Les Fantasmes de Sandrine 3
Récit érotique écrit par Hugo_g [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les Fantasmes de Sandrine 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
03 – L'AGRESSION 3Je suis attaché sur ma chaise, immobilisé et bâillonné par un foulard. Le grand noir est venu me chercher. Il m'a installé en face de Sandrine. Je la vois. Elle est toujours dans la même tenue : son serre-taille qui soulève ses seins somptueux, qui aplati son ventre tout en mettent en valeur sa chatte glabre. Son abricot est encadré des jarretelles qui soutiennent ses bas noirs en voile. Mais elle est immobilisée elle-aussi : ses mains sont menottées dans son dos, sa bouche obstruée par un bâillon boule et les yeux masqués d'un bandeau noir. Malgré la situation dramatique que nous vivons, une réaction curieuse m'envahit : je bande ! Ma femme aux mains de voyous, moi ligoté en face d'elle nue, et voilà que la situation m'excite. Mon sexe est énorme.
Quand le chef m'annonce qu'il va prendre ma voiture et ma femme, je râle ! Pas longtemps car un bon coup de poing au creux de l'estomac me rappelle que je ne suis pas en position de force. Ce salaud en profite et flatte le cul de ma femme. Remarquez, je le comprends, ses fesses sont tellement jolies… Mais la caresse ne s'arrête pas là ! La main passe entre les cuisses de Sandrine. Elle écarte les pieds facilitant ainsi le passage. Je vois avec horreur deux doigts pénétrer la chatte de Sandrine. Je bande de voir cela. Et quand Sandrine se cambre pour profiter au maximum de l'intromission, alors je bous. Mais je constate que Sandrine apprécie le traitement qui lui est infligé. Elle se laisse ramoner la chatte comme une vraie salope. Le chef lance tout à coup : • Cela suffit ! Balafré va chercher de quoi attacher cette ravissante petite salope !
Immédiatement, l'homme sort. Son retour est rapide. Il jette un sac au sol. Il en extrait un paquet de cordes et une barre métallique avec des attaches. Je suis sous le choc. Que vont-ils nous faire subir ? Je le regarde installer son attirail. Il passe deux cordes sur la poutre qui traverse le bâtiment. En quelques minutes, Sandrine est libérée de ses menottes. Chaque poignet est aussitôt enlacé. Le Balafré tire sur les cordes. Sandrine se retrouve les bras en l'air. Les cordes sont nouées au pied du billard qui trône dans la salle. Le Balafré s'agenouille devant Sandrine. Il lui lie les chevilles à la barre métallique. Elle ne peut plus resserrer ses pieds, refermer ses cuisses. Elle est totalement disponible aux trois hommes. Son corps est offert à la turpitude des trois brigands. Comment osent-ils attacher mon épouse comme une poupée ? Je suis scandalisé, mais aussi excité. Je remarque l'énorme déformation de mon pantalon. Le chef recommence la palpation du sexe de ma femme adorée. Ses doigts clapotent tant elle est trempée. Il commence à parler à Sandrine. Il explique pourquoi ils nous font subir cela : • Cela fait dix ans que nous sommes en tôle… Et dix ans en tôle, sans femme c'est dur, très dur ! Alors, quand on en trouve une comme elle, comme la tienne, on en profite… C'est une traversée du désert… On veut donc se rattraper ! Ce soir, nous avons envie de fantaisie, de luxure… Je propose que nous prenions notre plaisir avec ta femme, mais je ne veux pas qu'elle soit perdante ! Nous prendrons notre plaisir mais nous ferons tout pour lui donner le plus de bonheur possible, qu'elle aille d'orgasme en orgasme… Nous allons l'utiliser pour notre plaisir et pour son propre plaisir…Il s'assoit en silence, face à moi.
• Qu'en penses-tu ?
Que dire ? Que faire ? Je suis attaché et bâillonné !
Pendant plusieurs minutes, ils contemplent ma femme. Puis d'un accord tacite et silencieux, ils s'approchent d'elle. Blanche Neige et le Balafré s'emparent chacun des jolies fraises de ses seins. Ils tètent mon épouse. Ils jouent avec ses tétons pendant de longues minutes. Ils les excitent et les rendent durs et turgescents. Ses mamelons sont en érection. Ils vibrent d'excitation. Ses seins sont soupesés, caressés, pressés. Ils finissent par les pincer doucement entre le pouce et l'index. Je sais que Sandrine raffole de cette caresse à la fois douce et dure. Maintenant je la sens complètement allumée et prête à jouir à tout instant. C'est alors que le chef s'approche de Sandrine.
Toute son anatomie est disponible à la convoitise des trois malfrats. Elle est nue, dans sa tenue de salope, attachée par les poignets à la grosse poutre en bois. Ses pieds touchent à peine le sol. Ses longs cheveux châtain sont défaits et lui dissimulent le visage. Le chef porte ses mains sur la nuque de Sandrine. Il la libère de son bâillon-boule. Elle aspire une grande goulée d'air. L'homme, dans son dos, empaume de ses deux mains les seins ronds. Il masse doucement les globes charnus, laissant les mamelons en érection aux bons soins des lèvres de ses deux acolytes. Je vois le corps de mon épouse réagir à la succion active de ses tétons. Je réalise, en l'observant bien, que ma femme, mère de mes deux enfants, prend un intense plaisir à se faire lutiner par ces deux hommes. Mais le pire est à venir. Je n'en crois pas mes yeux ni mes oreilles. Ainsi, Sandrine, d'ordinaire un peu puritaine, pas très exhibitionniste et encore moins échangiste, serait-elle devenue une adepte de jeux libertins ?… Je l'entends alors nettement feuler et dire à ses tourmenteurs : • Oui ! Plus fort ! Oui ! J'aime ! Oui ! Encore ! Je vais jouir ! Encore ! Encore ! Ahhh !!!
La scène qui se déroule sous mon regard ébahi est bien réelle et sans équivoque. Je suis tellement excité que je bande comme un vrai porc. La vision de ma femme aux mains d'autres hommes m'excite au plus haut point. Un sentiment de honte m'envahit. Le chef délaisse les seins ronds de Sandrine. Il pose sa main gauche sur son ventre. Sa main droite glisse sur ses fesses et entre ses cuisses. Il lui masse la chatte qui doit être toute chaude et mouillée. Je vois ses doigts lui dégotter le clitoris, le décoiffer et le malaxer doucement. Il devient tout dur, écarlate et enflé. Je suis surpris de la réaction de Sandrine. Elle cherche de l'air la bouche grande ouverte. Et d'un seul coup elle pousse un hurlement. Elle donne des coups de reins pour plus s'empaler sur les doigts qui la fouillent. Son orgasme est d'une violence inouïe. Je ne l'ai jamais vue dans cet état. La jouissance la terrasse. Ses jambes ne la soutiennent plus. Elle s'écoule, et reste suspendue aux cordes liées à ses poignets. Jamais avant avoir assisté à une telle scène, je ne pensais que j'aurai une telle réaction. Je suis excité comme rarement je ne l'ai été. Mon sexe est tellement énorme que je suis très mal à l'aise dans mon pantalon. Je suis tellement absorbé et excité par ce spectacle torride que je frotte mes cuisses l'une contre l'autre pour me donner du plaisir. Finalement, je laisse échapper un " Oh! " de gêne et de surprise. Je viens d'éjaculer dans mon slip ! Pendant quelques minutes, un silence de mort règne dans la grande salle. J'ai honte.
Je rends la plume à Sandrine.
Je reviens sur terre. Ce sont mes poignets qui me rappellent ma position. Sinon, quel pied ! Je n'ai jamais vécu cela. Depuis que ces trois loustics ont fait irruption dans notre vie, ma vie sexuelle, que je croyais bien remplie, explose littéralement. Je n'ai pas le temps de souffler que, de nouveau, des mains s'attardent sur mon corps. Elles s'attardent en insistant sur mes fesses, mes seins. Des doigts s'égarent dans mes orifices. Ma chatte est amoureusement frottée. Un doigt passe et repasse entre mes fesses charnues, agaçant ma petite rondelle fripée. C'est la première fois que je suis jetée en pâture à plusieurs hommes. Six mains sur mon corps, c'est extraordinaire ! J'ai l'impression d'être aux mains de toute une assistance. Ma respiration change de rythme. De nouveau, deux langues s'activent sur mes seins et mes mamelons durcis. Je commence à sentir une autre vague de plaisir arriver. Je ne peux pas retenir des premiers halètements de plaisir. Une main caresse mon mollet, remonte le long de ma cuisse. De nouveau, cette boule de chaleur, annonciatrice de plaisir, envahit mon bas ventre. J'entrouvre mes genoux pour faciliter la progression vers ma grotte humide. Une autre main appuie sur mes reins afin que je me cambre, permettant à la première de poursuivre son exploration. Un léger spasme parcourt mon corps à l’instant où un doigt se glisse dans mon intimité. Une langue, très baladeuse, descend de mon sein vers mon nombril, qu'elle agace en passant. Elle ne s'arrête pas. Elle descend encore et trouve mon antre. Elle se rue sur mon clitoris. Habilement, elle le décalotte, l'enroule, le suce, le lèche. Une autre langue continue le léchage de la fraise de mon sein. Le plaisir arrive. C'est une vague qui déferle et me submerge. Dans mon dos, l'homme me mordille la nuque. Un frisson me couvre la peau. De sa langue, il trace des arabesques dans mon dos, le long de ma colonne vertébrale. Elle descend sur mes reins. Puis sans cesser son manège, elle se fraye un chemin entre mes deux fesses, dans ma raie. Elle trouve mon anus qu'elle titille. Elle se fait pointue et dure et tente de s'immiscer dans mon petit trou. Depuis mon enfance, cette partie de mon anatomie a toujours été considérée comme un endroit sale. Je n'ai jamais permis à Alex de faire ce que cette langue me fait. Il n'a jamais eu droit à ce privilège. J'ai beau ne pas vouloir, mon esprit se révolte contre cette violation de mon intégrité, mon corps, lui, est prêt à céder. Le plaisir qui naît de cette caresse honteuse est incroyable. Cette langue flatte, assouplit, caresse ma petite rondelle effrayée. Puis d'une façon autoritaire, elle pointe et pousse au centre. Mon anus, curieux de cette nouvelle sensation se laisse prendre. La langue parvient à son souhait. Elle est en moi. Elle m'a pénétré. Je découvre des sensations inconnues pour moi auparavant. Malgré la honte de cette introduction, le plaisir est grand. Ma chatte trempée se vide sur la langue qui la lape. Mais la langue, toute goulue qu'elle soit, ne peut tout avaler. Une partie de mon trop-plein coule le long de mes cuisses et vient souiller le haut de mes bas. La conjugaison des trois caresses me transcende. Je ne sais plus où donner de la tête, des seins, des fesses, de ma chatte, de mes fesses et depuis peu de mon cul. C'est un véritable tsunami qui me culbute. Je jouis, je crie, je hurle de plaisir. Mais je reste debout sur mes pieds. Je veux profiter de cette jouissance jusqu'au bout. Je crie mon plaisir. Je le hurle. Je ne sais plus où j'en suis. Je demande : • Arrêtez… Arrêtez s'il vous plaît…La seconde suivante, au contraire je supplie : • Encore… Encore… Continuez… Ne vous arrêtez pas !
J'ai orgasme sur orgasme. Je ne vois pas le temps passer. Jamais je n'ai autant joui.
Le fait d'écrire cet épisode me bouleverse encore. Alex veut raconter sa vision des choses.
Je suis sous le choc. Voir Sandrine être violée par trois hommes avides de sexe me perturbe. Cela m'excite aussi !
Mais c'était loin d'être terminé. Pendant quelques minutes, je vois Sandrine se tordre sous les vagues de plaisir successives. Puis elle se calme. Mais les trois mecs ne veulent pas en rester là. Ils la détachent de la poutre. Elle est tellement épuisée de plaisir qu'elle reste à genoux, écroulée sur le parquet. Elle est incapable de rester debout. Le Balafré s'est étendu sur le dos à côté d'elle. Blanche neige s'approche d'elle. Il lui parle doucement, tout en lui caressant doucement le dos de sa large main noire : • Regarde la belle queue du Balafré ! Enjambe-le, chevauche-le !
Sans aucune réaction, j'ai la stupeur de voir Sandrine se redresser et enjamber le corps allongé du Balafré. Des deux mains, le Balafré saisit les jambes de ma femme au niveau de la pliure de ses genoux. Sandrine est installée à quatre pattes. Les deux partenaires sont réellement complices. Ils recommencent à caresser Sandrine. Les mains se font de plus en plus coquines. Ils épient malicieusement la montée du plaisir sur son visage. Le bonheur est lisible sur les traits crispés de Sandrine. Mais, l'envie est visible et gomme ses dernières réticences. La sentant à point, prête à toutes les turpitudes, le Balafré l'aide à se redresser. Elle est assise sur ses genoux, le sexe à hauteur de la queue dressée triomphalement. Il lui demande d'une voix douce : • Viens t'empaler sur ma queue !
Je regarde Sandrine. Elle se soulève sur un genou. Son sexe trempé baille déjà, ouvert comme un fruit mur. Elle pose un pied à la hauteur de la hanche de l'homme. Elle offre à tous ses partenaires et à moi, son mari, impuissant, une vue splendide de son sexe nu, de ses lèvres incarnat qui ourlent sa grotte. Le sexe bandé vient se frotter à l'antre humide. En même temps, les seins généreux à la pointe déjà durcie, se balancent à quelques centimètres du visage du Balafré. Il ne se gêne pas. De ses deux mains, il empoigne les globes blancs. Sandrine ferme les yeux en gémissant. Le Balafré prend ses seins à pleines mains. Ils sont bien fermes et lourds et les mamelons durcis.
• Tu as envie que je continue ?
Sans complexe, Sandrine lui répond : • Oui, j'aime, tu me rends très heureuse...
L'homme les étire aussi fort qu’il peut. Les tétons se gorgent de sang et changent de carnation. Il en profite pour griffer légèrement la chair tendre, Sandrine pousse un long gémissement. Est-il de douleur ou de plaisir ? Je ne peux le dire vu l'expression d'extase qui se peint sur le visage angélique de mon épouse. Le Balafré relâche son étreinte et recommence aussitôt. Sandrine, s'asseyant sur ses talons, pose ses mains sur les siennes.
• Doucement… C’est très douloureux... Mais c'est bon !
• Avoue que tu aimes ?
• Évidemment ! J'adore, mais va doucement, c’est douloureux !
Je ne peux m'empêcher de penser que Sandrine devient folle.
Le Balafré recommence à pétrir ses seins dans ses grosses mains. Il agace les pointes. Elles sont de plus en plus gonflées et dardent entre ses doigts. Il reprend les seins gonflés et les étire, les roule contre ses paumes, les écrase comme de vulgaires coussins. Sandrine a mal et en même temps, elle a envie que ce traitement continue. Elle grimace mais un sourire canaille éclaire son visage. Ce sourire est pris pour un signal favorable et déclenche les hostilités. Le Balafré lui demande : • Tu aimes tant que cela ?
Sandrine lui répond : • Oui… J'aime…Tu peux me faire ce que tu veux. J’obéirai…Je suis sidéré. Sandrine, qui est habituellement si indépendante, si femme libérée, la voilà prête à obéir aux désirs d'un homme qu'elle ne connaît que depuis quelques heures. Le Balafré lui pose une nouvelle question du même acabit : • Tu seras une jolie chienne en chaleur ?
La réponse de Sandrine est incroyable : • Oui, pour toi…Le Balafré continue imperturbable dans la même veine : • Ta bouche, son sexe et ton cul seront prêts à nous recevoir à tout moment ? Sans rechigner ? Quand nous en aurons envie ?
Sandrine hoche de la tête pour signifier son acceptation totale et entière. Je suis anéanti. Jamais je n'aurais cru que ma gentille petite épouse pouvait se conduite comme la dernière des traînées.
Je demande à Sandrine de continuer à raconter.
Suis-je devenue folle ? Folle de mon corps, oui certainement ! Mon accord donné, ils se jettent sur moi, enfin sur mon corps. Leurs mains se posent sur ma peau. Chaque parcelle de mon dos, de mon ventre, de ma poitrine, de mes fesses est explorée… C'est bon, vraiment très bon d'être le centre d'un millier de caresses… Quel délice ! Le Balafré prenant appui sur les talons et sur ses bras, relève son bassin. Le pieu gonflé de désirs se frotte sur mon pubis. Le sexe glisse sur mon clitoris et sur ma moule baveuse. Je me tortille de plaisir sous sa caresse. Je pousse mon bassin en direction de sa queue. N'y tenant plus je pousse son gland à l'entrée de ma grotte. Je m'assois sur la colonne de chair. Elle s'insinue sans difficulté, sans forcer, sans réticence de la part de mon vagin. Complètement empalée, calée sur le sexe, je m'abandonne de nouveau. Le plaisir m’envahit un peu plus, ma respiration devient haletante. Blanche Neige s'approche à son tour souhaitant sa part du gâteau. De la langue, il flatte la pointe de mes seins. Son pantalon est un peu étroit. Un sexe, certainement très prometteur déforme le tissu au niveau de l'entrejambe. Le Balafré continue son manège sur mes seins. Il me tient debout. Blanche Neige se redresse. Il s'approche encore plus. Il pose ses pieds de chaque côté de la tête de son copain allongé sur le dos. La bosse dure qui pointe à travers son pantalon se retrouve à la hauteur de ma bouche. Savoir que des hommes ont envie de moi à ce point, quel bonheur ! Mes deux mains se portent à la hauteur de l'entrejambe. Je découvre le zip de la braguette. Lentement, j'ouvre la fente du tissu. Le slip noir est à la limite de la rupture.
Ma main se glisse dans la braguette et découvre un bâton impressionnant à travers le tissu fin. N'y tenant plus je passe par la ceinture et dégage l'objet de mes envies. Une vraie barre jaillit devant moi. C'est gros, long, brun foncé surmonté d'un champignon brun rosé ! Ma main se pose avec une légère inquiétude sur ce truc incroyable. Je ne peux pas en faire le tour avec ma main. Alors j'y mets les deux. Je commence à caresser cette imposante colonne de chair. Jamais je n'avais vu ce genre de machin. Lentement j'entame des va et viens. Sous mes doigts, il semble encore se dilater et grandir. Le traitement doit lui plaire. Le méat du champignon bave un peu, adoucissant les glissements de la peau. Blanche Neige flatte mes seins avec ses mains. Ses doigts jouent délicatement avec leurs pointes. Les mains d'ébène pressent mes seins à la peau laiteuse. Des frissons me parcourent tout le corps. Je glisse sur la tige de chair. Des ondes exquises me tirent des gémissements dès que le Balafré se mit à pousser de façon régulière, son bassin vers le haut. Me sentant prête à exploser, je me trémousse violemment sur le pieu de chair. La queue gonfle. Elle s'agite des premiers spasmes annonciateurs. L'arrivée saccadée des jets libérateurs déclenche en moi, un orgasme sauvage, violent et brutal. Je ne peux contrôler mes mouvements. C'est trop fort ! Mon corps se cambre sous un premier orgasme. Dans ma frénésie, je n'ai pas lâché le braquemart de Blanche neige. Je n'ai pas cessé de le masturber. Ses mains se crispent sur ma tête. Allongé sur le sol, le Balafré me laisse bouger à mon rythme, reprendre ma respiration. En même temps, j'approche ma bouche de la bite dressée. Je pose mes lèvres sur l'énorme champignon. Ma langue entamant une danse autour du gland. Ma main ne parvient pas à entourer complètement le mandrin d’ébène que je commence à sucer. Blanche Neige entame de lentes poussées en avant. Je commence une fellation d'enfer. Jamais, je n'ai avalé un tel manche. Mes lèvres coulissent le long de son mât. Chaque poussée envahit un peu plus ma bouche. Son gland se fraye maintenant son chemin jusqu'au fond de ma gorge. Ma bouche s'ouvre pour accueillir ce pieu d'ébène. Le Balafré a cédé mes seins à Blanche Neige, mais il a saisi mes hanches à pleines mains. Je m'abandonne encore un peu plus à leurs mains. Elles ne cessent pas de câliner mon corps. Malgré qu'il se soit vidé, un pieu dur occupe tout mon vagin dilaté. Je continue de lécher le mandrin marron. Quelques secondes plus tard, il jouit violemment, agité de soubresauts convulsifs. Blanche Neige ne peut retenir un cri étouffé. J'adresse à mon complice, un regard rempli de reconnaissance. Il m'a fait subir un supplice, un délicieux supplice ! J'effectue un nettoyage en règle du sexe noir. Il me demande : • Ça te plaît ?
Le Balafré continue ses ondulations de bassin, à rythme lent, générant des ondes régulières de plaisir. Je ne sais plus où j'en suis. Je perds la tête : • Vous allez me rendre folle !
Blanche Neige éclate de rire et me répond : • Nous sommes là pour ça ! Et aussi souvent que tu le veux, belle bourgeoise !
Toujours plantée sur le sexe dressé du Balafré, je joue avec le sexe noir qui oscille devant ma bouche. Je lui fais des cajoleries. Je me permets une remarque : • Il est si gros et si long !
Il me dit avec un grand sourire qui lui barre le visage : • Profites-en autant que tu veux…Ma main se referme alors sur son sexe. Elle avance et recule prodiguant de longues caresses. Sa respiration s'accélère. Dans un souffle, il me dit : • Suce-moi encore...
J'approche de mon visage la tige gonflée. Je caresse son sexe contre mes joues. Puis, je glisse de nouveau le gland luisant sur mes lèvres. Du bout de ma langue, je lape la petite fente. Ma main continue ses va et vient le long de son sexe maintenant bien raide. Ses mains se posent fermement sur ma tête. Je comprends sa demande implicite. J'avale son membre tout entier dans ma bouche. Je l'aspire presque entier, goulûment. Mes caresses sont de plus en plus rapides. Il bute au fond de ma gorge à chaque poussée. Quand il sort, ma langue qui le titille au passage. Je sens son sexe palpiter et se tendre. Son souffle s'accélère. Que m'arrive-t-il ? Moi, la sage mère de famille, je me suis transformée en femelle en chaleur. Je suis prête à recevoir sa semence une nouvelle fois, si Blanche Neige a des réserves. C'est alors qu'il se laisse complètement aller et qu'il jouit dans ma bouche, inondant le fond de ma gorge, mon palais et ma langue de longs jets chauds et crémeux. Un orgasme violent me submerge. Mon vagin se contracte sporadiquement sur le pieu de chair du Balafré qui n'a pas cessé ses coups de rein. Mes cris de jouissance résonnent dans la salle. Alex ne doit pas en croire ses oreilles. Je m'effondre sur le torse du Balafré. Je récupère. Soudain, une caresse me surprend. Un doigt commence à me caresser l'anus. Un cri sort de ma bouche : • Non, je ne veux pas ! Pas par-là !
Le chef m'interroge : • Mais pourquoi?
• Parce que ça me répugne ! C'est tout !
C'est vrai qu'Alex avait déjà tenté de me sodomiser. Mais des vieux restes d'une éducation judéo-chrétienne, désuète et puritaine, m'ont toujours bloquée. Il m'a continuellement reproché cette réticence, véritable frein à toute tentative d'innovation sexuelle. Je le savais. Alex s'était confié une fois. Il rêvait de me sodomiser. Il voulait entrer dans mon orifice interdit, prendre mon cul. Mais le chef, tout en écoutant d'une oreille discrète mes refus, enfourne un doigt dans mon anus. Il ne l'a pas humidifié avec sa salive. Je n'apprécie pas du tout et commence à crier mon refus. Aussitôt, une claque tombe sur mes fesses, accompagné d'un ordre sec : • Tais-toi !
Puis il ajoute pour ses copains : • Tenez-là !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le Balafré immobilise mes poignets au niveau de ses épaules et Blanche Neige regroupant mes cheveux dans sa main, me force à absorber son mandrin, qui vient de retrouver une vigueur inattendue. Le chef reprend : • De toute façon, tu n'es pas en situation pour parlementer…Je m'en doute ! Je suis dans la position idéale, les fesses nues, à quatre pattes sur le sol. Les deux hommes me maintiennent fermement. Le chef a accès à ma rondelle. Il a une vue idéale sur le petit trou entre les deux fesses rondes. Ma petite rondelle fripée, tellement serrée, tellement tentante et pourtant tellement inaccessible, génère tant de fantasmes et provoque tant d'envies. Une sensation glacée brûle mon anus. Un gel lubrifiant est appliqué sur mon œillet tout contracté de peur. Doucement l'entrée de mon fondement est massée. Le Balafré me lime sans cesse très doucement, manquant à chaque retrait de quitter mon antre. Blanche Neige empêche toute rebuffade de ma part. Le doigt, bien humidifié, commence à caresser mon petit trou. Il essaie d'entrer en tournant. Il finit par pénétrer un peu. Une phalange, puis deux et il ressort pour reprendre du lubrifiant. Curieusement, je n'ai pas de réaction négative à cette caresse. Je n'éprouve aucune douleur. Mon petit trou se détend et autorise permet une timide intrusion à ce doigt.
Je me détends. Ma rondelle accepte son index. Il entame un va-et-vient lent. Je me laisse aller. Maintenant le majeur accompagne l'index. Ensembles, ils m'ouvrent davantage. Ils se promènent dans mon petit trou du cul serré. Des bruits de succion envahissent la salle. Je ne dis plus rien. La bouche grande ouverte, je continue de sucer Blanche Neige. Le sexe du Balafré entre et sort, au rythme d'un lent métronome, luisant de ma mouille. Les deux doigts se calent inversement avec les poussées du sexe qui emplit mon vagin. Des sourires de satisfaction éclairent les visages des deux compères. J'imagine que le chef arbore le même de contentement. Mon anus interdit, il y a peu, avale sans difficulté les doigts inquisiteurs, gras de gel, occasionnant à chaque intromission, un nouveau bruit de succion. Si les premières pénétrations me procurent des gémissements, ils font place d’un ronronnement à un feulement. De plaisir ? Il faut croire que le traitement conjugué des trois hommes me procure des sensations étonnantes. Je ne peux pas me voiler la face. Mon appréhension s'efface pour laisser la place à des perceptions nettement plus agréables. Je ne me reconnais pas. Il me semble que je visionne un film porno dont je suis la vedette principale. Soudain, un vide dans mon ventre. Les doigts sont sortis entièrement, me laissant mon cul béant. Une sensation de vide me prend. Le chef tient dans sa main son chibre en main et me prévient : • Pour une première fois, j'irai tout doucement. Je te promets que tu vas adorer…Je proteste: • Non ! Je ne veux pas, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer !
Il me répond : • Ne t'inquiète pas… tu as le cul souple…Je lui demande : • Faites doucement, c'est la première fois…Je sens le gland du chef se poser au centre de ma cible. Mon cœur bat à cent à l'heure. Une pression douce, une seconde plus ferme tente de me perforer. Puis d'un seul coup, une glissade ! Je pousse un cri de douleur ponctué d'une claque sur ma fesse et d'un : • Salope ! Ouvre-toi mieux que cela, sinon je t'éclate le cul !
La verge tendue se présente à l'orée luisante de mon étroit conduit. J'essaie de me dégager. Peine perdue, les hommes me tiennent solidement. Mais je suis sûre que, cette fois, sera la bonne. Le chef va le faire. Il n'hésitera pas. Il va rentrer en moi et il ne sera plus question de faire demi-tour. Son sexe, fin prêt à l'estocade, tendu au maximum, abondamment lubrifié, appuie sur l'œillet qui résiste à son viol. Une lente pression le fait entrer petit à petit. La verge raide, force, par petites pénétrations successives, mon anus. Elle s'introduit progressivement. J'ai mal j'ai terriblement mal. J'ai la sensation que mes entrailles se déchirent. Elle avance, lentement, sûrement mais inexorablement. L'antre sacré est violé. Je serre les fesses, opposant une forte résistance à la progression. Dans une dernière poussée, je sens le sexe forcer mes dernières résistances. Je sens mon petit trou s'ouvrir devant le gland triomphant. Il perfore mon si mignon petit cul. J'ai envie de hurler de douleur. Je me retiens de crier. Je ne dis rien. Je serre les dents. Je me laisse faire. Il est presque en place. Le chef me rentre sa pine d'un coup sec. Le gland passe, provoquant un étirement maximum de mon anneau anal. Je ne peux pas retenir un hurlement quand son membre pénètre le fond de mes entrailles. Il pousse encore et me voilà entièrement prise. Son sexe est bien serré dans mon cul. Il se met me posséder, à me limer en rythme, alternativement avec le Balafré. Je me relâche un peu, espérant un répit dans la douleur. Mais, j'en suis pour mes frais. Tout à coup, je sens le sexe entamer une sarabande infernale. Mon anus doit être complètement défoncé. Je geins. J'ai honte et je m'en veux. Je dois rester stoïque. Mais je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je me lâche. Pas habituée à ce genre de pratique et malgré la douleur, je me détends. Je ressens une aube grandissante de plaisirs. Ensuite, je perds un peu le fil de mes pensées. Je me retrouve criant de plaisir. Les hommes coordonnent leurs mouvements pour me pénétrer. Je me tiens aux épaules du Balafré qui me suce le bout de mes seins. Je branle Blanche Neige. Ils me soulèvent par les hanches. Je suis embrochée comme une vulgaire poulette.
A travers la mince cloison de mes entrailles, je sens les allées et venues de leurs sexes dans mon vagin et dans mon cul. Les frottements des deux glands au cours de leurs croisements me procurent des vagues de bonheur. Leurs couilles cognent contre mes fesses. Je souffle de plus en plus fort essayant cependant d'étouffer la jouissance qui monte en moi. Les spasmes annonciateurs de la jouissance des deux hommes me secouent. Ils éjaculent en moi. Leurs spermes chauds se répandent en moi. Mais ils ne cessent pas leurs actions. Blanche Neige se vide une nouvelle fois sur mon visage. Mais c'est à ce moment que je décroche de la réalité. Je geins de plus en plus fort, et finis par jouir. Je parle, prononce des propos orduriers : • Oh ! Mes salauds… C'est bon... J'aime me faire enculer…Je crie mon plaisir. Puis un grand trou noir. Mon corps devint lourd. Quand je reviens sur terre, je suis allongée sur le corps du Balafré. Quel pied !
Je rends la plume à Alex.
Après avoir entendu Sandrine accepter toutes les demandes et contraintes des trois hommes, je reste sidéré. Ma Sandrine, bonne épouse et bonne mère de famille, est prête à toutes les turpitudes.
Et cela ne tarde pas !
Empalée sur un sexe bien raide, le grand noir s'approche d'elle et lui met son sexe énorme en face de la bouche. Sans qu'il ne demande quoi que ce soit, elle embouche le mandrin. Elle le cajole mettant le black dans des conditions très agréables,… pour lui mais me mettant dans les pires tourments. Mais le bouquet est quand le chef vient présenter à ses fesses, son chibre. Sandrine, qui me refuse depuis longtemps de possession de son petit trou, ne rechigne que très peu à cette pratique. Au contraire, elle se prête bien à un essai. Le chef la prépare avec un doigt. Je constate que Sandrine réagit très fort. Elle pousse des soupirs d'aise. Elle se cambre pour faciliter le massage qui se fait plus pénétrant. Elle feule quand le doigt y entre tout entier, sans difficultés apparentes. Elle manifeste de plus en plus intensément son plaisir. Soudain, le chef retire son doigt. Sandrine pousse un cri de dépit. L'homme se penche sur le dos de Sandrine et lui demande d'une voix contrefaisante l'inquiétude, à l'oreille : • Tu as mal ?
• Non… C'était tellement bon...
Sandrine ne semble pas effrayée par la suite de l'aventure. Le chef lui flatte les fesses et lui demande : • Veux-tu que je t'encule ?
Après une très courte hésitation, Sandrine répond dans un souffle : • Oui… !
Cette fois est la bonne. Elle est prête pour des jeux qu'elle refusait jusqu'à ce jour. Sollicité, l'homme se met à genoux. Elle se laisse aller, les mains de l'homme sur lequel elle est empalée, tiennent ses seins. Elle ne cesse de sucer goulûment le sexe noir. Je vois qu'elle est tendue, à l'écoute de son corps face à cette nouvelle expérience. Elle tend son cul, toute à sa découverte. J'entends le chef lui dire : • Pour une première fois, j'irai tout doucement. Je te promets que tu vas adorer…Elle lui répond : • Faites doucement, c'est la première fois…Je vois le gland de son amant se poser au centre de la cible. Il appuie légèrement. L'anus se refuse et le gland dérape dans la vallée de ses fesses. Sandrine crie de douleur. Une claque résonne sur sa fesse et accompagnée d'un : • Salope ! Ouvre-toi mieux que cela, sinon je t'éclate le cul !
A la deuxième présentation du gland, il n'y a presque pas de résistance. Le gland, une fois le seuil franchi, bouscule ses entrailles.
Il plonge dans le conduit interdit. Puis après quelques secondes de pause, il entame une sarabande. Sandrine accompagne les mouvements des trois hommes. Elle crie. De douleur ??? De plaisir ??? Elle apprécie d'être prise ainsi. Son enculeur peut encore gagner quelques centimètres. Prenant ses hanches à pleines mains, il accentue la pression pour achever la pénétration. Je vois les deux hommes s'enfoncer alternativement dans le ventre de Sandrine. Elle aime et prend son pied. Les va et viens s'accélèrent. Elle est sur un nuage. Elle est au bord de l'orgasme. Les hommes l'exhortent : • Bouge salope… Bouge ton cul ! Je vais jouir dans ton cul !
Elle s’empale sur le sexe tendu. Ses reins avalent son pieu dressé, s’enfoncent entre tes fesses. Cette vision me donne envie de prendre cette femme, ma femme de la même façon. J'ai envie d'enfoncer ma queue dans ce cul tendu, offert. Sandrine hurle sa jouissance. A cet instant je devine, je comprends ce que tu aimes. Je réalise que toi aussi tu viens de comprendre : tu aimes te faire enculer, te faire sodomiser ! Les hommes poussent au fond leur sexe pour jouir au plus profond d'elle. Le noir explose à son visage. Elle ne peut tout avaler. De longues coulées blanchâtres s'accrochent à ses joues, ses yeux, ses cheveux. Elle se laisse tomber en avant, sur le torse de l'homme. Elle est prise de spasmes. Le chef la suit dans sa chute en avant, la pénétrant encore plus.
Sandrine se redresse pour dire : • Oh ! Mes salauds… C'est bon... J'aime me faire enculer…J'en pleure de rage. Moi qui depuis notre mariage avais envie de cette pratique, Sandrine offre son cul à des inconnus. Elle me l'a toujours refusée. Aujourd'hui, elle se conduit comme une vraie pute. Moi qui rêvait de la pilonner, d'entrer dans cet orifice interdit ! Combien de fois j’ai rêvé, combien de rêves ai-je fait où elle criait, hurlait sans cesse des "Oh oui, chéri, encule-moi." ? Combien de fois me suis-je vider dans ses entrailles ? Combien de fois ai-je fait des tentatives des approches avec toujours le même refrain " Non, tu sais que je n'aime pas ça !" ? Combien de fois me suis-je juré d'arriver à mes fins ?
Le chef se retire des fesses de ma bien-aimée. Il caresse ses fesses, bien rebondies, attirantes. Puis il réveille tout le monde.
• Il est l'heure d'aller se coucher !
D'une main sur les fesses de Sandrine, il l'aide à se lever. Sandrine est maculée de sperme. Son visage, ses seins, ses fesses et ses cuisses portent des traces gluantes. Le chef la conduit vers la sortie avec un ordre précis à mon encontre : • Vérifiez qu'il ne se sauvera pas cette nuit !
Il quitte la pièce accompagnée de Sandrine. Je la vois poser ses mains sur ses fesses et écarter ses globes fessiers. Son postérieur doit la faire souffrir. Les deux autres contrôlent mes liens, éteignent la lumière et claque la porte. Je suis de nouveau seul et Sandrine entre leurs mains.
Je reprends vie. Le chef me relève avec vigueur. Il m'entraîne dehors. Je passe à côté d'Alex et n'ose le regarder. Mon anus me fait mal. J'écarte mes fesses de mes deux mains laissant l'air frais apaiser la brûlure.
De retour dans la maison, je suis conduite au premier étage. Le chef me pousse dans la chambre de ma fille. Il me fait mettre à 4 pattes en travers du lit. Quelques minutes plus tard, mes bras sont attachés aux barreaux de la tête de lit et mes jambes au pied de lit. Avec les ceintures de nos peignoirs, mes genoux sont attachés comme mes bras. Je suis écartelée, à genoux, en travers d'un lit de 90 cm. Inutile de vous dire la vue que je peux offrir à toute personne qui entre dans la pièce. Impossible de modifier ma position. J'essaie malgré tout de bouger. Le chef me prévient : • Reste comme ça ! Si cette nuit l'un de nous trois veut se vider les couilles, il faut que tu sois prête !
Une claque sur mes fesses m'invite au silence. Je trouve qu'il prend goût à me fesser à tout bout de champ. Mais je réalise, un peu contre mon gré que j'y prends un plaisir non négligeable… Il sort de la pièce et éteint la lumière. La porte reste ouverte. Ils se répartissent les tours de garde. La fatigue me gagne. Je tombe dans les bras de Morphée.
Il fait noir quand je sens des mains caresser mes fesses. Je sursaute. Qui vient profiter de mon corps ? Je ne le sais pas. La lumière reste éteinte. L'homme s'installe derrière moi. Deux doigts, puis trois pénètrent mon vagin. Dans ma position, je m'attends à être prise en levrette. Je sens les doigts bien humides de mes sécrétions et de leurs épanchements venir sur mon anus. Je comprends vite qu'il en veut à mon "petit trou". Je dis : • S'il vous plaît, pas par-là… J'ai eu trop mal tout à l'heure…La réponse est immédiate : • J'ai envie de te prendre par-là ! Tu seras à moi, comme toutes les autres "blanches"!
Je comprends qui en veut à mon petit trou du cul. Je crains qu'il ne soit plus jamais mon "petit" trou du cul. Blanche Neige va me déchirer. Je me fais chatte pour tenter de le dissuader… • Monsieur Blanche Neige, s'il vous plaît, pas par-là, vous êtes bien trop gros !
Je n'ai guère le temps de discuter plus. Il présente son gland devant mon anus. Je sens son gland appuyer. La pression s'accentue. Je pousse au maximum en essayant de me détendre. Son gland passe dans mon anus. Il se dilate et je sens son mandrin continuer à violer ma rondelle. La progression se fait lentement mais sûrement. Mon anus baille progressivement mais ça ne semble pas suffisant. La douleur arrive. Je pousse comme pour aller à la selle. Je commence à avoir mal et le gland n'est toujours pas passé. Blanche Neige maintient la pression, Et d'un seul coup, mon anus cède. Je sens mon anus aspirer le gland avec une brève douleur. Il s'est installé en moi, triomphant. J'ai l'impression d'être écartelée, à la limite de la déchirure. Doucement, la douleur disparaît. Mon anus s'habitue à cette intrusion. Que m'arrive-t-il ? Inconsciemment, mon corps me joue un tour horrible. Je me surprends à aller à la rencontre de son sexe en reculant mon postérieur. Blanche Neige ne se pose pas de questions. Il pousse plus fort. J'ai bientôt tout son sexe en moi, me dilatant encore plus. Il m'empale à fond d'une longue poussée. Et d’un violent coup de reins, il m’encule jusqu’au fond, faisant disparaître son sexe entre mes fesses. Je me crispe quand il enfonce à fond son sexe dans mes reins. Mon anus se resserre autour de son sexe. Il ne bouge pas pendant quelques instants. Il commence à aller et venir entre mes reins. Il me fouille de plus en plus régulièrement, de plus en plus profondément. J'ai son pieu planté dans mes fesses, allant et venant dans mon trou dilaté et béant.
Je m'imagine la scène : une femme, à quatre pattes, un sexe noir énorme fiché entre ses fesses qu'un homme pilonne durement, tantôt lentement, tantôt violemment. Il me laboure de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris. Je constate, non sans effroi, que ces cris sont plus de plaisir que de douleur ! Ses couilles battent sur mes grandes lèvres déjà malmenées par les assauts précédents. Les va et vient puissants me pistonnent. Je jouis, impudique, sous le sexe de ce Noir énorme. Un orgasme dévastateur m'emporte. Il retire presque son sexe de mon cul. Il replonge encore plus fort en moi. Un violent désir semble animer Blanche Neige. Il veut me faire sentir son sexe dur dans mes reins. Il cherche à me faire mal. Mais je me surprends à aimer cette virilité dans ses mouvements. Les battements de sa queue annoncent la jouissance imminente. Ses couilles se vident en moi, au fond de mes intestins. Il reste collé à mes fesses pendant quelques minutes, le temps de reprendre son souffle. Une vive claque sur les fesses me signale la fin de cette partie. Blanche Neige me dit avec un rire dans la voix : • Tu fais partie de la longue liste des blanches que j'ai matées !
Il se libère de moi et va se laver dans la salle de bains. Je reste ainsi, offerte et souillée. Aujourd'hui est un grand jour ! Par deux fois, je me suis fait prendre par le cul. Sodomisée, moi qui refusais cette pratique que je considérais comme sale, je me suis laissée prendre. Mon anus a connu la bite, la queue. Honteusement, j'admets que je viens de prendre un vil plaisir à la sodomie faite par Blanche Neige. Je regrette de ne pas pouvoir me voir prise ainsi. Un plaisir et un désir indescriptibles m'envahissent. Je me vois dans ces scènes sexuelles et bestiales.
03 – L'AGRESSION 3Je suis attaché sur ma chaise, immobilisé et bâillonné par un foulard. Le grand noir est venu me chercher. Il m'a installé en face de Sandrine. Je la vois. Elle est toujours dans la même tenue : son serre-taille qui soulève ses seins somptueux, qui aplati son ventre tout en mettent en valeur sa chatte glabre. Son abricot est encadré des jarretelles qui soutiennent ses bas noirs en voile. Mais elle est immobilisée elle-aussi : ses mains sont menottées dans son dos, sa bouche obstruée par un bâillon boule et les yeux masqués d'un bandeau noir. Malgré la situation dramatique que nous vivons, une réaction curieuse m'envahit : je bande ! Ma femme aux mains de voyous, moi ligoté en face d'elle nue, et voilà que la situation m'excite. Mon sexe est énorme.
Quand le chef m'annonce qu'il va prendre ma voiture et ma femme, je râle ! Pas longtemps car un bon coup de poing au creux de l'estomac me rappelle que je ne suis pas en position de force. Ce salaud en profite et flatte le cul de ma femme. Remarquez, je le comprends, ses fesses sont tellement jolies… Mais la caresse ne s'arrête pas là ! La main passe entre les cuisses de Sandrine. Elle écarte les pieds facilitant ainsi le passage. Je vois avec horreur deux doigts pénétrer la chatte de Sandrine. Je bande de voir cela. Et quand Sandrine se cambre pour profiter au maximum de l'intromission, alors je bous. Mais je constate que Sandrine apprécie le traitement qui lui est infligé. Elle se laisse ramoner la chatte comme une vraie salope. Le chef lance tout à coup : • Cela suffit ! Balafré va chercher de quoi attacher cette ravissante petite salope !
Immédiatement, l'homme sort. Son retour est rapide. Il jette un sac au sol. Il en extrait un paquet de cordes et une barre métallique avec des attaches. Je suis sous le choc. Que vont-ils nous faire subir ? Je le regarde installer son attirail. Il passe deux cordes sur la poutre qui traverse le bâtiment. En quelques minutes, Sandrine est libérée de ses menottes. Chaque poignet est aussitôt enlacé. Le Balafré tire sur les cordes. Sandrine se retrouve les bras en l'air. Les cordes sont nouées au pied du billard qui trône dans la salle. Le Balafré s'agenouille devant Sandrine. Il lui lie les chevilles à la barre métallique. Elle ne peut plus resserrer ses pieds, refermer ses cuisses. Elle est totalement disponible aux trois hommes. Son corps est offert à la turpitude des trois brigands. Comment osent-ils attacher mon épouse comme une poupée ? Je suis scandalisé, mais aussi excité. Je remarque l'énorme déformation de mon pantalon. Le chef recommence la palpation du sexe de ma femme adorée. Ses doigts clapotent tant elle est trempée. Il commence à parler à Sandrine. Il explique pourquoi ils nous font subir cela : • Cela fait dix ans que nous sommes en tôle… Et dix ans en tôle, sans femme c'est dur, très dur ! Alors, quand on en trouve une comme elle, comme la tienne, on en profite… C'est une traversée du désert… On veut donc se rattraper ! Ce soir, nous avons envie de fantaisie, de luxure… Je propose que nous prenions notre plaisir avec ta femme, mais je ne veux pas qu'elle soit perdante ! Nous prendrons notre plaisir mais nous ferons tout pour lui donner le plus de bonheur possible, qu'elle aille d'orgasme en orgasme… Nous allons l'utiliser pour notre plaisir et pour son propre plaisir…Il s'assoit en silence, face à moi.
• Qu'en penses-tu ?
Que dire ? Que faire ? Je suis attaché et bâillonné !
Pendant plusieurs minutes, ils contemplent ma femme. Puis d'un accord tacite et silencieux, ils s'approchent d'elle. Blanche Neige et le Balafré s'emparent chacun des jolies fraises de ses seins. Ils tètent mon épouse. Ils jouent avec ses tétons pendant de longues minutes. Ils les excitent et les rendent durs et turgescents. Ses mamelons sont en érection. Ils vibrent d'excitation. Ses seins sont soupesés, caressés, pressés. Ils finissent par les pincer doucement entre le pouce et l'index. Je sais que Sandrine raffole de cette caresse à la fois douce et dure. Maintenant je la sens complètement allumée et prête à jouir à tout instant. C'est alors que le chef s'approche de Sandrine.
Toute son anatomie est disponible à la convoitise des trois malfrats. Elle est nue, dans sa tenue de salope, attachée par les poignets à la grosse poutre en bois. Ses pieds touchent à peine le sol. Ses longs cheveux châtain sont défaits et lui dissimulent le visage. Le chef porte ses mains sur la nuque de Sandrine. Il la libère de son bâillon-boule. Elle aspire une grande goulée d'air. L'homme, dans son dos, empaume de ses deux mains les seins ronds. Il masse doucement les globes charnus, laissant les mamelons en érection aux bons soins des lèvres de ses deux acolytes. Je vois le corps de mon épouse réagir à la succion active de ses tétons. Je réalise, en l'observant bien, que ma femme, mère de mes deux enfants, prend un intense plaisir à se faire lutiner par ces deux hommes. Mais le pire est à venir. Je n'en crois pas mes yeux ni mes oreilles. Ainsi, Sandrine, d'ordinaire un peu puritaine, pas très exhibitionniste et encore moins échangiste, serait-elle devenue une adepte de jeux libertins ?… Je l'entends alors nettement feuler et dire à ses tourmenteurs : • Oui ! Plus fort ! Oui ! J'aime ! Oui ! Encore ! Je vais jouir ! Encore ! Encore ! Ahhh !!!
La scène qui se déroule sous mon regard ébahi est bien réelle et sans équivoque. Je suis tellement excité que je bande comme un vrai porc. La vision de ma femme aux mains d'autres hommes m'excite au plus haut point. Un sentiment de honte m'envahit. Le chef délaisse les seins ronds de Sandrine. Il pose sa main gauche sur son ventre. Sa main droite glisse sur ses fesses et entre ses cuisses. Il lui masse la chatte qui doit être toute chaude et mouillée. Je vois ses doigts lui dégotter le clitoris, le décoiffer et le malaxer doucement. Il devient tout dur, écarlate et enflé. Je suis surpris de la réaction de Sandrine. Elle cherche de l'air la bouche grande ouverte. Et d'un seul coup elle pousse un hurlement. Elle donne des coups de reins pour plus s'empaler sur les doigts qui la fouillent. Son orgasme est d'une violence inouïe. Je ne l'ai jamais vue dans cet état. La jouissance la terrasse. Ses jambes ne la soutiennent plus. Elle s'écoule, et reste suspendue aux cordes liées à ses poignets. Jamais avant avoir assisté à une telle scène, je ne pensais que j'aurai une telle réaction. Je suis excité comme rarement je ne l'ai été. Mon sexe est tellement énorme que je suis très mal à l'aise dans mon pantalon. Je suis tellement absorbé et excité par ce spectacle torride que je frotte mes cuisses l'une contre l'autre pour me donner du plaisir. Finalement, je laisse échapper un " Oh! " de gêne et de surprise. Je viens d'éjaculer dans mon slip ! Pendant quelques minutes, un silence de mort règne dans la grande salle. J'ai honte.
Je rends la plume à Sandrine.
Je reviens sur terre. Ce sont mes poignets qui me rappellent ma position. Sinon, quel pied ! Je n'ai jamais vécu cela. Depuis que ces trois loustics ont fait irruption dans notre vie, ma vie sexuelle, que je croyais bien remplie, explose littéralement. Je n'ai pas le temps de souffler que, de nouveau, des mains s'attardent sur mon corps. Elles s'attardent en insistant sur mes fesses, mes seins. Des doigts s'égarent dans mes orifices. Ma chatte est amoureusement frottée. Un doigt passe et repasse entre mes fesses charnues, agaçant ma petite rondelle fripée. C'est la première fois que je suis jetée en pâture à plusieurs hommes. Six mains sur mon corps, c'est extraordinaire ! J'ai l'impression d'être aux mains de toute une assistance. Ma respiration change de rythme. De nouveau, deux langues s'activent sur mes seins et mes mamelons durcis. Je commence à sentir une autre vague de plaisir arriver. Je ne peux pas retenir des premiers halètements de plaisir. Une main caresse mon mollet, remonte le long de ma cuisse. De nouveau, cette boule de chaleur, annonciatrice de plaisir, envahit mon bas ventre. J'entrouvre mes genoux pour faciliter la progression vers ma grotte humide. Une autre main appuie sur mes reins afin que je me cambre, permettant à la première de poursuivre son exploration. Un léger spasme parcourt mon corps à l’instant où un doigt se glisse dans mon intimité. Une langue, très baladeuse, descend de mon sein vers mon nombril, qu'elle agace en passant. Elle ne s'arrête pas. Elle descend encore et trouve mon antre. Elle se rue sur mon clitoris. Habilement, elle le décalotte, l'enroule, le suce, le lèche. Une autre langue continue le léchage de la fraise de mon sein. Le plaisir arrive. C'est une vague qui déferle et me submerge. Dans mon dos, l'homme me mordille la nuque. Un frisson me couvre la peau. De sa langue, il trace des arabesques dans mon dos, le long de ma colonne vertébrale. Elle descend sur mes reins. Puis sans cesser son manège, elle se fraye un chemin entre mes deux fesses, dans ma raie. Elle trouve mon anus qu'elle titille. Elle se fait pointue et dure et tente de s'immiscer dans mon petit trou. Depuis mon enfance, cette partie de mon anatomie a toujours été considérée comme un endroit sale. Je n'ai jamais permis à Alex de faire ce que cette langue me fait. Il n'a jamais eu droit à ce privilège. J'ai beau ne pas vouloir, mon esprit se révolte contre cette violation de mon intégrité, mon corps, lui, est prêt à céder. Le plaisir qui naît de cette caresse honteuse est incroyable. Cette langue flatte, assouplit, caresse ma petite rondelle effrayée. Puis d'une façon autoritaire, elle pointe et pousse au centre. Mon anus, curieux de cette nouvelle sensation se laisse prendre. La langue parvient à son souhait. Elle est en moi. Elle m'a pénétré. Je découvre des sensations inconnues pour moi auparavant. Malgré la honte de cette introduction, le plaisir est grand. Ma chatte trempée se vide sur la langue qui la lape. Mais la langue, toute goulue qu'elle soit, ne peut tout avaler. Une partie de mon trop-plein coule le long de mes cuisses et vient souiller le haut de mes bas. La conjugaison des trois caresses me transcende. Je ne sais plus où donner de la tête, des seins, des fesses, de ma chatte, de mes fesses et depuis peu de mon cul. C'est un véritable tsunami qui me culbute. Je jouis, je crie, je hurle de plaisir. Mais je reste debout sur mes pieds. Je veux profiter de cette jouissance jusqu'au bout. Je crie mon plaisir. Je le hurle. Je ne sais plus où j'en suis. Je demande : • Arrêtez… Arrêtez s'il vous plaît…La seconde suivante, au contraire je supplie : • Encore… Encore… Continuez… Ne vous arrêtez pas !
J'ai orgasme sur orgasme. Je ne vois pas le temps passer. Jamais je n'ai autant joui.
Le fait d'écrire cet épisode me bouleverse encore. Alex veut raconter sa vision des choses.
Je suis sous le choc. Voir Sandrine être violée par trois hommes avides de sexe me perturbe. Cela m'excite aussi !
Mais c'était loin d'être terminé. Pendant quelques minutes, je vois Sandrine se tordre sous les vagues de plaisir successives. Puis elle se calme. Mais les trois mecs ne veulent pas en rester là. Ils la détachent de la poutre. Elle est tellement épuisée de plaisir qu'elle reste à genoux, écroulée sur le parquet. Elle est incapable de rester debout. Le Balafré s'est étendu sur le dos à côté d'elle. Blanche neige s'approche d'elle. Il lui parle doucement, tout en lui caressant doucement le dos de sa large main noire : • Regarde la belle queue du Balafré ! Enjambe-le, chevauche-le !
Sans aucune réaction, j'ai la stupeur de voir Sandrine se redresser et enjamber le corps allongé du Balafré. Des deux mains, le Balafré saisit les jambes de ma femme au niveau de la pliure de ses genoux. Sandrine est installée à quatre pattes. Les deux partenaires sont réellement complices. Ils recommencent à caresser Sandrine. Les mains se font de plus en plus coquines. Ils épient malicieusement la montée du plaisir sur son visage. Le bonheur est lisible sur les traits crispés de Sandrine. Mais, l'envie est visible et gomme ses dernières réticences. La sentant à point, prête à toutes les turpitudes, le Balafré l'aide à se redresser. Elle est assise sur ses genoux, le sexe à hauteur de la queue dressée triomphalement. Il lui demande d'une voix douce : • Viens t'empaler sur ma queue !
Je regarde Sandrine. Elle se soulève sur un genou. Son sexe trempé baille déjà, ouvert comme un fruit mur. Elle pose un pied à la hauteur de la hanche de l'homme. Elle offre à tous ses partenaires et à moi, son mari, impuissant, une vue splendide de son sexe nu, de ses lèvres incarnat qui ourlent sa grotte. Le sexe bandé vient se frotter à l'antre humide. En même temps, les seins généreux à la pointe déjà durcie, se balancent à quelques centimètres du visage du Balafré. Il ne se gêne pas. De ses deux mains, il empoigne les globes blancs. Sandrine ferme les yeux en gémissant. Le Balafré prend ses seins à pleines mains. Ils sont bien fermes et lourds et les mamelons durcis.
• Tu as envie que je continue ?
Sans complexe, Sandrine lui répond : • Oui, j'aime, tu me rends très heureuse...
L'homme les étire aussi fort qu’il peut. Les tétons se gorgent de sang et changent de carnation. Il en profite pour griffer légèrement la chair tendre, Sandrine pousse un long gémissement. Est-il de douleur ou de plaisir ? Je ne peux le dire vu l'expression d'extase qui se peint sur le visage angélique de mon épouse. Le Balafré relâche son étreinte et recommence aussitôt. Sandrine, s'asseyant sur ses talons, pose ses mains sur les siennes.
• Doucement… C’est très douloureux... Mais c'est bon !
• Avoue que tu aimes ?
• Évidemment ! J'adore, mais va doucement, c’est douloureux !
Je ne peux m'empêcher de penser que Sandrine devient folle.
Le Balafré recommence à pétrir ses seins dans ses grosses mains. Il agace les pointes. Elles sont de plus en plus gonflées et dardent entre ses doigts. Il reprend les seins gonflés et les étire, les roule contre ses paumes, les écrase comme de vulgaires coussins. Sandrine a mal et en même temps, elle a envie que ce traitement continue. Elle grimace mais un sourire canaille éclaire son visage. Ce sourire est pris pour un signal favorable et déclenche les hostilités. Le Balafré lui demande : • Tu aimes tant que cela ?
Sandrine lui répond : • Oui… J'aime…Tu peux me faire ce que tu veux. J’obéirai…Je suis sidéré. Sandrine, qui est habituellement si indépendante, si femme libérée, la voilà prête à obéir aux désirs d'un homme qu'elle ne connaît que depuis quelques heures. Le Balafré lui pose une nouvelle question du même acabit : • Tu seras une jolie chienne en chaleur ?
La réponse de Sandrine est incroyable : • Oui, pour toi…Le Balafré continue imperturbable dans la même veine : • Ta bouche, son sexe et ton cul seront prêts à nous recevoir à tout moment ? Sans rechigner ? Quand nous en aurons envie ?
Sandrine hoche de la tête pour signifier son acceptation totale et entière. Je suis anéanti. Jamais je n'aurais cru que ma gentille petite épouse pouvait se conduite comme la dernière des traînées.
Je demande à Sandrine de continuer à raconter.
Suis-je devenue folle ? Folle de mon corps, oui certainement ! Mon accord donné, ils se jettent sur moi, enfin sur mon corps. Leurs mains se posent sur ma peau. Chaque parcelle de mon dos, de mon ventre, de ma poitrine, de mes fesses est explorée… C'est bon, vraiment très bon d'être le centre d'un millier de caresses… Quel délice ! Le Balafré prenant appui sur les talons et sur ses bras, relève son bassin. Le pieu gonflé de désirs se frotte sur mon pubis. Le sexe glisse sur mon clitoris et sur ma moule baveuse. Je me tortille de plaisir sous sa caresse. Je pousse mon bassin en direction de sa queue. N'y tenant plus je pousse son gland à l'entrée de ma grotte. Je m'assois sur la colonne de chair. Elle s'insinue sans difficulté, sans forcer, sans réticence de la part de mon vagin. Complètement empalée, calée sur le sexe, je m'abandonne de nouveau. Le plaisir m’envahit un peu plus, ma respiration devient haletante. Blanche Neige s'approche à son tour souhaitant sa part du gâteau. De la langue, il flatte la pointe de mes seins. Son pantalon est un peu étroit. Un sexe, certainement très prometteur déforme le tissu au niveau de l'entrejambe. Le Balafré continue son manège sur mes seins. Il me tient debout. Blanche Neige se redresse. Il s'approche encore plus. Il pose ses pieds de chaque côté de la tête de son copain allongé sur le dos. La bosse dure qui pointe à travers son pantalon se retrouve à la hauteur de ma bouche. Savoir que des hommes ont envie de moi à ce point, quel bonheur ! Mes deux mains se portent à la hauteur de l'entrejambe. Je découvre le zip de la braguette. Lentement, j'ouvre la fente du tissu. Le slip noir est à la limite de la rupture.
Ma main se glisse dans la braguette et découvre un bâton impressionnant à travers le tissu fin. N'y tenant plus je passe par la ceinture et dégage l'objet de mes envies. Une vraie barre jaillit devant moi. C'est gros, long, brun foncé surmonté d'un champignon brun rosé ! Ma main se pose avec une légère inquiétude sur ce truc incroyable. Je ne peux pas en faire le tour avec ma main. Alors j'y mets les deux. Je commence à caresser cette imposante colonne de chair. Jamais je n'avais vu ce genre de machin. Lentement j'entame des va et viens. Sous mes doigts, il semble encore se dilater et grandir. Le traitement doit lui plaire. Le méat du champignon bave un peu, adoucissant les glissements de la peau. Blanche Neige flatte mes seins avec ses mains. Ses doigts jouent délicatement avec leurs pointes. Les mains d'ébène pressent mes seins à la peau laiteuse. Des frissons me parcourent tout le corps. Je glisse sur la tige de chair. Des ondes exquises me tirent des gémissements dès que le Balafré se mit à pousser de façon régulière, son bassin vers le haut. Me sentant prête à exploser, je me trémousse violemment sur le pieu de chair. La queue gonfle. Elle s'agite des premiers spasmes annonciateurs. L'arrivée saccadée des jets libérateurs déclenche en moi, un orgasme sauvage, violent et brutal. Je ne peux contrôler mes mouvements. C'est trop fort ! Mon corps se cambre sous un premier orgasme. Dans ma frénésie, je n'ai pas lâché le braquemart de Blanche neige. Je n'ai pas cessé de le masturber. Ses mains se crispent sur ma tête. Allongé sur le sol, le Balafré me laisse bouger à mon rythme, reprendre ma respiration. En même temps, j'approche ma bouche de la bite dressée. Je pose mes lèvres sur l'énorme champignon. Ma langue entamant une danse autour du gland. Ma main ne parvient pas à entourer complètement le mandrin d’ébène que je commence à sucer. Blanche Neige entame de lentes poussées en avant. Je commence une fellation d'enfer. Jamais, je n'ai avalé un tel manche. Mes lèvres coulissent le long de son mât. Chaque poussée envahit un peu plus ma bouche. Son gland se fraye maintenant son chemin jusqu'au fond de ma gorge. Ma bouche s'ouvre pour accueillir ce pieu d'ébène. Le Balafré a cédé mes seins à Blanche Neige, mais il a saisi mes hanches à pleines mains. Je m'abandonne encore un peu plus à leurs mains. Elles ne cessent pas de câliner mon corps. Malgré qu'il se soit vidé, un pieu dur occupe tout mon vagin dilaté. Je continue de lécher le mandrin marron. Quelques secondes plus tard, il jouit violemment, agité de soubresauts convulsifs. Blanche Neige ne peut retenir un cri étouffé. J'adresse à mon complice, un regard rempli de reconnaissance. Il m'a fait subir un supplice, un délicieux supplice ! J'effectue un nettoyage en règle du sexe noir. Il me demande : • Ça te plaît ?
Le Balafré continue ses ondulations de bassin, à rythme lent, générant des ondes régulières de plaisir. Je ne sais plus où j'en suis. Je perds la tête : • Vous allez me rendre folle !
Blanche Neige éclate de rire et me répond : • Nous sommes là pour ça ! Et aussi souvent que tu le veux, belle bourgeoise !
Toujours plantée sur le sexe dressé du Balafré, je joue avec le sexe noir qui oscille devant ma bouche. Je lui fais des cajoleries. Je me permets une remarque : • Il est si gros et si long !
Il me dit avec un grand sourire qui lui barre le visage : • Profites-en autant que tu veux…Ma main se referme alors sur son sexe. Elle avance et recule prodiguant de longues caresses. Sa respiration s'accélère. Dans un souffle, il me dit : • Suce-moi encore...
J'approche de mon visage la tige gonflée. Je caresse son sexe contre mes joues. Puis, je glisse de nouveau le gland luisant sur mes lèvres. Du bout de ma langue, je lape la petite fente. Ma main continue ses va et vient le long de son sexe maintenant bien raide. Ses mains se posent fermement sur ma tête. Je comprends sa demande implicite. J'avale son membre tout entier dans ma bouche. Je l'aspire presque entier, goulûment. Mes caresses sont de plus en plus rapides. Il bute au fond de ma gorge à chaque poussée. Quand il sort, ma langue qui le titille au passage. Je sens son sexe palpiter et se tendre. Son souffle s'accélère. Que m'arrive-t-il ? Moi, la sage mère de famille, je me suis transformée en femelle en chaleur. Je suis prête à recevoir sa semence une nouvelle fois, si Blanche Neige a des réserves. C'est alors qu'il se laisse complètement aller et qu'il jouit dans ma bouche, inondant le fond de ma gorge, mon palais et ma langue de longs jets chauds et crémeux. Un orgasme violent me submerge. Mon vagin se contracte sporadiquement sur le pieu de chair du Balafré qui n'a pas cessé ses coups de rein. Mes cris de jouissance résonnent dans la salle. Alex ne doit pas en croire ses oreilles. Je m'effondre sur le torse du Balafré. Je récupère. Soudain, une caresse me surprend. Un doigt commence à me caresser l'anus. Un cri sort de ma bouche : • Non, je ne veux pas ! Pas par-là !
Le chef m'interroge : • Mais pourquoi?
• Parce que ça me répugne ! C'est tout !
C'est vrai qu'Alex avait déjà tenté de me sodomiser. Mais des vieux restes d'une éducation judéo-chrétienne, désuète et puritaine, m'ont toujours bloquée. Il m'a continuellement reproché cette réticence, véritable frein à toute tentative d'innovation sexuelle. Je le savais. Alex s'était confié une fois. Il rêvait de me sodomiser. Il voulait entrer dans mon orifice interdit, prendre mon cul. Mais le chef, tout en écoutant d'une oreille discrète mes refus, enfourne un doigt dans mon anus. Il ne l'a pas humidifié avec sa salive. Je n'apprécie pas du tout et commence à crier mon refus. Aussitôt, une claque tombe sur mes fesses, accompagné d'un ordre sec : • Tais-toi !
Puis il ajoute pour ses copains : • Tenez-là !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Le Balafré immobilise mes poignets au niveau de ses épaules et Blanche Neige regroupant mes cheveux dans sa main, me force à absorber son mandrin, qui vient de retrouver une vigueur inattendue. Le chef reprend : • De toute façon, tu n'es pas en situation pour parlementer…Je m'en doute ! Je suis dans la position idéale, les fesses nues, à quatre pattes sur le sol. Les deux hommes me maintiennent fermement. Le chef a accès à ma rondelle. Il a une vue idéale sur le petit trou entre les deux fesses rondes. Ma petite rondelle fripée, tellement serrée, tellement tentante et pourtant tellement inaccessible, génère tant de fantasmes et provoque tant d'envies. Une sensation glacée brûle mon anus. Un gel lubrifiant est appliqué sur mon œillet tout contracté de peur. Doucement l'entrée de mon fondement est massée. Le Balafré me lime sans cesse très doucement, manquant à chaque retrait de quitter mon antre. Blanche Neige empêche toute rebuffade de ma part. Le doigt, bien humidifié, commence à caresser mon petit trou. Il essaie d'entrer en tournant. Il finit par pénétrer un peu. Une phalange, puis deux et il ressort pour reprendre du lubrifiant. Curieusement, je n'ai pas de réaction négative à cette caresse. Je n'éprouve aucune douleur. Mon petit trou se détend et autorise permet une timide intrusion à ce doigt.
Je me détends. Ma rondelle accepte son index. Il entame un va-et-vient lent. Je me laisse aller. Maintenant le majeur accompagne l'index. Ensembles, ils m'ouvrent davantage. Ils se promènent dans mon petit trou du cul serré. Des bruits de succion envahissent la salle. Je ne dis plus rien. La bouche grande ouverte, je continue de sucer Blanche Neige. Le sexe du Balafré entre et sort, au rythme d'un lent métronome, luisant de ma mouille. Les deux doigts se calent inversement avec les poussées du sexe qui emplit mon vagin. Des sourires de satisfaction éclairent les visages des deux compères. J'imagine que le chef arbore le même de contentement. Mon anus interdit, il y a peu, avale sans difficulté les doigts inquisiteurs, gras de gel, occasionnant à chaque intromission, un nouveau bruit de succion. Si les premières pénétrations me procurent des gémissements, ils font place d’un ronronnement à un feulement. De plaisir ? Il faut croire que le traitement conjugué des trois hommes me procure des sensations étonnantes. Je ne peux pas me voiler la face. Mon appréhension s'efface pour laisser la place à des perceptions nettement plus agréables. Je ne me reconnais pas. Il me semble que je visionne un film porno dont je suis la vedette principale. Soudain, un vide dans mon ventre. Les doigts sont sortis entièrement, me laissant mon cul béant. Une sensation de vide me prend. Le chef tient dans sa main son chibre en main et me prévient : • Pour une première fois, j'irai tout doucement. Je te promets que tu vas adorer…Je proteste: • Non ! Je ne veux pas, vous êtes trop gros, vous allez me déchirer !
Il me répond : • Ne t'inquiète pas… tu as le cul souple…Je lui demande : • Faites doucement, c'est la première fois…Je sens le gland du chef se poser au centre de ma cible. Mon cœur bat à cent à l'heure. Une pression douce, une seconde plus ferme tente de me perforer. Puis d'un seul coup, une glissade ! Je pousse un cri de douleur ponctué d'une claque sur ma fesse et d'un : • Salope ! Ouvre-toi mieux que cela, sinon je t'éclate le cul !
La verge tendue se présente à l'orée luisante de mon étroit conduit. J'essaie de me dégager. Peine perdue, les hommes me tiennent solidement. Mais je suis sûre que, cette fois, sera la bonne. Le chef va le faire. Il n'hésitera pas. Il va rentrer en moi et il ne sera plus question de faire demi-tour. Son sexe, fin prêt à l'estocade, tendu au maximum, abondamment lubrifié, appuie sur l'œillet qui résiste à son viol. Une lente pression le fait entrer petit à petit. La verge raide, force, par petites pénétrations successives, mon anus. Elle s'introduit progressivement. J'ai mal j'ai terriblement mal. J'ai la sensation que mes entrailles se déchirent. Elle avance, lentement, sûrement mais inexorablement. L'antre sacré est violé. Je serre les fesses, opposant une forte résistance à la progression. Dans une dernière poussée, je sens le sexe forcer mes dernières résistances. Je sens mon petit trou s'ouvrir devant le gland triomphant. Il perfore mon si mignon petit cul. J'ai envie de hurler de douleur. Je me retiens de crier. Je ne dis rien. Je serre les dents. Je me laisse faire. Il est presque en place. Le chef me rentre sa pine d'un coup sec. Le gland passe, provoquant un étirement maximum de mon anneau anal. Je ne peux pas retenir un hurlement quand son membre pénètre le fond de mes entrailles. Il pousse encore et me voilà entièrement prise. Son sexe est bien serré dans mon cul. Il se met me posséder, à me limer en rythme, alternativement avec le Balafré. Je me relâche un peu, espérant un répit dans la douleur. Mais, j'en suis pour mes frais. Tout à coup, je sens le sexe entamer une sarabande infernale. Mon anus doit être complètement défoncé. Je geins. J'ai honte et je m'en veux. Je dois rester stoïque. Mais je ne comprends pas ce qui m'arrive. Je me lâche. Pas habituée à ce genre de pratique et malgré la douleur, je me détends. Je ressens une aube grandissante de plaisirs. Ensuite, je perds un peu le fil de mes pensées. Je me retrouve criant de plaisir. Les hommes coordonnent leurs mouvements pour me pénétrer. Je me tiens aux épaules du Balafré qui me suce le bout de mes seins. Je branle Blanche Neige. Ils me soulèvent par les hanches. Je suis embrochée comme une vulgaire poulette.
A travers la mince cloison de mes entrailles, je sens les allées et venues de leurs sexes dans mon vagin et dans mon cul. Les frottements des deux glands au cours de leurs croisements me procurent des vagues de bonheur. Leurs couilles cognent contre mes fesses. Je souffle de plus en plus fort essayant cependant d'étouffer la jouissance qui monte en moi. Les spasmes annonciateurs de la jouissance des deux hommes me secouent. Ils éjaculent en moi. Leurs spermes chauds se répandent en moi. Mais ils ne cessent pas leurs actions. Blanche Neige se vide une nouvelle fois sur mon visage. Mais c'est à ce moment que je décroche de la réalité. Je geins de plus en plus fort, et finis par jouir. Je parle, prononce des propos orduriers : • Oh ! Mes salauds… C'est bon... J'aime me faire enculer…Je crie mon plaisir. Puis un grand trou noir. Mon corps devint lourd. Quand je reviens sur terre, je suis allongée sur le corps du Balafré. Quel pied !
Je rends la plume à Alex.
Après avoir entendu Sandrine accepter toutes les demandes et contraintes des trois hommes, je reste sidéré. Ma Sandrine, bonne épouse et bonne mère de famille, est prête à toutes les turpitudes.
Et cela ne tarde pas !
Empalée sur un sexe bien raide, le grand noir s'approche d'elle et lui met son sexe énorme en face de la bouche. Sans qu'il ne demande quoi que ce soit, elle embouche le mandrin. Elle le cajole mettant le black dans des conditions très agréables,… pour lui mais me mettant dans les pires tourments. Mais le bouquet est quand le chef vient présenter à ses fesses, son chibre. Sandrine, qui me refuse depuis longtemps de possession de son petit trou, ne rechigne que très peu à cette pratique. Au contraire, elle se prête bien à un essai. Le chef la prépare avec un doigt. Je constate que Sandrine réagit très fort. Elle pousse des soupirs d'aise. Elle se cambre pour faciliter le massage qui se fait plus pénétrant. Elle feule quand le doigt y entre tout entier, sans difficultés apparentes. Elle manifeste de plus en plus intensément son plaisir. Soudain, le chef retire son doigt. Sandrine pousse un cri de dépit. L'homme se penche sur le dos de Sandrine et lui demande d'une voix contrefaisante l'inquiétude, à l'oreille : • Tu as mal ?
• Non… C'était tellement bon...
Sandrine ne semble pas effrayée par la suite de l'aventure. Le chef lui flatte les fesses et lui demande : • Veux-tu que je t'encule ?
Après une très courte hésitation, Sandrine répond dans un souffle : • Oui… !
Cette fois est la bonne. Elle est prête pour des jeux qu'elle refusait jusqu'à ce jour. Sollicité, l'homme se met à genoux. Elle se laisse aller, les mains de l'homme sur lequel elle est empalée, tiennent ses seins. Elle ne cesse de sucer goulûment le sexe noir. Je vois qu'elle est tendue, à l'écoute de son corps face à cette nouvelle expérience. Elle tend son cul, toute à sa découverte. J'entends le chef lui dire : • Pour une première fois, j'irai tout doucement. Je te promets que tu vas adorer…Elle lui répond : • Faites doucement, c'est la première fois…Je vois le gland de son amant se poser au centre de la cible. Il appuie légèrement. L'anus se refuse et le gland dérape dans la vallée de ses fesses. Sandrine crie de douleur. Une claque résonne sur sa fesse et accompagnée d'un : • Salope ! Ouvre-toi mieux que cela, sinon je t'éclate le cul !
A la deuxième présentation du gland, il n'y a presque pas de résistance. Le gland, une fois le seuil franchi, bouscule ses entrailles.
Il plonge dans le conduit interdit. Puis après quelques secondes de pause, il entame une sarabande. Sandrine accompagne les mouvements des trois hommes. Elle crie. De douleur ??? De plaisir ??? Elle apprécie d'être prise ainsi. Son enculeur peut encore gagner quelques centimètres. Prenant ses hanches à pleines mains, il accentue la pression pour achever la pénétration. Je vois les deux hommes s'enfoncer alternativement dans le ventre de Sandrine. Elle aime et prend son pied. Les va et viens s'accélèrent. Elle est sur un nuage. Elle est au bord de l'orgasme. Les hommes l'exhortent : • Bouge salope… Bouge ton cul ! Je vais jouir dans ton cul !
Elle s’empale sur le sexe tendu. Ses reins avalent son pieu dressé, s’enfoncent entre tes fesses. Cette vision me donne envie de prendre cette femme, ma femme de la même façon. J'ai envie d'enfoncer ma queue dans ce cul tendu, offert. Sandrine hurle sa jouissance. A cet instant je devine, je comprends ce que tu aimes. Je réalise que toi aussi tu viens de comprendre : tu aimes te faire enculer, te faire sodomiser ! Les hommes poussent au fond leur sexe pour jouir au plus profond d'elle. Le noir explose à son visage. Elle ne peut tout avaler. De longues coulées blanchâtres s'accrochent à ses joues, ses yeux, ses cheveux. Elle se laisse tomber en avant, sur le torse de l'homme. Elle est prise de spasmes. Le chef la suit dans sa chute en avant, la pénétrant encore plus.
Sandrine se redresse pour dire : • Oh ! Mes salauds… C'est bon... J'aime me faire enculer…J'en pleure de rage. Moi qui depuis notre mariage avais envie de cette pratique, Sandrine offre son cul à des inconnus. Elle me l'a toujours refusée. Aujourd'hui, elle se conduit comme une vraie pute. Moi qui rêvait de la pilonner, d'entrer dans cet orifice interdit ! Combien de fois j’ai rêvé, combien de rêves ai-je fait où elle criait, hurlait sans cesse des "Oh oui, chéri, encule-moi." ? Combien de fois me suis-je vider dans ses entrailles ? Combien de fois ai-je fait des tentatives des approches avec toujours le même refrain " Non, tu sais que je n'aime pas ça !" ? Combien de fois me suis-je juré d'arriver à mes fins ?
Le chef se retire des fesses de ma bien-aimée. Il caresse ses fesses, bien rebondies, attirantes. Puis il réveille tout le monde.
• Il est l'heure d'aller se coucher !
D'une main sur les fesses de Sandrine, il l'aide à se lever. Sandrine est maculée de sperme. Son visage, ses seins, ses fesses et ses cuisses portent des traces gluantes. Le chef la conduit vers la sortie avec un ordre précis à mon encontre : • Vérifiez qu'il ne se sauvera pas cette nuit !
Il quitte la pièce accompagnée de Sandrine. Je la vois poser ses mains sur ses fesses et écarter ses globes fessiers. Son postérieur doit la faire souffrir. Les deux autres contrôlent mes liens, éteignent la lumière et claque la porte. Je suis de nouveau seul et Sandrine entre leurs mains.
Je reprends vie. Le chef me relève avec vigueur. Il m'entraîne dehors. Je passe à côté d'Alex et n'ose le regarder. Mon anus me fait mal. J'écarte mes fesses de mes deux mains laissant l'air frais apaiser la brûlure.
De retour dans la maison, je suis conduite au premier étage. Le chef me pousse dans la chambre de ma fille. Il me fait mettre à 4 pattes en travers du lit. Quelques minutes plus tard, mes bras sont attachés aux barreaux de la tête de lit et mes jambes au pied de lit. Avec les ceintures de nos peignoirs, mes genoux sont attachés comme mes bras. Je suis écartelée, à genoux, en travers d'un lit de 90 cm. Inutile de vous dire la vue que je peux offrir à toute personne qui entre dans la pièce. Impossible de modifier ma position. J'essaie malgré tout de bouger. Le chef me prévient : • Reste comme ça ! Si cette nuit l'un de nous trois veut se vider les couilles, il faut que tu sois prête !
Une claque sur mes fesses m'invite au silence. Je trouve qu'il prend goût à me fesser à tout bout de champ. Mais je réalise, un peu contre mon gré que j'y prends un plaisir non négligeable… Il sort de la pièce et éteint la lumière. La porte reste ouverte. Ils se répartissent les tours de garde. La fatigue me gagne. Je tombe dans les bras de Morphée.
Il fait noir quand je sens des mains caresser mes fesses. Je sursaute. Qui vient profiter de mon corps ? Je ne le sais pas. La lumière reste éteinte. L'homme s'installe derrière moi. Deux doigts, puis trois pénètrent mon vagin. Dans ma position, je m'attends à être prise en levrette. Je sens les doigts bien humides de mes sécrétions et de leurs épanchements venir sur mon anus. Je comprends vite qu'il en veut à mon "petit trou". Je dis : • S'il vous plaît, pas par-là… J'ai eu trop mal tout à l'heure…La réponse est immédiate : • J'ai envie de te prendre par-là ! Tu seras à moi, comme toutes les autres "blanches"!
Je comprends qui en veut à mon petit trou du cul. Je crains qu'il ne soit plus jamais mon "petit" trou du cul. Blanche Neige va me déchirer. Je me fais chatte pour tenter de le dissuader… • Monsieur Blanche Neige, s'il vous plaît, pas par-là, vous êtes bien trop gros !
Je n'ai guère le temps de discuter plus. Il présente son gland devant mon anus. Je sens son gland appuyer. La pression s'accentue. Je pousse au maximum en essayant de me détendre. Son gland passe dans mon anus. Il se dilate et je sens son mandrin continuer à violer ma rondelle. La progression se fait lentement mais sûrement. Mon anus baille progressivement mais ça ne semble pas suffisant. La douleur arrive. Je pousse comme pour aller à la selle. Je commence à avoir mal et le gland n'est toujours pas passé. Blanche Neige maintient la pression, Et d'un seul coup, mon anus cède. Je sens mon anus aspirer le gland avec une brève douleur. Il s'est installé en moi, triomphant. J'ai l'impression d'être écartelée, à la limite de la déchirure. Doucement, la douleur disparaît. Mon anus s'habitue à cette intrusion. Que m'arrive-t-il ? Inconsciemment, mon corps me joue un tour horrible. Je me surprends à aller à la rencontre de son sexe en reculant mon postérieur. Blanche Neige ne se pose pas de questions. Il pousse plus fort. J'ai bientôt tout son sexe en moi, me dilatant encore plus. Il m'empale à fond d'une longue poussée. Et d’un violent coup de reins, il m’encule jusqu’au fond, faisant disparaître son sexe entre mes fesses. Je me crispe quand il enfonce à fond son sexe dans mes reins. Mon anus se resserre autour de son sexe. Il ne bouge pas pendant quelques instants. Il commence à aller et venir entre mes reins. Il me fouille de plus en plus régulièrement, de plus en plus profondément. J'ai son pieu planté dans mes fesses, allant et venant dans mon trou dilaté et béant.
Je m'imagine la scène : une femme, à quatre pattes, un sexe noir énorme fiché entre ses fesses qu'un homme pilonne durement, tantôt lentement, tantôt violemment. Il me laboure de puissants coups de reins qui m'arrachent des cris. Je constate, non sans effroi, que ces cris sont plus de plaisir que de douleur ! Ses couilles battent sur mes grandes lèvres déjà malmenées par les assauts précédents. Les va et vient puissants me pistonnent. Je jouis, impudique, sous le sexe de ce Noir énorme. Un orgasme dévastateur m'emporte. Il retire presque son sexe de mon cul. Il replonge encore plus fort en moi. Un violent désir semble animer Blanche Neige. Il veut me faire sentir son sexe dur dans mes reins. Il cherche à me faire mal. Mais je me surprends à aimer cette virilité dans ses mouvements. Les battements de sa queue annoncent la jouissance imminente. Ses couilles se vident en moi, au fond de mes intestins. Il reste collé à mes fesses pendant quelques minutes, le temps de reprendre son souffle. Une vive claque sur les fesses me signale la fin de cette partie. Blanche Neige me dit avec un rire dans la voix : • Tu fais partie de la longue liste des blanches que j'ai matées !
Il se libère de moi et va se laver dans la salle de bains. Je reste ainsi, offerte et souillée. Aujourd'hui est un grand jour ! Par deux fois, je me suis fait prendre par le cul. Sodomisée, moi qui refusais cette pratique que je considérais comme sale, je me suis laissée prendre. Mon anus a connu la bite, la queue. Honteusement, j'admets que je viens de prendre un vil plaisir à la sodomie faite par Blanche Neige. Je regrette de ne pas pouvoir me voir prise ainsi. Un plaisir et un désir indescriptibles m'envahissent. Je me vois dans ces scènes sexuelles et bestiales.
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