Les aventures de Séverine (02)
Récit érotique écrit par Thma69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les aventures de Séverine (02)
Salut à toi qui va lire mon histoire. Tu vas aimer, ou pas. Quoi qu’il en soit j’espère qu’elle ne te laissera pas indifférent. Alors, je te remercie de laisser un commentaire ou une critique. Cela me permettra de progresser et de te proposer de nouveaux récits. Merci d’avance et bonne lecture en espérant que tu prennes autant de plaisir à lire que moi à écrire.
Plusieurs mois ont passé, Laeticia et Hakim ont tenté de me contacter dans les jours qui ont suivi mais je les ai ignorés. J’ai systématiquement effacé leurs messages sans les lire ou les écouter et ils ont cessé. Je n’ai plus confiance en eux et je leur en veux toujours.
Un jour que je suis seul à la maison Hakim se présent :
- Bonjour Antoine, je peux entrer pour discuter avec toi ?
- Je ne crois pas, non. Je n’ai rien à te dire.
- Oui mais moi j’ai des choses à te dire.
- C’est ton problème, je ne veux rien entendre.
- Franck, tu ne peux pas foutre en l’air une amitié de presque 2 ans comme ça !
- Nous ne sommes pas potes Hakim, Laeticia et Séverine l’étaient mais Séverine est morte un certain soir.
Sur ce, je ferme la porte.
Quelques jours plus tard alors que je suis en télétravail et ma copine (qui va devenir ma femme au fait, je lui ai fait ma demande il y a 2 semaines et le mariage est prévu pour dans presque 2 mois) est au boulot, c’est Laeticia qui se présente. Elle est belle à couper le souffle même si sa tenue est toute simple, tee-shirt blanc sous un blouson noir, jeans et baskets, elle dégage un je ne sais quoi. Je reste un instant sans réaction alors elle prend l’initiative.
- Bonjour Antoine, je peux entrer pour discuter avec toi ?
- Je ne crois pas, non. Je n’ai pas plus de choses à te dire qu’a Hakim.
- C’est moche ce que tu nous fais là. Séverine est la seule amie que ne n’ai jamais eue, tu ne peux pas me l’enlever.
- Je ne t’enlève rien, elle est morte, c’est comme ça, ce sont des choses qui arrivent.
Je réussis à rester ferme bien que la souffrance de Laeticia me transperce le cœur.
- Mais je ne veux pas qu’elle soit morte moi, j’ai besoin d’elle. Je sais qu’elle aussi a besoin de moi. Elle ne peut pas être morte, je l’aime. Je meurs aussi sans elle.
Je ne sais pas quoi dire et me tais.
- Je suis vraiment désolé.
Le cœur lourd je referme la porte mais elle se jette dans mes bras et en pleure me supplie.
- Fais-la revenir ! Fais-la revenir ! Je veux la voir une dernière fois, lui dire au revoir si elle veut partir.
Je la repousse doucement et ferme la porte. Je l’entant pleurer derrière la porte tandis que j’ai les jambes tremblantes et que mon cœur bat fort. Des émotions contradictoires me traversent et, n’arrivant pas à faire le tri, je me sens mal. Je titube jusqu’au salon et je m’affale dans le canapé. Mon téléphone sonne mon cœur qui se calmait s’affole à nouveau, est-ce elle ? Ce n’est que le boulot, je laisse sonner. Tandis que je me calme, des images me viennent. Nos premiers échanges sur le forum, nos premiers messages, nos premiers appels et notre première rencontre. Doucement je sens que Séverine prend le pas sur Franck, ses émotions sont trop fortes. Je repense à nos discutions sur la mode féminine, à nos premiers essayages et à nos fous rire lorsque les résultats étaient plus que ratés. Je repense à nos premiers talons hauts et, là encore, aux fous rire qu’ils ont provoqués. Tout me revient en vrac, maquillage, perruques, lingeries, épilation. Et avec ces souvenirs un de joie et de paix. C’était ma copine. Mais des images de cette fameuse soirée me reviennent aussi et avec elle de la tristesse et de la colère.
Je n’ai jamais pris le temps d’analyser mes sentiments tant j’étais perdue dans ma colère du moment. Cette soirée peut elle anéantir tant de belles choses et de si bons moments ? Oui car elle a perdu ma confiance. Je sais bien qu’elle n’est pas seule responsable, que j’aurais pu dire non et tout arrêter à n’importe quel moment mais c’est à cause d’elle que tout a commencé. C’est à cause d’elle que j’ai peur. Peur parce que j’ai eu du plaisir et je ne veux pas de ça. Finalement je prends mon téléphone et lui je lui envoie un message « Ok, je t’expliquerai tout, viens vendredi en début d’après-midi ».
Franck télétravail vendredi matin pendant que je redoute le début d’après-midi. Franck m’empêche de me concentrer et de réfléchir. Qu’est-ce que j’en ai à faire de ses problèmes de planning et de relations clients ? Midi arrive et il me libère, je me précipite sous la douche, me maquille et courre vers mon armoire secrète, hésite un instant et m’habille. Un string en coton blanc et son soutien-gorge assorti. Un tee-shirt à manches longue et un col ample dévoilant le haut de mes épaules. Mon pantalon en lin assez large sauf sur les fesses. Une paire de basquettes et le tour est joué, j’attends Laeticia.
Je n’attends pas longtemps, elle sonne, j’ouvre la porte, elle se jette dans mes bras et me serre de toutes ses forces. Je lui rends son accolade, trop heureuse de la voir mais vais-je pouvoir lui dire ce que j’ai à lui dire alors qu’une boule se forme dans ma gorge. Elle relâche son étreinte et se recule, elle a les yeux humides et son mascara à un peu coulé. Je lui propose de passer au salon et nous nous installons elle dans le canapé moi dans un fauteuil. Un silence gêné s’installe tandis que je la détaille. Elle est vraiment jolie, elle porte un chemisier fleuri, une jupe sage dans les mêmes tons, ses jambes sont gainées de bas ou collants et des ballerines. Je lui propose un thé et elle accepte, je me lève pour le préparer et je l’entends me suivre dans la cuisine. Après avoir mis l’eau à chauffer, j’attrape les tasses et les sachets de thé. Je la alors sens se coller dans mon dos. Elle pose son menton sur mon épaule et m’enlace.
- Tu ma manquée Séverine.
- Toi aussi Laeticia mais il faut qu’on parle toute les deux.
- Oui, je sais.
Me dit-elle dans un souffle qui, en me frôlant le cou me donna la chaire de poule. L’eau boue, je la verse dans les tasses tandis qu’elle reste contre moi.
- Séverine ? Je t’aime tu sais ?
- Oui, je sais et je t’aime aussi.
Elle soupir et son souffle me donne un nouveau frisson. L’instant me semble suspendu et je ne bouge plus, je suis bien là, dans ses bras. C’est réconfortant de la retrouver même si ce que nous avons à nous dire ne sera agréable, je profite de cet instant de paix. Elle me fait de petits bisous sur les épaules et à la base du cou. Ce qui me procure un nouveau frisson de bien-être. Je suis vraiment bien, je ne pense plus à rien qu’au moment présent et au bienfait d’être dans ses bras. Je sens ses mains remonter sur mes épaules, elle me retourne doucement et lorsque nous sommes face à face, elle se penche vers moi, ses lèvres trouvent les miennes me provocant une petite décharge électrique et je sens sa langue trouver la mienne et la caresser doucement. C’est doux et tendre. Des petites étoiles s’allument dans mon ventre et j’ouvre un peu plus la bouche l’invitant à poursuivre. Nous partageons alors un baiser d’une sensualité extraordinaire, les étoiles s’animent dans mon ventre tandis que nos langues jouent entre elles, se quittent pour parcourir nos lèvres, se retrouvent dans une douce étreinte. Je ne sais dire depuis combien de temps nous nous embrassons ainsi, trop peu, quand elle quitte mes lèvres et me dis dans un souffle, le regard suppliant « J’ai envie que nous fassions l’amour, nous parlerons après. ».
Sans réfléchir, je lui prends la main et la guide dans la chambre, arrivées, je l’enlace et cherche ses lèvres que je trouve. Je les parcoure du bout des lèvres, rencontre sa langue qui joue avec la mienne. Nos lèvres se soudent et nos langues se caressent doucement. Ses mains sur mes hanches descendent sur mes fesses et les caressent doucement affolant les étoiles dans mon ventre. Une douce chaleur l’envahit qui se propage jusque dans mon sexe qui prend forme. Je descends alors mes mains sur les fesses de Laeticia, je les trouve fermes et rebondies, et les caresses doucement. Elle semble ressentir les mêmes sensations que moi car je sens son sexe prendre forme. Nous poursuivons notre baiser tandis que j’alterne des caresses dans son dos et sur ses fesses. La pression sur mes fesses se fait plus forte et elle me sert contre elle et commence à bouger le bassin. Nos sexes se frottent, se frôlent, se caressent. Je lui sers les fesses tandis que les étoiles s’illuminent plus fortement, diffusant une douce chaleur dans mon bas ventre.
Ayant besoin de reprendre mon souffle, je quitte ses lèvres et pose mas tête sur son épaule tandis qu’elle poursuit ses lents mouvements du bassin. Tout en poursuivant elle me guide vers le lit sur lequel nous tombons plus ne nous nous y asseyons. Je ne peux m’empêcher d’en rire et elle m’accompagne tandis que nous nous installons plus confortablement. Je suis sur le dos et elle vient se coller à moi. En tournant la tête je trouve ses lèvres gourmandes et sa langue qui vient cherche la mienne dans ma bouche. Je la repousse doucement à force de caresses et traverse ses lèvres pour pénétrer sa bouche. Notre jeu de langues se poursuit, nous faisant rire de tant en temps quand l’une ne veut pas céder de terrain. C’est après un de ces rires que je fonds et la laisse gagner.
Son baiser quitte le cadre du jeu et se fait plus sensuel. Les petites étoiles qui s’étaient calmée se rallument et s’emballent lorsqu’une de ses jambes vient sur mon bassin et caresse mon sexe. Je sens le sien contre ma hanche et il commence à s’y frotter faisant bouger sa cuisse sur mon sexe. C’est un drôle de sensation que de la sentir se frotter à moi tandis que sa cuisse me frotte. Sa main disponible se pose sur mon torse et la mienne sur sa cuisse que je caresse. Je découvre qu’elle est en bas et non en collant quand je touche sa peau douce sous sa jupe. Je la sens trésailler à cette caresse alors je poursuis, passant de son bas à sa peau par de lentes caresses. L’une d’elles m’amène plus loin sur sa hanche et glisse sur sa fesse. Elle tressaille à nouveau contre moi et je poursuis partant du genou pour atteindre sa fesse et repartir pour recommencer du bout des doigts ou du plat de la main.
Ça main passe sous mon tee-shirt, me caresse le ventre et remonte vers ma poitrine. Elle y trouve un téton qu’elle agace et je le sens se durcir tandis qu’il devient hypersensible. Une petite décharge électrique s’en échappe et me fait frissonner à mon tour. Nous frissonnons maintenant toutes les deux alors que je sens ses mouvements contre moi se faire un peu plus forts et rapides. Sa main descend tout à coup, défait le bouton de mon pantalon et poursuit sa descente jusqu’à mon sexe. Je soupire dans sa bouche. Elle me caresse alors que rythme de ses ondulations contre ma hanche. N’ayant plus sa cuisse à caresser, je lui caresse le bras qui bouge en rythme.
Elle se redresse, me fait ôter mon pantalon et vient s’installer entre mes jambes. Elle libère mon sexe, le caresse du bout des doigts puis du bout de la langue et l’avale. Je ferme les yeux et pouce un gémissement de plaisir sous les bienfaits de cette caresse. Elle commence alors une lente fellation qui affole les étoiles dans mon bas ventre. Elle m’aspire sans sa bouche, me suçote le gland, le cajole de la langue. Mon souffle s’accélère et je gémis à chaque fois qu’elle m’avale. Elle remonte alors vers mes lèvres et tandis qu’elle m’embrasse son sexe trouve le mien et s’y frotte. Je descends mes mains sur ses fesses, je les caresse et leur imprime le mouvement de va et vient. Je trouve la fermeture éclaire de sa jupe, la descend et tente de la lui enlever, elle se soulève, m’aide et revient sur moi. Je sens mieux son sexe contre le mien et je peux caresser la douceur de ses fesses.
Je plie les jambes et je fais aller et venir mon bassin contre le sien. Nos lèvres se quittent, nous respirons fort et nous gémissons de plaisir. Je lance une main entre nos ventres collés, je trouve un chemin et, au bout, nos sexes. Je libère celui de Laeticia, attrape nos sexes qui maintenant se frottent librement dans ma main. J’étouffe mes gémissements dans son cou tandis qu’elle fait de même. Les étoiles dans mon ventre fusionnent pour former un soleil dans mon ventre tandis que je sens son gland frotter le mien de plus en plus vite. Le soleil explose et je pousse un cri de plaisir qui s’accorde à celui de Laeticia.
Je repends doucement mes esprits et je sens Laeticia se relever, nos regards se croisent et nous éclatons de rire. Un rire nerveux, qui libère nos corps des dernières tensions après ce moment intense. Laeticia me demande si je veux qu’on parle maintenant ou que nous prenions une douche d’abord. Ok pour la douche, nos ventres sont poisseux de nos jouissances.
Plusieurs mois ont passé, Laeticia et Hakim ont tenté de me contacter dans les jours qui ont suivi mais je les ai ignorés. J’ai systématiquement effacé leurs messages sans les lire ou les écouter et ils ont cessé. Je n’ai plus confiance en eux et je leur en veux toujours.
Un jour que je suis seul à la maison Hakim se présent :
- Bonjour Antoine, je peux entrer pour discuter avec toi ?
- Je ne crois pas, non. Je n’ai rien à te dire.
- Oui mais moi j’ai des choses à te dire.
- C’est ton problème, je ne veux rien entendre.
- Franck, tu ne peux pas foutre en l’air une amitié de presque 2 ans comme ça !
- Nous ne sommes pas potes Hakim, Laeticia et Séverine l’étaient mais Séverine est morte un certain soir.
Sur ce, je ferme la porte.
Quelques jours plus tard alors que je suis en télétravail et ma copine (qui va devenir ma femme au fait, je lui ai fait ma demande il y a 2 semaines et le mariage est prévu pour dans presque 2 mois) est au boulot, c’est Laeticia qui se présente. Elle est belle à couper le souffle même si sa tenue est toute simple, tee-shirt blanc sous un blouson noir, jeans et baskets, elle dégage un je ne sais quoi. Je reste un instant sans réaction alors elle prend l’initiative.
- Bonjour Antoine, je peux entrer pour discuter avec toi ?
- Je ne crois pas, non. Je n’ai pas plus de choses à te dire qu’a Hakim.
- C’est moche ce que tu nous fais là. Séverine est la seule amie que ne n’ai jamais eue, tu ne peux pas me l’enlever.
- Je ne t’enlève rien, elle est morte, c’est comme ça, ce sont des choses qui arrivent.
Je réussis à rester ferme bien que la souffrance de Laeticia me transperce le cœur.
- Mais je ne veux pas qu’elle soit morte moi, j’ai besoin d’elle. Je sais qu’elle aussi a besoin de moi. Elle ne peut pas être morte, je l’aime. Je meurs aussi sans elle.
Je ne sais pas quoi dire et me tais.
- Je suis vraiment désolé.
Le cœur lourd je referme la porte mais elle se jette dans mes bras et en pleure me supplie.
- Fais-la revenir ! Fais-la revenir ! Je veux la voir une dernière fois, lui dire au revoir si elle veut partir.
Je la repousse doucement et ferme la porte. Je l’entant pleurer derrière la porte tandis que j’ai les jambes tremblantes et que mon cœur bat fort. Des émotions contradictoires me traversent et, n’arrivant pas à faire le tri, je me sens mal. Je titube jusqu’au salon et je m’affale dans le canapé. Mon téléphone sonne mon cœur qui se calmait s’affole à nouveau, est-ce elle ? Ce n’est que le boulot, je laisse sonner. Tandis que je me calme, des images me viennent. Nos premiers échanges sur le forum, nos premiers messages, nos premiers appels et notre première rencontre. Doucement je sens que Séverine prend le pas sur Franck, ses émotions sont trop fortes. Je repense à nos discutions sur la mode féminine, à nos premiers essayages et à nos fous rire lorsque les résultats étaient plus que ratés. Je repense à nos premiers talons hauts et, là encore, aux fous rire qu’ils ont provoqués. Tout me revient en vrac, maquillage, perruques, lingeries, épilation. Et avec ces souvenirs un de joie et de paix. C’était ma copine. Mais des images de cette fameuse soirée me reviennent aussi et avec elle de la tristesse et de la colère.
Je n’ai jamais pris le temps d’analyser mes sentiments tant j’étais perdue dans ma colère du moment. Cette soirée peut elle anéantir tant de belles choses et de si bons moments ? Oui car elle a perdu ma confiance. Je sais bien qu’elle n’est pas seule responsable, que j’aurais pu dire non et tout arrêter à n’importe quel moment mais c’est à cause d’elle que tout a commencé. C’est à cause d’elle que j’ai peur. Peur parce que j’ai eu du plaisir et je ne veux pas de ça. Finalement je prends mon téléphone et lui je lui envoie un message « Ok, je t’expliquerai tout, viens vendredi en début d’après-midi ».
Franck télétravail vendredi matin pendant que je redoute le début d’après-midi. Franck m’empêche de me concentrer et de réfléchir. Qu’est-ce que j’en ai à faire de ses problèmes de planning et de relations clients ? Midi arrive et il me libère, je me précipite sous la douche, me maquille et courre vers mon armoire secrète, hésite un instant et m’habille. Un string en coton blanc et son soutien-gorge assorti. Un tee-shirt à manches longue et un col ample dévoilant le haut de mes épaules. Mon pantalon en lin assez large sauf sur les fesses. Une paire de basquettes et le tour est joué, j’attends Laeticia.
Je n’attends pas longtemps, elle sonne, j’ouvre la porte, elle se jette dans mes bras et me serre de toutes ses forces. Je lui rends son accolade, trop heureuse de la voir mais vais-je pouvoir lui dire ce que j’ai à lui dire alors qu’une boule se forme dans ma gorge. Elle relâche son étreinte et se recule, elle a les yeux humides et son mascara à un peu coulé. Je lui propose de passer au salon et nous nous installons elle dans le canapé moi dans un fauteuil. Un silence gêné s’installe tandis que je la détaille. Elle est vraiment jolie, elle porte un chemisier fleuri, une jupe sage dans les mêmes tons, ses jambes sont gainées de bas ou collants et des ballerines. Je lui propose un thé et elle accepte, je me lève pour le préparer et je l’entends me suivre dans la cuisine. Après avoir mis l’eau à chauffer, j’attrape les tasses et les sachets de thé. Je la alors sens se coller dans mon dos. Elle pose son menton sur mon épaule et m’enlace.
- Tu ma manquée Séverine.
- Toi aussi Laeticia mais il faut qu’on parle toute les deux.
- Oui, je sais.
Me dit-elle dans un souffle qui, en me frôlant le cou me donna la chaire de poule. L’eau boue, je la verse dans les tasses tandis qu’elle reste contre moi.
- Séverine ? Je t’aime tu sais ?
- Oui, je sais et je t’aime aussi.
Elle soupir et son souffle me donne un nouveau frisson. L’instant me semble suspendu et je ne bouge plus, je suis bien là, dans ses bras. C’est réconfortant de la retrouver même si ce que nous avons à nous dire ne sera agréable, je profite de cet instant de paix. Elle me fait de petits bisous sur les épaules et à la base du cou. Ce qui me procure un nouveau frisson de bien-être. Je suis vraiment bien, je ne pense plus à rien qu’au moment présent et au bienfait d’être dans ses bras. Je sens ses mains remonter sur mes épaules, elle me retourne doucement et lorsque nous sommes face à face, elle se penche vers moi, ses lèvres trouvent les miennes me provocant une petite décharge électrique et je sens sa langue trouver la mienne et la caresser doucement. C’est doux et tendre. Des petites étoiles s’allument dans mon ventre et j’ouvre un peu plus la bouche l’invitant à poursuivre. Nous partageons alors un baiser d’une sensualité extraordinaire, les étoiles s’animent dans mon ventre tandis que nos langues jouent entre elles, se quittent pour parcourir nos lèvres, se retrouvent dans une douce étreinte. Je ne sais dire depuis combien de temps nous nous embrassons ainsi, trop peu, quand elle quitte mes lèvres et me dis dans un souffle, le regard suppliant « J’ai envie que nous fassions l’amour, nous parlerons après. ».
Sans réfléchir, je lui prends la main et la guide dans la chambre, arrivées, je l’enlace et cherche ses lèvres que je trouve. Je les parcoure du bout des lèvres, rencontre sa langue qui joue avec la mienne. Nos lèvres se soudent et nos langues se caressent doucement. Ses mains sur mes hanches descendent sur mes fesses et les caressent doucement affolant les étoiles dans mon ventre. Une douce chaleur l’envahit qui se propage jusque dans mon sexe qui prend forme. Je descends alors mes mains sur les fesses de Laeticia, je les trouve fermes et rebondies, et les caresses doucement. Elle semble ressentir les mêmes sensations que moi car je sens son sexe prendre forme. Nous poursuivons notre baiser tandis que j’alterne des caresses dans son dos et sur ses fesses. La pression sur mes fesses se fait plus forte et elle me sert contre elle et commence à bouger le bassin. Nos sexes se frottent, se frôlent, se caressent. Je lui sers les fesses tandis que les étoiles s’illuminent plus fortement, diffusant une douce chaleur dans mon bas ventre.
Ayant besoin de reprendre mon souffle, je quitte ses lèvres et pose mas tête sur son épaule tandis qu’elle poursuit ses lents mouvements du bassin. Tout en poursuivant elle me guide vers le lit sur lequel nous tombons plus ne nous nous y asseyons. Je ne peux m’empêcher d’en rire et elle m’accompagne tandis que nous nous installons plus confortablement. Je suis sur le dos et elle vient se coller à moi. En tournant la tête je trouve ses lèvres gourmandes et sa langue qui vient cherche la mienne dans ma bouche. Je la repousse doucement à force de caresses et traverse ses lèvres pour pénétrer sa bouche. Notre jeu de langues se poursuit, nous faisant rire de tant en temps quand l’une ne veut pas céder de terrain. C’est après un de ces rires que je fonds et la laisse gagner.
Son baiser quitte le cadre du jeu et se fait plus sensuel. Les petites étoiles qui s’étaient calmée se rallument et s’emballent lorsqu’une de ses jambes vient sur mon bassin et caresse mon sexe. Je sens le sien contre ma hanche et il commence à s’y frotter faisant bouger sa cuisse sur mon sexe. C’est un drôle de sensation que de la sentir se frotter à moi tandis que sa cuisse me frotte. Sa main disponible se pose sur mon torse et la mienne sur sa cuisse que je caresse. Je découvre qu’elle est en bas et non en collant quand je touche sa peau douce sous sa jupe. Je la sens trésailler à cette caresse alors je poursuis, passant de son bas à sa peau par de lentes caresses. L’une d’elles m’amène plus loin sur sa hanche et glisse sur sa fesse. Elle tressaille à nouveau contre moi et je poursuis partant du genou pour atteindre sa fesse et repartir pour recommencer du bout des doigts ou du plat de la main.
Ça main passe sous mon tee-shirt, me caresse le ventre et remonte vers ma poitrine. Elle y trouve un téton qu’elle agace et je le sens se durcir tandis qu’il devient hypersensible. Une petite décharge électrique s’en échappe et me fait frissonner à mon tour. Nous frissonnons maintenant toutes les deux alors que je sens ses mouvements contre moi se faire un peu plus forts et rapides. Sa main descend tout à coup, défait le bouton de mon pantalon et poursuit sa descente jusqu’à mon sexe. Je soupire dans sa bouche. Elle me caresse alors que rythme de ses ondulations contre ma hanche. N’ayant plus sa cuisse à caresser, je lui caresse le bras qui bouge en rythme.
Elle se redresse, me fait ôter mon pantalon et vient s’installer entre mes jambes. Elle libère mon sexe, le caresse du bout des doigts puis du bout de la langue et l’avale. Je ferme les yeux et pouce un gémissement de plaisir sous les bienfaits de cette caresse. Elle commence alors une lente fellation qui affole les étoiles dans mon bas ventre. Elle m’aspire sans sa bouche, me suçote le gland, le cajole de la langue. Mon souffle s’accélère et je gémis à chaque fois qu’elle m’avale. Elle remonte alors vers mes lèvres et tandis qu’elle m’embrasse son sexe trouve le mien et s’y frotte. Je descends mes mains sur ses fesses, je les caresse et leur imprime le mouvement de va et vient. Je trouve la fermeture éclaire de sa jupe, la descend et tente de la lui enlever, elle se soulève, m’aide et revient sur moi. Je sens mieux son sexe contre le mien et je peux caresser la douceur de ses fesses.
Je plie les jambes et je fais aller et venir mon bassin contre le sien. Nos lèvres se quittent, nous respirons fort et nous gémissons de plaisir. Je lance une main entre nos ventres collés, je trouve un chemin et, au bout, nos sexes. Je libère celui de Laeticia, attrape nos sexes qui maintenant se frottent librement dans ma main. J’étouffe mes gémissements dans son cou tandis qu’elle fait de même. Les étoiles dans mon ventre fusionnent pour former un soleil dans mon ventre tandis que je sens son gland frotter le mien de plus en plus vite. Le soleil explose et je pousse un cri de plaisir qui s’accorde à celui de Laeticia.
Je repends doucement mes esprits et je sens Laeticia se relever, nos regards se croisent et nous éclatons de rire. Un rire nerveux, qui libère nos corps des dernières tensions après ce moment intense. Laeticia me demande si je veux qu’on parle maintenant ou que nous prenions une douche d’abord. Ok pour la douche, nos ventres sont poisseux de nos jouissances.
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