Les découvertes de Charline 8

- Par l'auteur HDS Evelyne De G -
Auteur femme.
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Récit libertin : Les découvertes de Charline 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Les découvertes de Charline 8
Jour 8: baiser et massage tantrique
Charline arriva avec sa ponctualité Suisse chez ses patrons. Julian était déjà au sous-sol, motivé d’avancer l’aménagement de cette pièce qu’il avait négligé trop longtemps.

- Depuis que tu l’as bichonnée, je me sens prêt à m’y attaquer. Merci de m’inspirer, tu es ma Muse.

Charline prenait les compliments de Julian à chaque fois comme des uppercuts en plein cœur. Elle n’en revenait pas de l’élégance de cet homme. A l’intonation de sa voix, elle savait qu’il disait vrai et le pensait vraiment. Julian était un des rares hommes autour d’elle qui ne mentait pas.

- Au fait Julian pour hier ….

- Ce qui est arrivé au cinéma reste au cinéma. Le plus important est que maintenant tu me donne un coup de main pour tout ranger ici s’il te plait.

Il clôtura le débat en une seconde. Charline avait réfléchi toute la nuit et était restée dans une impasse, ne sachant comment aborder le sujet. Julian avec son bon sens, ses citations et ses proverbes venait de résoudre le problème. Il déchargea le poids des épaules de Charline qui se sentie pousser des ailes. Elle ne put s’empêcher de lui faire un bisou chaste sur la joue.

- Merci Julian.

S’étant penchée un peu trop en avant, son talon glissa et Charline tomba dans les bras de son Julian. En bon mâle protecteur il la rattrapa et leurs lèvres se rapprochèrent dangereusement par accident. Ce qui devait arriver arriva, la tension accumulée entre eux deux et le fait qu’ils étaient pour la première fois enfin seuls ensemble, accentua ce besoin de rapprochement harmonieux. Leurs lèvres se rapprochèrent, s'effleurent, chacun sentant le souffle de l’autre. Leurs bouches se cherchaient, se désiraient ardemment et quand le contact des lèvres se fit plus précis, commença un baiser infiniment romantique et platonique, tétons dressés contre torse viril, petit ventre contre queue dressée, Charline la grande se fit toute petite dans ses bras et sentit sa tête tourner comme dans une valse endiablée. Ce baiser de la longue durée gagnait encore en intensité quand soudain Julian s’écarta de Charline.

- Mettons-nous au travail.

Julian venait de se reprendre et cassa la magie du moment avec la dureté de ceux qui ne veulent pas laisser voir leur côté sensible et humain. Et puis il y avait Sylvia bien sûr. Charline se sentit soudain toute fragile. Julien avait vu que la caméra venait de bouger mais qu’elle n’était pas encore dans son champ de vision.

- Allez Charline, il y a beaucoup à faire !

Elle se contenta de ce baiser accidentel, le premier. Même si elle se sentie déçue de cet arrêt soudain. Toutefois elle était ravie d’aider Julian à sublimer cette pièce et de travailler avec lui. Elle sentait encore la douceur et la chaleur des lèvres de Julian sur les siennes. Ce baiser avait mis le feu en elle, jamais elle n’avait ressenti ça quand elle avait embrassé un garçon, mais ils n’arrivaient pas à la cheville de Julian. Elle avait toujours eu une certaine attirance pour Julian. Enfant c’était le père qu’elle aurait aimé avoir, ado il était devenu un ami et maintenant elle le désirait comme une femme peut désirer un homme. Mais cet homme avait une femme et quelle femme…. Sylvia.

Ils retirèrent les bâches encore un peu poussiéreuses pour mettre en place les meubles. Julian brancha l’éclairage indirect et sincèrement, l’endroit était magnifique. La cave à vin réfrigérée derrière les baies vitrées était le centre de la pièce. Julian lui montra sa petite cave à cigares qu’elle n’avait pas vu. Un petit bar design faciliterait les dégustations de vin sur place et les grands canapés Chesterfield, les discussions sans fin avec les amis. La table de billard et le flipper leur donneraient des occasions de bien s’amuser. Il fit descendre le grand écran et testa le projecteur, endroit idéal pour regarder les matchs de rugby...

De l’autre côté de la porte double capitonnée, Charline entendit des sons de musique métal filtrer et des bruits sourds
- C’est quoi ça ?

- Ce doit être Sylvia qui range sa pièce elle aussi. On a divisé le sous-sol en deux, moitié chacun, que l’on puisse tous deux avoir notre intimité et donner libre cours à nos passions. Si on a envie de se voir, on ouvre la double porte, sinon on reste chacun de notre côté.

Charline ne tenait absolument pas à ce que Sylvia les rejoigne pour profiter de son temps seule avec Julian. Elle voulait savoir ce que Sylvia faisait dans sa pièce mais se ravisa, préférant ne pas parler d’elle avec Julian.

Il décida de monter le matériel sono tandis que Charline l’aida à débarrasser les cartons. Puis elle repassa un grand coup d’aspirateur et de serpillère, histoire de prendre au piège les dernières poussières récalcitrantes. Elle passa un chiffon sur tous les meubles, nettoya les vitres de la cave. Une belle odeur de propre flottait dans l’air. Elle était ravie du résultat et fière de son travail.

Charline montra du doigt une espèce de grande boîte en cuir noir :
- Je n’avais jamais vu un truc comme cela, c’est quoi ?

- Ma table de massage. Tu aimes les massages ?

- J’ai eu un massage par un kiné après m’être luxée l’épaule, mais il me faisait mal quand il me massait. Sinon je ne connais pas trop, non.

Julian n’en dit pas plus et comme le temps filait, Charline partit en cuisine. Elle annonça à Julian que le repas était prêt, n’osant même pas aller taper à la porte de Sylvia. Julian alla la chercher et ils vinrent mettre les pieds sous la table installée terrasse sud. Sylvia embrassa Charline et posa une la petite robe blanche qu’elle lui avait achetée en cadeau.

- Enfile cela mon Chaton, j’ai envie de te revoir la porter.

Charline pris la robe pour aller se changer dans sa chambre.

- Non, mets la devant nous, là.

Charline rougie mais au sourire gourmand de Julian elle s’exécuta pour lui faire plaisir. Suivre les ordres que ses employeurs lui donnaient, la déculpabilisait énormément car ce n’est pas elle qui avait la responsabilité de décider. Et puis elle adorait quand tout glissait dans les choses plus sensuelles avec ce couple.

Charline fit sauter ses sandalettes, enleva son petit haut fleuri, qu’elle portait toujours sans soutien-gorge. Elle sembla plus gênée de retirer son petit short noir et marqua comme une hésitation. Elle se mit face à eux et ses joues tournèrent au rouge quand le short tomba au sol. Peut-être parce qu’elle le portait à même la peau sans sa petite culotte blanche en coton ?

- Tu es sublime Charline. Mais il faudra nous demander la permission pour être cul nu chez nous. C’est la moindre des choses il me semble non.

- Oui Sylvia, je comprends.

- Tourne-toi mon Chaton s’il te plait.

Sylvia se doutait de quelque chose. Et elle avait bien raison car Charline portait le plug anal. En se baissant pour ramasser son petit short elle leur offrir une superbe vue sur ses jambes longues et son petit cul avec le plug et son petit sexe roux de vierge. Julian se mit à bander plus fort, réalisant que Charline avait passé tout ce matin avec lui, nue sous son short avec le plug. Décidément cette petite était pleine d’envies.

- Reste dans cette position Charline, ordonna Sylvia. Elle dégaina son portable et activa le mode caméra pour tout filmer.

Elle se leva, portable à la main, s’approcha d’elle lentement.

- Il va falloir répondre à quelques questions ma belle.

- Combien de fois t’es-tu faites jouir depuis hier soir, quand on t’a déposé chez toi et maintenant ?

- 5 fois
- Et depuis ce matin ?

- 2 fois
- A quelle heure ?

- Une ce matin sous la douche au réveil et une autre en cuisinant ici.

- Comment oses-tu te masturber chez nous ? Sans nous demander notre accord ?

La première claque tomba, marquant de ses cinq doigts la fesse blanche de Charline. Il faut dire qu’elle méritait bien cela en effet. De quel droit pouvait-on se masturber sous le toit de quelqu’un d’autre ?

- Il faudra nous dire avant de te masturber chez nous que tu en as envie. C’est compris ?

- Oui Sylvia, j’ai compris
- Julian et moi aimons entendre la vérité plutôt que tu nous mentes et fasses des cachoteries de gamine toute seule de ton côté, qui plus est dans notre dos.

- Depuis quand as-tu ce plug en toi ?

- Je l’ai mis une fois en arrivée ici
- Pourquoi ?

- Je ne sais pas, je trouve cela très troublant.

- Comment oses-tu te mettre mon sex toy, un que je t’ai prêté, chez nous, sous notre toit, sans nous en faire part ?

La seconde fessée tomba, sur l’autre fesse, plus forte que la précédente. Si se masturber chez ses employeurs n’était pas très élégant, alors s’enfiler un plug chez eux relevait du même état d’esprit de sans gêne.

- Il faudra nous demander l'autorisation pour toute envie intime sous notre toit. C’est compris ?

- Oui Sylvia, j’ai compris.

- J’ai bien dit tout. Du coup en punition tu vas garder ce plug toute la journée. Et puis relèves toi petite sotte et enfile cette robe que Julian t’a offerte pour lui faire honneur. Sylvia rangea son portable qui avait tout filmé.

Le sang avait afflué dans la tête de Charline qui était restée penchée. Sa tête lui tournait et en se retournant elle croisa le regard de Julian qui hochait la tête, semblant valider les mots et les actes de Sylvia.

La petite robe en coton une taille en dessous de celle de Charline lui collait au corps et faisait ressortir ses formes de femme tout en la rendant plus gamine. Elle collait à ses seins, ses hanches et son ventre. Comme Charline était très grande la robe terminait juste au ras de son sexe.

- Montre à Julian que tu as bien appris la leçon d’hier au cinéma. Montre-lui comment tu sais désormais caresser le sexe d’un homme !

Charline se mordilla les lèvres, rouge de honte et d’envie. Julian recula sa chaise, ouvrit sa chemise de coton et baissa son short comme hier au cinéma. Charline adorait voir le torse de Julian contre lequel elle adorait se coller. Sa belle queue sortie était déjà dressée, dure et douce à la fois, le gland apparaissait et pointait vers le haut. Elle pouvait désormais l’admirer sans la pression d’imaginer les gens autour la regarder faire dans le cinéma. Et puis ils étaient en plein jour et non pas dans l’obscurité. Elle n’avait pas besoin non plus de se cacher derrière la fente de la parole à la paillote pour la voir. Elle était là libre et nue face à elle.

Sans qu’elle ne commande son cerveau, ses jambes avancèrent instinctivement vers cet homme qui avait envahi sa vie. On dit milf et cougar pour une femme, dit-on filf ou jaguar pour un homme ? Elle avait son jaguar en face d’elle et se jeta non pas dans sa gueule mais s'accroupit devant lui en tendant sa main vers ce sceptre magique. La petite robe bien trop courte qui recouvrait à peine ses cuisses remonta plus haut encore sur ses hanches, ses jambes écartées offrant une vue indécente sur son petit sexe roux.

Passant ses cheveux derrière son oreille de l’autre main, elle s’approcha encore davantage en faisant glisser ses doigts sur toute la longueur de la verge, depuis le gros gland si chaud et si doux jusqu’aux bourses qu’elle savait remplies de ce sperme qui l’attirait tant. Elle referma ses doigts autour du sexe de Julian et lui sembla qu’elle n’en faisait presque pas le tour. Elle le prit pour la première fois à deux mains comme elle l’avait vu faire dans toutes les vidéos qu’elle avait visionnée la veille en se caressant. Elle s’en était servie comme des tutos, au cas où l’occasion lui soit redonnée.

Elle commença un ballet tactile, sous l’œil observateur et critique de Sylvia. Charline, en bonne écolière, avait l’impression de passer un examen qu’elle devait impérativement réussir ! Alors elle s’appliqua, fut attentive aux réactions de Julian, ses changements de position pour mieux s’offrir à ses caresses, à ses soupirs et tensions, à sa respiration. Elle sentait ses mains étonnamment agiles par rapport à hier et sentait qu’elle le branlait bien !

- Tu es une fille hyper douée lui chuchota Julian.

La voix rauque et mâle rassura Charline sur ses progrès. Sylvia avait ses mains posées sur l’épaule de Julian et lui caressait le cou et ses cheveux. Charline évita de la regarder de peur de lire de la jalousie sur son visage.

- Tout en me masturbant pense à croiser mon regard et à me sourire Charline, lâcha Julian
Le visage de Charline s’éclaira et la fierté de l'étudiante qui réussit bien son exercice l’envahit. Ayant gagnée en confiance elle accéléra le mouvement, le branlait d’une main, et caressait ses bourses de l’autre, appréciant le contact de ces deux boules dures qui semblaient flotter de plaisir. Une des vidéos qu’elle avait visionnées l’avait assez impressionnée et elle avait jouit sur un détail super sexy. Alors elle imita l’actrice, se constitua une réserve de salive dans sa bouche et fit couler du bout de ses lèvres chaudes qu’elle positionna juste au-dessus du gland de Julian qu’elle maintenait immobile. Sa salive tomba sur le gland et commença à couler le long de sa verge jusqu’à ces doigts. Elle reprit sa masturbation et croisa le regard de Julian en lui souriant comme il le lui avait demandé.

- Tu es trop belle Princesse !

- Tu veux dire une belle petite salope, lâcha Sylvia
Charline ne fut pas étonnée de cette insulte, entendant de la jalousie dans sa voix. Mais c’était pourtant elle qui lui avait demandé d’aller masturber son chéri.

- Oui c’est une belle petite salope...

Ces mots-là venaient de Julian et avaient une saveur vraiment différente que ces mêmes mots prononcés par Sylvia. De lui elle acceptait tout. Elle était sienne. Alors s’il voulait qu’elle soit une petite salope pour lui elle le serait.

Sourire de fierté aux lèvres, elle se remit à masturber la queue de Julian de plus belle sentant le gland devenir plus gros, plus rouge. Elle adorait voir Julian se tendre, réagir à ses caresses et cela l’excitait encore plus. Elle lui donnait du plaisir, Dieu qu’elle aimait lui en donner ! Elle refit couler un peu plus de salive tout en le regardant quand Julian se crispa, se cambra en grognant et en serrant de ses mains les accoudoirs du fauteuil. Elle sentit le sexe dans sa main se contracter, gonfler, et une saillie de sperme blanc jaillit du gland, gicla sous son menton et sur son cou. Mais à peine cette giclée était retombée qu’une autre enchaîna.

Charline se figea ne sachant que faire face à cette situation inconnue. Le parfum de sexe était intense et elle était plus que troublée par cette situation qui la dépassait. C’est alors que son plug tomba au sol dans un bruit d’acier étourdissant, sans qu’elle ne sache si elle venait de jouir elle-même ou pas, son bas ventre s’était contracté et avait expulsé le plug. Tout se bousculait dans sa tête.

Julian avait du sperme sur son ventre et ses cuisses, et Charline en reçut sur ses cheveux, son bras et sa main. Charline ne savait pas quoi faire, elle était totalement déstabilisée. C’est alors que Sylvia déboula entre les cuisses de son homme, poussant Charline à terre. Sylvia pris le sexe de Julian en bouche pour s’emparer des dernières giclées de sperme. Elle semblait en mode lionne qui reprend possession de son territoire. Cela faisait un peu du style merci d’avoir commencé le travail, tu peux partir, c‘est moi qui vais finir et prendre toute la gloire.

Julian termina sa jouissance, tête plongée en arrière, yeux fermés, bouche entrouverte. Charline était fière d’elle, fière de l’avoir fait jouir ! Elle vivait un rêve éveillé, un de ces amours extrême d’adolescente qui ne maîtrise rien de ses émotions surpuissantes qui l’envahissent et encombrent son esprit, la troublant comme jamais.

Sylvia en ayant fini avec la queue de son chéri, lui sourit de toutes ses dents, lui montrant sa langue chargée de sperme. Julian se mit à rire en la couvant du regard. Puis elle alla cueillir sur ses cuisses et son ventre tout le sperme supplémentaire qu’elle put et lui montra à nouveau sa langue.

- Il n’y a que toi pour me faire cet effet, mon amour.

Sylvia se mit à genoux et alla embrasser son chéri, mélangeant leurs salives et le sperme de Julian comme une communion de leurs corps et de leurs âmes.

Charline pris une gifle virtuelle en les voyant s'embrasser ainsi devant elle avec autant de plaisir. C’est un peu comme si elle n’existait plus et qu’elle n’avait été que le catalyseur de leur amour, ne leur servant que de sex toy vivant. Elle n’était que leur femme de ménage, leur cuisinière, le faire valoir de leur amour supérieur. Elle n’était que la petite soubrette dont ils n'avaient rien à faire. Se sentant idiote et terriblement humiliée, elle fila pleurer dans sa chambre. En montant les marches elle sentit le sperme de Julian couler dans son cou. Elle ne savait pas quoi faire avec, ayant envie que jamais il ne se soit posé sur elle, mais aussi en le désirant terriblement. Elle aurait voulu être celle que Julian embrasse, celle que Julian serre dans ses bras, celle à qui il disait je t’aime.

Elle claqua la porte de sa chambre, tourna la clé pour s’enfermer et s’appuya contre la porte. Des larmes lui coulaient sur les joues, se mêlant au sperme de Julian. Elle en prit du bout de son index, comme si elle recueillait une sainte relique. Elle le porta à ses lèvres qui se refermèrent dessus et ne put se retenir de pousser un long soupir. Son petit anus écartelé d’avoir conservé le plug anal toute la matinée était tout ouvert. Luis pris alors l’idée de caresser son anus avec le sperme de Julian et de le masser, imaginant que Julian entre en elle.

Elle glissa lentement le long de la porte et se retrouva assise, triste et apeurée. Le sentiment de manque de son Julian était comme un déchirement. Elle lécha son bras et ses doigts pour recueillir tout ce qu’elle pouvait de ce trésor sacré. Comme Sylvia, elle le garda en bouche, le savourait, le dégustait, essayant de déceler toute ces saveurs encore inconnues pour elle. Le goût de son amour.

On tapa à la porte, c’était Julian :
- Princesse ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Pourquoi tu es partie comme ça ?

Rien que le fait qu’il l’appelle Princesse et qu’il était là, lui fit oublier toute la douleur qu’elle avait ressentie. Elle ouvrit la porte au plus vite, je jetai sur lui pour se blottir tout contre lui, les bras autour de sa taille et sa tête, son épaule contre son torse
- Tu n’as pas aimé me caresser et me donner du plaisir, demanda Julian ?

La bouche pleine de son sperme elle ne voulait pas parler, voulant juste qu’il l’embrasse avec la même folie qu’il venait de le faire avec Sylvia. Julian lui caressait les cheveux avec douceur, la calmant lentement, le hoquètement de ses pleurs s’espaçant à son contact.

- Tu sais que tu es belle Princesse et que nous te respectons. Tu es vierge, et nous ne pouvons te donner plus que ce que nous faisons.

- Sylvia m’a poussé pour prendre ma place ! Charline réagissait comme une vraie petite gamine dans une cour de récréation.

- Chut ne dit pas de bêtise voyons, Sylvia t’aide autant qu’elle le peut et te donne beaucoup, tu sais.

- Oui mais j’en veux plus Julian ! Je t’en supplie, donne m’en plus
Sentant qu’elle parlait la bouche pleine, Julian attrapa le visage de Charline entre ses deux mains et le porta face à lui
- Ouvre ta bouche Charline ! Elle refusa à la façon d’une petite fille surprise avec plein de confiture autours de ses lèvres.

- Ouvre ta bouche Charline ! Elle fit non en balançant son visage de droite à gauche.

- Charline ? J’ai dit ouvre ta bouche !!!

Voyant qu’elle faisait sa petite obstinée Julian la tira vers la chambre. La caméra les suivit. Il s‘assit sur l’angle du lit, souleva le peu de robe qui restait à Charline, la plaça sur ses genoux en mode fessée. Elle tenta de se débattre mais la force de Julian était telle qu’elle ne put faire grand-chose. Il lui colla alors deux magistrales claques qui n’avait pas grand-chose à voir avec celle de Sylvia. Elle ne put s'empêcher à repenser à la fessée qu’il lui avait donné gamine en poussant un hurlement de douleur.

- C’est quoi ça ?

La voix de Julian montrait sa surprise et sa détermination de connaître la vérité. Le petit cul bombé de Charline lui offrait une vision unique sur son petit sexe roux et son anus. Julian fit glisser un doigt vers le trou arrière qu’il enfonça à peine dans l’anus empli de son sperme.

- C’est quoi çà, Charline ?

Charline avala ce qui lui restait de sperme en attendant de trouver une réponse à cette question.

- C’est mon sperme, c’est ça ?

Charline hocha la tête, incapable de parler. Deux autres fessées s'abattirent sur elle. Elle les avait bien méritées. A y réfléchir son comportement était plus que répréhensible. Mais comment avait-elle osée ? De quel droit ?

- Allez hop file sous la douche et arrête de te comporter comme une gamine. Sinon tu vas rentrer chez toi et y rester. Fait une pause pour réfléchir. Tu es privée de repas. Viens nous présenter tes excuses quand tu voudras et on verra.

“Rentrer chez elle et y rester”. Cette menace était justement tout ce qu’elle voulait éviter le plus au monde, sa plus grande peur. Surtout venant de Julian. Pour Charline il n’était absolument pas question de s’excuser et puis elle n’avait pas faim de toute façon. Julian la fit relever sans ménagement et l’envoya vers la salle de bain, claquant la porte derrière elle. Elle se rendu compte à quel point elle pouvait être fragile face à la force de Julian. Charline sursauta en entendant le grondement de la porte de la chambre claquer derrière elle.

Elle se déshabilla, mettant cette petite robe blanche sexy toute souillée de sperme dans la corbeille de linge sale. Elle fit couler l’eau, régla la température et resta longtemps sous le jet d’eau tiède. Elle voulait se laver, redevenir propre, se mettre à neuf et réfléchir à sa situation. Elle aimait Julian et la présence de Sylvia était un obstacle incontournable, elle devrait composer avec. Elle n’avait pas le choix et devait s’estimer heureuse qu’elle accepte de partager Julian avec elle. Charline dû admettre que Sylvia avait même encouragé leur complicité. Peut-être Charline finirait elle par l’emporter sur Sylvia ?

Elle sorti de la douche, enfila un peignoir de bain et enroula une serviette autour de ses cheveux. S’allongeant sur le lit, les yeux fixés au plafond, son cerveau était en ébullition, cherchant une solution. Il fallait absolument que Sylvia accepte sa présence, sans son accord, Julian ne la garderait pas. Les vacances se termineraient un jour et elle voulait absolument continuer à le voir, continuer à les voir rectifia-t-elle.

Charline avait pris sa décision, se leva et alla chercher de quoi vernir ses ongles et se maquiller un peu. Il voulait qu’elle grandisse ? Elle allait grandir ! Sur ses mains et ses pieds, elle alterna les couleurs vert pomme et orange, mis un peu de gloss rose pour faire briller ses lèvres et fouilla dans les armoires et les tiroirs pour choisir au final un soutien-gorge et un string blanc et la robe blanche sans manche qui laissait son dos dénudé. Tous les éléments des tenues choisis par Sylvia, un peu pour lui faire honneur et quelque part la respecter. Elle enfila une paire de sandales à haut talons aiguille et essaya de marcher avec, faisant des longueurs dans sa chambre. Plus difficile qu’avec les petits talons mais ça ira. Elle devra faire attention en descendant l’escalier. Ses fesses lui faisaient toujours mal, la douche, froide sur les fesses, avait calmé la brûlure de la fessée mais la douleur était toujours là.

Retirant la serviette autour de ses cheveux, elle les frotta pour les sécher le plus possible mais ne les brossa pas, ils allaient friser et lui ferait une véritable crinière beaucoup plus sexy que les cheveux lissés ou la coupe de cheveux de Sylvia. Quelques bracelets, bagues et accessoires terminèrent la tenue.

Charline pris une grande bouffée d’air, se regarda dans le miroir, alterna dans des poses sensuelles, souleva ses cheveux pour les étaler autour d’elle. Elle se trouva femme et belle, elle n’avait jamais ressenti ça. La tenue la rendait femme et l’estime de soi que ce couple magique lui avait offert ces derniers jours la rendait belle. Elle ne put s’empêcher de se comparer à Isabelle, sentant qu’elle détenait là un atout de charme pour séduire Julian. Elle se sentit belle et femme pour Julian. Pour Julian et Sylvia.

Elle descendit l’escalier, croisant ses jambes comme le font les stars de cinéma, elle se dirigea vers la terrasse sud, d’un pas différent, un pas de Femme ? Elle entendait les rires de Sylvia.

Le couple avait terminé le repas et prenaient leur café tranquillement. Dès qu’elle la vit, Sylvia stoppa ses rires. Devant elle, le plug anal était planté dans une petite coupelle de beurre mou, comme une hache de guerre. Charline eut la vision que Sylvia avait dû le jeter là d’énervement. Charline se planta devant eux et avec le peu d‘assurance qui lui restait, leur lâcha :
- Je vous présente toutes mes excuses pour mon comportement inadmissible. Mes excuses les plus sincères Julian, mes excuses les plus sincères Sylvia.

Ils laissèrent un moment de silence que Charline trouva interminable, puis Sylvia enchaina.

- Tu t’engages à nous demander la permission avant de faire quoi que ce soit d’intime chez nous ?

- Oui je m’y engage
Julian se tourna vers Sylvia qui hocha simplement la tête, toujours visiblement énervée.

- Excuses acceptées. Par contre en gage de punition nous avons convenu que tu devras me regarder masser Sylvia sans bouger ni rien faire.

Cette punition parue à Charline fort légère.

- J’accepte avec plaisir et encore merci pour ce que vous faites pour moi.

- Ne nous remercie pas de sitôt, attends de voir de quoi il s’agit. Tu as bien compris, tu ne dois ni bouger, ni rien faire !

- Oui ni bouger ni rien faire, Julian, j’ai compris.

La tournure du massage pris un angle soudain mystérieux. Julian parti chercher sa planche de massage et Charline préféra reprendre son rôle d’employée en rangeant la table. Cela lui permettait aussi de fuir Sylvia qui faisait la tête et avait visiblement bien besoin d’un massage. Charline la trouvait moche quand elle faisait sa femme coincée et renfrognée.

Julian arriva avec la grande mallette en cuir et tout se déplia comme par magie pour devenir une vraie table de massage. Charline fut impressionnée. Julian axa la table pour que Sylvia bénéficie de la vue sur la piscine à débordement et la vallée du bois au loin. Il fit asseoir Charline en retrait sur le côté.

Il mit une piste de lecture zen style asiatique et alluma des bougies odorantes. Ces deux petits gestes tout simples firent déjà partir Charline en orient. Julian alla bander les yeux de Sylvia, la fit lever, la plaça face à lui, la pris par les deux mains, colla son front à elle et resta immobile ainsi quelques minutes. Visiblement ils mettaient leurs respirations en harmonie. C’était très beau à voir. Une espèce de plénitude émanait de cette posture sublime à regarder. Charline se sentie touchée.

Puis Julian commença à déshabiller Sylvia, lentement, comme pour qu’elle prenne conscience progressivement de sa mise à nue. Il faisait de même avec ses vêtements, les retirant progressivement pour se trouver lui aussi nu en même temps que Sylvia. Julian avait plié les vêtements avec délicatesse. Ils reprirent la même posture qu’au début, face à face, front contre front, main dans la main, pour caler leur respiration. Les larmes montèrent aux yeux de Charline. Elle s’imaginait déjà à la place de Sylvia. Mais elle avait promis de ne pas bouger et ne rien faire. Elle ravala ses larmes.

Avec une infinie douceur, Julian fit avancer Sylvia vers la table de massage et il la guida pour qu’elle s’installe sur le ventre. Une fois positionnée, il lui demanda à l’oreille de soulever son ventre, qu’il puisse y glisser un coussin cylindrique. Puis Julian alla lui écarter les pieds sur le côté de la table, que les cuisses de Sylvia soient bien ouvertes. Son sexe épilé et son anus étaient ainsi accessibles.

La musique était envahissante et langoureuse avec des sons tibétains à base de gong. L’odeur des huiles essentielles emplie l’air et se mêla à celles de bougies odorantes. Julian laissa Sylvia s’habituer à cette position sur la table de massage. Puis il déploya un grand drap de soie qu’il fit voler dans les airs. Le tissu retomba sur le corps de Sylvia, le recouvrant entièrement. Julian laissa le tissu prendre le temps de se poser jusqu’à ce qu’il devienne immobile et que tout l’épiderme de Sylvia ressente la présence de la soie.

Julian se plaça sans bruit aux pieds de Sylvia et commença à tirer le tissu à lui, aussi lentement qu’il le pu, sans s'arrêter. La soie glissa en effleurement tout le long des cheveux, des mains, des bras, des épaules, du dos. Sylvia frissonnait de partout de par l’effet de cette caresse XXL. Charline ne put contenir, elle non plus, le grand frisson qui la parcourue, s’imaginant vivre cela. La soie descendit sur les fesses, les cuisses, derrière les genoux, les mollets, les chevilles et les pieds avant de tomber au sol comme une plume.

Charline n’en revenait pas de la douceur de son Julian, lui qui est un homme plein de force et de vigueur. D’ailleurs, il ne pouvait pas s'empêcher de bander, prenant visiblement plaisir à s’occuper de sa chérie. Ce massage allait effectivement devenir une punition, comme Julian le lui avait suggéré. Il s’avança vers Charline, lui tendit une petite assiette et lui chuchota :
- Retire tous tes métaux impurs, boucles d’oreilles bagues et bijoux, qui génèrent des ondes négatives s’il te plait. Charline s’exécuta.

Julian posa ses mains sur la plante des pieds de Sylvia une longue minute comme pour remettre sa respiration en phase avec celle de Sylvia. Puis il fit remonter un doigt sur chaque jambe, de la pointe du talon jusqu’en haut de la colonne vertébrale où ils se rejoignirent avant de glisser côte à côte vers la nuque. Là, Julian entreprit un lent massage circulaire de la tête. Il dégagea la nuque de Sylvia de tout cheveux puis enduisit ses mains d’huile et commença un lent massage des épaules et du dos. La descente pris un bon quart d’heure, il passa le même temps à masser le bas du dos et les fesses de Sylvia, prenant soin d’éviter son sexe et son anus. Charline mouillait elle-même en voyant perler la cyprine de Sylvia.

Après une demi-heure de massage, les doigts épais et si doux de Julian prirent possession de ces orifices avec ces même gestes lents. Des petits halètements se firent entendre et Sylvia s’abandonna une première fois à ce doux sacrifice. Comment en effet résister à cette force paisible qui vous prends. Charline était tout chose sur sa chaise, se dandinant sur place, avec un ferme envie de se toucher. Elle ne savait pas si elle avait envie d’aller aux toilettes ou si c’était son excitation qui la chatouillait. Julian impassible, décalotta son gland, le reflet de l’huile donnant à sa queue la luisance superbe des hommes bodybuildés.

Julian reposa ses mains sur la plante des pieds de Sylvia une longue minute puis il fit remonter un doigt sur chaque jambe, de la pointe du talon jusqu’en haut de la colonne vertébrale où ils se rejoignirent avant de glisser cote à cote vers la nuque. Les doigts se séparèrent vers chaque épaule pour descendre le long de chaque bras et atteindre l’extrémité des mains de Sylvia. Julian semblait suivre des lignes énergétiques. Il remit de l’huile dans ses mains, massa l’épaule droite et descendit lentement en massage le long du bras, passant pas mal de temps sur les articulations du coude et du poignet. Puis il fit un massage de la main de Sylvia, de chacune de ses phalanges. Enfin de sa queue dressée, il frôla les doigts de Sylvia dont les jambes sursautèrent à ce contact délicieux.

Après un bon quart d’heure à s’occuper du bras droit, il passa au côté gauche pour y faire la même chose. L’envie d’aller aux toilettes se précisait mais Charline savait qu’elle ne devait ni bouger ni rien faire. Une fois bien massé la main gauche de Sylvia, Julian laissa sa queue dressée lui effleurer les doigts. Cette vision était d’un érotisme torride. Puis Julian réparti en massage de la nuque jusqu’au bas du dos, laissant sa queue dressée toucher le corps de Sylvia le plus souvent possible. Il continua par un massage des fesses terminant par des effleurement intimes et des pénétrations. La respiration de Sylvia s’accéléra mais son corps semblait peser une tonne. Sous les assauts des caresses intimes Sylvia se laissa emporter par un second orgasme. Charline serra ses jambes et contracta son sphincter des choses bizarre se passant entre ses cuisses. Surtout qu’en plus Julian venait enfin de la regarder, centré qu’il était sur ce terrible massage qu’il offrait à sa compagne. Il s’approcha d’elle et lui chuchota.

- Retire tes chaussures pour avoir tes pieds au sol et ressentir les ondes vibratoires. Charline s’exécuta, espérant ainsi profiter un peu plus de ce moment hors du temps
Julian alla se mettre derrière la tête de Sylvia et s'allongea torse contre son dos pour aller déposer la paume de ses mains sur les fesses de sa compagne, se mettant en harmonie respiratoire avec elle. Les voir ainsi paisiblement l’un sur l’autre était sublime. Il se releva et lentement entrepris de s’occuper de la jambe droite, massant lentement le haut des fesses, les cuisses et le mollet. Il passa beaucoup de temps sur les articulations du genou et de la cheville, puis passa au massage des pieds et des phalanges des orteils. Là encore il laissa sa queue dressée effleurer le pied droit de Sylvia.

La jambe gauche subit le même traitement d’un quart heure, et Charline devina qu’il allait faire jouir Sylvia pour la troisième fois. Dieu que cet homme était doué pour apprécier la vie et savoir prendre le temps de faire de belles choses. Il n’avait pas débandé depuis au moins une heure et vivait intensément ce massage extraordinaire. Les halètements de Sylvia résonnèrent dans sa tête, les orgasmes qu’elle enchaînait, semblaient être de plus en plus intense, les spasmes plus longs et plus profonds. A chaque fois les pénétrations des doigts de Julian se faisaient plus profondes et les caresses du clito plus intenses.

De nouveau Julian s'avança vers Charline et lui chuchota :
- Mets-toi nue pour être en harmonie avec nous et surtout garde bien tes pieds au sol, bien à plat.

Les larmes montèrent aux yeux de Charline. C’est bien une chance que tous deux leur offraient : être en harmonie avec eux. Et elle se comportait en petit conne égoïste, ne voulant son Julian que pour elle, jalousant Sylvia. Elle réfléchit à tout cela en ôtant sa robe blanche et son string, des ensembles qu’ils lui avaient offerts pour la sublimer, la rendre belle et rayonnante. Elle se rassit toute perturbée, essayant de se concentrer sur des pensées positives et de chasser tout sentiment négatif, comme pour vouloir protéger l’ambiance de l’instant qu’une fois de plus ils partageaient avec elle. Son envie d’uriner se faisait bien plus présente mais elle était aussi trempée d’envie et ressentait comme des picotements au bas du ventre. Mais elle avait promis de ne pas bouger et de ne rien faire.

Julian se mis aux pieds de Sylvia, posa son torse sur ses mollets et ses mains sur ses fesses pour retrouver une respiration commune. Puis Julian frotta sa queue dressée en faisant le tour de la table de massage, multipliant les contacts avec le corps de Sylvia. Elle respirait de plus en plus fort. Julian repris le massage des fesses avec un intensité plus proche cette fois ci d’un pétrissement, son massage du clito et du pourtour de l’anus plus ferme. Sylvia se mit à onduler du bassin pour subir des pénétrations anales et vaginales plus profondes. Elle allait tout droit vers son quatrième orgasme, l’un toujours plus intense que l’autre, montant en grade. Charline n’en pouvait plus de ce spectacle, elle-même au bord d’exploser, alors qu’elle ne pouvait pas se toucher et ne devait rien faire. Elle fondait sur place. Les halètements de Sylvia résonnaient de plus en plus dans sa tête et ses tortillements devenaient un vrai supplice. Les doigts de Julian s’enfonçaient de plus en plus en elle, de plus en plus fort. C’est dans un cri et un râle long que Sylvia s’abandonna.

Charline nue sur sa chaise de jardin sentait des gouttes de cyprine tomber au sol. Ses tétons étaient dressés comme jamais. Les doigts de Julian sortirent des orifices de Sylvia et il s'avança vers elle queue dressée. Elle frissonna et bloqua sa respiration. Julian contourna Charline pour se mettre derrière elle, posa ses mains sur ses épaules frêles, approcha ses lèvres de son oreille et lui chuchota :
- Caresses toi Charline, comme tu l’as fait dans ma voiture l’autre jour.

Charline déglutit. Comment savait-il qu’elle s’était caressée dans sa voiture ? Elle qui pensait avoir été super discrète ! Mais après tout elle avait été ravie qu’il la devine faire. Charline sentie l’huile des mains de Julian mêlée aux sucs de Sylvia glisser de ses épaules vers ses seins. Ses jambes flageolaient, Julian venait de la libérer de sa promesse de ne pas bouger et de ne rien faire. Sous ses yeux Sylvia était encore en spasme et orgasmait toujours. Alors quand les doigts de Charline touchèrent son clito tout devient plus électrique.

Les mains de Julian caressaient ses seins et s'emparaient de ses tétons. Elle se rappela que Julian lui avait pincé fortement les tétons lors de sa fessée mythique. Certes, ses jeunes copains lui avaient effleuré timidement ses seins à travers ses vêtements lors d’un chaste baiser, mais là elle vivait de vraies caresses, seins nus, par des mains d’homme. Et il fallait que ce soit encore Julian qui soit à l’origine de cette première. C’était elle qu’il massait désormais et non plus Sylvia. Se rappelant de la frénésie avec laquelle il venait de caresser Sylvia, Charline décida de s’imposer le même rythme. Tout comme Sylvia plus tôt, Charline s’entendit gémir et haleter. Les doigts de Julian pinçaient ses petits tétons avec gentillesse en contraste avec le rythme de la caresse qu’elle infligeait à son clito.

- Lâches tout Charline, lâches tout...

Julian pinça ses tétons plus fort et Charline abandonna tout, lâcha tout, cris, orgasmes, tension, halètement. Cette attente des heures à regarder Sylvia et Julian prendre plaisir. Cette contrainte de ne devoir ni bouger ni rien faire, cette frustration face à ses désirs et ses envies …. Charline relâcha tout et sentit un liquide chaud couler alors que son sexe était en spasme. Elle était en train d’uriner au travers de la chaise de jardin, sur la terrasse, n'arrivant pas à bloquer le flot.

- Lâche tout, Charline, lâche tout !

Elle obéit, laissant ce liquide sortir d’elle et s’écouler librement au sol, les vagues de son orgasme l’envahir, sa respiration se lâcher en souffle plus long. Elle eut le sentiment qu’elle pouvait tout faire avec ce couple. Julian avait posé ses deux mains sur les tempes de Charline comme s‘il voulait lire en elle en mode méditation. Elle en profita pour se masser les seins et caresser son ventre pour ressentir les ondes des spasmes. Qu’il était bon d’avoir pu uriner ainsi. Remonta du plus profond de son inconscient le souvenir, jusque-là bloqué quelque part, de Julian la faisant faire pipi entre deux voitures, la cachant de la foule estivale qui passait, alors qu’elle était toute gamine. Était-ce un rêve ou un moment vécu ? En tout cas cette image se faisait plus forte dans sa tête. Les mains de Julian lui écrasaient presque les tempes, mais cela la rassurait, sans qu’elle ne sache bien pourquoi. Elle ressentait sa force, ses ondes, son karma, son énergie.

- Voilà Charline c’est bien, bravo !

Elle se sentie bien seule quand Julian la quitta. Il repartit faire le tour de la table de massage, mettant sa queue dressée au contact du corps de Sylvia. Alors quand il appela Charline à venir vers eux, elle n’en demanda pas plus. Elle essaya d’éviter la flaque mais dû poser la pointe d’un pied dans le liquide chaud. Ses fesses et ses cuisses étaient mouillées mais elle s’en moquait, elle trouvait ça presque normal. Après tout elle était avec Julian et Sylvia...

Julian invita Charline à se mettre de l’autre côté de la table de massage.

- Sylvia mon amour, retournes toi s’il te plait, lui chuchota t’il. Garde les yeux fermés.

Sylvia se bougea lentement sur le côté avant de se mettre sur le dos. Julian avait ôté le coussin cylindrique pour le faciliter son retournement.

- Cambre ton dos que je puisse y glisser un coussin.

Une fois le coussin cylindrique positionné, le sexe et l’anus de Sylvia devinrent accessible au masseur. Il écarta ses jambes à l’angle de la table, Sylvia lui offrant une vue indécente sur son corps écartelé et ses seins maternels que Charline lui enviait tant, car les siens étaient minuscules en comparaison. Julian posa ses mains sur le ventre de Sylvia et fit signe à Charline de commencer son massage. Elle tendit ses mains vers ces seins magnifiques, s’aperçut qu’elle tremblait, l’émotion du moment était intense, et ses doigts effleurèrent les côtés des seins, glissèrent pour les saisir, elle fut surprise autant par leur taille que leur fermeté. Les aréoles étaient larges, ses mains remontèrent vers les tétons pour les pincer délicatement entre ses pouces et ses index.

En se penchant sur Sylvia pour la masser, elle ne lâchait par Julian du regard, laissant ses mains masser les deux seins au même rythme que les mains de Julian massaient le clito de Sylvia qui savourait ce moment avec un joie intense, pensant que le Chaton qu’elle adorait mais qu’elle devait éduquer, était vraiment douée. Elle fut surprise d’apprécier autant ses mains que ses cheveux qui glissaient sur ses épaules et ses bras. Elle sentait bon en plus, une odeur douce, présente, entêtante, enivrante même.

Charline imitait la lenteur et la puissance des gestes de Julian, espérant ne pas être ridicule. Masser les seins de Sylvia était délicieusement sensuel pour Charline et quand elle devina que sa jouissance arrivait, elle regarda Julian qui massait des deux mains le sexe et les fesses de celle qu’il aimait, il lui fit un signe de la tête et sans savoir pourquoi, elle sera les tétons de Sylvia, les tira et les roula entre ses doigts. Sylvia eu un orgasme foudroyant qui étonna Charline. On pouvait jouir aussi fort que ça ? Juste avec un massage ? Surtout pour la quatrième fois d’affilée.

Sylvia mit cinq bonnes minutes à se remettre de ses émotions, restant allongée. Charline continua à lui caresser et effleurer tout le corps comme Julian le lui avait fait comprendre par geste. Charline aida Sylvia à se relever et à s’asseoir sur la table de massage. La tête lui tournait et elle avait le regard d’une personne qui vient de s’éveiller.

Comme Sylvia avait insisté pour qu’elle lui dise toute la vérité sur ses envies, Charline proposa directement à Sylvia ce qui le passait par la tête.

- Comme Julian n’a pas joui, je te propose de le caresser si tu veux bien pour équilibrer un peu.

- Détrompe-toi,
Sylvia expliqua que Julian avait le plus beau des orgasmes lors d’un massage de ce type. Sa maîtrise du tantrisme, son assurance et son grand équilibre lui permettait d’aller puiser dans son énergie sexuelle pour retenir son éjaculation. Il adorait flirter avec le point de non-retour et arriver jusqu’en haut de l’orgasme sans rien retenir de son plaisir, ni éjaculer.

Charline ne savait pas si Sylvia lui faisait une de ces blagues ou non. Devant tant de mystère Charline passa au plus vite la serpillère pour nettoyer la terrasse, pleine de honte. Sylvia ne put s'empêcher de tout filmer en se moquant gentiment d’elle. Charline s'assura que le repas du soir était prêt et quitta le couple avec regret.

Arrivée chez elle, Charline dévora des sites internet sur le tantrisme et découvrit que l’homme qui maitrisait la chose était animé par des pulsions, des vibrations, des sensations et autres phénomènes énergétiques provoquant un orgasme bien plus fort qu’une éjaculation. Son Julian était décidément un homme exceptionnel. Elle le savait, n’en avait jamais douté, cela l’avait même instinctivement attirée depuis qu’elle était toute petite. Charline espérait juste que Julian ait vécu cet orgasme quand il était venu la rejoindre et lui caresser les seins pendant qu’elle jouissait. Elle finit par s‘en convaincre et se caressa plusieurs fois à cette idée.

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Texte coquin : Les découvertes de Charline 8
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