rentrons, mon père bougonne « on va manger à pas d’heure ». L’après-midi vers 13h j’appelle Xavier au Canada où il est à peine 7h00 je lui coupe sa grasse matinée mais il est heureux de m’entendre car je lui manque.
Ce samedi six juillet le temps est magnifique. La soirée s’annonce douce j’enfile une robe légère beige à fleurs sur un ensemble String SG de dentelle couleur chair avec un châle sur mes épaules pour la fin de soirée. Au banquet mon père étant adjoint nous sommes près du maire (le châtelain du village le père de Julien), Julien (conseiller municipal) fait face à son père. Je suis surprise de découvrir un Julien beau comme un dieu (lui qui était si laid).
Julien célibataire toujours aussi sûr de lui vient près de moi pour discuter, il me demande des nouvelles de Xavier. Je dis qu’il est en stage au Canada. Il se dit désolé que je sois seule mais me drague et n’est pas avare de compliments.
Julien : « je t’observe depuis ton arrivée et tu es encore plus belle que dans mes souvenirs, svelte avec une poitrine magnifique et un cul à damner les saints. Tu sais que j’ai beaucoup fantasmé sur toi au lycée. Ce soir tu me gardes une danse, je m’occupe de toi……..»
Puis il regagne sa place. Je retrouve également Éric et Bruno venus du village voisin avec leurs épouses Karine et Sandra et leurs enfants, et bien sûr Paul qui a épousé Julie, que Julien a laissé tomber quand elle lui a parlé mariage. Éric Bruno et Paul sont toujours inséparables et les épouses n’ont pas brisé cette amitié.
Un peu avant minuit mes parents rentrent me laissant avec mes amis en me demandent de ne pas rentrer trop tard. Les femmes de Bruno et Éric rentrent elles aussi pour coucher les bambins.
Depuis le départ des deux femmes Éric, Bruno, Paul et Julie m’ont entrainée à leur table et se succèdent pour me faire danser et je ne suis pas souvent assise. C’est à celui qui passera le plus de temps dans mes bras ce qui entraine quelques piques de la part de Julie.
Lors d’un slow je me laisse aller dans les bras Bruno qui m’entraine deux cents mètres plus loin à la vielle grange du père Firmin où adolescents nous faisions les quatre cents coups. En faisant le tour des lieux Bruno m’enlace et m’embrasse je me sens toute chose les souvenirs, l’alcool et de la longue absence de mon mari font que je réponds à son baiser. Son corps se presse contre le mien, sens à peine la raideur de son sexe contre mon ventre mais je mouille. Quand sa main trousse ma robe et glisse dans mon string celui-ci est déjà trempé, mes cuisses s’écartent, ses doigts me fouillent. De mon côté je me bats avec sa ceinture pour libérer son sexe, je suis fébrile, Bruno me vient en aide.
- « laisse-moi faire, j’ai tellement envie de toi»
Il retire ses vêtements qu’il pose sur une botte de foin. Il se coiffe d’un préservatif pendant que je me mets nue à mon tour et nous tombons enlacés sur nos vêtements sans que nos bouches se séparent je sens son petit sexe pénétrer mon trou d’amour il me baise avec l’ardeur de l’impatience et jouit sans même m’attendre.
- « c’est bien bon, je vois que tu es la même petite salope prête à se faire baiser »
Vexée je me relève d’un bon en le regardant méchamment je lui réponds
- « non ! Je n’ai jamais trompé Xavier je ne sais pas ce qui m’a pris en plus tu ne m’as donné aucun plaisir.»
C’est à cet instant que deux mains me saisissent et me retournent. C’est Éric il m’embrasse en me tenant par la chatte.
- « Si Hélène tu es restée celle que nous baisions et qui aimais ça, tu ne peux pas nier tu es trempée»
La main dans mes cheveux il guide ma tête vers sa grosse verge bandée qu’il vient de déballer. Mon visage approche de son sexe ma bouche s’ouvre le gland entre, mes lèvres se referment sur lui, ma langue caresse le méa et le frein, ma succion est appliquée je sens frémir sous ma langue la verge qui se tend encore. Éric m’entraîne sur le foin et enfile une capote. Je mouille de plus en plus sa verge durcie se glisse en moi sans difficulté il commence son va et vient vigoureux. Je réagis sous les coups efficaces du phallus de mon ami. Je sens le plaisir monter en moi. Je redeviens la salope que j’étais adolescente.
- « hoooo ooouii Éric bourre moi bien il y a si longtemps que je n’ai pas été baisée comme ça ! »
- « De suite à ton regard j’ai su. Tu es toujours la même cochonne ! Mets-toi à quatre pattes »
Je me mets en position Éric derrière moi me pénètre et son membre viril me défonce la chatte. Je gémis de plus en plus, mes gémissements se transforment en cris de jouissance comme quand nous étions adolescents Bruno vient me remplir la bouche avec sa petite bite de nouveau opérationnelle.
- « suce-moi ! Cela évitera d’ameuter le quartier ! »
Totalement transformée je me comporte en affamée de sexe et pendant près d’une heure mes deux copains me prennent comme dans notre jeunesse.
Une heure plus tard les deux coquins sont vidés. J’essuie ma chatte, qui dégouline de cyprine, et les traces de sperme sur mon visage. Après avoir remis de l’ordre dans nos tenues nous retournons au bal. Je me sens bien maintenant.
A notre arrivée Julie et Paul sont partis, sur le parquet Julien de Trémos nous interpelle.
- « Hélène tu me dois une danse ! Tu m’as oublié ou tu as préféré te faire sauter par tes copains? Je pense que leurs femmes et Xavier n’apprécieraient pas »
- « arrêtes de dire des bêtises c’est dans tes rêves mais je ne t’ai pas oublié »
- « vous les queutards retournez auprès de vos femmes je m’occupe d’Hélène »
Éric et Bruno ne se font pas prier, un signe de la main en guise d’au revoir avant de rentrer chez eux.
Julien m’entraine sur la piste de danse pour une marche il me colle fortement pour me faire sentir son sexe bandé. Je suis troublée par cette raideur j’ai envie de lui céder mais je tente de le remettre en place.
- « Tu es gonflé d’imaginer que je trompe mon mari ! Toujours frustré que je ne t’ai pas cédé au lycée. »
- « Je n’imagine pas ! Tu sens le foutre et je t’ai entendu et vu te faire prendre par ces deux minables»
- « Je ne te permets pas ce sont mes amis. Au collège tu faisais partie de la bande tu ne les traitais pas ainsi»
- « Il est loin ce temps, il s’est passé des choses depuis. Tu vas enfin être à moi et effacer cette frustration»
- « Tu rêves mon Juju, maintenant je rentre chez mes parents et toi tu te branles en pensant à moi»
Je viens de rembarrer Julien c’est alors qu’il me met son téléphone devant les yeux, et fait défile sur l’écran des photos de moi en action avec Éric et Bruno. Je deviens toute pâle j’ai les jambes qui flageolent.
- « Nous avons encore une heure avant la fin du bal pour régler ça.»
- je suis en colère contre julien. « T’es un beau salop ! C’est ça ta noblesse, du chantage ?»
-« non pas du chantage des faits, gourmande comme tu es tu vas bien m’accorder un petit plaisir »
Moi fidèle à Xavier depuis le mariage il y a onze ans, je me suis mise dans cette galère à 28 ans. Je m’en veux. Je n’ai pas le choix, ce salop est capable d’utiliser ces images. Je dois sauver mon ménage et celui de mes amis.
- « Ok on va au hangar du père Firmin mais après tu me lâches ? »
- « Moi j’ai besoin d’un peu de confort ! Viens je t’emmène à la cabane de chasse »
Julien m’entraine dans son Range Rover nous prenons la route de la forêt, après cinq minutes il s’arrête devant une cabane en pierre, il ouvre la porte et me pousse dans une pièce sommairement meublée.
- « On est tranquille ici, j’y viens pour baiser les salopes du coin qui veulent jouir de ma grosse bite comme Julie, Karine et Sandra. Oui j’ai cocufié nos copains il ne restait que Xavier cette nuit ce sera fait. Tu vas à ton tour apprécier ma queue et en jouir. Tu regretteras ne pas en avoir profité à l’époque ! Allez à poil !»
Je mets nue et je pose mes vêtements sur un fauteuil en regardant Julien se déshabiller. Il expose fièrement un sexe encore flasque mais déjà plus gros que celui de mon mari en érection. Je prends appui sur le dossier du canapé en lui tournant le dos.
- « Vas-y enfile ta capote et baise moi»
- « Pour commencer tu vas me sucer pour bien me faire bander et savourer mon chibre, après je te baise sans capote tu connaitras le plaisir que mon braquemard procure lorsqu’il remplit une salope stérile »
Je me retourne et à genoux je commence à sucer sa bite qui gonfle elle fait au moins cinq de diamètre et vingt de long bien plus que les quatorze de mon mari et deux fois plus épaisse. La queue est si grosse que j’ai du mal à la sucer ce qui l’amuse.
- « Je vois que tu peines ça te change de la petite bite de ton Xavier »
- « Sa bite est normale et dans la moyenne, c’est la tienne qui est monstrueuse »
Julien me redresse et glisse deux doigts dans ma chatte tout en me branlant le clito, il me pousse je tombe assise sur le canapé en cuir il s’approche, me roule une pelle, je mouille de plus en plus. Le compas de mes cuisses s’ouvre Julien glisse sa bite le long de ma vulve puis se sert de son gland pour me branler le clito et d’un seul coup me pénètre totalement, je pousse un cri de surprise son énorme queue se fraye un chemin en repoussant les chairs de mon vagin qui n’a jamais reçu visite aussi envahissante.
- « arrête de gueuler ! Je suis au fond et maintenant tu vas apprécier»
A présent l’attribut du noblaillon va et vient dans mon ventre, la surprise de la pénétration brutale cède la place a la sensation agréable d’être totalement remplie par le priape. Malgré moi je commence à gémir, je ne peux ignorer le plaisir que me donne cette noble queue. Evidemment je craque et me laisse emportée par le plaisir qui m’envahi.
- « ouiii continue je n’ai jamais ressenti une bite comme ça en moi c’est si bon, oui encore ! »
- « je t’avais dit que tu allais aimer, tu es restée une belle salope. Tourne-toi que je vois ton cul »
Il me baise en levrette j’ai la tête enfouie dans les coussins pour ne pas crier, le premier orgasme m’emporte je tremble de tout mon être ce qui entraine l’éjaculation de Juju je reçois nombre de giclées au fond du vagin. Lorsqu’il se retire je sens son sperme couler entre mes cuisses je mets ma main pour empêcher le tout de tomber, il me tend un kleenex pour m’essuyer. Je m’apprête à remettre ma robe Julien m’interrompt
- « Tu ne crois pas qu’un seul petit coup me suffit il m’en faut plus ! »
- « Je t’en prie pas maintenant il est tard je dois rentrer! Je ne repars que mercredi on peut se voir lundi ou mardi »
- « Soit ! Tu viens ici lundi à quatorze heures ! Tu retrouveras la route ou je viens te chercher ? »
- « Je trouverai ce sera plus discret. Maintenant tu me ramènes ?»
Julien me dépose chez mes parents vers deux heures trente du matin, je rentre discrètement arrivée à l’étage je vois la lumière s’allumer sous la porte de chambre de mes parents. Je passe par la salle d’eau pour une toilette rapide avant d’aller me coucher. Quand je vais dans ma chambre il n’y a plus de lumière sous la porte de mes parents.…………………
…………A suivre
j'ai du remanier ce texte qui risque de se retrouver après les parties suivantes
Au retour de nos vacances en septembre 2022 nous passons par Limoges. C’est en sortant du musée Adrien Dubouché que nous reconnaissons Hélène une jeune femme, d’à peine quarante ans rencontrée avec son mari quatre ans plus tôt au sauna libertin de Bordeaux. Elle nous invite à déjeuner le lendemain à midi chez elle. Son époux est absent mais prévenu de notre visite. Je me retrouve avec Hélène dans le lit conjugal pour notre plus grand plaisir et celui d’Alan candauliste. Après ce moment de plaisirs saphiques nous discutons tous les trois, et évoquons le récit de nos aventures publiés sur HDS. Merci à notre amie Hélène de nous avoir confié comment son adultaire les a amenés au libertinage, elle nous a demandé de les transcrire pour les publier sur HDS. Nous avons mis ses confessions en forme pour publier les récits en espérant ne pas avoir trahis sa confiance et qu’elle et Xavier seront satisfaits du résultat. Les noms ont été modifiés par discrétion
Au lycée nous étions une bande, deux filles (Julie ma meilleure amie et moi Hélène un peu délurées) pour 5 garçons : Julien (de Trémos de la touche) moche comme un pou se prend pour le mâle alpha il drague ma copine Julie. Éric Bruno et Paul ont un physique moyen et sont à l’origine de mes premiers émois et enfin Xavier le timide. Nous n’étions pas en avance au niveau scolaire et avions tous un ou deux ans de retard dus au redoublement du fait de notre manque de sérieux
C’est un ouvrier agricole de 26 ans qui me dépucelle à tout juste dix-huit ans il m’a donné le goût du sexe. Au lycée après être sortie avec Éric, Bruno puis Paul c’est vers Xavier le beau gosse de la bande que je me suis tournée, d’une famille très religieuse, il est très timide toujours puceau je l’ai même cru homo, c’est peut-être ce qui m’a attiré chez lui. Par défi je décide de lui faire perdre son pucelage avant le Bac. Trop heureux que je fasse les premiers pas en fin de seconde il cède à mes avances me dit qu’il n’osait pas me draguer à cause des autres gars de la bande avec qui je couchais.
En 2002 ce qui devait arriver arriva le coït interrompu il ne maitrise pas et me glisse un polichinelle dans le tiroir. Dans cette situation en dépit de nos dix-huit ans nos parents qui sont amis et aussi très croyant décident avec notre accord de nous marier. (C’est de famille je suis là parce que mon père a mis ma mère enceinte elle en avait dix-huit). Ils précipitent le mariage. Le samedi débutant les vacances, en présence de nos quatre parents, le beau Xavier devient mon mari. Mon troisième mois de grossesse est entamé le jour de la cérémonie mon ventre est à peine arrondi, ma robe de mariage bleue est ample et cache mes rondeurs.
En cadeau de mariage mon père m’offre la petite maison hérité de ses parents dans un village à cinquante kilomètre qui venait d’être rénovée pour être louée. Le père de Xavier nous aide financièrement et dès le début des vacances il trouve un travail de charpentier chez un de ses amis qui assure en même temps la formation de Xavier.
En fin d’été alors que je fais des ménages pour un peu d’argent je fais une fausse couche. Cela se passe mal je passe par la case hôpital où le médecin m’annonce que je ne pourrais plus avoir d’enfant.
Ma marraine nous paye des cours par correspondance pour parfaire notre formation académique. En 2004 nous obtenons le BAC général pour moi et un BAC pro filière bois pour Xavier.
Je donne des cours particuliers aux enfants pour un peu d’argent. Grace à l’aide de notre entourage Xavier part à cent cinquante kilomètres préparer un BTS en alternance et il apprend l’anglais, en 2006 il obtient son BTS. Durant cette période son absence me pèse, surtout que lorsqu’il rentre le WE soit il est fatigué soit il travaille ses cours. Son maitre de stage du côté lui propose un CDI, mais il refuse car il veut devenir fustier. Xavier trouve dans l’est une société de construction qui accepte de l’embaucher en CDI et de le former. Nous revendons la maison des grands parents pour nous installer plus près de son travail. Il performe dans l’entreprise de construction de chalets et moi je fais des missions de renfort en secrétariat auprès d’artisans locaux. En 2012 après six années d’expérience dans l’entreprise Xavier est promu responsable de chantiers.
Il est un mari fidèle, aimant et attentionné, il ne boit pas et ne fume pas. Coté sexe ce n’est pas un foudre de guerre ni en imagination ni en ardeur. Son sexe est de taille moyenne mais il n’est pas très endurant et sa position préférée, pour ne pas dire la seule, est la position du missionnaire (préjugés religieux). Sa bouche n’a jamais gouté mon sexe, il accepte la fellation mais ne jouit jamais dans ma bouche. Ses absences de plus en plus fréquentes pour son travail me pèsent. Je suis fidèle mais je me masturbe fréquemment, j’ai acheté un godemiché vibrant qui me procure un peu de plaisir. Fin avril 2013 il part trois mois au Québec pour une formation complémentaire jusqu’à fin juillet.
Mi-juin cela fait un mois et demi que Xavier est au Canada, ma mère m’appelle :
« Hélène chérie si tu venais passer quelques jours avec nous, le six juillet c’est la fête du village avec le banquet et le bal ce sera l’occasion pour nous de te voir et tu pourras revoir les gens du village. »
« Je serai en vacances venir quelques jours me changera les idées. J’arriverai le mercredi soir et repartirai mercredi suivant le matin si vous voulez »
Mes parents sont heureux de me voir pour eux je suis toujours leur gamine. Quand j’arrive le mercredi soir maman a préparé un bon repas avec mon plat préféré. Papa parle beaucoup de Xavier dont il glorifie la réussite et le côté travailleur, maman dit qu’il ne faut pas qu’il me néglige. Je les rassure mais il se fait déjà tard je vais me coucher dans ma chambre de jeune fille inchangée depuis mon mariage si ce n’est le lit deux places.
Le vendredi matin avec maman nous partons de bonne heure pour faire quelques courses dans le village. Maman est bavarde et il est onze heures et demie lorsque nous rentrons, mon père bougonne « on va manger à pas d’heure ». L’après-midi vers 13h j’appelle Xavier au Canada où il est à peine 7h00 je lui coupe sa grasse matinée mais il est heureux de m’entendre car je lui manque.
Ce samedi six juillet le temps est magnifique. La soirée s’annonce douce j’enfile une robe légère beige à fleurs sur un ensemble String SG de dentelle couleur chair avec un châle sur mes épaules pour la fin de soirée. Au banquet mon père étant adjoint nous sommes près du maire (le châtelain du village le père de Julien), Julien (conseiller municipal) fait face à son père. Je suis surprise de découvrir un Julien beau comme un dieu (lui qui était si laid).
Julien célibataire toujours aussi sûr de lui vient près de moi pour discuter, il me demande des nouvelles de Xavier. Je dis qu’il est en stage au Canada. Il se dit désolé que je sois seule mais me drague et n’est pas avare de compliments.
Julien : « je t’observe depuis ton arrivée et tu es encore plus belle que dans mes souvenirs, svelte avec une poitrine magnifique et un cul à damner les saints. Tu sais que j’ai beaucoup fantasmé sur toi au lycée. Ce soir tu me gardes une danse, je m’occupe de toi……..»
Puis il regagne sa place. Je retrouve également Éric et Bruno venus du village voisin avec leurs épouses Karine et Sandra et leurs enfants, et bien sûr Paul qui a épousé Julie, que Julien a laissé tomber quand elle lui a parlé mariage. Éric Bruno et Paul sont toujours inséparables et les épouses n’ont pas brisé cette amitié.
Un peu avant minuit mes parents rentrent me laissant avec mes amis en me demandent de ne pas rentrer trop tard. Les femmes de Bruno et Éric rentrent elles aussi pour coucher les bambins.
Depuis le départ des deux femmes Éric, Bruno, Paul et Julie m’ont entrainée à leur table et se succèdent pour me faire danser et je ne suis pas souvent assise. C’est à celui qui passera le plus de temps dans mes bras ce qui entraine quelques piques de la part de Julie.
Lors d’un slow je me laisse aller dans les bras Bruno qui m’entraine deux cents mètres plus loin à la vielle grange du père Firmin où adolescents nous faisions les quatre cents coups. En faisant le tour des lieux Bruno m’enlace et m’embrasse je me sens toute chose les souvenirs, l’alcool et de la longue absence de mon mari font que je réponds à son baiser. Son corps se presse contre le mien, sens à peine la raideur de son sexe contre mon ventre mais je mouille. Quand sa main trousse ma robe et glisse dans mon string celui-ci est déjà trempé, mes cuisses s’écartent, ses doigts me fouillent. De mon côté je me bats avec sa ceinture pour libérer son sexe, je suis fébrile, Bruno me vient en aide.
- « laisse-moi faire, j’ai tellement envie de toi»
Il retire ses vêtements qu’il pose sur une botte de foin. Il se coiffe d’un préservatif pendant que je me mets nue à mon tour et nous tombons enlacés sur nos vêtements sans que nos bouches se séparent je sens son petit sexe pénétrer mon trou d’amour il me baise avec l’ardeur de l’impatience et jouit sans même m’attendre.
- « c’est bien bon, je vois que tu es la même petite salope prête à se faire baiser »
Vexée je me relève d’un bon en le regardant méchamment je lui réponds
- « non ! Je n’ai jamais trompé Xavier je ne sais pas ce qui m’a pris en plus tu ne m’as donné aucun plaisir.»
C’est à cet instant que deux mains me saisissent et me retournent. C’est Éric il m’embrasse en me tenant par la chatte.
- « Si Hélène tu es restée celle que nous baisions et qui aimais ça, tu ne peux pas nier tu es trempée»
La main dans mes cheveux il guide ma tête vers sa grosse verge bandée qu’il vient de déballer. Mon visage approche de son sexe ma bouche s’ouvre le gland entre, mes lèvres se referment sur lui, ma langue caresse le méa et le frein, ma succion est appliquée je sens frémir sous ma langue la verge qui se tend encore. Éric m’entraîne sur le foin et enfile une capote. Je mouille de plus en plus sa verge durcie se glisse en moi sans difficulté il commence son va et vient vigoureux. Je réagis sous les coups efficaces du phallus de mon ami. Je sens le plaisir monter en moi. Je redeviens la salope que j’étais adolescente.
- « hoooo ooouii Éric bourre moi bien il y a si longtemps que je n’ai pas été baisée comme ça ! »
- « De suite à ton regard j’ai su. Tu es toujours la même cochonne ! Mets-toi à quatre pattes »
Je me mets en position Éric derrière moi me pénètre et son membre viril me défonce la chatte. Je gémis de plus en plus, mes gémissements se transforment en cris de jouissance comme quand nous étions adolescents Bruno vient me remplir la bouche avec sa petite bite de nouveau opérationnelle.
- « suce-moi ! Cela évitera d’ameuter le quartier ! »
Totalement transformée je me comporte en affamée de sexe et pendant près d’une heure mes deux copains me prennent comme dans notre jeunesse.
Une heure plus tard les deux coquins sont vidés. J’essuie ma chatte, qui dégouline de cyprine, et les traces de sperme sur mon visage. Après avoir remis de l’ordre dans nos tenues nous retournons au bal. Je me sens bien maintenant.
A notre arrivée Julie et Paul sont partis, sur le parquet Julien de Trémos nous interpelle.
- « Hélène tu me dois une danse ! Tu m’as oublié ou tu as préféré te faire sauter par tes copains? Je pense que leurs femmes et Xavier n’apprécieraient pas »
- « arrêtes de dire des bêtises c’est dans tes rêves mais je ne t’ai pas oublié »
- « vous les queutards retournez auprès de vos femmes je m’occupe d’Hélène »
Éric et Bruno ne se font pas prier, un signe de la main en guise d’au revoir avant de rentrer chez eux.
Julien m’entraine sur la piste de danse pour une marche il me colle fortement pour me faire sentir son sexe bandé. Je suis troublée par cette raideur j’ai envie de lui céder mais je tente de le remettre en place.
- « Tu es gonflé d’imaginer que je trompe mon mari ! Toujours frustré que je ne t’ai pas cédé au lycée. »
- « Je n’imagine pas ! Tu sens le foutre et je t’ai entendu et vu te faire prendre par ces deux minables»
- « Je ne te permets pas ce sont mes amis. Au collège tu faisais partie de la bande tu ne les traitais pas ainsi»
- « Il est loin ce temps, il s’est passé des choses depuis. Tu vas enfin être à moi et effacer cette frustration»
- « Tu rêves mon Juju, maintenant je rentre chez mes parents et toi tu te branles en pensant à moi»
Je viens de rembarrer Julien c’est alors qu’il me met son téléphone devant les yeux, et fait défile sur l’écran des photos de moi en action avec Éric et Bruno. Je deviens toute pâle j’ai les jambes qui flageolent.
- « Nous avons encore une heure avant la fin du bal pour régler ça.»
- je suis en colère contre julien. « T’es un beau salop ! C’est ça ta noblesse, du chantage ?»
-« non pas du chantage des faits, gourmande comme tu es tu vas bien m’accorder un petit plaisir »
Moi fidèle à Xavier depuis le mariage il y a onze ans, je me suis mise dans cette galère à 28 ans. Je m’en veux. Je n’ai pas le choix, ce salop est capable d’utiliser ces images. Je dois sauver mon ménage et celui de mes amis.
- « Ok on va au hangar du père Firmin mais après tu me lâches ? »
- « Moi j’ai besoin d’un peu de confort ! Viens je t’emmène à la cabane de chasse »
Julien m’entraine dans son Range Rover nous prenons la route de la forêt, après cinq minutes il s’arrête devant une cabane en pierre, il ouvre la porte et me pousse dans une pièce sommairement meublée.
- « On est tranquille ici, j’y viens pour baiser les salopes du coin qui veulent jouir de ma grosse bite comme Julie, Karine et Sandra. Oui j’ai cocufié nos copains il ne restait que Xavier cette nuit ce sera fait. Tu vas à ton tour apprécier ma queue et en jouir. Tu regretteras ne pas en avoir profité à l’époque ! Allez à poil !»
Je mets nue et je pose mes vêtements sur un fauteuil en regardant Julien se déshabiller. Il expose fièrement un sexe encore flasque mais déjà plus gros que celui de mon mari en érection. Je prends appui sur le dossier du canapé en lui tournant le dos.
- « Vas-y enfile ta capote et baise moi»
- « Pour commencer tu vas me sucer pour bien me faire bander et savourer mon chibre, après je te baise sans capote tu connaitras le plaisir que mon braquemard procure lorsqu’il remplit une salope stérile »
Je me retourne et à genoux je commence à sucer sa bite qui gonfle elle fait au moins cinq de diamètre et vingt de long bien plus que les quatorze de mon mari et deux fois plus épaisse. La queue est si grosse que j’ai du mal à la sucer ce qui l’amuse.
- « Je vois que tu peines ça te change de la petite bite de ton Xavier »
- « Sa bite est normale et dans la moyenne, c’est la tienne qui est monstrueuse »
Julien me redresse et glisse deux doigts dans ma chatte tout en me branlant le clito, il me pousse je tombe assise sur le canapé en cuir il s’approche, me roule une pelle, je mouille de plus en plus. Le compas de mes cuisses s’ouvre Julien glisse sa bite le long de ma vulve puis se sert de son gland pour me branler le clito et d’un seul coup me pénètre totalement, je pousse un cri de surprise son énorme queue se fraye un chemin en repoussant les chairs de mon vagin qui n’a jamais reçu visite aussi envahissante.
- « arrête de gueuler ! Je suis au fond et maintenant tu vas apprécier»
A présent l’attribut du noblaillon va et vient dans mon ventre, la surprise de la pénétration brutale cède la place a la sensation agréable d’être totalement remplie par le priape. Malgré moi je commence à gémir, je ne peux ignorer le plaisir que me donne cette noble queue. Evidemment je craque et me laisse emportée par le plaisir qui m’envahi.
- « ouiii continue je n’ai jamais ressenti une bite comme ça en moi c’est si bon, oui encore ! »
- « je t’avais dit que tu allais aimer, tu es restée une belle salope. Tourne-toi que je vois ton cul »
Il me baise en levrette j’ai la tête enfouie dans les coussins pour ne pas crier, le premier orgasme m’emporte je tremble de tout mon être ce qui entraine l’éjaculation de Juju je reçois nombre de giclées au fond du vagin. Lorsqu’il se retire je sens son sperme couler entre mes cuisses je mets ma main pour empêcher le tout de tomber, il me tend un kleenex pour m’essuyer. Je m’apprête à remettre ma robe Julien m’interrompt
- « Tu ne crois pas qu’un seul petit coup me suffit il m’en faut plus ! »
- « Je t’en prie pas maintenant il est tard je dois rentrer! Je ne repars que mercredi on peut se voir lundi ou mardi »
- « Soit ! Tu viens ici lundi à quatorze heures ! Tu retrouveras la route ou je viens te chercher ? »
- « Je trouverai ce sera plus discret. Maintenant tu me ramènes ?»
Julien me dépose chez mes parents vers deux heures trente du matin, je rentre discrètement arrivée à l’étage je vois la lumière s’allumer sous la porte de chambre de mes parents. Je passe par la salle d’eau pour une toilette rapide avant d’aller me coucher. Quand je vais dans ma chambre il n’y a plus de lumière sous la porte de mes parents.…………………
…………A suivre
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne comprends même l’attrait pour 1 mec pareil.
Voilà qui remet les choses dans l'ordre.
Il est vrai que ce Julien est plutôt odieux
Il est vrai que ce Julien est plutôt odieux
En plus il n’a aucun respect envers autrui.
Ah non s’amuser oui mais se faire traiter comme de la merde par 1 petit con c’est non.
Avec l’absence de capotes en prime sachant les risques c’est même pas la peine. Chantage ou pas on s’en fout.
Le mec c’est 1 batard irrespectueux.
Avec l’absence de capotes en prime sachant les risques c’est même pas la peine. Chantage ou pas on s’en fout.
Le mec c’est 1 batard irrespectueux.