Les aventures de Sandrine 1
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les aventures de Sandrine 1
Bonjour,
Avant de narrer mes aventures je vais me permettre de me présenter. Je m’appelle Sandrine, j’ai 44 ans, je mesure 1m66, je pèse 64 kg, j’ai les yeux bleus et les cheveux châtains mi-longs. Coté personnel, je suis mariée et j’ai deux enfants. Coté professionnelle, je suis cadre supérieure dans la fonction publique. Ceci étant posé, je vais pouvoir commencer à vous raconter mon entré dans le libertinage.
Mon mari ayant un appétit sexuel en berne, peut-être a-t-il une maitresse mais je m’en fous, et après m’être faite refoulée alors que j’avais particulièrement envie d’une bonne baise, j’ai décidé d’aller voir ailleurs. Après quelques recherches sur le net j’ai trouvé un site de rencontre qui semblait me correspondre et je me suis inscrite. Dans l’heure qui a suivi j’ai bien failli clôturer mon compte, je n’ai reçu que des messages mal écrits, irrespectueux et obscènes. Mais un message a retenu mon attention, il était écrit sans fautes, premier bon point, il ne parlait de son sexe, deuxième bon point, il me parlait de mon profil, troisième bon point et enfin il m’invitait à dialoguer avec lui, quatrième bon point.
Ni une ni deux je lui répondais. Comme moi il était marié, il ne cherchait pas à remettre son couple en cause mais cherchait une bulle dans laquelle il aimerait m’invitée. Nous avons conversé quelques jours, échangé des photos et, comme ça matchait bien nous avons convenu d’une première rencontre autour d’un café.
Un peu émoustillée comme une adolescente pour son premier flirt, je voulais faire bonne impression mais sans tomber dans le piège de la femme qui veut séduire à tout prix. J’ai donc opté pour un tailleur jupe bleu marine, un chemisier blanc, des collants noirs et des escarpins à petits talons. Un maquillage léger mais appliqué, bracelet et collier de perles et direction le Celest Bar.
À mon arrivée il était déjà là et il se leva lorsqu’il m’aperçut, il était tel que sur les photos, un peu plus d’1m80, bien bâti avec un petit début de bedon, les yeux noisettes et les cheveux poivre et sel courts mais pas trop el, il m’avait dit avoir 45 ans. Il portait un costume gris anthracite avec une chemise blanche, sans cravate. En m’approchant j’ai vu qu’il appréciait ce qu’il voyait et nous nous sommes chastement serré la main. Nous avons commandé nos boissons, un thé pour moi et un café pour lui et avons commencé naturellement à discuter de nous, de tout et de rien. Si au début je le sentais réservé et un peu mal à l’aise, il s’est détendu et fil du temps. Nous avons gentiment flirté avec nos regards et nos sourires. Il me plaisait bien le bougre mais je ne dis rien, je le laissais venir.
Il n’est pas venu et nous nous sommes séparés sur un petit bisou tout aussi chaste que notre poignée de mains. Un peu déçue j’ai songé à en rester là et approfondir la dizaine de conversations que j’avais entamées sur le site. Des hommes pour l’essentiel mais aussi un couple et deux femmes dont une qui faisait tout pour me convaincre d’avoir ma première expérience entre filles avec elle. Mais finalement je décidais de lui donner une autre chance, son côté un peu nounours et perdu me plaisait bien.
Je commençais alors à lui envoyer des messages orientés. J’appris qu’il n’avait jamais connu que sa femme et que celle-ci n’étant pas très portée sur la chose, il n’avait que peu d’expérience. Est-ce que c’était ce que je voulais ? Non, je voulais un beau mâle qui me fasse grimper aux rideaux. Mais, d’un autre côté, un puceau ça peut avoir ses avantages, on peut les formater pour faire ce que l’on veut et non ce qu’ils veulent. Ni une ni deux, je programmais un rendez-vous pour le lendemain.
Le rendez-vous était fixé en début d’après-midi au bar d’un hôtel dans lequel j’avais réservé une chambre en dayuse dans l’espoir de l’y trainer. Je me suis faite un peu plus sexy, un tailleur jupe bleu pastel avec une jupe un peu courte, des bas, des talons plus hauts que la dernière fois et un maquillage un peu plus prononcé. Je suis arrivée un peu avance et j’ai choisi une table un peu isolée. Lorsqu’il est arrivé et qu’il m’a vue son visage s’est allumé, bon signe. Il s’est approché de moi et s’est penché pour un bisou et lorsque ses lèvres se sont posées sur les miennes j’ai sorti la langue. Je l’ai senti se raidir et j’ai cru qu’il allait reculer mais il a entrouvert les lèvres et sa langue est venue à la rencontre de la mienne. En le prenant par la nuque et me collant à lui j’ai rétracté la langue et il a pris possession de ma bouche. Il embrassait bien le bougre, je commençais à m’échauffer. Quittant ses lèvres je lui ai demandé s’il voulait boire quelque chose il m’a répondu « toi ». Bonne réponse ! Je l’ai trainé, non ce n’est pas terme car il n’opposa aucune résistance, dans la chambre.
Là je lui ai demandé de se déshabiller et il a hésité, il avait retrouvé son air de nounours un peu perdu. J’ai donc commencé à enlever ma veste de tailleur et il a suivi le mouvement, visiblement mal à l’aise. Lorsque je fus un soutien-gorge, string et bas il était en boxer. Plutôt bien bâti le gars, bon il est clair qu’il n’a pas vu une salle de gym depuis longtemps mais il a de beaux restes. Je lui ai demandé de le quitter. Il m’a alors demandé si je ne préférais pas fermer les volets et éteindre la lumière. Ce à quoi je m’opposais fermement, comment nous voir sinon ? Il a fini par obéir et j’ai bien cru qu’il allait mettre les mains devant son sexe, pudique le gars. Finalement nu il s’allongea sur le lit, je le caressais du regard en enlevant mon soutien-gorge et mon string avant de m’allonger à ses côtés. J’ai compris qu’il fallait que je prenne les choses en main et je l’embrassais en commençant à lui caresser le torse et le ventre du bout des doigts.
Son souffle s’accélérait et il commença aussi à me parcourir, s’arrêtant sur mes seins dont les tétons durcirent, me parcourant le coté du corps, passant sur mes hanches pour trouver le haut de mes cuisses. Sa main était douce et je commençais à être excitée alors je descendis à la recherche de son sexe. Je le trouvais dur et tendu, je relevais la tête pour l’observer, il était beau, il ne me parut par très grand mais épais avec un beau gland bien dessiné. Mon excitation grimpa d’un cran et je reprenais sa bouche pour un baiser plus fougueux et parcourais son sexe du bout des doigts.
Je sentis bientôt sa main descendre sur mon ventre et tenter de passer entre mes cuisses. Je relevais une cuisse pour lui ouvrir le passage et il s’y engouffra. M’attendant à ce qu’il se jette sur ma chatte je fus surprise de le sentir me caresser l’intérieur des cuisses du bout des doigts et j’eu de petits frissons de plaisir. Sa main remplaça ses doigts et son pouce commença à me caresser doucement. C’était bon et je sentis que je commençais à mouiller. Son pouce remonta un peu et passa entre mes lèvres humides. Lorsqu’il atteignit mon clitoris je frissonnais et lassais échanger un soupir d’aise. Il commença alors à me le caresser doucement et je lui titillais le gland en cadence. Nous gémissions par intermittence tandis que je sentais le feu embraser mon bas ventre. N’y tenant plus j’accentuais ses caresses en ondulant des hanches. Un coup de hanches plus ample fit glisser son pouce à l’entrée de mon vagin qu’il pénétra en m’arrachant un soupir de plaisir. J’attrapais son sexe à pleine main et le masturbais tandis que je poursuivais mon jeu de hanches profitant de son pouce en moi et des frottements de sa main sur mon clitoris.
Je n’en pouvais plus, je sentais venir monter l’orgasme mais j’en voulais plus alors je me suis placée sur lui et après quelques mouvements, lorsqu’il fut positionné, je m’empalais sur lui. Nous poussâmes un gémissement coordonné. Je me redressais et me plaçais à califourchon sur lui, son sexe me pénétrant plus profondément. Je le regardais, il avait les yeux fermés et son visage exprimait le plaisir. Je lui demandais d’ouvrir les yeux et lorsque nos regards se croisèrent je commençais à monter et à descendre sur son membre tendu. Tandis que je le sentais glisser en moi, le feu dans mon bas ventre s’attisait et lorsque ses mains se posèrent sur mes seins et les caressèrent, tout mon corps s’embrasa.
Je trouvais un rythme qui faisait inéluctablement monter mon plaisir et gémir à chaque fois qu’il me pénétrait. J’alternais parfois en m’asseyant sur ses cuisses pour le sentir au plus profond de moi en ondulant doucement des hanches pour caresser mon clito sur son pubis. Il gémissait. Ses mains quittèrent mes seins et vinrent sur mes hanches, sur mes fesses. Je lui attrapais une main et la dirigeait vers ma vulve. Il comprit, trouva mon clito et le massa. S’en était trop, je ne pouvais plus retenir mon plaisir, j’accélérais le mouvement sur son sexe et ses pénétrations associées aux massage de mon clito eurent raison de moi. J’eu un orgasme violent qui m’arracha un râle de plaisir et me fit frissonner plusieurs fois. Lorsque je le sentis se tendre et jouir en moi une nouvelle vague de frissons partit de mon vagin pour inonder mon corps. Je m’allongeai sur lui et, reprenant mon souffle, l’embrassais tendrement.
[Si vous avez aimé, n’hésitez pas à laisser un commentaire, cela aidera ma motivation pour la suite]
Avant de narrer mes aventures je vais me permettre de me présenter. Je m’appelle Sandrine, j’ai 44 ans, je mesure 1m66, je pèse 64 kg, j’ai les yeux bleus et les cheveux châtains mi-longs. Coté personnel, je suis mariée et j’ai deux enfants. Coté professionnelle, je suis cadre supérieure dans la fonction publique. Ceci étant posé, je vais pouvoir commencer à vous raconter mon entré dans le libertinage.
Mon mari ayant un appétit sexuel en berne, peut-être a-t-il une maitresse mais je m’en fous, et après m’être faite refoulée alors que j’avais particulièrement envie d’une bonne baise, j’ai décidé d’aller voir ailleurs. Après quelques recherches sur le net j’ai trouvé un site de rencontre qui semblait me correspondre et je me suis inscrite. Dans l’heure qui a suivi j’ai bien failli clôturer mon compte, je n’ai reçu que des messages mal écrits, irrespectueux et obscènes. Mais un message a retenu mon attention, il était écrit sans fautes, premier bon point, il ne parlait de son sexe, deuxième bon point, il me parlait de mon profil, troisième bon point et enfin il m’invitait à dialoguer avec lui, quatrième bon point.
Ni une ni deux je lui répondais. Comme moi il était marié, il ne cherchait pas à remettre son couple en cause mais cherchait une bulle dans laquelle il aimerait m’invitée. Nous avons conversé quelques jours, échangé des photos et, comme ça matchait bien nous avons convenu d’une première rencontre autour d’un café.
Un peu émoustillée comme une adolescente pour son premier flirt, je voulais faire bonne impression mais sans tomber dans le piège de la femme qui veut séduire à tout prix. J’ai donc opté pour un tailleur jupe bleu marine, un chemisier blanc, des collants noirs et des escarpins à petits talons. Un maquillage léger mais appliqué, bracelet et collier de perles et direction le Celest Bar.
À mon arrivée il était déjà là et il se leva lorsqu’il m’aperçut, il était tel que sur les photos, un peu plus d’1m80, bien bâti avec un petit début de bedon, les yeux noisettes et les cheveux poivre et sel courts mais pas trop el, il m’avait dit avoir 45 ans. Il portait un costume gris anthracite avec une chemise blanche, sans cravate. En m’approchant j’ai vu qu’il appréciait ce qu’il voyait et nous nous sommes chastement serré la main. Nous avons commandé nos boissons, un thé pour moi et un café pour lui et avons commencé naturellement à discuter de nous, de tout et de rien. Si au début je le sentais réservé et un peu mal à l’aise, il s’est détendu et fil du temps. Nous avons gentiment flirté avec nos regards et nos sourires. Il me plaisait bien le bougre mais je ne dis rien, je le laissais venir.
Il n’est pas venu et nous nous sommes séparés sur un petit bisou tout aussi chaste que notre poignée de mains. Un peu déçue j’ai songé à en rester là et approfondir la dizaine de conversations que j’avais entamées sur le site. Des hommes pour l’essentiel mais aussi un couple et deux femmes dont une qui faisait tout pour me convaincre d’avoir ma première expérience entre filles avec elle. Mais finalement je décidais de lui donner une autre chance, son côté un peu nounours et perdu me plaisait bien.
Je commençais alors à lui envoyer des messages orientés. J’appris qu’il n’avait jamais connu que sa femme et que celle-ci n’étant pas très portée sur la chose, il n’avait que peu d’expérience. Est-ce que c’était ce que je voulais ? Non, je voulais un beau mâle qui me fasse grimper aux rideaux. Mais, d’un autre côté, un puceau ça peut avoir ses avantages, on peut les formater pour faire ce que l’on veut et non ce qu’ils veulent. Ni une ni deux, je programmais un rendez-vous pour le lendemain.
Le rendez-vous était fixé en début d’après-midi au bar d’un hôtel dans lequel j’avais réservé une chambre en dayuse dans l’espoir de l’y trainer. Je me suis faite un peu plus sexy, un tailleur jupe bleu pastel avec une jupe un peu courte, des bas, des talons plus hauts que la dernière fois et un maquillage un peu plus prononcé. Je suis arrivée un peu avance et j’ai choisi une table un peu isolée. Lorsqu’il est arrivé et qu’il m’a vue son visage s’est allumé, bon signe. Il s’est approché de moi et s’est penché pour un bisou et lorsque ses lèvres se sont posées sur les miennes j’ai sorti la langue. Je l’ai senti se raidir et j’ai cru qu’il allait reculer mais il a entrouvert les lèvres et sa langue est venue à la rencontre de la mienne. En le prenant par la nuque et me collant à lui j’ai rétracté la langue et il a pris possession de ma bouche. Il embrassait bien le bougre, je commençais à m’échauffer. Quittant ses lèvres je lui ai demandé s’il voulait boire quelque chose il m’a répondu « toi ». Bonne réponse ! Je l’ai trainé, non ce n’est pas terme car il n’opposa aucune résistance, dans la chambre.
Là je lui ai demandé de se déshabiller et il a hésité, il avait retrouvé son air de nounours un peu perdu. J’ai donc commencé à enlever ma veste de tailleur et il a suivi le mouvement, visiblement mal à l’aise. Lorsque je fus un soutien-gorge, string et bas il était en boxer. Plutôt bien bâti le gars, bon il est clair qu’il n’a pas vu une salle de gym depuis longtemps mais il a de beaux restes. Je lui ai demandé de le quitter. Il m’a alors demandé si je ne préférais pas fermer les volets et éteindre la lumière. Ce à quoi je m’opposais fermement, comment nous voir sinon ? Il a fini par obéir et j’ai bien cru qu’il allait mettre les mains devant son sexe, pudique le gars. Finalement nu il s’allongea sur le lit, je le caressais du regard en enlevant mon soutien-gorge et mon string avant de m’allonger à ses côtés. J’ai compris qu’il fallait que je prenne les choses en main et je l’embrassais en commençant à lui caresser le torse et le ventre du bout des doigts.
Son souffle s’accélérait et il commença aussi à me parcourir, s’arrêtant sur mes seins dont les tétons durcirent, me parcourant le coté du corps, passant sur mes hanches pour trouver le haut de mes cuisses. Sa main était douce et je commençais à être excitée alors je descendis à la recherche de son sexe. Je le trouvais dur et tendu, je relevais la tête pour l’observer, il était beau, il ne me parut par très grand mais épais avec un beau gland bien dessiné. Mon excitation grimpa d’un cran et je reprenais sa bouche pour un baiser plus fougueux et parcourais son sexe du bout des doigts.
Je sentis bientôt sa main descendre sur mon ventre et tenter de passer entre mes cuisses. Je relevais une cuisse pour lui ouvrir le passage et il s’y engouffra. M’attendant à ce qu’il se jette sur ma chatte je fus surprise de le sentir me caresser l’intérieur des cuisses du bout des doigts et j’eu de petits frissons de plaisir. Sa main remplaça ses doigts et son pouce commença à me caresser doucement. C’était bon et je sentis que je commençais à mouiller. Son pouce remonta un peu et passa entre mes lèvres humides. Lorsqu’il atteignit mon clitoris je frissonnais et lassais échanger un soupir d’aise. Il commença alors à me le caresser doucement et je lui titillais le gland en cadence. Nous gémissions par intermittence tandis que je sentais le feu embraser mon bas ventre. N’y tenant plus j’accentuais ses caresses en ondulant des hanches. Un coup de hanches plus ample fit glisser son pouce à l’entrée de mon vagin qu’il pénétra en m’arrachant un soupir de plaisir. J’attrapais son sexe à pleine main et le masturbais tandis que je poursuivais mon jeu de hanches profitant de son pouce en moi et des frottements de sa main sur mon clitoris.
Je n’en pouvais plus, je sentais venir monter l’orgasme mais j’en voulais plus alors je me suis placée sur lui et après quelques mouvements, lorsqu’il fut positionné, je m’empalais sur lui. Nous poussâmes un gémissement coordonné. Je me redressais et me plaçais à califourchon sur lui, son sexe me pénétrant plus profondément. Je le regardais, il avait les yeux fermés et son visage exprimait le plaisir. Je lui demandais d’ouvrir les yeux et lorsque nos regards se croisèrent je commençais à monter et à descendre sur son membre tendu. Tandis que je le sentais glisser en moi, le feu dans mon bas ventre s’attisait et lorsque ses mains se posèrent sur mes seins et les caressèrent, tout mon corps s’embrasa.
Je trouvais un rythme qui faisait inéluctablement monter mon plaisir et gémir à chaque fois qu’il me pénétrait. J’alternais parfois en m’asseyant sur ses cuisses pour le sentir au plus profond de moi en ondulant doucement des hanches pour caresser mon clito sur son pubis. Il gémissait. Ses mains quittèrent mes seins et vinrent sur mes hanches, sur mes fesses. Je lui attrapais une main et la dirigeait vers ma vulve. Il comprit, trouva mon clito et le massa. S’en était trop, je ne pouvais plus retenir mon plaisir, j’accélérais le mouvement sur son sexe et ses pénétrations associées aux massage de mon clito eurent raison de moi. J’eu un orgasme violent qui m’arracha un râle de plaisir et me fit frissonner plusieurs fois. Lorsque je le sentis se tendre et jouir en moi une nouvelle vague de frissons partit de mon vagin pour inonder mon corps. Je m’allongeai sur lui et, reprenant mon souffle, l’embrassais tendrement.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’ai adoré
J'aime ce récit. Merci
Si vous vous emmerdez le divorce existe et le fait de niquer sans capotes c’est risqué.
Sans intérêt
Vivement la suite
très bon récit j attend la suite