Les aventures de Julien épisode 5
Récit érotique écrit par Julien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les aventures de Julien épisode 5
La salle est assez grande, éclairée par de nombreuses bougies. Les murs sont en pierres apparentes. Une dizaine de tables rondes sont placées dans la salle. Chaque table comporte trois couverts. Autour de chaque table, deux chaises et un tabouret en bois. Plusieurs tables sont déjà occupées. Toutes par un couple habillé, plutôt classique hormis ce jeune couple tout de cuir vêtu, accompagné d'une troisième personne rarement plus couverte que moi, même souvent moins. Tous les yeux sont évidemment tournés vers moi, mon string et mon plug. C'est du moins ce dont j'ai l'impression. Je perçois même quelques commentaires qui, même s'ils sont plutôt flatteurs, ne me redonnent pas confiance en moi pour autant.
Nous nous asseyons, Carole et Alex sur leur chaise confortable, moi sur le tabouret. Voyant mon appréhension Carole tente de me rassurer en me disant que nous allons bien manger et passer une agréable soirée. Apparemment, ce n'est pas la première fois qu'ils viennent ici. Nous buvons le cocktail qui était déjà servi à notre arrivée. La discussion porte sur divers sujets. Pour l'instant, tout à l'air calme. Idem pour les autres tables. Au bout d'une bonne demi-heure, alors que je commence un peu à oublier la situation, si oublier une telle situation est possible, Alex me m'indique la cuisine et me demande d'aller chercher l'entrée. Je me lève donc et passe entre les différentes tables. Déjà d'autres personnes dévêtues font de même. Nous nous retrouvons à la cuisine où l'on nous donne les assiettes à aller servir. Je repars avec une assiette dans chaque main. Alors que je passe devant la table du couple aux combinaisons de cuir, le mari m'interpelle.
- Julien, viens voir ici un peu.
Il connaît donc mon nom. Je me dirige vers lui.
- Ma femme trouve que tu as un cul magnifique. Tourne-toi qu'elle le voit un peu mieux.
Je m'approche d'elle et me tourne. Elle me dit d'un ton extrêmement autoritaire de me rapprocher d'elle, pour qu'elle puisse "tâter un peu". Dès que je suis à portée de son bras, elle caresse sans ménagement mon cul, tout en faisant des commentaires salaces. Je fais tout mon possible pour ne pas renverser les assiettes. Le mari m'ordonne de me pencher en avant, ce que je fais difficilement. Je croise le regard de Carole, visiblement amusée. La femme sort mon plug, et, après avoir fait un nouveau commentaire sur la largeur plus que raisonnable de mon trou du cul, le remet à sa place.
- Tu sais Julien, un bon soumis ne doit pas faire attendre ses Maîtres. Va les servir.
Les mots sont lâchés. Ils sont mes maîtres, je leur suis soumis. Je me rends bien compte que je plonge de plus en plus vers un état où plus rien ne me sera impossible. Je serai capable de tout. Et c'est à Alex et Carole que je le devrai. Mais pour l'instant je dois obéir et je m'empresse d'aller les servir. Lorsque c'est fait, je repars chercher mon assiette. Le repas se poursuit ainsi, au rythme de mes allers-retours entre la cuisine et la table. Lorsque je me propose d'aller chercher le dessert, Carole me fait savoir que c'est inutile que je suis le dessert. C'est à ce moment là, alors que je n'ai pas encore eu le temps d'imaginer ce qui pourrait m'arriver, que Maeva arrive entre Alex et Carole et leur demande si le repas était à leur convenance. Devant leur réponse positive, elle me regarde et me dit de la suivre. J'interroge Carole du regard et elle me répond, toujours avec son magnifique sourire.
- Ne fait pas attendre Maeva, elle pourrait se mettre en colère.
- Oui, et il vaut mieux pour toi que ça n'arrive pas. Je peux avoir beaucoup d'imagination dans ces cas là...
Son sourire me fait froid dans le dos. Elle se tourne vers Carole et Alex :
- Mes chers amis, je vous emprunte votre soumis, je vais le préparer pour le dessert, ça ne sera pas long.
Je suis déjà debout, près de Maeva lorsqu'elle me fait signe de passer devant elle. Elle me dirige vers une porte en bois, que nous franchissons. Lorsqu'elle referme la porte, nous sommes seuls. Au fond de la pièce, il y a un buffet ou s'entasse nombre desserts. Des glaces, des gâteaux, des crèmes, des fruits... Au centre, trois tables rectangulaires en verre avec quatre chaises autour de chacune.
- Tourne toi et penche-toi, que je te retire ce que tu as dans le cul... C'est bien... Voilà. Bon, maintenant allonge-toi sur la table du milieu... non sur le ventre qu'on puisse admirer ton joli cul béant.
Et, comme pour donner plus de poids à ses propos, elle enfourne un doigt, puis deux dans mes entrailles. Après m'avoir branlé ainsi quelques secondes, Maeva pose le plug juste à côté de mon visage, comme pour me rappeler ce que je suis devenu ce soir. Elle se retourne pour sortir de la pièce, non sans m'avoir ordonné de ne pas bouger. Elle revient quelques instant plus tard, tirant la laisse de la femme que j'ai aperçue à l'entrée, elle porte toujours sa ceinture de chasteté. Maeva la fait s'allonger, sur le dos, sur la table se trouvant devant moi. Nouveau départ de la maîtresse des lieux qui revient cette fois ci avec une autre femme, totalement nue et rasée elle aussi et qui s'allonge sur la table derrière moi. Lorsque Maeva repart une dernière fois, c'est pour inviter les convives dans la salle des desserts. Les soumis qui ne sont pas sur les tables se dirigent vers le buffet. Je suppose qu'ils sont là pour servir. Les Maîtres entrent ensuite, discutant entre eux par petits groupes, comme dans toute soirée digne de ce nom.
C'est lorsque je vois un couple s'asseoir à la table devant moi, celle où se trouve la femme à la ceinture de chasteté, que je comprends ce qui va suivre. En effet, un des soumis apporte une part de gâteau qu'il pose délicatement sur le ventre de la femme à la ceinture de chasteté. Et le couple commence à manger, à l'aide d'une cuiller en argent qu'un autre soumis leur apporte. Alex vient s'asseoir à ma gauche, sur la chaise qui se trouve à hauteur de mon visage. En face lui, à ma droite donc, le mari habillé de cuir qui m'a interpellé lorsque j'amenai l'entrée du repas. A leurs côtés viennent se placer-leur épouses, qui sont donc placées au niveau de mes fesses dont le trou ne s'est toujours pas refermé. Carole commande (et c'est bien le mot) à un soumis de la crème anglaise, qu'il verse dans le creux de mes reins. Le liquide est froid. Alex et l'homme dont je ne connais pas le nom commandent chacun une part de flan, que l'on pose entre mes épaules. La femme en cuir, dont le nom m'est aussi inconnu, commande une boule de glace à la vanille avec de la crème chantilly et du chocolat chaud. Je tremble à l'énoncé de la commande. Carole m'intime de rester calme, sa crème pourrait couler sur la table et la tâcher, ce qui serait impardonnable. Et Impardonné !
Le serveur pose la boule de glace en haut de la raie de mon cul. Je frissonne, c'est froid, très froid, de plus en plus froid. Au bout de quelques secondes tout le bas de mon dos est endolori. Puis soudainement, je sens le chaud du chocolat qui coule autour de la glace. La femme demande à ce que l'on me mette de la chantilly dans le creux de mes fesses. Petit à petit, je sens le froid de la glace, qui commence à fondre, couler dans la raie de mes fesses. Les cuillers se battent sur mon dos. La femme prend un malin plaisir à faire passer la cuiller d'argent dans la raie de mes fesses, de bas en haut. Carole demande une seconde tournée de crème. Je serre mes jambes pour que les liquides ne coulent pas et restent accessibles, dans le creux formé à la base de mon cul. Je sens tout à coup un doigt parcourir mon cul, s'attardant entre les deux fesses. Puis Carole me tend sa main.
- Lèche !... Tu aimes ?
- Oui Madame.
- Tu en veux d'autre ?
- Si vous voulez Madame.
- D'accord... Chéri, passe moi le plug s'il te plaît... Merci.
Je sens le plug parcourir ma raie, de haut en bas puis de bas en haut. S'attarder sur mon trou, plus si petit que cela maintenant. Entrer de trois ou quatre centimètres, lubrifié par la chantilly. Ressortir. Tremper dans la chantilly pour revenir devant mon nez.
- Vas-y ! Régale-toi !
Alex me met le plug dans ma bouche, je le suce comme si c'était une queue. Je veux leur montrer que je ne suis plus moi-même, que je ferai tout ce qu'ils me diront de faire, que je n'ai plus de pudeur. Lorsque j'ai fini, Alex me laisse le plug dans la bouche, jusqu'à ce que tous aient pris leur dessert. Je sens encore des miettes de gâteau sur mes épaules, des restes de crèmes entre mes reins, et de la glace fondue ainsi que du chocolat et de la chantilly dans le bas de mes fesses, entrant un peu dans mon anus par le trou laissé par l'objet que j'ai dans la bouche. Alex retire le plug de ma bouche et le tend à la femme en cuir. Elle le dirige évidement vers mon cul, qu'elle commence à branler à l'aide de l'objet. En cercle d'abord, puis d'avant en arrière, pénétrant un peu plus à chaque fois, entraînant des restes de dessert. Lorsqu'il est entré à fond, elle le tourne à l'intérieur, y prenant visiblement du plaisir. Elle s'adresse à Carole :
- Carole chérie, c'est une grande découverte que tu as faite là. Ce petit soumis accepte bien des choses sans rechigner.
- Merci, mais il n'a encore rien vu. Ce n'est que la première soirée qu'il passe avec nous. Mais nous lui réservons quelques surprises dans l'avenir.
- Pour ça, je vous fais confiance.
Elles rient toutes les deux. Moi aussi je leur fais confiance, car pour une première soirée, je pense que j'ai eu une bonne dose de nouvelles choses. Mais cette soirée n'est pas encore terminée, j'en ai bien peur, même si la fatigue commence à se faire sentir. A ce moment là, une femme avec une chaîne reliant ses deux seins est amenée vers la table devant moi par un homme qui la tire par ses longs cheveux. Il lui met le visage sur le ventre de la femme allongée sur la table. La femme, dont la chaîne est fixée grâce à deux anneaux qui lui traversent le bout des seins, se voit forcée de lécher l'autre femme pour la nettoyer. Je sens moi-même une langue sur mon dos, et une autre sur mes fesses. Pendant ce temps, un homme est poussé devant mon visage et on me force à prendre sa queue dans la bouche. Tout se précipite. Je commence à bander. Je le suce du mieux que je peux, avec application, je me rends compte que j'aime ce qui m'arrive. On me retire le plug pour pouvoir mieux me nettoyer le cul à coup de langue. Cette langue qui pénètre mon intimité sans difficulté. Qui me pénètre puis qui ressort, plusieurs fois de suite. Puis qui repart à la découverte de ma raie du cul. L'homme ne tarde pas à jouir sur mon visage. On lui ordonne de me nettoyer comme les autres. Il passe donc sa langue sur mon front, sur mes joues, sur ma bouche. Il m'embrasse. C'est la première fois que j'embrasse un mec. De plus sa langue est pleine de son sperme. C'est certainement l'ambiance, mais j'aime ça. Jusqu'à ce soir, j'étais persuadé que jamais je ne ferai ça, embrasser un homme. Au bout de quelques secondes, Alex le tire par les cheveux.
- Qui t'a donné la permission de l'embrasser ? Tu n'es qu'une salope qui ne sait que se faire baiser. Tu mériterais que tous les mecs présents te prennent, t'enculent les uns après les autres. Tu ne sais faire que ça, la pute. Mais ça te ferait beaucoup trop plaisir.
A ce moment là, la femme en cuir lui assène une magistrale gifle, l'attrape par les cheveux et l'emmène. Carole se place devant moi. Elle me gifle aussi. Puis, se rendant compte qu'elle m'a frappé sur la joue non encore nettoyée elle me lance :
- Lèche ! Et tu apprendras qu'à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne. Personne tu entends. Sauf quand on te dit de rouler une pelle à quelqu'un. Tu comprends.
- Oui Madame.
- Bon, je pense que pour une première soirée, ça suffit. La prochaine fois nous resterons bien plus longtemps je te rassure. Allez lève-toi.
Elle me prend par le bras et me tire vers la sortie, je suis encore tout dégoulinant de crème, gâteau, glace, chocolat et salive. Et j'ai une érection qui ne passe pas inaperçu.
Nous nous asseyons, Carole et Alex sur leur chaise confortable, moi sur le tabouret. Voyant mon appréhension Carole tente de me rassurer en me disant que nous allons bien manger et passer une agréable soirée. Apparemment, ce n'est pas la première fois qu'ils viennent ici. Nous buvons le cocktail qui était déjà servi à notre arrivée. La discussion porte sur divers sujets. Pour l'instant, tout à l'air calme. Idem pour les autres tables. Au bout d'une bonne demi-heure, alors que je commence un peu à oublier la situation, si oublier une telle situation est possible, Alex me m'indique la cuisine et me demande d'aller chercher l'entrée. Je me lève donc et passe entre les différentes tables. Déjà d'autres personnes dévêtues font de même. Nous nous retrouvons à la cuisine où l'on nous donne les assiettes à aller servir. Je repars avec une assiette dans chaque main. Alors que je passe devant la table du couple aux combinaisons de cuir, le mari m'interpelle.
- Julien, viens voir ici un peu.
Il connaît donc mon nom. Je me dirige vers lui.
- Ma femme trouve que tu as un cul magnifique. Tourne-toi qu'elle le voit un peu mieux.
Je m'approche d'elle et me tourne. Elle me dit d'un ton extrêmement autoritaire de me rapprocher d'elle, pour qu'elle puisse "tâter un peu". Dès que je suis à portée de son bras, elle caresse sans ménagement mon cul, tout en faisant des commentaires salaces. Je fais tout mon possible pour ne pas renverser les assiettes. Le mari m'ordonne de me pencher en avant, ce que je fais difficilement. Je croise le regard de Carole, visiblement amusée. La femme sort mon plug, et, après avoir fait un nouveau commentaire sur la largeur plus que raisonnable de mon trou du cul, le remet à sa place.
- Tu sais Julien, un bon soumis ne doit pas faire attendre ses Maîtres. Va les servir.
Les mots sont lâchés. Ils sont mes maîtres, je leur suis soumis. Je me rends bien compte que je plonge de plus en plus vers un état où plus rien ne me sera impossible. Je serai capable de tout. Et c'est à Alex et Carole que je le devrai. Mais pour l'instant je dois obéir et je m'empresse d'aller les servir. Lorsque c'est fait, je repars chercher mon assiette. Le repas se poursuit ainsi, au rythme de mes allers-retours entre la cuisine et la table. Lorsque je me propose d'aller chercher le dessert, Carole me fait savoir que c'est inutile que je suis le dessert. C'est à ce moment là, alors que je n'ai pas encore eu le temps d'imaginer ce qui pourrait m'arriver, que Maeva arrive entre Alex et Carole et leur demande si le repas était à leur convenance. Devant leur réponse positive, elle me regarde et me dit de la suivre. J'interroge Carole du regard et elle me répond, toujours avec son magnifique sourire.
- Ne fait pas attendre Maeva, elle pourrait se mettre en colère.
- Oui, et il vaut mieux pour toi que ça n'arrive pas. Je peux avoir beaucoup d'imagination dans ces cas là...
Son sourire me fait froid dans le dos. Elle se tourne vers Carole et Alex :
- Mes chers amis, je vous emprunte votre soumis, je vais le préparer pour le dessert, ça ne sera pas long.
Je suis déjà debout, près de Maeva lorsqu'elle me fait signe de passer devant elle. Elle me dirige vers une porte en bois, que nous franchissons. Lorsqu'elle referme la porte, nous sommes seuls. Au fond de la pièce, il y a un buffet ou s'entasse nombre desserts. Des glaces, des gâteaux, des crèmes, des fruits... Au centre, trois tables rectangulaires en verre avec quatre chaises autour de chacune.
- Tourne toi et penche-toi, que je te retire ce que tu as dans le cul... C'est bien... Voilà. Bon, maintenant allonge-toi sur la table du milieu... non sur le ventre qu'on puisse admirer ton joli cul béant.
Et, comme pour donner plus de poids à ses propos, elle enfourne un doigt, puis deux dans mes entrailles. Après m'avoir branlé ainsi quelques secondes, Maeva pose le plug juste à côté de mon visage, comme pour me rappeler ce que je suis devenu ce soir. Elle se retourne pour sortir de la pièce, non sans m'avoir ordonné de ne pas bouger. Elle revient quelques instant plus tard, tirant la laisse de la femme que j'ai aperçue à l'entrée, elle porte toujours sa ceinture de chasteté. Maeva la fait s'allonger, sur le dos, sur la table se trouvant devant moi. Nouveau départ de la maîtresse des lieux qui revient cette fois ci avec une autre femme, totalement nue et rasée elle aussi et qui s'allonge sur la table derrière moi. Lorsque Maeva repart une dernière fois, c'est pour inviter les convives dans la salle des desserts. Les soumis qui ne sont pas sur les tables se dirigent vers le buffet. Je suppose qu'ils sont là pour servir. Les Maîtres entrent ensuite, discutant entre eux par petits groupes, comme dans toute soirée digne de ce nom.
C'est lorsque je vois un couple s'asseoir à la table devant moi, celle où se trouve la femme à la ceinture de chasteté, que je comprends ce qui va suivre. En effet, un des soumis apporte une part de gâteau qu'il pose délicatement sur le ventre de la femme à la ceinture de chasteté. Et le couple commence à manger, à l'aide d'une cuiller en argent qu'un autre soumis leur apporte. Alex vient s'asseoir à ma gauche, sur la chaise qui se trouve à hauteur de mon visage. En face lui, à ma droite donc, le mari habillé de cuir qui m'a interpellé lorsque j'amenai l'entrée du repas. A leurs côtés viennent se placer-leur épouses, qui sont donc placées au niveau de mes fesses dont le trou ne s'est toujours pas refermé. Carole commande (et c'est bien le mot) à un soumis de la crème anglaise, qu'il verse dans le creux de mes reins. Le liquide est froid. Alex et l'homme dont je ne connais pas le nom commandent chacun une part de flan, que l'on pose entre mes épaules. La femme en cuir, dont le nom m'est aussi inconnu, commande une boule de glace à la vanille avec de la crème chantilly et du chocolat chaud. Je tremble à l'énoncé de la commande. Carole m'intime de rester calme, sa crème pourrait couler sur la table et la tâcher, ce qui serait impardonnable. Et Impardonné !
Le serveur pose la boule de glace en haut de la raie de mon cul. Je frissonne, c'est froid, très froid, de plus en plus froid. Au bout de quelques secondes tout le bas de mon dos est endolori. Puis soudainement, je sens le chaud du chocolat qui coule autour de la glace. La femme demande à ce que l'on me mette de la chantilly dans le creux de mes fesses. Petit à petit, je sens le froid de la glace, qui commence à fondre, couler dans la raie de mes fesses. Les cuillers se battent sur mon dos. La femme prend un malin plaisir à faire passer la cuiller d'argent dans la raie de mes fesses, de bas en haut. Carole demande une seconde tournée de crème. Je serre mes jambes pour que les liquides ne coulent pas et restent accessibles, dans le creux formé à la base de mon cul. Je sens tout à coup un doigt parcourir mon cul, s'attardant entre les deux fesses. Puis Carole me tend sa main.
- Lèche !... Tu aimes ?
- Oui Madame.
- Tu en veux d'autre ?
- Si vous voulez Madame.
- D'accord... Chéri, passe moi le plug s'il te plaît... Merci.
Je sens le plug parcourir ma raie, de haut en bas puis de bas en haut. S'attarder sur mon trou, plus si petit que cela maintenant. Entrer de trois ou quatre centimètres, lubrifié par la chantilly. Ressortir. Tremper dans la chantilly pour revenir devant mon nez.
- Vas-y ! Régale-toi !
Alex me met le plug dans ma bouche, je le suce comme si c'était une queue. Je veux leur montrer que je ne suis plus moi-même, que je ferai tout ce qu'ils me diront de faire, que je n'ai plus de pudeur. Lorsque j'ai fini, Alex me laisse le plug dans la bouche, jusqu'à ce que tous aient pris leur dessert. Je sens encore des miettes de gâteau sur mes épaules, des restes de crèmes entre mes reins, et de la glace fondue ainsi que du chocolat et de la chantilly dans le bas de mes fesses, entrant un peu dans mon anus par le trou laissé par l'objet que j'ai dans la bouche. Alex retire le plug de ma bouche et le tend à la femme en cuir. Elle le dirige évidement vers mon cul, qu'elle commence à branler à l'aide de l'objet. En cercle d'abord, puis d'avant en arrière, pénétrant un peu plus à chaque fois, entraînant des restes de dessert. Lorsqu'il est entré à fond, elle le tourne à l'intérieur, y prenant visiblement du plaisir. Elle s'adresse à Carole :
- Carole chérie, c'est une grande découverte que tu as faite là. Ce petit soumis accepte bien des choses sans rechigner.
- Merci, mais il n'a encore rien vu. Ce n'est que la première soirée qu'il passe avec nous. Mais nous lui réservons quelques surprises dans l'avenir.
- Pour ça, je vous fais confiance.
Elles rient toutes les deux. Moi aussi je leur fais confiance, car pour une première soirée, je pense que j'ai eu une bonne dose de nouvelles choses. Mais cette soirée n'est pas encore terminée, j'en ai bien peur, même si la fatigue commence à se faire sentir. A ce moment là, une femme avec une chaîne reliant ses deux seins est amenée vers la table devant moi par un homme qui la tire par ses longs cheveux. Il lui met le visage sur le ventre de la femme allongée sur la table. La femme, dont la chaîne est fixée grâce à deux anneaux qui lui traversent le bout des seins, se voit forcée de lécher l'autre femme pour la nettoyer. Je sens moi-même une langue sur mon dos, et une autre sur mes fesses. Pendant ce temps, un homme est poussé devant mon visage et on me force à prendre sa queue dans la bouche. Tout se précipite. Je commence à bander. Je le suce du mieux que je peux, avec application, je me rends compte que j'aime ce qui m'arrive. On me retire le plug pour pouvoir mieux me nettoyer le cul à coup de langue. Cette langue qui pénètre mon intimité sans difficulté. Qui me pénètre puis qui ressort, plusieurs fois de suite. Puis qui repart à la découverte de ma raie du cul. L'homme ne tarde pas à jouir sur mon visage. On lui ordonne de me nettoyer comme les autres. Il passe donc sa langue sur mon front, sur mes joues, sur ma bouche. Il m'embrasse. C'est la première fois que j'embrasse un mec. De plus sa langue est pleine de son sperme. C'est certainement l'ambiance, mais j'aime ça. Jusqu'à ce soir, j'étais persuadé que jamais je ne ferai ça, embrasser un homme. Au bout de quelques secondes, Alex le tire par les cheveux.
- Qui t'a donné la permission de l'embrasser ? Tu n'es qu'une salope qui ne sait que se faire baiser. Tu mériterais que tous les mecs présents te prennent, t'enculent les uns après les autres. Tu ne sais faire que ça, la pute. Mais ça te ferait beaucoup trop plaisir.
A ce moment là, la femme en cuir lui assène une magistrale gifle, l'attrape par les cheveux et l'emmène. Carole se place devant moi. Elle me gifle aussi. Puis, se rendant compte qu'elle m'a frappé sur la joue non encore nettoyée elle me lance :
- Lèche ! Et tu apprendras qu'à partir de maintenant, tu ne roules de pelles à personne. Personne tu entends. Sauf quand on te dit de rouler une pelle à quelqu'un. Tu comprends.
- Oui Madame.
- Bon, je pense que pour une première soirée, ça suffit. La prochaine fois nous resterons bien plus longtemps je te rassure. Allez lève-toi.
Elle me prend par le bras et me tire vers la sortie, je suis encore tout dégoulinant de crème, gâteau, glace, chocolat et salive. Et j'ai une érection qui ne passe pas inaperçu.
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