Les Fantasmes de sandrine 18

- Par l'auteur HDS Hugo_g -
Récit érotique écrit par Hugo_g [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 23 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Hugo_g ont reçu un total de 156 663 visites.
Récit libertin : Les Fantasmes de sandrine 18 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 5 789 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Les Fantasmes de sandrine 18
18 - LES ANNONCES ET LA VENTE
La semaine se passe très vite et le vendredi arrive. Je dois aller chercher mon Maître à Roissy, mais aussi, mon mari qui depuis 3 mois est aux USA pour une formation. Ce soir, je retrouve Morgane qui était aussi en formation à Londres et qui devait passer quelques jours dans sa famille en Irlande. Orly, 20 heures Je suis dans le hall des arrivées. Mon portable sonne. Un SMS vient d’arriver. C'est Morgane :"Sandrine, un plouc chiant veut absolument m'inviter à diner. Tu vas me sauver de cette présence indésirable ! Attends-moi à la sortie et ne sois pas étonnée de ce qui va arriver !"Les premiers passagers arrivent. Enfin, j'aperçois la chevelure flamboyante de Morgane. Elle passe la douane et accourt vers moi. Elle me saute au cou et me roule un patin. Je suis surprise car nous n'avons jamais eu de relations saphiques ensembles. Un homme passe auprès e nous et nous lance : • Bandes de gouines !
Morgane regarde au dessus de mon épaule.
• Il s'en va ! Très mécontent !
Nous éclatons de rire ! J'amène Morgane et ses bagages au parking. Nous prenons la voiture et partons vers notre hôtel habituel. Je suis bien calée dans mon siège. Morgane me regarde. Elle me dit : • Merci… • De quoi donc ?
• D'avoir accepter mon baiser… • Pour te sauver des griffes de ton balourd ?
• Oui, mais c'était très bon…Je reste interdite. Jamais elle n'a montré envers moi de tendances lesbiennes. Elle se décale sur la gauche de son siège. Elle s'approche de moi. Sa position n'est pas agréable à cause du frein à main, du changement de vitesse et de l'accoudoir. Sa main droite quitte son genou et se pose sur le mien. Je ne sais que faire sachant que je n'ai aucune expérience féminine. Je continue la route. Sa main devient plus précise et remonte ma jupe. Elle remonte doucement sur ma peau vers l'intérieur de mes cuisses. La caresse est douce, sensuelle. J'apprécie à sa juste valeur l'action des doigts de Morgane. Le plaisir me fait écarter les cuisses. C'est le signe qu'attendant Morgane. Sa main remonte le long de mes cuisses nues. La caresse de ses doigts m'électrise. Un plaisir salace m'envahit. J'aimerai que sa main ne s'arrête pas, je voudrai tant de choses que Morgane vient de réveiller en moi.
Elle me dit : • Tu sais que tu me plais.
Malgré tout, je conduis une voiture et la sécurité est une priorité. Je repousse doucement la main baladeuse, avec un commentaire : • Désolée, je conduis… Mais Morgane ne tient pas compte de ma demande. Elle passe sa main sous ma jupe et caresse sensuellement ma cuisse. Ses ongles griffent amoureusement ma peau. Puis elle monte beaucoup plus haut et atteint mon sexe.
• Bien ça alors ! Tu ne porte pas de culotte ?
• Non, cela t'étonne ? Mon Maître m'interdit le port de sous-vêtements. Je lui obéis.
• Même quand il n'est pas là ?
• Oui !
• Tu es vêtue comme une salope ! Tu ne portes que des Dim up !
Elle passe sa main sur ma chatte sans chercher un endroit particulier. Au passage elle découvre mon vagin, mes lèvres un peu grosses. Ses doigts frottent mon clitoris, à l'air libre. Je me sens rougir. Je dois reconnaître que Morgane me fait de l'effet, enfin surtout ses doigts !
• Ta chatte s'humidifie drôlement, ma belle ! Cela te plait ?
Je la supplie d'arrêter son manège. Elle m'interroge encore : • Et pas de soutien-gorge non plus ?
• Oui !
Sa main vérifie mes dires et me pelote le sein droit.
• Quelle obéissance ! Et tu n'as pas peur ?
• De quoi aurais-je peur ?
• Que cela se voit ?
• Je suis sûr que mon Maître en serait content et même fier !
• Tu es vraiment une vraie salope !
• Non, Morgane, je suis soumise à mon Maître et je lui obéis en tout point. Je n'ai le droit de porter une culotte que lorsque j'ai mes règles !
• Bravo !
• Retire ta main quand même, c'est dangereux !
• Tu plaisantes, Sandrine, cela fait deux mois que je suis à la diète de sexe, alors avant qu'Alex ne nous rejoignent, je veux me rassasier !
Je suis stupéfaite à l'idée des plaisirs lesbiens. Mais elle tient à la vie comme moi. A regret, elle retire sa main de mon sein. Elle reprend sa place sagement, non sans me jeter un regard salace. Une demi-heure de route et d'embouteillage et nous entrons dans le parking souterrain de l'hôtel. A peine le moteur du Cayenne stoppé, elle s'approcha de moi pour m'embrasser et me peloter les seins. La peur d'être vue dans une situation scabreuse, je me soustrais à son étreinte.
• Tu as une jolie paire de seins ma chérie. Il faut la mettre en valeur.
Je me précipite en dehors du véhicule en lui ordonnant : • Allez, on monte vite !
Nous montons tranquillement par l'ascenseur. Nous entrons dans notre appartement. A peine nous sommes entrées, que Morgane s'approche de moi. Elle se penche vers moi et tente de m’embrasser sur la bouche. Je refuse sa langue. La sienne force pour entrer dans ma bouche. Elle n'a pas encore gagné ! Malgré une envie curieuse de céder, je bloque un peu. Elle pose ses lèvres dans mon cou, derrière l'oreille. Subjuguée par ce contact, je penche la tête pour profiter de ce petit bisou. Elle revient sur ma bouche. Là, je ne sais pas pourquoi je cède. Je lui donne ma bouche. Elle m'embrasse goulument et glisse une main habile sous mon top pour empaumer mon sein gauche. Elle me tête la langue. Notre baiser est très long. Nous profitons de cet instant de plaisir partagé. Ses mains courent sur mon corps. Morgane me pétrit les seins. Mes tétons, sous la délicieuse caresse, se dressent. Elle rompt notre baiser et se penche pour me lécher les pointes turgescentes de mes seins. Morgane est vraiment une experte. Elle fait cela divinement bien, si bien qu'un râle de plaisir m'échappe et me fait me cambrer.
• C'est que tu aimes ça mon adorable salope !
Je réponds par un hochement de la tête de haut en bas. En deux temps trois mouvements, Morgane me dépouille de mon top et de ma jupe. Je suis nue, hormis mes Dim up et mes escarpins. La manière à la hussarde de Morgane me fait un effet bœuf ! Mes tétons grossissent de plus en plus, générant une sensation exquise de bien-être. Je commence à mouiller. Je me recule et cesse le contact : • Allons, cela suffit ! Redevenons plus sage ! Je vais prendre une douche !
Je me débarrasse de mes bas et de mes chaussures, m'engouffre dans la salle d'eau et entre vite dans la douche. Je me jette sous le jet chaud.
Mais c'est mal connaître Morgane. Elle me rejoint. Elle est nue. Je l'asperge avec la douchette pour protester contre cette invasion. Elle m'enlace par la taille et sa bouche prend la mienne. Notre deuxième baiser est très long, délicieux. Je cesse pour reprendre mon souffle. Morgane n'en reste pas là. Sa bouche coquine glisse sur mon cou et mes seins. Elle lèche ma poitrine et me mordille les tétons, déjà raidis par les premiers contacts dans la chambre. Je suis aux anges pendant que Morgane me dévore les seins. Nous sommes sous le jet doux. Elle saisit le flacon de gel douche et enduit mon corps en le caressant. Je sens que sa venue dans la douche n'a qu'un but : nous faire du bien réciproquement ! A mon tour, je prends du gel pour la laver doucement. Ses mains passent sur tout mon corps. Elles commencent par les épaules. Je lui rends cette caresse. Ses mains attaquent mes seins, les empaument, les caressent. Je sens mes tétons grossirent. Mes pointes bandent. Je lui rends ses caresses. Jusqu’à présent, je retenais de connaître ce plaisir. Maintenant, je la laisse faire, accepte ses tentatives. Je passe sa main dans son dos, descends jusqu'au bas, et lui frôle le haut des fesses. Elle se laisse faire, et participe à mes travaux d’approche. C'est à mon tour d'être surpris. Elle pose une main sur ma chatte. Je m’étonne un peu en écartant les jambes, facilitant son inquisition dans mon intimité. Sa main me branle lentement comme je l'aime. Je ne peux retenir de petits gémissements qui trahissent le plaisir qu'elle me donne. Sa bouche a quitté la mienne. Elle accélère sa caresse. Elle me lime le vagin avec des va-et-vient très puissants qui me font frissonner. Lentement je ferme les yeux. Je lui saisis la main la serre et je pousse un cri. J'atteins l'orgasme. Des spasmes me font tressaillir. Tout mon corps est secoué. Les sensations sont délicieuses, impitoyables et tenaces. La garce, elle m'a fait jouir ! Je la félicite : • C’est bon, tu es une redoutable branleuse !
Il me faut un petit moment pour retrouver la réalité. Morgane me regarde dans les yeux.
• Essaie de me rendre la même chose !
Je saisis le flacon de gel douche. Une grosse giclée de produit onctueux blanchâtre tombe dans le creux de ma main. J'entame, avec une légère appréhension, le lavage du dos de Morgane. Elle jubile : elle cambre son petit cul rond. Elle me tourne le dos et se penche en avant. Elle m'offre une vue délicieusement érotique sur ses fesses fendues par un trait vertical. J'hésite. Est-ce une offre déguisée ou bien une envie franche ? Je savonne doucement et sensuellement le corps de son amie. Ma main glisse sur la peau blanche de la rousse Morgane. La mousse abondante permet aux mains de glisser. Mon esprit s'anime et des idées lubriques se bousculent derrière ma tête. Je ne lave plus les fesses de Morgane. Je les tâte, les pelote appréciant la fermeté de son cul. Ma main passe de l’autre côté, dans le pli de l’aine de son amie. Peu à peu, elle se colle dans son dos et ses mains passent sur le ventre de Morgane, remontant vers ses seins. Nous n'avons pas échangé une parole depuis que j'ai la main ! Nous ne souhaitons ni l'une ni l'autre interrompre ce moment magique ! Notre désir commun monte plus que de raison. Les petites fesses de Morgane se collent contre mon ventre brûlant. Elle se cambre et offre sa jeune poitrine à mes mains baladeuses. Je saisis à pleines mains, ses deux seins ronds et hauts perchés de Morgane. La caresse est impudique. Mes doigts pétrissent, agacent ses deux tétons, qui durcissent sous les caresses. Morgane se presse son petit cul de plus en plus fort contre mon bas-ventre en feu. Je ne reste pas inactive. J'envoie trois doigts vers sa petite vulve. J'enserre les lèvres de son sexe, bloquant une petite masse ronde. Je la presse, la masse. Morgane pousse son ventre en avant. Je change ma caresse. Mes doigts coulissent entre ses lèvres. Le lieu est très gras : le gel douche et ses secrétions de son sexe se mêlent ! La douche n'est plus qu'un simulacre de toilette. J'explore le corps fin et longiligne de la belle Irlandaise rousse. Morgane bouge. Elle me fait face et appuie son dos contre le mur de la douche. Ma main indélicate explore maintenant la sombre raie de ses fesses. De l’autre main, j'entoure les seins de la soumise de mon mari. Je m'appuie à coté de Morgane. La mousse me permet de lui masser simultanément le sexe que son cul. Morgane ronronne. Elle respire de plus en plus fort. Les premiers gémissements retentissent la douche. Puis Morgane rompt le silence que nous respections jusqu'à maintenant et parle : • Sandrine, ça glisse bien… Tes doigts entrent tout seuls en moi... C'est bon ! Continue comme ça ! Et occupe-toi de mes seins !
Surprise par la demande de Morgane, je me lâche totalement : • Et c'est toi qui me traitais de salope tout à l'heure ? Mais dis donc ! Quelle cochonne tu me fais !
Je regarde son magnifique corps. Une pulsion me donne envie d’elle. J’embrasse ses deux seins, ses mamelons durcis par l'envie. Je tombe à ses genoux. Morgane toujours appuyée à la paroi. Elle écarte encore ses jambes. Je me précipite sur sa chatte. J’écarte encore ses cuisses. Je débusque son clitoris et le prendre en bouche. Morgane gémit sous le cunnilingus que je lui applique. Ma langue la fait jouir. Je le lèche longuement sans y appuyer. Ses gémissements se font de plus en plus forts. J’enfonce ma langue dans son sexe béant. Un cri rauque retentit dans la salle d'eau. Morgane jouit sous ma langue. Je la laisse reprendre son souffle. Mais vu qu'elle m'a débauchée, je ne vais pas en rester là. Profitant que Morgane est encore engourdie de sa jouissance, je saisis le flacon de gel douche posé sur le sol. Sa forme est très… comment dire… érotique ! (merci Obao ! Pour les jeunes, cette marque de produits douche avait réalisé un flaconnage très phallique !) Je présente la partie ronde sur le sexe de Morgane. Longuement caressé par mes manipulations, le sexe de Morgane s'ouvre et avec une très légère poussée, son sexe avale goulument le godemiché improvisé. Je pousse au plus profond du sexe béant. Je la masturbe fermement. En un clin d’œil, Morgane n’en peut plus et crie son plaisir. Je m'inquiète pour nos voisins ! Morgane s'effondre sur le sol carrelé de la douche. Les assauts répétés du plaisir ont vaincu la résistance physique de l'irlandaise. Elle geint sans cesse, un sourire sur les lèvres. Elle reprend son souffle tandis que les derniers spasmes de son orgasme foudroyant la laisse pantelante, anéantie. Le sexe de Morgane, repu, expulse le flacon de gel douche. Après quelques minutes de repos, nous reprenons conscience. Nous nous douchons réellement, en évitant de se toucher mutuellement. Avant de sortir de la douche, Morgane m’embrasse de nouveau, me caresse la poitrine, le ventre, le sexe. Elle en profite pour introduire deux doigts dans ma chatte. Elle me masse doucement et me regarde droit dans les yeux : • Eh bien ! pour une débutante, tu te débrouilles comme une pro !
Je la bourre de petits coups de poing dans les cotes. Nous rions de cette découverte commune. Nous terminons notre douche en nous lavant mutuellement.
Une petite demi-heure plus tard, nous nous habillons, moi nue sous ma robe, Morgane avec une mini-jupe ras la chatte et un tee-shirt largement décolleté. Ni l'une, ni l'autre, ne portons de sous-vêtements ! Nous descendons et cherchons un restaurant sympa. Une saladerie nous tend les bras. Nous dînons en aguichant tous les hommes présents. Les femmes nous fusillent du regard.
De retour à l'appartement, Morgane ôte son tee-shirt, dévoilant des seins superbes. Ensuite, elle fait glisser sa mini-jupe à ses pieds.
• Déshabille-toi vite, ma chérie ?
• Pourquoi donc ?
Elle s'approche de moi. Sans aucun mot, elle passe derrière moi, descend lentement la fermeture de ma robe et dégage mes épaules. Le tissu fin tombe autour de mes pieds. Morgane m'enlace. Je savoure ce contact avec délice et m’appuie sur elle pour ne pas m'écrouler devant l'envie qui me tord le ventre. Nous atteignons péniblement le lit. Morgane m’a gentiment allongée sur les draps tendus. Comme dans la douche, nous n’échangeons pas le moindre mot. Nous avons peur de casser le fragile équilibre qui nous nimbait. Je ne veux pas rompre le charme équivoque de notre relation. Nous allions vivre de nouveau un instant magique que, pour rien au monde, nous ne voulions rater.
Morgane découvre mon corps de ses mains baladeuses. Elle évite mes zones les plus érogènes. Elle préféra d’abord se concentrer sur mes jambes et mon dos. Je sens son trouble généré par la situation terriblement érotique. Je me laisse faire. Comprenant mon attitude, elle se laissa aller à des gestes plus coquins. Elle caresse ma poitrine. Mes tétons, déjà tendus reprennent immédiatement de la vigueur. Morgane ne peut ignorer mon excitation. Ses mains se font de plus en plus précises, me frôlent le bas du ventre. Agacé, mon sexe se réveille à nouveau. Morgane m’allonge sur le dos. Elle me relève les jambes en les pliant. J’ai les pieds posés à plat et les genoux relevés, cuisses écartées. Elle flatte mon mont de vénus de la paume. Couchée en arrière, je ne vois pas ses gestes mais savoure béatement les sensations agréables qu’elle me procure. Je tends le bras vers elle pour la saisir par la taille. Je l’attire vers moi. Elle se laisse faire sans cesser ses agissements sur mon sexe. Mon clitoris me chauffe. Je le sens se gonfler instantanément sous la caresse. L’excitation monte peu à peu en moi. Morgane accélère des caresses. Je halète sous les ondes de plaisir qui me parcourent le corps. Je me surpris à haleter quand elle accéléra le rythme de ses manipulations. Il fallait que je lui montre combien j’appréciais ses faveurs. Mes doigts partent à l’aventure sur sa poitrine, s'emparent de ses petits seins ronds et fermes. Morgane me branle sans cesse. J’écarte les cuisses pour lui faciliter l’accès à mon sexe brûlant. Les attouchements de Morgane m'excitent de plus en plus. Elle se met à genoux, parcourt mon corps tout offert avec ses mains, caressant les endroits bien précis. Des frissons me traversent jusqu'au creux de mes reins.
Elle écarte mes jambes. Je lui offre mon intimité à ses caresses expertes. Elle pose ses lèvres sur mon sexe. La caresse est douce, chaude, agréable délicieuse ! Je gémis comme sous la douche. Elle aspire mon clitoris et le mordille gentiment. Elle introduit deux doigts dans ma chatte et me masturbe. Je crie brusquement. Je retombe sur le lit épuisée.
• Merci Morgane ! Tu sais me rendre heureuse !
Morgane remonte vers moi. Nous nous enlaçons et nous enroulons dans le drap. Le sommeil nous gagne rapidement.
Les rayons du soleil caressent mon visage et me réveille en douceur. Je suis heureuse et ne peux m'empêcher de sourire. Je tiens serrée contre moi une femme.
Je n'en reviens pas. Jamais je n'aurais cru avoir des tendances lesbiennes !
Je ressens un sentiment indéfini. Cela n'est pas arrivé depuis de nombreuses années.
Depuis hier soir, il m'a fallu surmonter bien des réticences, des craintes : toucher sa peau si douce se tiédir sous mes doigts, regarder son casque de cheveux roux, me perdre dans les reflets de ses sublimes yeux vert !
Puis soudain, la douce jeune femme qui sommeille dans mes bras se réveille ! Une vraie furie !
• Allez, debout la dedans, on se réveille la marmotte !
Je reste un peu dans cette léthargie douce et confortable !  • Mmmmh…Installée sur ses genoux, elle me lance : • Allez Sandrine, debout, c'est l'heure ! Ah, tiens, je crois que tu es déjà en retard d'ailleurs…Je jette un coup d'œil au réveil sur la table de nuit : • Quoi ?! Ce n'est pas vrai, mais tu aurais pu me réveiller avant !!
Morgane éclate de rire devant mon air affolé. Je me précipite hors du lit. Je saute dans la douche. Quelques minutes plus tard, je constate que Morgane ne se presse pas. Je passe auprès d'elle et lui claque les fesses. Elle sursaute et me lance : • Ne me laisse pas de traces car mon Maître est aussi ton mari et je ne saurai quelles explications je devrai lui donner !
Nous éclatons de rire. Mais je la presse : • Mais si tu ne te dépêche pas, je pars sans toi chercher Alex !
• Salope, tu ne ferais pas cela ?
• Si bien sûr !
Notre petit déjeuner arrive. Pas de chance, c'est une soubrette et non un maitre d'hôtel. Nous avalons le tout en un temps record. Un passage à la salle d'eau, maquillage, coiffure et il ne nous reste plus qu'à enfiler nos vêtements. Enfin, nos vêtements : pour moi, cela consiste en une robe d'été blanche. Elle se boutonne sur le devant. Je laisse les deux premiers boutons ouverts et les deux derniers aussi. J'offre ainsi, une vue plongeante sur la vallée qui sépare mes seins et une vue sur mes cuisses rondes et bronzées. Mon Maître sera content. Morgane, quant à elle, enfile un petit top en jersey qui lui moule outrageusement, ses petits seins. Elle complète sa tenue par une mini-jupe. Je ne peux me retenir : • Eh bien, tu risques de prendre un rhume de fesses !
Elle me regarde et avec deux doigts de fierté me lance : • Et pourquoi mon Maître n'aurait-il pas droit à une soumise aguichante ?
Nous sourions à nos blagues douteuses. Nous descendons nos bagages et filons vers l'aéroport. Dès notre entrée dans la salle des arrivées, j’ai l’impression que tout le monde nous regarde. Je suis sûr que tous les hommes savent déjà que nous sommes entièrement nues sous nos vêtements. Je sais qu'ils matent déjà nos culs et nos cuisses largement découvertes. Quant à nos poitrines, ils ont remarqué nos seins ballottant librement. Je me penche vers Morgane et lui susurre au creux de l'oreille : • Je suis excitée comme une puce et ma chatte s'humidifie !
Morgane glousse et me rétorque : • S'il y avait que toi dans cet état !
La voix suave de l'hôtesse annonce l'arrivée de l'avion en provenance des Etats-Unis. C'est celui d'Alex ! Une dizaine de minutes plus tard, nous apercevons Alex. Il nous cherche du regard. Morgane lui fait un signe de la main. Son sourire éclaire son visage. Je le trouve fatigué et un peu amaigri. Lorsqu’Alex est libéré par le service des douanes, il approche de Morgane. Il la dévisage puis regardant sa tenue, il esquisse un sourire en coin. Il la serre dans ses bras, l'embrasse sur la bouche en un long baiser d'amoureux. Ils font plaisir à voir. Il m'attire vers eux et me demande : • Morgane a-t-elle mis une culotte ?
Je le regarde avec un demi-sourire : • Bien sûr que non ! En montant les escalators, elle a fait admirer sa chatte à tous les hommes qui nous suivaient ! Et en plus, elle a omis de mettre un soutien-gorge !
Ma réponse ne l’étonne pas et se penchant vers Morgane, il l'embrasse passionnément en la traitant de petite salope ! Il se retourne vers moi et me lance : • Je suppose que tu es dans la même tenue ?
Avec un sourire, je lui réponds : • Je ne fais qu'obéir à mon Maître !
Nous sortons et retrouvons la Cayenne de JP au parking. Nous reprenons la route pour déjeuner tranquillement dans un restaurant des bords de seine. Nous attendons l'arrivée de JP qui revient d'Argentine. Alex et Morgane papotent tranquillement pendant que je conduis paisiblement dans le trafic intense du samedi matin. Alex demande à Morgane : • Alors ma petite chatte, m'as-tu fais cocu pendant ces deux mois d'absence ?
Morgane lui fait les gros yeux : • Je n'aime que toi et je te suis restée fidèle !
• Tu ne t'es pas fait baisée par plusieurs mecs ?
• Non, mon Maître adoré, je ne t'ai pas trompé ! Mais j'avoue que je me suis souvent caressée en pensant à toi. J'ai utilisé le merveilleux cadeau que tu m'as fait avant de partir. J'ai usé de nombreux jeux de piles ! Cela m'a coûté un prix fou !
Et elle éclate de rire. Son rire est communicatif et nous rions franchement tous les trois. Alex lui répond que lui aussi s'est souvent masturbé pendant cette longue séparation. Il lui dit : • Pendant mes séances en solitaire, je t'ai rêvée imaginée prise par plusieurs queues… Aussi, je crois qu'il est normal que j'accepte ta débauche et je souhaite assister en voyeur à mes séances de baise… Morgane se défend : • Mais je ne veux pas que tu me donnes à d'autres !
Alex lui répond sèchement : • Tu n'as pas à souhaiter quoi que ce soit ! Sinon, je pense que je devrai prendre des sanctions et me livrer à des représailles sur ta peau douce !
Morgane minaude : • Oh mon Maître adoré ! S'il vous plait, pas cela !
Alex est intraitable. Il me dit : • Sandrine adorée, veux-tu bien téléphoner immédiatement à tes connaissances pour savoir s'ils sont libres ce soir pour baiser une petite rousse à la maison dans notre donjon ?
Dès notre arrivée et installation au restaurant, je téléphone à Ahmed. La traduction de son prénom est, ironie du sort, "le plus doué" !
• Bonjour Ahmed ! C'est Sandrine !
• … • Serais-tu disponible ce soir avec des amis à toi pour une soirée très, comment dire, conviviale ?
• … • Je ne sais pas ! Combien pouvez-vous être ?
• … • Ok, mais pas moins, il y aura peut-être plusieurs personnes à satisfaire !
• … • Ok, alors à ce soir vers 21 h00 !
• … • Je t'embrasse !
J’informe Alex que tout sera organisé comme il le souhaite. Je prends Morgane par le bras. Elle marche la tête basse : • Tu n'es pas trop déçue ?
• Non pas trop ! J'aurais aimé qu'Alex me pilonne, mais il a choisi une autre voie ! J'avoue que cela ne me déplait pas du tout !
Nous entrons dans le restaurant. JP avait déjà réservé une table, dans le coin de la salle. Alex oblige Morgane de s'installer face à la salle. Alex demande à Morgane : • Cela m'excite que tu me dises tes fantasmes...
• D'accord, lui répond- elle les yeux brillants… Le maître d'hôtel venait de prendre notre commande et un serveur apporte l'entrée.
• Es-tu prête à jouer le jeu ? lui demande Alex.
La tête basse, Morgane avoue dans un chuchotement : • Oui, Maître !
• Tu vois le mec tout seul à la table derrière nous ?
• Oui, il me mate depuis que nous sommes arrivés !
• Je veux que tu l''allumes ! Fais lui voir que tu es nue sous ta jupe....
• Et si quelqu'un me voit ?
• C'est ton problème ! Arrange-toi pour ne pas te faire voir !
Morgane le regarde droit dans les yeux avec un sourire charmeur qui sous-entend plein de bonnes choses. L'homme remarque l'attitude de cette jeune et jolie femme. Il répond par un sourire discret. Maintenant j'observe le manège de Morgane pour voir comment elle va se sortir de ce piège que lui tend mon mari, son Maître. L'homme lui jette des coups d’œil discrets. Morgane tout en dégustant son plat, entre dans son jeu et croise son regard à plusieurs reprises. Elle se penche vers Alex : • Tu aurais pu me choisir un moins laid !
• Le hasard fait mal les choses parfois !
• J’ai honte de ce que je vais faire… • Tant pis, assume !
• J’ai le trac…Je me demande comment va-t-elle faire pour réaliser le fantasme d'Alex. Mais je constate que la nappe n'est pas centrée sur la table. Devant Morgane, elle est assez courte et laissait visible ses jambes. Morgane glisse ses mains sous la table. Discrètement, elle remonte sa jupe. L'homme lance régulièrement des regards vers les cuisses dénudées et plonge aussitôt le nez dans son assiette. Morgane lui jette toujours des sourires. L'homme n'est pas indifférent à l'approche féminine. Alex et moi ne faisons comme si de rien n'était.
• C’est la première fois que je fais cela…Tu es fou…  • Tu t’arranges pour que ta jupe remonte un peu, tu te tournes un peu et tu croises et décroises tes jambes… • T’inquiète pas il m’arrête pas de te regarder… • Il ne va pas manquer ce spectacle… • Je vais devenir toute rouge !
 Malgré des appréhensions, Morgane s’exécute.
• Il n’arrête pas de me regarder !
• Fait lui ton sourire qui fait fondre les hommes !
• J’ai le cœur qui bat !
Morgane se lance dans sa séance de séduction. Elle croise ses jambes, découvrant ses cuisses bronzées plus haut que la moitié. L'homme ne reste pas indifférent à cette vue magnifique sur les cuisses rondes et soyeuses. Je peux voir l'homme que glisse un regard appuyé en direction de Morgane. Alex lui souffle : • Tournes toi plus vers lui et décroises tes jambes en les écartant un peu !
Morgane se tourne légèrement. Lentement, ses genoux se séparent. Sa jupe remonte encore un peu sur la peau douce. Maintenant, je suis certaine que l'homme a une vue plongeante sur l'entrecuisse glabre de Morgane. Depuis cette nuit, je connais bien son sexe. Entièrement épilé, il est arbore de très jolies lèvres roses. En bref, sa petite chatte adorable est adorable. Morgane m'interroge : • Tu crois qu’il voit ?
• Regarde-le sans qu'il ne s'en aperçoive !
Elle plisse les yeux et la tête basse, elle regarde en direction de l'homme. Celui-ci change de position, s'installe différemment. Il ne doit pas bien voir. Maintenant il est bien en ligne et son regard s'insinue entre les cuisses rondes et entrouvertes. Soudain une rougeur envahie son visage. Il vient de constater que Morgane ne porte pas de petite culotte sous sa jupe. Morgane rosit. Elle chuchote : • Il vient de voir mon minou tout nu !
Alex lui intime : • Regarde-le et donne-lui ton plus beau sourire ! Il va comprendre que tu ne lui fais pas voir ta chatte accidentellement, mais volontairement, sciemment !
Morgane s’exécute. Son regard croise celui de l'homme. Elle lui décoche un sourire complice accompagné d'un clin d'œil. Les yeux de l'homme lui sortent de la tête. Je suppose qu'il bande comme un âne.
• Il me mate le salaud ! Je me sens fouillée par son regard concupiscant et lubrique !
Alex guide Morgane dans ses agissements : • Continue de manger avec tes cuisses écartées :Morgane s'exécute. L'homme va avaler son dentier tellement il est subjugué par la la qualité du spectacle qu'une jeune et jolie femme lui offre. Alex continue : • Maintenant écartes plus les cuisses !
• Je vais passer pour une pute !
• On s'en fout !
Morgane dégage encore ses jambes de la table. Elle écarte maintenant largement ses cuisses. Elle offre une vision de rêve sur son petit abricot nu. Morgane est une coquine. Elle se plonge encore dans son assiette, faisant semblant d'ignorer les tourments de son voyeur. Morgane s'exhibe ouvertement. L'homme comprend que cette magnifique jeune femme se montre à lui consciemment et lui offre une vue de son intimité dénudée pour son plus grand plaisir. Elle chuchote : • Je mouille comme la dernière des salopes ! C'est très bon ! Je t'aime mon Maître adoré ! J'ai terriblement envie de jouir tellement je suis excitée. Le regard de ce gros porc me viole !
Cette description m'excite moi aussi. Alex lui intime : • Va aux toilettes ! Tâche de faire en sorte qu'il te suivre ! Dans les toilettes fais-toi sauter et viens nous raconter comment cela s'est passé !
• Tu n'abuses pas un peu ?
• S’il ne te suit pas c’est que tu ne lui as fait aucun effet !
• Nous sommes dans un restaurant chic, tu l'oublies !
• Personne n’a fait attention à notre manège… • J’ai la trouille de ma vie ! Tu es fou ! Tu vas me le payer !
• Satisfais mon fantasme mon cœur, avant de me menacer !
• Salaud !
Morgane regarde Alex avec une lueur de défit. Puis, elle se lève et en passant auprès de la table de l'homme, elle se penche et lui chuchote à l'oreille. Elle continue en ondulant des fesses et descend l'escalier qui conduit aux toilettes.
Je ne peux m'empêcher de souffler à Alex : • C’est très hard ce que tu lui fais faire ! Tu crois qu’il va se lever pour la suivre ?
Ma question trouve réponse immédiatement. Je vois l'homme se lever et lui aussi prendre la direction du sous-sol. Je renseigne Alex qui tourne le dos à la scène : • Il y va ! Il transpire comme une bête ! Il va crever d'excitation !
L'homme en remet en place son pantalon. Il jette un regard circulaire sur la salle s'assurant que personne ne remarque le manège. Je baisse les yeux vers mon assiette afin de ne pas croiser le sien. Alex m'interroge : • Tu le vois descendre ?
• Oui ! Et il regarde si personne ne constate sa descente !
• Raconte !
• Il descend l'escalier... Je ne le vois plus ! Il ne nous reste plus qu'à attendre le retour de Morgane…Un grand moment se passe. Je pense à Morgane, seule avec cet homme qu'elle ne connait pas. En effet c'est un bon quart d'heure plus tard que l'homme remonte l'escalier. Sa tenue est légèrement débraillée. Son visage est marqué par l'effort, transpire et tout congestionné. Il faut quelques minutes pour voir Morgane apparaitre en haut des marches de l'escalier. Elle s'assoit face à nous avec un sourire de fierté. Alex et moi ne pouvons retenir la question : • Alors, raconte !
Morgane nous nargue un peu : • Vous me laissez le temps de déguster mon dessert !
Et elle attaque sa part de tiramisu qu'elle savoure comme une chatte. Elle ne commence sa narration qu'après que le serveur nous ait apporté nos cafés.
• Je l'attends en bas de l'escalier… Je le vois arriver dans la glace… Je suis morte de trouille ! Je sais que cet homme est excité comme une puce enragée... J'imagine déjà sa réaction... Je rentre dans le local des toilettes des dames et lui demande de me suivre… Il est tout intimidé par la situation… Il me félicite : • Vous êtes belle !
• Merci ! Venez !
A ce moment l'homme me saisit par le bras : • Tu m’as montré ta chatte tout à l’heure… Maintenant tu dois m'en montrer plus !
• Doucement, Monsieur, pour qui me prenez-vous Monsieur !
Je n'ai pas le temps de me dégager que l'homme m’entraine dans les toilettes réservées aux handicapés. Il a une force telle que je ne peux pas résister. Sa main ferme me serre le bras comme un étau. Je n'ai pas le temps de réfléchir, Il me fait tourner sur mes talons. Je me retrouve face à lui. Il me maintient le bras tordu dans le dos. Je ne peux pas bouger. Tout en me fixant droit dans les yeux, il me lance : • Alors petite salope, on joue les allumeuses mais quand il s'agit de payer l'addition, on se défile !
Il passe sa main dans mon entrejambe et il soulève ma jupe. En se reculant un peu, il découvre mon abricot tout nu, impeccable et épilé de frais ! Sa main force mon bras. Pour limiter la douleur, je me cambre. Son regard fixe mon bas-ventre. La lumière crue du lavabo dessine les reliefs arrondis de ma chatte. L'envie est trop forte. Ne pouvant plus se retenir, sa main se glisse entre mes cuisses. Il me caresse le sexe. Ma réaction est instantanée. Avant de comprendre quoi que ce soit, j'ouvre spontanément mes cuisses pour laisser le passage à cette main inquisiteuse. Ses gros doigts écartent les lèvres de mon sexe. Il faut dire aussi que, la situation dans la salle de restaurant a beaucoup excitée. Mon sexe est humide à souhaits. Les doigts ne rencontrent aucune résistance et pénètre mon intimité. Je ne te dis pas la honte qui m'envahie, mais le plaisir est tel que, je le laisse faire !
Morgane, à cet instant reprend sa respiration et nous laisse haletants. Nous la pressons de continuer : • Et alors qu'est-ce qu''il t'a fait ? Continue !
• Eh bien, ma chère Sandrine et mon cher Maître, figurez-vous que j’ai aimé qu’il me tripote ainsi le clito. Et brusquement, je me rends compte que ses doigts sont dans mon vagin ! Puis, soudain, je me mords les lèvres. Mon sexe est secoué de spasmes violents. Je jouis et jamais je n'ai joui avec une telle intensité, une telle violence. Plus je jouis, plus son doigt s'agite rudement en moi, plus mon plaisir est grand. Je n'arrête pas de jouir. Pour rester le plus discrète possible, de mon bras libre, je lui enlace le cou et lui mords dans le cou, juste sous l'oreille.
Je la questionne : • Et après ?
• Après, c'est à ce moment que cela se corse !
• Comment cela ?
• Il prend ma main et la pose sur sa braguette. Il bande comme un âne ! Une énorme bosse déforme son pantalon. Sa main vient vers la mienne… Il ouvre sa braguette et sort son sexe. Il est énorme, violacé et surtout à moitié bandé. Qu'est que cela va être quand il va bander dur ! Il prend ma main et la pose sur son sexe. Il me fait prendre à pleine main cette grosse queue et il me demande de le branler. Je décalotte lentement son gland. Cela m'excite ! La vue d'un sexe mâle me fait monter ma tension. Je ne le branle pas pendant bien longtemps. Il semble pressé. Mon plaisir devient mon supplice !
• Pourquoi ?
• Il m’appuie sur la tête pour que je m’accroupisse ! Il voulait que je le suce ! Je le regarde avec un œil de chien battu. Je n'ai pas le temps de réagir. Il prend son sexe à pleine main et me dit : • Suces moi !
• Tu l'as fait ?
• Je n'ai pas le choix. Il présente son gland à ma bouche et pousse. Il pénètre ma bouche. J’ai du mal à l'absorber tellement il est gros. .J’ai un haut le cœur. Mais il s'en moque. Il tient ma tête entre ses mains et m'oblige à faire des va et vient. Je suis libre de mes mouvements mais je reste car la queue est belle et je suis tellement excitée que je le suce à fond, jusqu'à m’étouffer. Puis, il me repousse la tête. Par mes cheveux, il me relève, me fait tourner et m'ordonne : • Pose tes coudes sur la cuvette !
• Difficile de ne pas obéir. A peine suis-je installé que je sens ma jupe se relever. Je suis accoudée sur la cuvette des toilettes d'un restaurant parisien, la jupe relevée sur mes reins. Et là, un bruit caractéristique résonne dans la petite pièce. Il ouvre la pochette d'un préservatif. Quelques secondes plus tard, une pression contre mon vagin se fait sentir. Une poussée et il est en moi. Une cavalcade commence. Il me pilonne et il ajoute un plus ! Une caresse sur ma petite rondelle me fait frémir. Je n'ai pas le temps de réagir. La première phalange du pouce est entrée et me dilate l'anus. J'aime ! Il souffle comme un phoque dans mon dos. Je suis sûre qu'il n’a jamais eu une telle expérience. Moi, j'ai envie de jouir, je suis toute mouillée. Le plaisir m'envahi de nouveau. J'explose de nouveau et je ne peux retenir un cri. J'espère que vous n'avez rien entendu ?
• Personne ne s’est aperçu de rien ?
Alex répond : • Non, nous n'avons rien entendu !
• C'est alors qu'il sort de ma chatte. Une impression de grand vide se fait sentir. Il retire se capote et se vide à longues giclées crémeuses sur mes reins. Il s'essuie son gland sur mes fesses, pose son préservatif sur mes reins et s'en va ! Le temps que je reprenne mes esprits, il s'est volatilisé. J'ai dû me débarrasser de la capote gluante de nos secrétions, m'essuyer les fesses et surtout nettoyer ma jupe qui portait les stigmates de notre étreinte. J'ai une tache sur ma jupe ! Voilà, vous savez tout !
Morgane sourit, fière d'avoir satisfait au fantasme d'Alex. Je sais qu’Morgane aime les situations particulières en amour. Leur couple s'aime toujours avec beaucoup de piment.
C'est alors que je regarde l'heure. Il est déjà 14h30 et nous devons récupérer mon Maître JP à Roissy. Je presse toute l'équipe à partir. Nous arrivons et nous nous stationnons dans le parking souterrain. Enfin nous attendons l'arrivée de notre quatrième larron. Je le repère vite dans la foule des arrivants. Il les dépasse d'une bonne tête. Il est là.
Il m'enlace. Je le connais bien. Il vérifie discrètement si je lui ai obéis. L'une de ses mains passe dans mon dos pour constater si je ne porte pas de soutien-gorge, l'autre se pose sur ma hanche et tate la présence éventuelle d'un slip, string, boxer ou même de culotte ! Il me regarde droit dans les yeux et me dit : • C'est bien ma soumise !
Et il m'embrasse à pleine bouche. Je lui rends son baiser. Après avoir salué Alex, embrassé Morgane, sans oublier de lui caressé les fesses sous le regard complice d'Alex, nous partons bras dessus dessous vers le parking. JP m'interroge sur ma vie sans lui pendant son absence. Je lui explique tranquillement. Enfin dans la fraicheur du parking, j'ouvre le véhicule. JP Passe derrière, ouvre le hayon, pose sa valise avec les autres et m'appelle : • Sandrine, tu peux venir ?
Je m'empresse de le rejoindre. Il me questionne : • M'as-tu bien tout dis ?
Je bégaie un peu : • Heu… ou... oui, mon Maître !
• N'as-tu rien oublié ?
• Je ne crois pas, Maître…Il me regarde avec ces yeux tellement séduisants, mais aussi pervers et sadiques : • Que s'est-il passé cette nuit à l'hôtel ?
Je me mords les lèvres. Je n'ai pas trop pensé à cet épisode érotique avec Morgane. J'avoue : • En effet Maître, j'ai oublié de vous dire que Morgane et moi, nous nous sommes caressées cette nuit. Mais comment pouvez-vous le savoir ?
• Je sais tout !
Il m'ordonne : • Pose tes coudes sur le plancher du coffre !
J'obéis ! A ce moment, je vois Alex assit sur la banquette arrière qui saisit la nuque de Morgane et la tire vers le bas de son corps. Il la force à le sucer en plein parking. Avec les caméras de surveillance, les vigiles vont pouvoir se rincer l'œil gratuitement ! JP relève ma jupe sur mes fesses, libérant ainsi mes rondeurs à la fraicheur du lieu. Je l'entends retirer sa ceinture. Il n'est pas arrivé depuis une demi-heure, que j'ai déjà droit à ma première correction. Cela ne tarde pas. Quatre coups bien frappés sur les fesses me font gémir et me comblent de plaisir. Les corrections de mon Maître me font toujours un effet indescriptible : je mouille aussitôt. Dès qu'il finit, il me relève et m'impose : • A genoux ! Suce-moi !
Je m'installe à genoux sur le sol rugueux du parking. JP m'ordonne : • Garde ta jupe relevée et montre-moi tes seins !
Sans aucune hésitation, ni pudeur, ni crainte d'être observée par les vigiles, je tiens ma jupe sur mes reins et dégage mes seins de mon tee-shirt. J'avale le sexe noueux et tendu qui sort de la braguette de JP. Il me saisit par mes cheveux et me donne le rythme à une fellation d'enfer. JP a un pouvoir incroyable. Il peut rester en érection pendant des heures soit se vider en quelques minutes. C'est ce qu'il a choisi maintenant. C'est une fin ultra rapide. Je reçois au fond ma gorge les pulsions accompagnées de giclées crémeuses de son sperme. Je les avale avec délectation et plaisir.
• Relève-toi et va prendre le volant !
Je reprends pied et la jupe relevée, les seins à l'air je prends place derrière le volant. JP lui passe de l'autre côté, claque à deux reprises le derrière tendu de Morgane qui n'a pas terminé sa sucette de mon Alex.il accompagne son geste d'une remarque cinglante : • Eh bien Morgane, tu n'es pas très efficace cet après-midi !
Est-cela qui excite Alex, toujours est-il que je l'entends grogner lorsqu'il éjacule. Morgane se relève et lance un regard agressif à JP : • Je fais comme mon Maître aime, goujat !
JP lui éclate de rire au nez et ses deux mains lui attrapent les tétons et les tordent méchamment. Morgane crie de douleur et JP lui dit : • Alors petite douillette toujours fanfaronne !
• Non monsieur !
• Alors en route !
Alex et JP s'installent à l'arrière, Morgane à mes côtés. A la sortie, je tends le ticket. L'homme derrière l'hygiaphone nous regarde avec un sourire narquois. Pourtant, mon tee-shirt cache mes seins et la tenue de Morgane est des plus sages. Nous gagnons l'autoroute pour revenir chez nous. A l'arrière, nos deux Maîtres sont comme des bébés. Ils dorment comme des bienheureux, vaincus par la fatigue et le jet-lag.
Il est dix-sept heures lorsque nous entrons dans notre cour. Nous devons nous presser un peu. Nous avons de la visite à 21h00 pour Morgane… Le traiteur arrive et nous livre le repas que j'ai commandé. Entre temps, Alex et JP se sont éclipsés dans la partie nuit et tâchent de réparer les dégâts du décalage horaire et de la fatigue due aux transports aérien. 19h30 nous dinons dans le jardin, sous la tonnelle auprès de la piscine. Nous savourons ces moments de plaisir partagés, moi dans les bras de JP, Morgane assise sur les genoux d'Alex. Mais la pendule tourne inexorablement. 21h00 arrive et nous rangeons. Puis Morgane et moi, montons nous mettre en tenue de soumise. Je descends la première. Mon Maître me regarde et modifie de la voix mon apparence : • Tu ne porteras que ton collier, ta laisse et tes talons hauts !
Je retire donc rapidement mon corset serre-taille et mes bas. La porte de notre donjon est ouverte. Je prends l'escalier. Mon Maître me suit. Dans la grande pièce, il y a une pièce d'immobilisation : c'est un carcan vertical. La planche de bois où je viens passer mon cou et mes poignets est haute et horizontale. Cette planche est soutenue par deux poteaux d'inox verticaux. JP attache mes pieds au sol, et mes genoux aux poteaux. Il termine mon exposition en me plaçant un bandeau noir sur mes yeux. Un baiser sur mes lèvres termine cette préparation. Il ne me reste plus que les sons pour essayer de savoir ce qu'il se passe.
Il se passe un moment de silence sans que je sache le déroulement de la soirée. Je sais qu'Ahmed va venir avec 5 de ses copains. Des bruits résonnent dans le hall de la maison. Des personnes parlent entre elles, plaisantent, rient. Puis les claquements de talons se rapprochent dans l'escalier. JP parle : • Mes chers amis, pour vous mettre en bouche, je vous présente Sandrine, ma soumise. Elle est disponible pour vous amuser avant de disposer de l'autre soumise !
Je n'ai pas le temps de prononcer un mot que des mains touchent mon corps. Mes seins sont soupesés, tâtés, pelotés. Des doigts jouent avec mes piercings. Comme à chaque fois lorsque je suis offerte aux turpitudes d'hommes que je ne peux voir, l'excitation est immédiate. Je mouille comme une salope. Ce soir, tout se déroule comme toujours. Ma chatte s'humidifie. Une main s'insinue entre mes cuisses et découvre mon piercing du capuchon de mon clito. La remarque est instantanée : • La salope, elle est percée même ici !
Il tire sur le piercing pour faire admirer mon sexe orné. Ses doigts pénètrent mon vagin sans aucune difficulté vu la dose de mouille qui l'inonde. Mais si je pousse mon bassin vers l'avant pour profiter encore plus des doigts et de leurs caresses, un pouce se pose sur ma rondelle et sans précaution aucune, trouve le moyen d'entrer sans y avoir été invité. Les deux mains se synchronisent et le plaisir arrive. Je jouis en criant des insanités. On me laisse reprendre mon souffle. Mais j'entends des pas, des talons claquent dans les escaliers. Ce n'est pas un homme, donc c'est Morgane qui arrive. Les sons ne sont pas réguliers. Elle est certainement aveuglée. J'entends Alex lui dire : • Suis-moi, ma petite chienne !
Des commentaires fusent à mes côtés. Ce sont les copains d'Ahmed.
• La salope, regarde, elle est bandante avec son collier et sa chaine ! Nue comme elle est, c'est encore plus excitant !
Les pas passent devant moi. Morgane est partie dans le donjon. Je ne pourrais rien voir et je suis un peu frustrée. Mais mon Maître est ferme. Si je lui avais dit mon écart de conduite avec Morgane, j'aurais assisté au châtiment de ma compagne de soirée érotique. Mon Maître est près de moi. Je connais son parfum. Il me dit : • Je vais te raconter, comme cela tu pourras imaginer !!!
• Merci Maître !
Morgane est attachée à la potence par les bras. Ses chevilles sont écartées par une barre. Deux hommes arrivent. Ils la touchent, lui mettent la main aux fesses. Ils s'occupent de ses seins, les pelotent. Alex dit : • Voulez-vous goûter sa chatte ?
Ils n'hésitent pas. Morgane se conduit comme une salope et bascule son bassin, offre son sexe à la caresse. Ils ne restent que peu de temps à lécher cette chatte. Leurs queues sortent des pantalons fins. Certains copains d'Ahmed sont super bien montés ! Je suis sûr que tu aurais aimé en profité ! Je ne peux retenir une insulte : • Salopard !
Le résultat est immédiat. Mon téton droit est pincé et tordu entre les doigts habiles de mon Maître.
J'entends Morgane gémir. JP m'explique : Ahmed l'enfile et la baise bien à fond. Et Morgane masturbe son copain. Elle se donne avec beaucoup d'entrain. Elle sait qu'elle est regardée par Alex, par moi et les autres "lapins". Tout le monde la regarde se faire baiser comme la dernière des salopes. Morgane est ouverte comme rarement je l'ai vue. Alex encourage les copains d'Ahmed : • Allez-y les mecs, elle aime se faire défoncer cette petite chienne !
Plus cela avance dans le temps, plus Morgane s'offre. Alex parle de nouveau : • Hé toi, qui as une grosse queue !
• Moi ?
• Oui, viens la mettre par derrière !
• J'attends qu'Ahmed termine, Monsieur !
• Tu n'as pas compris ! Je veux que tu lui mettes ta grosse bite dans son petit cul ! Encule-la ! Et ne prends pas de précaution, vas-y d'un seul coup pour bien la faire bien crier...
Quelques secondes plus tard, Morgane goute à la sodomie brusque. Elle hurle sa douleur. JP me renseigne. Le mec l'a défoncée d'un seul coup très fort. Je crois que c'est la première fois qu'Alex la fais sodomiser de cette façon. Soudain la voix d'Ahmed résonne : • Soumise, ton Maître t'offre nous ! Mets-toi à quatre-pattes et viens me vider les couilles ! Tu devras répondre par oui Maître ou non Maître !. A chaque erreur, je te punirai ! As-tu compris soumise ?
• Oui Maitre…Morgane se met à quatre-pattes devant lui. Elle ouvre son pantalon pour en sortir sa queue. Elle l'embouche, et prodigue une fellation lente et profonde. Elle lui caresse les couilles. Cela doit lui plaire, car il éjacule rapidement au fond de sa bouche. Elle avale tout sans sourciller. Ahmed annonce : • Mes amis, voici notre chienne.. Comme convenu, vous pouvez la prendre par tous les trous ! Mais une seule obligation, porter des préservatifs pour la baiser ou l'enculer !
Morgane crie : • Non pas tout, Maître !
Alex lui réponds par un : • Je t'aime !
Je ne peux résister à une requête auprès de mon Maître… • Maître, je voudrais voir, s'il vous plait !
Et là curieusement, mon Maître me libère le regard. Quelques secondes d'adaptation et je vois Morgane. Ahmed la prend par le bras et la place au milieu de la pièce principale du donjon. Les cinq blacks sont nus et avancent, leurs queues énormes bandées au paroxysme. Des mains la tripotent de partout, ses seins sont léchés, ses tétons triturés rudement. D'autres mains découvrent le corps souple et gracile de Morgane. Une claque tombe sur l'une de ses fesses. Morgane, surprise crie sa douleur. L'un d'eux tombe à genoux devant Morgane et avance son visage vers le sexe féminin. Il lape le clito apparent comme un jeune chien. Deux mains glissent dans son entrejambe. Un doigt trouve le chemin de son sexe, un autre le chemin de ses reins. Les hommes la manipulent. Morgane ne peut pas résister à cette utilisation. Elle jouit avec un feulement, puis un cri de plaisir. Il la libère. Un autre jeune la fait mettre à quatre-pattes. Ensuite, il se place devant elle et lui enfourne sa bite dans la bouche. Il se masturbe dans sa gorge. Morgane ne peut retenir des haut-le-cœur. Un autre s'installe derrière elle à genoux et lui introduit sa queue dans sa chatte. Mais un autre lui parle à l'oreille. Il quitte le sexe de Morgane, se glisse sous Morgane et l'enfile de nouveau. L'autre ne perd pas de temps et s'enfonce dans son cul sans ménagement. Morgane crie de douleur. En effet, les trois baiseurs sont là pour baiser une femme et non pas pour lui faire l'amour. Ils pilonnent le corps féminin sans douceur. Il faut dire que les copains d'Ahmed sont vraiment très bien montés. Les trois hommes jouissent quasiment en même temps, remplissant sa bouche, sa chatte et son cul. A peine se sont-ils retirés, que trois autres s'installent pour la prendre encore. Leurs spermes se mélangent à celui des autres et à sa mouille, coulent sur ses cuisses. Morgane est épuisée. Elle est presque allongée au sol. Alex s'approche et lui dit : • Relève-toi, petite chienne ! A quatre pattes !
Morgane s'installe tant bien que mal. Alex reprend : • Super, ma soumise, tu es vraiment bandante prise comme ça au milieu du salon !! Ça t’excite de te faire prendre devant ton maître, dis-moi ?
• Oui, maître, vous avez voulu cela ! Je ne veux pas vous décevoir !
• Tu es une belle salope, ma chérie !
• Je suis à vous maître, prenez-moi comme vous le souhaitez !
• Oh non pas question, j'ai vu et c’est tout… • Maître, s'il vous plait !
• Je ne vais quand même pas baiser une chienne qui s'est fait remplir de partout par plusieurs mecs !
Morgane baise la tête. Une odeur de sperme et de fornication règne dans la pièce. Pourtant, je la connais. Morgane sous ses faux airs est radieuse. Si elle porte la tête basse son corps est positionné dans une allure de fierté, un peu crâneuse Elle vient de se faire baiser, enculer devant son maître, sous ses ordres.
C'est alors qu'Alex met fin au jeu : • Mon cher Ahmed, je te remercie, toi et tes amis ! A une prochaine fois !
C'est JP qui reconduit la bande à leur véhicule. Ils ne gênent pas pour me peloter au passage, sans que mon Maître n'y trouve à redire. JP revient et me libère. Nous remontons dans nos chambres respectives. Après une douche bien méritée, JP m'attache les poignets aux montants du lit et m'immobilise les jambes avec une barre au niveau des genoux. Je ne pourrais même pas me caresser !
Le lendemain, nous prenons le petit déjeuner sur la terrasse. JP et Alex nous ont concoctés un déjeuner champêtre. Après un apéro antillais, nous déjeunons de langoustes grillées. Le dessert est un cocktail de glaces. Je décide que c'est le bon moment pour faire mon annonce. Je me lève et demande le silence : • Mes amis, je vais vous donner une bonne nouvelle ! A compter du 1 septembre, je deviens la directrice de l'entreprise !
Tout le monde se lève et m'embrasse. Mais je ne ressens pas une joie commune. Alors que je m'apprête à questionner Alex, que celui-ci prend la parole : • Félicitations Sandrine ! c'est tout à ton honneur te sachant sérieuse, compétente et impliquée dans ta boutique. Moi aussi, j'ai une annonce à vous faire. Comme vous le savez, je viens d'effectuer un stage aux USA pour mon entreprise. Contrairement à mes souhaits, je n'ai pas obtenu le poste que j'aurais aimé. Adieu la direction de la branche française. On me donne, je n'ai pas le choix, la direction du sud est asiatique : Australie, Japon, Indonésie.
Tous nous applaudissons. Mais Morgane baisse le nez et des larmes coulent sur ses joues. Alex reprend : • Mais, une autre nouvelle suit ! On m'impose mon assistante de direction. C'est une certaine irlandaise qui se prénomme Morgane !
C'est la folie autour de la table. Morgane saute au cou d'Alex et JP et moi les félicitons. J'interroge : • Quand devez-vous partir ?
• Notre prise de fonction est au 1er aout. Nos billets sont déjà retenus pour le 15 juillet à 22h00.
Malgré la joie de la réussite professionnelle de Morgane et Alex, l'ambiance est sérieuse plombée. Nous restons auprès de la piscine. Nous nous couchons tôt. JP me fait l'amour comme rarement, il ne me le fait: sans violences, sans coups, juste avec amour, douceur et volupté.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Les Fantasmes de sandrine 18
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Hugo_g

Les Fantasmes de Sandrine 24 - Récit érotique publié le 03-07-2020
Les Fantasmes de Sandrine 23 - Récit érotique publié le 01-07-2020
Les fantasmes de Sandrine 21 - Récit érotique publié le 28-06-2020
Les Fantasmes de Sandrine 20 - Récit érotique publié le 26-06-2020
Les fantasmes de Sandrine 19 - Récit érotique publié le 24-06-2020
Les Fantasmes de sandrine 18 - Récit érotique publié le 22-06-2020
Les Fantasmes de Sandrine 17 - Récit érotique publié le 20-06-2020
Les Fantasmes de Sandrine 16 - Récit érotique publié le 18-06-2020
Les Fantasmes de Sandrine 15 - Récit érotique publié le 16-06-2020
Les Fantasmes de Sandrine 14 - Récit érotique publié le 14-06-2020