Les découvertes de Charline 7
Récit érotique écrit par Evelyne De G [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Evelyne De G ont reçu un total de 36 416 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2020 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 3 715 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Les découvertes de Charline 7
.Jour 7: plug et cinéma
La ponctualité de Charline est une de ses grandes fiertés. La maison était fermée, la voiture de Julian n’était pas là, elle ne trouva aucun mot sur la table de la cuisine et ne savait pas si Sylvia dormait encore ou pas. Elle écouta à la porte de la chambre mais n’entendit aucun bruit. Elle ne prit pas le risque cette fois ci de rentrer dans la pièce. Certes elle avait adoré recevoir cette fessée en punition, mais elle n’allait pas leur refaire le même coup. Elle trouva sur la table de la cuisine un mot manuscrit de Julian
- Nettoyage du sous-sol.
Ne cherchant pas à en savoir plus, Charline s’arma de balais et serpillère. L’escalier qui descendait au sous-sol était plein de poussières. N’ayant pas envie de salir sa belle petite tenue toute propre, elle alla donc se changer en haut et enfila son costume de soubrette qui serait bien plus pratique. De plus cela ferait peut-être rire Sylvia pour la remettre de bonne humeur.
Charline poussa la poussière de chaque marche sur l’autre, créant un nuage dans le sous-sol. La pièce avait bien changé et des travaux avaient été fait dernièrement, expliquant la poussière. Charline se rappelait d’un grand plateau qui faisait la taille de la maison, un sous-sol total immense où elles jouaient à cache-cache avec ses amies. Mais là, une cloison séparait désormais la pièce en deux avec une double porte centrale. Charline avait souvent vu des doubles portes dans les hôtels où elle descendait avec ses parents, mais jamais aussi grande. Gamine elle s’amusait à fermer la porte de son côté obligeant ses parents à tambouriner pour qu'elle leur ouvre la porte ou les obliger à faire le tour. Sur la droite une sublime cave vitrée et réfrigéré abritait le vin de Julian. Julian avait-il deux caves ? Mais où menait l’escalier en colimaçon de la salle de bain ? Visiblement de l’autre côté du mur qui venait d’être construit.
Le reste de la pièce était en rénovation et destiné à devenir une salle de projection vidéo. Un bar, bientôt fini, était en construction. Dans le fond des bâches recouvraient une table de billard, un flipper, des cartons neuf d’équipement sono et vidéo de grande marque, des canapés Chesterfield, une table basse. Charline venait d’entrer dans l’antre de Julian devinant que cette pièce allait être la sienne. La sublime cave à vin vitrée de toute part allait être le centre de cette pièce.
Charline pensa qu’elle venait d’entrer un peu plus dans l’intimité de Julian en étant dans cette pièce. Et vu la poussière, Sylvia avait négligé de s’occuper de cette partie de la maison qui était impeccable par ailleurs. Charline vu là le moyen de se démarquer de Sylvia. Elle briqua la pièce comme si sa vie en dépendait. De plus après la sortie à la plage d’hier, elle n’avait pas travaillé et il lui semblait juste qu’elle se dépasse pour compenser.
Charline entendit la porte d’entrée claquer, reconnaissant la façon dont Julian la refermait sans ménagement. Elle monta le retrouver. Il était midi passé, réalisant qu’elle venait de faire un ménage de deux heures en bas.
Sylvia était en cuisine et embrassait Julian qui avait ramené les courses.
- Bonjour Mademoiselle soubrette, lâcha Sylvia. Les deux la regardèrent de la tête aux pied, Julian décrochant sa mâchoire.
- Tiens donc, encore une envie de soubrette ? demanda-t-il.
Charline expliqua ne vouloir pas salir sa petite tenue qu’elle adorait et que ces vêtements étaient bien pratiques. Sylvia coupa net les explications.
- Je nous ai réservé la séance de 14h00 pour le dernier Tarantino. Alors faudra pas tarder à déjeuner.
Charline sauta sur place de joie comme une gamine. Elle voulait justement aller voir ce film de ce metteur en scène qu’elle adorait. Non seulement Sylvia venait de l’inviter à aller au cinéma avec eux, mais en plus elle avait fait la cuisine. Elle semblait toute contente de leur avoir fait ces surprises. Charline à son tour voulait mettre en honneur son travail.
- Venez voir j’ai nettoyé le sous-sol !
Main dans la main, Sylvia et Julian suivirent Charline toute excitée. Ils s’extasièrent sur son travail pour sa plus grande fierté. C’est vrai que Charline avait métamorphosée cette pièce qui avait été si longtemps négligée. Charline avait le sentiment d’avoir bien travaillée et surtout de les aider dans leur chantier. En reprenant pleine propriété de sa maison après le divorce. Julian avait entrepris des travaux d’amélioration et fait des modifications dont son ex ne voulait pas entendre parler.
- File sous la douche Charline tu es pleine de poussière. Je t’ai préparée des vêtements sur ton lit.
Décidément Sylvia était bien sympa. Charline, arrivée dans sa chambre, découvrit un ensemble qui lui avait été offert, posé sur le lit. Une longue robe bleu azur, soutien-gorge et string blanc, ainsi qu’une paire de fines sandales à talons aiguille. Charline grogna silencieusement, elle aurait préféré sa petite tenue de ce matin, mais bon, elle devait se faire plus femme, surtout en leur compagnie. Et puis comment refuser quelque chose à Sylvia ou à Julian ? Elle se sentait incapable de leur résister et au final, ils avaient toujours raison.
Julian avait mis la table et siffla quand Charline fit son entrée, se remémorant le défilé. Ils n’avaient qu’une demie heure pour déjeuner et parlèrent du film. Charline remonta vite fait à l’étage pour finir de se préparer quand Sylvia entra dans la chambre et referma la porte derrière elle. Son regard était celui qu’elle avait déjà vu, froid et glacial. Elle ouvrit sa main et présenta à Charline le petit sex toy avec lequel elle s’était caressée le premier jour. Charline eut la sensation que le sol se dérobait sous ses pieds.
- C’est quoi ça ?
- Mais je… Sylvia la coupa aussitôt
- Comment as-tu osé ?
- Enfin … je ne l’ai pas reposée au bon endroit c’est ça ? Charline s’en voulut de sa bêtise, d’avoir pris ce sex toy à un endroit et de l’avoir reposé ailleurs. Tout semblait rangé et à sa place dans le placard
- Comment t’es-tu permise cela Charline ? Elle réalisa son sans gêne.
- Pardon Sylvia, je m’excuse. Mais je l’ai nettoyé tu sais.
- Si tu veux utiliser un sex toy tu me demande tout simplement la permission avant, d’accord ?
- Oui Sylvia.
- C’est pourtant tout bête de demander poliment non ?
- Oui, je le ferai, je te promets. Charline avoua que demander poliment au lieu de voler en cachette était d’une grande évidence. Sylvia semblait ouverte à lui prêter ses sex toys ce qui au fond était super cool.
- Retourne-toi et lève ta robe. Reconnaissant sa faute Charline s'exécuta. Elle s’attendait à une de ces fessées qui la troublait tant et qu’elle méritait bien.
- Baisse ton string et penche-toi. Charline s’exécuta. Sylvia la fit tourner un peu pour que l’angle de la caméra soit parfait.
- En punition tu vas devoir garder ce plug anal jusqu’à notre retour du cinéma. C’est clair ? En lisant les articles sur la plage Charline savait qu’elle avait confondu par inexpérience un petit gode avec un plug anal.
- Oui Sylvia.
- Attention je vérifierai en rentrant !
Sylvia n’eut pas besoin d’écarter les petites fesses de Charline. Sa minceur lui offrait une vue immédiate sur son anus. Sylvia avait pris un peu de vaseline et inséra l’objet en elle tout de même lentement. Comme pour ne pas l'effrayer et lui faire apprécier le moment. Charline lâcha un petit râle tout mignon, entre peur, surprise et plaisir de se sentir ainsi s’ouvrir sous la pression et se refermer sur cet objet froid.
- Relève-toi et remet ton string.
Charline s’exécuta. La sensation d’avoir un objet pourtant très petit dans ses entrailles lui faisait tout bizarre. C’était désagréable et plaisant à la fois, mais au final, elle aimait bien.
- Surtout ne dit rien à Julian, tout cela est entre nous c’est clair ?
- Oui Sylvia très clair
- Et surveille ta messagerie pendant le film. C’est clair ?
- Oui Sylvia très clair.
- Tu devras faire tout ce que je te demanderai dans mes messages
- Oui Sylvia, je m’y engage. Et excuse-moi encore pour ma conduite.
Sylvia repartie comme elle était arrivée, laissant Charline s’habituer au plug en elle. La scène avait été surréaliste mais ô combien logique. Ses tétons étaient tout dressés et elle se sentie mouiller.
En bas Sylvia se blottit contre son homme qui avait tout vu depuis son laptop et bandait ferme.
Descendre l’escalier pour Charline fut comme une douce torture, tout comme marcher jusqu’à la voiture. Julian lui ouvrit la portière et elle s’assit avec un maximum de précaution, un peu comme si elle avait mal au dos. Quand Julian pris le volant, Charline se remémora leur masturbation folle de la veille. Le sourire de Julian dans le rétroviseur lui mit comme un doute à l’oreille. Son esprit ne supportait pas autant d’émotion et elle ferma les yeux jusqu’au cinéma, incapable de se souvenir du trajet. A chaque virage ou freinage le plug bougeait en elle.
Heureusement le cinéma n’était pas bien loin et Julian trouva une place de parking tout proche de l’entrée, car Charline avait peur de marcher en public avec ce plug en elle. Sylvia pris un selfie des trois devant l’affiche du film. Voyant que tout le monde attendait pour le Tarantino, Sylvia changea d’avis et choisi un autre film. La salle était toute petite et il y n’y avait que trois spectateurs, tous devant eux. Normal pour une séance de 14:00 d’un film nul en milieu de semaine et en plein été. Sylvia choisit une rangée, s’y engagea suivi de Julian, Charline fermant la marche. Elle s’installa le plus confortablement possible avec son plug. Comme Julian était à ses côtés rien ne pouvait plus lui arriver. Le film commença, Charline était encore en mode frustrée et aurait préféré son Tantatino adoré, Sylvia devait continuer à la punir.
En pleine séance Charline, sens aux aguets, s'aperçut qu’une main de Sylvia s’était faufilée sous le jogging Boss de Julian. Surprise, Charline qui se dandinait régulièrement à cause de l’inconfort du plug, ne put détourner son regard et regarder le sexe de Julian en érection sous le jogging ! Elle était bien plus près cette fois ci que depuis la banquette arrière de la voiture. Elle était même aux premières loges, et était impressionnée par la taille XXL. Elle pensa qu’elle serait incapable de l’accueillir en elle, où que ce soit, dans sa gorge, son sexe ou son anus. Il était bien trop gros !
Sylvia s’était saisie de la queue et commença un lent mouvement le long de cette belle colonne de chair. Julian s'installa plus confortablement, avançant son bassin pour mieux apprécier la caresse de sa compagne. Elle accélérait la vitesse lentement sous les yeux de Charline. Julian, comme absorbé par le film, fit semblant de ne pas voir sa compagne taper discrètement un très court message sur son portable.
Charline entendit son portable vibrer en mode silencieux
- Branle-toi !
L’ordre venait de tomber, court, direct, vulgaire mais terriblement torride dans cette circonstance. Charline était terrorisée mais comment refuser ? C’était une punition bien délicieuse pensa-t-elle. Julian était-il au courant ? En tout cas il avait les yeux fermés, appréciant la masturbation que lui offrait Sylvia. Heureusement la rangée et les sièges voisins était vide. Alors elle souleva lentement sa robe sans faire de bruit. Qu’elle idée de lui faire porter une robe longue et lui demander après de se caresser ? A moins que ce n'était pas prévu… Surement ça.
Charline vit le visage de Sylvia tournée vers elle, qui la regardait faire. Sa main glissa sous son string, elle mouillait déjà et caressa doucement son clito du bout de ses doigts en regardant l’entre cuisse de Julian qui se régalait avec la main de sa compagne. Chaque fois qu’elle sentait son plaisir arriver, Charline s’arrêtait, ne voulant pas jouir dans ce cinéma, au risque de se faire remarquer. La présence du plug anal semblait décupler son plaisir, ou était-ce l’étrangeté de cette situation inattendue ? Son téléphone en vibrant la fit sursauter, comme si tous les spectateurs avaient entendu.
- Branle-le !
Charline déglutit de tant de vulgarité excitante. Elle n’en croyait pas ses yeux ! Sylvia lui demandait de branler son mec ? de branler Julian ? dans un cinéma en plus ! En public … Mais elle est folle !!!! Surtout qu’elle n’a encore jamais branlé d’homme de sa vie. Mais cet homme était Julian alors tout est plus fort qu’elle. Après tout elle avait promis à Sylvia de faire tout ce qu’elle lui demandera. Charline, les joues rouges, ne pus résister à l’envie bien longtemps. Sylvia avait retiré sa main du jogging, la place était libre. Elle jeta un long regard tout autour d’elle. Julian avait toujours les yeux fermés. Une fois rassurée elle glissa timidement sa main sous le tissu du magnifique jogging.
Julian goûta cet instant de plaisir sublime comme un bon vin ou un bon cigare bien préparé. Voilà que Charline s’était faite cueillir comme une fleur en six jours. Depuis le temps qu’ils l’avaient lentement préparé à cela. Le piège s’était refermé sur elle sans qu’elle ne se débatte pour s’en sortir. Il sentit les petits doigts de Charline toucher son ventre et venir se cacher à l’abris de son jogging. La petite main de la jeune vierge progressa vers sa belle queue dressée. Elle effleura son gland du bout des doigts et Julian sentie toute son inexpérience de la chose mais aussi toutes ses envies mal maîtrisées.
Charline comme Julian avait elle aussi fermée les yeux mais en mode Autruche. Elle ne voulait pas voir la lumière s’allumer ou des gens se lever pour protester ou la sécurité venir les virer. Le contact avec la queue de Julian lui rappela ce moment où elle l’avait touché par un malencontreux hasard dans la piscine en se faisant couler. Elle la sentit sous ses doigts, douce et ferme. Elle imita les gestes qu’elle avait vu de Sylvia, descendant du gland vers les bourses, pour en apprécier la longueur. Puis elle se décida de la prendre en main pour commencer à la masturber. Le geste n’était pas simple mais il lui sembla trouver le bon mouvement.
Charline déplissa les yeux pour mieux regarder ses mouvements sous le jogging et les comparer à ceux qu’avait fait Sylvia un peu plus tôt. C’est alors qu’elle vit Sylvia faire comme elle, remonter sa jupe sur ses cuisses, probablement pour se caresser de son côté. Cela rajouta à son trouble. Julian respirait plus fort à ses côtés, ravi qu’il manifeste quelque chose pour la rassurer sur le plaisir qu’elle pouvait bien lui procurer.
Julian appréciait cet instant de vie et remerciait Sylva de lui offrir ces moments uniques de complicité. Dieu quel changement avec Isabelle son ex. Julian était tout simplement heureux, épanoui, bien dans sa peau et ravi de sa nouvelle vie. Jamais encore n’avait-il été si proche d’une qualité de vie optimale, d’un bien-être et d’un équilibre général. Les petits doigts de sa Princesse lui offrait un cadeau des plus sensuel, érotique et il se délectait de ces émotions-là.
Sylvia s’approcha de l’oreille de Julian et lui dit quelque chose. Charline stoppa net son geste en attente de la suite. Julian souleva discrètement son bassin et fit glisser son jogging jusqu’à ses genoux. Sa queue libre et nue se dressa et Charline ne put s'empêcher de la regarder, fière et dressée, belle et droite. A côté Sylvia se caressait aidée cette fois ci de Julian dont une main s’affairait entre les cuisses de sa chérie.
Que n’aurait pas donnée Charline pour que Julian la caresse à elle aussi. Mais au lieu de cela, Julian lui pris la main et de ses doigts, lui apprit à mieux le masturber. Il faisait cela avec une infinie douceur caressant sa main et ses doigts et les guidant sur une prise en main de sa queue. Julian était en mode professeur avec Charline et en mode amant avec Sylvia.
Charline avait en main le sexe de l’homme qu’elle désirait le plus au monde. Elle faisait des allées et venues en mode coup de poignet guidée par l’expérience de Julian qui lui livrait les secrets sur la manière de lui offrir le meilleur plaisir. Ce moment inattendu, partagé à trois, monta en flèche quand Julian s’approcha d’elle pour lui murmurer quelque chose. Il avait gardé ses yeux fermés, le parfum de Julian se faisant plus intense quand il s’approchait d’elle
- Caresse-toi de l’autre main.
Charline sentit sa respiration se bloquer, sa tête allait exploser. Un trio infernal venait de mettre en route. Sylvia se caressait aidée de Julian, Charline caressait Julian tout en se caressant elle-même et Julian caressait Sylvia tout en aidant Charline à le masturber.
- Caresses toi Princesse, lâcha Julian encore plus doucement.
Rassurée Charline effleura son clito électrique. Elle ressentait la présence souterraine de son plug anal qui décuplait son plaisir. Elle masturbait Julian qui la guidait de ses doigts épais avec plus d’assurance et gagnait en vitesse et en folie. Elle entendit le souffle de Sylvia s’accélérer et son corps se tendre. Elle n’était pas loin du précipice non plus. Julian à ses côtés respirait de plus en plus fort et le clito de Charline allait exploser.
Le halètement contenu de Sylvia fit tomber le premier domino de la chaîne. Elle venait d’orgasmer. Charline sentie Julian se tendre et sa queue prête à exploser. Charline avala le petit cri au bord de ses lèvres et fut emportée par la vague en sentant les jets de sperme sortir de la belle queue de Julian. Ils partirent vers les fauteuils du rang de devant. Charline sentie l’odeur du sperme chaud éphémère et repartie en spasmes.
- Merci Princesse merci, murmura Julian
Les vagues de plaisirs de Charline redoublèrent à ce compliment et elle frissonna en sentant les doigts de Sylvia venir se poser sur les siens, caressant avec elle en harmonie la queue dure encore dressée et ce sperme qui dégoulinait sur leurs doigts. Elle venait de faire jouir un homme pour la première fois de sa vie et il fallait que ce fut Julian !
Julian remonta son jogging, obligeant les filles à se séparer. Charline frotta sa main pleine de sperme au fauteuil d'à côté tandis que Sylvia léchait sa main. Charline s’en voulut de ne pas avoir fait comme elle et porta la main à sa bouche pour lécher ce qui restait de sperme sur ses doigts mais en trouva peu. Elle aimait le goût puissant et agréablement parfumé, sa consistance particulière, liquide et épais à la fois. Elle retrouva la fugacité du parfum qu’elle aimait tant, ce symbole du mâle de qui elle était follement amoureuse.
En quittant la salle, rien ne fut dit sur ce qu’il venait de se passer. Ils parlèrent de la nullité du film, du scénario et des acteurs. Charline était juste dégoutée que Julian et Sylvia s’embrasse amoureusement sous ses yeux et se sentie toute conne et un peu le jouet de ces deux-là. Dans la voiture le couple n’arrêtait pas de se chercher du regard et de se parler comme deux tourtereaux, ignorant la passagère à l’arrière. Charline savait qu’ils allaient faire l’amour en rentrant.
Alors elle leur demanda de la déposer chez eux en passant. Elle viendrait demain à pied. Une fois rentrée à l’abri chez ses parents elle ne put se retenir de pleurer, seule dans son coin, terriblement solitaire. Elle se caressa en repensant à cette nouvelle expérience qu’elle venait de vivre grâce à ses patrons, expérience décuplée par la présence de ce plug anal. Elle apprit à le retirer et à le remettre toute seule. Elle se caressa aussi avec, comme au premier jour de leur rencontre
La ponctualité de Charline est une de ses grandes fiertés. La maison était fermée, la voiture de Julian n’était pas là, elle ne trouva aucun mot sur la table de la cuisine et ne savait pas si Sylvia dormait encore ou pas. Elle écouta à la porte de la chambre mais n’entendit aucun bruit. Elle ne prit pas le risque cette fois ci de rentrer dans la pièce. Certes elle avait adoré recevoir cette fessée en punition, mais elle n’allait pas leur refaire le même coup. Elle trouva sur la table de la cuisine un mot manuscrit de Julian
- Nettoyage du sous-sol.
Ne cherchant pas à en savoir plus, Charline s’arma de balais et serpillère. L’escalier qui descendait au sous-sol était plein de poussières. N’ayant pas envie de salir sa belle petite tenue toute propre, elle alla donc se changer en haut et enfila son costume de soubrette qui serait bien plus pratique. De plus cela ferait peut-être rire Sylvia pour la remettre de bonne humeur.
Charline poussa la poussière de chaque marche sur l’autre, créant un nuage dans le sous-sol. La pièce avait bien changé et des travaux avaient été fait dernièrement, expliquant la poussière. Charline se rappelait d’un grand plateau qui faisait la taille de la maison, un sous-sol total immense où elles jouaient à cache-cache avec ses amies. Mais là, une cloison séparait désormais la pièce en deux avec une double porte centrale. Charline avait souvent vu des doubles portes dans les hôtels où elle descendait avec ses parents, mais jamais aussi grande. Gamine elle s’amusait à fermer la porte de son côté obligeant ses parents à tambouriner pour qu'elle leur ouvre la porte ou les obliger à faire le tour. Sur la droite une sublime cave vitrée et réfrigéré abritait le vin de Julian. Julian avait-il deux caves ? Mais où menait l’escalier en colimaçon de la salle de bain ? Visiblement de l’autre côté du mur qui venait d’être construit.
Le reste de la pièce était en rénovation et destiné à devenir une salle de projection vidéo. Un bar, bientôt fini, était en construction. Dans le fond des bâches recouvraient une table de billard, un flipper, des cartons neuf d’équipement sono et vidéo de grande marque, des canapés Chesterfield, une table basse. Charline venait d’entrer dans l’antre de Julian devinant que cette pièce allait être la sienne. La sublime cave à vin vitrée de toute part allait être le centre de cette pièce.
Charline pensa qu’elle venait d’entrer un peu plus dans l’intimité de Julian en étant dans cette pièce. Et vu la poussière, Sylvia avait négligé de s’occuper de cette partie de la maison qui était impeccable par ailleurs. Charline vu là le moyen de se démarquer de Sylvia. Elle briqua la pièce comme si sa vie en dépendait. De plus après la sortie à la plage d’hier, elle n’avait pas travaillé et il lui semblait juste qu’elle se dépasse pour compenser.
Charline entendit la porte d’entrée claquer, reconnaissant la façon dont Julian la refermait sans ménagement. Elle monta le retrouver. Il était midi passé, réalisant qu’elle venait de faire un ménage de deux heures en bas.
Sylvia était en cuisine et embrassait Julian qui avait ramené les courses.
- Bonjour Mademoiselle soubrette, lâcha Sylvia. Les deux la regardèrent de la tête aux pied, Julian décrochant sa mâchoire.
- Tiens donc, encore une envie de soubrette ? demanda-t-il.
Charline expliqua ne vouloir pas salir sa petite tenue qu’elle adorait et que ces vêtements étaient bien pratiques. Sylvia coupa net les explications.
- Je nous ai réservé la séance de 14h00 pour le dernier Tarantino. Alors faudra pas tarder à déjeuner.
Charline sauta sur place de joie comme une gamine. Elle voulait justement aller voir ce film de ce metteur en scène qu’elle adorait. Non seulement Sylvia venait de l’inviter à aller au cinéma avec eux, mais en plus elle avait fait la cuisine. Elle semblait toute contente de leur avoir fait ces surprises. Charline à son tour voulait mettre en honneur son travail.
- Venez voir j’ai nettoyé le sous-sol !
Main dans la main, Sylvia et Julian suivirent Charline toute excitée. Ils s’extasièrent sur son travail pour sa plus grande fierté. C’est vrai que Charline avait métamorphosée cette pièce qui avait été si longtemps négligée. Charline avait le sentiment d’avoir bien travaillée et surtout de les aider dans leur chantier. En reprenant pleine propriété de sa maison après le divorce. Julian avait entrepris des travaux d’amélioration et fait des modifications dont son ex ne voulait pas entendre parler.
- File sous la douche Charline tu es pleine de poussière. Je t’ai préparée des vêtements sur ton lit.
Décidément Sylvia était bien sympa. Charline, arrivée dans sa chambre, découvrit un ensemble qui lui avait été offert, posé sur le lit. Une longue robe bleu azur, soutien-gorge et string blanc, ainsi qu’une paire de fines sandales à talons aiguille. Charline grogna silencieusement, elle aurait préféré sa petite tenue de ce matin, mais bon, elle devait se faire plus femme, surtout en leur compagnie. Et puis comment refuser quelque chose à Sylvia ou à Julian ? Elle se sentait incapable de leur résister et au final, ils avaient toujours raison.
Julian avait mis la table et siffla quand Charline fit son entrée, se remémorant le défilé. Ils n’avaient qu’une demie heure pour déjeuner et parlèrent du film. Charline remonta vite fait à l’étage pour finir de se préparer quand Sylvia entra dans la chambre et referma la porte derrière elle. Son regard était celui qu’elle avait déjà vu, froid et glacial. Elle ouvrit sa main et présenta à Charline le petit sex toy avec lequel elle s’était caressée le premier jour. Charline eut la sensation que le sol se dérobait sous ses pieds.
- C’est quoi ça ?
- Mais je… Sylvia la coupa aussitôt
- Comment as-tu osé ?
- Enfin … je ne l’ai pas reposée au bon endroit c’est ça ? Charline s’en voulut de sa bêtise, d’avoir pris ce sex toy à un endroit et de l’avoir reposé ailleurs. Tout semblait rangé et à sa place dans le placard
- Comment t’es-tu permise cela Charline ? Elle réalisa son sans gêne.
- Pardon Sylvia, je m’excuse. Mais je l’ai nettoyé tu sais.
- Si tu veux utiliser un sex toy tu me demande tout simplement la permission avant, d’accord ?
- Oui Sylvia.
- C’est pourtant tout bête de demander poliment non ?
- Oui, je le ferai, je te promets. Charline avoua que demander poliment au lieu de voler en cachette était d’une grande évidence. Sylvia semblait ouverte à lui prêter ses sex toys ce qui au fond était super cool.
- Retourne-toi et lève ta robe. Reconnaissant sa faute Charline s'exécuta. Elle s’attendait à une de ces fessées qui la troublait tant et qu’elle méritait bien.
- Baisse ton string et penche-toi. Charline s’exécuta. Sylvia la fit tourner un peu pour que l’angle de la caméra soit parfait.
- En punition tu vas devoir garder ce plug anal jusqu’à notre retour du cinéma. C’est clair ? En lisant les articles sur la plage Charline savait qu’elle avait confondu par inexpérience un petit gode avec un plug anal.
- Oui Sylvia.
- Attention je vérifierai en rentrant !
Sylvia n’eut pas besoin d’écarter les petites fesses de Charline. Sa minceur lui offrait une vue immédiate sur son anus. Sylvia avait pris un peu de vaseline et inséra l’objet en elle tout de même lentement. Comme pour ne pas l'effrayer et lui faire apprécier le moment. Charline lâcha un petit râle tout mignon, entre peur, surprise et plaisir de se sentir ainsi s’ouvrir sous la pression et se refermer sur cet objet froid.
- Relève-toi et remet ton string.
Charline s’exécuta. La sensation d’avoir un objet pourtant très petit dans ses entrailles lui faisait tout bizarre. C’était désagréable et plaisant à la fois, mais au final, elle aimait bien.
- Surtout ne dit rien à Julian, tout cela est entre nous c’est clair ?
- Oui Sylvia très clair
- Et surveille ta messagerie pendant le film. C’est clair ?
- Oui Sylvia très clair.
- Tu devras faire tout ce que je te demanderai dans mes messages
- Oui Sylvia, je m’y engage. Et excuse-moi encore pour ma conduite.
Sylvia repartie comme elle était arrivée, laissant Charline s’habituer au plug en elle. La scène avait été surréaliste mais ô combien logique. Ses tétons étaient tout dressés et elle se sentie mouiller.
En bas Sylvia se blottit contre son homme qui avait tout vu depuis son laptop et bandait ferme.
Descendre l’escalier pour Charline fut comme une douce torture, tout comme marcher jusqu’à la voiture. Julian lui ouvrit la portière et elle s’assit avec un maximum de précaution, un peu comme si elle avait mal au dos. Quand Julian pris le volant, Charline se remémora leur masturbation folle de la veille. Le sourire de Julian dans le rétroviseur lui mit comme un doute à l’oreille. Son esprit ne supportait pas autant d’émotion et elle ferma les yeux jusqu’au cinéma, incapable de se souvenir du trajet. A chaque virage ou freinage le plug bougeait en elle.
Heureusement le cinéma n’était pas bien loin et Julian trouva une place de parking tout proche de l’entrée, car Charline avait peur de marcher en public avec ce plug en elle. Sylvia pris un selfie des trois devant l’affiche du film. Voyant que tout le monde attendait pour le Tarantino, Sylvia changea d’avis et choisi un autre film. La salle était toute petite et il y n’y avait que trois spectateurs, tous devant eux. Normal pour une séance de 14:00 d’un film nul en milieu de semaine et en plein été. Sylvia choisit une rangée, s’y engagea suivi de Julian, Charline fermant la marche. Elle s’installa le plus confortablement possible avec son plug. Comme Julian était à ses côtés rien ne pouvait plus lui arriver. Le film commença, Charline était encore en mode frustrée et aurait préféré son Tantatino adoré, Sylvia devait continuer à la punir.
En pleine séance Charline, sens aux aguets, s'aperçut qu’une main de Sylvia s’était faufilée sous le jogging Boss de Julian. Surprise, Charline qui se dandinait régulièrement à cause de l’inconfort du plug, ne put détourner son regard et regarder le sexe de Julian en érection sous le jogging ! Elle était bien plus près cette fois ci que depuis la banquette arrière de la voiture. Elle était même aux premières loges, et était impressionnée par la taille XXL. Elle pensa qu’elle serait incapable de l’accueillir en elle, où que ce soit, dans sa gorge, son sexe ou son anus. Il était bien trop gros !
Sylvia s’était saisie de la queue et commença un lent mouvement le long de cette belle colonne de chair. Julian s'installa plus confortablement, avançant son bassin pour mieux apprécier la caresse de sa compagne. Elle accélérait la vitesse lentement sous les yeux de Charline. Julian, comme absorbé par le film, fit semblant de ne pas voir sa compagne taper discrètement un très court message sur son portable.
Charline entendit son portable vibrer en mode silencieux
- Branle-toi !
L’ordre venait de tomber, court, direct, vulgaire mais terriblement torride dans cette circonstance. Charline était terrorisée mais comment refuser ? C’était une punition bien délicieuse pensa-t-elle. Julian était-il au courant ? En tout cas il avait les yeux fermés, appréciant la masturbation que lui offrait Sylvia. Heureusement la rangée et les sièges voisins était vide. Alors elle souleva lentement sa robe sans faire de bruit. Qu’elle idée de lui faire porter une robe longue et lui demander après de se caresser ? A moins que ce n'était pas prévu… Surement ça.
Charline vit le visage de Sylvia tournée vers elle, qui la regardait faire. Sa main glissa sous son string, elle mouillait déjà et caressa doucement son clito du bout de ses doigts en regardant l’entre cuisse de Julian qui se régalait avec la main de sa compagne. Chaque fois qu’elle sentait son plaisir arriver, Charline s’arrêtait, ne voulant pas jouir dans ce cinéma, au risque de se faire remarquer. La présence du plug anal semblait décupler son plaisir, ou était-ce l’étrangeté de cette situation inattendue ? Son téléphone en vibrant la fit sursauter, comme si tous les spectateurs avaient entendu.
- Branle-le !
Charline déglutit de tant de vulgarité excitante. Elle n’en croyait pas ses yeux ! Sylvia lui demandait de branler son mec ? de branler Julian ? dans un cinéma en plus ! En public … Mais elle est folle !!!! Surtout qu’elle n’a encore jamais branlé d’homme de sa vie. Mais cet homme était Julian alors tout est plus fort qu’elle. Après tout elle avait promis à Sylvia de faire tout ce qu’elle lui demandera. Charline, les joues rouges, ne pus résister à l’envie bien longtemps. Sylvia avait retiré sa main du jogging, la place était libre. Elle jeta un long regard tout autour d’elle. Julian avait toujours les yeux fermés. Une fois rassurée elle glissa timidement sa main sous le tissu du magnifique jogging.
Julian goûta cet instant de plaisir sublime comme un bon vin ou un bon cigare bien préparé. Voilà que Charline s’était faite cueillir comme une fleur en six jours. Depuis le temps qu’ils l’avaient lentement préparé à cela. Le piège s’était refermé sur elle sans qu’elle ne se débatte pour s’en sortir. Il sentit les petits doigts de Charline toucher son ventre et venir se cacher à l’abris de son jogging. La petite main de la jeune vierge progressa vers sa belle queue dressée. Elle effleura son gland du bout des doigts et Julian sentie toute son inexpérience de la chose mais aussi toutes ses envies mal maîtrisées.
Charline comme Julian avait elle aussi fermée les yeux mais en mode Autruche. Elle ne voulait pas voir la lumière s’allumer ou des gens se lever pour protester ou la sécurité venir les virer. Le contact avec la queue de Julian lui rappela ce moment où elle l’avait touché par un malencontreux hasard dans la piscine en se faisant couler. Elle la sentit sous ses doigts, douce et ferme. Elle imita les gestes qu’elle avait vu de Sylvia, descendant du gland vers les bourses, pour en apprécier la longueur. Puis elle se décida de la prendre en main pour commencer à la masturber. Le geste n’était pas simple mais il lui sembla trouver le bon mouvement.
Charline déplissa les yeux pour mieux regarder ses mouvements sous le jogging et les comparer à ceux qu’avait fait Sylvia un peu plus tôt. C’est alors qu’elle vit Sylvia faire comme elle, remonter sa jupe sur ses cuisses, probablement pour se caresser de son côté. Cela rajouta à son trouble. Julian respirait plus fort à ses côtés, ravi qu’il manifeste quelque chose pour la rassurer sur le plaisir qu’elle pouvait bien lui procurer.
Julian appréciait cet instant de vie et remerciait Sylva de lui offrir ces moments uniques de complicité. Dieu quel changement avec Isabelle son ex. Julian était tout simplement heureux, épanoui, bien dans sa peau et ravi de sa nouvelle vie. Jamais encore n’avait-il été si proche d’une qualité de vie optimale, d’un bien-être et d’un équilibre général. Les petits doigts de sa Princesse lui offrait un cadeau des plus sensuel, érotique et il se délectait de ces émotions-là.
Sylvia s’approcha de l’oreille de Julian et lui dit quelque chose. Charline stoppa net son geste en attente de la suite. Julian souleva discrètement son bassin et fit glisser son jogging jusqu’à ses genoux. Sa queue libre et nue se dressa et Charline ne put s'empêcher de la regarder, fière et dressée, belle et droite. A côté Sylvia se caressait aidée cette fois ci de Julian dont une main s’affairait entre les cuisses de sa chérie.
Que n’aurait pas donnée Charline pour que Julian la caresse à elle aussi. Mais au lieu de cela, Julian lui pris la main et de ses doigts, lui apprit à mieux le masturber. Il faisait cela avec une infinie douceur caressant sa main et ses doigts et les guidant sur une prise en main de sa queue. Julian était en mode professeur avec Charline et en mode amant avec Sylvia.
Charline avait en main le sexe de l’homme qu’elle désirait le plus au monde. Elle faisait des allées et venues en mode coup de poignet guidée par l’expérience de Julian qui lui livrait les secrets sur la manière de lui offrir le meilleur plaisir. Ce moment inattendu, partagé à trois, monta en flèche quand Julian s’approcha d’elle pour lui murmurer quelque chose. Il avait gardé ses yeux fermés, le parfum de Julian se faisant plus intense quand il s’approchait d’elle
- Caresse-toi de l’autre main.
Charline sentit sa respiration se bloquer, sa tête allait exploser. Un trio infernal venait de mettre en route. Sylvia se caressait aidée de Julian, Charline caressait Julian tout en se caressant elle-même et Julian caressait Sylvia tout en aidant Charline à le masturber.
- Caresses toi Princesse, lâcha Julian encore plus doucement.
Rassurée Charline effleura son clito électrique. Elle ressentait la présence souterraine de son plug anal qui décuplait son plaisir. Elle masturbait Julian qui la guidait de ses doigts épais avec plus d’assurance et gagnait en vitesse et en folie. Elle entendit le souffle de Sylvia s’accélérer et son corps se tendre. Elle n’était pas loin du précipice non plus. Julian à ses côtés respirait de plus en plus fort et le clito de Charline allait exploser.
Le halètement contenu de Sylvia fit tomber le premier domino de la chaîne. Elle venait d’orgasmer. Charline sentie Julian se tendre et sa queue prête à exploser. Charline avala le petit cri au bord de ses lèvres et fut emportée par la vague en sentant les jets de sperme sortir de la belle queue de Julian. Ils partirent vers les fauteuils du rang de devant. Charline sentie l’odeur du sperme chaud éphémère et repartie en spasmes.
- Merci Princesse merci, murmura Julian
Les vagues de plaisirs de Charline redoublèrent à ce compliment et elle frissonna en sentant les doigts de Sylvia venir se poser sur les siens, caressant avec elle en harmonie la queue dure encore dressée et ce sperme qui dégoulinait sur leurs doigts. Elle venait de faire jouir un homme pour la première fois de sa vie et il fallait que ce fut Julian !
Julian remonta son jogging, obligeant les filles à se séparer. Charline frotta sa main pleine de sperme au fauteuil d'à côté tandis que Sylvia léchait sa main. Charline s’en voulut de ne pas avoir fait comme elle et porta la main à sa bouche pour lécher ce qui restait de sperme sur ses doigts mais en trouva peu. Elle aimait le goût puissant et agréablement parfumé, sa consistance particulière, liquide et épais à la fois. Elle retrouva la fugacité du parfum qu’elle aimait tant, ce symbole du mâle de qui elle était follement amoureuse.
En quittant la salle, rien ne fut dit sur ce qu’il venait de se passer. Ils parlèrent de la nullité du film, du scénario et des acteurs. Charline était juste dégoutée que Julian et Sylvia s’embrasse amoureusement sous ses yeux et se sentie toute conne et un peu le jouet de ces deux-là. Dans la voiture le couple n’arrêtait pas de se chercher du regard et de se parler comme deux tourtereaux, ignorant la passagère à l’arrière. Charline savait qu’ils allaient faire l’amour en rentrant.
Alors elle leur demanda de la déposer chez eux en passant. Elle viendrait demain à pied. Une fois rentrée à l’abri chez ses parents elle ne put se retenir de pleurer, seule dans son coin, terriblement solitaire. Elle se caressa en repensant à cette nouvelle expérience qu’elle venait de vivre grâce à ses patrons, expérience décuplée par la présence de ce plug anal. Elle apprit à le retirer et à le remettre toute seule. Elle se caressa aussi avec, comme au premier jour de leur rencontre
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Evelyne De G
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...