Monumentale
Récit érotique écrit par Kalvinus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Monumentale
Monumentale
Washington avait tout pour devenir la capitale internationale des monuments. Un égo démesuré, un soutien financier important, centre politique d’un empire moderne, moyens technologiques et une imagination limitée. Champion et inventeurs du marketing les Américains ont su maximiser le pouvoir de l’image pour véhiculer les idées et soulever les passions. Bref c’est une ville qu’on admire de loin et qui peut même impressionner les plus flegmatiques. Un monument à ciel ouvert.
J’en suis à ma 8e journée de conférence économique sur les plan de relance et la mesure de redressement des pays sous tutelle économique. L’excitation initiale a laissé place à la routine, les mêmes arguments présentés sous différents angles. La redondance peut tuer les meilleures idées.
Le comble c’est que ma compagne tarde à venir me rejoindre. Une négociation dans une impasse qui ne peut être résolue que par elle et elle seule. Èva ne laisserait jamais un contrat aussi important à des juniors, je la comprends mais elle me manque.
Dès qu’elle sera libre nous nous envolerons pour la Barbade, deux semaines de vacance bien méritées.
Entre la conférence sur les risques liés à l’effondrement de l’Euro et celle sur les nouvelles normes comptable, je reçu un texto intriguant. « Je suis arrivé, sois à la chambre dans 30 min. »
Mon cerveau s’emballa, quoi, elle est ici, elle est là, déjà, quelle bonheur. Je me précipitai donc vers ma chambre d’hôtel, laissant derrière moi une mer de comptable, d’avocat et d’économistes désabusés, ennuyé et ennuyeux. Le taxi mit un temps fou à traverser les quelques pâtés de maison qui séparaient le centre des congrès de l’hôtel. L’ascenseur me semblât bouger plus lentement que s’il avait été actionné manuellement. Quel ne fut pas ma surprise de trouver la chambre vide à l’exception d’une note sur le lit : « voici tes vêtements, rends toi au 2e étage de la galerie nationale des arts à 19h. »
La confusion qui habitait mon cerveau était totale, sur le lit se trouvait un complet qui m’était complètement inconnue, une chemise neuve fraichement pressée et une pairs de soulier en cuir italien. La galerie fermait à 17h30, comment diable ferais-je pour me rendre au 2e étage et qu’allais-je y trouver. Le plus surprenant, c’était habituellement moi qui organisais ce genre de rencontre. Jamais Èva n’avait pris l’initiative d’organiser une expédition aussi loin des sentiers battus. Rien n’est plus excitant qu’un mystère nappé de secret et noyé dans l’intrigue.
Je pris une douche en vitesse, rasai les endroits stratégiques et enfilai le complet. À ma grande surprise, il m’allait comme un gant. La chemise était ajustée à souhait et le complet tombait comme si il avait été fait sur mesure. À bien y penser il n’y avait rien de surprenant Èva ne laissait jamais rien au hasard, elle connaissait mes mesures par cœur.
Je me rendis au rendez-vous sceptique et soucieux, prévoyant trouver une Èva déçue sur le pas du musée, n’ayant pas prévue les heures d’ouvertures. Ma surprise déjà bien garnie fut précipité directement en orbite. La cause, un homme ganté, en habits d’époque, muni d’une lanterne m’annonçant que j’étais attendu à l’étage. L’expression sur mon visage devait s’apparenter à celle d’un chevreuil devant les phares d’une voiture. Je suivi le valet jusqu’au 2e étage de la galerie. L’atrium était borné de 12 piliers de granit massifs de 10 mètre de haut. Au centre on pouvait voir une énorme fontaine bordée d’une table avec 2 couverts et des chandelles. Une douce musique classique résonnait délicatement tout autour de la pièce.
La surprise qui figeait toujours mon visage m’empêcha également de voir Èva sortir de derrière une des colonnes, vêtue d’une ravissante robe de soirée noire échancrée. Elle s’approcha de moi doucement, avec son habituelle élégance, elle se déplaçait comme soulevé délicatement par une force mystérieuse. La fente de sa robe laissait paraitre le haut d’une délicate jarretelle à chaque pas qu’elle prenait. Une fois à ma hauteur, elle plaça ces mains sur mon visage et m’embrassa longuement et intensément. Prenez place monsieur, dit-elle. Je tirai sa chaise et m’assis en face d’elle. Le valet revint avec les entrées, nous servit le vin et le pain. Les plats se succédèrent entrecoupés de moments de silence et de discussions sans jamais demander d’explications sur l’organisation ou la logistique ce magique souper.
Une fois le désert et les cafés servis, le valet s’excusa en nous souhaitant une belle fin de soirée. Je compris qu’il ne reviendrait pas, que nous serions maintenant seuls.
Depuis plusieurs minutes, je contemplais la poitrine me ma bien aimée, le décolleté de sa robe permettait généreusement une vue imprenable. Éclairée seulement par les chandelles oscillantes, la rondeur de ces seins se gonflant à chaque respiration, la couleur de sa peu laissait deviner un léger bronzage et le soin qu’elle y portait. Si invitante, si douce, son sourire, ces lèvres et son regard trahissaient son désir et ne faisait que nourrir le mien.
Je me levai, essuyant ma bouche et mes mains à l’aide des lingettes chaudes et humides préalablement laissée par notre hôte.
Je me placé derrière elle, sa coiffure remontée me laissait apercevoir sa nuque et son décolté plongeant. Elle regardait droit devant elle, ignorant mes déplacements et allant même jusqu’à prendre quelques gorgées de café de temps en temps. Je déposai mes mains sur ces épaules caressant sa nuque et ces trapèzes, Èva appréciait particulièrement mon touché et mes massages. Guidé par les élans musicaux de Beethoven, je massai Èva jusqu’à ce que je la sente complétement détendue, conditions idéales pour passer à la prochaine étape.
Èva et moi avons l’habitude de nous démontrer nos sentiments, fréquemment et intensément. Nous avons dès le début de notre relation développé une symbiose sexuelle presque parfaite. Un mode de communication parallèle, porteur de passion, de respect et d’amour. Dans ce contexte que bien peu de couples partagent, nous avons grandi et nous nous sommes épanouis au fil du temps.
Ce soir, ce ne serait pas une torride passion qui nous animerait, le cachet vénérable et solennel de cet endroit ne s’y prêtait pas. Seuls, au cœur de la plus grande galerie d’arts au monde, immergé dans l’élégance, l’histoire et la beauté, au centre d’une imposante pièce de marbre, il ne pouvait y avoir que douceur et tendresse. Un roi qui fait l’amour à sa reine. Entouré par des œuvres d’art mondialement connues, symbole de beauté, la plus belle d’entre elle était assise devant moi.
Èva avait fermés les yeux, la force de mes mains et les pressions bien mesurées avaient eu raison d’elle. Je glissai ma main lentement vers de devant de son cou. Empoignant fermement sa mâchoire, je l’embrassai tendrement mais avec intensité. M’agenouillant lentement à côté d’elle, je la fixai en silence. Ma main glissait maintenant de sa cheville à son mollet, de son mollet à sa cuisse. Nos regards soudés l’un à l’autre, échangeant en silence l’expression de nos désir et la force de notre amour. Ma main continuais son chemin vers son entre jambe, la texture du nylon sur mes doigts excitait mon touché. J’ignorai au passage la bordure de dentelle et la sangle qui retenait la jarretelle en place. Mais mon cœur se serra au touché de sa peau, le haut de la cuisse, laissé nu, chaude et légèrement moite.
Èva n’avait pas bougé d’un poil, nos regards toujours soudés, sa respiration s’était légèrement accélérée, ces lèvres s’étaient à peine humectées. Lorsque ma main atteint la dentelle de son sous-vêtement, Èva écarta lentement les jambes afin de donner plus de liberté à mes doigts.
Je profitai de cette largesse de sa part pour soulever la bordure de sa culotte et y glisser mes doigts. Je fus rassuré d’y trouver une vulve gonflée et humide. Mes doigts pénétrant son intérieure, prenant bien soins de savourer chaque repli, chaque nervure, appliquant une délicate pression. Je plaçai ma main de manière à former une pince et ainsi me permettre de stimuler simultanément son intérieur et son clitoris.
L’efficacité de mes mouvements était témoignée par la position des jambes d’Èva qui étaient maintenant complètement écartés. Sa sève coulait abondamment, même son regard bien que rivé sur le mien, trahissait le plaisir que je lui procurais.
Mes mouvements rapides et précis ne prirent que quelques minutes avant de culminer vers l’objectif escompté. Sans jamais détacher nos regards, je sentis en elle les spasmes et secousses de son orgasme. Son expression faciale avait contribué à vendre la mèche de façon plus subtile. Un observateur mal informé aurait pu croire à de léger hoquet tellement elle s’était retenu.
Une fois les tensions dissipées, elle retira doucement ma main de son entre jambe. Elle se leva, détourna son regard et se dirigea derrière une des colonnes. Elle en revint avec une énorme couverture poilue. Peau de bison, d’ours ou d’écureuil, franchement je n’en avais que faire. Elle étendit sa trouvaille devant moi, se plaça en son centre et détacha lentement la fermeture de sa robe dissimulé sur le côté de son torse. La robe glissa le long de son corps et tomba sur ses pieds, découvrant la magnifique forme d’Èva. J’avais déjà deviné qu’elle ne portait pas de soutient gorge. Ces seins fermes me dévisageaient et me défiaient même de ne pas me précipiter vers eux pour les saisir et les licher. Èva me fixaient à nouveau. J’étais figé. Avec une rapidité peu commune, elle détacha les sangles qui retenaient les jarretelles de manière à pouvoir libérer sa culotte. Ce qu’elle fit sans retirer ni les nylons ni le porte jarretelle. Elle portait toujours ces talons hauts ce qui lui faisait des fesses superbes. Elle se retourna ensuite, se pencha vers l’avant, se mis à genoux, plaça ces mains sur la couverture et se tourna vers moi. Aucun mot ne sortis de sa bouche, seulement un regard invitant, remplis de désir et d’amour.
Je répondis à ce regard par un léger sourire. Le spectacle qui s’offrait à moi ne pouvait me laisser insensible. Le membre gorgé de sang dans mon pantalon en était le témoignage. Mon veston était resté sur la chaise, je n’avais aucune envie de faire attendre ma bien aimée plus longtemps. Je me libéré de mes vêtement en vitesse ne prêtant aucune attention au chaos que je laissai derrière.
Je pris position derrière Èva, glissai ma main de son bassin jusqu’à sa nuque. Je l’empoignai fermement, et sans attendre m’inséré en elle. Sa chaleur et intérieure était sublime. Sa chatte humique et gonflée m’accueillait avec sa douceur habituelle. Mes mouvement s’accélérait graduellement, tentant de créer me maximum d’effet à chaque passage. Èva demeurait muette mais les contraction de son dos trahissait son plaisir. Cette position de conférait tout le contrôle dont j’avais besoin pour lui donner son 2e orgasme. Je pouvais la stimuler au maximum sans succomber au plaisir en premier, il n’en était pas question.
Je baisait la femme de mes rêves, la femme de ma vie, au milieu de cet atrium, sous le regard des statuts et des peintures, climax d’une soirée magique. Les gémissements timidement émis par l’objet de mon désir résonnaient maintenant dans toute la pièce. L’acoustique de cette salle majestueuse était très particulière. Je sentais que mes efforts allaient bientôt être récompensés, le gémissement étaient remplacé par de petits cris, les spasmes dorsaux m’indiquaient également l’ampleur du plaisir communiqué. Les claquements de nos corps résonnaient dans une bonne partie du musée. Je ne pouvais plus tenir bien longtemps, je ne pourrais tenir ce rythme bien longtemps, elle devait venir. Mes vœux fut exhaussés, ce mais se crispèrent en serrant la couverte bien fort, son dos s’arquas, elle plongea sa tête entre ces bras tendues collant presque ces épaules vers le sol.
Mais je n’en avais pas fini avec elle. Je la laissai savourer ce moment ralentissant mes mouvements et lâchant prise momentanément. Lorsque je sentis ces muscles se relâcher, j’attrapé ces hanche voluptueuse avec mes 2 mains et m’élancé de nouveau, cherchant le plus possible à frotter le dessous de mon gland sur l’ouverture de l’orifice. Allant complétement au fond d’elle et revenant à la limite opposée. Je voulais venir en elle, déverser ma sève en elle, regarder le fruit de mon plaisir s’écouler doucement de son corps.
L’orgasme fut brutal, intense et long. Mes doigt planté dans son derrière, au fond d’elle déversant sans retenue. Mon membre toujours en elle mais sans vie, perdant sa dureté à chaque seconde qui passe, la sueur coulant le long de mon visage, tombant au creux de ces fesses. Elle m’expulsa d’elle avec la seule contraction de son vagin. Me pris par les épaules et me coucha à ces côtés.
Sans même m’essuyer mon membre, elle le prit dans sa bouche, l’enveloppant d’une douceur incomparable. Sa bouche exquise, animée d’une énergie débordante, me suça, me fit rebander, me licha, la langue allant de mes couilles à mon gland dans un va et vient endiabler. Ma fiancé sait pertinemment que je ne peux résister à sa technique, mon scrotum bien en main, elle me fit gicler de nouveau, s’assurant de savourer chaque goutte de ma semence.
Nous n’avions que quelques heures devant nous avant le retour de l’équipe de nettoyage, elle furent passée enroulés, bien au chaud dans notre peau de yack ou je ne sais quoi, à contempler la coupole de l’atrium en silence et nous remémorer en silence, chaque instant de cette soirée monumentale.
Washington avait tout pour devenir la capitale internationale des monuments. Un égo démesuré, un soutien financier important, centre politique d’un empire moderne, moyens technologiques et une imagination limitée. Champion et inventeurs du marketing les Américains ont su maximiser le pouvoir de l’image pour véhiculer les idées et soulever les passions. Bref c’est une ville qu’on admire de loin et qui peut même impressionner les plus flegmatiques. Un monument à ciel ouvert.
J’en suis à ma 8e journée de conférence économique sur les plan de relance et la mesure de redressement des pays sous tutelle économique. L’excitation initiale a laissé place à la routine, les mêmes arguments présentés sous différents angles. La redondance peut tuer les meilleures idées.
Le comble c’est que ma compagne tarde à venir me rejoindre. Une négociation dans une impasse qui ne peut être résolue que par elle et elle seule. Èva ne laisserait jamais un contrat aussi important à des juniors, je la comprends mais elle me manque.
Dès qu’elle sera libre nous nous envolerons pour la Barbade, deux semaines de vacance bien méritées.
Entre la conférence sur les risques liés à l’effondrement de l’Euro et celle sur les nouvelles normes comptable, je reçu un texto intriguant. « Je suis arrivé, sois à la chambre dans 30 min. »
Mon cerveau s’emballa, quoi, elle est ici, elle est là, déjà, quelle bonheur. Je me précipitai donc vers ma chambre d’hôtel, laissant derrière moi une mer de comptable, d’avocat et d’économistes désabusés, ennuyé et ennuyeux. Le taxi mit un temps fou à traverser les quelques pâtés de maison qui séparaient le centre des congrès de l’hôtel. L’ascenseur me semblât bouger plus lentement que s’il avait été actionné manuellement. Quel ne fut pas ma surprise de trouver la chambre vide à l’exception d’une note sur le lit : « voici tes vêtements, rends toi au 2e étage de la galerie nationale des arts à 19h. »
La confusion qui habitait mon cerveau était totale, sur le lit se trouvait un complet qui m’était complètement inconnue, une chemise neuve fraichement pressée et une pairs de soulier en cuir italien. La galerie fermait à 17h30, comment diable ferais-je pour me rendre au 2e étage et qu’allais-je y trouver. Le plus surprenant, c’était habituellement moi qui organisais ce genre de rencontre. Jamais Èva n’avait pris l’initiative d’organiser une expédition aussi loin des sentiers battus. Rien n’est plus excitant qu’un mystère nappé de secret et noyé dans l’intrigue.
Je pris une douche en vitesse, rasai les endroits stratégiques et enfilai le complet. À ma grande surprise, il m’allait comme un gant. La chemise était ajustée à souhait et le complet tombait comme si il avait été fait sur mesure. À bien y penser il n’y avait rien de surprenant Èva ne laissait jamais rien au hasard, elle connaissait mes mesures par cœur.
Je me rendis au rendez-vous sceptique et soucieux, prévoyant trouver une Èva déçue sur le pas du musée, n’ayant pas prévue les heures d’ouvertures. Ma surprise déjà bien garnie fut précipité directement en orbite. La cause, un homme ganté, en habits d’époque, muni d’une lanterne m’annonçant que j’étais attendu à l’étage. L’expression sur mon visage devait s’apparenter à celle d’un chevreuil devant les phares d’une voiture. Je suivi le valet jusqu’au 2e étage de la galerie. L’atrium était borné de 12 piliers de granit massifs de 10 mètre de haut. Au centre on pouvait voir une énorme fontaine bordée d’une table avec 2 couverts et des chandelles. Une douce musique classique résonnait délicatement tout autour de la pièce.
La surprise qui figeait toujours mon visage m’empêcha également de voir Èva sortir de derrière une des colonnes, vêtue d’une ravissante robe de soirée noire échancrée. Elle s’approcha de moi doucement, avec son habituelle élégance, elle se déplaçait comme soulevé délicatement par une force mystérieuse. La fente de sa robe laissait paraitre le haut d’une délicate jarretelle à chaque pas qu’elle prenait. Une fois à ma hauteur, elle plaça ces mains sur mon visage et m’embrassa longuement et intensément. Prenez place monsieur, dit-elle. Je tirai sa chaise et m’assis en face d’elle. Le valet revint avec les entrées, nous servit le vin et le pain. Les plats se succédèrent entrecoupés de moments de silence et de discussions sans jamais demander d’explications sur l’organisation ou la logistique ce magique souper.
Une fois le désert et les cafés servis, le valet s’excusa en nous souhaitant une belle fin de soirée. Je compris qu’il ne reviendrait pas, que nous serions maintenant seuls.
Depuis plusieurs minutes, je contemplais la poitrine me ma bien aimée, le décolleté de sa robe permettait généreusement une vue imprenable. Éclairée seulement par les chandelles oscillantes, la rondeur de ces seins se gonflant à chaque respiration, la couleur de sa peu laissait deviner un léger bronzage et le soin qu’elle y portait. Si invitante, si douce, son sourire, ces lèvres et son regard trahissaient son désir et ne faisait que nourrir le mien.
Je me levai, essuyant ma bouche et mes mains à l’aide des lingettes chaudes et humides préalablement laissée par notre hôte.
Je me placé derrière elle, sa coiffure remontée me laissait apercevoir sa nuque et son décolté plongeant. Elle regardait droit devant elle, ignorant mes déplacements et allant même jusqu’à prendre quelques gorgées de café de temps en temps. Je déposai mes mains sur ces épaules caressant sa nuque et ces trapèzes, Èva appréciait particulièrement mon touché et mes massages. Guidé par les élans musicaux de Beethoven, je massai Èva jusqu’à ce que je la sente complétement détendue, conditions idéales pour passer à la prochaine étape.
Èva et moi avons l’habitude de nous démontrer nos sentiments, fréquemment et intensément. Nous avons dès le début de notre relation développé une symbiose sexuelle presque parfaite. Un mode de communication parallèle, porteur de passion, de respect et d’amour. Dans ce contexte que bien peu de couples partagent, nous avons grandi et nous nous sommes épanouis au fil du temps.
Ce soir, ce ne serait pas une torride passion qui nous animerait, le cachet vénérable et solennel de cet endroit ne s’y prêtait pas. Seuls, au cœur de la plus grande galerie d’arts au monde, immergé dans l’élégance, l’histoire et la beauté, au centre d’une imposante pièce de marbre, il ne pouvait y avoir que douceur et tendresse. Un roi qui fait l’amour à sa reine. Entouré par des œuvres d’art mondialement connues, symbole de beauté, la plus belle d’entre elle était assise devant moi.
Èva avait fermés les yeux, la force de mes mains et les pressions bien mesurées avaient eu raison d’elle. Je glissai ma main lentement vers de devant de son cou. Empoignant fermement sa mâchoire, je l’embrassai tendrement mais avec intensité. M’agenouillant lentement à côté d’elle, je la fixai en silence. Ma main glissait maintenant de sa cheville à son mollet, de son mollet à sa cuisse. Nos regards soudés l’un à l’autre, échangeant en silence l’expression de nos désir et la force de notre amour. Ma main continuais son chemin vers son entre jambe, la texture du nylon sur mes doigts excitait mon touché. J’ignorai au passage la bordure de dentelle et la sangle qui retenait la jarretelle en place. Mais mon cœur se serra au touché de sa peau, le haut de la cuisse, laissé nu, chaude et légèrement moite.
Èva n’avait pas bougé d’un poil, nos regards toujours soudés, sa respiration s’était légèrement accélérée, ces lèvres s’étaient à peine humectées. Lorsque ma main atteint la dentelle de son sous-vêtement, Èva écarta lentement les jambes afin de donner plus de liberté à mes doigts.
Je profitai de cette largesse de sa part pour soulever la bordure de sa culotte et y glisser mes doigts. Je fus rassuré d’y trouver une vulve gonflée et humide. Mes doigts pénétrant son intérieure, prenant bien soins de savourer chaque repli, chaque nervure, appliquant une délicate pression. Je plaçai ma main de manière à former une pince et ainsi me permettre de stimuler simultanément son intérieur et son clitoris.
L’efficacité de mes mouvements était témoignée par la position des jambes d’Èva qui étaient maintenant complètement écartés. Sa sève coulait abondamment, même son regard bien que rivé sur le mien, trahissait le plaisir que je lui procurais.
Mes mouvements rapides et précis ne prirent que quelques minutes avant de culminer vers l’objectif escompté. Sans jamais détacher nos regards, je sentis en elle les spasmes et secousses de son orgasme. Son expression faciale avait contribué à vendre la mèche de façon plus subtile. Un observateur mal informé aurait pu croire à de léger hoquet tellement elle s’était retenu.
Une fois les tensions dissipées, elle retira doucement ma main de son entre jambe. Elle se leva, détourna son regard et se dirigea derrière une des colonnes. Elle en revint avec une énorme couverture poilue. Peau de bison, d’ours ou d’écureuil, franchement je n’en avais que faire. Elle étendit sa trouvaille devant moi, se plaça en son centre et détacha lentement la fermeture de sa robe dissimulé sur le côté de son torse. La robe glissa le long de son corps et tomba sur ses pieds, découvrant la magnifique forme d’Èva. J’avais déjà deviné qu’elle ne portait pas de soutient gorge. Ces seins fermes me dévisageaient et me défiaient même de ne pas me précipiter vers eux pour les saisir et les licher. Èva me fixaient à nouveau. J’étais figé. Avec une rapidité peu commune, elle détacha les sangles qui retenaient les jarretelles de manière à pouvoir libérer sa culotte. Ce qu’elle fit sans retirer ni les nylons ni le porte jarretelle. Elle portait toujours ces talons hauts ce qui lui faisait des fesses superbes. Elle se retourna ensuite, se pencha vers l’avant, se mis à genoux, plaça ces mains sur la couverture et se tourna vers moi. Aucun mot ne sortis de sa bouche, seulement un regard invitant, remplis de désir et d’amour.
Je répondis à ce regard par un léger sourire. Le spectacle qui s’offrait à moi ne pouvait me laisser insensible. Le membre gorgé de sang dans mon pantalon en était le témoignage. Mon veston était resté sur la chaise, je n’avais aucune envie de faire attendre ma bien aimée plus longtemps. Je me libéré de mes vêtement en vitesse ne prêtant aucune attention au chaos que je laissai derrière.
Je pris position derrière Èva, glissai ma main de son bassin jusqu’à sa nuque. Je l’empoignai fermement, et sans attendre m’inséré en elle. Sa chaleur et intérieure était sublime. Sa chatte humique et gonflée m’accueillait avec sa douceur habituelle. Mes mouvement s’accélérait graduellement, tentant de créer me maximum d’effet à chaque passage. Èva demeurait muette mais les contraction de son dos trahissait son plaisir. Cette position de conférait tout le contrôle dont j’avais besoin pour lui donner son 2e orgasme. Je pouvais la stimuler au maximum sans succomber au plaisir en premier, il n’en était pas question.
Je baisait la femme de mes rêves, la femme de ma vie, au milieu de cet atrium, sous le regard des statuts et des peintures, climax d’une soirée magique. Les gémissements timidement émis par l’objet de mon désir résonnaient maintenant dans toute la pièce. L’acoustique de cette salle majestueuse était très particulière. Je sentais que mes efforts allaient bientôt être récompensés, le gémissement étaient remplacé par de petits cris, les spasmes dorsaux m’indiquaient également l’ampleur du plaisir communiqué. Les claquements de nos corps résonnaient dans une bonne partie du musée. Je ne pouvais plus tenir bien longtemps, je ne pourrais tenir ce rythme bien longtemps, elle devait venir. Mes vœux fut exhaussés, ce mais se crispèrent en serrant la couverte bien fort, son dos s’arquas, elle plongea sa tête entre ces bras tendues collant presque ces épaules vers le sol.
Mais je n’en avais pas fini avec elle. Je la laissai savourer ce moment ralentissant mes mouvements et lâchant prise momentanément. Lorsque je sentis ces muscles se relâcher, j’attrapé ces hanche voluptueuse avec mes 2 mains et m’élancé de nouveau, cherchant le plus possible à frotter le dessous de mon gland sur l’ouverture de l’orifice. Allant complétement au fond d’elle et revenant à la limite opposée. Je voulais venir en elle, déverser ma sève en elle, regarder le fruit de mon plaisir s’écouler doucement de son corps.
L’orgasme fut brutal, intense et long. Mes doigt planté dans son derrière, au fond d’elle déversant sans retenue. Mon membre toujours en elle mais sans vie, perdant sa dureté à chaque seconde qui passe, la sueur coulant le long de mon visage, tombant au creux de ces fesses. Elle m’expulsa d’elle avec la seule contraction de son vagin. Me pris par les épaules et me coucha à ces côtés.
Sans même m’essuyer mon membre, elle le prit dans sa bouche, l’enveloppant d’une douceur incomparable. Sa bouche exquise, animée d’une énergie débordante, me suça, me fit rebander, me licha, la langue allant de mes couilles à mon gland dans un va et vient endiabler. Ma fiancé sait pertinemment que je ne peux résister à sa technique, mon scrotum bien en main, elle me fit gicler de nouveau, s’assurant de savourer chaque goutte de ma semence.
Nous n’avions que quelques heures devant nous avant le retour de l’équipe de nettoyage, elle furent passée enroulés, bien au chaud dans notre peau de yack ou je ne sais quoi, à contempler la coupole de l’atrium en silence et nous remémorer en silence, chaque instant de cette soirée monumentale.
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