LES FANTASMES D ISABELLE N° 11

- Par l'auteur HDS Jessey -
Récit érotique écrit par Jessey [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LES FANTASMES D ISABELLE N° 11 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2008 dans la catégorie Plus on est
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LES FANTASMES D ISABELLE N° 11
SEJOUR DANS LE CHATEAU DE LORD SIMPSON N° 11 (suite se reporter au N° 10)


Lorsque je finis le tour du parc avec Allen, je décidais de passer par l escalier latéral donnant sur la verrière. Je pouvais ainsi échapper aux regards de Jessey et de Richard. Allen m’avait indiqué le chemin jusqu’à l’entrée de ma chambre.
-Tu peux me laisser, lui dis je en ouvrant ma porte.
Allen semblait intimidé. A son regard je compris qu’il attendait autre chose de moi. Mais j’avais surtout l’envie de prendre une douche, l’odeur de plus en plus forte de sperme venant de mon entrejambe me gênait. Quiconque se serait approché de moi aurait deviné que j’avais eu un rapport.
-A plus tard Madame, répondit Allen en faisant demi-tour.
-A plus tard Allen on se reverra.
-J’espère bien Madame !
Je refermais la porte derrière moi et me déshabillais séance tenante, jetant mes affaires sur le lit. En retirant ma petite culotte en coton, je pus constater l’ampleur du sperme quasi séché qui en recouvrait le fond. Je passais ma main sur mon sexe pour constater son état puis la portais à mon nez reniflant l’odeur forte qui s’en dégageait.
-Diable ! Il n’a pas lésiné sur la quantité pensais je en ouvrant le robinet de la douche..
Je restais longtemps sous la douche, appréciant la douceur de l’eau sur ma peau. Je m’étais savonné chaque recoin de mon sexe veillant à ne laisser aucune trace de la jouissance du palefrenier au fond de mon intimité. J’en profitais pour passer un coup de rasoir sur mon pubis et bien aligner le petit ticket de métro que je gardais.
En sortant de la douche nue, je décidais de choisir une robe légère et ample noire, celle que Jessey aimait particulièrement. Je l’étendis sur le lit choisissant dans ma valise un string également noire à dentelle. En me retournant je m’aperçus que le double rideau de la chambre semblait avoir bougé. Mon cœur se mit à battre d’émotion.
-Il y a quelqu’un ? Demandais d’une voix troublée.
Personne ne répondit. J’étais sûr que quelqu’un se cachait derrière l’épais double rideau. Peut être avais je rêvé ! Le cœur battant je m’approchais de la fenêtre…pourtant celle-ci était bien fermée. Approchant la main des plis je l’écartais doucement. A cet instant je poussais un cri de surprise découvrant Allen.
-Que fais tu ici garnement tu me mâtes ? Sors d’ici s’il te plait !
Allen semblait cramoisi me voyant toute nue exposée à ses yeux. Ceux-ci allaient de mes seins à mon pubis, de mon pubis à mes seins. Je sentis une forme d’excitation de me voir ainsi regardée. Allen semblait à la forme de son short avoir une érection qu’il avait du mal à cacher.
-C’est du joli ! Comment as-tu fait pour entrer, je ne t’ai pas entendu ?
-Par la porte Madame ! Pardon j’avais envie de vous regarder.
-C’est la première fois que tu vois une femme nue devant toi ?
-Oui…sinon dans les revues. Vous êtes très jolie. Vous m’avait excité dans l’écurie…j’ai du mal à me calmer.
-Je vois cela.
-Pouvez vous m’apprendre…m’apprendre à faire l’amour ?
Je regardais Allen, il n’avait rien d’un Don Juan, la nature ne l’avait pas particulièrement gâté. Mon regard inconsciemment fixait la bosse de son short qu’il essayait de cacher avec ses deux mains jointes devant.
-Mon pauvre Allen que veux tu que je t’apprennes ? Tu me vois nue devant toi, que puis-je de plus ? Tu m’as vu me faire prendre par ton copain dans l’étable…tu as joui devant moi…
-J’en ai envie…j’en ai envie...mon ventre me fait mal tellement j’ai envie.
-Allen ce n’est pas raisonnable, tu ferais mieux de sortir de ma chambre et si tu veux te soulager tu vas dans la tienne et tu penses à moi…D’accord ?
-Je voudrais connaître le plaisir…rien qu’une fois !
-Non Allen, tu vas me laisser m’habiller lui dis je en enfilant mon string. Je te promets que je ne t’en veux pas…
Je poussais gentiment Allen par l’épaule vers la porte ; Il s’escamota et revint vers le fauteuil du salon.
-S’il vous plait ! Implora t’il en sortant son sexe presque filiforme de son short…s’il vous plait j’en ai envie. Je regardais Allen, le sexe rose en tordu dressé à mes yeux. Je sentis une nouvelle excitation envahir mon ventre. Non je ne pouvais pas accéder à sa demande…sa laideur me freinait.
-Caressez moi…comme dans les films s’il vous plait.. Rien qu’une fois
-Tu regardes les films pornos ?
-Oui le palefrenier m’en passe parfois !
A présent le short d’Allen était tombé sur ses chevilles. Il avait l’air pathétique avec ses jambes maigres et son sexe d’un rose candide. Même son gland semblait minuscule malgré la tension qui l’animait. C’est alors qu’excité à l’extrême il commença à se branler devant moi, Je revis cette image d’Allen dans le boxe.
-S’il vous plait ! Implora t’il en approchant de moi empêtré dans son short. Je regardais ce sexe presque recourbé qui jaillissait de sa main.
Le sang me monta au visage…cette situation extravagante commençait à m’exciter. Je tendis la main vers Allen.
-Viens allonges toi sur le lit.
Allen se débarrassant de son short s’allongea en travers du lit, écartant ses maigres cuisses dévoilant ses bourses qui n’étaient pas en proportion avec son sexe qu’il tenait érigé. Quelques poils poussaient sur son pubis. J’avais été surprise tout à l’heure par l’importance de sa jouissance.
Je m’agenouillais au pied du lit entre les jambes ouvertes d’Allen, m’approchant de son sexe qu’il tenait toujours enserré dans sa main, écrasant celui-ci et faisant gonfler son gland qui était presque violacé. Je pris sa main, la retirant de son sexe, puis délicatement entre deux doigts, je pris la tige dégageant le prépuce au maximum.
Allen à ce contact poussa un léger cri suivi d’un long soupire. C’était la première fois qu’une femme lui tenait son sexe…
Je le pris en pleine main le massant avec délicatesse. Le plaisir semblait envahir Allen qui tremblant de tout son corps, replia ses jambes tout en les écartant au maximum. Je fus presque surpris de l’odeur qui se dégageait de son jeune corps, mélange d’eau de Cologne et de savon de Marseille… Allen était malgré son jeune âge à priori quelqu’un de très propre. De mon autre main je me mis à pétrir ses bourses. Je sentais les boules rouler dans ma main, elles étaient dures. Ce contact me grisa et j’approchais ma bouche de son sexe. Il sentait le savon. Allen avait du aller se laver après son aventure dans l’écurie. Délicatement je dégageait le gland puis j’y déposais un léger bisou déclenchant un nouveau tremblement d’Allen. Jamais je n’avais fait un tel effet. Je pris alors son sexe dans ma bouche, le suçant entre mes lèvres. Allen cria de plaisir à cette caresse. Jamais aussi je n’avais eu dans ma bouche un sexe aussi fin et nerveux.
Je laissais mon instinct de femelle faire son office et le suçant, l’aspirant, l’engloutissant au fond de ma gorge, je sentais contre mes seins ses maigres jambes trembler de plaisir et d’émotion.
-Encore encore s’il vous plait…encore
Tout en massant ses bourses, je lui donnais sa première leçon de fellation. J’aimais c’est vrai sucer les sexes des hommes qui m’excitaient…mais cette situation m’échappait totalement,
Allen poussait son bassin vers ma bouche, mue par une volonté de pénétrer ma bouche au plus profond. Je savais à la contraction de son ventre qu’il allait bientôt jouir. Devais je le faire jouir entre mes doigts ou dans ma bouche ? Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le sentis se crisper totalement, haleter, pousser plus rapidement son bassin, alors que mes lèvres entouraient son gland, j’aspirais fortement celui-ci déclenchant sa jouissance. Allen explosa littéralement dans ma bouche, l’inondant d’un flux important de sperme. Je me décidais à l’avaler, il était particulièrement aigre, chaud, presque gluant. Sous moi Allen était haletant, secouant sa tête de droite à gauche, complètement prisonnier d’une jouissance qu’il avait tant espéré. Je lui avais donné ainsi sa première expérience d’une fellation.
-Voila jeune homme…tu as eu ce que tu voulais, maintenant rhabilles toi et files d’ici. Alors qu’Allen se rhabillait avec quelques difficultés encore sous le choc, j’allais dans la salle de bains me rincer la bouche et me laver les dents. Le dentifrice escamotant le goût âpre su sperme d’Allen. Je me regardais presque honteuse dans la glace, m’étonnant de ce que j’avais été capable de faire. Puis je me dis que j’avais fait une B.A. et qu’Allen allait s’en souvenir toute sa vie…au moins il pourrait meubler ses fantasmes de cette aventure. A l’avenir j’éviterai de le croiser supposant qu’Allen fort de cette partie de plaisir voudrait en connaître plus et je n’en avais pas envie.
Il était temps que je dépêche Jessey et Richard m’attendaient pour l’apéritif. Ils devaient se demander ce que je devais faire. Jessey savait que je prenais tout mon temps pour me préparer. Je terminais mon maquillage, passait ma robe noire sans mettre de soutien gorge. Mes seins petits et fermes pouvaient supporter l’absence de soutien gorge. Je m’amusais à regarder pointer mes deux tétons sous le léger tissu de ma robe trahissant ainsi mon excitation. Je brossais consciencieusement mes longs cheveux blonds. Un dernier regard dans le miroir du placard et j’éteignis la lumière refermant ma chambre derrière moi.
En descendant les marches qui menaient au salon, je reconnus les voix de Jessey et de Richard entre le crépitement de la cheminée.
-Ah ben dis donc ! Qui va là ? Nous t’attendions ma chérie, s’exclama Jessey venant à ma rencontre, un verre de whisky à la main….Viens mon cœur nous avons commencé notre collation sans toi…tu nous excuseras.
Jessey m’accompagna jusqu’aux canapés situés en face de la cheminée.
-Tu es magnifique Isa…souligna Richard en levant son verre après avoir reposé son éternel cigare. Viens à côté de nous. Cette robe te va à ravir ! Fais attention Jessey…une aussi belle femme peut créer des envieux !
-Je sais, j’en ai conscience mais Isa et moi…nous savons à quoi nous en tenir !
-Merci vous êtes adorables messieurs ! Puis je avoir un Martini ?
-Fabien ! Ordonna Richard au Majordome, pouvez vous servir un Martini à notre belle invitée !
-Je m’en occupe Sir !
-Nous parlions Jessey et moi des travaux que j’ai du faire dans ce château. Je vous montrerai les photos du château lorsque je l’ai acheté, dans quel état il était et ce qu’il est advenu aujourd’hui !
-C’est magnifique ce que tu en as fait Richard ! Remarquais je en parcourant des yeux l’ensemble de l’immense salon.
-C’est ma fierté les amis !
-Où as-tu trouvé tous ces meubles, armures, tableaux, tapis ?
-J’ai passé de longs mois à chiner dans toute la région. J’ai même fait venir quelques pièces d’Angleterre, comme ce buffet que vous avez derrière vous.
-Magnifique ! Observais-je consciente de la valeur de chaque meuble qui décorait cette pièce au sol de pierres patinées par le temps.
-Alors chère Isa, demanda Richard, qu’as-tu fait depuis que tu nous as quitté ?
Je me demandais si mes joues étaient en train de rosir trahissant mon émoi.
-Rien de particulier, j’ai été aux écuries avec Allen, j’ai fait la connaissance du palefrenier, puis nous avons fait le tour du parc…je suis rentrée me rafraîchir…et voila !
-Tu sais nous allons avoir un week end très chargé ma chérie et plein d’imprévues !
-je te fais confiance Richard…tu es un expert en la matière.
-J’espère que tu seras honorée à ta juste valeur.
-J’en suis certaine cher Richard !
-Nous allons passer à table, Fabien nous attend !
Durant le repas, nous avons eu droit à un cours d’histoire de Richard, retraçant avec précision, les étapes du château depuis sa construction par un Duc, jusqu’à ce jour.
-Au fait vous savez que cette région est connue pour son passé préhistorique…l’homme de Neandertal a défrayé la chronique tout au long de ces montagnes qui nous entourent.
-On dit qu’ils avaient une sexualité très active ? demanda Jessey
-Que voulez vous qu’ils fassent d’autre…la chasse la pêche…l’amour !
-certes !
-On dit que dans ce village il y a un homme qui a un sexe monstrueux et qu’il l’a hérité cela de ses ancêtres ! Ironisa Richard
-Qu’entends tu par monstrueux ? Demandais je
-Hors norme…Cet homme est un géant, il travaille comme bûcheron, son père tient une scierie à 3 kms d’ici. En été il est souvent employé pour jouer des scènes de vie préhistorique.
-Il est marié ?
-Non il vie seul, dans une maison près de la rivière.
-Il vaut mieux ne pas le rencontrer au coin d’un bois…brouuuu !
-On dit que des femmes viennent de très loin pour découvrir des plaisirs exceptionnels avec lui !
-Ahh ? C’est vrai ?
-Oui il a un succès particulier ! J’ai vu souvent des voitures immatriculées en Allemagne, en Belgique, du sud de la France…devant chez lui. Certains disent qu’ils entendent souvent des cris de femme venant de sa grange !
-Barbe bleue ?
-Non il est d’une gentillesse extrême. C’est lui qui a refait tous les plafonds, ces poutres ont été remplacées par lui.
-Peux tu nous éclairer sur ton programme Richard ce week end m’inquiétais-je
-Vous avez chacun votre chambre…
-Je m’en suis aperçue !
-Demain nous avons une vingtaine d’invités qui arriveront dans l’après midi
-Des hommes des femmes ?
-Que des hommes et une femme plus toi Isa
-D’où viennent ils ?
-Ils font partie d’une confrérie de Londres…les Baltimore.



-Tu en fais partie Richard ?
-Oui et nous nous réunissons ici deux fois par an…
-Et cette femme ?
-C’est mon amie Tatiana qui revient aussi demain de Moscou.
-Nous aurons enfin l honneur de connaître l’élue de ton cœur !
-C’est un cas très spécial !
Durant le repas, le vin aidant, l’ambiance de cette salle à manger un peu hors du temps, je repensais à ces premières heures passées au château, la saillie imprévisible et inimaginable de rapidité avec le palefrenier, cette excitation particulière d’être un moment comme une femelle, cette intermède tout aussi particulier avec Allen. je me dis que ce château inspirait la luxure. Mon regard se posa sur Richard, essayant de deviner ce qu’il pouvait bien tramer pour ce week-end. Je me faisais peut être des illusions, en fait Richard était peut être un homme sage et nous nous étions peut être trompés sur son compte. Pourquoi nous inviter lors d’une réunion de la Confrèrie des Baltimore ? Qu’avions nous à faire dans cette réunion ? Je n’avais pas posé la question à Jessey, mais dès que nous aurions un peu de temps, j’essaierai d’avoir son point de vue.
Arrivés à la fin du repas, Richard nous proposa d’aller nous détendre au coin du feu dans la grande bibliothèque.
Je fus impressionné par toutes ces étagères remplies de beaux livres avec des reliures et des enluminures à l’ancienne. L’odeur du vieux papier se mélangeait avec celle du cuir et du feu de bois.
-Nous allons déguster un élixir réalisé par un maître de notre confrérie, Sir James Ansower. En fait il est surtout à consommer par nos femmes car il a des vertus particulières..
-Quelles sont ses vertus ? M’inquiétais-je
-Cet élixir a la particularité de donner aux femmes de nouvelles sensations !
-Et pour les hommes ? Demandais-je curieuse
-La plénitude ! répondit Richard en riant. Tenez Fabien vient de nous en apporter un verre…cela se boit glacé.
Fabien sans que Richard l’eût commandé apporta une carafe en cristal remplie d’une liqueur d’un vert menthe. Il remplit chaque verre de glaçons et versa l’élixir sur ceux –ci.
-Attendez quelques instants que les glaçons fassent l’effet, conseilla Richard. Fabien se retira de la bibliothèque après avoir allumé un immense bougeoir à quatre branches.
-A ta santé belle Isa, lança Richard en levant son verre.
-A la votre répondis-je. J’étais très étonné du peu de contacts que nous avions depuis notre arrivée Jessey et moi, je le sentais très absorbé par les différentes discussions politiques ou économiques qu’il avait avec Richard. Je me sentais quelque peu à l’écart. Je sentis que Richard posait plus souvent son regard sur moi depuis le milieu du repas. Cet homme était séduisant. Que voulait il de moi ?
-Tu as vraiment une très belle femme mon cher Jessey !
- Isa en effet est une femme exceptionnelle, répondit Jessey
-Exceptionnelle sur tous les plans ?
-Sur tous les plans !
-Nous verrons cela ! Comment trouvez vous cet élixir ?
- C’est indéfinissable comme goût mais c’est très bon ! Précisais-je
-C’est à base de plantes cueillies en Ecosse sur les lands
Au bout de quelques minutes je me sentis comme portée sur un nuage, mon corps se détendait, je sentis une chaleur envahir mon ventre, comme si elle m’enveloppait. L’image de Richard et de Jessey devint floue. Je voyais comme dans un brouillard leurs sourires. Les mots de Richards résonnaient par moment dans ma tête. Je sentis comme un souffle dans mon sexe, étrange sensation qui me donna une envie particulière et excitante de pénétration. Je revoyais le palefrenier me labourer les fesses, cette sensation que nous avons nous autres les femmes lorsque l’homme éjacule dans le fond de notre vagin et nous remplit de son sperme tiède. Ces images hantaient mon esprit. Je sentis mon sexe fondre littéralement. Cet élixir était démoniaque.
Je sentis que deux mains me soulevaient de mon fauteuil par les aisselles sans savoir qui c’était. Je titubais en montant les marches vers ma chambre supportée par² des bras puissants. Je chancelais presque en arrivant devant la porte de ma chambre je n’étais pas saoule mais dans un état entre la conscience et l’extase. Je fus quasiment portée sur mon lit où je m’écroulais avec une envie terrible de faire l’amour. L’inconnu quitta la pièce en éteignant la lumière. La porte se referma délicatement. J’essayais de retrouver mes esprits, impossible de savoir où j’en étais. Mon sexe à présent était en feu et je sentais qu’il s’humidifiait je me sentais merveilleusement bien, prête à faire l’amour pour l’éternité. Je revoyais Allen se caresser, je revoyais le sexe du cheval que j’enserrai de ma main, je devinais le palefrenier labourer mes fesses, j’avais envie de jouir, de sexe, de plaisirs !
C’est à peine si j’entendis la porte de ma chambre s’ouvrir, impossible dans le noir de deviner qui entrait. A plat ventre sur le lit ma robe remontée sur mes cuisses, j’avais du mal à me mettre sur mes coudes lorsque je sentis que l’on me retirait mes chaussures.
-Jess…Jess c’est toi ?
Personne ne répondit. Non ce n’était pas Jessey j’aurais reconnu son odeur.
-Qui êtes vous ? Réussis-je à articuler
Aucune réponse n’arriva. Je sentis l’inconnu prendre mes deux pieds dans ses mains et les caresser puis déposer un baiser dans le creux de ceux-ci. Mon envie de faire l’amour se décupla. Puis je sentis ses mains descendre sur mes mollets, les caresser tout en écartant mes jambes. Les mains de l’inconnu remontèrent derrière mes cuisses jusqu’à mes fesses. Un instant il les malaxa, puis passa une main entre mes cuisses sur mon string. J’étais folle de désir, au point que je délirais des mots grossiers que je ne disais jamais.
Les mains habiles re caressaient mes cuisses les écartant au maximum. Un doigt glissa entre l’élastique de ma culotte et ma peau.. Je n’en pouvais plus j’allais avoir un orgasme, je le sentais venir il éclata lorsque l’inconnu glissa son index dans ma vulve en feu et détrempée. Il laissa son doigt un instant enfoncé dans mon sexe humide puis il lui fit faire des va et vient déclenchant un nouvel orgasme terrible qui me secoua des pieds à la tête. Dieu que c’était bon. J’en voulais encore et encore. C’est alors que l’inconnu resserra mes cuisses afin de descendre mon string. Il le fit passer par mes pieds, j’étais à présent les fesses à l’air, offerte. Il dégrafa ma robe et m’aida à la retirer.
Qui était cet homme ? Richard ? Le Palefrenier ?…impossible de le savoir, mais c’était un homme qui connaissait les femmes et qui les respectait au vu de la délicatesse avec laquelle il me déshabillait. La robe passa par-dessus mes épaules. J’étais à présent nue et offerte au milieu du lit, je tendis la main vers l’inconnu pour m’apercevoir qu’il était nu…il était entré dans ma chambre nu. Ma main heurta son sexe tendu dans le noir. Je le saisis à pleine main sentant sa dureté. Il était bien monté. L’inconnu me prit les deux seins dans ses mains et les caressa doucement s’attardant sur mes tétons tendus à l’extrême. Cette caresse déclancha une vague de plaisir dans mon ventre j’étais sensible des seins.
L’inconnu me retourna vers lui, me prit la tête entre ses mains relevant ainsi mes longs cheveux et me força à approcher ma tête de son ventre. J’appréhendais toujours la propreté d’un homme dans ces moments là. J’étais difficile et exigeante sur la notion d’hygiène. L’homme sentait bon un doux parfum de bois de santal se dégageait de lui. Je sentis son sexe contre ma joue droite. Je ne pus résister à ouvrir la bouche et à mordre la tige étrangement dure comme du bois. J’avais rarement connu un sexe aussi dur que celui que je mordillais à présent. L’homme présenta son gland à l’entrée de ma bouche m’incitant ainsi à le prendre au fond de ma gorge, ce que je fis. Il appuya fortement ma tête enfonçant presque toute la longueur de son membre dans ma gorge déclenchant un haut le cœur et une remontée de bile dans ma bouche. Il imprima un mouvement régulier de ma tête prisonnière de ses mains sur son sexe déclenchant un râle de sa part de plaisir. Afin de ne pas perdre l’équilibre toujours dans ma semi inconscience j’appuyais mes deux mains sur chacune de ses cuisses que je sentais musclées. Mais qui était cet homme ? Je ne le connaissais pas. Ma bouche enserrait son gland tout en l’aspirant. C’était étrange, ma deuxième fellation depuis ce soir. Allait il chercher à jouir comme cela ? J’avais envie de ce sexe dans ma chatte, il était dur, musclé, le gland large et doux roulait sous ma langue. Pas un mot ne sortait de la bouche de l’inconnu que des sons de plaisir et des râles. Il se retira de ma bouche, me prit par les épaules et me repoussa en arrière sur le lit. Il prit mes deux chevilles et souleva mon bassin à la verticale. J’aimais cette position lorsqu’un homme me lèche. Il posa mes deux jambes sur ses épaules de chaque côté de sa tête et je sentis son souffle sur mon sexe baigné d’envie.
L’inconnu frotta son nez sur mon clito le faisant redresser puis écarta mes petites lèvres détrempées. De sa langue il remonta de mon petit trou jusqu’au clito provoquant un spasme dans mon ventre. De sa position il pouvait plonger sa langue dans mon sexe. Il savait merveilleusement bien s’en servir, plongeant dans les limbes secrètes de mon corps, remontant en se tortillant autour de mon clito que je sentais dressé comme rarement il l’a été puis replongeant en moi au plus profond aspirant toute la cyprine que j’émettais. J’éclatais dans un orgasme violent qui me fit redresser mon corps dans des spasmes successifs. Je le sentis qu’il continuait à m’aspirer tout en glissant mon clito entre ses lèvres. C’était merveilleux.
Je me laissais griser par ce contexte général où mon subconscient lui-même se laissait porter par ces fantaisies. L’inconnu se redressa tout en maintenant mes jambes posées sur ses épaules, il ne pouvait voir mon sexe tant la chambre était baignée dans le noir le plus profond, il l’aurait découvert lèvres ouvertes suintant de jouissance prêt à être pénétré. J’avais en cet instant l’envie plus que raisonné d’une pénétration forte. Je sentais même le sphincter de mon anus se contracter par spasmes successifs. Telle que j’étais la pénétration que j’attendais ne pouvais qu’être profonde et prenante. L’inconnu présenta son gland à l’entrée de ma petite chatte. J’avais un sexe d’adolescente. C’est ce qui excitait souvent les hommes. J’aimais mon sexe que je trouvais beau et bien proportionné surtout au niveau des grandes lèvres. Je le regardais souvent dans une glace surtout lors de mes épilations. Je me disais que si j’étais un homme je ne ferais que le manger et le sucer.
L’inconnu me pénétra pratiquement à la verticale me tirant un cri de plaisir. C’était un moment que j’appréciais tout particulièrement lorsque après un orgasme important je sentais un sexe d’homme coulisser jusqu’au fond de mon ventre. C’était délicieux et souvent cela me déclenchait un nouvel orgasme. L’inconnu était attentif à dégager de mon ventre un maximum de plaisir. Il pénétra en douceur, tout en pilonnant fortement enfonçant son sexe durcit et noueux le plus profondément. Chaque fois que le gland touchait le fond de mon vagin, j’éclatais de plaisir et mes cris résonnaient dans la chambre. J’étais une femelle qui s’accouplait sauvagement. Nos bassins ondulèrent l’un contre l’autre, je frottais mon sexe contre ses bourses, puis tel un marteau piqueur il se mit à me besogner avec force et sans ménagement. Je sentis venir du fond de mon corps un orgasme puissant une nouvelle fois qui me fit hurler dans un râle indescriptible. Je secouais mon bassin, cherchant le moment où il se devait de m’inonder de son sperme. Je le sentis se crisper puis il éjacula par saccades le plus profondément en moi. J’étais heureuse de plaisirs et de jouissance. Nos corps restèrent collés un instant dans cette position immobiles. Moi grande ouverte et lui en érection laissant s’échapper les derniers spasmes de son sexe. Rien ne vaut une telle jouissance, instant de bonheur que le corps n’a pas le droit de se refuser. J’aime le sexe, cela fait partie de ma vie, de mon quotidien, mon corps en a besoin, mon moral aussi. Quiconque se refuse ce plaisir de luxure perd une partie de sa vie et de l’équilibre de celle-ci.
L’inconnu se retira de moi doucement, j’entendis très nettement un bruit de succion lorsqu’il se retira de moi. Il reposa mes deux jambes sur le bord du lit, caressa de sa main mon pubis puis alla constater que mon sexe se vidait de son sperme qui s’écoulait sur le couvre lit que nous n’avions pas eu le temps de retirer. Il se pencha vers mon ventre encore animé de spasmes et déposa un baiser sur celui-ci. Je l’entendis alors se diriger vers la porte de ma chambre, j’étais comme dans un brouillard, je vis un peu de lumière apparaître, puis la porte se referma. Je passais ma main sur mon front, essayant de retrouver mes esprits. J’étais bien, trop bien peut être et prête encore à faire l’amour tout mon corps en réclamait. Je passais également celle-ci entre mes jambes, constatant que mon sexe était inondé de sperme gluant et déjà collant. Sans que je puisse m’y attendre je sombrais ainsi dans un sommeil profond en travers du lit. Je n’avais pas eu le temps de dire « merci » à cet inconnu qui m’avait ainsi comblée.

FIN DE LA PARTIE
Suite dans « Les Fantasmes d’isabelle N°12 »

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Isabelle et Jessey

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