Les monstres de Cúcuta 10/12

- Par l'auteur HDS Nico T -
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Récit libertin : Les monstres de Cúcuta 10/12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 10/12
Les lumières se sont tamisées, Léonardo dans son mini slip rouge trônait au milieu de la scène dominant Enrique, Victor, Alexandro et Emilio, un genou à terre, la tête baissée autour de lui, tous vêtus d'un mini slip blanc presque transparent, car on voyait bien leurs petits culs bien tendus.
Léonardo faisait mine d'avoir un fouet en main et de les frapper chacun leur tour, chacun leur tour ils baisaient ses pieds.
Les danses ont commencé tout le temps autour de Léonardo.
Lorsqu'ils se frottaient les corps par deux on voyait nettement leurs sexes gonfler dans les mini slips. Il n'aurait pas fallu de grand chose pour qu'ils se sauvent.
C'était magnifique à voir, tous ces beaux corps latinos onduler lascivement les uns contre les autres. Les bouches s'effleuraient sans se toucher. Les mains faisaient semblant de toucher les fesses rebondies. Ils s'étiraient dans notre direction pour montrer leurs sexes bander, cachés !
Tout était sensualité sans vulgarité.
C'était leur spectacle pratiquement habituel.

Louis se trouvait lové contre Diego qui le serrait dans son bras.
Javier m'avait passé le bras sur son épaule et me faisait des bisous sur mon téton, sa main me caressait négligemment la queue.

Tout à coup la musique s'est arrêtée, les quatre latinos nous tournaient le dos et ils ont enlevé leur mini slip, quatre belles lunes nous sont apparues.
Ils se sont mis à genoux autour de Léonardo pour lui retirer son mini slip lentement et laisser sortir le Monstre de Cúcuta, qui, libéré s'allongeait devant nos yeux. Le gland s'étirait et sortait de sa cachette. Cette belle queue bien droite semblait ne plus vouloir s'arrêter autour des quatre têtes des latinos qui n'auraient eu qu'à sortir leur langue pour la toucher.
Mais ils ont laissé la queue arriver à son terme que le gland se soit bien décalotté tout seul, un beau gland plus gros que la hampe qu'ils se sont tous mis à renifler, sans le toucher.
Ils poussaient de petits gémissements en se frottant les uns aux autres, se bousculant pour être le plus près.

Quand j'ai levé les yeux pour regarder Léonardo, c'est pour voir qu'il me fixait, son beau sourire aux lèvres.

Les quatre latinos se sont mis à le sucer chacun leur tour, tous, ils avalaient sa queue entièrement, ça les yeux pleuraient! et la bave coulait de partout!
Ils se caressaient deux par deux les mains touchaient les culs, les doigts entraient dans les trous.
Léonardo a tapé dans ses mains. Ils se sont tous relevés et se sont mis tous face à nous.
On avait tous les yeux écarquillés devant les phénomènes.
La plus grosse queue était bien celle de Léonardo mais les quatre autres étaient bien au dessus de la moyenne.
C'étaient vraiment les Monstres de Cúcuta que nous avions devant les yeux.

Javier m'avait sorti la queue et me caressait en ronronnant.

Les quatre latinos se sont mis à quatre pattes, le cul tourné vers nous.
Léonardo a fait signe à Diego et Javier de venir sur scène.
Ils ont obéi. Léonardo les a fait mettre nus également et leur a demandé de préparer les culs des esclaves car il allait tous les baiser!

Faut voir comment, autant Diego que Javier, ont fait du zèle pour lécher tous les culs.
Sourire aux lèvres, avec son air de chef vicieux il s'est approché de nous car Louis était venu se réfugier dans mes bras.
Il voulait que Louis s'occupe de sa queue.

Voir mon mec avaler cette belle queue, cracher, tousser. Il pleurait mais insistait.
Léonardo m'a fait signe de m'approcher m'a pris dans un bras pour me coller à lui et m'embrasser tendrement, sentir sa langue s'enfoncer dans ma gorge, sa main caresser mes fesses, chercher mon petit trou et me dire.
-met bien de la salive sur ma queue que je baise mes salopes.

Il était vraiment le Maître de la soirée le beau Léonardo.
J'ai juste eu le temps de prendre sa queue en bouche, d'essayer d'en avaler le plus possible qu'il se retournait demandant à Diego de s'occuper du prochain cul, pliant ses jambes. Avec Louis on était aux premières loges pour voir son gland se poser sur un anus ouvert et s'enfoncer lentement en ouvrant le beau cul en même temps que Alexandro gémissait très fort en tendant bien son beau petit cul. En un rien de temps toute la queue fût avalée, les grosses couilles de Léonardo frottaient celles d'Alexandro.

Il a fait deux allers retours avant de passer au cul suivant, celui d'Enrique qui a avalé le gros mandrin sans effort mais en gueulant quand même.
Puis de passer à celui de Victor, qui semblait plus ouvert que les autres, cela ne l'a pas empêché de crier haut et fort.
C'est dans celui d'Emilio qu'il est resté le plus longtemps. Il semblait content de ce cul, le flattait, il caressait ses flancs et Emilio marmonnait en espagnol, les yeux fermés faisant sourire Léonardo.

Puis il est venu s'agenouiller devant les quatre latinos toujours à quatre pattes, la tête baissée.
-messieurs dit Léonardo, je vous offre les culs de mes boys! choisissez celui que vous voulez, vous avez droit d'en essayer plusieurs.
Ce ne fût pas la curée on avait chacun un cul déjà bien ouvert!
On a pas joui de suite, on a essayé tous les culs pendant que Léonardo donnait sa queue à sucer à ses boys.
Une musique douce de fond résonnait encore au milieu des gémissements et des petits cris.
-choisissez le cul dans lequel vous allez déposer votre jus!

Quatre mecs côte à côte qui baisent quatre culs consentant à grands coups de reins devant le maître qui regardait, sa queue toujours raide. Il marchait autour de nous pour finir par s'arrêter derrière Louis, s'agenouiller derrière lui qui baisait Alexandro, le prendre dans ses bras, lui parler à l'oreille, voir le sourire sur les lèvres de mon Louis, tendre son cul, grimacer, ouvrir la bouche en un cri muet et gueuler à faire sursauter tout le monde.
-baise le maintenant a dit Léonardo en faisant un bisou dans le cou de Louis.

On s'est tous arrêté de baiser pour regarder Louis et Léonardo.
Un Léonardo tout sourire qui s'était bloqué pour que Louis s'empale bien sur sa grosse queue et ce gourmand faisait tout pour un prendre un max.
Les baises ont repris, nos boys faisaient autant de bruit que Louis tout seul.
Mais quand nous avons commencé à jouir, chacun notre tour ce fût vraiment un beau bordel!! que de cris, de gémissements et, tous on avait l'impression qu'on allait pas s'arrêter.
J'ai vu, en relevant la tête, que Louis avait joui et qu'il devait serrer des fesses sur la queue de Léonardo qui l'a fait pencher en avant et s'est mis à le ramoner à sa cadence. On voyait tous son monstre entrer et sortir. Il a hurlé quand il s'est vidé dans le cul de Louis.

Nos boys se sont retournés et nous ont léché les queues avec un plaisir non dissimulé. J'avais baisé le beau cul de Victor, l'amoureux de Javier, il s'est redressé, m'a pris dans ses bras me parlant en espagnol et m'embrasse tendrement. Quel beau mec ce boy latino!
Louis suçait avec application la queue de Léonardo.
Les quatre latinos se sont allongés à terre, la bite raide… c'était vraiment un appel.

Un appel pour qu'on se mette à quatre pattes, le cul en l'air.
Les quatre queues ont été englouti goulûment. Cela faisait un drôle de bruits quatre pipes simultanées.
Mais nous étions tous à la merci de Léonardo qui ne s'est pas gêné pour s'agenouiller derrière Diego et caler son gland sur l'anus.

Diego a sursauté. Léonardo s'est mis à le caresser, ouvrant ses fesses encore plus, se penche et lèche l'anus qu'il veut s'offrir et il a un bon coup de langue Léonardo vu les gémissement étouffés de Diego qui finit par crier quand les doigts entrent dans son petit cul.
Mais les cris ne sont rien quand Léonardo force son anus et que son gland passe en un seul coup. Diego lâche la queue d'Emilio pour hurler et la queue de Léonardo poursuit son chemin.
Diego reprend en bouche la bonne queue d'Emilio et il se fait besogner par Léonardo à grands coups de reins.
Les jouissances de tout le monde arrivent. Les jus coulent dans les gorges comme dans le cul de Diego qui se retourne pour remercier Léonardo en lui faisant un bisou. Mais en macho, Léonardo l'accompagne sur sa queue pour le nettoyage.

Tout le monde semble un peu crevé.
Javier me regarde, il a un air inquiet et je réalise qu'il n'y a plus que mon cul et le sien qui n'ont pas reçu la visite de la queue de Léonardo.
Louis vient dans mes bras.
-même dans mes rêves je n'aurais imaginé une telle scène dit le gourmand insatiable, tu veux vraiment pas goûter une queue latino dans ton petit cul français? dit Louis en riant.
En guise de réponse je fais la moue en regardant toutes ces grosses queues.

Le buffet est plein de victuailles et de boissons, on prend des forces.
Léonardo se rapproche de moi, toujours son sourire vicieux, me fait une bise sur le coin des lèvres.
-alors heureux mon beau français ?
-comment ne pas l'être avec tous ces beaux mecs! vous êtes tous magnifiques!
-et tu vas rentrer en France sans que ton cul goûte une queue latino ?
-mais c'est un complot!! dis je en riant.
Il rigole aussi..
-pourquoi tu dis ça ?
-ben Louis vient de me demander la même chose.
-il a bon goût ton chéri! tu ne le savais pas ?
-oh si je le sais mais tu sais ce que je t'ai déjà dit vos queues sont trop grosses pour moi.

Il se penche à mon oreille en me serrant contre lui, sa main sur mes fesses.
-la plus petite queue est celle de Javier et il sait y faire le beau gosse! sa queue fine se faufile partout.
-t'appelle ça une queue fine ?
-ben par rapport à la mienne! dit un Léonardo éclaté de rire.
-alors tu m'offres Javier pour qu'il me baise, c'est pour ça que tu l'as pas baisé tout à l'heure ?
-vous êtes compliqués les français. Je sais qu'il te fait envie et que tu l'aimes bien comme il t'aime beaucoup également alors j'ai pensé qu'il serait bien dans ton beau petit cul.
-je vais passer la nuit avec lui alors puisque tu as l'air de tant y tenir dis je en lui souriant.
-non non pas ça… tu vas te faire baiser ici devant tout le monde… que tous mes boys voient qu'enfin tu aimes la queue latino!! vous allez nous faire le spectacle tous les deux. Nous on va jouer les spectateurs, ça va nous changer.
-il est au courant Javier ?
-non pas encore dit Léonardo encore avec son regarde coquin de vicieux.

Et, c'est comme ça que je me suis retrouvé sur une petite scène improvisée avec un latino dans mes bras pour montrer à une belle assemblée comment je me faisais enculer.
Je crois que j'étais aussi timide que Javier à ce moment là. Il avait été surpris quand Léonardo lui avait expliqué ce qu'il attendait de lui. Je l'avais vu rougir le beau Javier.
Louis, qui devait être au courant, avait son sourire coquin et me faisait des clins d'œil, comme pour m'encourager en disant "ça ira! t'en fais pas!"
Javier est venu me prendre dans ses bras et me dire à l'oreille.
-t'es pas obligé d'accepter Fabrice tu sais je comprendrais.
-s'il y en a un ici avec qui j'aurais aimé le faire ben c'est toi que j'aurais choisi Javier, tu es sûrement le plus doux de l'assemblée.

Alors on a fait le spectacle, et on s'est pas forcé, plus les bisous, les caresses avançaient, plus la timidité s'envolait et en peu de temps c'est comme si on n'était plus que tous les deux et ailleurs que sur une scène.
On s'est sucé en 69, se bouffant le cul, il a voulu que je le prenne en premier.
Ah! retrouvé son petit cul fût un plaisir. Le sentir se coller contre moi, pour que je le branle, le caresse, me donner sa langue, m'embrasser.
J'ouvrais un œil de temps en temps pour voir au bout d'un moment qu'ils ne s'occupaient pratiquement plus de nous, ça baisait dans tous les coins.

Quand je me suis vidé dans le bon cul de Javier il est revenu dans mes bras pour me faire un gros câlin.
-t'as toujours envie Fabrice ?
-oui j'ai dit en le fixant.
-alors je vais bien te préparer, je veux que tu aies du plaisir et si tu veux, j'aime bien baiser un mec en le regardant.
J'avais compris le message. Allongé sur le dos, pattes relevées, je lui ai offert mon cul qui a été dégusté en profondeur tant par sa langue que par ses doigts!! putain quel doigté il a ce mec, quel plaisir de se faire caresser ainsi et sa langue, qui arrivait à me lécher à l'intérieur écoulant sa salive chaude.

Et, quand j'ai vu son sourire arriver au dessus de moi j'ai senti son gland se poser sur mon petit trou.
Il m'a fixé, m'a souri.
Et son gland m'a ouvert le sphincter. C'est pas souvent que j'ai cette sensation, sentir mon sphincter envelopper en serrant l'intrus qui avance en moi. Dire que je n'avais pas mal, ça tirait quand même et je n'ai pu m'empêcher de grimacer, inquiet il a arrêté. J'ai essayé de me décontracter, de m'ouvrir encore plus, de pousser si bien que son gland est entré assez rapidement. Je sentais la sueur couler de mon front. Il l'a vu, il s'est penché et l'a léché et sa queue a poursuivi son chemin jusqu'à ce que ses bonnes couilles chaudes se collent à mes fesses.

On a soufflé tous les deux. J'ai souri et j'ai senti sa queue bouger en moi doucement. Je la serrais du plus fort que je pouvais.
Et je me suis fait baiser.
Par un beau latino qui a pris son temps pour que sa queue visite bien mon intérieur, là il me parlait en espagnol, ses yeux brillaient, il avait l'air si heureux ce latino.
Quand j'ai senti sa queue s'arrêter, durcir au fond de mon cul, son petit cri a précédé sa première giclée chaude. J'ai répondu comme l'écho à son cri.
Et il s'est vidé en moi longuement. J'ai même cru qu'il pissait en moi à un moment tellement il éjaculait.

Il est tombé dans mes bras, j'ai serré mes jambes sur son corps, sa tête le long de la mienne, il me faisait des bisous dans le cou n'arrêtant pas de dire "merci, merci."
Quand des applaudissements se sont fait entendre.
Ils étaient tous autour de nous et riaient.
Javier est sorti lentement de moi, mais on est resté allongé dans les bras l'un de l'autre à se faire de petits bisous.
Je regarde Léonardo et Louis qui se trouvait juste à ses côtés.
-je crois, dis je en français, que je vais rester en Colombie et épouser Javier, j'ai adoré sa queue! et comme j'aime ce beau latino je suis conquis!
Si vous aviez vu la tête de Louis.

Diego et Javier riaient et tous les autres se demandaient ce qui se passait.
C'est Diego qui a fait la traduction et nous avons eu droit à un éclat de rire général.
Léonardo m'a aidé à me relever pour me prendre dans ses bras.
-quand tu as goûté à la queue latino tu ne peux plus t'en passer Fabrice.
J'ai attrapé Louis par un bras.
-t'es pas d'accord si je reste ici ?
-si tu restes.. je reste!

On s'est embrassé tendrement tous les deux devant tout le monde.

La soirée n'était pas finie. Les mains redevenaient baladeuses, mais Léonardo est venu me prendre par la main et m'emmener au 1er étage. Du haut du balcon, il s'est adressé en anglais à tout le monde.
-il faut dormir! demain on part à 9h30... je garde un français pour la nuit.

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