Les talons rouges (épisode N°02)
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2013 dans la catégorie Pour la première fois
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Les talons rouges (épisode N°02)
LES TALONS ROUGES (épisode N°02)
Agathe Donamaria de Urroz vit avec sa sœur et son beau-frère depuis son plus jeune âge, au Château de Garralda, qui se situe près de la frontière espagnole dans la vallée des Aldudes. C’est une vieille fille qui ne s’est jamais mariée à cause d’un amour de jeunesse infidèle. Âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Les deux femmes se prêteront à toutes les folies où les entraînera Jacques, se mélangeant avec le notaire de la famille et son épouse, goûtant aux amours saphiques et incestueuses, allant même jusqu’à forniquer avec leur personnel, de la camériste au palefrenier jusqu’au bûcheron espagnol. Jacques leur fera connaître une nuit orgiaque dans un club échangiste de Toulouse et Agathe, devenue insatiable se fera prendre par le membre démesuré de son palefrenier jusqu’à sombrer dans la folie.
II - Le dépucelage
Agathe, après avoir donné le bonsoir aux convives qui ne sont pas encore partis se coucher, regagne son appartement situé au premier étage, au fond d’un couloir, assez loin des appartements de son beau-frère et de sa sœur. Il n’y a personne d’autre à cet étage. Les quinze chambres d’invités se trouvent au second, alors que Jean, le fils de la maison s’est aménagé une garçonnière dans l’ancienne maison du garde-chasse ; d’ailleurs, actuellement, il effectue un stage aux U.S.A. Elle rêvasse un peu, puis se décide à faire sa toilette. Elle se déshabille complètement, puis elle prend un bain garni de sels parfumés et d’huiles adoucissantes. Elle se caresse les seins négligemment, les trouvant un peu opulents, bien qu’ils soient très fermes et ne tombent absolument pas. Elle frotte légèrement ses mamelons qu’elle trouve aussi proéminents, les faisant durcir entre ses doigts. C’est la première fois de sa vie qu’elle ose ainsi toucher son corps avec un certain plaisir. Des frissons au souvenir des baisers du matin lui font faire des choses qui lui paraissent inimaginables. Sa main qui tient un savon odorant vient tout naturellement s’insinuer entre ses jambes, faisant clapoter l’eau savonneuse et huileuse. Son autre main vient aussi négligemment caresser l’intérieur de ses cuisses, lui occasionnant des frémissements voluptueux. Ses doigts viennent se perdre dans la fourrure abondante et mouillée qui entoure sa vulve et un gémissement sort de ses lèvres lorsque, par inadvertance, ses doigts frôlent son pubis, découvrant pour la première fois que le petit bouton de son clitoris est si sensible. Jamais elle n’a exploré son corps de cette façon. Honte et plaisir se mélangent dans son subconscient et, sans presque le savoir, elle se procure ses premières caresses qui lui occasionnent de divines sensations. Elle vient à son corps défendant de découvrir la masturbation. Bien sûr, ce ne sont que des attouchements que se procurent les petites filles impubères, mais, ignorante de ces choses, elle y trouve un plaisir trouble qu’elle prolonge ainsi durant plus d’une heure.
Pendant ce temps, Jacques rassemble les achats qu’il a effectués en ville dans le courant de l’après-midi. Dans un sac isotherme, il place une bouteille de champagne bien frappée et une bouteille de Sauternes, des toasts au foie gras de canard, au saumon et au caviar d’Iran, achetés chez un traiteur, deux flûtes de champagne en argent, dans lesquelles les deux vins pourront se boire, tout est prêt pour une nuit coquine, et surtout, pour l’éducation sexuelle d’une vierge…… Car, il se prépare à déflorer une femme qui n’est pas de première jeunesse bien sûr, mais Agathe est très agréable à regarder et ses appas paraissent prometteurs. La verge de Jacques devenant tout à coup très dure et gonflée, il décide qu’il est temps de partir à la conquête du corps qui le fait autant bander. Par un petit escalier au bout du couloir qui descend au premier étage, à la hauteur du petit appartement d’Agathe, loin de celui des maîtres, il se rend à pas feutrés vers la porte de la belle qu’il compte bien révéler cette nuit. Il a passé un pantalon de pyjama en satin noir, une veste d’intérieur bordeaux et une paire de mocassins noirs. Pas de dessous, plus facile d’ôter ses vêtements en cas de réussite. En vérifiant sur la clenche, il trouve la porte d’Agathe non fermée à clé, mais la refermant doucement, il gratte tout de même sur la porte, ne craignant pas de faire de bruit dans cette partie du château éloignée de tout.
Agathe qui est sortie de son bain s’est revêtue d’une large culotte en satin blanc, passant par-dessus une chemise de nuit assortie, qui comporte deux petites bretelles sur un décolleté carré bien sage, le bas de la chemise arrive un peu au-dessus du genou et elle a mis des mules en cygne blanc qu’elle affectionne particulièrement. Lorsqu’elle entend gratter à la porte, sans réfléchir elle va ouvrir dans cette tenue, pas indécente bien sûr, mais tout de même trop désinvolte. D’ailleurs elle pense que c’est sa sœur Gaëlle qui vient lui demander quelque chose. Lorsqu’elle ouvre, elle est surprise de se trouver en face de Jacques, confuse de se trouver devant lui dans une tenue qu’elle trouve trop osée et surtout, un peu paniquée par une échéance qu’elle n’escomptait plus.
Oh !… C’est vous Jacques, excusez mo…. excusez ma tenue, je m’apprêtais à aller me coucher. Je vous en prie, entrez et installez vous, je vais passer un peignoir.
En contemplant Agathe qui s’éloigne vers sa chambre, Jacques songe avec regret qu’il a indubitablement négligé de la regarder pendant de nombreuses années. Il admire ce corps très bien fait, contemplant ses seins et ses fesses qui ondulent sous le satin de la chemise de nuit qui fait apparaître en transparence des courbes prometteuses. Dire que lorsque qu’elle avait vingt de moins, il avait alors douze ans, et que ses premiers émois datent de cette époque. Agathe revient à cet instant, ayant revêtue un léger peignoir pour couvrir sa tenue qu’elle juge par trop indécente. Elle vient s’asseoir sur le canapé à côté de Jacques et lui dit en souriant.
C’est la première fois que vous venez dans mon petit appartement, c’est gentil de me rendre visite, bien qu’il soit bien tard pour que cela soit convenable. Il est vrai que dans cette partie du château, nous serons les seuls au courant.
Ma chère Agathe, j’ai profité de cet après-midi pour faire quelques achats en prévision d’une soirée en tête-à-tête. J’espère que vous êtes dans les mêmes dispositions que ce matin et que vous m’accorderez la faveur d’être votre précepteur particulier ?
Oh ! Jacques, je ne sais plus où j’en suis. J’ai même découvert des plaisirs troubles dans mon bain ce soir, j’en ai presque honte. Dans quoi allez vous m’entraîner ?
Pour l’instant ma chère, nous allons boire de cet excellent champagne, en le sablant à un tête-à-tête que nous aurions dû provoquer, il y a bien longtemps. Je n’ai que des regrets à vous avoir négligé depuis que nous nous connaissons. Cela fait plus de vingt ans et c’est seulement depuis deux jours que je découvre en vous la femme que vous êtes réellement. Je ne me le pardonnerais jamais. Tenez buvons à nous et à notre rencontre tardive !
Merci Jacques, Je sais qu’il est bien tard pour moi. Pourtant je n’ai aucun regret, je ne me suis jamais senti prête à aimer et à avoir des envies charnelles. Il a fallu que ce soit vous qui alliez chercher au plus profond de moi des ressources que je ne me connaissais pas.
Ils boivent en se regardant au fond des yeux, Jacques sert à nouveau le champagne dans les flûtes alors qu’Agathe avale sans rechigner le second verre, voulant sans doute s’enivrer un peu, préalablement à ce qu’elle pressent. Mais Jacques veut qu’elle soit consciente, aussi il range la bouteille de champagne dans le sac isotherme et enlace sa compagne en lui murmurant de doux propos dans l’oreille. Elle se laisse aller contre l’épaule de son compagnon, alors que celui-ci lui caresse les cheveux. Se penchant sur ses lèvres, il l’embrasse profondément durant de longues minutes. Agathe se sent tout amollie entre ses bras et elle répond fougueusement au baiser qui la transporte au septième ciel. Jacques écarte avec délicatesse le peignoir, laissant une main frôler le satin de la chemise de nuit. Agathe se raidit soudain lorsque la main s’applique sur son sein gauche. Mais Jacques a bien senti la réticence de sa partenaire, aussi il glisse sur le sein, passant très légèrement sur le second et défait la ceinture du peignoir pour agir plus facilement. Alors que leur baiser s’éternise et qu’Agathe a fermé les yeux, Jacques laisse sa main glisser sur la taille de la femme qui frémit à cet attouchement qui explore son corps, mais elle n’essaie pas de se soustraire aux agissements de son futur amant. Celui-ci a bien compris qu’elle est consentante mais que ses préjugés et sa trop longue abstinence lui occasionnent une répugnance qu’elle a du mal à contrôler. Par petits à coups, Jacques réussit à lui ôter son peignoir, et c’est, toute rougissante qu’elle se blottit dans ses bras, se sentant indécente devant lui.
- J’ai honte Jacques, je suis presque nue devant vous et vous êtes encore habillé comme si vous étiez un médecin en train de m’examiner. J’ai peur, vous le savez bien. Toutes ces choses que je vais découvrir et que je considérais encore peu comme abjectes. Pourtant je ne peux vous cacher qu’à présent, j’ai une grande envie de les connaître.
Jacques, pour la mettre à l’aise retire sa veste d’intérieur. Il se trouve ainsi torse nu, exposant sa peau bronzée et ses muscles proéminents. Le contact de la peau de l’homme nu contre son corps bien mal couvert par sa chemise de nuit, électrise Agathe qui se love maintenant contre le torse de l’homme. Celui-ci, prenant moins de précaution, englobe de ses deux mains les globes fermes des seins qui se trouvent à sa portée. Agathe pousse un gémissement, mais n’ose se dérober à la caresse de l’homme qui devient de plus en plus insistante. Jacques pétrit les gros nichons de la belle, pinçant par moments les bouts turgescents et arrachant des petits cris de douleur et de plaisir mélangés à la belle quadragénaire. Mais Jacques décide qu’il faut maintenant aller plus loin, aussi prenant les bretelles de la chemise de nuit, il les fait glisser rapidement des épaules et dénude la poitrine d’Agathe qui ferme les yeux, ne pouvant soutenir le regard de son soupirant qui fixe avec avidité les deux globes charnus dont les aréoles brunes laissent percer des pointes durcies par l’excitation. Aussitôt, il embrasse et lèche à tour de rôles les deux mamelons, mordant sans vergogne dans la chair bien ferme et pinçant de ses lèvres les deux bourgeons contractés, faisant haleter Agathe qui se trémousse sous lui. Elle a lancé ses bras autour du cou de Jacques, l’embrassant dans le cou et sur son torse, affolée par l’odeur qu’il dégage, excitant son nez, plongé dans les poils du torse et des aisselles de son suborneur. Jacques ne se lasse pas de la gorge généreuse qui s’offre à lui, mais il sait qu’il lui faut aller plus loin et que le risque d’un refus existe toujours.
Il laisse maintenant une de ses mains se glisser le long du corps d’Agathe, atteignant bientôt le genou qui s’est découvert durant les ébats de la femme. Jacques sent aussitôt tout le corps d’Agathe qui se contracte. Même innocente, elle se doute que la main va se glisser dans un endroit qu’elle n’ose nommer et que le moment crucial approche. Pourtant la main de Jacques avance comme un reptile sur la cuisse et remonte vers les replis de la culotte. Elle s’arrête un moment, alors que la respiration de la femme s’accélère, puis elle reprend sa reptation et vient se poser sur le ventre qui tressaute sous l’attouchement un peu plus précis. Agathe halète carrément. Elle ne sait encore si elle va accepter que son compagnon aille plus loin.
À ce moment, il reprend ses lèvres et introduisant sa langue il l’affole suffisamment pour qu’elle ne se rende plus compte de ses agissements. En effet, Jacques a glissé sa main dans le bas très large de la culotte et elle remonte maintenant vers le pubis nu d’Agathe, qui, bouleversée, se laisse faire tout en serrant furieusement les cuisses. Jacques caresse délicatement le mont de vénus, entortillant ses doigts dans l’abondante toison qui recouvre la vulve. Petit à petit, il réussit à desserrer l’étau des cuisses raidies par l’angoisse et sa main effleure maintenant le renflement des grandes lèvres qui frémissent, glissant deux doigts dans la fente à peine éclose, qu’il trouve chaude et tendre. La femme inopinément se laisse aller, se résignant et se soumettant aux désirs du mâle. Jacques a bien senti que la résistance de la femme qu’il veut façonner, a disparu. Aussi, il agit le plus délicatement possible, laissant ses doigts parcourir l’intérieur des cuisses, à l’endroit le plus sensible de la peau féminine, puis lentement, il vient faire le tour de la vulve, appuyant à peine en passant sur le renflement du capuchon du clitoris. Tout le corps d’Agathe frémit à ces attouchements voluptueux. Des larmes coulent le long de ses yeux et Jacques les sèche avec sa langue et sa bouche, essayant de rassurer la biche effarouchée, par des mots tendres glissés contre son oreille.
- N’ayez pas peur ma bien-aimée, tout ce que je serais capable de vous faire ne pourra que vous être agréable. Détendez-vous. Vous êtes très belle ainsi. Votre corps est magnifique et votre peau est si douce. Laissez-vous aller dans mes bras. Vous êtes faite pour l’amour ma chérie et votre corps ne demande qu’à s’épanouir.
Cette fois, Jacques agit avec la plus grande rapidité. Se glissant aux pieds d’Agathe, il retrousse sa chemise de nuit, retirant prestement sa culotte avant qu’elle n’ait pu protester, puis, tenant toujours le tissu le plus haut possible, il glisse sa tête entre les jambes galbées qu’il tient écartées avec ses deux mains, puis il embrasse l’intérieur des cuisses, le pubis et prend le vagin entre ses lèvres, arrachant un hurlement à la pauvre femme, qui ne se doutait pas que l’on puisse sans vergogne toucher avec une bouche des parties aussi intimes. Jacques agit avec adresse et célérité, ne voulant pas que la femme se reprenne, aussi il lèche les grandes lèvres et le capuchon du clitoris, dégageant celui-ci, puis, il prend entre ses lèvres le bouton orangé qui saille à présent de sa cachette. Agathe se tend en avant lorsque les lèvres sucent avec délicatesse cette excroissance aussi sensible du corps féminin. Soudain, vaincue, elle se laisse aller, ouvrant ses cuisses et laissant sa vulve béante aux regards et aux agissements de l’homme qui procède à son éducation, s’offrant cette fois sans retenue au mâle triomphant. Ce sont ses premiers pas dans l’acte charnel et, toute honte bue pour ce qu’elle est en train de subir, elle laisse la jouissance déferler en elle, oubliant son éducation, son honneur et sa vertu, perdant par la même toute convenance et décence alors que sa chasteté est bien près d’être outragé. Jacques lape avec constance le clitoris et l’ouverture du vagin qui laisse couler maintenant un flot ininterrompu de cyprine dont l’odeur l’affole.
Agathe jouie sans discontinuer, elle remue sa tête dans tous les sens et pousse de petits cris inintelligibles. Enfin, après un hululement prolongé, elle s’affaisse, anéantie par la trop grande jouissance qu’elle vient d’éprouver. Jacques, tout en se redressant, la découvre inanimée, abandonnée dans une pose alanguie et offerte à la virilité du premier homme qui voudrait la pénétrer. Pourtant, il la veut en pleine possession de ses moyens lorsqu’il se sentira autorisé à la déflorer. C’est pourquoi, il profite de son inconscience pour la déshabiller entièrement, en fait il ne lui reste qu’à faire glisser la chemise de nuit, car le haut du corps était déjà dénudé alors que la culotte jonche au bas du canapé. Puis, la prenant dans ses bras, il l’emporte dans la chambre et la glisse sous le drap. Enlevant prestement son pantalon de pyjama, il se glisse à côté d’elle et, l’enlaçant, il bécote son cou et mordille ses oreilles. Sous les caresses stimulantes et agaçantes, Agathe reprend conscience et paraît étonnée de se retrouver dans son lit, sentant le corps nu de l’homme qui l’étreint contre lui. Soudain, se souvenant à quoi elle s’est soumise avec la plus grande indécence, le rouge lui monte aux joues avec un sentiment de nausée. Elle n’ose regarder son compagnon, qui se rend bien compte de son état et qui essaie de la rassurer.
- Ma chérie, vous avez joui magnifiquement. Je sais que c’est une sensation qui vous a été étrangère jusqu’à ce jour, mais je peux vous assurer que vous avez pris beaucoup, de plaisir et que vous n’avez pas à avoir honte de votre comportement. Je suis certain que votre sœur dans les bras de son mari éprouve ou a éprouvé les mêmes émotions, pourtant, eh là, je veux vous rassurer, vous êtes encore vierge ma chère, je n’aie pas profité de la situation et de votre abandon.
Agathe n’ose regarder son compagnon. Elle a repris des couleurs, cette fois ses joues sont devenues rouge pivoine, de toute évidence, à cause des propos très suggestifs qu’elle vient d’entendre. Pourtant elle se décide à répondre.
- Jacques, je me sens méprisable. Vous m’avez vu plus que nue, étendue et grande ouverte devant vous, je ne m’en remettrais jamais. Oh ! Mon Dieu quelle déchéance, avec votre bouche et votre langue sur mon sexe et vos yeux qui plongeaient dans mon intimité.
- Allons ma chérie, arrêtez de faire l’enfant. Vous n’êtes plus une petite fille. Nos corps nous appartiennent et ce que nous avons fait, des millions d’autres gens de toutes conditions le font tous les jours, pour leur plus grand plaisir d’ailleurs. Vous avez un corps magnifique, je vous l’aie déjà dit et vous jouissez merveilleusement. Votre sexe est encore tout mouillé de l’excitation que vous avez éprouvée, d’ailleurs je le sens encore frémir sous mes doigts, vous ne pouvez en disconvenir n’est ce pas ?
Jacques avait profité de la conversation, et de l’abandon incontestable de son amie, pour glisser une main entre ses cuisses et pour caresser à nouveau la vulve qui palpitait d’une façon désordonnée. Agathe, malgré ses réticences, ne se dérobe pas sous les attouchements qui lui donnent des sensations si prodigieuses, bien au contraire, rassurée par les paroles de son compagnon, elle déploie ses cuisses sous la main qui explore son intimité, poussant de gros soupirs à la jouissance qui renaît dans son corps épanoui. Jacques l’embrasse à nouveau sur la bouche, son corps se retournant vers elle laissant sa verge, qui bande furieusement, heurter l’aine et la cuisse de sa compagne qui, bien qu’ignorante, ne peut méconnaître le sexe de son compagnon, dardant ainsi sa volonté de pénétrer l’innocente qu’elle est encore. Après tout, elle a confié à son compagnon ce matin qu’elle désirait être initiée aux joies de l’amour. Il ne lui reste plus qu’à subir l’assaut final. Elle a eu trop de plaisir depuis plus d’une heure pour reculer à présent, même si elle est effrayée par l’engin qui va pénétrer ses chairs encore vierges à son âge. Va-t’elle avoir très mal ? Son hymen doit être racorni par le temps qui s’est écoulé, aussi il sera sûrement très difficile à percer. Quelle idiote de n’avoir pas su profiter de sa jeunesse, alors qu’elle ressent des sensations aussi voluptueuses. Jacques pendant tout le temps de réflexion de sa compagne n’a pas perdu de temps, il masturbe et caresse avec application le sexe en feu, qui s’ouvre de plus en plus sous sa main. Il a glissé un doigt au bord du vagin et a senti la résistance de l’hymen intact. C’est bien une vierge qu’il va dépuceler et cela l’excite au plus haut point. Agathe sous les caresses libidineuses de son amant, ondule de plaisir et soudain, n’y tenant plus, elle souffle dans l’oreille de son compagnon.
- Mon chéri, venez… Venez dans moi… Je vous en prie. Oh ! C’est merveilleux, continuez ou prenez-moi, je veux jouir, mais j’ai peur mon amour, si vous saviez comme j’ai peur !
- Allons ma douce, écartez bien vos cuisses et remontez les vers vous. Oui ! Comme cela, N’ayez aucune crainte. Je ferais le plus doucement possible mon amour.
Ce faisant, Jacques s’est mis à genoux entre les cuisses d’Agathe qui, sur sa demande, les retient remontées sur son ventre en les écartant avec ses deux mains. À ce moment, Jacques, présente sa verge devant l’échancrure de l’orifice inviolé, puis, tout en maintenant son pénis d’une main, il lui imprime une circonvolution lente en effleurant le clitoris, afin d’exciter encore Agathe et de la rassurer. Enfin, appuyant sur l’hymen qui résiste à sa poussée, il se laisse aller progressivement en avant, transperçant la fine membrane et, arrachant de ce fait, un bref cri de douleur à l’innocente quadragénaire. En dernier lieu, sentant qu’il a crevé l’hymen convoité, il glisse son organe graduellement dans l’orifice qui, sollicité depuis plus d’une heure, lubrifie à présent à profusion, s’enfournant jusqu’au fond de la matrice. Puis, il s’immobilise, afin que la chaste ingénue s’habitue à cette présence insolite au plus profond de son intimité jusqu’ici inviolée. De grosses larmes coulent sur les joues de la vieille fille devenue enfin femme. Jacques étanche ces grosses gouttes avec sa bouche et bécote le tour des lèvres de sa proie enfin consentante. Elle lui sourit douloureusement, s’accrochant à son cou de ses deux bras, alors qu’il commence un doux va-et-vient dans le fourreau étroit qui enserre aussi bien sa verge. Progressivement, le bassin de la femme s’agite en cadence, dans le même temps où le pénis s’enfonce et se retire alternativement de l’orifice vaginal. Agathe entoure le torse de Jacques de ses jambes nouées et projette en avant son ventre vers le membre qui la fouille et ravage ses chairs meurtries. Elle ne peut se cacher qu’elle prend du plaisir à l’accouplement sexuel et c’est, sans plus aucune retenue, qu’elle prend plaisir à faire l’amour avec l’homme qui vient de la révéler.
- Je t’aime mon amour, je t’aime, Oh ! Je t’aime, viens dans moi encore mon chéri. Que c’est bon. Oh ! Oui, encore, viens, viens. Oh ! Mon Dieu quel plaisir. Merci mon chéri, merci, merci…..
Cette fois, Agathe n’a plus aucune inhibition ni refoulement d’aucune sorte, elle se fait transpercer par la bite de Jacques avec une délectation incroyable. Celui-ci prend son pied sans vergogne, pilonnant sans interruption la trouée béante qu’il vient de faire dans cette chatte si longtemps immaculée. Il enfonce ses doigts dans les fesses d’Agathe qui, toute à la houle de jouissance déferlante qui envahit son ventre de femme n’a aucune réaction aux doigts qui la torturent. Elle voudrait que le dard qui s’enfonce en cadence dans sa chair intime ne s’arrête jamais. Elle se surprend à crier sans retenue sa jouissance, s’agitant sans cesse et s’agrippant à son pourfendeur jusqu'à ce qu’elle sente un liquide chaud gicler dans ses muqueuses et, au bout de quelques secondes, l’homme s’écrouler sur elle à bout de souffle. Elle l’embrasse partout où elle le peu, le remerciant de l’hommage et du bonheur qu’il vient de lui prodiguer.
Le couple enlacé étroitement reprend des forces. Il y a plus de deux heures que leurs ébats se sont engagés et ils ont besoin de reprendre des forces. Jacques suggère que l’on fasse appel aux provisions qu’il a apporté dans son sac isotherme. Agathe acquiesce et en se levant, elle s’apprête à enfiler son peignoir. Jacques l’arrête d’un bras.
- Ma chérie, après ce que nous venons de vivre, hors de question que tu portes de nouveau un rempart à ta nudité. Nous nous restaurerons nus tous les deux. Je veux te voir telle que tu es, me rassasier de ton corps, de tes jambes et de tes cuisses, de tes seins et de tes fesses et surtout mon amour de ta jolie chatte que je viens de fouiller et de faire vibrer. Puis à toi de me voir nu, de t’habituer à contempler sans peur la queue qui t’a fourré ton con dilaté et si accueillant.
- Jacques, tu es un monstre et tu me dis des choses affreuses de vulgarité. Mais viens avec moi, je veux bien faire tout ce qu’il te plaira malgré la débauche dans laquelle tu m’entraînes et l’humiliation atroce que tu me fait subir.
Jacques la prenant par la main, l’emmène dans le salon, et, déballant les victuailles et la bouteille de Sauternes, ils se restaurent en se regardant dans les yeux. Agathe est un peu pompette après avoir bue la moitié de la bouteille de vin blanc sucré, mais elle a repris des forces avec le caviar, le saumon et le foie gras ingurgités. Aussi, elle a de nouveau envie de faire l’amour et se collant à Jacques elle l’embrasse dans le cou en lui disant qu’elle recommencerait bien.
- Mais ma chérie, je ne suis pas une machine, mon sexe a besoin de repos, ou alors il faut le stimuler. C’est à toi maintenant de savoir lui rendre sa rigidité pour que je puisse à nouveau t’honorer.
- Mais… Mais, je ne sais pas, tu m’as promis de tout m’apprendre, comment m’y prendre ?
- Eh ! Bien ma chérie, il faut me faire la même chose que je t’ai faite, avec tes jolies mains, tes doigts si agiles et, si tu t’en sens le courage, avec ta bouche adorable.
- Oh ! Mon Dieu ! Je n’oseraies jamais. Tu es un monstre dégouttant, tu… tu.. veux… que je… prenne ton sexe dans ma bouche ?
- Mais ma chérie, c’est bien ce que j’ai fait avec ton vagin et ton clitoris. Ce sont des choses qui se font habituellement entre deux personnes du sexe opposé tu sais. Le monde entier fais cela et toi tu refuserais de me rendre ce qui t’as fait jouir autant ?
Un silence pesant s’installe. Agathe n’ose plus regarder son amant qui se caresse la verge nonchalamment. Enfin, elle se décide soudain et lui glisse dans un souffle.
- Oh ! Comme j’ai honte mon amour. Je suis vraiment trop égoïste. Je vais faire mon possible, mais tu vas rire de ma maladresse, j’en suis sûr.
- Mais non mon amour, pourquoi me moquerais-je de toi, je vais te montrer, tiens prends la tige de mon pénis entre tes doigts, tu sens comme il est mou, serre doucement et fais un va et vient avec tes doigts, tu vois, il durcit et grossit. C’est tout simple, Aïe ! Ne serre pas trop fort. Oui comme cela. Oh regarde comme il devient gros et dur. Tu vois que ce n’est pas difficile de faire bander un sexe d’homme. Maintenant si tu veux vraiment me faire plaisir, penche-toi et prend le entre tes lèvres. Oui, ma chérie comme cela, tu vois ce n’est pas aussi ignoble que tu le penses. Bien, maintenant enfonce le légèrement dans ta bouche et fais-le glisser entre tes lèvres. Ah ! Ma chérie, c’est divin, oui continue, je suis aux anges, ta bouche suçant mon vit est délicieuse. Oh ! oui tu as deviné, ta langue qui lèche mon gland, cela me procure d’intenses sensations. Arrêtes, non je t’en supplie arrêtes ou je vais jouir.
Jacques, très excité, se retire de force de la bouche d’Agathe, il ne veut pas éjaculer déjà. Et puis c’est trop tôt pour qu’elle accepte de recevoir son sperme dans sa bouche et surtout qu’elle l’avale sans haut-le-cœur. Il le fera lorsqu’elle sera plus aguerrie. Il lui explique tout cela alors qu’elle l’écoute avec des grands yeux effarés, découvrant des jeux libidineux auxquels elle ne s’attendaient nullement. Jacques lui demande si elle veut vraiment connaître toutes les facettes de l’amour et si pour cela, elle se sent prête à faire tout ce qu’il lui demandera ?
- Tu me demandes d’être ton esclave consentante, prête à subir tous tes caprices, c’est cela que tu veux mon amour ?
Jacques ne répond pas, il la regarde seulement avec une grande intensité jusqu’aux fonds des yeux, attendant qu’elle prenne sa décision seule et en toute conscience. Il ne veut pas l’influencer, car si elle accepte, il compte bien lui faire connaître tous les outrages et, pourquoi pas, la partager avec d’autres hommes. Cela et bien d’autres choses encore qu’il ne peut lui dire. Il veut seulement qu’elle soit prête à tous les sacrifices sans qu’il soit, à chaque fois, obligé de lui réclamer son accord. Le silence se fait pesant. Agathe a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans son salon, mais la perspective d’être entraînée dans une folle aventure où elle ne sera qu’un objet à la disposition d’un homme aussi averti la fait s’interroger, car elle n’est pas dupe, son jeune amant en voudra toujours un peu plus. Pourtant ses sens à peine éveillés lui demandent d’accepter ; elle se meure d’envie de faire des folies de son corps si tardivement révélé. Alors, des larmes dans les yeux, elle se décide.
- Tu pourras faire de moi ce qu’il te plaira Jacques. J’accepte toutes les horreurs que tu voudras me faire subir, même si j’y perds mon honneur et ma dignité. Je sais très bien que tu vas m’entraîner dans la débauche et le vice. Du moment que tu me fais jouir, je suis d’accord pour être ton esclave, sexuelle ou autre.
- Mais ma chérie, je ne t’en demande pas tant. Progressivement j’essaierais de te faire découvrir toute la jouissance que ton corps pourra t’offrir, mais en échange il te faudra apprendre à me faire jouir aussi et peut être d’autres. En attendant viens près de moi, nous allons encore faire l’amour et j’ai envie de boire à ta source de volupté. Écarte tes cuisses et tend ton ventre que je vois ta vulve palpiter devant mes yeux !
Agathe, éperdue de confusion, s’ouvre comme le lui a ordonné son amant et tend son pubis vers le regard acéré qui la fouille avec insolence. L’homme avec ses deux mains écarte le vagin qui baille bientôt, offrant ses chairs d’un bel rouge orangé, alors que déjà, une liqueur suinte de la fente largement ouverte. Aussi, penchant sa tête, il lape avec sa langue la miction vaginale, humant le fumet épicé qui se dégage de la moule gluante de la quadragénaire. Celle-ci râle sous la jouissance que lui procure la langue qui pénètre son puits d’amour, elle secrète de plus en plus un liquide visqueux que Jacques aspire et boit avec délectation. Puis, délicatement, l’amant habile décalotte le clitoris avec ses lèvres et l’aspire tout doucement, pinçant ses lèvres pour le retenir dans sa bouche et le mordillant par moments, arrachant à la femme pantelante de sourds gémissements. Plusieurs fois elle jouit bruyamment, les orgasmes se succédant sans presque discontinuer et, alors qu’elle tente de s’échapper, Jacques la maintient solidement pas les cuisses qu’il a enserrées dans ses bras, pompant son suc et l’épuisant de jouissance jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Se redressant vivement, alors qu’elle est presque sans connaissance, il la pénètre brutalement, la faisant sursauter sous le pieu qu’il enfonce sans ménagement dans sa vulve, la baisant furieusement et longuement, jusqu’à ce que tous deux, s’écroulent anéantis par leurs jouissances respectives.
La grosse horloge du château sonne quatre coups, confirmant qu’il est maintenant quatre heures du matin. Il y a cinq heures que le couple s’adonne aux joies de l’amour, en conséquence, ils s’endorment d’un seul coup, terrassés par leur démesure.
Lorsqu’ils se réveillent, il est presque huit heures du matin. Heureusement, les invités et les maîtres de maison prennent leur petit-déjeuner assez tard, vers 8h30 ou 9h. Malgré les supplications d’Agathe qui veut à nouveau faire l’amour, Jacques s’éclipse et remonte chez lui par l’escalier dérobé avant que les autres chambres ne libèrent dans le couloir le trop plein d’invités.
Agathe Donamaria de Urroz vit avec sa sœur et son beau-frère depuis son plus jeune âge, au Château de Garralda, qui se situe près de la frontière espagnole dans la vallée des Aldudes. C’est une vieille fille qui ne s’est jamais mariée à cause d’un amour de jeunesse infidèle. Âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse courtiser par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Les deux femmes se prêteront à toutes les folies où les entraînera Jacques, se mélangeant avec le notaire de la famille et son épouse, goûtant aux amours saphiques et incestueuses, allant même jusqu’à forniquer avec leur personnel, de la camériste au palefrenier jusqu’au bûcheron espagnol. Jacques leur fera connaître une nuit orgiaque dans un club échangiste de Toulouse et Agathe, devenue insatiable se fera prendre par le membre démesuré de son palefrenier jusqu’à sombrer dans la folie.
II - Le dépucelage
Agathe, après avoir donné le bonsoir aux convives qui ne sont pas encore partis se coucher, regagne son appartement situé au premier étage, au fond d’un couloir, assez loin des appartements de son beau-frère et de sa sœur. Il n’y a personne d’autre à cet étage. Les quinze chambres d’invités se trouvent au second, alors que Jean, le fils de la maison s’est aménagé une garçonnière dans l’ancienne maison du garde-chasse ; d’ailleurs, actuellement, il effectue un stage aux U.S.A. Elle rêvasse un peu, puis se décide à faire sa toilette. Elle se déshabille complètement, puis elle prend un bain garni de sels parfumés et d’huiles adoucissantes. Elle se caresse les seins négligemment, les trouvant un peu opulents, bien qu’ils soient très fermes et ne tombent absolument pas. Elle frotte légèrement ses mamelons qu’elle trouve aussi proéminents, les faisant durcir entre ses doigts. C’est la première fois de sa vie qu’elle ose ainsi toucher son corps avec un certain plaisir. Des frissons au souvenir des baisers du matin lui font faire des choses qui lui paraissent inimaginables. Sa main qui tient un savon odorant vient tout naturellement s’insinuer entre ses jambes, faisant clapoter l’eau savonneuse et huileuse. Son autre main vient aussi négligemment caresser l’intérieur de ses cuisses, lui occasionnant des frémissements voluptueux. Ses doigts viennent se perdre dans la fourrure abondante et mouillée qui entoure sa vulve et un gémissement sort de ses lèvres lorsque, par inadvertance, ses doigts frôlent son pubis, découvrant pour la première fois que le petit bouton de son clitoris est si sensible. Jamais elle n’a exploré son corps de cette façon. Honte et plaisir se mélangent dans son subconscient et, sans presque le savoir, elle se procure ses premières caresses qui lui occasionnent de divines sensations. Elle vient à son corps défendant de découvrir la masturbation. Bien sûr, ce ne sont que des attouchements que se procurent les petites filles impubères, mais, ignorante de ces choses, elle y trouve un plaisir trouble qu’elle prolonge ainsi durant plus d’une heure.
Pendant ce temps, Jacques rassemble les achats qu’il a effectués en ville dans le courant de l’après-midi. Dans un sac isotherme, il place une bouteille de champagne bien frappée et une bouteille de Sauternes, des toasts au foie gras de canard, au saumon et au caviar d’Iran, achetés chez un traiteur, deux flûtes de champagne en argent, dans lesquelles les deux vins pourront se boire, tout est prêt pour une nuit coquine, et surtout, pour l’éducation sexuelle d’une vierge…… Car, il se prépare à déflorer une femme qui n’est pas de première jeunesse bien sûr, mais Agathe est très agréable à regarder et ses appas paraissent prometteurs. La verge de Jacques devenant tout à coup très dure et gonflée, il décide qu’il est temps de partir à la conquête du corps qui le fait autant bander. Par un petit escalier au bout du couloir qui descend au premier étage, à la hauteur du petit appartement d’Agathe, loin de celui des maîtres, il se rend à pas feutrés vers la porte de la belle qu’il compte bien révéler cette nuit. Il a passé un pantalon de pyjama en satin noir, une veste d’intérieur bordeaux et une paire de mocassins noirs. Pas de dessous, plus facile d’ôter ses vêtements en cas de réussite. En vérifiant sur la clenche, il trouve la porte d’Agathe non fermée à clé, mais la refermant doucement, il gratte tout de même sur la porte, ne craignant pas de faire de bruit dans cette partie du château éloignée de tout.
Agathe qui est sortie de son bain s’est revêtue d’une large culotte en satin blanc, passant par-dessus une chemise de nuit assortie, qui comporte deux petites bretelles sur un décolleté carré bien sage, le bas de la chemise arrive un peu au-dessus du genou et elle a mis des mules en cygne blanc qu’elle affectionne particulièrement. Lorsqu’elle entend gratter à la porte, sans réfléchir elle va ouvrir dans cette tenue, pas indécente bien sûr, mais tout de même trop désinvolte. D’ailleurs elle pense que c’est sa sœur Gaëlle qui vient lui demander quelque chose. Lorsqu’elle ouvre, elle est surprise de se trouver en face de Jacques, confuse de se trouver devant lui dans une tenue qu’elle trouve trop osée et surtout, un peu paniquée par une échéance qu’elle n’escomptait plus.
Oh !… C’est vous Jacques, excusez mo…. excusez ma tenue, je m’apprêtais à aller me coucher. Je vous en prie, entrez et installez vous, je vais passer un peignoir.
En contemplant Agathe qui s’éloigne vers sa chambre, Jacques songe avec regret qu’il a indubitablement négligé de la regarder pendant de nombreuses années. Il admire ce corps très bien fait, contemplant ses seins et ses fesses qui ondulent sous le satin de la chemise de nuit qui fait apparaître en transparence des courbes prometteuses. Dire que lorsque qu’elle avait vingt de moins, il avait alors douze ans, et que ses premiers émois datent de cette époque. Agathe revient à cet instant, ayant revêtue un léger peignoir pour couvrir sa tenue qu’elle juge par trop indécente. Elle vient s’asseoir sur le canapé à côté de Jacques et lui dit en souriant.
C’est la première fois que vous venez dans mon petit appartement, c’est gentil de me rendre visite, bien qu’il soit bien tard pour que cela soit convenable. Il est vrai que dans cette partie du château, nous serons les seuls au courant.
Ma chère Agathe, j’ai profité de cet après-midi pour faire quelques achats en prévision d’une soirée en tête-à-tête. J’espère que vous êtes dans les mêmes dispositions que ce matin et que vous m’accorderez la faveur d’être votre précepteur particulier ?
Oh ! Jacques, je ne sais plus où j’en suis. J’ai même découvert des plaisirs troubles dans mon bain ce soir, j’en ai presque honte. Dans quoi allez vous m’entraîner ?
Pour l’instant ma chère, nous allons boire de cet excellent champagne, en le sablant à un tête-à-tête que nous aurions dû provoquer, il y a bien longtemps. Je n’ai que des regrets à vous avoir négligé depuis que nous nous connaissons. Cela fait plus de vingt ans et c’est seulement depuis deux jours que je découvre en vous la femme que vous êtes réellement. Je ne me le pardonnerais jamais. Tenez buvons à nous et à notre rencontre tardive !
Merci Jacques, Je sais qu’il est bien tard pour moi. Pourtant je n’ai aucun regret, je ne me suis jamais senti prête à aimer et à avoir des envies charnelles. Il a fallu que ce soit vous qui alliez chercher au plus profond de moi des ressources que je ne me connaissais pas.
Ils boivent en se regardant au fond des yeux, Jacques sert à nouveau le champagne dans les flûtes alors qu’Agathe avale sans rechigner le second verre, voulant sans doute s’enivrer un peu, préalablement à ce qu’elle pressent. Mais Jacques veut qu’elle soit consciente, aussi il range la bouteille de champagne dans le sac isotherme et enlace sa compagne en lui murmurant de doux propos dans l’oreille. Elle se laisse aller contre l’épaule de son compagnon, alors que celui-ci lui caresse les cheveux. Se penchant sur ses lèvres, il l’embrasse profondément durant de longues minutes. Agathe se sent tout amollie entre ses bras et elle répond fougueusement au baiser qui la transporte au septième ciel. Jacques écarte avec délicatesse le peignoir, laissant une main frôler le satin de la chemise de nuit. Agathe se raidit soudain lorsque la main s’applique sur son sein gauche. Mais Jacques a bien senti la réticence de sa partenaire, aussi il glisse sur le sein, passant très légèrement sur le second et défait la ceinture du peignoir pour agir plus facilement. Alors que leur baiser s’éternise et qu’Agathe a fermé les yeux, Jacques laisse sa main glisser sur la taille de la femme qui frémit à cet attouchement qui explore son corps, mais elle n’essaie pas de se soustraire aux agissements de son futur amant. Celui-ci a bien compris qu’elle est consentante mais que ses préjugés et sa trop longue abstinence lui occasionnent une répugnance qu’elle a du mal à contrôler. Par petits à coups, Jacques réussit à lui ôter son peignoir, et c’est, toute rougissante qu’elle se blottit dans ses bras, se sentant indécente devant lui.
- J’ai honte Jacques, je suis presque nue devant vous et vous êtes encore habillé comme si vous étiez un médecin en train de m’examiner. J’ai peur, vous le savez bien. Toutes ces choses que je vais découvrir et que je considérais encore peu comme abjectes. Pourtant je ne peux vous cacher qu’à présent, j’ai une grande envie de les connaître.
Jacques, pour la mettre à l’aise retire sa veste d’intérieur. Il se trouve ainsi torse nu, exposant sa peau bronzée et ses muscles proéminents. Le contact de la peau de l’homme nu contre son corps bien mal couvert par sa chemise de nuit, électrise Agathe qui se love maintenant contre le torse de l’homme. Celui-ci, prenant moins de précaution, englobe de ses deux mains les globes fermes des seins qui se trouvent à sa portée. Agathe pousse un gémissement, mais n’ose se dérober à la caresse de l’homme qui devient de plus en plus insistante. Jacques pétrit les gros nichons de la belle, pinçant par moments les bouts turgescents et arrachant des petits cris de douleur et de plaisir mélangés à la belle quadragénaire. Mais Jacques décide qu’il faut maintenant aller plus loin, aussi prenant les bretelles de la chemise de nuit, il les fait glisser rapidement des épaules et dénude la poitrine d’Agathe qui ferme les yeux, ne pouvant soutenir le regard de son soupirant qui fixe avec avidité les deux globes charnus dont les aréoles brunes laissent percer des pointes durcies par l’excitation. Aussitôt, il embrasse et lèche à tour de rôles les deux mamelons, mordant sans vergogne dans la chair bien ferme et pinçant de ses lèvres les deux bourgeons contractés, faisant haleter Agathe qui se trémousse sous lui. Elle a lancé ses bras autour du cou de Jacques, l’embrassant dans le cou et sur son torse, affolée par l’odeur qu’il dégage, excitant son nez, plongé dans les poils du torse et des aisselles de son suborneur. Jacques ne se lasse pas de la gorge généreuse qui s’offre à lui, mais il sait qu’il lui faut aller plus loin et que le risque d’un refus existe toujours.
Il laisse maintenant une de ses mains se glisser le long du corps d’Agathe, atteignant bientôt le genou qui s’est découvert durant les ébats de la femme. Jacques sent aussitôt tout le corps d’Agathe qui se contracte. Même innocente, elle se doute que la main va se glisser dans un endroit qu’elle n’ose nommer et que le moment crucial approche. Pourtant la main de Jacques avance comme un reptile sur la cuisse et remonte vers les replis de la culotte. Elle s’arrête un moment, alors que la respiration de la femme s’accélère, puis elle reprend sa reptation et vient se poser sur le ventre qui tressaute sous l’attouchement un peu plus précis. Agathe halète carrément. Elle ne sait encore si elle va accepter que son compagnon aille plus loin.
À ce moment, il reprend ses lèvres et introduisant sa langue il l’affole suffisamment pour qu’elle ne se rende plus compte de ses agissements. En effet, Jacques a glissé sa main dans le bas très large de la culotte et elle remonte maintenant vers le pubis nu d’Agathe, qui, bouleversée, se laisse faire tout en serrant furieusement les cuisses. Jacques caresse délicatement le mont de vénus, entortillant ses doigts dans l’abondante toison qui recouvre la vulve. Petit à petit, il réussit à desserrer l’étau des cuisses raidies par l’angoisse et sa main effleure maintenant le renflement des grandes lèvres qui frémissent, glissant deux doigts dans la fente à peine éclose, qu’il trouve chaude et tendre. La femme inopinément se laisse aller, se résignant et se soumettant aux désirs du mâle. Jacques a bien senti que la résistance de la femme qu’il veut façonner, a disparu. Aussi, il agit le plus délicatement possible, laissant ses doigts parcourir l’intérieur des cuisses, à l’endroit le plus sensible de la peau féminine, puis lentement, il vient faire le tour de la vulve, appuyant à peine en passant sur le renflement du capuchon du clitoris. Tout le corps d’Agathe frémit à ces attouchements voluptueux. Des larmes coulent le long de ses yeux et Jacques les sèche avec sa langue et sa bouche, essayant de rassurer la biche effarouchée, par des mots tendres glissés contre son oreille.
- N’ayez pas peur ma bien-aimée, tout ce que je serais capable de vous faire ne pourra que vous être agréable. Détendez-vous. Vous êtes très belle ainsi. Votre corps est magnifique et votre peau est si douce. Laissez-vous aller dans mes bras. Vous êtes faite pour l’amour ma chérie et votre corps ne demande qu’à s’épanouir.
Cette fois, Jacques agit avec la plus grande rapidité. Se glissant aux pieds d’Agathe, il retrousse sa chemise de nuit, retirant prestement sa culotte avant qu’elle n’ait pu protester, puis, tenant toujours le tissu le plus haut possible, il glisse sa tête entre les jambes galbées qu’il tient écartées avec ses deux mains, puis il embrasse l’intérieur des cuisses, le pubis et prend le vagin entre ses lèvres, arrachant un hurlement à la pauvre femme, qui ne se doutait pas que l’on puisse sans vergogne toucher avec une bouche des parties aussi intimes. Jacques agit avec adresse et célérité, ne voulant pas que la femme se reprenne, aussi il lèche les grandes lèvres et le capuchon du clitoris, dégageant celui-ci, puis, il prend entre ses lèvres le bouton orangé qui saille à présent de sa cachette. Agathe se tend en avant lorsque les lèvres sucent avec délicatesse cette excroissance aussi sensible du corps féminin. Soudain, vaincue, elle se laisse aller, ouvrant ses cuisses et laissant sa vulve béante aux regards et aux agissements de l’homme qui procède à son éducation, s’offrant cette fois sans retenue au mâle triomphant. Ce sont ses premiers pas dans l’acte charnel et, toute honte bue pour ce qu’elle est en train de subir, elle laisse la jouissance déferler en elle, oubliant son éducation, son honneur et sa vertu, perdant par la même toute convenance et décence alors que sa chasteté est bien près d’être outragé. Jacques lape avec constance le clitoris et l’ouverture du vagin qui laisse couler maintenant un flot ininterrompu de cyprine dont l’odeur l’affole.
Agathe jouie sans discontinuer, elle remue sa tête dans tous les sens et pousse de petits cris inintelligibles. Enfin, après un hululement prolongé, elle s’affaisse, anéantie par la trop grande jouissance qu’elle vient d’éprouver. Jacques, tout en se redressant, la découvre inanimée, abandonnée dans une pose alanguie et offerte à la virilité du premier homme qui voudrait la pénétrer. Pourtant, il la veut en pleine possession de ses moyens lorsqu’il se sentira autorisé à la déflorer. C’est pourquoi, il profite de son inconscience pour la déshabiller entièrement, en fait il ne lui reste qu’à faire glisser la chemise de nuit, car le haut du corps était déjà dénudé alors que la culotte jonche au bas du canapé. Puis, la prenant dans ses bras, il l’emporte dans la chambre et la glisse sous le drap. Enlevant prestement son pantalon de pyjama, il se glisse à côté d’elle et, l’enlaçant, il bécote son cou et mordille ses oreilles. Sous les caresses stimulantes et agaçantes, Agathe reprend conscience et paraît étonnée de se retrouver dans son lit, sentant le corps nu de l’homme qui l’étreint contre lui. Soudain, se souvenant à quoi elle s’est soumise avec la plus grande indécence, le rouge lui monte aux joues avec un sentiment de nausée. Elle n’ose regarder son compagnon, qui se rend bien compte de son état et qui essaie de la rassurer.
- Ma chérie, vous avez joui magnifiquement. Je sais que c’est une sensation qui vous a été étrangère jusqu’à ce jour, mais je peux vous assurer que vous avez pris beaucoup, de plaisir et que vous n’avez pas à avoir honte de votre comportement. Je suis certain que votre sœur dans les bras de son mari éprouve ou a éprouvé les mêmes émotions, pourtant, eh là, je veux vous rassurer, vous êtes encore vierge ma chère, je n’aie pas profité de la situation et de votre abandon.
Agathe n’ose regarder son compagnon. Elle a repris des couleurs, cette fois ses joues sont devenues rouge pivoine, de toute évidence, à cause des propos très suggestifs qu’elle vient d’entendre. Pourtant elle se décide à répondre.
- Jacques, je me sens méprisable. Vous m’avez vu plus que nue, étendue et grande ouverte devant vous, je ne m’en remettrais jamais. Oh ! Mon Dieu quelle déchéance, avec votre bouche et votre langue sur mon sexe et vos yeux qui plongeaient dans mon intimité.
- Allons ma chérie, arrêtez de faire l’enfant. Vous n’êtes plus une petite fille. Nos corps nous appartiennent et ce que nous avons fait, des millions d’autres gens de toutes conditions le font tous les jours, pour leur plus grand plaisir d’ailleurs. Vous avez un corps magnifique, je vous l’aie déjà dit et vous jouissez merveilleusement. Votre sexe est encore tout mouillé de l’excitation que vous avez éprouvée, d’ailleurs je le sens encore frémir sous mes doigts, vous ne pouvez en disconvenir n’est ce pas ?
Jacques avait profité de la conversation, et de l’abandon incontestable de son amie, pour glisser une main entre ses cuisses et pour caresser à nouveau la vulve qui palpitait d’une façon désordonnée. Agathe, malgré ses réticences, ne se dérobe pas sous les attouchements qui lui donnent des sensations si prodigieuses, bien au contraire, rassurée par les paroles de son compagnon, elle déploie ses cuisses sous la main qui explore son intimité, poussant de gros soupirs à la jouissance qui renaît dans son corps épanoui. Jacques l’embrasse à nouveau sur la bouche, son corps se retournant vers elle laissant sa verge, qui bande furieusement, heurter l’aine et la cuisse de sa compagne qui, bien qu’ignorante, ne peut méconnaître le sexe de son compagnon, dardant ainsi sa volonté de pénétrer l’innocente qu’elle est encore. Après tout, elle a confié à son compagnon ce matin qu’elle désirait être initiée aux joies de l’amour. Il ne lui reste plus qu’à subir l’assaut final. Elle a eu trop de plaisir depuis plus d’une heure pour reculer à présent, même si elle est effrayée par l’engin qui va pénétrer ses chairs encore vierges à son âge. Va-t’elle avoir très mal ? Son hymen doit être racorni par le temps qui s’est écoulé, aussi il sera sûrement très difficile à percer. Quelle idiote de n’avoir pas su profiter de sa jeunesse, alors qu’elle ressent des sensations aussi voluptueuses. Jacques pendant tout le temps de réflexion de sa compagne n’a pas perdu de temps, il masturbe et caresse avec application le sexe en feu, qui s’ouvre de plus en plus sous sa main. Il a glissé un doigt au bord du vagin et a senti la résistance de l’hymen intact. C’est bien une vierge qu’il va dépuceler et cela l’excite au plus haut point. Agathe sous les caresses libidineuses de son amant, ondule de plaisir et soudain, n’y tenant plus, elle souffle dans l’oreille de son compagnon.
- Mon chéri, venez… Venez dans moi… Je vous en prie. Oh ! C’est merveilleux, continuez ou prenez-moi, je veux jouir, mais j’ai peur mon amour, si vous saviez comme j’ai peur !
- Allons ma douce, écartez bien vos cuisses et remontez les vers vous. Oui ! Comme cela, N’ayez aucune crainte. Je ferais le plus doucement possible mon amour.
Ce faisant, Jacques s’est mis à genoux entre les cuisses d’Agathe qui, sur sa demande, les retient remontées sur son ventre en les écartant avec ses deux mains. À ce moment, Jacques, présente sa verge devant l’échancrure de l’orifice inviolé, puis, tout en maintenant son pénis d’une main, il lui imprime une circonvolution lente en effleurant le clitoris, afin d’exciter encore Agathe et de la rassurer. Enfin, appuyant sur l’hymen qui résiste à sa poussée, il se laisse aller progressivement en avant, transperçant la fine membrane et, arrachant de ce fait, un bref cri de douleur à l’innocente quadragénaire. En dernier lieu, sentant qu’il a crevé l’hymen convoité, il glisse son organe graduellement dans l’orifice qui, sollicité depuis plus d’une heure, lubrifie à présent à profusion, s’enfournant jusqu’au fond de la matrice. Puis, il s’immobilise, afin que la chaste ingénue s’habitue à cette présence insolite au plus profond de son intimité jusqu’ici inviolée. De grosses larmes coulent sur les joues de la vieille fille devenue enfin femme. Jacques étanche ces grosses gouttes avec sa bouche et bécote le tour des lèvres de sa proie enfin consentante. Elle lui sourit douloureusement, s’accrochant à son cou de ses deux bras, alors qu’il commence un doux va-et-vient dans le fourreau étroit qui enserre aussi bien sa verge. Progressivement, le bassin de la femme s’agite en cadence, dans le même temps où le pénis s’enfonce et se retire alternativement de l’orifice vaginal. Agathe entoure le torse de Jacques de ses jambes nouées et projette en avant son ventre vers le membre qui la fouille et ravage ses chairs meurtries. Elle ne peut se cacher qu’elle prend du plaisir à l’accouplement sexuel et c’est, sans plus aucune retenue, qu’elle prend plaisir à faire l’amour avec l’homme qui vient de la révéler.
- Je t’aime mon amour, je t’aime, Oh ! Je t’aime, viens dans moi encore mon chéri. Que c’est bon. Oh ! Oui, encore, viens, viens. Oh ! Mon Dieu quel plaisir. Merci mon chéri, merci, merci…..
Cette fois, Agathe n’a plus aucune inhibition ni refoulement d’aucune sorte, elle se fait transpercer par la bite de Jacques avec une délectation incroyable. Celui-ci prend son pied sans vergogne, pilonnant sans interruption la trouée béante qu’il vient de faire dans cette chatte si longtemps immaculée. Il enfonce ses doigts dans les fesses d’Agathe qui, toute à la houle de jouissance déferlante qui envahit son ventre de femme n’a aucune réaction aux doigts qui la torturent. Elle voudrait que le dard qui s’enfonce en cadence dans sa chair intime ne s’arrête jamais. Elle se surprend à crier sans retenue sa jouissance, s’agitant sans cesse et s’agrippant à son pourfendeur jusqu'à ce qu’elle sente un liquide chaud gicler dans ses muqueuses et, au bout de quelques secondes, l’homme s’écrouler sur elle à bout de souffle. Elle l’embrasse partout où elle le peu, le remerciant de l’hommage et du bonheur qu’il vient de lui prodiguer.
Le couple enlacé étroitement reprend des forces. Il y a plus de deux heures que leurs ébats se sont engagés et ils ont besoin de reprendre des forces. Jacques suggère que l’on fasse appel aux provisions qu’il a apporté dans son sac isotherme. Agathe acquiesce et en se levant, elle s’apprête à enfiler son peignoir. Jacques l’arrête d’un bras.
- Ma chérie, après ce que nous venons de vivre, hors de question que tu portes de nouveau un rempart à ta nudité. Nous nous restaurerons nus tous les deux. Je veux te voir telle que tu es, me rassasier de ton corps, de tes jambes et de tes cuisses, de tes seins et de tes fesses et surtout mon amour de ta jolie chatte que je viens de fouiller et de faire vibrer. Puis à toi de me voir nu, de t’habituer à contempler sans peur la queue qui t’a fourré ton con dilaté et si accueillant.
- Jacques, tu es un monstre et tu me dis des choses affreuses de vulgarité. Mais viens avec moi, je veux bien faire tout ce qu’il te plaira malgré la débauche dans laquelle tu m’entraînes et l’humiliation atroce que tu me fait subir.
Jacques la prenant par la main, l’emmène dans le salon, et, déballant les victuailles et la bouteille de Sauternes, ils se restaurent en se regardant dans les yeux. Agathe est un peu pompette après avoir bue la moitié de la bouteille de vin blanc sucré, mais elle a repris des forces avec le caviar, le saumon et le foie gras ingurgités. Aussi, elle a de nouveau envie de faire l’amour et se collant à Jacques elle l’embrasse dans le cou en lui disant qu’elle recommencerait bien.
- Mais ma chérie, je ne suis pas une machine, mon sexe a besoin de repos, ou alors il faut le stimuler. C’est à toi maintenant de savoir lui rendre sa rigidité pour que je puisse à nouveau t’honorer.
- Mais… Mais, je ne sais pas, tu m’as promis de tout m’apprendre, comment m’y prendre ?
- Eh ! Bien ma chérie, il faut me faire la même chose que je t’ai faite, avec tes jolies mains, tes doigts si agiles et, si tu t’en sens le courage, avec ta bouche adorable.
- Oh ! Mon Dieu ! Je n’oseraies jamais. Tu es un monstre dégouttant, tu… tu.. veux… que je… prenne ton sexe dans ma bouche ?
- Mais ma chérie, c’est bien ce que j’ai fait avec ton vagin et ton clitoris. Ce sont des choses qui se font habituellement entre deux personnes du sexe opposé tu sais. Le monde entier fais cela et toi tu refuserais de me rendre ce qui t’as fait jouir autant ?
Un silence pesant s’installe. Agathe n’ose plus regarder son amant qui se caresse la verge nonchalamment. Enfin, elle se décide soudain et lui glisse dans un souffle.
- Oh ! Comme j’ai honte mon amour. Je suis vraiment trop égoïste. Je vais faire mon possible, mais tu vas rire de ma maladresse, j’en suis sûr.
- Mais non mon amour, pourquoi me moquerais-je de toi, je vais te montrer, tiens prends la tige de mon pénis entre tes doigts, tu sens comme il est mou, serre doucement et fais un va et vient avec tes doigts, tu vois, il durcit et grossit. C’est tout simple, Aïe ! Ne serre pas trop fort. Oui comme cela. Oh regarde comme il devient gros et dur. Tu vois que ce n’est pas difficile de faire bander un sexe d’homme. Maintenant si tu veux vraiment me faire plaisir, penche-toi et prend le entre tes lèvres. Oui, ma chérie comme cela, tu vois ce n’est pas aussi ignoble que tu le penses. Bien, maintenant enfonce le légèrement dans ta bouche et fais-le glisser entre tes lèvres. Ah ! Ma chérie, c’est divin, oui continue, je suis aux anges, ta bouche suçant mon vit est délicieuse. Oh ! oui tu as deviné, ta langue qui lèche mon gland, cela me procure d’intenses sensations. Arrêtes, non je t’en supplie arrêtes ou je vais jouir.
Jacques, très excité, se retire de force de la bouche d’Agathe, il ne veut pas éjaculer déjà. Et puis c’est trop tôt pour qu’elle accepte de recevoir son sperme dans sa bouche et surtout qu’elle l’avale sans haut-le-cœur. Il le fera lorsqu’elle sera plus aguerrie. Il lui explique tout cela alors qu’elle l’écoute avec des grands yeux effarés, découvrant des jeux libidineux auxquels elle ne s’attendaient nullement. Jacques lui demande si elle veut vraiment connaître toutes les facettes de l’amour et si pour cela, elle se sent prête à faire tout ce qu’il lui demandera ?
- Tu me demandes d’être ton esclave consentante, prête à subir tous tes caprices, c’est cela que tu veux mon amour ?
Jacques ne répond pas, il la regarde seulement avec une grande intensité jusqu’aux fonds des yeux, attendant qu’elle prenne sa décision seule et en toute conscience. Il ne veut pas l’influencer, car si elle accepte, il compte bien lui faire connaître tous les outrages et, pourquoi pas, la partager avec d’autres hommes. Cela et bien d’autres choses encore qu’il ne peut lui dire. Il veut seulement qu’elle soit prête à tous les sacrifices sans qu’il soit, à chaque fois, obligé de lui réclamer son accord. Le silence se fait pesant. Agathe a la chair de poule. Il ne fait pas froid dans son salon, mais la perspective d’être entraînée dans une folle aventure où elle ne sera qu’un objet à la disposition d’un homme aussi averti la fait s’interroger, car elle n’est pas dupe, son jeune amant en voudra toujours un peu plus. Pourtant ses sens à peine éveillés lui demandent d’accepter ; elle se meure d’envie de faire des folies de son corps si tardivement révélé. Alors, des larmes dans les yeux, elle se décide.
- Tu pourras faire de moi ce qu’il te plaira Jacques. J’accepte toutes les horreurs que tu voudras me faire subir, même si j’y perds mon honneur et ma dignité. Je sais très bien que tu vas m’entraîner dans la débauche et le vice. Du moment que tu me fais jouir, je suis d’accord pour être ton esclave, sexuelle ou autre.
- Mais ma chérie, je ne t’en demande pas tant. Progressivement j’essaierais de te faire découvrir toute la jouissance que ton corps pourra t’offrir, mais en échange il te faudra apprendre à me faire jouir aussi et peut être d’autres. En attendant viens près de moi, nous allons encore faire l’amour et j’ai envie de boire à ta source de volupté. Écarte tes cuisses et tend ton ventre que je vois ta vulve palpiter devant mes yeux !
Agathe, éperdue de confusion, s’ouvre comme le lui a ordonné son amant et tend son pubis vers le regard acéré qui la fouille avec insolence. L’homme avec ses deux mains écarte le vagin qui baille bientôt, offrant ses chairs d’un bel rouge orangé, alors que déjà, une liqueur suinte de la fente largement ouverte. Aussi, penchant sa tête, il lape avec sa langue la miction vaginale, humant le fumet épicé qui se dégage de la moule gluante de la quadragénaire. Celle-ci râle sous la jouissance que lui procure la langue qui pénètre son puits d’amour, elle secrète de plus en plus un liquide visqueux que Jacques aspire et boit avec délectation. Puis, délicatement, l’amant habile décalotte le clitoris avec ses lèvres et l’aspire tout doucement, pinçant ses lèvres pour le retenir dans sa bouche et le mordillant par moments, arrachant à la femme pantelante de sourds gémissements. Plusieurs fois elle jouit bruyamment, les orgasmes se succédant sans presque discontinuer et, alors qu’elle tente de s’échapper, Jacques la maintient solidement pas les cuisses qu’il a enserrées dans ses bras, pompant son suc et l’épuisant de jouissance jusqu’à ce qu’elle crie grâce. Se redressant vivement, alors qu’elle est presque sans connaissance, il la pénètre brutalement, la faisant sursauter sous le pieu qu’il enfonce sans ménagement dans sa vulve, la baisant furieusement et longuement, jusqu’à ce que tous deux, s’écroulent anéantis par leurs jouissances respectives.
La grosse horloge du château sonne quatre coups, confirmant qu’il est maintenant quatre heures du matin. Il y a cinq heures que le couple s’adonne aux joies de l’amour, en conséquence, ils s’endorment d’un seul coup, terrassés par leur démesure.
Lorsqu’ils se réveillent, il est presque huit heures du matin. Heureusement, les invités et les maîtres de maison prennent leur petit-déjeuner assez tard, vers 8h30 ou 9h. Malgré les supplications d’Agathe qui veut à nouveau faire l’amour, Jacques s’éclipse et remonte chez lui par l’escalier dérobé avant que les autres chambres ne libèrent dans le couloir le trop plein d’invités.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le verbe mourir s'écrit bien entendu meurt avec un T - désolé, je ne sais plus si c'est une faute de frappe ou d'inattention, mais j'aurais du m'en apercevoir lors d'une relecture. Mea culpa.
Vieulou
Vieulou
Elle "meure" d'envie; un verbe que j'ignorais jusqu'à aujourd'hui ! Le verbe "meurer", peut-être ? Ceci étant dit, comme l'écrit "MaîtreChat", vous vous approchez d'une œuvre, j'en attends un chef-d’œuvre... !!!!
Merci encore et bonne journée.
Didier
Merci encore et bonne journée.
Didier
Le deuxième épisode vaut le premier... un délice.
Voilà une belle histoire, bien racontée qui nous mets dans l'impatience de la suite...
MaîtreChat
Voilà une belle histoire, bien racontée qui nous mets dans l'impatience de la suite...
MaîtreChat
Trés bien écrit comme d habitude et bandant !