Les aventures de Julien épisode 4
Récit érotique écrit par Julien [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2004 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les aventures de Julien épisode 4
Une dernière photo et me voilà dans la salle de bain. Carole et Alex, qui se sont rhabillés, sont derrière moi. Ils m'observent. Je suis gêné. Visiblement, ils ne partiront pas. Je me résous donc et baisse mon string, le sexe toujours en érection. Mais Carole stoppe mon geste.
- Je crois qu'il a aussi besoin d'être nettoyé, il est plein de champagne et de foutre. Gardes-le ! Et je suis sûre que tu en profiterais pour te caresser...
Joignant le geste à la parole, elle prend mon sexe dans une main et y dépose un baiser délicat. Je n'ose pas les regarder mais j'imagine très bien leur regard fixé sur moi. Lorsque j'entre dans la douche et que j'en ferme la porte, Alex me demande :
- Pourquoi as-tu fermé ?
- Je ne sais pas... Monsieur.
J'ai failli oublier le "Monsieur". J'ouvre la porte. Ils m'observent. Je laisse couler l'eau sur mon corps quelques secondes puis commence à me nettoyer. Mon string est maintenant carrément trempé, on distingue encore plus mon sexe à l'intérieur. Je savonne le string tout comme le reste de mon corps puis je me rince. J'éteins l'eau. Ils sont tous les deux devant la douche. Je les regarde, j'ose, droit dans les yeux. Carole, toujours son magnifique sourire sur les lèvres, s'écarte et me tend une serviette. Alex sort de la salle de bains et demande :
- Chérie, tu prendras bien une coupe du champagne que nous a amené Julien ?
- Bien sûr, mais laisse donc, il va nous servir. Je pense que c'est un de ses nombreux talents et qu'il fera ça très bien. Allez Julien, dépêches-toi.
Je suis Carole jusqu'au salon, toujours uniquement vêtu de mon string mouillé. De toute façon, j'ai la conviction que se sera mon seul vêtement durant mon séjour ici. Carole s'installe dans un fauteuil à coté d'Alex. La bouteille de champagne se trouve sur la table basse ainsi que trois flûtes. Je nous sers, Alex m'indique une chaise en face d'eux. Et nous discutons comme si de rien n'était. Enfin, pas tout à fait, ce sont surtout eux qui posent des questions, sur mon travail, mes amis,... Moi, gardant sans cesse à l'esprit que ce string en montre plus qu'il n'en cache, je n'ose pas dire grand chose. Nous restons là peut être une heure, avec parfois de longs silences qui me mettent mal à l'aise, me font rougir un peu plus, et qui, j'ai l'impression, font le bonheur de mes deux hôtes. La bouteille est terminée depuis un moment déjà lorsque Carole dit :
- Et bien, je crois que la prochaine bouteille de champagne, nous la boirons au restaurant.
Et elle se lève, suivi d'Alex qui me fait signe d'en faire autant. Nous sortons, ce n'était pas prévu, mais au diable l'avarice, c'est pour l'imprévu que je suis là. Leur voiture se trouve dans le garage, et pour se rendre au garage, il faut traverser le jardin. Il ne fait pas encore totalement nuit et quelques lumières sont allumées dans les maisons du voisinage. Je n'ose pas demander de quoi me couvrir, je sais que de toute façon cela me sera refusé. Je les suis donc dans le jardin, persuadé que tous les yeux du quartier sont fixés sur moi. Alex n'a pas oublié son appareil photo. Il se met au volant, Carole à coté de lui. Alors que je me dirige vers la porte arrière, elle me dit d'aller ouvrir le portail. Je suis terrifié. Mais je m'exécute. Après avoir ouvert le portail, j'attends que la voiture soit sortie. J'ai l'impression qu'Alex fait exprès de rouler lentement. Je croise le regard d'une femme qui est à sa fenêtre, je suis rouge de honte, elle arbore un grand sourire et me fait un petit signe de la main. Je ferme le portail et me rue dans la voiture. Alex et Carole rient de bon cœur, je ne sais pas pourquoi, mais m'en doute un peu.
- Tu serais plus à l'aise sans ton string, donne-le-moi me dit Carole en me regardant à travers le miroir de courtoisie.
Je pose mon string et suis maintenant nu, en plein Paris, un vendredi soir. Nous croisons de nombreuses voitures et je sens souvent des regards et des doigts pointés vers moi. Je me tasse sur mon siège, mais cela ne sert strictement à rien. Alex, tout en conduisant lance souvent des regards dans le rétroviseur.
- C'est vrai qu'il est mignon Carole.
- Tout à fait d'accord avec toi.
- Quand il rougit comme ça... et regarde moi cette belle queue...
- Oui, mais le pauvre est moins à l'aise que tout à l'heure, il bandait tellement fort qu'il à faillit faire craquer son string.
Toujours le mot pour rire. C'est vrai que je ne suis pas à l'aise du tout. Surtout lorsque nous nous arrêtons aux feux rouges. Tout à coup Carole se tourne vers moi.
- Branles toi ! Je te veux dur comme tu l'étais tout à l'heure. Mais surtout ne jouis pas ! Nous ne sommes pas arrivés et tu n'as de toute façon pas ma permission.
- Excellente idée !
Alex à l'air d'accord avec sa femme et profite d'un nouveau feu rouge pour se tourner vers moi. Je prends mon sexe dans la main droite et commence un lent mouvement de va et vient. J'ai honte de faire ça devant d'autres personnes. Mais ils ont l'air d'apprécier. Et moi aussi, mon sexe ne tarde pas à se durcir sous mes lentes caresses. Mais cela n'a pas l'air de convenir à Carole.
- Plus vite ! Je suis sûre que quand tu es seul dans tes toilettes, tu te branles mieux que ça...
J'obéis alors que nous sortons de Paris et que nous prenons une petite route. Je me branle carrément, mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps ce rythme sans jouir.
- C'est bien mieux comme ça. Regarde-moi !
Je plonge mon regard dans les yeux verts et profonds de Carole. Seul le plafonnier éclaire son visage. Je sens que je vais jouir, et Carole le sait aussi.
- Est-ce que je peux m'arrêter... Madame... Je vais jouir...
- Non, ralenti si tu veux, regarde-moi... Voilà... Tournes toi maintenant.
Je me tourne, pose la tête sur le dossier. Je suis à genoux sur le siège en cuir, montrant ainsi mon cul à Carole, toujours tournée vers moi.
- Lèves les fesses... Continue de te branler... Mieux que ça... Mais sans jouir...
Je vois les phares des voitures se trouvant derrière nous. Tout à coup, je sens une claque sur mes fesses, puis une autre. Je me branle toujours, m'arrêtant à chaque fois que je suis au bord de l'explosion. J'ai envie de jouir plus que jamais. Mais ce n'est pas maintenant que je dois me laisser aller. Carole humecte son index et commence à agacer mon sphincter. Elle me pénètre avec son doigt et effectue des cercles de plus en plus larges. La sensation est... sensationnelle. Je suis obligé d'arrêter une fois de plus ma branlette. Alors que je reprends, elle me tend un objet et m'ordonne de le lécher. C'est un autre godemiché, mais plus court et plus large que le premier que j'ai eu dans le cul. Sa base se rétrécie et il se termine par une partie plus large. Me doutant de sa destination, je m'empresse de bien l'humecter pour le lubrifier un maximum.
- C'est bien, rend moi le plug maintenant... continue à te branler...
Je sens la pointe de l'objet frapper à la porte de mon anus, qui ne tarde pas à s'ouvrir. Il entre, lentement, il me déchire les chairs. Ca fait mal, tout en me procurant encore plus de plaisir. Carole force pour le faire entrer. Lorsqu'il est en place, elle se retourne et jette mon string sur la banquette à côté de moi.
- Arrête-toi maintenant. Assied toi et remet ton string, nous arrivons.
Je me tourne et lorsque je m'assieds, le plug finit d'entrer plus profondément en moi. Je remets mon string qui ne cache évidemment pas l'objet puisque les deux ficelles passent chacune sous une fesse. La sensation est étrange. Une fois de plus, je me sens nu, je ne suis plus qu'un objet sexuel, tout comme ce plug qui me pénètre et qui s'offre à la vue de tous. Je commence à m'habituer à lui petit à petit lorsque la voiture tourne et prends un chemin de terre. Au bout de quelques minutes, alors que Carole et Alex discutent comme si je n'étais pas là, nous arrivons devant ce que l'on pourrait appeler une ferme. Plusieurs voitures sont à l'extérieur et des gens entrent par la porte d'où sors une lumière jaune. Je me rends compte que je vais certainement devoir entrer là dedans moi aussi et la peur monte en moi alors que mon sexe lui, descend rapidement. Le sourire aux lèvres, Alex se tourne vers moi.
- Tu vas voir, on mange très bien ici. Allez, passe devant.
- Mais...
- Pas de discussions ! Tu as fait un choix. Ce choix était de nous faire confiance. Nous ne trahirons pas cette confiance, mais il faut que toi aussi tu tiennes tes engagements, alors sors de la voiture.
Après de longues secondes de réflexion - Est-ce un endroit ou des gens dans mon état sont accepté ? Que va-t-il m'arriver ? ... - Je me rends compte que certaines personnes sont vêtues de latex, une femme est tenue en laisse avec pour seule tenue une ceinture de chasteté. Mais la plupart des gens sont habillés normalement. Lentement, j'ouvre la porte, le sourire de Carole me réconforte. Carole sort après moi. Je suis pieds-nus et nous sommes sur des graviers. Cela ajouté à l'objet fiché dans mon cul me donne une démarche étrange. Alex nous rejoint. Il passe devant nous et se dirige vers l'entrée. Sur un geste de Carole, je le suis, elle termine la marche. Je sens de nombreux regards sur moi. Alors qu'Alex échange une embrassade avec une magnifique rousse qui se tient à l'entrée, je m'arrête. Alex et la rousse et tournent vers moi.
- Maeva, je te présente Julien... Tu connais bien sûr déjà Carole.
- Bonsoir et bienvenu Julien... Heureuse de te revoir Carole... Entrez, je vous en prie.
- Bonsoir Madame.
- Ca me fait plaisir d'être là Maeva.
- Julien, puisque c'est la première fois que tu viens ici, je vais te donner les règles de la maison. Elles sont très simples et au nombre de deux. La première est que tu dois servir le repas au couple qui t'accompagne. Tu mangeras à leur table, mais tu feras le service. La seconde est que tu dois obéir, sans discussion, à toute personne plus vêtue que toi. Mais tu as de la chance, tu n'es pas complètement nu. Et je vois en plus que même ton postérieur est légèrement caché. Tu peux donc espérer trouver certaines personnes moins habillées que toi.
Tous les trois se mettent à rire. Le regard bleu pénétrant de Maeva me met plus mal à l'aise que je ne le suis déjà. Mais je commence à m'habituer. Elle est vêtue d'une longue robe noire, en cuir, avec de longs gants, noir eux aussi. La blancheur de sa peau ressort encore plus ainsi.
Nous entrons.
- Je crois qu'il a aussi besoin d'être nettoyé, il est plein de champagne et de foutre. Gardes-le ! Et je suis sûre que tu en profiterais pour te caresser...
Joignant le geste à la parole, elle prend mon sexe dans une main et y dépose un baiser délicat. Je n'ose pas les regarder mais j'imagine très bien leur regard fixé sur moi. Lorsque j'entre dans la douche et que j'en ferme la porte, Alex me demande :
- Pourquoi as-tu fermé ?
- Je ne sais pas... Monsieur.
J'ai failli oublier le "Monsieur". J'ouvre la porte. Ils m'observent. Je laisse couler l'eau sur mon corps quelques secondes puis commence à me nettoyer. Mon string est maintenant carrément trempé, on distingue encore plus mon sexe à l'intérieur. Je savonne le string tout comme le reste de mon corps puis je me rince. J'éteins l'eau. Ils sont tous les deux devant la douche. Je les regarde, j'ose, droit dans les yeux. Carole, toujours son magnifique sourire sur les lèvres, s'écarte et me tend une serviette. Alex sort de la salle de bains et demande :
- Chérie, tu prendras bien une coupe du champagne que nous a amené Julien ?
- Bien sûr, mais laisse donc, il va nous servir. Je pense que c'est un de ses nombreux talents et qu'il fera ça très bien. Allez Julien, dépêches-toi.
Je suis Carole jusqu'au salon, toujours uniquement vêtu de mon string mouillé. De toute façon, j'ai la conviction que se sera mon seul vêtement durant mon séjour ici. Carole s'installe dans un fauteuil à coté d'Alex. La bouteille de champagne se trouve sur la table basse ainsi que trois flûtes. Je nous sers, Alex m'indique une chaise en face d'eux. Et nous discutons comme si de rien n'était. Enfin, pas tout à fait, ce sont surtout eux qui posent des questions, sur mon travail, mes amis,... Moi, gardant sans cesse à l'esprit que ce string en montre plus qu'il n'en cache, je n'ose pas dire grand chose. Nous restons là peut être une heure, avec parfois de longs silences qui me mettent mal à l'aise, me font rougir un peu plus, et qui, j'ai l'impression, font le bonheur de mes deux hôtes. La bouteille est terminée depuis un moment déjà lorsque Carole dit :
- Et bien, je crois que la prochaine bouteille de champagne, nous la boirons au restaurant.
Et elle se lève, suivi d'Alex qui me fait signe d'en faire autant. Nous sortons, ce n'était pas prévu, mais au diable l'avarice, c'est pour l'imprévu que je suis là. Leur voiture se trouve dans le garage, et pour se rendre au garage, il faut traverser le jardin. Il ne fait pas encore totalement nuit et quelques lumières sont allumées dans les maisons du voisinage. Je n'ose pas demander de quoi me couvrir, je sais que de toute façon cela me sera refusé. Je les suis donc dans le jardin, persuadé que tous les yeux du quartier sont fixés sur moi. Alex n'a pas oublié son appareil photo. Il se met au volant, Carole à coté de lui. Alors que je me dirige vers la porte arrière, elle me dit d'aller ouvrir le portail. Je suis terrifié. Mais je m'exécute. Après avoir ouvert le portail, j'attends que la voiture soit sortie. J'ai l'impression qu'Alex fait exprès de rouler lentement. Je croise le regard d'une femme qui est à sa fenêtre, je suis rouge de honte, elle arbore un grand sourire et me fait un petit signe de la main. Je ferme le portail et me rue dans la voiture. Alex et Carole rient de bon cœur, je ne sais pas pourquoi, mais m'en doute un peu.
- Tu serais plus à l'aise sans ton string, donne-le-moi me dit Carole en me regardant à travers le miroir de courtoisie.
Je pose mon string et suis maintenant nu, en plein Paris, un vendredi soir. Nous croisons de nombreuses voitures et je sens souvent des regards et des doigts pointés vers moi. Je me tasse sur mon siège, mais cela ne sert strictement à rien. Alex, tout en conduisant lance souvent des regards dans le rétroviseur.
- C'est vrai qu'il est mignon Carole.
- Tout à fait d'accord avec toi.
- Quand il rougit comme ça... et regarde moi cette belle queue...
- Oui, mais le pauvre est moins à l'aise que tout à l'heure, il bandait tellement fort qu'il à faillit faire craquer son string.
Toujours le mot pour rire. C'est vrai que je ne suis pas à l'aise du tout. Surtout lorsque nous nous arrêtons aux feux rouges. Tout à coup Carole se tourne vers moi.
- Branles toi ! Je te veux dur comme tu l'étais tout à l'heure. Mais surtout ne jouis pas ! Nous ne sommes pas arrivés et tu n'as de toute façon pas ma permission.
- Excellente idée !
Alex à l'air d'accord avec sa femme et profite d'un nouveau feu rouge pour se tourner vers moi. Je prends mon sexe dans la main droite et commence un lent mouvement de va et vient. J'ai honte de faire ça devant d'autres personnes. Mais ils ont l'air d'apprécier. Et moi aussi, mon sexe ne tarde pas à se durcir sous mes lentes caresses. Mais cela n'a pas l'air de convenir à Carole.
- Plus vite ! Je suis sûre que quand tu es seul dans tes toilettes, tu te branles mieux que ça...
J'obéis alors que nous sortons de Paris et que nous prenons une petite route. Je me branle carrément, mais je sais que je ne pourrais pas tenir longtemps ce rythme sans jouir.
- C'est bien mieux comme ça. Regarde-moi !
Je plonge mon regard dans les yeux verts et profonds de Carole. Seul le plafonnier éclaire son visage. Je sens que je vais jouir, et Carole le sait aussi.
- Est-ce que je peux m'arrêter... Madame... Je vais jouir...
- Non, ralenti si tu veux, regarde-moi... Voilà... Tournes toi maintenant.
Je me tourne, pose la tête sur le dossier. Je suis à genoux sur le siège en cuir, montrant ainsi mon cul à Carole, toujours tournée vers moi.
- Lèves les fesses... Continue de te branler... Mieux que ça... Mais sans jouir...
Je vois les phares des voitures se trouvant derrière nous. Tout à coup, je sens une claque sur mes fesses, puis une autre. Je me branle toujours, m'arrêtant à chaque fois que je suis au bord de l'explosion. J'ai envie de jouir plus que jamais. Mais ce n'est pas maintenant que je dois me laisser aller. Carole humecte son index et commence à agacer mon sphincter. Elle me pénètre avec son doigt et effectue des cercles de plus en plus larges. La sensation est... sensationnelle. Je suis obligé d'arrêter une fois de plus ma branlette. Alors que je reprends, elle me tend un objet et m'ordonne de le lécher. C'est un autre godemiché, mais plus court et plus large que le premier que j'ai eu dans le cul. Sa base se rétrécie et il se termine par une partie plus large. Me doutant de sa destination, je m'empresse de bien l'humecter pour le lubrifier un maximum.
- C'est bien, rend moi le plug maintenant... continue à te branler...
Je sens la pointe de l'objet frapper à la porte de mon anus, qui ne tarde pas à s'ouvrir. Il entre, lentement, il me déchire les chairs. Ca fait mal, tout en me procurant encore plus de plaisir. Carole force pour le faire entrer. Lorsqu'il est en place, elle se retourne et jette mon string sur la banquette à côté de moi.
- Arrête-toi maintenant. Assied toi et remet ton string, nous arrivons.
Je me tourne et lorsque je m'assieds, le plug finit d'entrer plus profondément en moi. Je remets mon string qui ne cache évidemment pas l'objet puisque les deux ficelles passent chacune sous une fesse. La sensation est étrange. Une fois de plus, je me sens nu, je ne suis plus qu'un objet sexuel, tout comme ce plug qui me pénètre et qui s'offre à la vue de tous. Je commence à m'habituer à lui petit à petit lorsque la voiture tourne et prends un chemin de terre. Au bout de quelques minutes, alors que Carole et Alex discutent comme si je n'étais pas là, nous arrivons devant ce que l'on pourrait appeler une ferme. Plusieurs voitures sont à l'extérieur et des gens entrent par la porte d'où sors une lumière jaune. Je me rends compte que je vais certainement devoir entrer là dedans moi aussi et la peur monte en moi alors que mon sexe lui, descend rapidement. Le sourire aux lèvres, Alex se tourne vers moi.
- Tu vas voir, on mange très bien ici. Allez, passe devant.
- Mais...
- Pas de discussions ! Tu as fait un choix. Ce choix était de nous faire confiance. Nous ne trahirons pas cette confiance, mais il faut que toi aussi tu tiennes tes engagements, alors sors de la voiture.
Après de longues secondes de réflexion - Est-ce un endroit ou des gens dans mon état sont accepté ? Que va-t-il m'arriver ? ... - Je me rends compte que certaines personnes sont vêtues de latex, une femme est tenue en laisse avec pour seule tenue une ceinture de chasteté. Mais la plupart des gens sont habillés normalement. Lentement, j'ouvre la porte, le sourire de Carole me réconforte. Carole sort après moi. Je suis pieds-nus et nous sommes sur des graviers. Cela ajouté à l'objet fiché dans mon cul me donne une démarche étrange. Alex nous rejoint. Il passe devant nous et se dirige vers l'entrée. Sur un geste de Carole, je le suis, elle termine la marche. Je sens de nombreux regards sur moi. Alors qu'Alex échange une embrassade avec une magnifique rousse qui se tient à l'entrée, je m'arrête. Alex et la rousse et tournent vers moi.
- Maeva, je te présente Julien... Tu connais bien sûr déjà Carole.
- Bonsoir et bienvenu Julien... Heureuse de te revoir Carole... Entrez, je vous en prie.
- Bonsoir Madame.
- Ca me fait plaisir d'être là Maeva.
- Julien, puisque c'est la première fois que tu viens ici, je vais te donner les règles de la maison. Elles sont très simples et au nombre de deux. La première est que tu dois servir le repas au couple qui t'accompagne. Tu mangeras à leur table, mais tu feras le service. La seconde est que tu dois obéir, sans discussion, à toute personne plus vêtue que toi. Mais tu as de la chance, tu n'es pas complètement nu. Et je vois en plus que même ton postérieur est légèrement caché. Tu peux donc espérer trouver certaines personnes moins habillées que toi.
Tous les trois se mettent à rire. Le regard bleu pénétrant de Maeva me met plus mal à l'aise que je ne le suis déjà. Mais je commence à m'habituer. Elle est vêtue d'une longue robe noire, en cuir, avec de longs gants, noir eux aussi. La blancheur de sa peau ressort encore plus ainsi.
Nous entrons.
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