Les Aventures de Fabienne récit 01 - AVANT CONFESSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les Aventures de Fabienne récit 01 - AVANT CONFESSE
Les Aventures de Fabienne récit 01 - AVANT CONFESSE
Ce récit a été inspiré par Steph, un lecteur assidu d'HDS. Il m'a fait part de faits véridiques concernant son couple, et il m'a envoyé des photographies de son épouse en pleine action. Cela m'a facilité l'écriture et surtout la description physique de Fabienne. C'est la première fois que je m'essaie à cet exercice, car habituellement, je fais appel à mes propres souvenirs ou à mes fantasmes. Il est possible que cette collaboration se poursuive dans le temps, cela dépend uniquement de la volonté de ce lecteur et de l'intérêt des actions proposées.
Fabienne vient d’avoir vingt-neuf et elle a déjà trois enfants : Julien, huit ans, Maryline, six ans et demi et le petit dernier Christophe qui va avoir quatre ans. C’est une ménagère exemplaire qui s’occupe admirablement de son mari Steph et de sa progéniture. Steph l’a connu alors qu’elle n’avait pas encore vingt ans et il a fallu qu’il attende le mariage pour pouvoir dépuceler sa belle. En effet, Fabienne n’a pas connu d’autres hommes avant lui et bien qu’elle accepte avec joie les baisers de son amoureux, elle se montre très réticente lorsque Steph veut caresser ses seins qui sont par ailleurs très mignons bien que très peu proéminents (disons qu’elle porte des soutiens-gorge de 85b). Quant aux caresses entre ses cuisses, il a fallu de nombreuses semaines avant qu’elle laisse les doigts masculins écarter sa culotte et s’aventurer sur son minou. Pourtant dès les premiers attouchements, elle mouille abondamment.
C’est une jolie fille, bien foutue de partout avec un joli minois et des yeux bleus transparents ; sa chevelure bouclée, brune et assez longue deviendra auburn et courte avec le temps. Elle n’est pas très grande, mais possède un très beau fessier qui attire le regard des hommes. Très prude, elle ne manque pas les offices dominicaux de l’église de son quartier et, ayant été Jeannette et guide dans sa prime jeunesse, elle assiste même les religieuses du Sacré-Cœur dans l’apprentissage du catéchisme aux jeunes générations.
Après son mariage, Steph son mari a essayé de la dégourdir en lui demandant des fellations, et même de lui sucer la chatte ; horrifiée, elle n’a jamais voulu se résoudre à pratiquer autre chose que l’amour en position du missionnaire et encore, dans le noir absolu. Naturellement, Steph n’a jamais osé lui demander de lui offrir son cul pour pouvoir l’enculer. D’ailleurs aucun de ces mots ne lui est familier, sa famille l’a élevé très sévèrement, dans une atmosphère très austère ; ce beau brin de fille est malheureusement indisponible pour profiter des jouissances d’une vie amoureuse complète.
Pourtant, sa vie va changer, à son corps défendant, car elle va subir une terrible pression qui va transformer sa vie de femme. Une fin d’après-midi, en allant chercher ses gamins à l’école du quartier, elle se trouve en face de Paulin, le surveillant des cours, qui l’apostrophe peu amène, en lui disant qu’il a quelque chose de grave à lui communiquer.
Elle n’aime pas du tout ce rouquin qui, avec ses gros yeux globuleux, détaille tout son corps et la déshabille du regard à chaque fois qu’il la voit. C’est un ancien voisin de palier de son immeuble, qui lui a fait dans le temps, des propositions inconvenantes et qu’elle a dû rembarrer. Elle se demande bien ce qu’il doit lui annoncer quand il la fait entrer dans une classe de CM2, vide d’occupants.
Il lui annonce tout à trac qu’il a pris Julien, son aîné, en train de fouiller dans le sac de son institutrice et qu’il a constaté en le fouillant qu’il avait volé une certaine somme d’argent et un téléphone portable. Heureusement, il est le seul à avoir surpris le gamin et pour l’instant, il n’en a pas parlé à l’institutrice ni au directeur de l’école. Mais il se sent obligé de dénoncer ce forfait, à moins qu’elle ne trouve une solution pour le dédommager et acheter ainsi son silence.
Fabienne est désarçonnée ; elle est devenue tremblante et rouge de honte ; elle bafouille lamentablement :
- Je… Je… Je n’ai pas d’argent Monsieur Paulin. Ce n’est pas possible … Nous sommes une famille respectable, vous nous connaissez Monsieur Paulin. Que puis je faire pour que nous n’ayons pas d’ennui ?
Paulin savoure ce moment. Il y a très longtemps qu’il convoite le corps de cette « grenouille de bénitier ». Aussi, il ne se gêne pas pour la brutaliser :
- Eh bien ma p’tite dame, si vous voulez que votre gamin et votre famille n’aient pas d’ennuis, il va falloir être très gentil avec moi. J’espère que tu comprends Fabienne ?
- Que… Que… Voulez-vous dire ?
- Eh bien ramènes tes gosses chez toi et viens me rejoindre derrière ton immeuble, au bord du lac. Allez ! Dépêche-toi. Je ne vais pas attendre très longtemps ou alors je vais voir le directeur !
- Non ! Je vous en supplie. Je me dépêche et je vous rejoins.
Paulus qui vient d’avoir quarante-huit ans jubile. Il va enfin pouvoir faire tout ce qu’il voudra de cette jeune femme, trop pieuse, pour connaître grand-chose aux vices dans lesquels il compte bien l’entraîner. Fabienne, de son côté, se doute que cet affreux Paulin va certainement profiter de la situation, mais elle est loin de se douter de ce qu’il l’attend. Elle dépose ses enfants chez sa voisine Micheline, une retraitée de soixante-sept ans qui adore les garder, puis, sans même se changer, elle se dirige vers le lac à quelques centaines de mètres du groupe d’habitations dont fait partie son immeuble. Elle porte un caraco en mousseline bleu turquoise qui met en valeur sa poitrine, très menue lorsqu’elle était jeune fille, mais qui s’est quelque peu développée depuis ses trois maternités. Elle porte une jupe droite d’une blancheur éclatante qui lui arrive juste au-dessus du genou et des sandales aux talons compensés de couleur également turquoise. Elle ne se rend même pas compte que sa tenue, bien qu’assez chic et stricte, est affriolante pour l’homme qui la convoite.
Lorsqu’elle rejoint le sinistre Paulin qui l’attend près d’un kiosque à musique, il l’amène aussitôt derrière un bosquet et s’enfonce dans le bois qui jouxte les bords du lac. Se glissant sous un fourré épais, il entraine sa proie dans une clairière discrète, certainement peu fréquentée. C’est alors que baissant rapidement la fermeture éclair de son pantalon, il en sort un mandrin noueux impressionnant tout en s’adressant à la pauvre Fabienne, qui est interloquée et terrorisée par le geste libidineux de son ancien voisin :
- Allez, ma poule ! Avale mon sucre d’orge, et plus vite que çà !
Fabienne ouvre des yeux horrifiés, ne pouvant les détourner devant la queue monstrueuse qui se présente devant elle. C’est alors que Paulin l’empoignant par les cheveux la force à s’agenouiller devant lui, agitant sa pine devant le visage de la jeune femme qui défaille de dégoût.
- Allez ! Suce ma jolie. Tu vas aimer ma bite au fond de ta gorge et tu vas déguster mon foutre jusqu’à la dernière goutte.
Fabienne est morte de honte, affolée par sa position dégradante, alors que la verge de son tourmenteur frôle son visage et frappe par moment ses joues rosies par l’émotion. Elle est bouleversée par ce que cet homme ignoble va l’obliger à consentir, elle qui a toujours refusé cette pratique à son époux, malgré ses demandes pressantes. Paulin lui applique le gland contre ses lèvres et elle sent la chair forcer sa bouche qu’elle entrouvre malgré l’abjection qu’elle a pour cet acte répugnant. Le pénis monstrueux qui se glisse entre ses lèvres et ses dents serrées est nauséabond, sentant l’urine et elle manque vomir lorsque le gland touche brutalement sa glotte. Paulin entre et sort sa bite de la bouche de Fabienne comme s’il la baisait. Des larmes jaillissent des yeux de la pauvre femme qui veut échapper à la poigne de son tourmenteur. Celui-ci, au comble de l’excitation éjecte bientôt une semence épaisse dans la bouche de sa victime et, il la force à avaler le jus crémeux qui déborde et s’écoule devant l’abondance du foutre qui jaillit sans discontinuer de l’énorme verge. Mais Fabienne n’en a pas fini avec l’ignominie qu’elle subit, car Paulin se rappelle à elle :
- Allez putasse, nettoie ma queue avec ta langue. Jusqu’à ce qu’elle soit bien propre et luisante hein !
Fabienne, vaincue par la volonté du monstre qui la tourmente, ne peut que se résoudre à obéir, malgré sa répugnance profonde, léchant le jus poisseux qui recouvre la membrane de l’énorme pine. Paulin pendant ce temps lui pelote la poitrine et plonge même ses mains dans le caraco qui baille, sortant les seins de leur écrin et les malaxant entre ses gros doigts. Soudain, Paulin remet sa victime sur ses pieds et lui aboie :
- Relève ta jupe salope, je veux tâter ta moule. Allons ! Plus vite que çà !
Fabienne, dans un état second, roule et remonte sa jupe étroite sur ses hanches, pleurant sur son indignité, s’offrant comme une martyre à son bourreau pour sauver l’honneur de sa famille et surtout l’innocence de son fils.
- Enlève ton slip catin que je puisse voir ta chatte !
Vaincue définitivement, Fabienne s’exécute, se retrouvant presque nue devant son tourmenteur. Celui-ci empoigne sa motte et l’attire vers lui. Puis il farfouille dans son con, glissant ses gros doigts dans son vagin, qui à la grande honte de Fabienne, dégouline de mouille.
- Dis donc ma pute, tu prends ton pied ; je constate que mon dard te fait de l’effet. Attends que je te défonce ta matrice, tu vas beugler de plaisir ma belle !
- Je vous en supplie Monsieur Paulin ! Pas çà ! Ne me prenez pas… Je suis mariée, j’ai trois enfants. Je vous en supplie, c’est un pêché grave.
- Allons arrête de pleurnicher. Tu en as autant envie que moi. Je sens ton jus qui inonde mes doigts. Tu ne dois pas jouir souvent avec ton mari. Ouvre tes cuisses que je puisse enfoncer ma bite jusqu’à ton utérus. Allez écartes !
Fabienne s’allonge sur l’herbe en ouvrant ses jambes et ses cuisses, le plus possible, s’offrant ainsi à l’homme qui va la prendre ; elle ne sait même plus si elle sera violée ou si elle est consentante, éprouvant pour la première fois de sa vie des envies de volupté charnelle. Son ventre et ses seins, malaxés par les énormes poignes du quadragénaire ont réveillés des sens certainement inassouvis. Les pointes érigées de ses mamelons et son clitoris gonflé attestent de sa surexcitation. Elle pense déjà à ce qu’elle devra avouer à son confesseur à la fin de la semaine et que va-t-elle dire à son mari ? Malgré tout, elle tend son ventre au-devant des doigts qui caressent le bouton turgescent de son clitoris la faisant piauler de bonheur. Bientôt, elle râle de plaisir lorsque les gros doigts de son tourmenteur s’introduisent dans son vagin dégoulinant de cyprine, raclant les chairs distendues de sa moule. Mais elle n’en a pas fini avec les surprises que son corps connaîtra aujourd’hui. Paulin, se penchant soudain devant son entrecuisse, elle sent une langue qui lui lèche sa vulve ce qui ne lui est jamais arrivé. Elle est morte de honte à se voir ainsi avilie, mais elle est aussi bouleversée par ce qu’elle ressent à cette bouche qui ravage les chairs délicates de sa chatte, sursautant lorsque les lèvres s’emparent du bourgeon clitodirien, se cabrant et mugissant devant la jouissance infernale qui l’envahit.
Enfin, l’homme pousse sa verge vers le ventre convoité et vient transpercer le con de Fabienne qui se fait baiser en pleine nature par la brute qui profite de son désarroi. Elle hurle bientôt sa souffrance et son plaisir mélangés, par le pieu énorme qui laboure ses chairs intimes, se donnant malgré elle avec fougue à cet acte pervers et immoral.
À suivre…
Ce récit a été inspiré par Steph, un lecteur assidu d'HDS. Il m'a fait part de faits véridiques concernant son couple, et il m'a envoyé des photographies de son épouse en pleine action. Cela m'a facilité l'écriture et surtout la description physique de Fabienne. C'est la première fois que je m'essaie à cet exercice, car habituellement, je fais appel à mes propres souvenirs ou à mes fantasmes. Il est possible que cette collaboration se poursuive dans le temps, cela dépend uniquement de la volonté de ce lecteur et de l'intérêt des actions proposées.
Fabienne vient d’avoir vingt-neuf et elle a déjà trois enfants : Julien, huit ans, Maryline, six ans et demi et le petit dernier Christophe qui va avoir quatre ans. C’est une ménagère exemplaire qui s’occupe admirablement de son mari Steph et de sa progéniture. Steph l’a connu alors qu’elle n’avait pas encore vingt ans et il a fallu qu’il attende le mariage pour pouvoir dépuceler sa belle. En effet, Fabienne n’a pas connu d’autres hommes avant lui et bien qu’elle accepte avec joie les baisers de son amoureux, elle se montre très réticente lorsque Steph veut caresser ses seins qui sont par ailleurs très mignons bien que très peu proéminents (disons qu’elle porte des soutiens-gorge de 85b). Quant aux caresses entre ses cuisses, il a fallu de nombreuses semaines avant qu’elle laisse les doigts masculins écarter sa culotte et s’aventurer sur son minou. Pourtant dès les premiers attouchements, elle mouille abondamment.
C’est une jolie fille, bien foutue de partout avec un joli minois et des yeux bleus transparents ; sa chevelure bouclée, brune et assez longue deviendra auburn et courte avec le temps. Elle n’est pas très grande, mais possède un très beau fessier qui attire le regard des hommes. Très prude, elle ne manque pas les offices dominicaux de l’église de son quartier et, ayant été Jeannette et guide dans sa prime jeunesse, elle assiste même les religieuses du Sacré-Cœur dans l’apprentissage du catéchisme aux jeunes générations.
Après son mariage, Steph son mari a essayé de la dégourdir en lui demandant des fellations, et même de lui sucer la chatte ; horrifiée, elle n’a jamais voulu se résoudre à pratiquer autre chose que l’amour en position du missionnaire et encore, dans le noir absolu. Naturellement, Steph n’a jamais osé lui demander de lui offrir son cul pour pouvoir l’enculer. D’ailleurs aucun de ces mots ne lui est familier, sa famille l’a élevé très sévèrement, dans une atmosphère très austère ; ce beau brin de fille est malheureusement indisponible pour profiter des jouissances d’une vie amoureuse complète.
Pourtant, sa vie va changer, à son corps défendant, car elle va subir une terrible pression qui va transformer sa vie de femme. Une fin d’après-midi, en allant chercher ses gamins à l’école du quartier, elle se trouve en face de Paulin, le surveillant des cours, qui l’apostrophe peu amène, en lui disant qu’il a quelque chose de grave à lui communiquer.
Elle n’aime pas du tout ce rouquin qui, avec ses gros yeux globuleux, détaille tout son corps et la déshabille du regard à chaque fois qu’il la voit. C’est un ancien voisin de palier de son immeuble, qui lui a fait dans le temps, des propositions inconvenantes et qu’elle a dû rembarrer. Elle se demande bien ce qu’il doit lui annoncer quand il la fait entrer dans une classe de CM2, vide d’occupants.
Il lui annonce tout à trac qu’il a pris Julien, son aîné, en train de fouiller dans le sac de son institutrice et qu’il a constaté en le fouillant qu’il avait volé une certaine somme d’argent et un téléphone portable. Heureusement, il est le seul à avoir surpris le gamin et pour l’instant, il n’en a pas parlé à l’institutrice ni au directeur de l’école. Mais il se sent obligé de dénoncer ce forfait, à moins qu’elle ne trouve une solution pour le dédommager et acheter ainsi son silence.
Fabienne est désarçonnée ; elle est devenue tremblante et rouge de honte ; elle bafouille lamentablement :
- Je… Je… Je n’ai pas d’argent Monsieur Paulin. Ce n’est pas possible … Nous sommes une famille respectable, vous nous connaissez Monsieur Paulin. Que puis je faire pour que nous n’ayons pas d’ennui ?
Paulin savoure ce moment. Il y a très longtemps qu’il convoite le corps de cette « grenouille de bénitier ». Aussi, il ne se gêne pas pour la brutaliser :
- Eh bien ma p’tite dame, si vous voulez que votre gamin et votre famille n’aient pas d’ennuis, il va falloir être très gentil avec moi. J’espère que tu comprends Fabienne ?
- Que… Que… Voulez-vous dire ?
- Eh bien ramènes tes gosses chez toi et viens me rejoindre derrière ton immeuble, au bord du lac. Allez ! Dépêche-toi. Je ne vais pas attendre très longtemps ou alors je vais voir le directeur !
- Non ! Je vous en supplie. Je me dépêche et je vous rejoins.
Paulus qui vient d’avoir quarante-huit ans jubile. Il va enfin pouvoir faire tout ce qu’il voudra de cette jeune femme, trop pieuse, pour connaître grand-chose aux vices dans lesquels il compte bien l’entraîner. Fabienne, de son côté, se doute que cet affreux Paulin va certainement profiter de la situation, mais elle est loin de se douter de ce qu’il l’attend. Elle dépose ses enfants chez sa voisine Micheline, une retraitée de soixante-sept ans qui adore les garder, puis, sans même se changer, elle se dirige vers le lac à quelques centaines de mètres du groupe d’habitations dont fait partie son immeuble. Elle porte un caraco en mousseline bleu turquoise qui met en valeur sa poitrine, très menue lorsqu’elle était jeune fille, mais qui s’est quelque peu développée depuis ses trois maternités. Elle porte une jupe droite d’une blancheur éclatante qui lui arrive juste au-dessus du genou et des sandales aux talons compensés de couleur également turquoise. Elle ne se rend même pas compte que sa tenue, bien qu’assez chic et stricte, est affriolante pour l’homme qui la convoite.
Lorsqu’elle rejoint le sinistre Paulin qui l’attend près d’un kiosque à musique, il l’amène aussitôt derrière un bosquet et s’enfonce dans le bois qui jouxte les bords du lac. Se glissant sous un fourré épais, il entraine sa proie dans une clairière discrète, certainement peu fréquentée. C’est alors que baissant rapidement la fermeture éclair de son pantalon, il en sort un mandrin noueux impressionnant tout en s’adressant à la pauvre Fabienne, qui est interloquée et terrorisée par le geste libidineux de son ancien voisin :
- Allez, ma poule ! Avale mon sucre d’orge, et plus vite que çà !
Fabienne ouvre des yeux horrifiés, ne pouvant les détourner devant la queue monstrueuse qui se présente devant elle. C’est alors que Paulin l’empoignant par les cheveux la force à s’agenouiller devant lui, agitant sa pine devant le visage de la jeune femme qui défaille de dégoût.
- Allez ! Suce ma jolie. Tu vas aimer ma bite au fond de ta gorge et tu vas déguster mon foutre jusqu’à la dernière goutte.
Fabienne est morte de honte, affolée par sa position dégradante, alors que la verge de son tourmenteur frôle son visage et frappe par moment ses joues rosies par l’émotion. Elle est bouleversée par ce que cet homme ignoble va l’obliger à consentir, elle qui a toujours refusé cette pratique à son époux, malgré ses demandes pressantes. Paulin lui applique le gland contre ses lèvres et elle sent la chair forcer sa bouche qu’elle entrouvre malgré l’abjection qu’elle a pour cet acte répugnant. Le pénis monstrueux qui se glisse entre ses lèvres et ses dents serrées est nauséabond, sentant l’urine et elle manque vomir lorsque le gland touche brutalement sa glotte. Paulin entre et sort sa bite de la bouche de Fabienne comme s’il la baisait. Des larmes jaillissent des yeux de la pauvre femme qui veut échapper à la poigne de son tourmenteur. Celui-ci, au comble de l’excitation éjecte bientôt une semence épaisse dans la bouche de sa victime et, il la force à avaler le jus crémeux qui déborde et s’écoule devant l’abondance du foutre qui jaillit sans discontinuer de l’énorme verge. Mais Fabienne n’en a pas fini avec l’ignominie qu’elle subit, car Paulin se rappelle à elle :
- Allez putasse, nettoie ma queue avec ta langue. Jusqu’à ce qu’elle soit bien propre et luisante hein !
Fabienne, vaincue par la volonté du monstre qui la tourmente, ne peut que se résoudre à obéir, malgré sa répugnance profonde, léchant le jus poisseux qui recouvre la membrane de l’énorme pine. Paulin pendant ce temps lui pelote la poitrine et plonge même ses mains dans le caraco qui baille, sortant les seins de leur écrin et les malaxant entre ses gros doigts. Soudain, Paulin remet sa victime sur ses pieds et lui aboie :
- Relève ta jupe salope, je veux tâter ta moule. Allons ! Plus vite que çà !
Fabienne, dans un état second, roule et remonte sa jupe étroite sur ses hanches, pleurant sur son indignité, s’offrant comme une martyre à son bourreau pour sauver l’honneur de sa famille et surtout l’innocence de son fils.
- Enlève ton slip catin que je puisse voir ta chatte !
Vaincue définitivement, Fabienne s’exécute, se retrouvant presque nue devant son tourmenteur. Celui-ci empoigne sa motte et l’attire vers lui. Puis il farfouille dans son con, glissant ses gros doigts dans son vagin, qui à la grande honte de Fabienne, dégouline de mouille.
- Dis donc ma pute, tu prends ton pied ; je constate que mon dard te fait de l’effet. Attends que je te défonce ta matrice, tu vas beugler de plaisir ma belle !
- Je vous en supplie Monsieur Paulin ! Pas çà ! Ne me prenez pas… Je suis mariée, j’ai trois enfants. Je vous en supplie, c’est un pêché grave.
- Allons arrête de pleurnicher. Tu en as autant envie que moi. Je sens ton jus qui inonde mes doigts. Tu ne dois pas jouir souvent avec ton mari. Ouvre tes cuisses que je puisse enfoncer ma bite jusqu’à ton utérus. Allez écartes !
Fabienne s’allonge sur l’herbe en ouvrant ses jambes et ses cuisses, le plus possible, s’offrant ainsi à l’homme qui va la prendre ; elle ne sait même plus si elle sera violée ou si elle est consentante, éprouvant pour la première fois de sa vie des envies de volupté charnelle. Son ventre et ses seins, malaxés par les énormes poignes du quadragénaire ont réveillés des sens certainement inassouvis. Les pointes érigées de ses mamelons et son clitoris gonflé attestent de sa surexcitation. Elle pense déjà à ce qu’elle devra avouer à son confesseur à la fin de la semaine et que va-t-elle dire à son mari ? Malgré tout, elle tend son ventre au-devant des doigts qui caressent le bouton turgescent de son clitoris la faisant piauler de bonheur. Bientôt, elle râle de plaisir lorsque les gros doigts de son tourmenteur s’introduisent dans son vagin dégoulinant de cyprine, raclant les chairs distendues de sa moule. Mais elle n’en a pas fini avec les surprises que son corps connaîtra aujourd’hui. Paulin, se penchant soudain devant son entrecuisse, elle sent une langue qui lui lèche sa vulve ce qui ne lui est jamais arrivé. Elle est morte de honte à se voir ainsi avilie, mais elle est aussi bouleversée par ce qu’elle ressent à cette bouche qui ravage les chairs délicates de sa chatte, sursautant lorsque les lèvres s’emparent du bourgeon clitodirien, se cabrant et mugissant devant la jouissance infernale qui l’envahit.
Enfin, l’homme pousse sa verge vers le ventre convoité et vient transpercer le con de Fabienne qui se fait baiser en pleine nature par la brute qui profite de son désarroi. Elle hurle bientôt sa souffrance et son plaisir mélangés, par le pieu énorme qui laboure ses chairs intimes, se donnant malgré elle avec fougue à cet acte pervers et immoral.
À suivre…
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