Timide mais coquine, une soirée d'intégration tourne a l'infidélité - Manon D.
Récit érotique écrit par FreeSnap_Dan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Timide mais coquine, une soirée d'intégration tourne a l'infidélité - Manon D.
Bonjour je m'appelle dan , j'ai la vingtaine et je suis étudiant. Aujourd'hui je vais vous raconter comment j'ai rencontré une de mes camarades, Manon D., 20 ans, et comment j'ai ravi sa fidélité. A la fac nous échangions quelques regards et sourires, mais son caractère réservé m'avait empêché de faire sa connaissance.
Tout commence en octobre, la première année de licence vient de commencer. Nous avons déjà fait quelques soirées, dans le but de rencontrer les camarades de classe avec qui nous allons passer ces trois années. Dans mon groupe de TD, il y a bien deux ou trois jeunes filles qui me plaisent, mais il est rare de les voir participer à nos petits événements. Ce soir là cependant, Manon a décidé de nous rejoindre. Accompagnée de sa meilleure amie, elle est très timide, mais laisse percevoir de nombreux sourires. Je ne lui ai presque jamais adressé la parole, mais j'ai entendu dire qu'elle avait un petit ami qui vivait actuellement à l'étranger. Elle a les cheveux châtains, très clairs, presque blonds. Elle a aussi des fossettes très marquées, et un ravissant sourire que je n'ai eu cesse d'admirer au cours de notre petite soirée. Son corps est incroyable, sa taille est très fine, et même si elle porte des habits communs l'on devine de jolies fesses bien ferme et des jambes élancées. Il m'arrivait régulièrement de me surprendre entrain de la mater entre deux amphis. Elle porte parfois un petit décolleté, et sa peau de miel laisse entrevoir des petits seins bien proportionné, que je ne peux m'empêcher d'imaginer : moelleux et pointés au dessus de son ventre plat. Son regard cerné par des boucles ondulées me faisait chavirer, elle avait les yeux clairs et elle m'écoutait avec attention, laissant parfois échapper un rire discret mais craquant durant nos discussions.
La soirée battait son plein et même si j'avais réussi à suivre Manon quand les groupes s'étaient éparpillés je décidais de prendre congé au vu de l'heure tardive. Elle nous salua et pris la direction du centre ville avec deux camarades. En remontant du bar vers ma voiture je ne me doutais pas que la soirée n'en était qu'à son début : mais les camions de pompiers en travers de la route m'alertèrent bien vite. Une fuite de gaz avait été découverte et deux véhicules de la caserne voisine barraient la route juste de part et d'autre de mon automobile. Avec les rares passants nous attendîmes de longues minutes et je prévint mes camarades de la situation. Quand j'appris que ces derniers s'étaient réunis dans le petit appartement de Manon pour un dernier verre je changeais d'avis. Si ma voiture était bloquée autant en profiter : je fis marche arrière et me laissait guider vers cette occasion. Une fois arrivé j'ai sonné à l'interphone, l'on m'ouvrit et je découvrait un appartement cozy avec un lit double paré d'une couette blanche façon peluche, très féminine où je m'assit face au canapé ou se tenait deux connaissances, Manon à ma gauche me servit un verre de vin blanc. L'appart était très girly avec des peluches et coussins de toutes les tailles dans des notes de blanc et rose. La soirée continua un peu, et je bus plus que de raison, développant une bonne complicité avec notre hôte qui semblait perdre la timidité qu'elle arborait quotidiennement. Manon me servait encore, allant jusqu'à finir la bouteille dans mon verre en souriant avant de nous proposer de nous ramener. Elle avait une belle voiture dans laquelle nous montâmes tous, et après avoir déposés nos compères elle me guida à ma voiture, toujours stationnée en ville. Profitant de notre proximité et de ce soudain isolement je tentais le tout pour le tout et, mon coeur s'emballant, je posais la main sur sa cuisse, lui avouant avoir trop bu pour prendre la voiture ce soir.
Une petite pause, un sourire gêné, et ma main toujours sur sa cuisse et enfin le soulagement : elle me proposa de dormir chez elle pour cette nuit, mais je devrais me lever tôt car elle serait en visio avec son mec le lendemain. Quelques minutes plus tard, nous montions les escaliers de sa résidence, je matais sans discrétion ses fesses à hauteur de mes yeux, mon désir devenant de plus en plus palpable. Je marchais derrière elle, je sentais ses effluves de parfum et d'alcool, et je me tenais trop proche quand elle ouvrit la porte de son studio. Je la pris par la taille, quand elle refermait sa porte et je l'ai guidé contre le comptoir de sa cuisine. Je me suis plaqué derrière elle, mes mains glissant sur son ventre et mes lèvres impatientes cherchant son cou et des joues entre les mèches de cheveux. Comme je la pressais contre le marbre blanc elle laissait échapper des petits gémissements de surprise ou d'excitation qui m'enivrait autant que son odeur et sa douceur. Mes mains parcouraient son corps : son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses bras et ses épaules étaient sans cesse sollicités tandis qu'elle se penchait en avant en cherchant à se retourner. Son fessier se collait contre mon sexe et dans l'excitation ma main enserra doucement son petit sein que j'épargnais jusqu'alors, un délice de courbes et de mollesse s'offrait à moi et tout mon corps y répondait, j'étais brûlant, haletant et déjà dur comme le roc. Ses mains me repoussèrent delicatement, enserrant mon bras qui la plottait. Elle se retourna doucement, frottant son corps contre le mien. Son visage était rouge, elle haletait et gémissait d'excitation, je l'avais surprise et ça lui avait plu. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau moite sentait encore le bonbon, je la maintenais contre moi en plaquant une main dans toute la largeur de son dos, l'autre repoussait ses cheveux pour me permettre de baiser son cou et ses joues moelleuses couleur ambre. Elle était si fine, si belle, si distinguée et je mourrais d'envie de la pilonner sur son lit de princesse. Je la contemplais et l'embrassais alors, langoureusement, goûtant avidement ses lèvres, sa langue, sa bouche. Ses mains passaient sur mes fesses, sur mon dos, dans mes cheveux et je me contentait de serrer son cul rebondi ou de masser la base de son cou. Elle m'aida ensuite à me débarrasser de ma chemise, tout en massant mon entre-jambe qui gonflait ma braguette. Elle était si douce, et embrassait chaque partie qu'elle dénudait, le cou, les épaules, les côtés du bras puis le torse, les côtes et le nombril. Je jouais avec ses cheveux que j'empoignais tandis qu'elle s'agenouillait, débouclant ma ceinture qui lui gifla les joues. Je pris le temps d'enjamber mon pantalon, de défaire mes chaussettes et plus lentement encore mon caleçon. Ma queue s'était déroulée et était tombé contre le bas de son visage. Moi qui tenait encore fermement ses cheveux, j'en profitais pour la faire glisser contre mon sexe que je tenais à pleine mains. Elle pris les devant et me branla a deux reprises, frottant mon gland contre ses joues et lèvres entrouvertes, tirant sur son décolleté pour me laisser entrevoir la beauté de ses seins. Manon était avant tout une fille timide et fidèle, jusqu'à ce soir là je ne la suspectait pas d'être aussi douée : elle lécha le pourtour de mon gland et fit coulisser ma bite parallèlement à ses lèvres, de bas en haut, toujours a l'extérieur. Sa langue courait le long de mes veines, glissait sur mes bourses gonflées et titillait mon gland. Elle le fit passer sous sa joue, qu'il déforma le temps d'un clin d'œil qu'elle me fit, tout sourire. Puis elle entama ses va-et-viens sur mon sexe, l'entourant de sa langue durant les allers, serrant ma queue entre ses lèvres et aspirant du mieux possible sur les retours. Elle était magnifique et se donnait comme une diablesse, je me tenais au comptoir en grimaçant de plaisir et en gémissant comme jamais. Ses mains malaxaient mes boules et serraient la partie de ma queue qui dépassait de sa bouche, elle me branlait parfois, ses doigts rejoint par ses lèvres dans un mouvement circulaire jusqu'à la base de ma hampe. De temps en temps elle laissait ma queue libre, et elle embrassait mes cuisse tandis que mon sexe humide frottait sur ses joues et sa gorge. Elle en profitait pour déboutonner son chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle rouge clair, apparition qui me stimulait d'autant plus qu'elle accélérait ses va-et-viens. Manon se mit à me sucer plus frénétiquement, elle agrippait mes fesses fermes et essayait sans succès de prendre toute ma queue en elle. Je ne pu m'empêcher de l'accompagner de quelques mouvements du bassin, la plaquant contre le comptoir, baisant son visage angélique en écoutant le clapotis de ma queue pénétrant sa gorge. Je grognai en sentant venir ma jouissance et elle sembla me pressentir, libérant mon sexe, mais mon éjaculation se fît brusque et forte, je ne pu retenir les salves de foutre qui giclèrent sur son menton et son cou, sur son décolleté et ses vêtements, puis la troisième qui coula pathétiquement sur le sol.
Son visage rougi encore et elle fuit dans la salle de bain chercher de quoi nettoyer. Elle essuya son visage souillé et se débarrassa de son chemisier, se mis à quatre pattes pour essuyer mon foutre et je la contemplais, cambrée, essoufflée, bandante. Je passais ma main contre sa raie des fesses et passant par l'entrejambe, elle avait encore son jean mais je sentais sa chaleur et sa moiteur. Ma queue pendait mollement mais il ne faudrait pas longtemps pour que cette allumeuse la réveille. Je prenais son tel tandis qu'elle rangeait un peu, je me connectais sur son Snap et je m'envoyais une photo d'elle à genoux, en soutif rouge. Elle joua le jeu en m'offrant un regard de salope, la bouche entrouverte avec un reste de sperme sur le coin des lèvres. Elle vint me rejoindre sur le lit où nous nous embrassâmes tendrement, maintenant que je l'avais ajoutée elle me promit de me partager les Snap qu'elle envoyait a son petit ami. Sa main enserrait mon sexe et son air inquisiteur annonçait une nuit de rêve.
Tout commence en octobre, la première année de licence vient de commencer. Nous avons déjà fait quelques soirées, dans le but de rencontrer les camarades de classe avec qui nous allons passer ces trois années. Dans mon groupe de TD, il y a bien deux ou trois jeunes filles qui me plaisent, mais il est rare de les voir participer à nos petits événements. Ce soir là cependant, Manon a décidé de nous rejoindre. Accompagnée de sa meilleure amie, elle est très timide, mais laisse percevoir de nombreux sourires. Je ne lui ai presque jamais adressé la parole, mais j'ai entendu dire qu'elle avait un petit ami qui vivait actuellement à l'étranger. Elle a les cheveux châtains, très clairs, presque blonds. Elle a aussi des fossettes très marquées, et un ravissant sourire que je n'ai eu cesse d'admirer au cours de notre petite soirée. Son corps est incroyable, sa taille est très fine, et même si elle porte des habits communs l'on devine de jolies fesses bien ferme et des jambes élancées. Il m'arrivait régulièrement de me surprendre entrain de la mater entre deux amphis. Elle porte parfois un petit décolleté, et sa peau de miel laisse entrevoir des petits seins bien proportionné, que je ne peux m'empêcher d'imaginer : moelleux et pointés au dessus de son ventre plat. Son regard cerné par des boucles ondulées me faisait chavirer, elle avait les yeux clairs et elle m'écoutait avec attention, laissant parfois échapper un rire discret mais craquant durant nos discussions.
La soirée battait son plein et même si j'avais réussi à suivre Manon quand les groupes s'étaient éparpillés je décidais de prendre congé au vu de l'heure tardive. Elle nous salua et pris la direction du centre ville avec deux camarades. En remontant du bar vers ma voiture je ne me doutais pas que la soirée n'en était qu'à son début : mais les camions de pompiers en travers de la route m'alertèrent bien vite. Une fuite de gaz avait été découverte et deux véhicules de la caserne voisine barraient la route juste de part et d'autre de mon automobile. Avec les rares passants nous attendîmes de longues minutes et je prévint mes camarades de la situation. Quand j'appris que ces derniers s'étaient réunis dans le petit appartement de Manon pour un dernier verre je changeais d'avis. Si ma voiture était bloquée autant en profiter : je fis marche arrière et me laissait guider vers cette occasion. Une fois arrivé j'ai sonné à l'interphone, l'on m'ouvrit et je découvrait un appartement cozy avec un lit double paré d'une couette blanche façon peluche, très féminine où je m'assit face au canapé ou se tenait deux connaissances, Manon à ma gauche me servit un verre de vin blanc. L'appart était très girly avec des peluches et coussins de toutes les tailles dans des notes de blanc et rose. La soirée continua un peu, et je bus plus que de raison, développant une bonne complicité avec notre hôte qui semblait perdre la timidité qu'elle arborait quotidiennement. Manon me servait encore, allant jusqu'à finir la bouteille dans mon verre en souriant avant de nous proposer de nous ramener. Elle avait une belle voiture dans laquelle nous montâmes tous, et après avoir déposés nos compères elle me guida à ma voiture, toujours stationnée en ville. Profitant de notre proximité et de ce soudain isolement je tentais le tout pour le tout et, mon coeur s'emballant, je posais la main sur sa cuisse, lui avouant avoir trop bu pour prendre la voiture ce soir.
Une petite pause, un sourire gêné, et ma main toujours sur sa cuisse et enfin le soulagement : elle me proposa de dormir chez elle pour cette nuit, mais je devrais me lever tôt car elle serait en visio avec son mec le lendemain. Quelques minutes plus tard, nous montions les escaliers de sa résidence, je matais sans discrétion ses fesses à hauteur de mes yeux, mon désir devenant de plus en plus palpable. Je marchais derrière elle, je sentais ses effluves de parfum et d'alcool, et je me tenais trop proche quand elle ouvrit la porte de son studio. Je la pris par la taille, quand elle refermait sa porte et je l'ai guidé contre le comptoir de sa cuisine. Je me suis plaqué derrière elle, mes mains glissant sur son ventre et mes lèvres impatientes cherchant son cou et des joues entre les mèches de cheveux. Comme je la pressais contre le marbre blanc elle laissait échapper des petits gémissements de surprise ou d'excitation qui m'enivrait autant que son odeur et sa douceur. Mes mains parcouraient son corps : son ventre, ses hanches, ses cuisses, ses bras et ses épaules étaient sans cesse sollicités tandis qu'elle se penchait en avant en cherchant à se retourner. Son fessier se collait contre mon sexe et dans l'excitation ma main enserra doucement son petit sein que j'épargnais jusqu'alors, un délice de courbes et de mollesse s'offrait à moi et tout mon corps y répondait, j'étais brûlant, haletant et déjà dur comme le roc. Ses mains me repoussèrent delicatement, enserrant mon bras qui la plottait. Elle se retourna doucement, frottant son corps contre le mien. Son visage était rouge, elle haletait et gémissait d'excitation, je l'avais surprise et ça lui avait plu. Ses cheveux étaient ébouriffés, sa peau moite sentait encore le bonbon, je la maintenais contre moi en plaquant une main dans toute la largeur de son dos, l'autre repoussait ses cheveux pour me permettre de baiser son cou et ses joues moelleuses couleur ambre. Elle était si fine, si belle, si distinguée et je mourrais d'envie de la pilonner sur son lit de princesse. Je la contemplais et l'embrassais alors, langoureusement, goûtant avidement ses lèvres, sa langue, sa bouche. Ses mains passaient sur mes fesses, sur mon dos, dans mes cheveux et je me contentait de serrer son cul rebondi ou de masser la base de son cou. Elle m'aida ensuite à me débarrasser de ma chemise, tout en massant mon entre-jambe qui gonflait ma braguette. Elle était si douce, et embrassait chaque partie qu'elle dénudait, le cou, les épaules, les côtés du bras puis le torse, les côtes et le nombril. Je jouais avec ses cheveux que j'empoignais tandis qu'elle s'agenouillait, débouclant ma ceinture qui lui gifla les joues. Je pris le temps d'enjamber mon pantalon, de défaire mes chaussettes et plus lentement encore mon caleçon. Ma queue s'était déroulée et était tombé contre le bas de son visage. Moi qui tenait encore fermement ses cheveux, j'en profitais pour la faire glisser contre mon sexe que je tenais à pleine mains. Elle pris les devant et me branla a deux reprises, frottant mon gland contre ses joues et lèvres entrouvertes, tirant sur son décolleté pour me laisser entrevoir la beauté de ses seins. Manon était avant tout une fille timide et fidèle, jusqu'à ce soir là je ne la suspectait pas d'être aussi douée : elle lécha le pourtour de mon gland et fit coulisser ma bite parallèlement à ses lèvres, de bas en haut, toujours a l'extérieur. Sa langue courait le long de mes veines, glissait sur mes bourses gonflées et titillait mon gland. Elle le fit passer sous sa joue, qu'il déforma le temps d'un clin d'œil qu'elle me fit, tout sourire. Puis elle entama ses va-et-viens sur mon sexe, l'entourant de sa langue durant les allers, serrant ma queue entre ses lèvres et aspirant du mieux possible sur les retours. Elle était magnifique et se donnait comme une diablesse, je me tenais au comptoir en grimaçant de plaisir et en gémissant comme jamais. Ses mains malaxaient mes boules et serraient la partie de ma queue qui dépassait de sa bouche, elle me branlait parfois, ses doigts rejoint par ses lèvres dans un mouvement circulaire jusqu'à la base de ma hampe. De temps en temps elle laissait ma queue libre, et elle embrassait mes cuisse tandis que mon sexe humide frottait sur ses joues et sa gorge. Elle en profitait pour déboutonner son chemisier, laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle rouge clair, apparition qui me stimulait d'autant plus qu'elle accélérait ses va-et-viens. Manon se mit à me sucer plus frénétiquement, elle agrippait mes fesses fermes et essayait sans succès de prendre toute ma queue en elle. Je ne pu m'empêcher de l'accompagner de quelques mouvements du bassin, la plaquant contre le comptoir, baisant son visage angélique en écoutant le clapotis de ma queue pénétrant sa gorge. Je grognai en sentant venir ma jouissance et elle sembla me pressentir, libérant mon sexe, mais mon éjaculation se fît brusque et forte, je ne pu retenir les salves de foutre qui giclèrent sur son menton et son cou, sur son décolleté et ses vêtements, puis la troisième qui coula pathétiquement sur le sol.
Son visage rougi encore et elle fuit dans la salle de bain chercher de quoi nettoyer. Elle essuya son visage souillé et se débarrassa de son chemisier, se mis à quatre pattes pour essuyer mon foutre et je la contemplais, cambrée, essoufflée, bandante. Je passais ma main contre sa raie des fesses et passant par l'entrejambe, elle avait encore son jean mais je sentais sa chaleur et sa moiteur. Ma queue pendait mollement mais il ne faudrait pas longtemps pour que cette allumeuse la réveille. Je prenais son tel tandis qu'elle rangeait un peu, je me connectais sur son Snap et je m'envoyais une photo d'elle à genoux, en soutif rouge. Elle joua le jeu en m'offrant un regard de salope, la bouche entrouverte avec un reste de sperme sur le coin des lèvres. Elle vint me rejoindre sur le lit où nous nous embrassâmes tendrement, maintenant que je l'avais ajoutée elle me promit de me partager les Snap qu'elle envoyait a son petit ami. Sa main enserrait mon sexe et son air inquisiteur annonçait une nuit de rêve.
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