les étoiles
Récit érotique écrit par Kalvinus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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les étoiles
Les étoiles
À mon réveil, Èva gisait près de moi, sa main sur ma cuisse. Les draps les couvertures et le couvre lit étaient placé pêle-mêle sur le lit. Une odeur de gin, de Grand Marnier de sueur et de parfum planaient dans la cabine.
Je n’étais pas certains de savoir quelle heure il était AM ? PM ? 8h ? 20h ? Peu à peu, mes sens se réveillaient. Je pris une longue douche chaude afin d’accélérer le réveil. Ma montre indiquait 16h30.
Ma mémoire aussi tentait de réintégrer ces quartiers. La veille avait été assez rock and roll. Super bien arrosé, danse, spectacle, Casino…oui, CASINO, un gain inattendu au casino avait déclenché la suite, pas assez pour arrêter de travailler mais assez pour payer les voyage, les dépenses qui en découlent, et faire un petit reset sur les cartes de crédits. 2 bouteilles de champagne plus tard, nous avions célébré en privée dans notre cabine, oui, célébré plusieurs fois, dans plusieurs positions, petit dodo et puis on remet ça. Je me rappelle même que le déjeuner avait été livré entre 2 séances de baise.
Étrangement, je ne ressentais pas les effets du mal de block, j’avais très faim et je décidai d’aller nous chercher 2 bons cafés frais et de petites grignotines. J’embrassé tendrement ma compagne qui dormait profondément. Son corps nu entrelacé dans les draps m’appelait pour une récidive mais je résistai. La peau de ces fesses portait toujours les traces de mes doigts, et de mes gifles de la veille. Moi, je pouvais sentir les grafignes lassé par ces ongles dans mon dos, c’était donc un juste retour des choses.
À mon retour, Èva était toujours couché, à demi consciente. Je déposai les café et m’assis à ces cotés, la caressant tendrement pour la réveiller doucement. Elle se réveilla doucement soumise à la même confusion que moi. Nous échangeâmes nos souvenirs de la veille, comblant nos vides mutuels. Un sourire de satisfaction remplissait son visage. Je ne pouvais dire si c’était le gain monétaire ou la célébration qui produisait cet effet mais elle avait l’aire heureuse.
Nous bûmes nos café, dans les bras l’un de l’autre. La faim nous gagnait de plus en plus. Èva commença à se préparer pour le souper du Capitaine. Les valises avaient été entièrement planifiées en fonction de ce souper et des vêtements de mise pour l’occasion. Il m’était donc pas question de ne pas y participer.
Une fois les préparatifs terminés, nous nous dirigeâmes vers la salle de réception. Durant tout le trajet, ma fiancé affichait un air amusé, complice. Son regard amoureux cachait quelque chose. Comme une gamine ayant perpétré un mauvais coup. Elle voulait que je la questionne, elle restait là, étonnamment muette avec un léger fou rire.
Pour la soirée du capitaine, tout les passagers étaient chique et tout l’équipage à son mieux. Le repas s’annonçait remarquable, le spectacle, spectaculaire c’était « the night ».
Et ma compagne ne faisait pas exception, elle portait une élégante robe noire échancré sur le côté de la cuisse un collier et des bracelets de perle et des sandales lacés au haut de la cheville.
Ma belle accrochée à mon bras nous sommes entré dans la salle à manger. Au moment où le maitre d’hôtel me dit de le suivre, Èva me murmure à l’oreille: « je n’ai pas de bobette… ». L’expression de mon visage se figea. Je suivais le maitre D tel un zombie, encore en train d’analyser les dernières informations. Ma fiancée se laissa tirer la chaise et s’assis en me jetant un regard satisfait qui voulait dire « je te tiens…. ».
Elle avait parfaitement raison. Nous sommes restés de longues minutes à se regarder complice, sans dire mot. Ne répondant qu’aux divers serveurs venu prendre notre commande ou verser le vin. Je sentis son pied, glisser lentement le long de mon mollet puis de ma cuisse. Bientôt elle labourait mon entre jambe du creux de ces orteils, j’aurais aimé pouvoir en faire de même. Elle me dévisageait toujours en silence, il n’y avait rien à dire de plus.
Le repas était délicieux, le dessert exquis. Nous avons décidé de prendre un café sur le pont supérieure, elle buvait lentement son café, croisant ces jambes d’un côté puis de l’autre. Me laissant voir au passage le fruit de mon désir.
L’érection qui gonflait mon pantalon y avait élu résidence depuis maintenant plusieurs heures. Une légère douleur en résultait. Je massais régulièrement ma verge afin d’y faire circuler le sang et diminuer la pression.
À plusieurs reprises, j’eus l’envie d’aller me soulager aux toilette. Mais s’eut été sa victoire et par conséquent ma défaite. Ce jeu psycho-sexuel demandait un vainqueur et ce serait moi.
Èva était sortie de son mutisme. Mais chaque parole qui sortait de sa bouche n’avait qu’un but m’allumer. Je savais qu’au moment ou je passerais à l’action, elle me résisterait avec force. Ça faisait partie du jeu.
Elle me traina jusqu’à la piste de danse, 4 niveau plus bas. Et se déchaina sur le plancher de dans, sous la musique des tropiques. Elle s’émoustillait et de dandinait, se frottait et se collait. Chaque mouvement de hanche était une torture, chaque contact un supplice. Elle y mettait le paquet. Elle y prenait plaisir. Combien de temps pouvais-je encore résister.
Le spectacle débutait dans 5 minutes, juste assez pour faire un « pit stop » au bar et se trouver une place adéquate.
Une vodka jus d’orange à la main, nous sommes entré dans la salle de spectacle. Impossible de trouver une place. Plusieurs tentatives infructueuses plus tard, nous avons finalement trouvé une place pas très bien situé mais elle avait au moins l’avantage d’être à l’écart.
Assis à côté d’Èva, j’avais une vue imprenable sur son décolté plongeant. Sa robe laissait paraître sa cuisse musclé. Je décidé donc de lui faire gouter un peu de sa médecine.
Je terminai mon drink en une gorgée. Mis mon bras gauche autour de ses épaules et je plongé l’autre sous la robe de mon épouse. Ce geste fut accueilli par un regard sévère, un serrement de cuisse et une main sur mon poignet.
J’ignorai tout ces signes et poursuivi la pression de mes doigts jusqu’à son clitoris. Quelques secondes plus tard, après s’êtres rendu compte que personne pouvait nous voir, elle relâcha mon poignet et entrouvrit ces jambes.
J’aurais pu la faire venir en 60 secondes. Mais le spectacle durait 1 heure et il n’y avait aucune raison de se presser.
Je la fis mouiller le plus possible, passant mes doigts entre ces lèvres et jusqu’à son anus y pénétrant à peine. Je massais violemment son clitoris puis arrêtais, reprenais, m’insérais profondément. L’amenant juste au bord de l’orgasme sans jamais lui donner satisfaction.
Sa respiration était lourde et elle ne portait aucune attention au spectacle. Après 25 min de torture, je décidai qu’il était temps d’en finir. Je plaçai mon majeure dans son anus, mon index dans sa vulve et travailla son clitoris avec mon pouce.
Je senti rapidement les effets de cette approche, elle enfonça ses ongles dans mon bras, comme pour guider mon mouvement et plaça son autre main sur son sein.
Se retenant de toutes ces forces pour ne pas crier, elle bougeait le bassin pour m’encourager. Je pétrissais son clitoris avec toute la fougue que me permettait cette position. Elle est venue discrètement, contrôlant bien que mal ces convulsions. Sa sève se répandait sur sa robe et sur le siège.
Reprenant son souffle elle me dit, viens me montrer les étoiles dans le ciel. Nous quittâmes la salle non sans mal, bousculant de nombreuses personnes sur notre chemin.
La lumière de l’ascenseur laissait paraître la sueur qui couvrait encore le front et la gorge de ma bien aimée. Elle me donna un long et profond baisé. Le pont supérieur était presque désert. Nous nous dirigeâmes vers l’avant du bateau. Les lumière étaient rare à cet endroit que nous avions remarqué depuis le 1er jour.
Je levai les yeux au ciel pour voir les étoiles et lorsque je baissai le regard, je vis une pair de fesse, offerte à moi. Ma conjointe, penchée sur la balustrade, les sein dans le vide les jambes écartés, sa robe souille remontée.
Je m’introduis donc en elle, la chaleur de son intérieure était sublime. Je ne croyais avoir ni le temps ni l’endurance de lui donner un autre orgasme. Je me trompais. Je voulais ma revanche, je pouvais sentir le fond d’elle. Mon érection était dur et résistante. Je me sentais en contrôle.
Je la pris par les cheveux de la main droite et attrapa son sein de l’autre. Je la labouré de toute mes forces. Faisant claquer nos corps à chaque coup. Le vents de la mer et le mouvement du bateau étaient nos guide. Je la tenais fermement je contrôlais nos mouvements. Elle ne pouvais m’échapper. Je voulais venir en elle fort et longtemps. Je voulais crier mon plaisir et entendre le sien.
La réalité fut moins bruyante mais non moins plaisante. Mes cuisses portent encore les traces de cette soirée. Où les étoiles étaient magnifiques.
À mon réveil, Èva gisait près de moi, sa main sur ma cuisse. Les draps les couvertures et le couvre lit étaient placé pêle-mêle sur le lit. Une odeur de gin, de Grand Marnier de sueur et de parfum planaient dans la cabine.
Je n’étais pas certains de savoir quelle heure il était AM ? PM ? 8h ? 20h ? Peu à peu, mes sens se réveillaient. Je pris une longue douche chaude afin d’accélérer le réveil. Ma montre indiquait 16h30.
Ma mémoire aussi tentait de réintégrer ces quartiers. La veille avait été assez rock and roll. Super bien arrosé, danse, spectacle, Casino…oui, CASINO, un gain inattendu au casino avait déclenché la suite, pas assez pour arrêter de travailler mais assez pour payer les voyage, les dépenses qui en découlent, et faire un petit reset sur les cartes de crédits. 2 bouteilles de champagne plus tard, nous avions célébré en privée dans notre cabine, oui, célébré plusieurs fois, dans plusieurs positions, petit dodo et puis on remet ça. Je me rappelle même que le déjeuner avait été livré entre 2 séances de baise.
Étrangement, je ne ressentais pas les effets du mal de block, j’avais très faim et je décidai d’aller nous chercher 2 bons cafés frais et de petites grignotines. J’embrassé tendrement ma compagne qui dormait profondément. Son corps nu entrelacé dans les draps m’appelait pour une récidive mais je résistai. La peau de ces fesses portait toujours les traces de mes doigts, et de mes gifles de la veille. Moi, je pouvais sentir les grafignes lassé par ces ongles dans mon dos, c’était donc un juste retour des choses.
À mon retour, Èva était toujours couché, à demi consciente. Je déposai les café et m’assis à ces cotés, la caressant tendrement pour la réveiller doucement. Elle se réveilla doucement soumise à la même confusion que moi. Nous échangeâmes nos souvenirs de la veille, comblant nos vides mutuels. Un sourire de satisfaction remplissait son visage. Je ne pouvais dire si c’était le gain monétaire ou la célébration qui produisait cet effet mais elle avait l’aire heureuse.
Nous bûmes nos café, dans les bras l’un de l’autre. La faim nous gagnait de plus en plus. Èva commença à se préparer pour le souper du Capitaine. Les valises avaient été entièrement planifiées en fonction de ce souper et des vêtements de mise pour l’occasion. Il m’était donc pas question de ne pas y participer.
Une fois les préparatifs terminés, nous nous dirigeâmes vers la salle de réception. Durant tout le trajet, ma fiancé affichait un air amusé, complice. Son regard amoureux cachait quelque chose. Comme une gamine ayant perpétré un mauvais coup. Elle voulait que je la questionne, elle restait là, étonnamment muette avec un léger fou rire.
Pour la soirée du capitaine, tout les passagers étaient chique et tout l’équipage à son mieux. Le repas s’annonçait remarquable, le spectacle, spectaculaire c’était « the night ».
Et ma compagne ne faisait pas exception, elle portait une élégante robe noire échancré sur le côté de la cuisse un collier et des bracelets de perle et des sandales lacés au haut de la cheville.
Ma belle accrochée à mon bras nous sommes entré dans la salle à manger. Au moment où le maitre d’hôtel me dit de le suivre, Èva me murmure à l’oreille: « je n’ai pas de bobette… ». L’expression de mon visage se figea. Je suivais le maitre D tel un zombie, encore en train d’analyser les dernières informations. Ma fiancée se laissa tirer la chaise et s’assis en me jetant un regard satisfait qui voulait dire « je te tiens…. ».
Elle avait parfaitement raison. Nous sommes restés de longues minutes à se regarder complice, sans dire mot. Ne répondant qu’aux divers serveurs venu prendre notre commande ou verser le vin. Je sentis son pied, glisser lentement le long de mon mollet puis de ma cuisse. Bientôt elle labourait mon entre jambe du creux de ces orteils, j’aurais aimé pouvoir en faire de même. Elle me dévisageait toujours en silence, il n’y avait rien à dire de plus.
Le repas était délicieux, le dessert exquis. Nous avons décidé de prendre un café sur le pont supérieure, elle buvait lentement son café, croisant ces jambes d’un côté puis de l’autre. Me laissant voir au passage le fruit de mon désir.
L’érection qui gonflait mon pantalon y avait élu résidence depuis maintenant plusieurs heures. Une légère douleur en résultait. Je massais régulièrement ma verge afin d’y faire circuler le sang et diminuer la pression.
À plusieurs reprises, j’eus l’envie d’aller me soulager aux toilette. Mais s’eut été sa victoire et par conséquent ma défaite. Ce jeu psycho-sexuel demandait un vainqueur et ce serait moi.
Èva était sortie de son mutisme. Mais chaque parole qui sortait de sa bouche n’avait qu’un but m’allumer. Je savais qu’au moment ou je passerais à l’action, elle me résisterait avec force. Ça faisait partie du jeu.
Elle me traina jusqu’à la piste de danse, 4 niveau plus bas. Et se déchaina sur le plancher de dans, sous la musique des tropiques. Elle s’émoustillait et de dandinait, se frottait et se collait. Chaque mouvement de hanche était une torture, chaque contact un supplice. Elle y mettait le paquet. Elle y prenait plaisir. Combien de temps pouvais-je encore résister.
Le spectacle débutait dans 5 minutes, juste assez pour faire un « pit stop » au bar et se trouver une place adéquate.
Une vodka jus d’orange à la main, nous sommes entré dans la salle de spectacle. Impossible de trouver une place. Plusieurs tentatives infructueuses plus tard, nous avons finalement trouvé une place pas très bien situé mais elle avait au moins l’avantage d’être à l’écart.
Assis à côté d’Èva, j’avais une vue imprenable sur son décolté plongeant. Sa robe laissait paraître sa cuisse musclé. Je décidé donc de lui faire gouter un peu de sa médecine.
Je terminai mon drink en une gorgée. Mis mon bras gauche autour de ses épaules et je plongé l’autre sous la robe de mon épouse. Ce geste fut accueilli par un regard sévère, un serrement de cuisse et une main sur mon poignet.
J’ignorai tout ces signes et poursuivi la pression de mes doigts jusqu’à son clitoris. Quelques secondes plus tard, après s’êtres rendu compte que personne pouvait nous voir, elle relâcha mon poignet et entrouvrit ces jambes.
J’aurais pu la faire venir en 60 secondes. Mais le spectacle durait 1 heure et il n’y avait aucune raison de se presser.
Je la fis mouiller le plus possible, passant mes doigts entre ces lèvres et jusqu’à son anus y pénétrant à peine. Je massais violemment son clitoris puis arrêtais, reprenais, m’insérais profondément. L’amenant juste au bord de l’orgasme sans jamais lui donner satisfaction.
Sa respiration était lourde et elle ne portait aucune attention au spectacle. Après 25 min de torture, je décidai qu’il était temps d’en finir. Je plaçai mon majeure dans son anus, mon index dans sa vulve et travailla son clitoris avec mon pouce.
Je senti rapidement les effets de cette approche, elle enfonça ses ongles dans mon bras, comme pour guider mon mouvement et plaça son autre main sur son sein.
Se retenant de toutes ces forces pour ne pas crier, elle bougeait le bassin pour m’encourager. Je pétrissais son clitoris avec toute la fougue que me permettait cette position. Elle est venue discrètement, contrôlant bien que mal ces convulsions. Sa sève se répandait sur sa robe et sur le siège.
Reprenant son souffle elle me dit, viens me montrer les étoiles dans le ciel. Nous quittâmes la salle non sans mal, bousculant de nombreuses personnes sur notre chemin.
La lumière de l’ascenseur laissait paraître la sueur qui couvrait encore le front et la gorge de ma bien aimée. Elle me donna un long et profond baisé. Le pont supérieur était presque désert. Nous nous dirigeâmes vers l’avant du bateau. Les lumière étaient rare à cet endroit que nous avions remarqué depuis le 1er jour.
Je levai les yeux au ciel pour voir les étoiles et lorsque je baissai le regard, je vis une pair de fesse, offerte à moi. Ma conjointe, penchée sur la balustrade, les sein dans le vide les jambes écartés, sa robe souille remontée.
Je m’introduis donc en elle, la chaleur de son intérieure était sublime. Je ne croyais avoir ni le temps ni l’endurance de lui donner un autre orgasme. Je me trompais. Je voulais ma revanche, je pouvais sentir le fond d’elle. Mon érection était dur et résistante. Je me sentais en contrôle.
Je la pris par les cheveux de la main droite et attrapa son sein de l’autre. Je la labouré de toute mes forces. Faisant claquer nos corps à chaque coup. Le vents de la mer et le mouvement du bateau étaient nos guide. Je la tenais fermement je contrôlais nos mouvements. Elle ne pouvais m’échapper. Je voulais venir en elle fort et longtemps. Je voulais crier mon plaisir et entendre le sien.
La réalité fut moins bruyante mais non moins plaisante. Mes cuisses portent encore les traces de cette soirée. Où les étoiles étaient magnifiques.
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