Les jeunes hommes
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2019 dans la catégorie Plus on est
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Les jeunes hommes
Les jeunes hommes
Deux mois s’étaient écoulés depuis cette soirée d’automne d’inauguration de la maison des associations. Au cours de cette soirée, Judith avait été entrainée, avec son amie Clotilde, chez l’artisan Jacques Rocier, un quinquagénaire rustre et sans éducation, mais possédant un sexe hors du commun et un coup de rein dévastateur. Après avoir honoré les deux amies, Rocier les avait déposées sans un mot sur le parking municipal. La jouissance de Judith avait été brutale et intense, et à chaque fois qu’elle y repensait, elle ressentait un mélange de honte et de désir.
Ce jour-là, regardant par-dessus son comptoir, elle vit Roncier s’entretenir avec son mari. Celui-ci était boulanger, et se couchait tôt pour se relever vers trois heures. Les soirées de Judith étaient ainsi souvent un peu tristes, passées devant la télévision. Les deux hommes se séparèrent, et Roncier, devenu client de la boulangerie, entra dans la boutique, vide à ce moment présent. « Salut chérie, bon, tu peux commencer à te préparer, je t’invite pour une grande soirée baise avec ta copine. Putain, ce que vous m’excitez toutes les deux, t’as pas idée. Et tu connais la règle, pas de culotte quand on vient voir le beau Jacques. Ah, et j’ai l’accord de ton mari. Vendredi 20 heures chez moi. Et t’inquiète, ton mari est d’accord. Et soyez à l’heure, je te laisse prévenir ta bonne copine. J’en bande déjà. ». Joignant le geste à la parole, après avoir vérifié que personne ne pouvait le voir, il déboutonna son jean et le tira vers le bas, dévoilant son sexe en semi-érection. Cette vision déclencha un frisson chez la jeune femme. « Allez salut ! et lave toi le cul ! ».
Le soir, le mari de Judith lui raconta qu’il avait rencontré Jacques Roncier, qui lui avait demandé s’il pouvait inviter sa femme à une réunion de projet de création d’une association de fleurissement de la ville, association qui avait bien besoin d’une touche féminine. D’ailleurs Clotilde, l’infirmière, avait déjà répondu favorablement, les deux femmes iraient ensemble. « Ça te fera du bien de sortir, de t’amuser un peu. Je sais que ce n’est pas drôle pour toi avec mes horaires. Et comme jeudi on a une réunion régionale du syndicat, je crois que je me coucherai encore plus tôt ».
Judith était atterrée par la manigance de Rocier qui avait raconté cet énorme baratin à son mari qui n’y avait vu que du feu. Le lendemain matin, profitant d’un moment de calme, laissant la surveillance de la boulangerie à son apprentie, elle sortit et appela Clotilde pour la mettre au courant du projet.
J’étais en train de me laver les mains après avoir fait la toilette de la vieille Jeanne quand mon téléphone sonna. Le nom de Judith s’afficha. « Clo, je ne te dérange pas ? » « Non, qu’est-ce qui se passe ? ». C’est ainsi que j’appris l’étrange invitation, le faux prétexte. J’avais croisé Rocier une fois depuis la fameuse soirée, quand il était venu régler ses derniers soins qu’il me devait depuis un certain temps. Il était passé au cabinet un soir, avait jeté quelques billets sur le bureau. Il portait un bleu de travail. Il me regarda avec un sourire pervers. « Tu vas me rendre la monnaie. En nature. Il tira sur sa fermeture éclair qu’il abaissa entièrement, et dégagea ses épaules, faisant glisser la combinaison. En dehors d’un marcel blanc, il était nu sous son bleu, et sa verge se redressait déjà. Il se pencha en avant, saisit le bas de mon pull et le fit passer par-dessus ma tête. Mon soutien-gorge rejoignit le pull sur le bureau. Il empoigna mes seins sans ménagement, déclenchant un mélange de douleur et de plaisir. Je sentais que mon sexe devenait humide. Je me levais, et fis glisser mon pantalon et ma culotte. Comme à chaque fois, le « miracle » se produisit, je mouillais comme une folle, tous les sens en alerte, mon corps réclamant la joute animale et la délivrance.
Il me poussa sur le bureau, écartant les papiers et le clavier de l’ordinateur, m’allongea sur le dos, releva mes jambes et m’enfourcha d’un trait. Sa verge était tendue, grosse, longue et épaisse, mais comme à chaque fois, il trouvait son chemin sans difficulté. Il me laboura sans fioriture, s’enfonçant au fond de moi, me fixant dans les yeux pour guetter ma jouissance. Elle vint brutalement. Il accéléra, se retira et éjacula sur mon torse, les jets de foutre coulant le long de mes seins. Il se rhabilla et me gratifia d’un « Salut poupée. A la prochaine ».
Ainsi est ma relation avec cet homme. Du sexe, uniquement du sexe, mais qui me transporte à chaque fois. C’est une machine à jouir….
Vendredi, à 19 h 45, Judith vient me chercher avec sa voiture. Pour l’occasion, elle a mis une jupe noire très courte, des bas de couleur chair dont on voit distinctement limite, et un chemisier blanc, dans la transparence duquel on distingue nettement la pointe de ses seins. « Salut Clo. Heureusement, Christophe était déjà couché, il n’a pas vu comment je m’habillais, sinon il aurait eu une attaque. ». Pour ma part, j’avais opté pour une simple chemise blanche et légère, m’arrivant au haut des cuisses, généreusement ouverte sur mes seins nus, et dont l’absence de fermeture des deux boutons du bas laissait voir mon sexe encadré par un porte-jarretelle et des bas noirs. « Salut Judith. Ne me regarde pas comme ça, je me suis habillée pour baiser. Je suis déjà trempée. J’ai envie de sa bite. J’ai hâte ».
Peu avant vingt heures, nous arrivons chez Rocier. Nous garons la voiture dans la cour. Le portail électrique se referme derrière nous. Connaissant la maison, nous rentrons et arrivons dans le salon. Une surprise nous attend. Rocier est debout, un verre à la main, torse nu. Mais il n’est pas seul. Il y a là ses ouvriers : Karim, Frédéric, un grand brun tatoué, âgé d’une trentaine d’années, Mourad, un algérien massif, Sylla, un camerounais d’une cinquantaine d’années et Minh, le nouvel apprenti vietnamien. Tous nous dévisagent, nous scrutant de haut en bas avec des regards lubriques, pervers et concupiscents. Une chose est sûre, ils ont tous un point commun : à ce stade des présentations, ils ont tous une protubérance prometteuse qui déforme l’avant de leur pantalon.
Rocier s’adresse à nous « Ce soir, c’est dépucelage de Minh. Et baise pour tout le monde ! trois filles pour six mecs ! Minh, vas vérifier ce que je t’ai dit. » Minh contourne Judith, il se place derrière elle et palpe sa poitrine. Il descend ses mains le long de la jupe et les insinue dessous. « Alors ? » « La fille n’a pas de soutif ni de culotte. Et elle est mouillée ». Il se place à présent derrière moi et entreprend sa vérification. Je m’appuie contre lui, je sens quelque chose de dur contre mes fesses. « Elle pareille. Et elle n’est pas mouillée, elle ruisselle ». « Bien. C’est bien Judith tu as écouté mes conseils. Tu apprends vite petite salope. Vous verrez les gars elles sont chaudes. Elles sont à vous ce soir, elles sont à nous. Et Minh va les baiser ! » Je demande à Rocier. « Tu as dit six mecs et trois filles. Mais nous ne sommes que deux ? ». A ce moment, on entend une porte qui s’ouvre, et Sylvie, la femme de Rocier apparait. Elle est plus jeune que lui, environ quarante ans, et est entièrement nue à l’exception de ses bas noirs. Sylvie Rocier ici ! dans cette tenue ! elle qui anime le catéchisme dans notre petite ville. Pour une surprise, c’est une surprise….
Sylvie se dirige vers Mourad qu’elle enlace et embrasse sauvagement, envoyant une de ses mains vers la bosse qui déforme son pantalon. Frédéric les rejoint. Judith se dirige vers Karim. Sylla qui n’a d’yeux que pour elle, l’attrape au passage et la plaque contre lui, retroussant sa jupe sur ses reins pour caresser ses fesses.
Je n’ai plus trop de choix. Je regarde Rocier, lui souris et avance vers Minh. Mon regard capte le sien. Je déboutonne ma chemise et m’en débarrasse. Nue, je m’accroupis devant le jeune vietnamien et lui enlève son pantalon. Son sexe est de taille modeste, très fin, il se redresse dans ma main. Je le prends dans ma bouche, et passant mes mains derrière lui, je pétris ses fesses. « Attention, le fais pas jouir tout de suite, il doit vous sauter toutes les trois, le fatigue pas trop vite ». Rocier est à côté de nous. Je délaisse Minh, et débarrasse l’électricien de son pantalon. Il n’a pas mis de slip. Il bande déjà « C’est ta faute, tu me fais bander à chaque fois que je pense à toi. Suce moi, suce ma queue ». J’aspire le gland et parcours la hampe avec ma langue. Lui a posé ses mains sur mes épaules et impose son rythme.
On n’entend plus que des bruissements, des gémissements. Sylvie est prise en sandwich entre Mourad et Frédéric qui se frottent à elle. Judith, à genou suce alternativement Karim et Sylla dont le sexe est tendu à l’horizontal. Quant à moi, je suce la gigantesque mentule de Rocier, offrant mon sexe trempé aux doigts inquisiteurs de Minh.
A vingt et une heures, Rocier déclare que l’heure est venue pour Minh de connaitre la femme. Sylvie est allongée sur le tapis, Mourad lui maintient les jambes levées. Minh s’approche, hésitant, s’agenouille entre les cuisses de la femme de son patron et s’enfonce en elle. Son sexe n’est pas gros mais Sylvie semble y prendre plaisir. Quelques va et vient suffisent pour avoir raison de lui et il jouit dans les entrailles de la jeune femme. Sylla s’approche de moi, me courbe en avant et me prend en levrette. Son sexe est épais mais moins gros que celui de Rocier. Je suis tellement excitée qu’il n’a aucun mal à me pénétrer. Son ventre claque sur mes reins. Frédéric se place devant moi et me présente son sexe. Sylla se révèle doux. Le coït dure longtemps. Frédéric se retire de ma bouche. Sylla, tout en me pistonnant, déniche mon clitoris qu’il agace avec ses doigts. Sous ce traitement, je ne mets pas longtemps à jouir. Sylla est obligé de me retenir pour que je ne tombe pas. Il accélère le rythme, puis ralentit, il me fait durer. Je sens une nouvelle vague me submerger pendant qu’il décharge en moi. Je passe de bras en bras, nous papillonnons.
Vingt-deux heures. Rocier prend Judith par la main et l’amène devant Minh. Il bande à nouveau. Rocier place Judith à quatre pattes pour que Minh puisse la prendre en levrette. L’assaut dure cinq bonnes minutes. Sylvie se couche sous Judith et entreprend de lécher le sexe de la jeune boulangère. Minh et Judith explosent en même temps. Nous reprenons la bacchanale. Mourad vient à moi, s’allonge sur le tapis. Je l’enjambe et m’assois sur lui, m’empalant sur sa queue. Il m’attire davantage vers lui, m’embrassant et fouillant ma bouche. Karim vient derrière moi et s’enfonce entre mes reins. Prise par ces deux amants entreprenants, je perds la notion du temps. Dans un brouillard, je distingue Sylvie subissant les assauts de Sylla, montant et descendant frénétiquement sur sa colonne de chair en hurlant de plaisir.
Vingt-trois heures, à mon tour de m’occuper de Minh. Il a du mal à bander, et je dois utiliser toute ma science de la fellation pour réanimer son sexe. Il est un petit plus petit que moi, je décide que nous allons baiser debout. Je me colle à lui, fléchis les jambes et m’empale sur lui. Je le sens à peine. Je comprends qu’il ne va pas y arriver, que ça ne va pas durer. Effectivement, il s’agite et jouit rapidement, m’aspergeant de quelques gouttes de sperme.
Les hommes semblent avoir épuisé leurs munitions, Sylla a allongé Judith sur le ventre et la prend par derrière sans ménagement. Sylvie est à califourchon sur Karim, suçant le sexe de Frédéric, pendant que Mourad lui caresse les seins. Elle ne tarde pas à jouir dans des feulements inépuisables.
Je tourne la tête, à la recherche de Rocier. Je croise son regard. Sa verge est raide et dressée. Il vient vers moi et, comme la fois dernière, me soulève comme un fétu de paille pour m’empaler sur son sexe. Je croise les jambes dans son dos. Le contraste avec Minh est saisissant. Mon sexe ruisselle. Il cherche ma bouche et m’embrasse passionnément. Il me pistonne. Je lance mon ventre contre le sien pour mieux sentir son sexe. Cela dure longtemps, jusqu’à ce que la jouissance nous renverse.
Il est minuit passé. Judith cuve sa béatitude. Du sperme s’écoule de sa vulve. « vas la nettoyer » me demande Rocier. Je rampe vers mon amie, m’allonge tête bêche sur elle et nous nous léchons, enlevant toute trace de sperme de nos chattes rougies par les assauts répétés. Judith se met à onduler du bassin, à gémir puis crie une nouvelle jouissance. Pour elle comme pour moi, c’est une première.
Nous nous rhabillons. En partant, Jacques Rocier m’embrasse et me glisse à l’oreille « J’aimerais que tu reviennes un soir. Envie de te baiser encore. Rien que d’y penser, ça me fait bander. » Nous nous séparons. Judith me ramène chez moi. Arrivée devant la maison, elle coupe le moteur. « Merci de m’avoir donné du plaisir. Pour moi, c’était la première fois avec une femme » « Pour moi aussi » « Mais toi, tu n’as pas joui, laisse-moi faire ». Elle pose sa tête contre mon épaule et sa main vient caresser mon sexe. Je ferme les yeux ; je la sens se contorsionner, et sa langue vient accompagner le ballet de ses doigts. Le plaisir monte lentement, doucement, inexorablement. Un plaisir doux et tendre. Un plaisir entre femmes….
Deux mois s’étaient écoulés depuis cette soirée d’automne d’inauguration de la maison des associations. Au cours de cette soirée, Judith avait été entrainée, avec son amie Clotilde, chez l’artisan Jacques Rocier, un quinquagénaire rustre et sans éducation, mais possédant un sexe hors du commun et un coup de rein dévastateur. Après avoir honoré les deux amies, Rocier les avait déposées sans un mot sur le parking municipal. La jouissance de Judith avait été brutale et intense, et à chaque fois qu’elle y repensait, elle ressentait un mélange de honte et de désir.
Ce jour-là, regardant par-dessus son comptoir, elle vit Roncier s’entretenir avec son mari. Celui-ci était boulanger, et se couchait tôt pour se relever vers trois heures. Les soirées de Judith étaient ainsi souvent un peu tristes, passées devant la télévision. Les deux hommes se séparèrent, et Roncier, devenu client de la boulangerie, entra dans la boutique, vide à ce moment présent. « Salut chérie, bon, tu peux commencer à te préparer, je t’invite pour une grande soirée baise avec ta copine. Putain, ce que vous m’excitez toutes les deux, t’as pas idée. Et tu connais la règle, pas de culotte quand on vient voir le beau Jacques. Ah, et j’ai l’accord de ton mari. Vendredi 20 heures chez moi. Et t’inquiète, ton mari est d’accord. Et soyez à l’heure, je te laisse prévenir ta bonne copine. J’en bande déjà. ». Joignant le geste à la parole, après avoir vérifié que personne ne pouvait le voir, il déboutonna son jean et le tira vers le bas, dévoilant son sexe en semi-érection. Cette vision déclencha un frisson chez la jeune femme. « Allez salut ! et lave toi le cul ! ».
Le soir, le mari de Judith lui raconta qu’il avait rencontré Jacques Roncier, qui lui avait demandé s’il pouvait inviter sa femme à une réunion de projet de création d’une association de fleurissement de la ville, association qui avait bien besoin d’une touche féminine. D’ailleurs Clotilde, l’infirmière, avait déjà répondu favorablement, les deux femmes iraient ensemble. « Ça te fera du bien de sortir, de t’amuser un peu. Je sais que ce n’est pas drôle pour toi avec mes horaires. Et comme jeudi on a une réunion régionale du syndicat, je crois que je me coucherai encore plus tôt ».
Judith était atterrée par la manigance de Rocier qui avait raconté cet énorme baratin à son mari qui n’y avait vu que du feu. Le lendemain matin, profitant d’un moment de calme, laissant la surveillance de la boulangerie à son apprentie, elle sortit et appela Clotilde pour la mettre au courant du projet.
J’étais en train de me laver les mains après avoir fait la toilette de la vieille Jeanne quand mon téléphone sonna. Le nom de Judith s’afficha. « Clo, je ne te dérange pas ? » « Non, qu’est-ce qui se passe ? ». C’est ainsi que j’appris l’étrange invitation, le faux prétexte. J’avais croisé Rocier une fois depuis la fameuse soirée, quand il était venu régler ses derniers soins qu’il me devait depuis un certain temps. Il était passé au cabinet un soir, avait jeté quelques billets sur le bureau. Il portait un bleu de travail. Il me regarda avec un sourire pervers. « Tu vas me rendre la monnaie. En nature. Il tira sur sa fermeture éclair qu’il abaissa entièrement, et dégagea ses épaules, faisant glisser la combinaison. En dehors d’un marcel blanc, il était nu sous son bleu, et sa verge se redressait déjà. Il se pencha en avant, saisit le bas de mon pull et le fit passer par-dessus ma tête. Mon soutien-gorge rejoignit le pull sur le bureau. Il empoigna mes seins sans ménagement, déclenchant un mélange de douleur et de plaisir. Je sentais que mon sexe devenait humide. Je me levais, et fis glisser mon pantalon et ma culotte. Comme à chaque fois, le « miracle » se produisit, je mouillais comme une folle, tous les sens en alerte, mon corps réclamant la joute animale et la délivrance.
Il me poussa sur le bureau, écartant les papiers et le clavier de l’ordinateur, m’allongea sur le dos, releva mes jambes et m’enfourcha d’un trait. Sa verge était tendue, grosse, longue et épaisse, mais comme à chaque fois, il trouvait son chemin sans difficulté. Il me laboura sans fioriture, s’enfonçant au fond de moi, me fixant dans les yeux pour guetter ma jouissance. Elle vint brutalement. Il accéléra, se retira et éjacula sur mon torse, les jets de foutre coulant le long de mes seins. Il se rhabilla et me gratifia d’un « Salut poupée. A la prochaine ».
Ainsi est ma relation avec cet homme. Du sexe, uniquement du sexe, mais qui me transporte à chaque fois. C’est une machine à jouir….
Vendredi, à 19 h 45, Judith vient me chercher avec sa voiture. Pour l’occasion, elle a mis une jupe noire très courte, des bas de couleur chair dont on voit distinctement limite, et un chemisier blanc, dans la transparence duquel on distingue nettement la pointe de ses seins. « Salut Clo. Heureusement, Christophe était déjà couché, il n’a pas vu comment je m’habillais, sinon il aurait eu une attaque. ». Pour ma part, j’avais opté pour une simple chemise blanche et légère, m’arrivant au haut des cuisses, généreusement ouverte sur mes seins nus, et dont l’absence de fermeture des deux boutons du bas laissait voir mon sexe encadré par un porte-jarretelle et des bas noirs. « Salut Judith. Ne me regarde pas comme ça, je me suis habillée pour baiser. Je suis déjà trempée. J’ai envie de sa bite. J’ai hâte ».
Peu avant vingt heures, nous arrivons chez Rocier. Nous garons la voiture dans la cour. Le portail électrique se referme derrière nous. Connaissant la maison, nous rentrons et arrivons dans le salon. Une surprise nous attend. Rocier est debout, un verre à la main, torse nu. Mais il n’est pas seul. Il y a là ses ouvriers : Karim, Frédéric, un grand brun tatoué, âgé d’une trentaine d’années, Mourad, un algérien massif, Sylla, un camerounais d’une cinquantaine d’années et Minh, le nouvel apprenti vietnamien. Tous nous dévisagent, nous scrutant de haut en bas avec des regards lubriques, pervers et concupiscents. Une chose est sûre, ils ont tous un point commun : à ce stade des présentations, ils ont tous une protubérance prometteuse qui déforme l’avant de leur pantalon.
Rocier s’adresse à nous « Ce soir, c’est dépucelage de Minh. Et baise pour tout le monde ! trois filles pour six mecs ! Minh, vas vérifier ce que je t’ai dit. » Minh contourne Judith, il se place derrière elle et palpe sa poitrine. Il descend ses mains le long de la jupe et les insinue dessous. « Alors ? » « La fille n’a pas de soutif ni de culotte. Et elle est mouillée ». Il se place à présent derrière moi et entreprend sa vérification. Je m’appuie contre lui, je sens quelque chose de dur contre mes fesses. « Elle pareille. Et elle n’est pas mouillée, elle ruisselle ». « Bien. C’est bien Judith tu as écouté mes conseils. Tu apprends vite petite salope. Vous verrez les gars elles sont chaudes. Elles sont à vous ce soir, elles sont à nous. Et Minh va les baiser ! » Je demande à Rocier. « Tu as dit six mecs et trois filles. Mais nous ne sommes que deux ? ». A ce moment, on entend une porte qui s’ouvre, et Sylvie, la femme de Rocier apparait. Elle est plus jeune que lui, environ quarante ans, et est entièrement nue à l’exception de ses bas noirs. Sylvie Rocier ici ! dans cette tenue ! elle qui anime le catéchisme dans notre petite ville. Pour une surprise, c’est une surprise….
Sylvie se dirige vers Mourad qu’elle enlace et embrasse sauvagement, envoyant une de ses mains vers la bosse qui déforme son pantalon. Frédéric les rejoint. Judith se dirige vers Karim. Sylla qui n’a d’yeux que pour elle, l’attrape au passage et la plaque contre lui, retroussant sa jupe sur ses reins pour caresser ses fesses.
Je n’ai plus trop de choix. Je regarde Rocier, lui souris et avance vers Minh. Mon regard capte le sien. Je déboutonne ma chemise et m’en débarrasse. Nue, je m’accroupis devant le jeune vietnamien et lui enlève son pantalon. Son sexe est de taille modeste, très fin, il se redresse dans ma main. Je le prends dans ma bouche, et passant mes mains derrière lui, je pétris ses fesses. « Attention, le fais pas jouir tout de suite, il doit vous sauter toutes les trois, le fatigue pas trop vite ». Rocier est à côté de nous. Je délaisse Minh, et débarrasse l’électricien de son pantalon. Il n’a pas mis de slip. Il bande déjà « C’est ta faute, tu me fais bander à chaque fois que je pense à toi. Suce moi, suce ma queue ». J’aspire le gland et parcours la hampe avec ma langue. Lui a posé ses mains sur mes épaules et impose son rythme.
On n’entend plus que des bruissements, des gémissements. Sylvie est prise en sandwich entre Mourad et Frédéric qui se frottent à elle. Judith, à genou suce alternativement Karim et Sylla dont le sexe est tendu à l’horizontal. Quant à moi, je suce la gigantesque mentule de Rocier, offrant mon sexe trempé aux doigts inquisiteurs de Minh.
A vingt et une heures, Rocier déclare que l’heure est venue pour Minh de connaitre la femme. Sylvie est allongée sur le tapis, Mourad lui maintient les jambes levées. Minh s’approche, hésitant, s’agenouille entre les cuisses de la femme de son patron et s’enfonce en elle. Son sexe n’est pas gros mais Sylvie semble y prendre plaisir. Quelques va et vient suffisent pour avoir raison de lui et il jouit dans les entrailles de la jeune femme. Sylla s’approche de moi, me courbe en avant et me prend en levrette. Son sexe est épais mais moins gros que celui de Rocier. Je suis tellement excitée qu’il n’a aucun mal à me pénétrer. Son ventre claque sur mes reins. Frédéric se place devant moi et me présente son sexe. Sylla se révèle doux. Le coït dure longtemps. Frédéric se retire de ma bouche. Sylla, tout en me pistonnant, déniche mon clitoris qu’il agace avec ses doigts. Sous ce traitement, je ne mets pas longtemps à jouir. Sylla est obligé de me retenir pour que je ne tombe pas. Il accélère le rythme, puis ralentit, il me fait durer. Je sens une nouvelle vague me submerger pendant qu’il décharge en moi. Je passe de bras en bras, nous papillonnons.
Vingt-deux heures. Rocier prend Judith par la main et l’amène devant Minh. Il bande à nouveau. Rocier place Judith à quatre pattes pour que Minh puisse la prendre en levrette. L’assaut dure cinq bonnes minutes. Sylvie se couche sous Judith et entreprend de lécher le sexe de la jeune boulangère. Minh et Judith explosent en même temps. Nous reprenons la bacchanale. Mourad vient à moi, s’allonge sur le tapis. Je l’enjambe et m’assois sur lui, m’empalant sur sa queue. Il m’attire davantage vers lui, m’embrassant et fouillant ma bouche. Karim vient derrière moi et s’enfonce entre mes reins. Prise par ces deux amants entreprenants, je perds la notion du temps. Dans un brouillard, je distingue Sylvie subissant les assauts de Sylla, montant et descendant frénétiquement sur sa colonne de chair en hurlant de plaisir.
Vingt-trois heures, à mon tour de m’occuper de Minh. Il a du mal à bander, et je dois utiliser toute ma science de la fellation pour réanimer son sexe. Il est un petit plus petit que moi, je décide que nous allons baiser debout. Je me colle à lui, fléchis les jambes et m’empale sur lui. Je le sens à peine. Je comprends qu’il ne va pas y arriver, que ça ne va pas durer. Effectivement, il s’agite et jouit rapidement, m’aspergeant de quelques gouttes de sperme.
Les hommes semblent avoir épuisé leurs munitions, Sylla a allongé Judith sur le ventre et la prend par derrière sans ménagement. Sylvie est à califourchon sur Karim, suçant le sexe de Frédéric, pendant que Mourad lui caresse les seins. Elle ne tarde pas à jouir dans des feulements inépuisables.
Je tourne la tête, à la recherche de Rocier. Je croise son regard. Sa verge est raide et dressée. Il vient vers moi et, comme la fois dernière, me soulève comme un fétu de paille pour m’empaler sur son sexe. Je croise les jambes dans son dos. Le contraste avec Minh est saisissant. Mon sexe ruisselle. Il cherche ma bouche et m’embrasse passionnément. Il me pistonne. Je lance mon ventre contre le sien pour mieux sentir son sexe. Cela dure longtemps, jusqu’à ce que la jouissance nous renverse.
Il est minuit passé. Judith cuve sa béatitude. Du sperme s’écoule de sa vulve. « vas la nettoyer » me demande Rocier. Je rampe vers mon amie, m’allonge tête bêche sur elle et nous nous léchons, enlevant toute trace de sperme de nos chattes rougies par les assauts répétés. Judith se met à onduler du bassin, à gémir puis crie une nouvelle jouissance. Pour elle comme pour moi, c’est une première.
Nous nous rhabillons. En partant, Jacques Rocier m’embrasse et me glisse à l’oreille « J’aimerais que tu reviennes un soir. Envie de te baiser encore. Rien que d’y penser, ça me fait bander. » Nous nous séparons. Judith me ramène chez moi. Arrivée devant la maison, elle coupe le moteur. « Merci de m’avoir donné du plaisir. Pour moi, c’était la première fois avec une femme » « Pour moi aussi » « Mais toi, tu n’as pas joui, laisse-moi faire ». Elle pose sa tête contre mon épaule et sa main vient caresser mon sexe. Je ferme les yeux ; je la sens se contorsionner, et sa langue vient accompagner le ballet de ses doigts. Le plaisir monte lentement, doucement, inexorablement. Un plaisir doux et tendre. Un plaisir entre femmes….
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