Les Aventures de Fabienne récit 02 - LE CAÏD AU GRAND CŒUR
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les Aventures de Fabienne récit 02 - LE CAÏD AU GRAND CŒUR
Les Aventures de Fabienne récit 02 - LE CAÏD AU GRAND CŒUR
Pour mémoire, ces aventures de Fabienne, concept et photographies, sont de Steph (stefalpin chez HDS), qui me confie l'histoire coquine de son couple ainsi que des photographies de son épouse, qui les accompagnent. Je ne fais que relater ses désirs.
«Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu'elles n'ont pas commises ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses enfants qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a du effectuer la première fellation de sa vie, ainsi que subir aussi pour la première fois l'introduction d'une langue dans son vagin et le suçage de son bouton d'amour qui l'a fait crier son bonheur.
À tout cela s'est ajouté un coït sauvage par son tourmenteur, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance.
Le surveillant Paulin, la laisse, presque nue et toute pantelante dans le bois jouxtant le lac à proximité de sa cité. Elle peut, à tout moment être surprise par des randonneurs ou des gamins en train de jouer. Elle se rajuste maladroitement et entreprend de rentrer chez elle.
Elle traverse la cité en se croyant la cible de tous les regards des habitants qui doivent, pense-t’elle, s'apercevoir qu'elle a fauté. De surcroît, elle sent la mouille et le foutre mélangé qui s'écoule lentement entre ses cuisses, se remémorant le plaisir qu'elle a eu lorsque la bouche de Paulin s'est emparée de sa chatte en feu et du bouleversement de ses sens lorsque son énorme verge l'a pénétré jusqu'au col de l'utérus. Elle se sent rougir et frissonner à ce rappel d'une situation qu'elle voudrait croire sans lendemain, bien que, dans le moment présent, elle a une envie inavouable de ressentir encore les mêmes sensations dans sa chair intime.
Une fois chez elle, elle prend un bain parfumé, pour se débarrasser de la transpiration, du jus poisseux du sperme et de sa propre miction, ainsi que des effluves de l'amour charnel qui la recouvre entièrement. Ses enfants ne vont pas tarder à rentrer ainsi que son mari. Il faut qu'elle ait une tenue irréprochable pour jouer son rôle de mère et d'épouse exemplaire.
Le lendemain, alors qu'elle va retirer son courrier dans la boite aux lettres, elle découvre une grosse enveloppe en papier bulle portant son prénom. La décachetant rapidement, elle découvre avec horreur des photographies en grand format la représentant en train de forniquer avec le nommé Paulin, dont le visage a été barbouillé au feutre noir. Les clichés, la représentent effectuant une fellation, alors que l'imposant membre est plongé au fond de sa gorge, le sperme dégoulinant sur son menton et sur sa poitrine. D'autres photos, la montre allongée sur l’herbe, alors que l'homme lui enfonce sa bite bien au fond de son vagin.
Comment ne s'est-elle pas aperçue qu'elle était prise en photo pendant qu’elle subissait les assauts de son violeur ? Surtout qu’elle remarque, horrifiée, qu'indéniablement, son visage reflète son plaisir, alors qu’elle prend un pied d'enfer !
Après que Paulin ait donné rendez-vous près du lac à Fabienne, il a rencontré Hassan, un jeune Beur avec lequel il trafique un peu ; en fait, c'est le caïd de la cité où vit Fabienne. Paulin, lui confiant un appareil photo numérique, lui indique qu'il va baiser une mère de famille dans les bois et qu'il aimerait bien avoir des clichés de sa partie de jambes en l'air. Et puis, Hassan pourra certainement en profiter par la suite en se servant des photos pour faire pression sur la femme.
Lorsque Hassan, caché dans les fourrés, assiste à l'avilissement de l’innocente bourgeoise humiliée par Paulin, et que celui-ci profite honteusement de son corps, il prend le maximum de clichés. Puis, avant de rendre l'appareil à Paulin, il en fait une copie sur une clé USB. À sa grande joie, il s'est rendu compte que Fabienne qui vient de se vautrer dans la fange pour défendre son honneur, est la femme de son plus grand ennemi, Stephan, le directeur du centre commercial de la cité, qui l'a surpris à plusieurs reprises en train de voler des compact-disc et des vêtements dans son magasin. Le gérant l'a emmené au poste de police et pour éviter des poursuites pénales, Hassan a accepté de venir gratuitement décharger des camions dans cette fameuse grande surface. Il savoure déjà sa vengeance en comptant bien se taper la rombière du directeur, dans son appartement si possible, et plus d'une fois qu'une.
Dans l'enveloppe, en sus des photographies compromettantes, Fabienne découvre une feuille de papier sur laquelle sont collés des lettres prises dans des journaux découpés : SI TU VEU PAS QUE TON MARIE VOYE CES FOTO OUVR TA PAURTE A 15 H DEMEIN. La jeune femme est décomposée. Quelle est la personne qui vient de lui envoyer ce torchon de papier indigne. Elle se doute bien que ce chantage va encore l'avilir et que le maître chanteur va vouloir profiter de son corps ! En même temps qu'elle s'angoisse de la situation dans laquelle elle se trouve, elle sent sa culotte s'humidifier. Ce n'est pas possible, elle mouille à la pensée de se retrouver encore violentée par un inconnu, car ce ne peut être Paulin. Si c'est un homme rustre et brutal, il n'est pas sans instruction. Ce doit être un de ces petits voyous qui traînent continuellement dans les couloirs des immeubles de la cité.
Elle passe une nuit épouvantable et refuse à son mari le devoir conjugal qu’elle lui doit, se sentant indigne de lui livrer son corps souillé. Le matin, elle sort les photographies de la cachette où elle les avait rangées, et elle contemple avidement, avec un mélange de répugnance et d’envie, sa propre dégradation en se voyant ainsi prendre un plaisir non dissimulé à ces actes obscènes et pervers. Il lui est incompréhensible qu’elle ait pu se vautrer dans le péché, alors que malgré tout, elle s’est bien livrée avec ardeur et passion à la fornication voluptueuse qui l’a révélé. Elle songe à l’homme qui va frapper à sa porte à 15 heures ; elle ne peut refuser de lui ouvrir, d’ailleurs en a t’elle envie ? La peur et l’excitation se mélangent dans son esprit. Elle a une réaction étrangement contradictoire, entrant dans sa salle de bains, elle se lave délicatement dans ses parties les plus intimes et se maquille soigneusement. Puis descendant les étages de son immeuble, elle va à la pharmacie pour acheter en catimini une boite de préservatifs au distributeur extérieur. Si elle doit être violée, elle veut se protéger d'une grossesse impromptue et de maladies dites honteuses.
En rentrant chez elle vers 10 heures 30, elle se sent à nouveau souillée, par la miction intime qui s'écoule malgré elle le long de ses cuisses. La fièvre de ce qui va lui arriver est plus forte que la honte de son indignité et du grave péché qu'elle va commettre. Elle retire son slip sali et se passe une éponge mouillée entre ses cuisses nues. Ce faisant, elle frotte les chairs de sa vulve et introduit l'éponge dans la conque entrouverte de son vagin. Elle se masturbe pour la première fois de sa vie, alors qu'elle a toujours refusé à son mari de le faire, surtout devant lui, avec qui elle fait toujours l’amour dans le noir le plus complet. Mais que lui arrive-t'il ? Elle sent les pointes durcies de ses seins qui lui font mal en frottant dans son soutien-gorge, alors que sa chatte est brûlante. Elle a une envie furieuse de faire l'amour. Soudain, son ordinateur sonne indiquant qu’un message vient d’arriver. Elle ouvre le mail qui lui est adressé et le lit, effaré :
OUBLI PAS A 15H OU SINON LES FOTOS A TON MEC – TU PORTERAS UN SOUTIF ET UNE CULOTE MAUVE EN DENTEL UN CHEMISIER EN DENTEL NOIR ET UNE MINIJUPE AVEC DES BAS PAS DES COLLANTS
Fabienne est atterrée. Comment cet individu a t’il eu connaissance de sa boite mail ? Ce ne peut être que le sinistre Paulin, qui a accès aux dossiers des parents, à l’école où il est surveillant qui le lui a donné. Affolée par la demande expresse de son tourmenteur, elle se dit qu’elle n’a que des collants, pas de lingerie mauve et pas de corsage noir en dentelle non plus. Elle se rhabille rapidement, prend son sac et redescend les escaliers pour prendre un autobus qui va la conduire dans le centre-ville. Il n’est pas question qu’elle aille au centre commercial où se trouve son mari ; d’ailleurs heureusement qu’il ne rentre pas pour déjeuner, ni ses enfants qui sont à la cantine. Arrivée à destination, elle entre dans une boutique de lingerie fine et demande à la vendeuse un corsage tel que lui a demandé son maître chanteur. L’accorte jeune fille lui en propose plusieurs, et elle fait son choix rapidement. Puis elle demande deux paires de bas auto-fixant comme il lui a été imposé et enfin, un soutien-gorge de taille 85b et un slip assorti de couleur mauve, en dentelles également. La vendeuse lui conseille d’essayer le soutien et elle vient l’aider dans la cabine au fond du magasin. Fabienne est très troublée lorsque les doigts de la vendeuse, en ajustant les bonnets, effleurent légèrement son sein ainsi qu’un téton qui durcit aussitôt. La jeune fille sourit, s’étant bien aperçut de l’excitation de Fabienne. Celle-ci, qui sent sa culotte s’humidifier à nouveau est rassurée de n’avoir pas à essayer le slip en dentelle arachnéenne, ce qui est interdit bien naturellement par tous les magasins.
De retour chez elle, Fabienne enfile les sous-vêtements suggestifs et les bas qui mettent en valeur ses jolies jambes. Elle s’admire dans la glace de sa chambre, se retournant pour voir la courbe de ses reins et ses fesses rondes qu’elle trouve un peu trop pleines, mais qui font retourner les hommes sur son passage. Puis, elle passe une jupe très courte à chevrons gris qu’elle a dans sa garde-robe et boutonne le chemisier noir en dentelle qu’elle vient d’acheter. Elle chausse des escarpins noirs à talons hauts et se voyant à nouveau dans la glace, elle a une bouffée de chaleur, se sentant d’un coup trop désirable pour n’importe quel homme la voyant dans cette tenue.
Elle regarde sur le réveil de sa chambre, lorsque brusquement la sonnette retentit. Il est 15 heures pile. Ses mains sont moites et n'ayant pas le temps de vérifier à nouveau sa tenue, elle lisse sa jupe qu’elle trouve désormais trop courte, et, les jambes flageolantes, elle ouvre la porte, tremblante de peur. Elle se trouve face à un grand type en jean et débardeur, à la peau très bronzée, au visage dissimulé par une cagoule noire. Celui-ci la bouscule et referme vivement la porte derrière lui. Fabienne se jette à genoux devant lui et le supplie.
- Je vous en prie, ne me faites pas de mal. J'accepte tout ce que vous voudrez Monsieur. J'ai trois enfants, je vous supplie de ne pas me tuer !
Sous la cagoule, Hassan rit sous cape. Il n'a pas l'intention de faire du mal à cette neuf, mais de lui faire du bien en la besognant proprement. Pour l'instant, il retire sa cagoule tout en rappelant à l'ordre la jeune maman.
- Allez ma poulette, mène-moi à la chambre conjugale et plus vite que çà !
Fabienne, domptée par la voix autoritaire du jeune homme s'empresse, toute tremblante d’ouvrir le chemin qui mène à la chambre de son couple, marié depuis neuf ans. Elle se sent fébrile et tremble de tous ses membres devant ce jeune Beur qu’elle trouve d’ailleurs beau garçon, s’attendant au pire : la peur, l’angoisse mais aussi la curiosité ayant envahi son subconscient.
L’homme la fait asseoir sur le lit et se pose à côté d’elle. À sa grande surprise, il l’enlace et l’embrasse délicatement sur son visage, parcourant son cou, ses joues, son front pour enfin lui prendre sa bouche avec une grande douceur, glissant sa langue sur ses lèvres sans la forcer. C’est elle qui entrouvre sa bouche pour que la langue d’Hassan se coule et s’emmêle avec la sienne. Fabienne, tout alanguie, embrasse à présent avec fougue le jeune homme qui lui palpe sa poitrine au travers la soie de son corsage. Elle est rouge de confusion et de honte, mais elle a aussi envie que cela ne s’arrête pas, toujours collée à la bouche de l’homme qui à présent lui retrousse sa jupe, ses mains caressant le nylon de ses jambes et de ses cuisses et atteignant bientôt le rempart, oh, combien fragile, de la soie du slip qu’il trouve entièrement trempé. Les doigts qui frottent le tissu soyeux englué de cyprine font pousser un gémissement à la jeune femme qui jouit déjà à cette manipulation, qui pourtant, ne touche pas encore sa chair. Elle embrasse toujours avec fougue le jeune Beur qui sait si bien s’y prendre. Elle sait à présent qu’elle se donnera à lui sans réticence, même si elle doit aller en enfer pour cela. Hassan lui écarte sa culotte sans qu’elle proteste et fourre deux doigts dans la fente gluante de liqueur vaginale ; il les introduit profondément dans la chair moelleuse arrachant cette fois des cris plaintifs à Fabienne qui tombe presque en syncope.
Hassan en profite pour se déloquer de son jean et de son tee-shirt, il enlève aussi son slip et ses Nike, puis, il entreprend d’ôter le corsage à la femme de son plus acharné ennemi. Il n’a pu se résoudre à la maltraiter comme il en avait l’intention. D’abord sous ses airs de petit dur, dans le fond ce n’est pas un si mauvais garçon ; puis, il a vraiment envie de faire l’amour avec cette jeune femme, qui bien qu’inexpérimentée, est très belle et émouvante. Fabienne qui reprend peu à peu conscience, aide le jeune homme à se débarrasser de son corsage, ainsi que de son soutien et de son slip. Elle ne garde que sa jupe étroite et ses bas, tout cela sous l’injonction autoritaire de l’homme, réalisant brusquement qu’il est entièrement nu. Elle pique un fard, mais ne peut s’empêcher d’admirer le corps d’athlète au teint mordoré qui s’offre à ses yeux ébahis. Entre les jambes du garçon un sexe imposant se dresse, alors que s’asseyant sur le lit, jambes écartées, il lui lance.
- Allez ma caille, viens me pomper la queue et appliques-toi en agitant ta langue comme dans ma bouche tout à l’heure !
Fabienne n’en revient pas que ce garçon si gentil qui l’a embrassé avec passion, se montre aussi grossier en l’apostrophant de la sorte. Pourtant, elle sait qu’elle n’a pas le choix, aussi elle approche timidement sa bouche du bâton de chair tendu vers elle. Hassan empoignant ses cheveux d’une main la fait mettre à genoux entre ses jambes et de l’autre main, il lui présente son dard devant ses lèvres. La jeune femme ne pouvant se révolter ouvre la bouche, ayant beaucoup de mal à entourer de ses lèvres le vigoureux mandrin de chair qui tressaute au fond de sa gorge. Elle manque d'abord vomir, ayant eu un hoquet de surprise à l'introduction inopinée de la verge turgescente d'une dimension aussi démesurée. Mais elle se reprend, pompant avec ardeur ce vit qu'elle ne pouvait imaginer il y a peu de temps. Hassan lui caresse ses mamelons avec une grande douceur. Malgré son air de mauvais garçon, il a certainement des talents magiques, car il s'applique avec une grande habileté, tripotant et palpant les petits seins de Fabienne avec une minutie et une sollicitude étonnantes.
Fabienne sent le membre vibrer dans sa gorge, alors que l’homme pousse des soupirs de contentement. Curieusement, elle ressent une certaine satisfaction à se savoir maître du plaisir que doit ressentir le jeune homme. C’est pour cette raison, étrange et nouvelle pour elle, qu’elle s’applique le mieux qu’elle le peut. Elle pompe le sexe avec vigueur à présent, se démenant pour donner du plaisir à l'homme qui rugit bientôt de la satisfaction qu'il ressent, lâchant des jets puissants de sperme dans le gosier de la jeune femme. Celle-ci, surprise, en avale d'abord une bonne partie, puis en voulant se retirer, elle est forcée par l'homme qui la tient par les cheveux, à avaler la liqueur qui déborde par les commissures de ses lèvres. Elle ne peut s'empêcher de laisser des larmes jaillir devant son humiliation à devoir ingurgiter ce foutre épais et chaud qui s'écoule dans sa gorge. Hassan, prenant sa tête dans ses mains, lèche ses pleurs et l’embrasse pour la consoler. Puis, la prenant à bras le corps, il l’étend sur le lit et, s’étendant au-dessus d’elle, il vient lécher les mamelons dont les bouts sont turgescents. Elle gémit sous la caresse linguale qui excite ses globes, surtout que les doigts du jeune homme s'agitent aussi dans sa vulve qui s'est ouverte instantanément et qui déjà laisse perler un peu de mouille. Roland s'agenouille en écartant les jambes de Fabienne avec ses mains. Celle-ci, facilite l'élargissement de ses cuisses, s'offrant franchement aux agissements lubriques du jeune homme. Il peut alors examiner tout à son aise la jolie fente, entourée d’une bonne touffe de poils bruns, qui palpite d'excitation contenue.
- Reste bien écartée ! Demande-t-il en souriant à Fabienne.
Celle-ci tente timidement de resserrer les jambes, ses pommettes devenant écarlates, trahissant la gêne qu'elle éprouve à se sentir ainsi exposée à la curiosité vicieuse du jeune homme. Mais celui-ci n'a cure de ses sentiments, aussi, repoussant davantage les cuisses de part et d'autre, il porte les mains sur la vulve vibrante et de ses doigts posés tout au bord, il ouvre les grandes lèvres dénudées jusqu'à ce que l'étirement exagéré arrache une plainte à la jeune maman. La fente écartelée dévoile sans aucune restriction l'entrée rouge sombre du tunnel vaginal et dans le haut, presque à la commissure de l'échancrure, la bille rouge et congestionnée du clitoris que l'ouverture béante fait ressortir comme un pénis d'enfant turgescent, confirmant bien qu’elle ne peut cacher l'érection de son bouton d'amour.
Après un long silence pendant lequel Fabienne sent le regard étincelant posé sur son sexe béant, Hassan applique ses lèvres sur la vulve brûlante de désir. Elle pousse des soupirs de ravissement lorsque la langue s'infiltre dans les replis de la chair et qu'elle titille son clitoris. Elle ne peut le cacher grâce aux trépidations de son corps et aux déclenchements des spasmes qu'elle ne peut pas s'empêcher d'avoir. Hassan lui caresse ses seins, pinçant ses boutons qui sont gonflés et durs, augmentant encore plus son plaisir. Dans un état second, elle caresse la tête du jeune homme qui la broute avec frénésie.
Elle a déjà eu deux orgasmes lorsque Hassan, redressant sa proie, tenant d'une main son membre imposant, le glisse entre les cuisses de Fabienne, puis cherchant sa voie avec son gland, il s'engouffre d'un seul coup dans la matrice bavant de mouille. La jeune femme pousse un petit cri, mais d'elle-même, lorsque le vagin a avalé la totalité du membre, elle tend son ventre au sexe qui vient de la perforer jusqu'au fond de sa matrice. Elle agrippe avec ses mains les jambes du jeune homme, alors qu’elle est étroitement chevillée sur sa queue et que ses jambes sont posées sur ses épaules. L’homme la pénètre presque avec sauvagerie, s’enfonçant et se retirant du con devenu congestionné par le pilonnage intensif auquel il est soumis. Fabienne n’a jamais été traitée de la sorte, son mari se glissant avec une grande douceur dans son intimité. Elle éprouve de la douleur jusqu’au col de son utérus qui est cogné par le gland qui perfore son vagin, mais en même temps, elle jouit étrangement de cette pénétration brutale qui laboure ses chairs meurtries. Elle enlace son cavalier et ahane des :
- Encore ! Ouiiiii ! Encore ! Oooooooh ! Ouiiiiiiiii !
Celui-ci s’en donne à cœur joie et à bout de souffle, il éjacule dans le petit manteau qu’il avait enfilé rapidement avant de baiser la femme du directeur de centre commercial.
Fabienne est épuisée par la baise torride qu’elle vient de subir, pourtant elle n’en n’a pas finit, car Hassan en veut encore. Il lui demande de se mettre tête-bêche sur lui et de prendre sa bite dans sa bouche pour la nettoyer et lui redonner de la vigueur. Fabienne s’exécute, malgré son dégoût à absorber le sexe, maculé de sa propre cyprine. Pendant ce temps, Hassan déguste le vagin gorgé du jus intime de la jeune femme qui recommence à jouir du traitement que le jeune homme lui impose. Soudain, elle a un brusque retrait de tout son corps, un doigt vient de s’enfoncer dans son rectum brutalement et profondément. Elle veut se retirer, mais Hassan a entouré ses cuisses de ses deux bras la tenant bien serrée contre lui, sa main droite ayant pu, malgré tout, atteindre l’œillet offert devant ses yeux. Il creuse un cratère dans le cul convoité, se promettant bien que la prochaine fois il l’enculera proprement malgré ses protestations de vierge effarouchée.
Enfin, sa verge ayant repris de la vigueur dans la bouche féminine, il redresse sa proie et la met à cheval sur lui, restant allongé sur le dos. Il lui fait écarter ses jambes de chaque côté de son corps et lui demande de prendre son pénis et de se l’introduire dans sa minette. Fabienne, chahutée de toute part par ce pervers, obéit dans un état second et se retrouve, telle une cavale, chevauchant le jeune homme avec son sexe enfoui dans sa matrice. Elle se dresse et se rassoit en cadence, éprouvant un plaisir inouï à cette chevauchée. Hassan a saisi ses tétons, les tordant sous ses doigts puissants, faisant hurler Fabienne, qui ne sait plus si c’est de douleur ou de plaisir jusqu’à l’orgasme fulgurant qui la saisit et la laisse toute pantelante, affalée sur le corps du garçon…
A suivre…
Pour mémoire, ces aventures de Fabienne, concept et photographies, sont de Steph (stefalpin chez HDS), qui me confie l'histoire coquine de son couple ainsi que des photographies de son épouse, qui les accompagnent. Je ne fais que relater ses désirs.
«Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu'elles n'ont pas commises ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses enfants qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a du effectuer la première fellation de sa vie, ainsi que subir aussi pour la première fois l'introduction d'une langue dans son vagin et le suçage de son bouton d'amour qui l'a fait crier son bonheur.
À tout cela s'est ajouté un coït sauvage par son tourmenteur, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance.
Le surveillant Paulin, la laisse, presque nue et toute pantelante dans le bois jouxtant le lac à proximité de sa cité. Elle peut, à tout moment être surprise par des randonneurs ou des gamins en train de jouer. Elle se rajuste maladroitement et entreprend de rentrer chez elle.
Elle traverse la cité en se croyant la cible de tous les regards des habitants qui doivent, pense-t’elle, s'apercevoir qu'elle a fauté. De surcroît, elle sent la mouille et le foutre mélangé qui s'écoule lentement entre ses cuisses, se remémorant le plaisir qu'elle a eu lorsque la bouche de Paulin s'est emparée de sa chatte en feu et du bouleversement de ses sens lorsque son énorme verge l'a pénétré jusqu'au col de l'utérus. Elle se sent rougir et frissonner à ce rappel d'une situation qu'elle voudrait croire sans lendemain, bien que, dans le moment présent, elle a une envie inavouable de ressentir encore les mêmes sensations dans sa chair intime.
Une fois chez elle, elle prend un bain parfumé, pour se débarrasser de la transpiration, du jus poisseux du sperme et de sa propre miction, ainsi que des effluves de l'amour charnel qui la recouvre entièrement. Ses enfants ne vont pas tarder à rentrer ainsi que son mari. Il faut qu'elle ait une tenue irréprochable pour jouer son rôle de mère et d'épouse exemplaire.
Le lendemain, alors qu'elle va retirer son courrier dans la boite aux lettres, elle découvre une grosse enveloppe en papier bulle portant son prénom. La décachetant rapidement, elle découvre avec horreur des photographies en grand format la représentant en train de forniquer avec le nommé Paulin, dont le visage a été barbouillé au feutre noir. Les clichés, la représentent effectuant une fellation, alors que l'imposant membre est plongé au fond de sa gorge, le sperme dégoulinant sur son menton et sur sa poitrine. D'autres photos, la montre allongée sur l’herbe, alors que l'homme lui enfonce sa bite bien au fond de son vagin.
Comment ne s'est-elle pas aperçue qu'elle était prise en photo pendant qu’elle subissait les assauts de son violeur ? Surtout qu’elle remarque, horrifiée, qu'indéniablement, son visage reflète son plaisir, alors qu’elle prend un pied d'enfer !
Après que Paulin ait donné rendez-vous près du lac à Fabienne, il a rencontré Hassan, un jeune Beur avec lequel il trafique un peu ; en fait, c'est le caïd de la cité où vit Fabienne. Paulin, lui confiant un appareil photo numérique, lui indique qu'il va baiser une mère de famille dans les bois et qu'il aimerait bien avoir des clichés de sa partie de jambes en l'air. Et puis, Hassan pourra certainement en profiter par la suite en se servant des photos pour faire pression sur la femme.
Lorsque Hassan, caché dans les fourrés, assiste à l'avilissement de l’innocente bourgeoise humiliée par Paulin, et que celui-ci profite honteusement de son corps, il prend le maximum de clichés. Puis, avant de rendre l'appareil à Paulin, il en fait une copie sur une clé USB. À sa grande joie, il s'est rendu compte que Fabienne qui vient de se vautrer dans la fange pour défendre son honneur, est la femme de son plus grand ennemi, Stephan, le directeur du centre commercial de la cité, qui l'a surpris à plusieurs reprises en train de voler des compact-disc et des vêtements dans son magasin. Le gérant l'a emmené au poste de police et pour éviter des poursuites pénales, Hassan a accepté de venir gratuitement décharger des camions dans cette fameuse grande surface. Il savoure déjà sa vengeance en comptant bien se taper la rombière du directeur, dans son appartement si possible, et plus d'une fois qu'une.
Dans l'enveloppe, en sus des photographies compromettantes, Fabienne découvre une feuille de papier sur laquelle sont collés des lettres prises dans des journaux découpés : SI TU VEU PAS QUE TON MARIE VOYE CES FOTO OUVR TA PAURTE A 15 H DEMEIN. La jeune femme est décomposée. Quelle est la personne qui vient de lui envoyer ce torchon de papier indigne. Elle se doute bien que ce chantage va encore l'avilir et que le maître chanteur va vouloir profiter de son corps ! En même temps qu'elle s'angoisse de la situation dans laquelle elle se trouve, elle sent sa culotte s'humidifier. Ce n'est pas possible, elle mouille à la pensée de se retrouver encore violentée par un inconnu, car ce ne peut être Paulin. Si c'est un homme rustre et brutal, il n'est pas sans instruction. Ce doit être un de ces petits voyous qui traînent continuellement dans les couloirs des immeubles de la cité.
Elle passe une nuit épouvantable et refuse à son mari le devoir conjugal qu’elle lui doit, se sentant indigne de lui livrer son corps souillé. Le matin, elle sort les photographies de la cachette où elle les avait rangées, et elle contemple avidement, avec un mélange de répugnance et d’envie, sa propre dégradation en se voyant ainsi prendre un plaisir non dissimulé à ces actes obscènes et pervers. Il lui est incompréhensible qu’elle ait pu se vautrer dans le péché, alors que malgré tout, elle s’est bien livrée avec ardeur et passion à la fornication voluptueuse qui l’a révélé. Elle songe à l’homme qui va frapper à sa porte à 15 heures ; elle ne peut refuser de lui ouvrir, d’ailleurs en a t’elle envie ? La peur et l’excitation se mélangent dans son esprit. Elle a une réaction étrangement contradictoire, entrant dans sa salle de bains, elle se lave délicatement dans ses parties les plus intimes et se maquille soigneusement. Puis descendant les étages de son immeuble, elle va à la pharmacie pour acheter en catimini une boite de préservatifs au distributeur extérieur. Si elle doit être violée, elle veut se protéger d'une grossesse impromptue et de maladies dites honteuses.
En rentrant chez elle vers 10 heures 30, elle se sent à nouveau souillée, par la miction intime qui s'écoule malgré elle le long de ses cuisses. La fièvre de ce qui va lui arriver est plus forte que la honte de son indignité et du grave péché qu'elle va commettre. Elle retire son slip sali et se passe une éponge mouillée entre ses cuisses nues. Ce faisant, elle frotte les chairs de sa vulve et introduit l'éponge dans la conque entrouverte de son vagin. Elle se masturbe pour la première fois de sa vie, alors qu'elle a toujours refusé à son mari de le faire, surtout devant lui, avec qui elle fait toujours l’amour dans le noir le plus complet. Mais que lui arrive-t'il ? Elle sent les pointes durcies de ses seins qui lui font mal en frottant dans son soutien-gorge, alors que sa chatte est brûlante. Elle a une envie furieuse de faire l'amour. Soudain, son ordinateur sonne indiquant qu’un message vient d’arriver. Elle ouvre le mail qui lui est adressé et le lit, effaré :
OUBLI PAS A 15H OU SINON LES FOTOS A TON MEC – TU PORTERAS UN SOUTIF ET UNE CULOTE MAUVE EN DENTEL UN CHEMISIER EN DENTEL NOIR ET UNE MINIJUPE AVEC DES BAS PAS DES COLLANTS
Fabienne est atterrée. Comment cet individu a t’il eu connaissance de sa boite mail ? Ce ne peut être que le sinistre Paulin, qui a accès aux dossiers des parents, à l’école où il est surveillant qui le lui a donné. Affolée par la demande expresse de son tourmenteur, elle se dit qu’elle n’a que des collants, pas de lingerie mauve et pas de corsage noir en dentelle non plus. Elle se rhabille rapidement, prend son sac et redescend les escaliers pour prendre un autobus qui va la conduire dans le centre-ville. Il n’est pas question qu’elle aille au centre commercial où se trouve son mari ; d’ailleurs heureusement qu’il ne rentre pas pour déjeuner, ni ses enfants qui sont à la cantine. Arrivée à destination, elle entre dans une boutique de lingerie fine et demande à la vendeuse un corsage tel que lui a demandé son maître chanteur. L’accorte jeune fille lui en propose plusieurs, et elle fait son choix rapidement. Puis elle demande deux paires de bas auto-fixant comme il lui a été imposé et enfin, un soutien-gorge de taille 85b et un slip assorti de couleur mauve, en dentelles également. La vendeuse lui conseille d’essayer le soutien et elle vient l’aider dans la cabine au fond du magasin. Fabienne est très troublée lorsque les doigts de la vendeuse, en ajustant les bonnets, effleurent légèrement son sein ainsi qu’un téton qui durcit aussitôt. La jeune fille sourit, s’étant bien aperçut de l’excitation de Fabienne. Celle-ci, qui sent sa culotte s’humidifier à nouveau est rassurée de n’avoir pas à essayer le slip en dentelle arachnéenne, ce qui est interdit bien naturellement par tous les magasins.
De retour chez elle, Fabienne enfile les sous-vêtements suggestifs et les bas qui mettent en valeur ses jolies jambes. Elle s’admire dans la glace de sa chambre, se retournant pour voir la courbe de ses reins et ses fesses rondes qu’elle trouve un peu trop pleines, mais qui font retourner les hommes sur son passage. Puis, elle passe une jupe très courte à chevrons gris qu’elle a dans sa garde-robe et boutonne le chemisier noir en dentelle qu’elle vient d’acheter. Elle chausse des escarpins noirs à talons hauts et se voyant à nouveau dans la glace, elle a une bouffée de chaleur, se sentant d’un coup trop désirable pour n’importe quel homme la voyant dans cette tenue.
Elle regarde sur le réveil de sa chambre, lorsque brusquement la sonnette retentit. Il est 15 heures pile. Ses mains sont moites et n'ayant pas le temps de vérifier à nouveau sa tenue, elle lisse sa jupe qu’elle trouve désormais trop courte, et, les jambes flageolantes, elle ouvre la porte, tremblante de peur. Elle se trouve face à un grand type en jean et débardeur, à la peau très bronzée, au visage dissimulé par une cagoule noire. Celui-ci la bouscule et referme vivement la porte derrière lui. Fabienne se jette à genoux devant lui et le supplie.
- Je vous en prie, ne me faites pas de mal. J'accepte tout ce que vous voudrez Monsieur. J'ai trois enfants, je vous supplie de ne pas me tuer !
Sous la cagoule, Hassan rit sous cape. Il n'a pas l'intention de faire du mal à cette neuf, mais de lui faire du bien en la besognant proprement. Pour l'instant, il retire sa cagoule tout en rappelant à l'ordre la jeune maman.
- Allez ma poulette, mène-moi à la chambre conjugale et plus vite que çà !
Fabienne, domptée par la voix autoritaire du jeune homme s'empresse, toute tremblante d’ouvrir le chemin qui mène à la chambre de son couple, marié depuis neuf ans. Elle se sent fébrile et tremble de tous ses membres devant ce jeune Beur qu’elle trouve d’ailleurs beau garçon, s’attendant au pire : la peur, l’angoisse mais aussi la curiosité ayant envahi son subconscient.
L’homme la fait asseoir sur le lit et se pose à côté d’elle. À sa grande surprise, il l’enlace et l’embrasse délicatement sur son visage, parcourant son cou, ses joues, son front pour enfin lui prendre sa bouche avec une grande douceur, glissant sa langue sur ses lèvres sans la forcer. C’est elle qui entrouvre sa bouche pour que la langue d’Hassan se coule et s’emmêle avec la sienne. Fabienne, tout alanguie, embrasse à présent avec fougue le jeune homme qui lui palpe sa poitrine au travers la soie de son corsage. Elle est rouge de confusion et de honte, mais elle a aussi envie que cela ne s’arrête pas, toujours collée à la bouche de l’homme qui à présent lui retrousse sa jupe, ses mains caressant le nylon de ses jambes et de ses cuisses et atteignant bientôt le rempart, oh, combien fragile, de la soie du slip qu’il trouve entièrement trempé. Les doigts qui frottent le tissu soyeux englué de cyprine font pousser un gémissement à la jeune femme qui jouit déjà à cette manipulation, qui pourtant, ne touche pas encore sa chair. Elle embrasse toujours avec fougue le jeune Beur qui sait si bien s’y prendre. Elle sait à présent qu’elle se donnera à lui sans réticence, même si elle doit aller en enfer pour cela. Hassan lui écarte sa culotte sans qu’elle proteste et fourre deux doigts dans la fente gluante de liqueur vaginale ; il les introduit profondément dans la chair moelleuse arrachant cette fois des cris plaintifs à Fabienne qui tombe presque en syncope.
Hassan en profite pour se déloquer de son jean et de son tee-shirt, il enlève aussi son slip et ses Nike, puis, il entreprend d’ôter le corsage à la femme de son plus acharné ennemi. Il n’a pu se résoudre à la maltraiter comme il en avait l’intention. D’abord sous ses airs de petit dur, dans le fond ce n’est pas un si mauvais garçon ; puis, il a vraiment envie de faire l’amour avec cette jeune femme, qui bien qu’inexpérimentée, est très belle et émouvante. Fabienne qui reprend peu à peu conscience, aide le jeune homme à se débarrasser de son corsage, ainsi que de son soutien et de son slip. Elle ne garde que sa jupe étroite et ses bas, tout cela sous l’injonction autoritaire de l’homme, réalisant brusquement qu’il est entièrement nu. Elle pique un fard, mais ne peut s’empêcher d’admirer le corps d’athlète au teint mordoré qui s’offre à ses yeux ébahis. Entre les jambes du garçon un sexe imposant se dresse, alors que s’asseyant sur le lit, jambes écartées, il lui lance.
- Allez ma caille, viens me pomper la queue et appliques-toi en agitant ta langue comme dans ma bouche tout à l’heure !
Fabienne n’en revient pas que ce garçon si gentil qui l’a embrassé avec passion, se montre aussi grossier en l’apostrophant de la sorte. Pourtant, elle sait qu’elle n’a pas le choix, aussi elle approche timidement sa bouche du bâton de chair tendu vers elle. Hassan empoignant ses cheveux d’une main la fait mettre à genoux entre ses jambes et de l’autre main, il lui présente son dard devant ses lèvres. La jeune femme ne pouvant se révolter ouvre la bouche, ayant beaucoup de mal à entourer de ses lèvres le vigoureux mandrin de chair qui tressaute au fond de sa gorge. Elle manque d'abord vomir, ayant eu un hoquet de surprise à l'introduction inopinée de la verge turgescente d'une dimension aussi démesurée. Mais elle se reprend, pompant avec ardeur ce vit qu'elle ne pouvait imaginer il y a peu de temps. Hassan lui caresse ses mamelons avec une grande douceur. Malgré son air de mauvais garçon, il a certainement des talents magiques, car il s'applique avec une grande habileté, tripotant et palpant les petits seins de Fabienne avec une minutie et une sollicitude étonnantes.
Fabienne sent le membre vibrer dans sa gorge, alors que l’homme pousse des soupirs de contentement. Curieusement, elle ressent une certaine satisfaction à se savoir maître du plaisir que doit ressentir le jeune homme. C’est pour cette raison, étrange et nouvelle pour elle, qu’elle s’applique le mieux qu’elle le peut. Elle pompe le sexe avec vigueur à présent, se démenant pour donner du plaisir à l'homme qui rugit bientôt de la satisfaction qu'il ressent, lâchant des jets puissants de sperme dans le gosier de la jeune femme. Celle-ci, surprise, en avale d'abord une bonne partie, puis en voulant se retirer, elle est forcée par l'homme qui la tient par les cheveux, à avaler la liqueur qui déborde par les commissures de ses lèvres. Elle ne peut s'empêcher de laisser des larmes jaillir devant son humiliation à devoir ingurgiter ce foutre épais et chaud qui s'écoule dans sa gorge. Hassan, prenant sa tête dans ses mains, lèche ses pleurs et l’embrasse pour la consoler. Puis, la prenant à bras le corps, il l’étend sur le lit et, s’étendant au-dessus d’elle, il vient lécher les mamelons dont les bouts sont turgescents. Elle gémit sous la caresse linguale qui excite ses globes, surtout que les doigts du jeune homme s'agitent aussi dans sa vulve qui s'est ouverte instantanément et qui déjà laisse perler un peu de mouille. Roland s'agenouille en écartant les jambes de Fabienne avec ses mains. Celle-ci, facilite l'élargissement de ses cuisses, s'offrant franchement aux agissements lubriques du jeune homme. Il peut alors examiner tout à son aise la jolie fente, entourée d’une bonne touffe de poils bruns, qui palpite d'excitation contenue.
- Reste bien écartée ! Demande-t-il en souriant à Fabienne.
Celle-ci tente timidement de resserrer les jambes, ses pommettes devenant écarlates, trahissant la gêne qu'elle éprouve à se sentir ainsi exposée à la curiosité vicieuse du jeune homme. Mais celui-ci n'a cure de ses sentiments, aussi, repoussant davantage les cuisses de part et d'autre, il porte les mains sur la vulve vibrante et de ses doigts posés tout au bord, il ouvre les grandes lèvres dénudées jusqu'à ce que l'étirement exagéré arrache une plainte à la jeune maman. La fente écartelée dévoile sans aucune restriction l'entrée rouge sombre du tunnel vaginal et dans le haut, presque à la commissure de l'échancrure, la bille rouge et congestionnée du clitoris que l'ouverture béante fait ressortir comme un pénis d'enfant turgescent, confirmant bien qu’elle ne peut cacher l'érection de son bouton d'amour.
Après un long silence pendant lequel Fabienne sent le regard étincelant posé sur son sexe béant, Hassan applique ses lèvres sur la vulve brûlante de désir. Elle pousse des soupirs de ravissement lorsque la langue s'infiltre dans les replis de la chair et qu'elle titille son clitoris. Elle ne peut le cacher grâce aux trépidations de son corps et aux déclenchements des spasmes qu'elle ne peut pas s'empêcher d'avoir. Hassan lui caresse ses seins, pinçant ses boutons qui sont gonflés et durs, augmentant encore plus son plaisir. Dans un état second, elle caresse la tête du jeune homme qui la broute avec frénésie.
Elle a déjà eu deux orgasmes lorsque Hassan, redressant sa proie, tenant d'une main son membre imposant, le glisse entre les cuisses de Fabienne, puis cherchant sa voie avec son gland, il s'engouffre d'un seul coup dans la matrice bavant de mouille. La jeune femme pousse un petit cri, mais d'elle-même, lorsque le vagin a avalé la totalité du membre, elle tend son ventre au sexe qui vient de la perforer jusqu'au fond de sa matrice. Elle agrippe avec ses mains les jambes du jeune homme, alors qu’elle est étroitement chevillée sur sa queue et que ses jambes sont posées sur ses épaules. L’homme la pénètre presque avec sauvagerie, s’enfonçant et se retirant du con devenu congestionné par le pilonnage intensif auquel il est soumis. Fabienne n’a jamais été traitée de la sorte, son mari se glissant avec une grande douceur dans son intimité. Elle éprouve de la douleur jusqu’au col de son utérus qui est cogné par le gland qui perfore son vagin, mais en même temps, elle jouit étrangement de cette pénétration brutale qui laboure ses chairs meurtries. Elle enlace son cavalier et ahane des :
- Encore ! Ouiiiii ! Encore ! Oooooooh ! Ouiiiiiiiii !
Celui-ci s’en donne à cœur joie et à bout de souffle, il éjacule dans le petit manteau qu’il avait enfilé rapidement avant de baiser la femme du directeur de centre commercial.
Fabienne est épuisée par la baise torride qu’elle vient de subir, pourtant elle n’en n’a pas finit, car Hassan en veut encore. Il lui demande de se mettre tête-bêche sur lui et de prendre sa bite dans sa bouche pour la nettoyer et lui redonner de la vigueur. Fabienne s’exécute, malgré son dégoût à absorber le sexe, maculé de sa propre cyprine. Pendant ce temps, Hassan déguste le vagin gorgé du jus intime de la jeune femme qui recommence à jouir du traitement que le jeune homme lui impose. Soudain, elle a un brusque retrait de tout son corps, un doigt vient de s’enfoncer dans son rectum brutalement et profondément. Elle veut se retirer, mais Hassan a entouré ses cuisses de ses deux bras la tenant bien serrée contre lui, sa main droite ayant pu, malgré tout, atteindre l’œillet offert devant ses yeux. Il creuse un cratère dans le cul convoité, se promettant bien que la prochaine fois il l’enculera proprement malgré ses protestations de vierge effarouchée.
Enfin, sa verge ayant repris de la vigueur dans la bouche féminine, il redresse sa proie et la met à cheval sur lui, restant allongé sur le dos. Il lui fait écarter ses jambes de chaque côté de son corps et lui demande de prendre son pénis et de se l’introduire dans sa minette. Fabienne, chahutée de toute part par ce pervers, obéit dans un état second et se retrouve, telle une cavale, chevauchant le jeune homme avec son sexe enfoui dans sa matrice. Elle se dresse et se rassoit en cadence, éprouvant un plaisir inouï à cette chevauchée. Hassan a saisi ses tétons, les tordant sous ses doigts puissants, faisant hurler Fabienne, qui ne sait plus si c’est de douleur ou de plaisir jusqu’à l’orgasme fulgurant qui la saisit et la laisse toute pantelante, affalée sur le corps du garçon…
A suivre…
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