Les jeunes filles du Parking - Sarah et Lilou

- Par l'auteur HDS FreeSnap_Dan -
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Récit libertin : Les jeunes filles du Parking - Sarah et Lilou Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2022 dans la catégorie Plus on est
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Les jeunes filles du Parking - Sarah et Lilou
Bonjour, je m'appelle Dan, j'ai entre 20 et 25 ans, je suis amené à beaucoup voyagé et j'aime faire de nouvelles rencontres dans le monde entier. Je vais vous raconter ma rencontre avec Sarah, étudiante de 19 ans en Fac d'histoire et Lilou 18 ans, aujourd'hui déscolarisée.

Les deux jeunes filles marchaient le long du parking. Elles avaient l'insouciance du jeune âge et flânaient sans but. La première était petite, arborait une coloration blond platine avec des mèches qui glissaient sur ses joues, marquées de deux fossettes proéminentes. Elle portait un short en cuir noir, effet latex et une veste en jean de mauvaise fabrique, entrouverte au dessus d'un débardeur blanc. L'autre, la peau plus foncée, plus élancée, était d'origine hispanique, elle portait une chemise d'un vert élégant, nouée au dessus de la ceinture d'un pantalon camel en coton. Les deux amies n'étaient pas les plus jolies filles du quartier mais dégageaient une aura excitante : comme l'allégorie de deux opposés, l'une un peu pétasse avec sa coloration et son short trop court, l'autre timide, à l'air plus posé, plus sage. Elles avaient un air de classe populaire, et semblaient s'ennuyer, marchant sans but autour de la grande surface, loins de leur petits amis ou de leur famille. De mon côté je venais de finir mes quelques achats, et était retourné près de ma voiture, déjà pleine à craquer avant le départ. J'étais sur le point de partir et en les voyant je m'étais mis à fantasmer, la plus timide était assez mignonne, avec des cheveux longs, un air latin, et on lui devinait un fessier bien proportionné. La seconde fille, semblait plus accessible, ça n'était pas mon style avec son haut blanc marqué d'une impression américaine, et son short qui serrait ses cuisses. Mais elle avait des lèvres pulpeuses, et l'on devinait aisément une poitrine opulente sous sa veste. Les deux attisaient en moi une excitation sauvage, et en rangeant ma voiture, je ne pu pas m'empêcher de masser mon entre-jambe, déjà gonflée par des idées éphémères. Après avoir démarré, je fit un ou deux tours du parking et ne pu me résigner : je redescendait à leur hauteur, les saluait rapidement en entamant une brève conversation. Elles étaient en première année de licence d'histoire, toutes deux redoublantes, et avait fait quelques achats pour une soirée d'intégration. Je leur ai raconté que j'étais de passage et j'ai posé quelques questions sur le quartier pour maintenir la conversation, leur timidité s'est vite envolée, remplacée par une tentative de drague un peu maladroite, annonçant leur intérêt aussi bien que leur immaturité. Je les taquinait un petit peu en jouant sur la compétition entre les deux, je leur avouait les avoir maté et flattait leurs courbes à chacune. La brune était un peu gênée, rougissait en souriant, mais Lilou, la blonde jouait les chaudasse et n'hésitait pas à se retourner ou à relever sa veste pour mieux se montrer, dévoilant quelques tatouages au passage et me complimentant en retour. C'est de cet engouement et en écoutant son langage cru que j'osais m'aventurer à une proposition plus indécente : Je leur ai demandé si elles étaient prêtes à me sucer, là, sur le parking ? Je ne me rappelle plus de tous les détails, mais cette proposition leur a fait beaucoup d'effet, de la gêne et de la surprise, de l'appréhension quand elles ont regardé tout autour d'elles pour chercher d'éventuels témoin et des petits rires en demi teinte. Cependant elle me suivirent quand je les guidais à l'abri des regards, derrière le paravent d'une station essence abandonnée. De plus près, j'ai pu reluquer les deux drôlesses, bien qu'elles m'aient affirmé être en faculté, elles paraissaient peu sérieuses, mais elles étaient vraiment bandantes. La blonde, souriait bêtement, mais un vrai air de salope éclairait son visage. C'est elle qui se rapprochait le plus, en tirant par la main son ami espagnole. Cette dernière, timide, me jetait des regards intrigués, elle avait l'air apeurée, mais je sentais son regard briller d'excitation. Elle ne devait pas avoir eu beaucoup de copains, semblait inexpérimenté au possible, mais elle était vraiment jolie, avec des yeux noirs, profonds, de beaux cheveux ondulés, et un sourire expressif. Son corps moins exubérant que celui de sa camarade, était cependant fort désirable. En les guidant un peu plus à l'ombre je passais ma main sous sa chemise. Mes phalanges rugueuses couvrant presque tout son dos, glissèrent le long de son soutif. Elle souriait d'un regard crispé, et je sentais que je lui faisais passer un cap important. Cela m'enivrait mais je n'hésitais pas bien longtemps pour me décider à ravir cette innocence. Je les laissais là, se préparer, et j'allais chercher ma voiture que je stationais à l'ombre sur un carré de pelouse. Là je m'asseyais sur le siège conducteur les deux jambes à l'extérieur de l'habitacle, et je commençais à déboutonner ma ceinture en fixant la jeune hispanique. D'un commun accord du regard c'est la blonde qui est venu m'aider à me libérer de ma braguette et à baisser mon jean, j'étais mort d'excitation quand ses mains agrippèrent mon caleçon pour m'en délivrer. Ma queue, dans la chaleur de l'été et dans l'improvisation de la situation, était à peine durcie et je la saisis pour faire un ou deux allers-retours entre mes mains, sous le regard intéressé des deux copines. Il ne fallut pas longtemps à mon excitation pour me faire retrouver ma taille maximale devant les yeux affamés des camarades. Je frémis de plaisir quand les mains de la blonde prirent le relais et qu'elle commença des mouvements masturbatoires devant la timide Sarah. Elle faisait des va-et-vient longs, de la base jusqu'au bout de mon appendice, la bouche entrouverte laissant échapper son souffle tiède contre ma peau, je profitais de l'instant, et je lui passais la main dans les cheveux, la caressant doucement, prenant le temps. Comme j'exerçais une pression douce sur sa tête elle se rapprochait. Soudain elle me murmura qu'elle fêtait tout juste ses 18 ans et qu'elle n'était plus vraiment a la fac et ses lèvres entrèrent en contact avec mon gland, puis elle le baisa, le décalotta et le fit glisser sur sa langue. Elle commença à le laisser entrer dans sa bouche, entamant des va-et-vient. Mon souffle se fît rauque, ma main descendit doucement vers son sein gauche que je soupesait et malaxait. Elle accéléra alors le rythme en laissant échapper un gémissement à chaque respiration. Sa langue glissait le long de mon chibre, frôlant mes couilles. J'étais en extase et je me laissait même aller à la traiter de salope, glissant ma main derrière ses cheveux et la tirant en avant pour l'appuyer contre mon sexe. La bonne suceuse qu'était Lilou se laissait faire et gobait mon sexe plus profondément encore, jusqu'à avoir la totalité de ma queue qui disparaissait dans sa bouche et sa gorge. Plus le rythme s'accélérait plus la coquine était bruyante, les bruits de succion étaient incroyable et on entendait ma queue s'encastrer au fond de sa gorge quand elle me prenait entièrement. La mignonne était plutôt douée, je bandais si fort, mais ce que je voyais, c'était Sarah, assise sur les genoux, avec les mains sur les cuisses qui contemplait le spectacle. Sa pote m'avait dit qu'elle avait un copain mais qu'elle n'avait jamais sucé et je mourrai d'envie d'essayer sa bouche pulpeuse. Après que Lilou ait repris sa respiration et ai laissé ma queue s'échapper en dehors de sa bouche je la repoussait gentilement en arrière pour inviter Sarah à la relayer. Je la caressais doucement, comme un petit animal, ses yeux étaient vraiment expressif, d'un brun profond et intense, je la laissais prendre son temps avant de s'avancer, elle essuya doucement ma queue dans un chiffon humide, caressant mon gland du bout du pouce avant de le poser sur sa lèvre inférieure, devant sa bouche entre ouverte tout en me fixant des yeux. Ce tableau, et son regard timide m'excita énormément, et après un certain temps de réflexion, dès qu'elle eu commencé à glisser ma queue entre ses lèvres je fit passer mes mains dans ses cheveux, et j'appuyais sa tête contre moi pour la forcer à me prendre au plus profond de sa gorge. La pauvre posa ses mains sur mes genoux pour se retenir de tomber, et semblait appeler sa cadette à l'aide. J'attendis qu'elle s'habitue et la laissait prendre une respiration. Après ce moment d'extase passé je la laissait s'affairer sur mon sexe... Voir ma queue sucée par ce visage angélique me rendait fou.. Je la stoppais quand je sentis m'a jouissance pointer. Je lui proposait alors de finir et lui demandait si je pouvais jouir dans sa bouche. Elle acquiesça en hochant la tête, essuyant le coin de ses lèvres. J'entamais donc une succession de coups de rein, en lui maintenant les cheveux et en m'enfonçant dans sa bouche innocente. Je la prenais carrément et sa copine profitait simplement du spectacle en se touchant les seins et l'entrejambe en nous regardant. Sa compagne se trémoussant pendant que je violentais sa bouche, de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément. Mon excitation était grandissante et je ne tardais pas à jouir, en la maintenant au plus proche de moi, son nez écrasé contre mon pubis, ses lèvres grande ouverte englobant mon sexe tandis que ma queue bloquait sa respiration. J'ai joui plus que de raison, tapissant son palais de mon foutre et la faisant tousser en retirant ma queue. Son visage basané était tout rougi, elle toussota et cracha pendant quelques secondes, souillant sa chemise avec mon foutre. Son amie lui nettoya le visage en la tenant par les cheveux, et l'aida à s'allonger sur le sol, je matais les deux jeunes filles, admirant le cul de la métisse. Je n'avais qu'une idée en tête, attendre qu'elle se remette de ses émotions pour me proposer à satisfaire son corps d'étudiante. Mais il était déjà tard et je devais partir, je laissais là mes idées salacieuses, assénant une claque sur ses jolies fesses rebondies, donnait mon Snapchat à Lilou et reprenait le volant pour entamer mon voyage. Dans les rues de ma nouvelle ville je croisais d'innombrables jeune fille en t-shirt blanc dans des jeans trop serrés, moulant des fesses somptueuses et laissant transparaître des corps fermes et je ne pu m'empêcher d'imaginer mes prochaines aventures. Quelques kilomètres plus loin une notification attira mon regard, une jeune hispanique venait de s'abonner à mon Snap..

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Texte coquin : Les jeunes filles du Parking - Sarah et Lilou
Histoire sexe : Une rose rouge
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