Les monstres de Cúcuta 12/12

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Les monstres de Cúcuta 12/12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les monstres de Cúcuta 12/12
Nous sommes arrivés à Bogota le lendemain soir après encore un trajet éreintant.
Diego avait tenu qu'on viennent passer nos deux dernières nuits avec eux et ils nous avaient trouvé un petit hôtel au centre de Bogota qui ne payait pas de mine mais qui avait ce qu'il fallait pour deux nuits.
Diego avait décidé, avec son air coquin de mec qui s'amuse, de nous séparer. Louis passerait ses deux dernières nuits avec lui et Javier serait mon amoureux pour les deux nuits.
Cela les a fait bien rire de voir nos têtes mais avec tout ce qu'on venait de vivre, on pouvait bien leur faire ce plaisir.
Durant deux jours et deux nuits, nous avons eu chacun notre amoureux et quels amours ces latinos!

Le soir en arrivant on est allé traîner dans le vieux Bogota, que des petites ruelles avec de petites échoppes de tout et de rien. On a mangé sur le pouce tout ce qui pouvait nous faire envie ou goûter aux spécialités du coin.
Ils étaient fiers d'avoir chacun un européen avec eux, et ne se gênait pas pour nous tenir par la main, nous faire des bisous dans l'indifférence générale!

Ce premier soir on est allé en boite, pour voir la même chose que l'on avait vu à Cúcuta plein de beaux latinos qui dansaient pratiquement à poil. Les slips étaient bien remplis.
-il n'y a pas un qui a une bite aussi grosse que celle de Léonardo m'a dit Javier à l'oreille.
-comment tu sais ça voyou de latino ? t'as visité tous les slips ?
-pas tous dit-il en riant mais pas mal car ces danseurs, si tu sais les draguer ils savent te donner du plaisir.
Dans la pénombre de la boite, Javier me tenait serré contre lui, sa main sur mon sexe et me caressait en regardant le spectacle. Il me faisait des bisous dans le cou et un câlin pour souvent me répéter :
-j'ai envie de toi.

Je l'embrassais et je le sentais fondre, offrant sa langue, sa bouche.
Quand j'ai vu que Diego était à cheval sur Louis et qu'ils s'embrassaient à ne plus pouvoir respirer.
-si on rentrait Javier ? moi aussi j'ai envie de toi maintenant que j'ai vu tous ces mecs sans pouvoir en toucher un alors je crois que c'est toi qui va en bénéficier.
-j'espère bien dit il en se serrant conte moi en riant je n'attends que ça!

On est donc rentré au petit hôtel. Louis est venu me faire un bisou en me disant de passer une bonne nuit.
Avec Louis, on est amoureux, on s'aime mais ce soir là, j'ai eu Javier dans mon lit. Ce n'était plus le Javier rencontré à Cúcuta au milieu des boys de Léonardo qui faisait un peu le fanfaron comme les autres mais un Javier naturel, aimant et amoureux.

Quand il a fermé la porte de la chambre, qu'il m'a regardé, son beau sourire aux lèvres et qu'il est venu me serrer dans ses bras en posant sa tête dans le creux de mon cou, je l'entendais soupirer, il frottait sa tête comme s'il cherchait un coin pour se poser. Il n'arrêtait pas de soupirer. J'ai caressé tendrement ses cheveux, il a relevé la tête, m'a regardé ses yeux brillaient de mille feux. J'ai caressé sa joue à plusieurs reprises, il fermait les yeux pour les rouvrir et continuer de me fixer.
-tu es mon premier français que j'aime Fabrice, et tu vas beaucoup me manquer quand tu vas partir, je voudrais te garder avec moi, que tu me fasses l'amour tout le temps, j'aime beaucoup quand tu me fais l'amour. Tu es doux, tendre, tu sais prendre ton temps et tu fais attention à moi, ça le latino ne sait pas le faire.
-pourtant toi tu fais bien attention à moi. Quand tu m'as baisé sur la scène, j'ai bien senti que tu faisais attention, que tu étais doux.
-parce que je t'aime énormément.

J'ai été voler son souffle en aspirant ses lèvres, ses belles lèvres douces et chaudes. Il gémissait déjà quand j'ai commencé à le déshabiller. C'est vrai que j'aimais beaucoup son corps, ce corps souple de latino, bronzé naturellement, doux, dur et toujours très chaud.
-il nous reste deux nuits tous les deux alors ?
-oui Fabrice aime moi, baise moi, fais moi l'amour comme tu fais à ton chéri tous les jours!
-oh pas tous les jours c'est trop fatigant avec Louis tu sais! dis je en rigolant.
-j'aime quand tu mens et que tes yeux se plissent.
Ses mains m'enlèvent mes vêtements et en peu de temps on se retrouve nus tous les deux, allongés sur le lit.
Il est vraiment beau ce latino, ce Javier tout sourire offrant son corps à mes caresses, tendant sa queue pour que je la touche, ouvrant ses jambes pour que ma main glisse entre et que mes doigts touchent son petit trou pour le voir se mordre la lèvre quand mon doigt commence à entrer en lui.

Je l'ai caressé sur tout le corps des pieds à la tête. Je lui ai fais des bisous partout, je l'ai léché aux endroits qui font gémir pour revenir tout le temps à ses lèvres et recevoir ses baisers et sa langue qui échangeait sa salive avec la mienne.
Tous ces frottements m'avaient donné une gaule terrible. Mon gland s'était décalotté tout seul et la mouille coulait.

Il ne m'avait pas trop touché, me laissant faire ce que je voulais de son corps mais quand sa main a pris ma queue, sa main douce et chaude, j'ai eu comme un choc électrique. J'ai eu envie de baiser encore plus fort, son sourire vicieux était très encourageant mais il m'a repoussé doucement, pour lever ses jambes en les ouvrant et montrer son anus tout ouvert, béant qui attendait.
Comment faisait il pour ouvrir comme ça son cul ?
La question m'a traversé l'esprit mais vite j'étais à genoux entre ses jambes, m'appuyant sur ses cuisses et ma queue est venue se positionner juste là où il fallait comme si elle était attirée par un aimant.

Je me suis redressé au dessus de lui et j'ai senti mon gland s'enfoncer dans l'antre chaude de Javier. Je suivais la progression de ma queue sur les expressions de son visage mais il ne me quittait pas des yeux et ma queue s'enfonçait en lui lentement, doucement mais fermement jusqu'à ce que mes couilles se reposent sur ses fesses. On a soupiré tous les deux en même temps. Je sentais son cul me serrer la queue. Son sourire coquin.
J'ai fait comme j'aime le faire avec Louis le baiser lentement pour qu'il sente bien ma queue en lui.

Mais là, Javier criait plus fort que Louis. Il s'est mis à parler en espagnol avant de revenir au français, disant que c'était bon, qu'il aimait ma queue, qu'il m'aimait. Quand je me retirais, il levait ses fesses pour m'accompagner, ne voulant pas que ma queue sorte de lui.
J'ai accéléré, comme ses cris, ses plaintes, ses gémissements et, quand on n'entendait que le bruit de mon pubis claquer sur les fesses il a gémit un long moment s'offrant comme jamais il ne s'était offert.

Je me suis allongé sur lui complètement, pour que nos lèvres se touchent, que mon ventre écrase sa queue et mes coups de reins furent plus secs, plus rapides, qu'il gueule en continue. Je sentais son souffle sortir de ses lèvres pour caresser les miennes.
Quand j'ai joui la première giclée, j'ai écrasé mes lèvres sur les siennes et j'ai senti mon bon jus se répandre dans son boyau. Ses bras m'entouraient, ses jambes étaient remontées sur mon corps et me serraient et les giclées se sont succédées longuement. J'enfonçais ma langue dans sa bouche il l'aspirait, buvait ma salive et d'un seul coup j'ai senti sa queue gonfler entre notre corps et un liquide chaud se répandre entre nous. Il a lâché ma langue, ses bras sont tombés en croix. Il respirait avec force en me regardant toujours son sourire aux lèvres.
Quand j'ai voulu bouger, ses jambes ont continué à me serrer.
-reste comme ça dit Javier.
Alors je lui ai fait plein de bisous en lui disant des choses gentilles sur lui, son corps, son cul, sa queue. Je voyais bien qu'il était ravi d'entendre cela.

J'ai recommencé à bouger en lui, ses yeux se sont agrandis quand il a senti ma queue durcir à nouveau et s'allonger en lui. Son sourire s'est élargi.
-fais le encore une fois Fabrice! dit il dans un souffle.
Je sentais bien que ma queue ne disait pas non et maintenant qu'elle nageait dans son sperme, elle était à l'aise pour encore mieux coulisser.
Je l'ai fait changer de positions, dans n'importe laquelle il grognait, gémissait mais quand j'ai joui la seconde fois on était revenu dans la position initiale et nous avons giclé encore une fois ensemble.

Après moultes bisous, il m'a laissé sortir de lui et je me suis précipité sur sa queue en demi molle qui reposait sur son ventre. J'ai léché les traces, sucé sa queue qui s'est mise à bander de nouveau avant qu'il me fasse tomber à la renverse et qu'il vienne me sucer, me nettoyer la queue.
On s'est retrouver l'un contre l'autre à s'embrasser tendrement.
-on dort en bandant dit Javier, comme ça au réveil on sera prêt!

Au réveil j'ai eu droit à sa bouche comme il a eu droit à la mienne.
Une vraie usine à bisous Javier et à paroles. Il n'arrêtait pas de parler, me raconter sa vie, ses amours, ses baises.
Après la douche on a retrouvé Louis et Diego pour le petit déjeuner dans la salle. Ils avaient le sourire tous les deux, mais les yeux cernés quand même.
-t'en as une tête mon chéri, t'as oublié ton anti cerne à la maison dis je en riant.
-ben t'aurais pu amener le tien mon chéri car si tu voyais ta tête, on comprend que vous n'avez pas fait que parler cette nuit.
-mais dit Javier en souriant on n'a pas parlé beaucoup tu sais.

Diego comme Javier semblaient heureux d'être avec nous et Diego était aux petits soins avec Louis, plein d'attentions, de regards tendres et, quand il pouvait, il lui faisait un bisou.
Quand on est parti se balader, Louis est venu près de moi.
-alors mon amour ta nuit ?
-je crois que je vais mettre Javier dans une valise et le ramener à la maison tu sais.
-alors moi je ramène Diego dit Louis en riant, je crois qu'il est encore plus amoureux que toi au début de notre rencontre j'en reviens pas!
Diego est venu nous séparer avant que je dise quelque chose.
-eh les amoureux vous allez vous retrouver tous les deux dès demain.
-t'as raison Diego je te cède mon chéri pour la journée et la nuit à venir mais le casse pas quand même!
Il rigole en me faisant la bise et Javier vient me prendre la main.

Toute la journée on s'est baladé dans Bogota, qui entre parenthèse est une ville magnifique, pleine de couleurs et avec les guides que nous avions…
On s'est retrouvé le soir encore une fois dans une boite de mecs latinos qui s'exhibaient, encore des beaux mecs aux slips bien remplis. On s'est fait draguer ouvertement avec Louis par les boys de l'établissement, on s'est fait tripoter, les mains sont passées dans nos pantalons, on a eu le droit de voir les queues latinos en demi molles, de sacrés morceaux quand même.

Ils ont trouvé qu'on faisait les timides alors ils ont pris nos mains pour qu'on les touche et voir les boas s'allonger en grossissant, le gland se décalotter. J'ai eu droit de sentir la queue du latino qu'il a passé sous mon nez appuyant quand même sur les lèvres.
Javier et Diego riaient de voir le tableau.
Quand ils sont passés à d'autres tables, Javier s'est penché sur moi.
-tu sais ils aiment quand on fait les timides, il y a tellement d'étrangers qui voudraient les sucer voir les baiser sur la scène!! regarde là-bas.
Effectivement il y avait un latino qui avait toutes les peines à faire lâcher à un blanc son sexe bandé.
-c'est comme ça tous les soirs dit Javier en riant.

On a traîné encore quelques temps dans les ruelles sombres, nous montrant les lieux de dragues où effectivement ça baisait un peu dans tous les coins d'ombre.
Puis ce fût le moment de rentrer à l'hôtel, la main de Javier me serrait de plus en plus la mienne. Je savais ce qu'il pensait, c'était notre dernière nuit…
C'est en silence qu'on s'est déshabillé et allongé sur le lit il a recouvert nos corps du drap.

Sa main douce me caressait la joue.
-ça y est c'est la dernière fois qu'on est dans un lit tous les deux Fabrice. J'ai tellement de choses à te dire, tellement de choses à te faire ou que tu me fasses que je ne sais plus par quoi commencer mais en fait j'ai envie d'être comme ça, dans tes bras, qu'on se regarde, sentir ton corps chaud me donner sa chaleur. J'ai envie de te respirer, de te voler ton odeur pour m'en souvenir tout le temps. Je voudrais que tu jouisses dans ma bouche ce soir et demain matin au réveil et que moi je jouisse de ta main, comme ça ma queue se souviendra d'elle et quand je me branlerai en pensant à toi, je jouirais encore plus.
-je suis bien venu te rencontrer dans ton pays Javier.
-oui je sais, mais tout est vraiment trop cher dans ton pays Fabrice, comment veux tu que je me paie un hôtel, le restaurant.
-tu sais que Louis et moi on a un appartement, des chambres, une cuisine, qu'on se fait à manger et qu'on reçoit des amis. Alors si tu peux t'offrir le voyage moi je t'offre le séjour avec nous.
-mais Louis il va être jaloux s'il me voit arriver.
-t'en fais pas pour ça, il sera ravi oui!

Sa tête a glissé sur mon ventre et sa bouche s'est emparée de ma queue et j'ai eu une de mes meilleurs pipes de ma vie. La deuxième fût le lendemain au réveil. Il a aspiré, avalé jusqu'à la dernière goutte de sperme, se pourléchant les babines en me souriant et le soir, je l'ai fait jouir en le branlant, serré contre moi, lui mordant le cou, la nuque pour le faire crier et voir le sperme latino monter dans les airs et une deuxième tournée le lendemain matin.

Ils nous ont accompagné à l'aéroport. Les adieux, au revoir, furent assez touchant car on pleurait tous.
Javier m'a promis qu'il allait faire son possible pour venir à Paris.
On est monté dans l'avion, Louis a pris ma main dans la sienne a posé sa tête sur mon épaule.
-alors voyou de parisien! heureux de ta visite en Colombie ?
-tu vois je suis content de partir et triste de laisser nos amoureux.
-Alors Diego est bien amoureux de toi alors ?
-oh oui et il le prouve dit Louis en riant, tiens, je lui ai dit que si l'envie de venir à Paris le prenait, qu'on le recevrait avec plaisir.
-ben j'ai dit la même chose à Javier moi!
Il se redresse me regarde.
-mais t'es un voyou mon chéri!
-faudrait peut être penser à prendre un appart plus grand… imagine que tous les latinos débarquent en même temps à Paris! on fait quoi ?
-ben on garde les meilleurs et on distribue les autres à nos potes!

L'avion avait à peine décollé que l'on dormait tous les deux…

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