Les Fantasmes de Sandrine 15
Récit érotique écrit par Hugo_g [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Fantasmes de Sandrine 15
15 – EXPÉRIENCE AVEC DES LAPINS
Depuis plusieurs mois, j'ai un autre fantasme qui me trotte dans la tête : être donnée à plusieurs hommes en même temps ! Certains diront que c'est un fantasme de salope, mais que voulez-vous, c'est ainsi !
Je n'ose pas en parler à mon Maître JP. Que pourrait-il en penser ? Mais comme cette envie me revient de plus en plus souvent et de façon de plus en plus insistante, j'en ai parlé à mon Maître, un soir après le travail. Il a fait semblant de ne pas avoir entendu ma proposition. Ma demande est restée sans réponse. Finalement, je ne sais pas s'il en a envie et s'il aimerait me voir réaliser ce fantasme.
Je me demande par moment, si je ne suis pas devenue nymphomane. Mais contrairement à certaines pétroleuses qui ont des aventures avec des hommes dans le temps, j'ai envie de me faire culbuter par plusieurs hommes en même temps. J'imagine les sensations que je pourrais avoir, d'être prise par plusieurs sexes en même temps, que plusieurs sexes utilisent tous mes orifices, sans me demander mon avis ! Je sais déjà que ma plastique ne laisse pas indifférente les hommes que je côtoie. Ma poitrine, que je ne dissimule pas et même que j'offre à la vue par de larges décolletés, attire comme un aimant le regard des mâles. Je connais le pouvoir que j'ai sur les hommes, et je sais que lorsqu'ils plongent dans mon décolleté, ils ne pensent plus qu’avec leur bite. Je suis devenue, avec l'aide de Maître JP, une libertine. Je vis pleinement mes envies, comme je le veux. Ce que pensent les autres, je m'en moque totalement. La seule chose que je veux, c'est le respect de tous. Personne ne peut se permettre de me juger, de juger mes actes, mes envies. Certains diront que je suis une belle salope ! C'est vrai, je me définis ainsi ! Je fais cela pour mon plaisir et celui de mon Maître.
Depuis que j'ai proposé à mon Maître une telle expérience, pas de retour ! Rien ! Je laisse donc vagabonder mon imagination.
Le week-end arrive. Samedi matin, mon Maître me demande d'être particulièrement attentive à mes tenues. Comme d'habitude, je m'épile correctement et me pomponne. Je suis adorable ! Vers 14 h 00, mon Maître me demande de venir dans ma chambre. Il m'ordonne de me mettre en tenue de soumise. Depuis la séance avec les trois maîtres, je ne cherche pas à me défiler. En quelques minutes, j'ai enfilé mon corset, mes bas noirs, mes escarpins et mon collier et ma laisse. Je suis en position d'attente, face à mon Maître. Il attache ma laisse au bois de lit et me laisse seule, accroupie.
Il se passe un très long moment avant que j'entende les pas de mon Maître dans le couloir.la porte s'ouvre. Il me relève et me dit : • Enfile ta jolie robe noire très sexy et viens !
Je me rue dans ma penderie, sort ma robe, l'enfile. Je vérifie dans la glace le tombé du tissu. Décidément cette robe est magnifique et infernale. Moulante comme un gant au niveau de mes hanches et de mon cul, dos nu, un décolleté laissant voir la moitié de mes seins et plus si je bouge un peu.
• Tu es superbe, Sandrine, vraiment superbe. Tous les hommes vont loucher sur ton décolleté, tu vas en faire bander plus d'un !
Je rougis sous le compliment. JP tire sur ma laisse. Au passage je jette un coup d'œil dans le miroir. Je découvre mon reflet, le reflet de la soumise, la salope telle qu'elle est représentée dans les films pornographiques. Je raffole de cette image de moi. Elle représente la seconde face de ma vie, seconde face d'une femme BCBG, celle de la femme avide de sexe et de soumission, prête à tout pour satisfaire ses moindres envies, prête à tout pour exciter et céder aux exigences de son Maître et amant, JP. Mon Maître me guide au rez-de-chaussée, puis nous empruntons l'escalier qui conduit à notre donjon. Avant d'entrer dans le donjon, mon Maître me pose mon nouveau bandeau de cuir noir.
• Non Maître, s'il vous plait, je ne veux pas être aveuglée ! Je veux voir en face la nouvelle épreuve que vous allez m'imposer !
• Comme tu le veux !
Interdite par le culot dont j'ai face à mon Maître et surprise qu'il accepte aussi facilement, il me pousse à l'intérieur et s'y engouffre à ma suite, sans oublier de me palper sous toutes les coutures au passage. Mais un reste de mon éducation de soumise, je marche dans le donjon, le regard au sol. Par habitude, je me place sur l'étoile de carrelage qui indique le centre de la pièce. Je prends ma position de soumise, qui attend le bon vouloir de son Maître. Maître JP prend la parole : • Mes chers amis, je vous présente Sandrine… Rachid, votre chef de groupe vous a invité à venir à cette après-midi récréative, en quelque sorte !!! Le but de cette réunion est de satisfaire Sandrine ! Rachid, viens découvrir ma soumise…Je suis stupéfaite de l'annonce de mon Maître. Des commentaires salaces tintent à mes oreilles : • Quelle jolie petite pute !
• C'est du matos de rêve… • Vise un peu ces seins ! Ronds, qui n'attendent que mes mains !
• T'as vu son cul ! Magnifique !!!
Je suis consciente que je vais passer un moment d'enfer avec ces hommes pervers. L'envie est brutale, mes seins sont gonflés d'envie et mon ventre me brûle de désir… Des pas sonnent sur le carrelage. L'homme me fait face. Je garde les yeux au sol et vois le bout de ses chaussures. Ce sont des chaussures de sport. Un doigt caresse mon visage, descend le long de cou avant de plonger dans mon décolleté. Il s'égare entre mes seins et un commentaire fuse : • Bien dit donc, elle a de jolis roberts !
Des rires accompagnent la remarque. Mais il tourne autour de moi. Il s'arrête dans mon dos. Il s'approche de moi et me souffle dans le cou : • Dit donc, petite salope, tu sais pourquoi on n'est là ?
Je ne pipe pas mot. Je hoche la tête de haut en bas en guise de réponse. Mon Maître m'ordonne : • Sandrine, il serait temps que tu te présentes à ces messieurs !
Voilà, mon Maître va me contraindre à cette présentation que je déteste. J'ai l'impression de me vendre sur un champ de foire comme une bête. J'ai horreur de cela. Mais mon Maître veut que je me présente, alors, je le fais ! Je vais commencer et Rachid me sauve de cet instant que j'exècre : • Ne t'inquiète pas, JP, cette jolie salope sait pourquoi elle est là ! Hein, Sandrine, tu sais que tu es là pour nous sucer la queue, nous éponger, nous vider les couilles ! Pas vrai Sandrine ?
De nouveau, je n'ose pas répondre franchement. Un hochement de tête suffit. Mais Rachid continue : • Tu es un peu timide, Sandrine… Mais tu sais aussi que tu es là pour que l'on te baise et qu'on t'encule comme bon nous semble… Cette litanie d'actes que je sais que je vais réaliser, me transcende. La honte vient avec cette sensation, excitante, ce plaisir malsain… Mon Maître est face à moi. Je lève les bras, les enroule autour de son cou et pose ma tête dans le creux de son épaule. Mais Rachid entame l'après-midi. Je chuchote à l'oreille de mon Maître ce qu'il me fait : • Maître, il remonte ma robe… Sa main passe entre mes cuisses… Pour faciliter l'avancée de la main, j'écarte mes pieds. J'explique toujours à mon Maître : • L'un de ses doigts entre dans ma chatte… C'est doux… Il sait très bien faire… Hum… deux, non, trois doigts sont entrés dans mon sexe…Puis un hoquet me coupe la parole. Je souffle avec deux doigts de honte : • Il vient de me mettre son pouce dans le cul ! Il me masturbe avec tous ses doigts !
Je ne peux retenir dans un grognement de satisfaction : • C'est très bon !
Rachid en rajoute : • JP, tu as vraiment une vraie salope… Elle n'a pas froid aux yeux, ni ailleurs… Je crois qu'elle va être un super coup, très salope, comme nous les aimons…JP renchérit sur la remarque de Rachid : • Cela tombe plutôt bien, le fantasme de Sandrine est d'être entouré de bites prêtes à la saillir, à la baiser et à l'enculer ! Pas vrai Sandrine ?
• Oui Maître, j'ai envie de sexes, de plusieurs sexes que vous m'obligerez à sucer, plusieurs hommes à qui vous me donnerez et qui me feront tout ce que vous voudrez…Rachid est surpris : • J'avais remarqué qu'elle était obéissante, mais là, elle est vraiment disciplinée !
JP continue sur sa lancée et ma honte augmente en fonction de ses remarques. Mais mon plaisir monte lui aussi : • Moi, j'aime la donner à des hommes. J'adore la voir sucer, se faire baiser et bien entendu, se faire enculer… N'est-ce pas, Sandrine ?
J'acquiesce, le rouge aux joues et le feu aux fesses : • Oui Maître, vous êtes mon Maître… JP poursuis : • Crois-moi Rachid, elle va s'enfiler des kilomètres de bites dans tous les trous, elle adore cela ! Sandrine, tu es d'accord ?
Je manque de défaillir en entendant mon Maître : • Oui Maître, c'est ce dont j'avais envie ! Je suis prête à tout !
Comme pour ponctuer les discours de mon Maître, Rachid, toujours derrière moi, relève ma robe sur mes reins. Il ouvre mon sexe, libérant mes sécrétions. Il m'étale ma mouille sur tout l'entrejambe de la main. Il positionne son gland à l'entrée de ma grotte d'amour et d'un seul coup me pénètre d'une seule poussée puissante et violente. Heureusement que les discours de mon Maître et les manipulations de Rachid m'ont beaucoup excité. Le coup de bite m'a soulevé du sol. Voilà ce que j'aime le plus : être bien enfilée en levrette par un gros sexe ! Rachid investit ma chatte et me possède très fermement. Il commente grassement ma façon de m'offrir, de donner ma chatte. Des ondes de plaisir me parcourent et plusieurs fois je manque de prendre mon pied. Mais Rachid, en professionnel du sexe, cesse le pilonnage qui me fait grimper aux rideaux, me laissant sur ma faim. Pourtant, brutalement, la jouissance me submerge. Je prends du plaisir et j'en profite au maximum. Je sens Rachid exploser longuement dans mon vagin. Il ressort de ma chatte et essuie son sexe gluant sur mes fesses. Puis, il me pousse en avant. JP me guide vers un lit installé. Rachid décide de me priver de ma robe. Ceci est inéluctable ! Je savais que je finirais la séance à poil. Il me trousse complètement. Je lève les bras pour qu'il parvienne à ses fins et ma si jolie robe finit en tas sur le sol de notre donjon. Il m'appuie sur la tête. Je me retrouve les épaules sur le lit, les fesses hautes et offertes. Rachid s'esclaffe : • Putain, quel cul elle a, ta Sandrine !
Instantanément, son sexe reprend de la vigueur et son gland pointe sur mon anus. Il se saisit de mes bras et me le ramène dans mon dos. Il m'immobilise et me maintient. Il pousse. Le début semble facile. Excitée comme je le suis, et gras de mes secrétions, le gland repousse mon anneau. La suite devient un peu plus laborieuse. Petit à petit, le pieu me remplit, comme quoi la nature est bien faite. Tranquillement, mon anus aspire le gland. J'ai quand même l'impression d'être ouverte en deux. Il m'embroche comme une vulgaire poulette. La douleur de l'intromission me suffoque. Je hoquète ma douleur : • Faites doucement, Monsieur ! Vous êtes énorme !
On a beau dire que la taille d'un sexe n'est pas primordiale, je peux vous dire qu'être possédée par la bite de Rachid est une chose inouïe… Remplie, oui, je suis remplie, c'est le mot… Rachid ne tient pas une seconde de ma remarque : • Tais-toi salope ! Laisse-moi te baiser en silence !
Lentement, mon conduit anal accepte et se prête au diamètre de la queue de Rachid. Conscient de ma dilatation anale, Rachid accélère le rythme de son pilonnage. Il me pénètre de plus en plus loin, toujours plus loin. Dans une violente poussée, il m'enfile jusqu'aux couilles. Je crie de surprise et de douleur. Rachid est vraiment monté comme un âne. Il me questionne : • Tu veux que j'arrête petite salope ?
• Nooooonnnn… Surtout pas, Monsieur, continuez ! Oui, oui je suis une salope… • Tu aimes ça, poufiasse !
• Oh oui ! Encore ! Défoncez-moi avec votre grosse bite, oui, éclate-moi le cul ! Aaaah je vais jouir… • Que lorsqu'on te le dira, Soumise ! Allez, donnes-toi, fais ta pute…Je suis totalement sous le joug de ce sexe. Je ne sais plus ce que je dis. Je profère des insanités.
• Enculez-moi, enculez-moi comme une pute ! Je vous ferais tout ce que vous voulez… Plus fort, plus loin… Encule-moi à fond… Soit un mec, un vrai !
Cette remarque le fustige. Sa cavalcade accélère. Il me défonce totalement. Je hurle. Et soudain, je sens sa bite se gonfler et par saccades, il se vide dans mon rectum. Il lâche mes bras et me jette plus en avant. Je tombe à plat ventre sur le lit. Nue, haletante, je récupère mon souffle. Des rires fusent. Ils s'amusent de ma réaction. Rachid annonce : • Les copains, on peut se la partager ! Chacun a son tour mais on peut aussi la prendre à deux, à trois, voire même à plus ! Elle est vraiment bonne à tout, cette salope !
Rachid me laisse. Il me laisse avec une sensation désolante de vide dans mes reins. Je reste sans bouger pour reprendre conscience pour retomber sur terre. Mais rapidement, je me rends compte que des personnes sont autour de moi. Subitement, je sens une main m'effleurer une fesse. Je fais celle qui n'a rien remarqué. L'homme a-t-il pris cela pour un consentement de ma part, toujours est-il qu'il pose délibérément la main sur l'une de mes fesses. Je veux alors éviter le contact, mais mon Maître m'empêche de m'esquiver, en bloquant mes bras dans mon dos. L'homme se sentant encouragé par l'attitude de mon Maître, en profite et continue de plus belle. Je comprends que mon Maître accorde des privautés à ce groupe d'hommes. Ils ont compris que mon Maître me tient à leur disposition. Les hommes parlent entre eux. La conversation porte sur mon physique. Je sens le poids des regards se portent sur mes seins, sur mes fesses. Brutalement, j'ai honte, honte d'être exposée face à un groupe d'hommes qui n'attend que le signal pour profiter sexuellement de mon corps, de moi.
• Je vous en prie, Maître, dites-leur d'arrêter… • Et pourquoi ? Je trouve sain qu'ils jugent la bête dont ils vont profiter dans quelques instants… • Non, je vous en prie, pas ici !
• Pardon, Sandrine ?
• Rien, Maître, je ferais selon vos désirs…Il ajoute à voix haute pour que tout le monde entende bien : • Bien ! Ce soir je te veux très salope !
Je suis heureuse de l’ordre donné par mon Maître .La situation, même si elle me prend au dépourvu, commence à m'exciter. Malgré tout, ce qui va m’arriver me perturbe un peu. En effet, un certain nombre d’hommes, vous disposer de mon corps. Ils vont profiter de ma bouche de mon sexe et de mon cul comme bon leur semblera, que je sois d’accord ou non, cela ne changera rien. Machinalement, je hoche la tête de haut en bas, manifestant ainsi mon accord sur tout ce qui va suivre et mon entière soumission, je réponds : • Bien Maître, je vais faire de mon mieux pour vous plaire, je serais aussi salope que je le pourrais !
Les choses sérieuses vont commencer. Des rires lourds de sous-entendus ponctuent ma réponse. Des mains me pétrissent les seins. Le matelas accuse le poids d’une personne. Rachid me dit : • Salope, tu vas enjamber mon copain et t’empaler sur sa queue !
Sa remarque s’accompagne d’une traction sur ma laisse. J’avance et mon genou touche un corps. Je lève ma cuisse et me retrouve sur un homme. Sa bite cogne mon ventre. J’avance un peu. Une main glisse entre nos deux corps. Elle saisit la queue triomphante et positionne le gland à l’entrée de ma grotte. Une poussée sur les talons, l’homme se cambre et introduit son membre. Heureusement, je dégouline de plaisir et l’intromission se fait comme une lettre à la boite. Malgré tout, la chose introduite est massive et surtout longue. Elle butte dans le fond de mon antre, contre le col de mon utérus, entraînant une douleur passagère. Mon "agresseur" m’écarte les cuisses et ses mains saisissent mes tétons et s’amusent avec. Ils sont tordus, étirés avec force. La douleur me plait et mon sexe accepte de mieux en mieux la dimension de cet instrument. Je plains réellement une jeune femme qui découvrirait l’amour avec une telle bite. Puis la cavalcade commence. Je suis secouée comme si je chevauchais un pur-sang au galop. La violence des coups de butoir me chavire. Je bascule dans le monde du plaisir. Une vague de chaleur monte en moi. Mes épaules et mes bras me chauffent et ma peau me brûle. Je dois être rouge de la taille à la racine de mes cheveux. Je jouis ! Mais l’homme n’a pas vidé ses couilles ! Il attend que je reprenne un peu vie pour recommencer son pilonnage. Mon plaisir revient aussitôt. Je hurle des insanités : • Vas-y ! Ne t’arrête pas ! Vas-y ! Baise-moi ! Soit un mec, un vrai !
L’homme, excité par mes paroles graveleuses, continue de me baiser comme un fou. Il s’acharne sur mes seins. Je suis saisie par les cheveux. Une poigne ferme me relève la tête. Un membre bien dressé se presse sur mes lèvres. La voix de Rachid m’ordonne : • Ouvre grand ta bouche, salope ! Tu vas me nettoyer la queue ! Suces-moi bien !
Je m'empresse de le prendre en bouche, sans aucune hésitation. J’ai tellement envie de sentir palpiter cette queue sur ma langue. Rachid a retiré sa capote et j’ai le goût de son sperme mêlé à mes secrétions sur la langue. Il me tient fermement par les cheveux et se sert de ma bouche comme d’un vagin. Il me baise la bouche. L’homme sous moi, ne faiblit pas, bien au contraire excité par le viol de ma bouche sous ses yeux. Docilement, j’embouche voluptueusement ce chibre énorme. Lascivement, je parcours de mes lèvres le sexe, enveloppant le gland de ma langue et tentant d’introduire ma langue dans le méat. Le fait de sucer et de me faire baiser me positionne avec les fesses cambrées. Une main me palpe les rondeurs. La caresse est agréable. La main se glisse vite dans l'accueillant sillon. J’ai aussi envie d’être prise par-là ! Inconsciemment, j’oriente mes fesses vers la main caressante. Un doigt s’enfonce sèchement, puis aussitôt un deuxième dans mon anus. Il me doigte copieusement l'anus. La combinaison des trois traitements me transporte totalement. Il demande à mon Maître : • Me donnez-vous la permission de la sodomiser ?
Mon Maître lui répond aussitôt : • Mais bien sûr, vous pouvez et même vous devez l’enculer ! Elle adore cela, la garce !
Je ne doutais pas un seul instant que mon Maître lui refuse cette permission ! Mon sexe coule de cyprine. Il se badigeonne le gland sur le sexe de son collègue et il présente ce dernier à l'entrée de mes reins. Mon anus assouplit par le doigtage, accepte sans difficulté la pénétration. Je me retrouve solidement emmanchée : prise par mes trois orifices simultanément, devant mon Maître aux anges ! Je rue du cul pour signifier le plaisir que je prends à être entreprise par ces trois hommes. Le dernier arrivant me bourre consciencieusement. Les trois comparses accordent leurs mouvements et leurs rythmes. La partie dure longtemps. Je ne sais plus où je suis. Je jouis sans cesse, sans interruption sous les pénétrations successives. Pourtant je ne mollis pas dans la fellation que j’administre à Rachid. Je le sens sur le point de non-retour. Je comprime fermement son membre pour stopper son éjaculation et je le recrache. Je reste quelques instants ainsi puis, je l’embouche de nouveau. Je lui presse les couilles. Rachid gémit et puis grogne. Son foutre me jaillit littéralement dans la bouche. Je peine à avaler la dose qu’il me distribue. J’avale quand même tout en léchant le gland. Je le tête encore un peu, mais je me rends compte que je ne peux plus extraire une seule goutte de ce membre, encore gonflé ! C’est alors que j’ai la surprise de l’entendre dire à mon Maître : • Chapeau, JP, elle suce comme une reine, et crois-moi, je sais de quoi je parle !
Même si j'adore ce rôle d'objet sexuel, même si je peux trouver cela un peu humiliant et même dégradant, cela qui me met dans tous mes états ! Mais je vais surprendre toute l’assistance par une remarque que je dis avec un certain aplomb : • C’est ce que l’on dit, je suis une bonne suceuse de bites !
Les deux autres se déchaînent et les spasmes de leurs queues vibrent dans mon sexe et mon anus. L’homme sous moi, me besogne implacablement, me fait jouir avant de m'inonder la chatte. Le troisième larron fuse dans mes boyaux. Je connais ma première jouissance anale de l’après-midi ! Bon début d’après-midi ! Je n’ai que quelques minutes pour reprendre mes esprits. D’autres prennent le relais. Je suis relevée. Je titube un peu. Mais aussitôt, le lit bouge de nouveau. On me guide. On m’allonge sur le dos. Mais je suis sur un homme. Sa queue bat dans mon dos. On m’écarte les jambes. La queue trouve immédiatement sa place et se fourre bien vite dans mon antre chaud et humide. Je me laisse aller sur ce corps chaud. Ma tête tombe sur son épaule, en extension. Je reste ainsi quelques secondes. Une bite se présente à ma bouche et force mes lèvres. J’avale cette grosse chose. Elle m’étouffe et bute au fond de ma gorge. Pour couronner le tout, deux sexes me sont mis dans chacune de mes mains, avec pour envie de se faire masturber. Ce que je fais immédiatement ! Les deux me tringlent si bien que je jouis deux fois coup sur coup. Ecartelée comme je le suis, je leur offre, sans obstacle à leurs mains avides, mes gros seins à tripoter. Le premier à jouir est l’homme que je suce. Il m’oblige à garder la bouche grande ouverte. Je récupère sa semence, mais quelques gouttes s'égarent sur mon menton. L’homme qui profite de mon sexe change de destination. Brusquement, il m’encule. Un autre vient s’allonger sur moi et le remplace. Me voici encore fourrée comme une dinde. Mais deux sexes se présentent à ma bouche. Ils s’y pressent et m’obligent à les prendre ensembles. Je baille au maximum de mes possibilités. Des ordres fussent : • Ouvre plus grand, salope !
Je fais de mon mieux !
• Range tes dents !
Facile à dire, plus difficile à faire ! Les deux hommes qui me baisent et m’enculent poursuivent leur réjouissante activité. Ils ajoutent rapidement leur sperme à ceux des précédents. Quant aux deux autres, ils m’aspergent consciencieusement le visage. Mon Maître prend la parole : • Ma chère Sandrine, je vais te faire prendre par plusieurs hommes en même temps. En l’occurrence, un dans ta chatte, un dans ton cul, un dans ta bouche et un dans chaque main ! Qu’en penses-tu ? C'est bien ce que tu souhaitais ? C’est bien par cela que tu es fascinée, non ?
J’hésite devant cette proposition qui me séduit, mais cinq hommes simultanément … je n’y avais jamais songé ! Mais le naturel revient au galop : • Oui Maître ! Je sais que vous avez envie de me voir possédée en groupe, je me trompe ?
Mon Maître est un peu soufflé par ma réponse : • Pas du tout ! Je vais être comblé par cet après-midi …Alors, à cet instant, je me lâche : • Oui, Maître JP ! Venez, venez tous en moi. Prenez-moi par tous les trous, je vais tous vous satisfaire.
Les autres participants ne se font pas prier. J'enjambe un homme couché, qui aussitôt me pénètre le sexe. On me pousse en avant. Des mains écartent mes fesses pour en offrir l'accès. Ce doit être un véritable appel. Un phallus intraitable trouve l'entrée facilitée et s'introduit dans mon cul sans trop de difficultés, vu l'abondance de sperme que m'a mis son prédécesseur. L'homme sur lequel je suis allongé empaume mes seins et me soulève. Mes mains sont guidées vers deux sexes en érection. Je commence à les masturber. Selon les dires de mon Maître, j'attends qu'un sexe se présente à ma bouche. Je n'ai qu'une chose à faire : ouvrir la bouche ! Le dernier homme prend son temps. Une main prend mes cheveux à pleine main et m'immobilise. Tenant sa bite de l'autre main, il me caresse les joues. J'essaie de l'attraper avec ma bouche. Mais il fait tout pour je ne réussisse pas. J'ouvre en grand la bouche. Ce salaud en profite et se rue dans ma cavité buccale. J'absorbe jusqu'aux couilles le braquemart volumineux et d'une longueur appréciable.
Cette fois, c'est fait ! Je suis prise par cinq hommes simultanément !
La sensation est extraordinaire. Ne plus avoir d'orifice disponible me fascine ! Et ce qui me plait le plus, c'est que j'ai réussi à dominer ma peur au profit de la réalisation d'un de mes nombreux fantasmes. Je suis transportée dans un autre monde. Je ne m'appartiens plus. Je ne suis plus qu'une chose qui est utilisée par des hommes avides de sexe ! C'est mon Maître qui me m'avilit par une remarque gratinée : • Alors Sandrine, tu voulais être un hangar à bananes ! Cette fois tu as réussi !
La honte me monte aux joues. Je dois être cramoisie. Il est vrai que je n'appartiens à ce moment précis qu'aux bites qui me saillissent. Mais je suis plutôt contente et même fière de cette situation. Les cinq hommes apprécient eux aussi la salope qu'ils baisent. Ils ont accordé leurs rythmes et me pilonnent comme des beaux diables. La sensation est extraordinaire, fabuleuse ! Je suis heureuse de m'offrir à leurs queues viriles. Mais je me rends compte que mon désir de sexe n'est pas rassasié. J'ai envie d'être baisé, traitée comme la dernière des salopes. J'espère que ces cinq hommes ne sont pas les derniers, car je souhaite qu'ils se remplacent dès que l'un d'eux se sera vidé en moi. J'imagine d'autres hommes présents, attendant en file indienne, en train de se masturber devant la scène, en attendant qu'un de mes orifices se libère pour y prendre place à leur tour… Je suis devenue réellement folle, folle de sexe ! Les hommes sont endurants. Leurs queues puissantes ne cessent de me fourrer pour mon plus grand plaisir. Mon corps s'agite de soubresauts incontrôlés. Les hommes en rient et des qualificatifs dégradants commencent à fuser : • Regarde-moi cette salope !
• Une petite pute !
• Tu veux rire, une vraie chienne !
• Et en chaleur, en rut !
• Donne ton cul !
• T'aime ça, hein, salope !
La situation est démente. Ils me tiennent et me pistonnent sans cesse. Je sens la jouissance prendre mon corps. Mon corps devient brûlant. Je ne vais pas tarder à partir en vrille, à perdre la réalité des choses, la raison pour jouir. Des vagues de plaisirs parcourt mon corps. Des frissons de bonheur couvrent ma peau de chair de poule ! Sentant ma jouissance proche, l'homme que je suce se retire de ma bouche. Il se masturbe face à mon visage. Une douce folie s'empare de moi et me fait dire des paroles qu'une femme BCBG comme moi ne prononce jamais : • Allez les mecs, baisez-moi ! Baisez votre petite chienne ! Hé toi qui m'encule, vas-y, ne fais pas semblant ! Défonce-moi le cul, casse-moi le cabinet ! Jute-moi sur la gueule !
En criant mon plaisir à gorge déployée, je les encourage. Je jouis instantanément, violemment. La jouissance est fabuleuse, extraordinaire ! Je perds connaissance ! A peine mes derniers spasmes évanouis, mes tortionnaires ne s'arrêtent pas en si bon chemin. Leur sarabande repart de plus belle. Jusqu'à cet instant, les cinq hommes étaient attentifs à mon plaisir tout en cherchant le leur. Maintenant que j'ai pris mon pied, ils cherchent leur plaisir. Leurs rythmes s'accélèrent. L'homme qui me baise, semble retrouver mes seins. Il les empoigne, les maltraite. Il me pince les tétons les fait saillir encore plus. Excité, il se cambre et s'enfonce jusqu'au fond de mon sexe, sans aucune précaution pour mon utérus qu'il percute comme un malade. Cela ne dure pas longtemps et il inonde mes parois vaginales de son sperme ! Le temps de reprendre son souffle, son sexe quitte ma chatte brûlante. Il me laisse, et indique à haute voix : • Ceux qui veulent se vider les couilles, la place est libre et chaude ! Cette salope est insatiable !
L'un des deux hommes que je masturbe, se libère de ma menotte et se glisse sous moi. La bite bien raide, il n'a aucun problème pour m'enfiler vu la quantité de sécrétion que rejette mon vagin ajouté au sperme des précédents éjaculateurs. Il s'agite aussitôt comme un diable sorti de sa boite. Mais ma chatte est trop accueillante. Il ne résiste pas aux ondes qui parcourent mon vagin et lui masse la queue. Il jouit un peu trop vite à mon goût et libère son trop-plein de vitalité ! Il me quitte laissant mon sexe béant et vide ! Le deuxième que je masturbe s'empresse de le remplacer. Même reptation même enfilage ! La chevauchée recommence et lui aussi décharge. Dommage, j'aurais bien encore pris mon pied ! Mon enculeur se fait plus puissant. Il s'accroche à mes hanches et me pénètre bien à fond. Certaines de ses poussées me fond mal tellement il est long et gros. Je sens les signes avant-coureurs de sa jouissance. Sa verge gonfle et tressaute par saccades. Elle est de plus en plus grosse, raide comme un bâton. Cette fois est la bonne la dernière poussée et il se vide, nappe mes intestins de son sperme, refroidissant celui-ci. Ma rondelle est un peu malmenée. Son retrait me laisse une légère douleur. Mais je n'ai pas le temps de m'apitoyer sur le sort de mon cul. Une main me flatte. On doit trouver mon petit cul accueillant. Je ne me suis pas trompée. On prend place derrière moi, on se frotte la queue entre mes grandes lèvres et sur mon clitoris. On vise mon cul et on me pénètre à fond d'une seule poussée jusqu'au tréfonds de mes reins. Gras et dilaté, il accepte cette nouvelle queue sans broncher. C'est la quatrième fois que mon cul est investi depuis le début de cette séance ! Mais mon nouvel enculeur se débrouille très bien pour me faire subir les derniers outrages ! Je gémis de bonheur Mais l'homme que je suce s'impatiente. Il s'agite de plus en plus et finalement me jette sa purée au fond de la gorge avec un grognement de satisfaction évident. Est-ce cela qui fait partir mon enculeur ? Il se vide aussi. La fin de leurs prouesses me procure un orgasme étonnant. Je m'écroule sur le lit, épuisée mais mes orifices vides de toutes choses raides et massives ! A la place, j'ai la bouche pâteuse et salée et les conduits gars et gluants ! Ces hommes ont pris leur plaisir, mais, moi-aussi j'ai pris du plaisir au passage. Pour mon premier gang-bang, cela est grandiose, merveilleux, étonnant, stupéfiant, jouissif et honteux ! Mais j'avoue être épuisée par ce début d'après-midi. Je demande à mon Maître: • Maître, quand finira cette séance ?
• Tu passes une bonne soirée ?
• Oui Maître, mais je suis un peu fatiguée et je voudrais arrêter !
La couleur des yeux de mon Maître change instantanément. La colère se lit dans son regard : • Chienne, je satisfais ton fantasme et tu rechignes ! Mets-toi en position !
Obéissante, je me place à genoux et passe mes bras entre mes jambes. Je tiens mes chevilles avec mes mains. Je me cambre. Je sais que je viens de décevoir mon Maître. Il va me corriger. J'entends le cliquetis de sa ceinture. Le premier coup tombe, dur violent. D'autres suivent. Combien, je ne sais pas. Ils pleuvent, rapides, rapprochés et violents. Je connais le cuir qui me tanne les fesses. C'est une ceinture de cuir de 6 cm de large et d'un demi-centimètre d'épais. Mes fesses vont être marquées de larges bandes rouges et très sensibles. Rachid s’inquiète de la fermeté de la correction et dit à mon Maître : • Ne l'esquinte pas trop, on veut pouvoir en profiter encore !
• Mais Rachid, elle mérite que je lui claque le cul !
La ceinture s’abat sur mes fesses dix ou douze fois encore, jusqu’à ce que mon cul blanc devienne tout rouge.
• Rachid, si cela te tente, tu peux aussi la fesser !
Le glissement d'une ceinture se fait entendre !
• Vas-y Rachid, claque-lui le cul à cette chienne ignoble ! Regarde comme elle aime ça !
• JP, ce qui m'intrigue le plus, c’est le plaisir qu'elle prend à être maltraitée et humiliée de la sorte ?
• Elle prend son plaisir et son bonheur dans la soumission… Mon cul cambré attire le regard de Rachid. Il lève son bras droit. La ceinture tombe lourdement sur mes fesses. Le bourreau ne retient pas son coup. La violence de la frappe me surprend. Les bouts de cuir s’écrasent sur mon cul m’occasionnant une douleur intense. Rachid relève la main et recommence à me lacérer les fesses à plusieurs reprises. Cela est insupportable. La ceinture s’abat à un rythme soutenu sur mon cul. Rachid s'est laissé emporter par son désir de me frapper plus fort, plus vite. Le traitement s’interrompt au bout de quelques minutes. Après cela, il prend mes cheveux en main. Il relève ma tête. Je me redresse. Mes gros seins apparaissent. Une main me caresse les bouts assez délicatement. Brusquement, il me tire dessus sans ménagement. On me lâche les tétons. Mais on me les flagelle à leur tour. La ceinture reprend du service. Les coups sont bien marqués. Ensuite, on s’intéresse de nouveau à mon cul. Quelques coups supplémentaires s’abattent sur mes globes charnus, plus fort qu’auparavant. Pour la première fois de l'après-midi, j’ai vraiment mal. Et le paradoxe que je ne comprends toujours pas arrive : Je commence à ressentir un afflux de mouille involontaire à l’orée de mon sexe. Je suis une vraie salope, un véritable objet de plaisir. Mon fantasme était d'être donné à un groupe d'hommes. Maintenant c'est devenu une réalité. Et j'aime ça ! Rachid cesse et me rend à JP : • Je te rends ta chienne !
• Merci Rachid !
• Alors Sandrine, aimes-tu ton après-midi ?
• Oui, Maître ! Je veux bien continuer… Mais pouvez-vous me badigeonner le sexe et le cul avec un gel lubrifiant ?
• Bien sûr Sandrine !
Aussitôt une sensation de fraicheur envahit mon entrejambe. Je poisse ! Dans la foulée, un sexe s'introduit dans ma bouche. Un doigt titille mon anus. Un autre doigt fouille mon sexe. Mes deux trous sont explorés sans ménagement. On m'insulte : • Petite cochonne perverse… • Tu veux dire, une belle salope !
Maître JP me punit de n'avoir pas su prendre tous les hommes sans rechigner. Il m'annonce : • Bien Rachid, ton premier copain peut l'enculer !
• Mouloud, à toi !
L'homme m'empoigne par mes cheveux et appuie fort avec la paume de la main sur le bas de mon dos pour me faire me cambrer au maximum et mieux offrir mon petit trou. De mon côté, je pousse sur mon anus pour me dilater et, malgré le gel lubrifiant accepter l'intromission du sexe massif de Mouloud. Ma cambrure, le gel et mes assouplissements de mon sphincter facilitent la pénétration. La première poussée fait entrer le gland rond et large. Aie ! Il est vraiment bien dimensionné ! Une deuxième poussée, un bon coup de rein et sa queue entre tout au fond de mon ventre ! Je ne peux retenir un cri situé entre la douleur et le plaisir. Mouloud sent mon cul s'adapter à son chibre. Je me relâche doucement. Mon cul est moins étroit, plus souple, plus accueillant. Il commence à onduler de plus en plus fort. Il prend confiance devant ma docilité. Il accélère le rythme brutalement. Je me tiens au drap. Je subis cette sodomie. Ses coups de bite me propulsent vers l'avant et ses couilles claquent contre mon sexe. Son ventre frappe chaque fois sur mes fesses, me rappelant qu'elles viennent de subir une correction. JP me demande : • Qu'est-ce que tu es Sandrine ? Dis-moi ce que tu es ?
Je réponds d'un ton soumis : • Je suis une salope bonne à baiser, à enculer, une chienne !
Mouloud excité par la situation et les commentaires ne peut pas se retenir. Il se vide à larges giclées dans mon anus dilaté. Il se retire et accompagne son retrait d'une bonne tape sur ma croupe. Je sursaute de surprise et de douleur. Rachid annonce : • Allez, à ton tour, toi !
Je ne connais donc pas le prénom de celui qui va profiter de moi. Il se place en dessous de moi et une fois en place il me tire par les hanches. Je m'empale sur son sexe. Hum ! bien monté celui-ci aussi ! Une autre queue se présente à ma bouche. Aussitôt, comme j'en ai l'habitude, j'ouvre en grand la bouche et attends le membre. L'homme me pénètre à mi longueur. Je commence à la pomper avidement. A genoux devant moi, il se branle dans ma bouche toute offerte, bavant de salive et de son liquide séminal. L'homme attrape ma tête et me baise la bouche comme il aurait baisé une chatte ou un trou du cul. L'homme encouragé par ma docilité, m'insulte : • Tu aimes ça quand je te baise la bouche, grosse salope ! Tu aimes ça la bite ma salope ! C'est bon n'est-ce pas ?
Je réponds par des grognements sourds, à moitié étouffée par le pénis qui m'obstrue la gorge. L'homme me voyant très excitée par cette fellation, se retire. D'un mouvement rapide, j'essaie de ne pas perdre cette queue qui me force la bouche. Surpris, il me demande : • Sors ta langue !
Il me tape la langue avec sa queue et me lance : • Suce mieux que ça si tu veux que je continue, salope !
Je lui réponds: • Excusez-moi, Monsieur, je vais m'appliquer !
Il me menace : • Tu veux que j'arrête ?
Je m'empresse de lui dire : • Non, je suis désolée ! Je vais vous pomper, je serai une vraie salope, une vraie pute !
Il me la remet dans la bouche, me pénètre bien au fond du gosier et entame de longs et puissants mouvements du bassin. Toujours tenue par les cheveux, je m'acharne sur cette queue. C'est alors qu'un troisième larron intervient. Il place derrière moi et me sodomise à son tour. Je suis de nouveau prise par tous les trous. Ma bouche violée, mon sexe envahit et mon cul remplit, je ressens bien à quel point je suis entravée, fragile et immobilisée avec ses mains dans le dos. Les hommes s'encouragent. Ils me forcent avec la rage des machos, qui veulent les femmes à leurs bottes, à leurs services. Pas de chance pour eux, c'est ce qui me plait ! Cela fait près de deux heures que cette séance dure. Je me suis fait enculer une bonne dizaine de fois par des sexes aux dimensions variables mais plus qu'honorables. J'ai ordre de ne pas me doigter. Malgré la violence et la durée des divers coïts, les orgasmes montent régulièrement avec une force et une violence étonnante. Les trois hommes me pistonnent encore avec plus de violence et de rage. Cela dure quelques minutes. Je sens monter l'orgasme. Je jouis rapidement. Ma respiration s'accélère puis se bloque d'un coup. Je hurle ma jouissance. Les hommes eux-aussi se libèrent dans mes orifices avec des grognements et des cris. Mes orifices sont libérés de toute présence masculine. Mais pour peu de temps. Trois nouveaux hommes me prennent de nouveau. Mais mon envie d'être une salope me gagne de nouveau. Ils me fessent régulièrement, me prennent tour à tour par mes différents orifices. Cela dure pendant encore une bonne heure. Une bite éjacule contre mes seins. Un autre dard souille mon visage. Un autre larron pilote ses jets en direction de mon cul. Mon cul est douché. Il dégouline de coulées de sauce blanche. On me doigte la chatte. A quatre pattes, un vit s'enfonce dans ma chatte béante. Quelques allers-retours et la purée est lâchée dans la préservatif. Je ne reste pas longtemps disponible. Un invité s'enfonce dans mon cul. Il est épaté par la facilité de son intromission : • Chienne, prend-ça dans le cul !
Pendant qu'il me sodomise à couilles rabattues, ses copains commentent la scène : • Veinard, encule-la bien profond !
• Dépêche-toi, que je lui explose l'anus moi aussi !
Un autre invité profite de la disponibilité de ma bouche pour se faire sucer la queue. Mon corps est manié tel celui d'une pute de bas-étage. J'ai juste le temps d'avaler le jus de couilles d'un mec, qu'un autre prend sa place et se déleste dans ma gorge de nouvelles giclées. Les fellations se suivent sans cesse. Ma chatte est irriguée par des geysers abondants. Je suis livrée à la meute de ces hommes en manque et donc en rut de voir une femelle, blanche de surcroit, disponible pour se vider les couilles. Des hommes se succèdent entre mes cuisses béantes, sans la moindre pause. Leurs queues clapotent dans ma chatte dilatée par les nombreuses intrusions et gorgée de mouille. Quand à mon cul, je ne sais combien de bites se sont succédées dedans. Celui qui me possède à l'instant, pousse son gland dans mon anus, s'y loge jusqu'à la garde, me le dévaste. Il m'encule avec paillardise : • Elle en prend plein le cul maintenant, cette salope !
D'autres commentaires fusent : • Mate jusqu'où il s'enfonce !
• Ça, elle n'a pas peur de se faire défoncer l'anus !
Il me pilonne. Il est excité comme un malade. Sa queue distend les parois dilatées de mon rectum. Enfin il se vide. Ses coups de ventre claquent sur mes fesses. Il se retire. Je suis vide ! Puis je suis laissée seule. Je suis à genoux et reprends doucement mes esprits. C'est alors que mon Maître en profite pour s'introduire dans ma bouche. Je crois qu'il est très jaloux de mes différentes jouissances de cet après-midi. Il s'exprime à haute voix : • Suce-moi bien à fond ! Avale tout !
Surprise, je m'efforce de le sucer du mieux possible. Il se vide après quelques allers-retours. J'ai la bouche pleine de son sperme. Je jouis ! Il me tient la tête pour que je ne puisse pas le sortir de ma bouche. Ses dernières giclées me tapissent la gorge. J'étouffe sous ses coups de reins réflexes. Je n'arrive plus à respirer entre le sperme, la queue et l'essoufflement succédant à son orgasme. Il me laisse brutalement seule et vide. Je mets plusieurs minutes à revenir dans la réalité. C'est lors que ma laisse se tend de nouveau. Je me redresse et me lève. Je prends ma position, les jambes écartées, les bras croisés dans le dos, cambrée et le regard au sol. Mon Maître me demande : • Ma soumise, comme tu as été une salope hors pair cet après-midi, et que tu as été comblée, il va te falloir remercier tes lapins ! Aussi, c'est à genoux que tu vas aller auprès d'eux, leur demander leur prénom et les remercier d'avoir éjaculé dans ta bouche, de t'avoir baisée comme une chienne et de t'avoir enculée comme la dernière des salopes que tu es !
Un mouvement de recul trahit ma pensée : • Oh non, Maître pas cela !
J'avais oublié que sa ceinture était opérationnelle. Un coup dur et puissant me fait réfléchir et revenir sur ma première décision : • Bien Maître !
Je m'agenouille. Mon Maître me tire. J'avance à quatre pattes, auprès des hommes qui se sont installés en arc de cercle. Les moqueries, insultes fusent. Je m'arrête devant le premier.
• Bonjour, monsieur, quel est votre prénom ?
• Mouloud, petite pute !
• Monsieur Mouloud, je vous remercie d'avoir bien voulu éjaculer dans ma bouche, de m'avoir baisée comme une chienne et enculée comme la dernière des salopes que je suis.
Je passe ainsi devant les dix-huit hommes qui ont eu mon corps à leur disposition. J'arrive au dernier.
• Bonjour, monsieur, quel est votre prénom ?
• Rachid, salope !
• Monsieur Rachid, je vous remercie d'avoir bien voulu éjaculer dans ma bouche, de m'avoir baisée comme une chienne et enculée comme la dernière des salopes que je suis. Je reste à votre disposition si vous le souhaitez…Une petite envie de narguer mon Maître et ces hommes qui ont profité de moi me fait ajouter un petit commentaire : • … enfin, s'il vous reste un peu de sperme dans vos couilles !
Un éclat de rire secoue l'assistance. JP ne peut que s'en sortir avec une pirouette : • Allez, Sandrine, tu as montré à tous ces mecs que tu as le feu au cul ! Je sais bien que tu en rêvais, que tu le désirais autant que moi ! Tu l'as fait ! Je te félicite !
• Merci mon Maître ! Cette après-midi a été délicieuse. J'ai pris plaisir de me faire défoncer par tous ces hommes en manque.
Je suis crevée mais combien d'orgasmes dévastateurs m'ont-ils submergé ? JP m'enlace, m'embrasse. Il me complimente pour mes prouesses. Trempée de sueur, la bouche gluante, le sexe en feu et dégoulinant et le cul totalement éclaté et je lui demande, provocante : • Etes-vous content de moi Maître ? Vous me vouliez Salope, l'ai-je été assez pour vous et vos amis ?
• Tu es parfaite ma salope chérie ! Tu as été telle que je l'espérais, vicieuse à souhait, salope au-delà de mes espérances ! Auras-tu envie d'autres soirées de ce type ? … Avec plus de mâles pour te combler, qu'en penses-tu ?
• Je suis partante, Maître, vous le savez bien, tout ce que vous voudrez… Et quand vous le voudrez !
Les hommes prennent une douche. Mon Maître m'oblige à me doucher avec eux. Ce qui leur permet de me peloter les seins la chatte et le cul. Mon Maître me dorlote dès que nous sommes seuls.
• Que voulez-vous, mon Maître et amant adore et moi j'adore faire l'amour et si possible avec plusieurs hommes bien membrés ! Car je suis une salope, la salope de mon maître JP !
Depuis plusieurs mois, j'ai un autre fantasme qui me trotte dans la tête : être donnée à plusieurs hommes en même temps ! Certains diront que c'est un fantasme de salope, mais que voulez-vous, c'est ainsi !
Je n'ose pas en parler à mon Maître JP. Que pourrait-il en penser ? Mais comme cette envie me revient de plus en plus souvent et de façon de plus en plus insistante, j'en ai parlé à mon Maître, un soir après le travail. Il a fait semblant de ne pas avoir entendu ma proposition. Ma demande est restée sans réponse. Finalement, je ne sais pas s'il en a envie et s'il aimerait me voir réaliser ce fantasme.
Je me demande par moment, si je ne suis pas devenue nymphomane. Mais contrairement à certaines pétroleuses qui ont des aventures avec des hommes dans le temps, j'ai envie de me faire culbuter par plusieurs hommes en même temps. J'imagine les sensations que je pourrais avoir, d'être prise par plusieurs sexes en même temps, que plusieurs sexes utilisent tous mes orifices, sans me demander mon avis ! Je sais déjà que ma plastique ne laisse pas indifférente les hommes que je côtoie. Ma poitrine, que je ne dissimule pas et même que j'offre à la vue par de larges décolletés, attire comme un aimant le regard des mâles. Je connais le pouvoir que j'ai sur les hommes, et je sais que lorsqu'ils plongent dans mon décolleté, ils ne pensent plus qu’avec leur bite. Je suis devenue, avec l'aide de Maître JP, une libertine. Je vis pleinement mes envies, comme je le veux. Ce que pensent les autres, je m'en moque totalement. La seule chose que je veux, c'est le respect de tous. Personne ne peut se permettre de me juger, de juger mes actes, mes envies. Certains diront que je suis une belle salope ! C'est vrai, je me définis ainsi ! Je fais cela pour mon plaisir et celui de mon Maître.
Depuis que j'ai proposé à mon Maître une telle expérience, pas de retour ! Rien ! Je laisse donc vagabonder mon imagination.
Le week-end arrive. Samedi matin, mon Maître me demande d'être particulièrement attentive à mes tenues. Comme d'habitude, je m'épile correctement et me pomponne. Je suis adorable ! Vers 14 h 00, mon Maître me demande de venir dans ma chambre. Il m'ordonne de me mettre en tenue de soumise. Depuis la séance avec les trois maîtres, je ne cherche pas à me défiler. En quelques minutes, j'ai enfilé mon corset, mes bas noirs, mes escarpins et mon collier et ma laisse. Je suis en position d'attente, face à mon Maître. Il attache ma laisse au bois de lit et me laisse seule, accroupie.
Il se passe un très long moment avant que j'entende les pas de mon Maître dans le couloir.la porte s'ouvre. Il me relève et me dit : • Enfile ta jolie robe noire très sexy et viens !
Je me rue dans ma penderie, sort ma robe, l'enfile. Je vérifie dans la glace le tombé du tissu. Décidément cette robe est magnifique et infernale. Moulante comme un gant au niveau de mes hanches et de mon cul, dos nu, un décolleté laissant voir la moitié de mes seins et plus si je bouge un peu.
• Tu es superbe, Sandrine, vraiment superbe. Tous les hommes vont loucher sur ton décolleté, tu vas en faire bander plus d'un !
Je rougis sous le compliment. JP tire sur ma laisse. Au passage je jette un coup d'œil dans le miroir. Je découvre mon reflet, le reflet de la soumise, la salope telle qu'elle est représentée dans les films pornographiques. Je raffole de cette image de moi. Elle représente la seconde face de ma vie, seconde face d'une femme BCBG, celle de la femme avide de sexe et de soumission, prête à tout pour satisfaire ses moindres envies, prête à tout pour exciter et céder aux exigences de son Maître et amant, JP. Mon Maître me guide au rez-de-chaussée, puis nous empruntons l'escalier qui conduit à notre donjon. Avant d'entrer dans le donjon, mon Maître me pose mon nouveau bandeau de cuir noir.
• Non Maître, s'il vous plait, je ne veux pas être aveuglée ! Je veux voir en face la nouvelle épreuve que vous allez m'imposer !
• Comme tu le veux !
Interdite par le culot dont j'ai face à mon Maître et surprise qu'il accepte aussi facilement, il me pousse à l'intérieur et s'y engouffre à ma suite, sans oublier de me palper sous toutes les coutures au passage. Mais un reste de mon éducation de soumise, je marche dans le donjon, le regard au sol. Par habitude, je me place sur l'étoile de carrelage qui indique le centre de la pièce. Je prends ma position de soumise, qui attend le bon vouloir de son Maître. Maître JP prend la parole : • Mes chers amis, je vous présente Sandrine… Rachid, votre chef de groupe vous a invité à venir à cette après-midi récréative, en quelque sorte !!! Le but de cette réunion est de satisfaire Sandrine ! Rachid, viens découvrir ma soumise…Je suis stupéfaite de l'annonce de mon Maître. Des commentaires salaces tintent à mes oreilles : • Quelle jolie petite pute !
• C'est du matos de rêve… • Vise un peu ces seins ! Ronds, qui n'attendent que mes mains !
• T'as vu son cul ! Magnifique !!!
Je suis consciente que je vais passer un moment d'enfer avec ces hommes pervers. L'envie est brutale, mes seins sont gonflés d'envie et mon ventre me brûle de désir… Des pas sonnent sur le carrelage. L'homme me fait face. Je garde les yeux au sol et vois le bout de ses chaussures. Ce sont des chaussures de sport. Un doigt caresse mon visage, descend le long de cou avant de plonger dans mon décolleté. Il s'égare entre mes seins et un commentaire fuse : • Bien dit donc, elle a de jolis roberts !
Des rires accompagnent la remarque. Mais il tourne autour de moi. Il s'arrête dans mon dos. Il s'approche de moi et me souffle dans le cou : • Dit donc, petite salope, tu sais pourquoi on n'est là ?
Je ne pipe pas mot. Je hoche la tête de haut en bas en guise de réponse. Mon Maître m'ordonne : • Sandrine, il serait temps que tu te présentes à ces messieurs !
Voilà, mon Maître va me contraindre à cette présentation que je déteste. J'ai l'impression de me vendre sur un champ de foire comme une bête. J'ai horreur de cela. Mais mon Maître veut que je me présente, alors, je le fais ! Je vais commencer et Rachid me sauve de cet instant que j'exècre : • Ne t'inquiète pas, JP, cette jolie salope sait pourquoi elle est là ! Hein, Sandrine, tu sais que tu es là pour nous sucer la queue, nous éponger, nous vider les couilles ! Pas vrai Sandrine ?
De nouveau, je n'ose pas répondre franchement. Un hochement de tête suffit. Mais Rachid continue : • Tu es un peu timide, Sandrine… Mais tu sais aussi que tu es là pour que l'on te baise et qu'on t'encule comme bon nous semble… Cette litanie d'actes que je sais que je vais réaliser, me transcende. La honte vient avec cette sensation, excitante, ce plaisir malsain… Mon Maître est face à moi. Je lève les bras, les enroule autour de son cou et pose ma tête dans le creux de son épaule. Mais Rachid entame l'après-midi. Je chuchote à l'oreille de mon Maître ce qu'il me fait : • Maître, il remonte ma robe… Sa main passe entre mes cuisses… Pour faciliter l'avancée de la main, j'écarte mes pieds. J'explique toujours à mon Maître : • L'un de ses doigts entre dans ma chatte… C'est doux… Il sait très bien faire… Hum… deux, non, trois doigts sont entrés dans mon sexe…Puis un hoquet me coupe la parole. Je souffle avec deux doigts de honte : • Il vient de me mettre son pouce dans le cul ! Il me masturbe avec tous ses doigts !
Je ne peux retenir dans un grognement de satisfaction : • C'est très bon !
Rachid en rajoute : • JP, tu as vraiment une vraie salope… Elle n'a pas froid aux yeux, ni ailleurs… Je crois qu'elle va être un super coup, très salope, comme nous les aimons…JP renchérit sur la remarque de Rachid : • Cela tombe plutôt bien, le fantasme de Sandrine est d'être entouré de bites prêtes à la saillir, à la baiser et à l'enculer ! Pas vrai Sandrine ?
• Oui Maître, j'ai envie de sexes, de plusieurs sexes que vous m'obligerez à sucer, plusieurs hommes à qui vous me donnerez et qui me feront tout ce que vous voudrez…Rachid est surpris : • J'avais remarqué qu'elle était obéissante, mais là, elle est vraiment disciplinée !
JP continue sur sa lancée et ma honte augmente en fonction de ses remarques. Mais mon plaisir monte lui aussi : • Moi, j'aime la donner à des hommes. J'adore la voir sucer, se faire baiser et bien entendu, se faire enculer… N'est-ce pas, Sandrine ?
J'acquiesce, le rouge aux joues et le feu aux fesses : • Oui Maître, vous êtes mon Maître… JP poursuis : • Crois-moi Rachid, elle va s'enfiler des kilomètres de bites dans tous les trous, elle adore cela ! Sandrine, tu es d'accord ?
Je manque de défaillir en entendant mon Maître : • Oui Maître, c'est ce dont j'avais envie ! Je suis prête à tout !
Comme pour ponctuer les discours de mon Maître, Rachid, toujours derrière moi, relève ma robe sur mes reins. Il ouvre mon sexe, libérant mes sécrétions. Il m'étale ma mouille sur tout l'entrejambe de la main. Il positionne son gland à l'entrée de ma grotte d'amour et d'un seul coup me pénètre d'une seule poussée puissante et violente. Heureusement que les discours de mon Maître et les manipulations de Rachid m'ont beaucoup excité. Le coup de bite m'a soulevé du sol. Voilà ce que j'aime le plus : être bien enfilée en levrette par un gros sexe ! Rachid investit ma chatte et me possède très fermement. Il commente grassement ma façon de m'offrir, de donner ma chatte. Des ondes de plaisir me parcourent et plusieurs fois je manque de prendre mon pied. Mais Rachid, en professionnel du sexe, cesse le pilonnage qui me fait grimper aux rideaux, me laissant sur ma faim. Pourtant, brutalement, la jouissance me submerge. Je prends du plaisir et j'en profite au maximum. Je sens Rachid exploser longuement dans mon vagin. Il ressort de ma chatte et essuie son sexe gluant sur mes fesses. Puis, il me pousse en avant. JP me guide vers un lit installé. Rachid décide de me priver de ma robe. Ceci est inéluctable ! Je savais que je finirais la séance à poil. Il me trousse complètement. Je lève les bras pour qu'il parvienne à ses fins et ma si jolie robe finit en tas sur le sol de notre donjon. Il m'appuie sur la tête. Je me retrouve les épaules sur le lit, les fesses hautes et offertes. Rachid s'esclaffe : • Putain, quel cul elle a, ta Sandrine !
Instantanément, son sexe reprend de la vigueur et son gland pointe sur mon anus. Il se saisit de mes bras et me le ramène dans mon dos. Il m'immobilise et me maintient. Il pousse. Le début semble facile. Excitée comme je le suis, et gras de mes secrétions, le gland repousse mon anneau. La suite devient un peu plus laborieuse. Petit à petit, le pieu me remplit, comme quoi la nature est bien faite. Tranquillement, mon anus aspire le gland. J'ai quand même l'impression d'être ouverte en deux. Il m'embroche comme une vulgaire poulette. La douleur de l'intromission me suffoque. Je hoquète ma douleur : • Faites doucement, Monsieur ! Vous êtes énorme !
On a beau dire que la taille d'un sexe n'est pas primordiale, je peux vous dire qu'être possédée par la bite de Rachid est une chose inouïe… Remplie, oui, je suis remplie, c'est le mot… Rachid ne tient pas une seconde de ma remarque : • Tais-toi salope ! Laisse-moi te baiser en silence !
Lentement, mon conduit anal accepte et se prête au diamètre de la queue de Rachid. Conscient de ma dilatation anale, Rachid accélère le rythme de son pilonnage. Il me pénètre de plus en plus loin, toujours plus loin. Dans une violente poussée, il m'enfile jusqu'aux couilles. Je crie de surprise et de douleur. Rachid est vraiment monté comme un âne. Il me questionne : • Tu veux que j'arrête petite salope ?
• Nooooonnnn… Surtout pas, Monsieur, continuez ! Oui, oui je suis une salope… • Tu aimes ça, poufiasse !
• Oh oui ! Encore ! Défoncez-moi avec votre grosse bite, oui, éclate-moi le cul ! Aaaah je vais jouir… • Que lorsqu'on te le dira, Soumise ! Allez, donnes-toi, fais ta pute…Je suis totalement sous le joug de ce sexe. Je ne sais plus ce que je dis. Je profère des insanités.
• Enculez-moi, enculez-moi comme une pute ! Je vous ferais tout ce que vous voulez… Plus fort, plus loin… Encule-moi à fond… Soit un mec, un vrai !
Cette remarque le fustige. Sa cavalcade accélère. Il me défonce totalement. Je hurle. Et soudain, je sens sa bite se gonfler et par saccades, il se vide dans mon rectum. Il lâche mes bras et me jette plus en avant. Je tombe à plat ventre sur le lit. Nue, haletante, je récupère mon souffle. Des rires fusent. Ils s'amusent de ma réaction. Rachid annonce : • Les copains, on peut se la partager ! Chacun a son tour mais on peut aussi la prendre à deux, à trois, voire même à plus ! Elle est vraiment bonne à tout, cette salope !
Rachid me laisse. Il me laisse avec une sensation désolante de vide dans mes reins. Je reste sans bouger pour reprendre conscience pour retomber sur terre. Mais rapidement, je me rends compte que des personnes sont autour de moi. Subitement, je sens une main m'effleurer une fesse. Je fais celle qui n'a rien remarqué. L'homme a-t-il pris cela pour un consentement de ma part, toujours est-il qu'il pose délibérément la main sur l'une de mes fesses. Je veux alors éviter le contact, mais mon Maître m'empêche de m'esquiver, en bloquant mes bras dans mon dos. L'homme se sentant encouragé par l'attitude de mon Maître, en profite et continue de plus belle. Je comprends que mon Maître accorde des privautés à ce groupe d'hommes. Ils ont compris que mon Maître me tient à leur disposition. Les hommes parlent entre eux. La conversation porte sur mon physique. Je sens le poids des regards se portent sur mes seins, sur mes fesses. Brutalement, j'ai honte, honte d'être exposée face à un groupe d'hommes qui n'attend que le signal pour profiter sexuellement de mon corps, de moi.
• Je vous en prie, Maître, dites-leur d'arrêter… • Et pourquoi ? Je trouve sain qu'ils jugent la bête dont ils vont profiter dans quelques instants… • Non, je vous en prie, pas ici !
• Pardon, Sandrine ?
• Rien, Maître, je ferais selon vos désirs…Il ajoute à voix haute pour que tout le monde entende bien : • Bien ! Ce soir je te veux très salope !
Je suis heureuse de l’ordre donné par mon Maître .La situation, même si elle me prend au dépourvu, commence à m'exciter. Malgré tout, ce qui va m’arriver me perturbe un peu. En effet, un certain nombre d’hommes, vous disposer de mon corps. Ils vont profiter de ma bouche de mon sexe et de mon cul comme bon leur semblera, que je sois d’accord ou non, cela ne changera rien. Machinalement, je hoche la tête de haut en bas, manifestant ainsi mon accord sur tout ce qui va suivre et mon entière soumission, je réponds : • Bien Maître, je vais faire de mon mieux pour vous plaire, je serais aussi salope que je le pourrais !
Les choses sérieuses vont commencer. Des rires lourds de sous-entendus ponctuent ma réponse. Des mains me pétrissent les seins. Le matelas accuse le poids d’une personne. Rachid me dit : • Salope, tu vas enjamber mon copain et t’empaler sur sa queue !
Sa remarque s’accompagne d’une traction sur ma laisse. J’avance et mon genou touche un corps. Je lève ma cuisse et me retrouve sur un homme. Sa bite cogne mon ventre. J’avance un peu. Une main glisse entre nos deux corps. Elle saisit la queue triomphante et positionne le gland à l’entrée de ma grotte. Une poussée sur les talons, l’homme se cambre et introduit son membre. Heureusement, je dégouline de plaisir et l’intromission se fait comme une lettre à la boite. Malgré tout, la chose introduite est massive et surtout longue. Elle butte dans le fond de mon antre, contre le col de mon utérus, entraînant une douleur passagère. Mon "agresseur" m’écarte les cuisses et ses mains saisissent mes tétons et s’amusent avec. Ils sont tordus, étirés avec force. La douleur me plait et mon sexe accepte de mieux en mieux la dimension de cet instrument. Je plains réellement une jeune femme qui découvrirait l’amour avec une telle bite. Puis la cavalcade commence. Je suis secouée comme si je chevauchais un pur-sang au galop. La violence des coups de butoir me chavire. Je bascule dans le monde du plaisir. Une vague de chaleur monte en moi. Mes épaules et mes bras me chauffent et ma peau me brûle. Je dois être rouge de la taille à la racine de mes cheveux. Je jouis ! Mais l’homme n’a pas vidé ses couilles ! Il attend que je reprenne un peu vie pour recommencer son pilonnage. Mon plaisir revient aussitôt. Je hurle des insanités : • Vas-y ! Ne t’arrête pas ! Vas-y ! Baise-moi ! Soit un mec, un vrai !
L’homme, excité par mes paroles graveleuses, continue de me baiser comme un fou. Il s’acharne sur mes seins. Je suis saisie par les cheveux. Une poigne ferme me relève la tête. Un membre bien dressé se presse sur mes lèvres. La voix de Rachid m’ordonne : • Ouvre grand ta bouche, salope ! Tu vas me nettoyer la queue ! Suces-moi bien !
Je m'empresse de le prendre en bouche, sans aucune hésitation. J’ai tellement envie de sentir palpiter cette queue sur ma langue. Rachid a retiré sa capote et j’ai le goût de son sperme mêlé à mes secrétions sur la langue. Il me tient fermement par les cheveux et se sert de ma bouche comme d’un vagin. Il me baise la bouche. L’homme sous moi, ne faiblit pas, bien au contraire excité par le viol de ma bouche sous ses yeux. Docilement, j’embouche voluptueusement ce chibre énorme. Lascivement, je parcours de mes lèvres le sexe, enveloppant le gland de ma langue et tentant d’introduire ma langue dans le méat. Le fait de sucer et de me faire baiser me positionne avec les fesses cambrées. Une main me palpe les rondeurs. La caresse est agréable. La main se glisse vite dans l'accueillant sillon. J’ai aussi envie d’être prise par-là ! Inconsciemment, j’oriente mes fesses vers la main caressante. Un doigt s’enfonce sèchement, puis aussitôt un deuxième dans mon anus. Il me doigte copieusement l'anus. La combinaison des trois traitements me transporte totalement. Il demande à mon Maître : • Me donnez-vous la permission de la sodomiser ?
Mon Maître lui répond aussitôt : • Mais bien sûr, vous pouvez et même vous devez l’enculer ! Elle adore cela, la garce !
Je ne doutais pas un seul instant que mon Maître lui refuse cette permission ! Mon sexe coule de cyprine. Il se badigeonne le gland sur le sexe de son collègue et il présente ce dernier à l'entrée de mes reins. Mon anus assouplit par le doigtage, accepte sans difficulté la pénétration. Je me retrouve solidement emmanchée : prise par mes trois orifices simultanément, devant mon Maître aux anges ! Je rue du cul pour signifier le plaisir que je prends à être entreprise par ces trois hommes. Le dernier arrivant me bourre consciencieusement. Les trois comparses accordent leurs mouvements et leurs rythmes. La partie dure longtemps. Je ne sais plus où je suis. Je jouis sans cesse, sans interruption sous les pénétrations successives. Pourtant je ne mollis pas dans la fellation que j’administre à Rachid. Je le sens sur le point de non-retour. Je comprime fermement son membre pour stopper son éjaculation et je le recrache. Je reste quelques instants ainsi puis, je l’embouche de nouveau. Je lui presse les couilles. Rachid gémit et puis grogne. Son foutre me jaillit littéralement dans la bouche. Je peine à avaler la dose qu’il me distribue. J’avale quand même tout en léchant le gland. Je le tête encore un peu, mais je me rends compte que je ne peux plus extraire une seule goutte de ce membre, encore gonflé ! C’est alors que j’ai la surprise de l’entendre dire à mon Maître : • Chapeau, JP, elle suce comme une reine, et crois-moi, je sais de quoi je parle !
Même si j'adore ce rôle d'objet sexuel, même si je peux trouver cela un peu humiliant et même dégradant, cela qui me met dans tous mes états ! Mais je vais surprendre toute l’assistance par une remarque que je dis avec un certain aplomb : • C’est ce que l’on dit, je suis une bonne suceuse de bites !
Les deux autres se déchaînent et les spasmes de leurs queues vibrent dans mon sexe et mon anus. L’homme sous moi, me besogne implacablement, me fait jouir avant de m'inonder la chatte. Le troisième larron fuse dans mes boyaux. Je connais ma première jouissance anale de l’après-midi ! Bon début d’après-midi ! Je n’ai que quelques minutes pour reprendre mes esprits. D’autres prennent le relais. Je suis relevée. Je titube un peu. Mais aussitôt, le lit bouge de nouveau. On me guide. On m’allonge sur le dos. Mais je suis sur un homme. Sa queue bat dans mon dos. On m’écarte les jambes. La queue trouve immédiatement sa place et se fourre bien vite dans mon antre chaud et humide. Je me laisse aller sur ce corps chaud. Ma tête tombe sur son épaule, en extension. Je reste ainsi quelques secondes. Une bite se présente à ma bouche et force mes lèvres. J’avale cette grosse chose. Elle m’étouffe et bute au fond de ma gorge. Pour couronner le tout, deux sexes me sont mis dans chacune de mes mains, avec pour envie de se faire masturber. Ce que je fais immédiatement ! Les deux me tringlent si bien que je jouis deux fois coup sur coup. Ecartelée comme je le suis, je leur offre, sans obstacle à leurs mains avides, mes gros seins à tripoter. Le premier à jouir est l’homme que je suce. Il m’oblige à garder la bouche grande ouverte. Je récupère sa semence, mais quelques gouttes s'égarent sur mon menton. L’homme qui profite de mon sexe change de destination. Brusquement, il m’encule. Un autre vient s’allonger sur moi et le remplace. Me voici encore fourrée comme une dinde. Mais deux sexes se présentent à ma bouche. Ils s’y pressent et m’obligent à les prendre ensembles. Je baille au maximum de mes possibilités. Des ordres fussent : • Ouvre plus grand, salope !
Je fais de mon mieux !
• Range tes dents !
Facile à dire, plus difficile à faire ! Les deux hommes qui me baisent et m’enculent poursuivent leur réjouissante activité. Ils ajoutent rapidement leur sperme à ceux des précédents. Quant aux deux autres, ils m’aspergent consciencieusement le visage. Mon Maître prend la parole : • Ma chère Sandrine, je vais te faire prendre par plusieurs hommes en même temps. En l’occurrence, un dans ta chatte, un dans ton cul, un dans ta bouche et un dans chaque main ! Qu’en penses-tu ? C'est bien ce que tu souhaitais ? C’est bien par cela que tu es fascinée, non ?
J’hésite devant cette proposition qui me séduit, mais cinq hommes simultanément … je n’y avais jamais songé ! Mais le naturel revient au galop : • Oui Maître ! Je sais que vous avez envie de me voir possédée en groupe, je me trompe ?
Mon Maître est un peu soufflé par ma réponse : • Pas du tout ! Je vais être comblé par cet après-midi …Alors, à cet instant, je me lâche : • Oui, Maître JP ! Venez, venez tous en moi. Prenez-moi par tous les trous, je vais tous vous satisfaire.
Les autres participants ne se font pas prier. J'enjambe un homme couché, qui aussitôt me pénètre le sexe. On me pousse en avant. Des mains écartent mes fesses pour en offrir l'accès. Ce doit être un véritable appel. Un phallus intraitable trouve l'entrée facilitée et s'introduit dans mon cul sans trop de difficultés, vu l'abondance de sperme que m'a mis son prédécesseur. L'homme sur lequel je suis allongé empaume mes seins et me soulève. Mes mains sont guidées vers deux sexes en érection. Je commence à les masturber. Selon les dires de mon Maître, j'attends qu'un sexe se présente à ma bouche. Je n'ai qu'une chose à faire : ouvrir la bouche ! Le dernier homme prend son temps. Une main prend mes cheveux à pleine main et m'immobilise. Tenant sa bite de l'autre main, il me caresse les joues. J'essaie de l'attraper avec ma bouche. Mais il fait tout pour je ne réussisse pas. J'ouvre en grand la bouche. Ce salaud en profite et se rue dans ma cavité buccale. J'absorbe jusqu'aux couilles le braquemart volumineux et d'une longueur appréciable.
Cette fois, c'est fait ! Je suis prise par cinq hommes simultanément !
La sensation est extraordinaire. Ne plus avoir d'orifice disponible me fascine ! Et ce qui me plait le plus, c'est que j'ai réussi à dominer ma peur au profit de la réalisation d'un de mes nombreux fantasmes. Je suis transportée dans un autre monde. Je ne m'appartiens plus. Je ne suis plus qu'une chose qui est utilisée par des hommes avides de sexe ! C'est mon Maître qui me m'avilit par une remarque gratinée : • Alors Sandrine, tu voulais être un hangar à bananes ! Cette fois tu as réussi !
La honte me monte aux joues. Je dois être cramoisie. Il est vrai que je n'appartiens à ce moment précis qu'aux bites qui me saillissent. Mais je suis plutôt contente et même fière de cette situation. Les cinq hommes apprécient eux aussi la salope qu'ils baisent. Ils ont accordé leurs rythmes et me pilonnent comme des beaux diables. La sensation est extraordinaire, fabuleuse ! Je suis heureuse de m'offrir à leurs queues viriles. Mais je me rends compte que mon désir de sexe n'est pas rassasié. J'ai envie d'être baisé, traitée comme la dernière des salopes. J'espère que ces cinq hommes ne sont pas les derniers, car je souhaite qu'ils se remplacent dès que l'un d'eux se sera vidé en moi. J'imagine d'autres hommes présents, attendant en file indienne, en train de se masturber devant la scène, en attendant qu'un de mes orifices se libère pour y prendre place à leur tour… Je suis devenue réellement folle, folle de sexe ! Les hommes sont endurants. Leurs queues puissantes ne cessent de me fourrer pour mon plus grand plaisir. Mon corps s'agite de soubresauts incontrôlés. Les hommes en rient et des qualificatifs dégradants commencent à fuser : • Regarde-moi cette salope !
• Une petite pute !
• Tu veux rire, une vraie chienne !
• Et en chaleur, en rut !
• Donne ton cul !
• T'aime ça, hein, salope !
La situation est démente. Ils me tiennent et me pistonnent sans cesse. Je sens la jouissance prendre mon corps. Mon corps devient brûlant. Je ne vais pas tarder à partir en vrille, à perdre la réalité des choses, la raison pour jouir. Des vagues de plaisirs parcourt mon corps. Des frissons de bonheur couvrent ma peau de chair de poule ! Sentant ma jouissance proche, l'homme que je suce se retire de ma bouche. Il se masturbe face à mon visage. Une douce folie s'empare de moi et me fait dire des paroles qu'une femme BCBG comme moi ne prononce jamais : • Allez les mecs, baisez-moi ! Baisez votre petite chienne ! Hé toi qui m'encule, vas-y, ne fais pas semblant ! Défonce-moi le cul, casse-moi le cabinet ! Jute-moi sur la gueule !
En criant mon plaisir à gorge déployée, je les encourage. Je jouis instantanément, violemment. La jouissance est fabuleuse, extraordinaire ! Je perds connaissance ! A peine mes derniers spasmes évanouis, mes tortionnaires ne s'arrêtent pas en si bon chemin. Leur sarabande repart de plus belle. Jusqu'à cet instant, les cinq hommes étaient attentifs à mon plaisir tout en cherchant le leur. Maintenant que j'ai pris mon pied, ils cherchent leur plaisir. Leurs rythmes s'accélèrent. L'homme qui me baise, semble retrouver mes seins. Il les empoigne, les maltraite. Il me pince les tétons les fait saillir encore plus. Excité, il se cambre et s'enfonce jusqu'au fond de mon sexe, sans aucune précaution pour mon utérus qu'il percute comme un malade. Cela ne dure pas longtemps et il inonde mes parois vaginales de son sperme ! Le temps de reprendre son souffle, son sexe quitte ma chatte brûlante. Il me laisse, et indique à haute voix : • Ceux qui veulent se vider les couilles, la place est libre et chaude ! Cette salope est insatiable !
L'un des deux hommes que je masturbe, se libère de ma menotte et se glisse sous moi. La bite bien raide, il n'a aucun problème pour m'enfiler vu la quantité de sécrétion que rejette mon vagin ajouté au sperme des précédents éjaculateurs. Il s'agite aussitôt comme un diable sorti de sa boite. Mais ma chatte est trop accueillante. Il ne résiste pas aux ondes qui parcourent mon vagin et lui masse la queue. Il jouit un peu trop vite à mon goût et libère son trop-plein de vitalité ! Il me quitte laissant mon sexe béant et vide ! Le deuxième que je masturbe s'empresse de le remplacer. Même reptation même enfilage ! La chevauchée recommence et lui aussi décharge. Dommage, j'aurais bien encore pris mon pied ! Mon enculeur se fait plus puissant. Il s'accroche à mes hanches et me pénètre bien à fond. Certaines de ses poussées me fond mal tellement il est long et gros. Je sens les signes avant-coureurs de sa jouissance. Sa verge gonfle et tressaute par saccades. Elle est de plus en plus grosse, raide comme un bâton. Cette fois est la bonne la dernière poussée et il se vide, nappe mes intestins de son sperme, refroidissant celui-ci. Ma rondelle est un peu malmenée. Son retrait me laisse une légère douleur. Mais je n'ai pas le temps de m'apitoyer sur le sort de mon cul. Une main me flatte. On doit trouver mon petit cul accueillant. Je ne me suis pas trompée. On prend place derrière moi, on se frotte la queue entre mes grandes lèvres et sur mon clitoris. On vise mon cul et on me pénètre à fond d'une seule poussée jusqu'au tréfonds de mes reins. Gras et dilaté, il accepte cette nouvelle queue sans broncher. C'est la quatrième fois que mon cul est investi depuis le début de cette séance ! Mais mon nouvel enculeur se débrouille très bien pour me faire subir les derniers outrages ! Je gémis de bonheur Mais l'homme que je suce s'impatiente. Il s'agite de plus en plus et finalement me jette sa purée au fond de la gorge avec un grognement de satisfaction évident. Est-ce cela qui fait partir mon enculeur ? Il se vide aussi. La fin de leurs prouesses me procure un orgasme étonnant. Je m'écroule sur le lit, épuisée mais mes orifices vides de toutes choses raides et massives ! A la place, j'ai la bouche pâteuse et salée et les conduits gars et gluants ! Ces hommes ont pris leur plaisir, mais, moi-aussi j'ai pris du plaisir au passage. Pour mon premier gang-bang, cela est grandiose, merveilleux, étonnant, stupéfiant, jouissif et honteux ! Mais j'avoue être épuisée par ce début d'après-midi. Je demande à mon Maître: • Maître, quand finira cette séance ?
• Tu passes une bonne soirée ?
• Oui Maître, mais je suis un peu fatiguée et je voudrais arrêter !
La couleur des yeux de mon Maître change instantanément. La colère se lit dans son regard : • Chienne, je satisfais ton fantasme et tu rechignes ! Mets-toi en position !
Obéissante, je me place à genoux et passe mes bras entre mes jambes. Je tiens mes chevilles avec mes mains. Je me cambre. Je sais que je viens de décevoir mon Maître. Il va me corriger. J'entends le cliquetis de sa ceinture. Le premier coup tombe, dur violent. D'autres suivent. Combien, je ne sais pas. Ils pleuvent, rapides, rapprochés et violents. Je connais le cuir qui me tanne les fesses. C'est une ceinture de cuir de 6 cm de large et d'un demi-centimètre d'épais. Mes fesses vont être marquées de larges bandes rouges et très sensibles. Rachid s’inquiète de la fermeté de la correction et dit à mon Maître : • Ne l'esquinte pas trop, on veut pouvoir en profiter encore !
• Mais Rachid, elle mérite que je lui claque le cul !
La ceinture s’abat sur mes fesses dix ou douze fois encore, jusqu’à ce que mon cul blanc devienne tout rouge.
• Rachid, si cela te tente, tu peux aussi la fesser !
Le glissement d'une ceinture se fait entendre !
• Vas-y Rachid, claque-lui le cul à cette chienne ignoble ! Regarde comme elle aime ça !
• JP, ce qui m'intrigue le plus, c’est le plaisir qu'elle prend à être maltraitée et humiliée de la sorte ?
• Elle prend son plaisir et son bonheur dans la soumission… Mon cul cambré attire le regard de Rachid. Il lève son bras droit. La ceinture tombe lourdement sur mes fesses. Le bourreau ne retient pas son coup. La violence de la frappe me surprend. Les bouts de cuir s’écrasent sur mon cul m’occasionnant une douleur intense. Rachid relève la main et recommence à me lacérer les fesses à plusieurs reprises. Cela est insupportable. La ceinture s’abat à un rythme soutenu sur mon cul. Rachid s'est laissé emporter par son désir de me frapper plus fort, plus vite. Le traitement s’interrompt au bout de quelques minutes. Après cela, il prend mes cheveux en main. Il relève ma tête. Je me redresse. Mes gros seins apparaissent. Une main me caresse les bouts assez délicatement. Brusquement, il me tire dessus sans ménagement. On me lâche les tétons. Mais on me les flagelle à leur tour. La ceinture reprend du service. Les coups sont bien marqués. Ensuite, on s’intéresse de nouveau à mon cul. Quelques coups supplémentaires s’abattent sur mes globes charnus, plus fort qu’auparavant. Pour la première fois de l'après-midi, j’ai vraiment mal. Et le paradoxe que je ne comprends toujours pas arrive : Je commence à ressentir un afflux de mouille involontaire à l’orée de mon sexe. Je suis une vraie salope, un véritable objet de plaisir. Mon fantasme était d'être donné à un groupe d'hommes. Maintenant c'est devenu une réalité. Et j'aime ça ! Rachid cesse et me rend à JP : • Je te rends ta chienne !
• Merci Rachid !
• Alors Sandrine, aimes-tu ton après-midi ?
• Oui, Maître ! Je veux bien continuer… Mais pouvez-vous me badigeonner le sexe et le cul avec un gel lubrifiant ?
• Bien sûr Sandrine !
Aussitôt une sensation de fraicheur envahit mon entrejambe. Je poisse ! Dans la foulée, un sexe s'introduit dans ma bouche. Un doigt titille mon anus. Un autre doigt fouille mon sexe. Mes deux trous sont explorés sans ménagement. On m'insulte : • Petite cochonne perverse… • Tu veux dire, une belle salope !
Maître JP me punit de n'avoir pas su prendre tous les hommes sans rechigner. Il m'annonce : • Bien Rachid, ton premier copain peut l'enculer !
• Mouloud, à toi !
L'homme m'empoigne par mes cheveux et appuie fort avec la paume de la main sur le bas de mon dos pour me faire me cambrer au maximum et mieux offrir mon petit trou. De mon côté, je pousse sur mon anus pour me dilater et, malgré le gel lubrifiant accepter l'intromission du sexe massif de Mouloud. Ma cambrure, le gel et mes assouplissements de mon sphincter facilitent la pénétration. La première poussée fait entrer le gland rond et large. Aie ! Il est vraiment bien dimensionné ! Une deuxième poussée, un bon coup de rein et sa queue entre tout au fond de mon ventre ! Je ne peux retenir un cri situé entre la douleur et le plaisir. Mouloud sent mon cul s'adapter à son chibre. Je me relâche doucement. Mon cul est moins étroit, plus souple, plus accueillant. Il commence à onduler de plus en plus fort. Il prend confiance devant ma docilité. Il accélère le rythme brutalement. Je me tiens au drap. Je subis cette sodomie. Ses coups de bite me propulsent vers l'avant et ses couilles claquent contre mon sexe. Son ventre frappe chaque fois sur mes fesses, me rappelant qu'elles viennent de subir une correction. JP me demande : • Qu'est-ce que tu es Sandrine ? Dis-moi ce que tu es ?
Je réponds d'un ton soumis : • Je suis une salope bonne à baiser, à enculer, une chienne !
Mouloud excité par la situation et les commentaires ne peut pas se retenir. Il se vide à larges giclées dans mon anus dilaté. Il se retire et accompagne son retrait d'une bonne tape sur ma croupe. Je sursaute de surprise et de douleur. Rachid annonce : • Allez, à ton tour, toi !
Je ne connais donc pas le prénom de celui qui va profiter de moi. Il se place en dessous de moi et une fois en place il me tire par les hanches. Je m'empale sur son sexe. Hum ! bien monté celui-ci aussi ! Une autre queue se présente à ma bouche. Aussitôt, comme j'en ai l'habitude, j'ouvre en grand la bouche et attends le membre. L'homme me pénètre à mi longueur. Je commence à la pomper avidement. A genoux devant moi, il se branle dans ma bouche toute offerte, bavant de salive et de son liquide séminal. L'homme attrape ma tête et me baise la bouche comme il aurait baisé une chatte ou un trou du cul. L'homme encouragé par ma docilité, m'insulte : • Tu aimes ça quand je te baise la bouche, grosse salope ! Tu aimes ça la bite ma salope ! C'est bon n'est-ce pas ?
Je réponds par des grognements sourds, à moitié étouffée par le pénis qui m'obstrue la gorge. L'homme me voyant très excitée par cette fellation, se retire. D'un mouvement rapide, j'essaie de ne pas perdre cette queue qui me force la bouche. Surpris, il me demande : • Sors ta langue !
Il me tape la langue avec sa queue et me lance : • Suce mieux que ça si tu veux que je continue, salope !
Je lui réponds: • Excusez-moi, Monsieur, je vais m'appliquer !
Il me menace : • Tu veux que j'arrête ?
Je m'empresse de lui dire : • Non, je suis désolée ! Je vais vous pomper, je serai une vraie salope, une vraie pute !
Il me la remet dans la bouche, me pénètre bien au fond du gosier et entame de longs et puissants mouvements du bassin. Toujours tenue par les cheveux, je m'acharne sur cette queue. C'est alors qu'un troisième larron intervient. Il place derrière moi et me sodomise à son tour. Je suis de nouveau prise par tous les trous. Ma bouche violée, mon sexe envahit et mon cul remplit, je ressens bien à quel point je suis entravée, fragile et immobilisée avec ses mains dans le dos. Les hommes s'encouragent. Ils me forcent avec la rage des machos, qui veulent les femmes à leurs bottes, à leurs services. Pas de chance pour eux, c'est ce qui me plait ! Cela fait près de deux heures que cette séance dure. Je me suis fait enculer une bonne dizaine de fois par des sexes aux dimensions variables mais plus qu'honorables. J'ai ordre de ne pas me doigter. Malgré la violence et la durée des divers coïts, les orgasmes montent régulièrement avec une force et une violence étonnante. Les trois hommes me pistonnent encore avec plus de violence et de rage. Cela dure quelques minutes. Je sens monter l'orgasme. Je jouis rapidement. Ma respiration s'accélère puis se bloque d'un coup. Je hurle ma jouissance. Les hommes eux-aussi se libèrent dans mes orifices avec des grognements et des cris. Mes orifices sont libérés de toute présence masculine. Mais pour peu de temps. Trois nouveaux hommes me prennent de nouveau. Mais mon envie d'être une salope me gagne de nouveau. Ils me fessent régulièrement, me prennent tour à tour par mes différents orifices. Cela dure pendant encore une bonne heure. Une bite éjacule contre mes seins. Un autre dard souille mon visage. Un autre larron pilote ses jets en direction de mon cul. Mon cul est douché. Il dégouline de coulées de sauce blanche. On me doigte la chatte. A quatre pattes, un vit s'enfonce dans ma chatte béante. Quelques allers-retours et la purée est lâchée dans la préservatif. Je ne reste pas longtemps disponible. Un invité s'enfonce dans mon cul. Il est épaté par la facilité de son intromission : • Chienne, prend-ça dans le cul !
Pendant qu'il me sodomise à couilles rabattues, ses copains commentent la scène : • Veinard, encule-la bien profond !
• Dépêche-toi, que je lui explose l'anus moi aussi !
Un autre invité profite de la disponibilité de ma bouche pour se faire sucer la queue. Mon corps est manié tel celui d'une pute de bas-étage. J'ai juste le temps d'avaler le jus de couilles d'un mec, qu'un autre prend sa place et se déleste dans ma gorge de nouvelles giclées. Les fellations se suivent sans cesse. Ma chatte est irriguée par des geysers abondants. Je suis livrée à la meute de ces hommes en manque et donc en rut de voir une femelle, blanche de surcroit, disponible pour se vider les couilles. Des hommes se succèdent entre mes cuisses béantes, sans la moindre pause. Leurs queues clapotent dans ma chatte dilatée par les nombreuses intrusions et gorgée de mouille. Quand à mon cul, je ne sais combien de bites se sont succédées dedans. Celui qui me possède à l'instant, pousse son gland dans mon anus, s'y loge jusqu'à la garde, me le dévaste. Il m'encule avec paillardise : • Elle en prend plein le cul maintenant, cette salope !
D'autres commentaires fusent : • Mate jusqu'où il s'enfonce !
• Ça, elle n'a pas peur de se faire défoncer l'anus !
Il me pilonne. Il est excité comme un malade. Sa queue distend les parois dilatées de mon rectum. Enfin il se vide. Ses coups de ventre claquent sur mes fesses. Il se retire. Je suis vide ! Puis je suis laissée seule. Je suis à genoux et reprends doucement mes esprits. C'est alors que mon Maître en profite pour s'introduire dans ma bouche. Je crois qu'il est très jaloux de mes différentes jouissances de cet après-midi. Il s'exprime à haute voix : • Suce-moi bien à fond ! Avale tout !
Surprise, je m'efforce de le sucer du mieux possible. Il se vide après quelques allers-retours. J'ai la bouche pleine de son sperme. Je jouis ! Il me tient la tête pour que je ne puisse pas le sortir de ma bouche. Ses dernières giclées me tapissent la gorge. J'étouffe sous ses coups de reins réflexes. Je n'arrive plus à respirer entre le sperme, la queue et l'essoufflement succédant à son orgasme. Il me laisse brutalement seule et vide. Je mets plusieurs minutes à revenir dans la réalité. C'est lors que ma laisse se tend de nouveau. Je me redresse et me lève. Je prends ma position, les jambes écartées, les bras croisés dans le dos, cambrée et le regard au sol. Mon Maître me demande : • Ma soumise, comme tu as été une salope hors pair cet après-midi, et que tu as été comblée, il va te falloir remercier tes lapins ! Aussi, c'est à genoux que tu vas aller auprès d'eux, leur demander leur prénom et les remercier d'avoir éjaculé dans ta bouche, de t'avoir baisée comme une chienne et de t'avoir enculée comme la dernière des salopes que tu es !
Un mouvement de recul trahit ma pensée : • Oh non, Maître pas cela !
J'avais oublié que sa ceinture était opérationnelle. Un coup dur et puissant me fait réfléchir et revenir sur ma première décision : • Bien Maître !
Je m'agenouille. Mon Maître me tire. J'avance à quatre pattes, auprès des hommes qui se sont installés en arc de cercle. Les moqueries, insultes fusent. Je m'arrête devant le premier.
• Bonjour, monsieur, quel est votre prénom ?
• Mouloud, petite pute !
• Monsieur Mouloud, je vous remercie d'avoir bien voulu éjaculer dans ma bouche, de m'avoir baisée comme une chienne et enculée comme la dernière des salopes que je suis.
Je passe ainsi devant les dix-huit hommes qui ont eu mon corps à leur disposition. J'arrive au dernier.
• Bonjour, monsieur, quel est votre prénom ?
• Rachid, salope !
• Monsieur Rachid, je vous remercie d'avoir bien voulu éjaculer dans ma bouche, de m'avoir baisée comme une chienne et enculée comme la dernière des salopes que je suis. Je reste à votre disposition si vous le souhaitez…Une petite envie de narguer mon Maître et ces hommes qui ont profité de moi me fait ajouter un petit commentaire : • … enfin, s'il vous reste un peu de sperme dans vos couilles !
Un éclat de rire secoue l'assistance. JP ne peut que s'en sortir avec une pirouette : • Allez, Sandrine, tu as montré à tous ces mecs que tu as le feu au cul ! Je sais bien que tu en rêvais, que tu le désirais autant que moi ! Tu l'as fait ! Je te félicite !
• Merci mon Maître ! Cette après-midi a été délicieuse. J'ai pris plaisir de me faire défoncer par tous ces hommes en manque.
Je suis crevée mais combien d'orgasmes dévastateurs m'ont-ils submergé ? JP m'enlace, m'embrasse. Il me complimente pour mes prouesses. Trempée de sueur, la bouche gluante, le sexe en feu et dégoulinant et le cul totalement éclaté et je lui demande, provocante : • Etes-vous content de moi Maître ? Vous me vouliez Salope, l'ai-je été assez pour vous et vos amis ?
• Tu es parfaite ma salope chérie ! Tu as été telle que je l'espérais, vicieuse à souhait, salope au-delà de mes espérances ! Auras-tu envie d'autres soirées de ce type ? … Avec plus de mâles pour te combler, qu'en penses-tu ?
• Je suis partante, Maître, vous le savez bien, tout ce que vous voudrez… Et quand vous le voudrez !
Les hommes prennent une douche. Mon Maître m'oblige à me doucher avec eux. Ce qui leur permet de me peloter les seins la chatte et le cul. Mon Maître me dorlote dès que nous sommes seuls.
• Que voulez-vous, mon Maître et amant adore et moi j'adore faire l'amour et si possible avec plusieurs hommes bien membrés ! Car je suis une salope, la salope de mon maître JP !
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