Les aventures de Julien épisode 11
Récit érotique écrit par Julien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les aventures de Julien épisode 11
Au bout de quelques minutes de voiture dans Paris, nous arrivons. Je n'ai pas dit un mot de tout le voyage. Je n'ai pas envie de parler. Et de toute façon, on ne m'en a pas donné l'autorisation. La voiture entre dans une cour et une grande porte cochère se referme derrière nous. De nombreux véhicules de luxe sont présents dans la cour. L'homme coupe le moteur. J'attends. Deux femmes discutent non loin de la voiture. Elles ne semblent pas nous avoir remarqués. L'homme descend, leur parle quelques instants. Il revient vers moi, j'aperçois un sourire non dissimulé sur le visage des deux femmes. Il ouvre la porte et attrape ma laisse.
- Pose ta veste et Descend !
Obéissant aux ordres, je ne me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture, les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux féminins posés sur moi, il s'adresse à elles.
- Je vous présente Julien, mais évidemment, ici, il portera le nom qui vous plaira.
- Bonjour.
- Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
- Nous te trouverons un nom plus tard, pour l'instant Jean Paul va te présenter à la Comtesse.
Celui dont je viens d'entendre le nom pour la première fois tire sur ma laisse et m'entraîne à l'intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus, je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m'attend. Que peut donc bien être cette arène ? Je sais un chose, c'est que j'ai envie que l'on m'utilise... et j'ai le pressentiment que je vais être exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une grande pièce qui n'est visiblement que le hall d'une grande maison de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main. Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d'une réception donné par et pour le "Tout Paris". Tous m'observent, me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux. J'ai l'impression que les femmes présentes ici ont été sélectionnées grâce à leur beauté. Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception en costume.
Alors que je suis debout, au milieu de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s'approche de moi. La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.
- J'aime cette matière. Dit-elle. Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte sont multipliées.
En disant cela, sa main s'aventure plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes. L'homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant. Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex. Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n'ose pas bouger. Il est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe avec un plateau de petits fours. Le couple m'abandonne pour se servir puis se dirige vers l'escalier, comme tout le monde. C'est à ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle il m'a abondonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif en or. Ses avant-bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus sa féminité.
Jean se rend compte tout de suite de l'état dans lequel m'a laissé le couple.
- Mmmmhhhh ... Comtesse, regardez-moi ça .... notre petit ami est pris d'une érection. Cela doit être dû à votre beauté.
Agissant en maîtresse de maison, et en maîtresse tout court, elle s'adresse à Jean Paul.
- Laissez moi régler cela je vous prie.
- Bien sûr.
Sans rien dire, elle me regarde quelques secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à coup, sans que je m'y attende, une gifle s'abat sur mon visage.
- Qui t'a ordonné de bander ?
Après une seconde gifle, elle ordonne.
- Réponds !
- Personne.
Une troisième gifle.
- Personne Comtesse ! Et si tu reste ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
- Bien Comtesse.
Sur ces mots, sa main se dirige vers mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d'entrée d'une grande demeure parisienne. Un tas de gens m'observent et je leur montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c'est possible.
- A genoux !
- Bien Comtesse.
- Branle-toi.
Lentement, ma main se dirige vers mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation, je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens se sont arrêté dans les escaliers, font même demi-tour pour apprécier le spectacle que je leur offre. J'entends des murmures, je distingue même quelques mains qui s'aventurent sous quelques robes.
- Tu ne jouiras que quand je te l'ordonnerai. Ici, c'est moi qui commande.
- Oui Comtesse.
- Regardez le bien, mes chers amis. C'est lui que vous allez retrouver dans l'arène aujourd'hui. J'espère qu'il vous plaira. Jean Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m'en a dit beaucoup de bien.
Elle tourne autour de moi, je suis humilié. Je ne suis plus qu'un objet, un robot. On ordonne et je m'exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue. Alors qu'elle pose un doigt sur mon épaule et qu'elle le fait courir lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.
- Maintenant, tu vas jouir pour moi. Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que ce que l'on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n'oseras jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à tous à un point extrême, et c'est toi qui seras l'objet de ce plaisir. L'arène est ce qui va t'arriver de pire, mais aussi de meilleur. Tu vas perdre toute notion de temps, de dignité, de fierté et de pudeur. Mais tu vas découvrir ce qu'est le vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche-toi...
Ne pouvant me retenir plus longtemps, et surtout parce qu'elle me l'a demandé, je jouis, sans un mot. Je n'ose pas faire le moindre bruit. C'est tout juste si ma respiration s'est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main, de petites tâches se sont formées sur le sol.
- Lèche !
Lentement, je porte ma main à ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi-même, je ne suis que celui que l'on me demande d'être. A partir de maintenant, mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse...
- C'est bien, lève toi m'ordonne t-elle.
Alors que je m'exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul. Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit spectacle improvisé retournent dans les escaliers pour se diriger au premier étage.
- Jean Paul, vous pouvez l'amener dans l'arène maintenant.
- Bien sûr Comtesse, avec plaisir.
Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons vers une porte qui se trouve sous l'escalier. Jean Paul tends la main et ouvre la porte...
- Pose ta veste et Descend !
Obéissant aux ordres, je ne me retrouve vêtu que de mon body. Alors que je sors de la voiture, les yeux baissés pour ne pas avoir à supporter les yeux féminins posés sur moi, il s'adresse à elles.
- Je vous présente Julien, mais évidemment, ici, il portera le nom qui vous plaira.
- Bonjour.
- Bonjour. dis-je après une courte hésitation.
- Nous te trouverons un nom plus tard, pour l'instant Jean Paul va te présenter à la Comtesse.
Celui dont je viens d'entendre le nom pour la première fois tire sur ma laisse et m'entraîne à l'intérieur. Je sens le regard des deux femmes dans mon dos et sur mes fesses à peine cachées. Une fois de plus, je rougis. Je ne sais toujours pas ce qui m'attend. Que peut donc bien être cette arène ? Je sais un chose, c'est que j'ai envie que l'on m'utilise... et j'ai le pressentiment que je vais être exaucé. Nous entrons par une haute porte vitrée dans une grande pièce qui n'est visiblement que le hall d'une grande maison de maître. Des gens vont et viennent, des verres à la main. Ils se dirigent quasiment tous vers les escaliers qui se trouvent au fond de la pièce. Apparemment, nous sommes au beau milieu d'une réception donné par et pour le "Tout Paris". Tous m'observent, me détaillent. Jean Paul me laisse seul quelques instants le temps de saluer une personne qui semble être la maîtresse des lieux. J'ai l'impression que les femmes présentes ici ont été sélectionnées grâce à leur beauté. Elles sont toutes magnifiques, habillées en robe de soirée et parées de riches bijoux. Les hommes sont tous sans exception en costume.
Alors que je suis debout, au milieu de la pièce, attendant Jean Paul, un couple s'approche de moi. La femme, brune, les cheveux long tombant sur sa robe rouge caresse mon dos puis mon ventre à travers le latex de mon body.
- J'aime cette matière. Dit-elle. Elle fait ressortir les formes. Et les sensations de celui qui la porte sont multipliées.
En disant cela, sa main s'aventure plus bas dans mon dos, puis lentement passe sous mon cul, entre les jambes. L'homme, une coupe de champagne à la main, acquiesce en riant. Elle prend possession de mes couilles, les malaxe au travers du latex. Rapidement, mon sexe commence à durcir, je n'ose pas bouger. Il est vrai que le vêtement que je porte peut donner des envies. Et la mienne est bien visible maintenant. Bientôt, un serveur passe avec un plateau de petits fours. Le couple m'abandonne pour se servir puis se dirige vers l'escalier, comme tout le monde. C'est à ce moment que Jean Paul revient accompagné de la femme pour laquelle il m'a abondonné quelques instants auparavant. Blonde, ses cheveux longs sont attachés en un chignon. Sa robe en cuir laisse voir un merveilleux décolleté. Elle porte un très mignon tour de cou, en cuir lui aussi, auquel est attaché un pendentif en or. Ses avant-bras sont gantés, ce qui renforce un peu plus sa féminité.
Jean se rend compte tout de suite de l'état dans lequel m'a laissé le couple.
- Mmmmhhhh ... Comtesse, regardez-moi ça .... notre petit ami est pris d'une érection. Cela doit être dû à votre beauté.
Agissant en maîtresse de maison, et en maîtresse tout court, elle s'adresse à Jean Paul.
- Laissez moi régler cela je vous prie.
- Bien sûr.
Sans rien dire, elle me regarde quelques secondes, qui me paraissent une éternité. Puis, tout à coup, sans que je m'y attende, une gifle s'abat sur mon visage.
- Qui t'a ordonné de bander ?
Après une seconde gifle, elle ordonne.
- Réponds !
- Personne.
Une troisième gifle.
- Personne Comtesse ! Et si tu reste ici, ça deviendra Personne Maîtresse !
- Bien Comtesse.
Sur ces mots, sa main se dirige vers mon sexe, le palpe à travers le latex, puis, écartant le body, le libère. Me voilà debout, au milieu du hall d'entrée d'une grande demeure parisienne. Un tas de gens m'observent et je leur montre mon sexe. Je rougis encore un peu plus, si toutefois c'est possible.
- A genoux !
- Bien Comtesse.
- Branle-toi.
Lentement, ma main se dirige vers mon sexe et commence un mouvement de va et vient. Malgré la situation, je suis de plus en plus excité. Tout le monde me regarde, les gens se sont arrêté dans les escaliers, font même demi-tour pour apprécier le spectacle que je leur offre. J'entends des murmures, je distingue même quelques mains qui s'aventurent sous quelques robes.
- Tu ne jouiras que quand je te l'ordonnerai. Ici, c'est moi qui commande.
- Oui Comtesse.
- Regardez le bien, mes chers amis. C'est lui que vous allez retrouver dans l'arène aujourd'hui. J'espère qu'il vous plaira. Jean Paul, qui nous amène souvent nos meilleurs spécimens m'en a dit beaucoup de bien.
Elle tourne autour de moi, je suis humilié. Je ne suis plus qu'un objet, un robot. On ordonne et je m'exécute. Je sens le plaisir monter petit à petit. Mais je me retiens, ne voulant pas subir la foudre de cette comtesse inconnue. Alors qu'elle pose un doigt sur mon épaule et qu'elle le fait courir lentement dans mon cou, elle se penche et murmure à mon oreille.
- Maintenant, tu vas jouir pour moi. Parce que je te le demande et que tu ne sais pas faire autre chose que ce que l'on te demande de faire. Ici, tu vas devenir ce que tu n'oseras jamais être ailleurs. Nous allons amener notre plaisir à tous à un point extrême, et c'est toi qui seras l'objet de ce plaisir. L'arène est ce qui va t'arriver de pire, mais aussi de meilleur. Tu vas perdre toute notion de temps, de dignité, de fierté et de pudeur. Mais tu vas découvrir ce qu'est le vrai plaisir pour un homme tel que toi. Tu vas servir et donner du plaisir à tous ceux qui le désireront. Vas y maintenant, lâche-toi...
Ne pouvant me retenir plus longtemps, et surtout parce qu'elle me l'a demandé, je jouis, sans un mot. Je n'ose pas faire le moindre bruit. C'est tout juste si ma respiration s'est accélérée. Je sens le sperme couler de ma main, de petites tâches se sont formées sur le sol.
- Lèche !
Lentement, je porte ma main à ma bouche et la nettoie de mon liquide chaud. Ensuite, je me penche, et lèche tout le sperme qui se trouve sur le sol. Pour faire tout cela, il faut que je me surpasse. Ici, je ne suis plus moi-même, je ne suis que celui que l'on me demande d'être. A partir de maintenant, mes limites ont disparues, elles sont devenues les limites de la Comtesse...
- C'est bien, lève toi m'ordonne t-elle.
Alors que je m'exécute, elle attrape ma laisse et la tend à Jean Paul. Toutes les personnes qui sont restée assister à mon petit spectacle improvisé retournent dans les escaliers pour se diriger au premier étage.
- Jean Paul, vous pouvez l'amener dans l'arène maintenant.
- Bien sûr Comtesse, avec plaisir.
Je suis Jean Paul, nous nous dirigeons vers une porte qui se trouve sous l'escalier. Jean Paul tends la main et ouvre la porte...
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