Les aventures de Séverine (01)

- Par l'auteur HDS Thma69 -
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Les aventures de Séverine (01) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Séverine (01)
Ce soir je sors ! Avec une copine, Laeticia, nous avons décidé qu’il était grand temps que nous fassions une sortie en boite et c’est pour ce soir. Nous nous sommes rencontrées sur un forum où nous avons pu échanger et avancer ensemble. Elle a mon âge, 24 ans, et, comme moi, elle aime se travestir. Dans la vraie vie elle s’appelle Hakim et elle est en couple avec un femme depuis 4 ans. Dans ma vraie vie je m’appelle Franck et je suis en couple depuis 3 ans. Mais nous partageons le même désir, le même besoin, changer de genre de temps en temps sans remettre en question notre masculinité. Bizarre, ambiguë, peut-être mais c’est une pulsion incontrôlable et si nous sommes homme à 99%, nous aimons être femme le pourcent qui reste. Certains sont cosplayers, nous somme crossdressers. La rencontrer fut une chance incroyable, nous avons compris que nous n’étions pas seules et cela nous a beaucoup aidé. Nous avons pu échanger nos secrets, nous confier, nous échanger des conseils, bref nous sommes devenues amies. Et puis nous nous sommes rencontrées, en hommes d’abord puis, dès que cela était possible, en femme chez l’une où chez l’autre. Nous nous aidions alors à nous habiller et à nous maquiller. Nous échangions nos tenus et nous en achetions ensemble. Il n’y avait rien de sexuel dans nos attentes et dans nos jeux de travestissement, ils se limitaient à nous transformer pendant un temps.

A deux nous avons trouvé le courage de sortir travestis, 3 fois en tout et pour tout, pour aller boire un verre dans un bar gay dans lequel nous pensions qu’il serait plus facile pour nous de nous faire accepter. Ce fut le cas et nous avons pris confiance et décidé de tenter une nouvelle aventure, d’où notre sortie en boite de ce soir. Nous profitons de l’absence de nos conjointes pour nous retrouver chez moi. Pour les tenues, le deal était que nous nous les achetions mutuellement.

Avant son arrivée, je passe rapidement sous la douche, je m’assure que mon épilation est parfaite. Oui, je m’épile entièrement le bassin et le haut des cuisses, seule petite particularité de ma masculinité de tous les jours et que ma copine aime beaucoup cela dit en passant. Je passe un peignoir, et prépare le thé, elle devrait plus tarder. Effectivement, l’eau n’a pas le temps de bouillir qu’elle sonne à la porte, bon, c’est Hakim qui se présente mais même ainsi, pour moi c’est Laeticia. C’est un beau mec d’1m85, sportif, brun au yeux marrons et c’est une belle femme aussi lorsqu’elle est apprêtée. Enfin, je trouve. Pour part, je mesure 1m80, assez mince et sportif aussi, j’ai les cheveux châtains et les yeux verts, bel homme dit-on et belle femme me dit Laeticia.

Nous nous faisons la bise et je sers le thé au salon, je ne peux m’empêcher de lorgner sur les sacs qu’elle a amenés et qui contiennent ma tenue de ce soir. Elle le remarque et m’annonce qu’elle a décidé de me faire sexy ce soir. J’en brule d’impatience et le lui fait savoir. Elle accède à ma demande et me tend le premier sac, les dessous me précise-t-elle. J’ouvre et découvre un magnifique tanga rose pâle en tulle et dentelle aux motifs floraux, un soutien-gorge et un porte-jarretelles assortis. Si nous nous sommes déjà achetées de la lingerie, c’est la première fois pour le porte-jarretelles. Du coup, je suis moins inquiète par rapport à ce que je lui ai acheté. Et pour finir, je trouve une paire de bas couleur chair suffisamment opaques pour masquer ma pilosité. Je suis super contente, c’est trop beau. Je me lève et lui fait un gros câlin.

Elle me tend alors le second sac, je l’ouvre et découvre une mini-jupe gris/rose brodée de motifs floraux avec un ourlet volanté. Elle est accompagnée d’un top assorti à manches longues et épaules découvertes. Dans le fond du sac je trouve une paire d’escarpins dans les mêmes tons que la jupe et avec des talons d’au moins 8 cm, heureusement que nous nous sommes entrainées. C’est magnifique ! Je me lève à nouveau pour lui faire un gros gros câlin.

Puis je vais chercher ses affaires. J’espère qu’elle sera aussi contente que je le suis. Comme elle je lui présente d’abord le sac de lingerie. J’ai peut-être été un peu trop osée, je ne vais pas tarder à le savoir. Elle ouvre le sac et en sort une guêpière en tulle noire rodée de motifs floraux rouges. Elle la regarde, me regarde avec de grands yeux tout rond. Je vais lui proposer d’échanger avec moi si elle n’aime pas mais elle un « J’adore ! » sonore et se jette dans mes bras pour un câlin. Elle finit de découvrir le reste du sac, un string assorti et une paire de bas. Elle est toute contente. Je lui tends alors le second sac et elle découvre une petite robe noire moulante à manches longues. Elle crie de joie et découvre ensuite une paire d’escarpin noir avec des talons de 5 cm. Elle se jette à nouveau dans mes bras pour un câlin.

« Prem’s dans la salle de bain ! » me crie-t-elle en courant s’y enfermer. Je rigole en me dirigeant vers ma chambre, emportant avec moi ma tenue de la soirée. J’enfile les bas, le tanga (il est échancré à souhait et remonte bien au-dessus de mes fesses), le soutien-gorge (qui n’a pas grand-chose à soutenir) et le porte-jarretelles. Et là c’est le drame, comment attacher ces foutues jarretelles aux bas ? Je comprends le truc et j’y arrive devant mais derrière, j’ai beau me contorsionner, impossible. Bon, je demanderai à Laeticia de le faire. Rien que pour ça je n’en achèterai jamais à ma copine. Je m’admire devant le miroir, j’apprécie ce que je vois, je me trouve très très sexy.
J’enfile ma jupe, met le haut et là, nouveau drame, on voit le bas de mon ventre et ses quelques poils. Pas de panique, on a le temps, je pourrai m’épiler. Comment l’expliquer à ma copine, c’est une autre histoire mais trop prise par l’instant, je me dis que j’y penserai plus tard. Je chausse les escarpins, pique un ensemble collier, bracelet et boucles d’oreilles que j’ai offert à ma copine et sors de la chambre. Laeticia n’est pas sortie de la salle de bain et je l’entends pester. « Si c’est à cause des jarretelles, t’inquiète, je le ferai et tu feras les miennes » lui criai-je à travers la porte. « Quelle connerie ces trucs » répondit-elle.
En l’attendant je me servis un whisky et l’attendais au salon. Après quelques gorgées et « Ouha », quelle beauté ! La robe lui va super bien, elle est magnifique. Je me lève pour la félicité et elle me flatte sur mon apparence avant que je puisse le faire. « Bon ma chérie, nos fringues nous vont bien mais y’a encore du boulot alors si tu veux bien me fixer ces p… de jarretelles pour qu’on s’y mette » me lança-t-elle. « Il faudra que tu fasses de même pour les p… de jarretelles ». Nous rigolons de concert et je lui fixe les siens. « Pour moi, ça attendra un peu » lui dis-je en lui montrant mon ventre. « Il va falloir que je m’occupe de ça, grâce à toi ». Après ma séance déshabillage, épilation du ventre, habillage et fixation des bas aux jarretelles par Laeticia, séance maquillage.

Après presque deux heures et quelques verres, nous sommes passées au rosé, nous sommes prêtes. Avec nos perruques blondes identiques, mi-longues avec une frange qui descend à quelques centimètres de nos sourcils, nous sommes méconnaissables. Comme il est un peu tôt pour aller en boite et nous décidons de faire un tour au bar avant d’y aller. En entrant, je note quelques regards appuyés, preuve que nos efforts n’ont pas été vains. Après deux verres de rosé et quelques rejets de males en rut à qui nous tentons d’expliquer que c’est une soirée entre copines, nous décidons d’y aller même s’il est encore un peu tôt.

En arrivant nous constatons que l’ambiance est déjà chaude et très vite nous sommes prises dans l’ambiance et nous dirigeons vers la piste de dance. L’alcool de nos rosés et le plaisir de nous trouver là aidant, nous nous lâchons sur la piste. Agacées par les nombreuses tentatives de nous approcher, nous décidons de faire une pause et après avoir pris nos consommations nous installons dans un coin pour regarder les danseurs. Papotant tranquillement et surtout commentant les danseurs et danseuses, nous sommes régulièrement abordées par des mecs à qui nous aimerions donner des courts de drague. Nous en rigolons. « Bon, les prochains beaux mecs qui se présentent, on accepte qu’ils nous payent un coup, ok, juste pour voir. Je pense qu’on va bien se marrer » me dit soudain Laeticia. Je lui dis que je ne suis pas d’accord, on est entre copines, pas besoin et pas envie de mecs. A ce moment deux mecs plutôt bogoss et nous demandent si nous aimerions un autre verre. Avant que je puisse les éjecter Laeticia répond que ce serait avec plaisir. J’ai envie de lui tordre le cou et pendant que les mecs partent chercher des boissons je lui dis que je ne suis pas d’accord, que ça va trop loin et que je vais rentrer. Mais avant que je ne joigne l’acte à la parole, ils sont de retour et nous posent nos verres avant de s’assoir à nos côtés.

Très gênée je laisse Laeticia mener la conversation avec Antoine et Hugo. Elle m’énerve, elle a l’air de s’amuser comme une folle tandis que je ne pense qu’à partir. Je suis prête à y aller quand je vois Antoine se pencher vers Laeticia et l’embrasser. Je suis choquée, elle ne le repousse pas, au contraire, elle lui prend la nuque et l’embrasse à pleine bouche. Je me sens mal, que faire ? Je sens alors la main d’Hugo sur ma cuisse, je la repousse et me lève. « Tu t’en vas déjà ? Tu n’attends pas ta copine ? Attends là avec moi, promis je serai sage. » me lance-t-il. Que faire ? Je ne sais pas. Je m’assois finalement. Male à l’aise je regarde la piste et jette un œil de temps en temps à Laeticia qui enlace Antoine sans que leurs lèvres ne se quittent et que ses mains parcourent ses cuisses. Elle a l’air d’aimer ça. J’ai envie de la frapper, je boue, c’était notre soirée entre filles, pas besoin de mecs.

Hugo, qui essaye de faire la conversation, depuis un moment me demande si je veux un autre verre ou danser. Je réponds par la négative dans un grognement. Il me dit alors que j’ai l’air tendue et me demande si c’est parce que ma copine est avec Antoine. Je lui réponds que oui, que c’était notre soirée et qu’on n’avait pas besoin de mecs. Il me demande alors si je suis jalouse, si j’aurais préféré être avec Antoine. Je lui réponds que non, je ne suis pas jalouse et que je n’en ai rien à faire d’Antoine. Il se penche alors vers moi et pose ses lèvres les miennes, je tente de reculer mais je suis bloquée par le dos de la banquette. Je sens sa langue contre mes lèvres serrées et l’image de Laeticia embrassant Antoine à pleine bouche me vient et, oui, je suis un peu jalouse. J’entrouvre la bouche et je sens sa langue s’inviter.

C’est étrange, dans d’autres circonstances je lui aurais mis mon poing dans la gueule mais là je laisse faire et j’aime ce que je ressens. J’ouvre un peu plus la bouche et ma langue va à la rencontre de la sienne. Je sens mon cœur accélérer et une drôle de sensation dans mon ventre tandis que nos langues jouent dans ma bouche. Je ne suis pas experte mais j’ai l’impression qu’il embrasse bien le bougre car il m’mène sur sa planète. Quand je sens en plus sa main sur ma joue, il en ajoute à mon trouble et aux petits frissons que je ressens. Quand cette main descend sur mon cou, sur mon torse, sur mon ventre, sur ma jupe, sur mes cuisses, ma langue joue plus vite avec la sienne tandis que la sensation dans mon ventre s’intensifie, comme si des papillons y avaient élu domicile et voletaient librement.

Nous sommes interrompus pas Laeticia et Antoine qui, debout devant nous, nous regardent un sourire aux lèvres. Antoine nous demande si ça nous dirait d’aller boire un dernier verre chez lui. Dans un sursaut de conscience je réponds que non, il faut que nous rentrions. Laeticia proteste et main dans la main avec Antoine ils s’éloignent. Hugo prend alors ma main et m’entraine à leur suite. Choquée, ne voulant pas faire un scandale pour ma première sortie, je le suis.

Arrivés chez Antoine, il nous installe au salon et nous propose un verre, nous prenons tous un whisky. Hugo est à mes côtés et Antoine s’installe à coté de Laeticia. Nous parlons un moment de choses et d’autres et Hugo met sa main sur ma cuisse et la caresse doucement. Je ne la repousse pas cette fois, l’alcool de la soirée aidant, je me sens plus à l’aise avec ça. Quand il se penche sur moi pour m’embrasser je l’accueil même avec plaisir. Finalement, j’aime vraiment bien comme il m’embrasse, comme sa langue pénètre ma bouche pour jouer avec ma langue.

Ses caresses sur ma cuisse se font plus invasives, je le sens progresser sous ma jupe. Sa main caresse mon bas doucement. C’est une sensation étrange qui réveille les papillons. Quand il en passe la frontière et atteint ma peau, je ressens comme une petite décharge électrique à l’endroit où il m’a touchée. Sentant mon émoi, il s’y attarde, trouve la jarretelle et joue avec un moment. Nos lèvres ne se sont pas dessoudées bien que mon souffle se soit accéléré. Sa main quitte ma cuisse pour chercher le mienne, il la trouve et nous jouons avec nos doigts comme nous jouons avec nos langues. Sa main entraine la mienne sur son torse, descend, j’ai un moment de doute, jusqu’où veut-il me faire descendre ? Il s’arrête au niveau de sa ceinture et fait passer ma main sous son teeshirt et l’abandonne pour retourner sur ma cuisse. Tandis qu’il reprend ses caresses je pars à la découverte de son ventre que je trouve plat et musclé avec quelques poils. Je remonte sur son torse tout aussi ferme. Il est bien bâti le mec me dis-je en sentant les papillons accélérer leur vol.

La main sur ma cuisse s’emblait s’être lassée de jouer avec la jarretelle et progressait plus avant. Lorsqu’elle arriva sur mon tanga les papillons explosèrent. Bien malgré moi je gémis heureusement il fut étouffé par sa bouche sur la mienne. Quand il progressa plus avant sous ma jupe et toucha mon sexe qui est tendu, il a un mouvement de recul, se tourne vers Antoine et lui lance « Hé ! Mec j’ai pécho une trav. Putain ! J’en étais sûr ! J’te l’avais dit que c’était deux tarlouzes ». Antoine lui répond « Je sais ». Me tournant vers lui, je vois qu’effectivement il a aussi la main sous la robe de Laeticia qui a l’air toute aussi confuse que moi. Comprenant que la situation tourne au ridicule, que la fête est finie et que nous risquons des problèmes avec ces machos. Je me lève, prenant Laeticia par la main je lance « Désolée les mecs, nous vous avions prévenus que nous ne voulions pas. Désolée si vous pensez avoir été trompés. Désolées aussi que ma copine se soit montrée aussi entreprenante ». Je fusillais Laeticia du regard. « Nous allons partir et encore une fois, nous sommes désolées pour cette méprise. C’est notre première sortie et l’alcool et l’ambiance nous ont tourné la tête. ». Tirant Laeticia par la main, je me dirige vers la sortie quand Antoine dit « Je savais très bien qui vous étiez. Désolé Hugo. Mais vous étiez les plus belles ce soir et j’avais très envie de faire plus ample connaissance avec vous. Surtout toi Laeticia, tu es superbe. ». Piquée au vif et jalouse j’annonçais « Trop tard. Et puis ce n’est pas ce que nous cherchons, nous voulons juste une soirée entre copines ». Il répondit du tac au tac « Mais vous êtes ensemble, entre copines. Quoi de mieux pour se découvrir ? On n’était pas bien là ? Vous pouvez partager un moment avec nous, entre copines, non ? T’en dit quoi Hugo ? ». Il semble gêné, baisse les yeux et puis me regarde. Je vois son regard s’allumer et il dit « Tu as raison, on s’amuse bien et puis nous somme entre potes et elles sont entre copines, la boucle est bouclée. ». Antoine repris « Allez les filles revenez ! C’est votre première fois, pas de problème, ce sera comme vous voulez. S’il te plait Laeticia, s’il te plait Séverine, restez encore un peu ». Laeticia me lance un regard implorant, je comprends qu’elle veut rester. Bon, ok, je nous donne une heure grand max pour nous faire des papouilles et nous casser. « Ok » dis-je.

Laeticia se jette littéralement sur Antoine et ils tombent enlacés sur le canapé tandis que je me rassois sur ce même canapé auprès d’Hugo. « Tu as un problème avec ça ?» lui demandais-je. « Non, pas du tout, c’est juste que j’ai été surpris, je suis bi, donc pas de problème pour moi. » me dit-il en se penchant sur moi pour m’embrasser. J’ai un peu de mal à me remettre dans l’ambiance. Je suis inquiète malgré tout, où allons-nous ? Que veulent vraiment ces mecs ? Machinalement j’ai recommencé à caresser le torse d’Hugo tandis qu’il m’embrasse mais je n’y suis plus. Toute à mes pensées je n’ai pas senti la main d’Hugo qui arriva sur mon sexe au repos après cette scène. Immédiatement je sens une décharge et mon sexe prendre vie. Mon baiser se fait plus passionné tandis qu’il me caresse au travers du fin tissu de mon tanga.

Il me caresse et il n’y a plus de papillons dans mon ventre mais un feu doux et calme alimenté par sa main qui va et vient sur mon membre tendu. Ma main se crispe sur sa poitrine quand il me cajole le gland. Je me surprends à gémir dans sa bouche. Et puis je n’y tiens plus, je descends ma main et trouve son sexe sous son pantalon. C’est à son tour de gémir dans ma bouche. Alors je l’empoigne, il a l’air d’être de belle envergure et le caresse au rythme des siennes. J’ose un regard vers Laeticia, elle a une main entre les cuisses d’Antoine tandis qu’une des sienne est sous sa robe. Excitée par cette vision, je défaits la ceinture d’Hugo, le bouton de son Jean et passe ma main. J’entre en contact avec son sexe. Je suis curieuse, c’est mon premier. Je descends plus bas et caresse son gland. Il se cambre un peu et gémit dans ma bouche. C’est trop satisfaisant, comme de donner du plaisir à ma copine juste avec mes doigts. Je poursuis plus bas, lui caressant tout le sexe jusqu’à atteindre ses testicules. Je remonte alors. Il se cambre à nouveau, m’enserrant le sexe et gémissant dans ma bouche. Je poursuis mes caresses, ce qui m’excite bien plus que les siennes qui se font spasmodiques en fonction des miennes. Il quitte ma bouche, s’adosse au dossier du canapé et ferme les yeux. Putain, j’ai ce pouvoir me dis-je, c’est trop bon.

Je poursuis mes caresses, les siennes se font rares mais je m’en fous, j’aime trop ce qui se passe. Gênée dans mes mouvements, j’ouvre plus grand son pantalon et libère son sexe. Merde, au touché je ne l’aurais pas dit mais en le voyant je me rends compte que c’est un beau morceau, plus long et plus large que le mien que j’estimais pourtant de taille honorable. Je reprends mes caresses en l’observant. J’entends Hugo soupirer d’aise, je pense qu’il apprécie et ça m’excite d’autant plus et m’invite à poursuivre. Je le caresse du bout des doigts, le parcours, je m’attarde sur son gland que je titille. Je le masturbe de temps en temps. Je le détail, il est beau. Les sexes d’hommes en érection je n’en ai vu que dans les films X, j’étais plutôt fasciné par le sexe des femmes qui les recevait. Là je le découvre d’une autre manière, comme un petit chat que l’on caresse et qui ronronne. L’idée de le sucer me vient à l’esprit, rapport aux films pornos. Je l’écarte mais elle revient tandis que je poursuis mes caresses.

Oui mais non. Non mais oui. Un râle de sa part sur une caresse un peu appuyée me décide, je me penche et descends vers son sexe, plus près il parait plus imposant, son gland est proéminant, gonflé il semble énorme. Tandis que ma main poursuit son ouvrage je tente un coup de langue. Je le sens tressaillir. Alors j’en donne un autre, pas si terrible. Je poursuis à coups de langue sur tout son sexe, je le découvre comme un malvoyant le ferait avec ses doigts sur un visage. Il soupir d’aise et j’en suis heureuse. Tout à coup, à ma gauche j’entends un râle, je tourne un peu la tête et je vois Laeticia engloutie la bite d’Antoine. Surprise et jalouse du plaisir qu’elle sembla lui donner, je remonte en suivant de la langue le sexe d’Hugo, m’attarde sur son gland et après une dernière hésitation, j’avale. Surprise ! J’adore ! Quelle sensation que de sentir un sexe dans sa bouche. C’est autre chose qu’un cuni. Il y a à manger. Je luis bouffe littéralement le gland, je l’aspire, le suce, le caresse de la langue. Il gémit. Je sens que je mouille de la bouche et je descends. Je me sens perdue, complètement folle de cette queue dans ma bouche sur laquelle je vais et je viens. Je suis sortie de ma transe par Antoine qui propose que nous allions dans la chambre pour être plus à l’aise. Je regarde Laeticia, elle a le feu aux joues et acquiesce. Dans ma transe, je suis le mouvement.

Arrivés dans la chambre Antoine propose que nous nous déshabillions. Il commence et Hugo suit, ils sont nus, le sexe tendu, ils n’ont rien à s’envier, mis à part la forme, ils sont de mêmes proportions. L’ayant gouté, je préfère celui d’Hugo. Voyant Laeticia quitter sa robe, je fais de même mais lorsque nous commençons à ôter notre lingerie, ils nous demandent de la garder. Ils écartent alors les bras et, suivant l’exemple de Laeticia, je me jette sur Hugo. Nos lèvres se soudent en un baiser passionné et en se retournant il m’allonge sur le lit en venant sur moi. Nos sexes se croisent, se frottent et l’excitation que j’avais lorsque je le suçais prend une autre forme.
Je sens revivre le feu qui avait succédé aux papillons, de petites flammèches, qui prennent de l’ampleur tandis qu’il se frotte contre moi. Dans un mouvement plus ample je sens son sexe se glisser entre mes fesses. L’attrapant par les hanches je le guide pour qu’il revienne contre moi et que nos sexes reprennent leur danse. Ce qu’ils font. Emportée par le plaisir je trouve la main de Laeticia qui, dans la même position que moi, profite de l’instant. C’est trop bon, je sens que je vais jouir, je serre fort la main de Laeticia, ferme les yeux toute à mon plaisir. Laeticia me serre aussi la main plus fort toute à son plaisir.

Lorsque le sexe d’Hugo se perdit une nouvelle fois entre mes fesses, je laisse faire, après tout ça semble lui faire plaisir et son ventre qui me caresse me satisfait, moins que son sexe c’est sûr, mais j’ai envie de lui faire plaisir. Malgré tout, son sexe fesses commence à me faire du bien. Je sens une petite décharge électrique de plus en plus forte à chaque fois qu’il passe sur mon anus. Ça devient si bon que je l’invite à poursuivre en posant mes mains sur ses fesses, quittant la main de Laeticia et en écartant les jambes. Ses mouvements se font alors plus intenses, plus forts contre mon œillet. Lorsqu’il passe devant appuyant un peu plus à chaque passage, je ne peux contenir un gémissement de plaisir.

N’ayant plus besoin de lui donner l’accord de mes mains, je retrouve celle de Laeticia qui dès que je la trouve me serre fort, m’indiquant le degré de son plaisir. Je sens le sexe d’Hugo aller en venir entre mes fesses, insistant parfois contre mon anus heureusement protégé par le tissu de mon tanga. « J’ai envie de toi, tu veux bien ? » Me dit-il soudain. Mon excitation retomba d’un coup. « Non, je ne veux pas » lui dis-je. Je ne me sens pas prête pour ça. Ni maintenant ni jamais d’ailleurs, ce que nous faisons en ce moment est déjà bien trop pour moi, ce n’est pas ce que je cherchais en me travestissant avec Laeticia. Et, même si je sens le désir dans mon bas ventre, si j’aime ce flirt, je ne suis pas prête pour ça. Je suis vierge et compte le rester. Il semble avoir compris, se penche sur moi et m’embrasse. Je suis rassurée et, quand il recommence à bouger en s’arrachant de mes lèvres et se tendant sur ses bras, je retombe doucement dans le plaisir du moment.

La main de Laeticia se crispe soudain dans la mienne et elle lâche dans un souffle « Ho ! Putain, il me bouffe le cul ». Je lève la tête et je la vois les jambes repliées sur elle et la tête d’Antoine entre ses fesses. Sa main serre la mienne convulsivement tandis qu’elle respire fort, elle émet de petits râles et je l’entends murmurer « Ho putain ! Ho putain ! ». Je regarde Hugo, il regarde Laeticia, me regarde et je comprends qu’il me demande mon accord. Je lui fais un signe de tête, si Laeticia, le fait, pourquoi pas moi ? Il descend alors et je sens sa bouche me faire des bisous sur le torse, sur le ventre et sur mon sexe tendu dans mon tanga. Chacun de ses bisous m’électrise la zone touchée. Il me remonte les jambes que je plie. Lorsqu’il passe mes testicules, il écarte le tissu de mon tanga et sa langue me caresse le périnée ce qui me provoque comme une décharge électrique qui remonte dans mon bassin. C’est fort et pas très agréable. La deuxième caresse reproduit le phénomène, c’est étrange et je n’aime décidément pas. Je vais pour lui prendre la tête et l’éloigner lorsqu’il y a une troisième tentative. La décharge électrique est la même, elle se propage dans mon bas ventre et remonte dans tout mon corps. Mes mains qui veulent lui éloigner la tête retombent. La quatrième produit un courant plus chaud qui m’allume le corps, je ne peux retenir un gémissement. Je sens alors la main de Laeticia qui prend la mienne et nous nous serrons toutes à notre plaisir.

Sa langue quitte mon périnée et descend, elle trace une ligne électrique qui me fait trembler. Arrivant sur mon anus, il le caresse et c’est une nouvelle sensation. Quand sa bouche s’y pose tandis que sa langue le caresse, je serre la main de Laeticia et soupir tandis qu’une douce chaleur m’envahit le corps. Je tourne la tête vers elle, elle a les yeux fermés, elle respire fort tandis qu’elle semble prise de convulsions sporadiques. Soudain elle ouvre les yeux et, dans un hoquet, murmure « Ho putain ! Il est entré ». Je n’ai pas le temps de comprendre que je sens quelque chose forcer mon anus et le pénétrer. Je n’ai même pas l’idée de protester, je me contente de lui répondre « Ho putain ! Moi aussi ! ». Elle tourne alors la tête vers moi, elle a les yeux vitreux de plaisir, et me sourit. Je lui souris en retour tandis que je sens le doigt inquisiteur m’explorer et allumer le feu dans mon ventre. Tandis que nos yeux ne se quittent pas, Laeticia laisse échapper des « Ho putain ! Ho putain ! ». Je n’en pense pas moins mais me contente de souffler fort en tentant d’évacuer le trop plein de plaisir que me donne ses caresses.

Tout à coup les doigts et la bouche me quittent et sont remplacés par quelque chose de plus gros qui force. Ça fait mal et je proteste, trop mollement surement car la pression s’accentue. Je vois le visage de Laeticia se crisper, elle subit surement la même chose. Soudain la barrière lâche, comme un bouchon de Champagne qui sort d’une bouteille mais là pour y entrer. Je cris presque de la plénitude qui m’envahit. Je comprends qu’il en est de même pour ma copine qui a la bouche et les yeux grands ouverts. Elle lâche alors un « Ho putain ! Il m’encule ! ». Je prends alors conscience qu’il en est de même pour moi et que cette chose qui est entrée entre mes fesses est le sexe d’Hugo. Je n’ai pas le temps d’y penser car il commence à bouger et je le sens faire des allers retours en s’enfonçant à chaque fois un peu plus. Mon cul est en feu et il se propage dans mon ventre. Quand je sens ses cuisses sur mes fesses tandis que son sexe me pénètre profondément je soupire d’aise. C’est une sensation très agréable que de se faire remplir le cul. Je sens son membre reculer et revenir au fond de moi, m’arrachant un nouveau soupir qui tend vers le gémissement.

La main de Laeticia serre alors la mienne tandis que son corps tressaute et qu’elle lâche de façon sporadique des « Ho ! Putain ! ». Hugo accélère alors la cadence entre mes fesses et il me pilonne littéralement le cul, me faisant rebondir sur le lit à chaque qu’il claque contre mes fesses. J’ai le corps en feu et j’ajoute mes gémissements à ceux de Laeticia. Soudain, il sort de mon cul et, avant que je comprenne, il me retourne et me place à genoux sur le bord du lit. Je vois qu’il en est de même pour Laeticia et j’ai juste le temps de m’imaginer l’image de nos deux culs tendus et offerts avant qu’Hugo ne me pénètre d’un seul mouvement. Je laisse échapper un « Hoooo ! » tandis que Laeticia reprend un « Ho ! Putain ! ». Je sens les mains d’Hugo m’agripper les hanches et il commence à aller et venir, de plus en plus vite. Ses mains m’attirent à lui lorsqu’il s’enfonce et m’éloignent lorsqu’il se retire. C’est fort, brutal, bestial et des ondes de chaleur m’irradient le corps. Une poussée plus profonde provoque une véritable explosion qui me secoue tout le corps. Et c’est l’orgasme ! Je suis prise de spasmes incontrôlables provoqués par des ondes de plaisir brut qui prennent naissance dans mon bas ventre. Chacun me donne l’impression que je vais mourir tant le plaisir est grand.

Les spasmes se calment et je reprends mes esprits. J’ai mal partout, aux fesses d’abord puis aux jambes, aux bras et aux mains qui serrent la couette du lit convulsivement. Prenant conscience d’être libre, je me laisse tomber sur le côté tandis que je peine à ouvrir mes mains. Je sursaute une claque s’abat sur ma fesse tandis que je reconnais la voix d’Hugo « Quel pied ! C’est le meilleur cul que j’ai jamais tiré. Merci mon pote, t’avais raison, il fallait se les faire » et Antoine de lui répondre « Je le savais à leurs airs de saintes nitouches, je te parie qu’elles étaient vierges. La mienne avait un petit cul serré à souhait. ». Ce n’est pas vrai, ils vont parler de la qualité de nos culs devant nous ? Ça ne fait qu’en ajouter à mon mal être. Je me sens ridicule, humiliée, honteuse et en colère contre eux, contre moi, contre Laeticia. Je me redresse péniblement et cri presque « Viens Laeticia, on se casse ». Je n’attends pas sa réponse, je récupère mes affaires au sol et sort de la chambre tandis qu’Hugo proteste « Reste Séverine, la nuit n’est pas finie, tu vas voir on va bien s’éclater. Quel con ! Sourde à ses appels je m’habille et je sors en espérant que Laeticia ne tardera pas à me rejoindre. L’air frais de la nuit me fait du bien et j’appelle un taxi. Laeticia sort finalement au moment où le taxi arrive, nous prenons place et je donne mon adresse. Comme Laeticia ne dit rien je lui indique que je préfère être seule et elle donne son adresse.

Arrivée chez moi, j’arrache plus que je n’enlève mes vêtements et me jette sous la douche. À force de frotter et de rincer puis de recommencer encore et encore, Séverine commence à s’effacer et avec elle les souvenirs de cette nuit. Franck refait surface, il reprend possession de mon corps et de mon esprit, c’est une bonne chose, je ne veux plus penser à elle, je ne veux plus penser à Laeticia qui nous a conduit dans ce piège. Je veux être moi, Franck.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j adore ce recit

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Merci j'ai beaucoup apprécié aux plaisirs de lire la suite

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Superbe histoire. Je sens que vous allez rééditer ça

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Texte coquin : Les aventures de Séverine (01)
Histoire sexe : Une rose rouge
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