LES FANTASMES D'ISABELLE N° 8

- Par l'auteur HDS Jessey -
Récit érotique écrit par Jessey [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LES FANTASMES D'ISABELLE N° 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LES FANTASMES D'ISABELLE N° 8
<p>LES FANTASMES D ISABELLE N° 8

UNE SOIREE TRES SPECIALE ( SUITE DU N° 7)


Jean pris la main d’Isa et au lieu d’aller sur la piste de danse ils allèrent dans le salon bar. Curieux je les suivis des yeux. Jean voulait achever le travail au corps qu’il avait effectué sous la table. Je revins vers la table et sans demander l’autorisation à son ami, resté impassible sur son banc j’invitais Virginie.
-Viens lui dis je dans l’oreille, j’ai tant besoin de toi.
-Elle regarda son ami, celui-ci lui fit un signe d’accord. Elle se leva et me prit la main. Je la conduisis dans le salon sur les traces d’Isa et de Jean.
Arrivé dans le salon je la pris dans mes bras et je l’embrassais fougueusement, profitant de ce moment d’abandon pour lui caresser les seins. Je sentis son souffle court signe de son excitation. Ses seins juvéniles étaient fermes et je pouvais sentir sous le tissu de son chemisier ses tétons se durcir.
-je suis heureuse que l on soit ensemble ! Me glissa t’elle à l’oreille presque intimidée.
-moi aussi, j’ai tant envie de toi, lui répondis-je en remettant une mèche de ses cheveux derrière son oreille
-j’ai vraiment envie de faire l’amour, s’il te plait je suis à toi. Cette soirée m’excite et j’ai du mal à me retenir.
-tu ne fais pas l’amour avec ton copain ?
-je ne l’aime pas, je n’aime pas quand il me prend je ne ressens rien.
-que ressens tu à cet instant ?
-j’ai des pulsions dans le ventre, j’en ai presque des crampes.
-dis moi tu mouilles petite coquine ?
-si tu voulais t’en apercevoir tu pourrais juger de mes émotions !
- continues à avoir ses désirs.
-embrasses moi…j’ai besoin de tendresse et d’amour pour me donner
Je l’embrassais tendrement la tenant par le coup, elle se laissa aller contre ma poitrine m’enserrant dans ses bras. Je sentais que Virginie était avant tout une sentimentale et qu’elle avait besoin de vibrer pour profiter de sa sexualité.
-Je ne veux pas faire l’amour comme cela sur ces tapis devant tout le monde…on ira dans une de ces pièces en haut ? Tu le veux bien ?
-Tout ce que tu veux, j’ai envie d’être avec toi
Je me mis à re caresser les seins de Virginie à travers son chemisier léger. Ils étaient fermes, petits mais bien proportionnés. Je sentais entre mon pouce et mon index la pointe de ceux-ci qui durcissaient. Je sentais rien qu’au baiser fougueux que me donnait Virginie que son désir s’amplifiait. Je descendis mes mains vers le bas de son dos, l’enserrant avec passion. Elle sentait entre ses jambes mon sexe qui roulait sur ses mouvements de bassin. Son souffle devenait plus court presque haletant. Elle était belle Virginie et c’était une femme amoureuse que j’avais dans mes bras.
J’étais très étonné de cet effet que j’avais déclenché chez cette jeune femme d’une vingtaine d’années. Ce jeune corps dont je sentais la fermeté sous mes doigts me donnait des envies d’en profiter avec une certaine passion.
-Veux tu boire quelque chose ? Lui demandais-je en la tenant par le bras
-Une coupe de champagne.
Je me dirigeais vers le bar et je commandais deux coupes de champagne. Le barman en essuyant ses verres me dit :
-Vous avez là une belle petite ! On dirait qu’elle en pince pour vous ! Ici c’est rare de voir cela c’est plus sexe que sentiment !
-elle est belle et adorable
-c’est rare de voir des nanas aussi jeunes dans ces soirées
Je revins vers Virginie avec les deux coupes.
-Tu es gentil Jessey
-Tu me fais craquer Virginie on va s’asseoir sur cette banquette ?
-Si tu veux
Nous nous essayâmes .En face de nous un couple était allongé sur le tapis. Virginie pris la coupe et silencieusement en me tenant la main, regarda le couple qui à présent se caressait sans s’occuper de qui pouvait les regarder.
-Tu crois qu’ils vont faire l’amour comme cela devant nous ? me demanda t’elle les yeux brillants, certainement excitée par la scène qui se jouait devant nous.
-Ils sont bien partis en tout cas, dis je en dégustant une gorgée de champagne. Il n’était pas de première qualité, mais il avait la particularité de nous rafraîchir
-hum hum
-veux tu aller ailleurs cela te gène ?
- non pas pour l’instant je veux profiter de ce spectacle, tu veux bien ?
-comme tu le veux ;
A nos pieds pratiquement le couple d’une trentaine d’année se caressait avec ferveur. L’homme avait déboutonné son pantalon afin de permettre à la jeune femme blonde de glisser sa main dans celui-ci à la recherche de son sexe. Virginie ne semblait pas entre deux gorgées de champagne perdre une miette de ce qui se passait. La femme dégagea du boxer de son amant son sexe a demi tendu le tenant fermement tout en le pressant pour le développer. L’homme glissa sa main sous la jupe beige et la remonta largement sur ses hanches, dévoilant ainsi un pubis parfaitement épilé. La femme écarta les cuisses très provocantes afin d’attendre une caresse subtile. D’où nous étions nous pûmes apercevoir sa vulve dont les lèvres étaient déjà ouvertes comme une corolle. A cet instant je sentis la main de Virginie glisser de ma cuisse droite vers mon sexe qu’elle se mit à caresser à travers mon pantalon. L’effet fut immédiat .Je sentais des fourmillements envahir mon bassin.
Le sexe de l’homme aux cheveux courts avait à présent pris des proportions sous les caresses de la jeune femme dont l’excitation semblait s’amplifier au contact de ce membre qu’elle ne lâchait pas. La vue de ce sexe qui se dressait de ce pantalon entrouvert fascinait Virginie et je sentais à la pression de ses doigts sur mon sexe qu’elle en prenait goût. Son gland turgescent apparaissait régulièrement entre le pouce et l’index de la jeune femme. L’homme à présent avait glissé sa main sur la cuisse de la femme, la massant pour en apprécier la fermeté, puis remonta entre les jambes pour se poser sur le pubis, l’enveloppant totalement. La jeune femme commençait à gémir, jambes largement écartées et toujours en masturbant ce sexe qui pointait. L’annulaire de l’homme glissa du mont de vénus de la belle brune vers le sillon de son sexe, pressant au passage son clitoris. Il alla chercher un peu de cyprine et d’une caresse appuyée, étala sur tout le sexe de la femme sa propre excitation. Elle gémit plus fort entraînant une pression accentuée de la main de Virginie qui moula mon sexe étendu le long de ma jambe. Je posais mon verre vide et mis ma main sur celle de Virginie la guidant presque dans sa caresse subtile.
L’homme se souleva pour abaisser son pantalon et son boxer sur ses cuisses dégageant totalement son sexe dressé et gonflé au maximum. La femme en profita pour empoigner ses bourses et les malaxer entre ses doigts que je trouvais magnifiques. Il caressait le sexe de la femme et ses seins qu’il avait libéré du chemisier. A cet instant la femme pris entre ses deux mains la tête de l’homme et le força à descendre vers son bas ventre. Il se prêta à cette pression embrassant au passage le ventre, glissant sa langue dans le nombril. La femme avait à présent les yeux fermés et la bouche grande ouverte d’où s’échappait des gémissements de plus en plus fort. Nous suivions avec attention cette mise en amour qui se déroulait et qui nous excitait de plus en plus. Je glissais ma main sous la jupe de Virginie qui me la repoussa.
-non pas tout de suite Jessey…tout à l heure dit elle en déposant un baiser sur mes lèvres.
Je ne résistais pas à l’envie de l’embrasser, je glissais une main derrière sa nuque et nos langues s’enroulèrent dans un baiser profond et plein de désir
En sortant de cette union de nos bouches et de nos langues, nous vîmes que l’homme avait à <présent sa tête entre les cuisses ouvertes de la femme. Les mouvements de sa tête nous laissaient imaginer que sa langue s’enfouissait dans le sexe gonflé et humide de la femme. Celle-ci avait ses deux mains posées sur la tête rasée de son amant d’un soir et l’appuyait par moment tout en laissant échapper des petits cris. Nous entendions parfaitement malgré la musique douce qui venait de la salle d’à côté, les bruits de sussions que faisait l’homme en dégustant le sexe qui s’offrait à lui. Aux mouvements du bassin de la femme qui s’amplifiaient de plus en plus nous devinâmes que son orgasme n’allait pas tarder.
Elle encourageait l’homme à continuer ses caresses lui disant qu’elle allait jouir. Elle haletait, balançant sa tête de droite à gauche, ses mains crispées sur le crâne de l’homme. Un soubresaut de son bassin qu’elle souleva les deux pieds appuyés au sol, et dans un cri presque rauque elle éclata de plaisir dans cette bouche qui l’aspirait. L’orgasme la foudroyait totalement. L’homme buvait sa jouissance et la conduisit à un deuxième orgasme tout aussi fort. La femme cherchait son souffle, sa respiration était saccadée elle avait porté sa main à sa bouche se mordant un doigt alors que l’homme continuait à la lécher avec précision. Lorsqu’il releva sa tête d’entre les jambes nous pûmes constater que sa bouche et son menton étaient trempés de la jouissance de la jeune femme
-C’est excitant laissa échapper Virginie…Viens Jessey je veux que toi aussi tu me fasses l’amour.
Nous nous levâmes main dans la main passant à côté des amants. Je suivis Virginie qui m’entraînait vers l’escalier. Je me retournais une dernière fois vers le couple pour m’apercevoir que l’homme prenait position à présent entre les cuisses de la fille. Il donna un coup de rein glissant son sexe dans l’antre ouvert et détrempé. Je suivis Virginie qui m’entraîna vers une petite pièce du premier étage vide de tout occupant.
-Viens viens me dit elle en m’embrassant d’un baiser fougueux. Sa langue se planta dans ma bouche comme un sexe. Je glissais mes doigts dans ses cheveux, puis alors que nos bouches restaient soudées et excitées, je me mis à ouvrir son chemisier dévoilant ses seins tendus et fermes, elle continua en le retirant dénudant totalement son buste. Nos bouches cognaient tant nous étions emportés par un désir incontrôlable. Je me battais à présent contre la ceinture de sa jupe, là encore Virginie vint à mon secours en dégrafant celle-ci et en déboutonnant sur le côté sa jupe qui tomba à ses pieds.
Je reculais d’un pas pour admirer ce corps magnifique qui s’offrait à moi. Virginie était une belle jeune fille et ses formes étaient superbes. Les yeux brillants elle s’approcha de moi et les yeux dans les yeux elle déboutonna mon pantalon le fit glisser en bas de mes jambes, puis après avoir passé pour en découvrir l’émoi sa main sur mon sexe elle tira sur l’élastique de mon caleçon libérant la hampe de mon sexe érigé au maximum. Mon caleçon alla rejoindre à mes pieds mon pantalon. Je me dégageais de ceux-ci ; Nous étions nus à présent face à face. Virginie saisit mon sexe et le caressa de haut en bas le décalottant totalement. Elle me fixait pendant cette caresse. Je la désirais avidement. Mon regard se baissa vers son ventre plat puis vers son pubis. Celui-ci était légèrement bombé entre deux cuisses magnifiques et parfaitement galbées. Virginie n’avait conservé qu’une légère touffe brune sur son mont de vénus.
Je ne la quittais pas des yeux appréciant centimètre carré par centimètre carré ce corps que j’allais consumer dans l’amour et le plaisir. Elle était une femme vraiment très belle, je la sentais de plus en plus amoureuse. Elle s’accroupit sur ses talons portant sa tête à la hauteur de mon sexe qu’elle tenait toujours dans sa main.
-J’aime ton sexe Jessey il est beau
-Toi aussi tu es belle Virginie.
Son regard était à présent fixé sur mon sexe dont elle décalottait et calottait à sa guise le gland gonflé. Elle approcha sa langue tendue et la passa doucement l’enroulant presque avec une infini douceur. J’appréciais à sa juste valeur cette caresse ultime que seule une femme animée d’un profond désir savait prodiguer.
- oui il est vraiment beau et sa couleur est superbe,
Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase, car secoué de spasmes de désir je pris sa tête entre mes deux mains et lui fis comprendre que j’avais envie de sa bouche. Virginie comprit mon attente elle ouvrit sa bouche et embrassa le bout de mon gland puis le fit entrer dans celle-ci. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir à cet instant précis. J’aimais sentir cette pression de la bouche et de la langue d’une femme sur mon gland. Elle leva ses yeux vers moi, jaugeant ainsi du plaisir qu’elle me prodiguait. Les femmes ont souvent cette réaction lorsqu’elles pratiquent une fellation. Puis elle saisit mon sexe entre ses deux mains et fit pénétrer mon sexe plus profondément au fond de sa gorge. C’était sublime ; J’avançais mon bassin pour accentuer cette pénétration. La bouche humide et fraîche de Virginie déclenchait comme des décharges électriques dans ma colonne vertébrale.
-J’aime le goût de ton sexe, réussit elle à me dire en reprenant son souffle et en remettant en bouche ma verge dont les veines semblaient presque éclater de désir. Sa tête se balança d’arrière en avant animée de sussions érotiques ; Elle me tenait à présent les hanches maîtrisant parfaitement cette caresse divine dont tout homme rêve
-Virginie mon cœur si tu continues ainsi tu vas me faire jouir…tu ne veux pas que je te donne ton plaisir ?
Elle retira mon sexe de sa bouche, il était luisant de sa salive.
-Non je veux que tu jouisses d’abord dans ma bouche. J’en ai envie, terriblement envie c’est mon désir pour toi !
Je n’y tins plus je remis mes mains de chaque côté de sa tête…le désir profond me faisait presque disjoncter. Je pris en main mon sexe presque recourbé de désir j’ouvris la bouche de Virginie et je me re glissais dans celle-ci l’enfonçant presque à fond déclenchant un haut le cœur de Virginie. Elle leva à nouveau les yeux vers moi, me faisant comprendre que c’était à elle que revenait l’initiative de cette caresse, de cette fellation superbe. J’avais envie de lui donner mon sexe, mon sperme…Cette fille magnifique que j’avais à moi j’avais envie de la satisfaire de l’honorer comme elle le méritait. Virginie accéléra ses mouvements, déclenchant ces myriades de décharges électriques difficilement détectables dans mon ventre, dans mes bourses, dans mon échine. Je dégustais avec saveur cette caresse que me prodiguait Virginie accroupie devant moi, sexe planté au fond de sa gorge. Puis je sentis venir mon plaisir du fond de moi, comme une pression qui s’effectue dans mes viscères, contracte mon anus, mon bassin avança un peu plus, ma bouche ouverte cherchait l’air nécessaire pour expulser ma jouissance avec force. Virginie d’instinct comprit que mon plaisir allait se transformer en jouissance. Sa bouche se fit plus active, sa langue plus enroulante, elle bavait car je sentais sa salive couler sur mes cuisses accentuant de ce fait mon excitation.
-je vais jouir Virginie, je viens, je vais jouir prends moi, prends moi
Elle enserra la base de mon sexe, puis comme une décharge, circulant par des canaux invisibles, semblable à une pression émaillée de coups d’épingles je sentis monter dans ma verge un déferlement échappant à toute maîtrise, mon âme sembla se dégager de mon corps, circulant comme dans une spirale, presque au bord de l’évanouissement, mon sperme explosa dans cette bouche avide, par saccades successives. Je baissais les yeux vers la tête de Virginie, toujours active sur mon sexe, absorbant sans retenue le flot crémeux et translucide qui remplissait sa bouche. Je sentis qu’elle déglutissait au fur et à mesure cette liqueur particulière mêlée de saveurs multiples, tout en aspirant ne voulant en perdre aucune goutte. Seule une femme amoureuse sait prodiguer un plaisir apocalyptique à son homme ; Tout en aspirant les dernières émissions, Virginie leva à nouveau les yeux vers moi, appréciant à sa juste valeur l’orgasme qui m’avait cisaillé.
-divin, c’est divin lui dis-je
Elle retira mon sexe de sa bouche, puis me montra en tirant sa langue le reste de sperme qui recouvrait celle-ci. Puis elle avala ce reliquat embrassa le bout de mon sexe qui se ramollissait dans sa main.
-J’aime le goût de ton sperme. Dis donc j’ai été gâtée. !
Virginie se releva et avança sa bouche de la mienne et y introduit une langue encore tapissée de mon sperme, me faisant découvrir ses relents et ses saveurs onctueuses. Notre baiser fut me semble t’il interminable. Puis mes mains recherchèrent les courbes de son corps, caressant soupesant ses seins dont la pointe brune se tendait, pétrissant son ventre, ses fesses, remontant sur ses cuisses, écartant ses jambes, s’insinuant dans son sexe détrempé qui n’attendait que d’être honoré. Je sentais Virginie à point, elle remit sa main sur mon sexe à demi érigé, le malaxa habilement entraînant une érection.
Je mis mes mains sur les épaules de Virginie
-Viens mon cœur.. ; allonges toi..
Virginie se laissa guider sur me matelas posé à même le sol. Elle s’allongea en se remontant au maximum vers le traversin. J’admirais devant elle ce corps magnifique ainsi exposé à mon regard. Elle avait les cuisses serrées l’une contre l’autre, puis comme dans un film au ralenti elle écarta lentement les cuisses, dévoilant à mon regard un sexe de toute beauté. Il était petit comme je les aime, décoré de lèvres parfaitement ourlées.
-Tu es magnifique ! Tu es très belle Virginie…ton sexe est de toute beauté.
-Viens me dit elle…viens redit elle en tendant ses bras vers moi.
Je tombais à genoux sur le matelas entre ses jambes à présent grandes ouvertes. Je la regardais admiratif. Virginie mis une de ses mains sur son sexe et sans aucune gêne se mit à se caresser et à ouvrir les lèvres de son sexe, découvrant ainsi totalement sa vulve détrempée à mes yeux.
-Jessey ?
-J’ai envie de te faire jouir autant que tu as pu me prodiguer du plaisir.
Je posais mes mains sur chacun de ses genoux et j’approchais ma tête de son sexe merveilleux. En approchant, je sentis ce parfum de femme enrober mes narines. Je me remplissais les poumons de cette essence de femme. Il était délicat, chargé de senteurs venant de ses entrailles, de son excitation. J’étais à quelques centimètres de se vulve, elle était d’un rose très doux à des reflets sur les lèvres halés. Je pouvais distinguer parfaitement de minuscules goûtellettes légèrement colorées de la sève de femme. Délicatement je pris entre mes doigts les grandes lèvres, ne résistant pas à écarter les douces corolles découvrant son clitoris dont je devinais la naissance rosée. Je posais délicatement mon index dessus, déclenchant un gémissement très long de Virginie.
C’était pour moi une invite à son plaisir. J’approchais de celui-ci ma langue tendue et délicatement je me mis à jouer avec lui. Les mains de Virginie crispèrent à cet instant la toile du matelas. Un nouveau long soupire s’échappa de sa bouche, elle crispa encore plus fortement la toile verte du matelas. Je vis sa vulve avoir une légère mais perceptible contraction libérant un peu de cyprine. Excité par ses effluves et son sexe qui s’humidifiait sous mes yeux émerveillés par ce spectacle, je collais ma bouche sur cette vulve ouverte. Virginie cria et mis ses mains sur ma tête caressant mes cheveux et en appuyant sur elle pour me demander d’aller en elle. Ma langue joua dans sa vulve, léchant, suçant,caressant pénétrant comme un sexe cette antre merveilleuse. Je me délectais des émissions savoureuses venant de son ventre, son sexe était à présent inondé entre ma salive et sa jouissance. Je comprenais à cet instant ce que l’on entendait par faire l’amour et l’importance que cela pouvait avoir entre deux individus. Virginie haletait, émettait des cris langoureux de plaisir.
-Viens Jessey…suces moi mon amour.
Je fus surpris par le mot amour…je replaquais ma bouche sur son sexe et remontant ma main sous ses fesses fermes et parcourus de frissons je glissais mon index dans son petit trou qui ne fit aucune opposition à cette caresse. Comme un sexe mon doigt se lança dans un lent va et vient dans ses entrailles. Virginie balança une fois, deux fois, trois fois son bassin… Je savais que c’était l’appel de sa jouissance.. ; son orgasme naissait de sa colonne vertébrale, de ses entrailles, les pulsions étaient perceptibles…
-Je viens Jess…je viens…je vais jouir…je vais jouir.. ; continues ! Continues mon amour
Sa respiration se fit plus saccadée, puis comme une boule de feu elle me plaqua la tête contre son sexe. Virginie entra comme dans une transe, secoua son bassin en éclatant dans un long cri de jouissance…son orgasme m’apporta à la bouche un léger jet dont je ne voulus pas en perdre la saveur. J’avalais son sexe, je suçais son clito tendu à l’extrême. Je me surpris à avoir une érection extraordinaire dopée par ce que mon corps venait d’absorber de ce corps magnifique.
-Entre en moi.. ;Jessey je t’en prie prends moi maintenant.
Je remontais vers Virginie, l’embrassant goulûment je me mis entre ses jambes écartées. De sa main elle saisit ma verge gonflée et c’est elle qui la présenta à l’entrée de son sexe. Je m’arrêtais juste à l’entrée appréciant la douceur de cette bouche sexe sur mon gland. Par petites poussées maîtrisées je m’enfonçais doucement en elle me délectant de tant de chaleur et de contractions venant de son vagin. Virginie remonta ses jambes et m’enserra mes hanches, me donnant le rythme qu’elle souhaitait à cette copulation. Mon sexe labourait son ventre déclenchant des cris assourdis par la main que Virginie plaquait sur sa bouche. Nos corps ondulèrent puis je me tendis sur mes jambes appuyés sur mes bras posés de chaque côté de ses seins…Virginie remonta son bassin permettant ainsi une pénétration optimale. Je sentais le fond de son vagin et à chaque fois que je butais en elle Virginie avançait dans sa jouissance, je sentais sur mon sexe son liquide intime m’indiquer qu’elle allait avoir un orgasme…elle éclata dans un déhanchement incroyable…elle cria entraînant mon excitation et j’explosais en elle, l’inondant par saccades de ma semence.
Nous étions elle et moi en transpiration, le souffle court, plaqué l’un sur l’autre. Sentant que je l’écrasais de mon poids je me relevais, les yeux fixes sur son sexe repu d’où s’écoulait entre les lèvres largement ouvertes un liquide blanchâtre qui n’était autre que mon sexe. C’était excitant d’admirer cette semence qui s’échappait comme un trop plein de sa vulve.Virginie avança sa main entre ses cuisses et recueillit au bout de ses doigts cette semence et porta sa main à son nez…
-Hum que j’aime cette odeur…
-Alors lèches tes doigts !
Elle n’hésita pas et se mit à lécher chacun de ses doigts en éclatant de rire.

SUITE dans FANTASMES D ISABELLE N° 9

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