Les talons rouges (épisode N°07) La double infamie
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les talons rouges (épisode N°07) La double infamie
LES TALONS ROUGES (épisode N°07)
Agathe Donamaria de Urroz âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence entraîne également sa sœur, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Elle se laisse dominer par le jeune homme et se laisse aimer charnellement dans un des appartements inoccupés du château.
VII - La double infamie
Ce soir, étonnamment, aucun parent, aucun invité ne demeure au château de Garralda. C’est l’occasion pour Jacques et Gaëlle de se retrouver pour dîner en tête-à-tête. Vers vingt et une heures, alors que les domestiquent débarrassent la table, ils se souhaitent le bonsoir comme s’ils ne devaient se revoir que le lendemain matin. En fait, Jacques après être passé par sa chambre au 2e étage, redescend au premier une demi-heure après et se dirige vers les appartements des châtelains. Il gratte à la porte et aussitôt Gaëlle lui ouvre, se lovant contre lui et l’embrassant amoureusement dès que la porte est refermée. Elle porte un genre de robe en voile blanc qui drapée sur son corps laisse deviner sa nudité sous le tissu vaporeux. En fait, explique-t-elle, c’est son voile de mariée qu’elle a disposée ainsi sur son corps pour fêter son second mariage, plus important pour ses sens que le premier avoue-t-elle à son amant. Ce soir, lui stipule-t-elle, elle a décidé de lui offrir son postérieur. Elle sait qu’elle va certainement avoir affreusement mal, mais elle veut que Jacques prenne du plaisir en dévirginisant sa croupe. Aussi, elle lui demande de faire comme il l’entendra, avec douceur ou brutalement comme il le voudra, elle est prête à supporter ses désirs les plus ignobles.
Jacques la regarde avec beaucoup d’étonnement. Décidément, cette presque quinquagénaire, elle fêtera ses cinquante ans dans quelques mois, est très surprenante. D’abord elle a un corps de déesse et ne fait pas son âge, loin de là. En outre, cette femme, aussi innocente qu’une jeune fille, à qui il se promet de lui faire découvrir les différentes façons de faire l’amour, se révèle à lui comme un cadeau incroyable. Elle s’offre ingénument à ce que toute femme a le plus de mal à accepter, tout du moins la première ou plus souvent les nombreuses premières fois. Il sait bien que la douleur qu’il va lui infliger en forçant ses sphincters avec son pénis lui sera intolérable. Elle a un trop petit cul, exagérément serré, il s’en est bien rendu compte avec le mal qu’il a eu à introduire son deuxième doigt cet après-midi.
Pourtant Gaëlle a l’air bien décidée. En un tour de main elle s’est mise nue et, se mettant à quatre pattes sur un sofa, elle se penche en avant et, avec ses deux mains, elle s’ouvre les fesses, attendant que son seigneur et maître la pourfende de son épée de chair. Jacques s’approche et flatte la croupe offerte, appréciant sous ses doigts le rebondi des petites fesses qu’il malaxe et empoigne avec envie. Pour calmer la belle châtelaine il lui annonce tout de même ce qu’il a concocté.
- Ma chérie, je ne vous cache pas qu’avec votre petit cul d’aristocrate, vous allez déguster. Vous n’avez pas la croupe de jument de votre sœur, aussi il va falloir une bonne partie de la soirée pour vous préparer à recevoir ma trique dans votre si joli fessier. J’ai apporté avec moi quelques accessoires qui vont aider à votre dépucelage anal. Tenez, regardez ! Voici trois anus picket de dimensions différentes. Ces semble verges sont destinés à des œillets comme le vôtre, ils vont habituer progressivement les muscles de vos sphincters à subir sans dommage l’écartèlement nécessaire au passage de ma verge. Croyez bien que je ne demanderai pas mieux que de vous fourrer mon vit immédiatement et à sec, cela me ferait jouir intensément de la souffrance que je vous occasionnerais, mais cela serait par trop inhumain. Considérez-vous comme une petite fille ma chère, votre corps est aussi gracile qu’une adolescente et je ne peux me résigner à l’abîmer. Mais ne vous y trompez pas. C’est avec beaucoup de délectation que je vais vous préparer pour pouvoir enculer tout à l’heure votre si mignon petit cul.
Tout en parlant, Jacques a enduit la rosace de la crème émolliente qu’il avait déjà utilisée avec Agathe, faisant pénétrer la crème dans l’anus à satiété, puis prenant le plus petit gode, qui est tout juste plus gros qu’un doigt, il le pousse dans le goulet étroit, vrillant l’objet en plastique pour qu’il entraîne la pommade sur toutes les parois du conduit rectal. Gaëlle a eu un petit sursaut au passage du sphincter, mais à présent elle accepte sans broncher le va-et-vient de l’olisbos qui prépare son derrière à la sodomisation. Jacques ne peut s’empêcher de passer les doigts de son autre main sous le ventre de sa proie, titillant le bouton d’amour et introduisant deux doigts dans le vagin qui secrète déjà une miction abondante. Une fois que l’olisbos glisse sans difficulté dans le noble croupion, il le retire délicatement et, enduisant le second de la pommade, il le présente devant l’orifice encore étroit.
L’engin fait trois centimètres de diamètres environ, aussi, l’introduction est plus difficile. Gaëlle, comme le lui a recommandé Jacques, pousse comme si elle allait à la selle, retenant les gémissements qu’elle devrait proférer à cette intromission difficile. Enfin, l’engin s’est engagé dans le fondement. Jacques enfonce très progressivement l’olisbos, alors que de grosses larmes coulent sur le visage de l’aristocrate. Jacques fait aller et venir le godemiché jusqu’à ce qu’il soit enfoui jusqu’à la garde. Puis il demande à Gaëlle de se reposer tout en gardant l’anus picket fiché entre ses fesses. Celle-ci, ne voulant pas trop réfléchir durant cette attente et risquer de renoncer, veut se rendre utile. Pour cela, elle dégrafe le pantalon de son amant, et sortant sa queue de son étui, elle lui fait une fellation comme si c’était une professionnelle. Jacques n’en revient pas, en si peu de temps elle vient d’acquérir une habileté incroyable. Cette femme est vraiment douée pour l’amour, quel dommage qu’il ait fallu qu’elle attende si longtemps pour se révéler à elle-même. Elle se comporte comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Ayant complètement oubliée ses complexes de personne « bien née », elle se donne et agit comme les jeunes femmes actuelles qui utilisent le sexe comme les hommes d’autrefois.
- Ma chérie, je vous remercie de la petite gâterie que vous me faite, seulement, je ne pourrais tenir très longtemps si vous continuez à me sucer avec tant d’ardeur. Voyons un peu où en est votre ouverture anale ma chère. C’est cela qui nous importe pour le moment.
Gaëlle, docile, se repositionne sur le sofa, offrant ses globes charnus aux regards concupiscents de l’homme. Celui-ci retire très doucement le phallus artificiel, découvrant ainsi un petit cratère orangé qui palpite en cherchant à se refermer. Aussitôt, Jacques présente le plus gros des engins en plastique, celui-ci fait au bas mot quatre centimètres et demi, presque la grosseur du pénis de Jacques qui en fait bien cinq lorsqu’il est bandé. Cette fois, malgré la crème abondante, Jacques a le plus grand mal à enfoncer le bout de la verge postiche d’entre les sphincters qui refoulent l’intrus. Gaëlle hurle sa douleur.
- Aie ! Aiiieee !... Oh !... Doucement, je vous en prie !... C’est trop gros !... Nooon !.... Nooooon ! ..... Excusez-moi ! Continuez ! Ne vous arrêtez pas Oh !... C’est affreux !……. Oh ! Oh ! Oh ! Aaaaaaaaaaahhhh !........ Aaarrrrrrrr !... Aaaaarrrrrrrrrr...... Ne t’arrête pas je t’en supplie ! Défonce-moi ! Je le veux ! Oh ! Aiiieee !... Oh !... Aaaaassez !... Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Va-y ! Oui ! Bien à fond ! Oui ! Oui ! Oh ! Je meurrrrrrrrrrrrrrr... Oh ! Oh ! Ah ! Ah ! Ah ! Je n’en peux plus…
La pauvre femme est en nage, tout son corps secoué de sanglots et de frémissements de douleur. Jacques l’a écouté, il a enfoncé très graduellement le pénis en plastique jusqu’au fond de la gaine anale. Puis il lui a imprimé un doux va-et-vient, élargissant et assouplissant les parois qui devront recevoir sa verge. La pauvre est écartelée par la grosse cartouche qui se meut dans son cul jusqu’ici inviolé. Jacques, retirant doucement l’olisbos, découvre avec délectation le cratère qui s’est enfin ouvert entre les fesses de la châtelaine. C’est à peine croyable qu’elle supporte cette intromission préparatoire, sachant que le pieu de chair qui va s’engouffrer bientôt dans son anus est encore plus gros. Doucement il enfonce à nouveau le gode entre les fesses altières, retenant de longues minutes le plus gros du plug anal dans l’ouverture des sphincters, afin que le passage le pus difficile s’habitue à recevoir un phallus de bonne taille. Elle sanglote éperdument, pourtant elle fait montre d’un courage à toute épreuve.
- Jacques, mon amour, prenez-moi maintenant. Je vous en prie sodomisez-moi et surtout ne m’écoutez pas si je vous dis d’arrêter. Je veux que vous m’enculiez mon amour. Mon cul est pour vous. C’est la seule virginité que je peux vous offrir avec ma bouche qui n’avait jamais touché le sexe d’un homme avant vous. Allez ! Je vous en supplie, il est temps avant que je ne renonce.
Jacques n’hésite plus. Rapidement il s’est mis nu et, son sexe en bataille, il s’approche de ce magnifique petit cul qu’il va martyriser. Adroitement il retire l’olisbos alors qu’immédiatement, il présente sa queue devant l’orifice cette fois largement ouvert. Pourtant il a du mal à s’engager, mais tenant fermement les cuisses de sa châtelaine, il pousse bien à fond de tout son bassin, s’engouffrant d’un seul coup dans le cul qu’il vient de « casser » en un instant. Gaëlle pousse un grand cri rauque lorsque le pieu de chair passe l’endroit le plus étroit de l’anus, puis, elle s’abat contre le montant du sofa, pleurant silencieusement pendant que Jacques la baratte avec force maintenant, ne lui laissant aucun répit, trop content d’enculer sa proie consentante. Sa verge glisse bientôt parfaitement dans les entrailles huilées de l’aristocrate, en frottant contre les parois nerveuses de l’anus qui enserre très étroitement sa verge. Le va et vient continu du membre dans la gaine anale déflorée commence à produire un début de jouissance à la femme, qui tout étonnée de n’avoir presque plus mal éprouve des sensations étranges. Sa main rejoint celle de Jacques qui lui masturbe sa vulve et son clito, tous deux agissant maintenant de concert afin qu’elle essaie de partir en même temps que lui. L’homme encule la croupe altière avec une joie sadique, sentant son sperme circuler dans le canal de l’urètre et prêt à bondir hors du gland pour inonder le postérieur si convoité. Pendant ce temps, une houle de jouissance envahit le corps de Gaëlle, où la douleur se transforme bientôt en une vague de chaleur délectable, sa main jointe à celle de Jacques astique sa moule avec frénésie alors qu’un plaisir diffus à l’action sodomite envahit ses entrailles. C’est ensemble, que tous les deux crient leur joie du bonheur qu’ils se donnent mutuellement.
Agathe Donamaria de Urroz âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence entraîne également sa sœur, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine. Elle se laisse dominer par le jeune homme et se laisse aimer charnellement dans un des appartements inoccupés du château.
VII - La double infamie
Ce soir, étonnamment, aucun parent, aucun invité ne demeure au château de Garralda. C’est l’occasion pour Jacques et Gaëlle de se retrouver pour dîner en tête-à-tête. Vers vingt et une heures, alors que les domestiquent débarrassent la table, ils se souhaitent le bonsoir comme s’ils ne devaient se revoir que le lendemain matin. En fait, Jacques après être passé par sa chambre au 2e étage, redescend au premier une demi-heure après et se dirige vers les appartements des châtelains. Il gratte à la porte et aussitôt Gaëlle lui ouvre, se lovant contre lui et l’embrassant amoureusement dès que la porte est refermée. Elle porte un genre de robe en voile blanc qui drapée sur son corps laisse deviner sa nudité sous le tissu vaporeux. En fait, explique-t-elle, c’est son voile de mariée qu’elle a disposée ainsi sur son corps pour fêter son second mariage, plus important pour ses sens que le premier avoue-t-elle à son amant. Ce soir, lui stipule-t-elle, elle a décidé de lui offrir son postérieur. Elle sait qu’elle va certainement avoir affreusement mal, mais elle veut que Jacques prenne du plaisir en dévirginisant sa croupe. Aussi, elle lui demande de faire comme il l’entendra, avec douceur ou brutalement comme il le voudra, elle est prête à supporter ses désirs les plus ignobles.
Jacques la regarde avec beaucoup d’étonnement. Décidément, cette presque quinquagénaire, elle fêtera ses cinquante ans dans quelques mois, est très surprenante. D’abord elle a un corps de déesse et ne fait pas son âge, loin de là. En outre, cette femme, aussi innocente qu’une jeune fille, à qui il se promet de lui faire découvrir les différentes façons de faire l’amour, se révèle à lui comme un cadeau incroyable. Elle s’offre ingénument à ce que toute femme a le plus de mal à accepter, tout du moins la première ou plus souvent les nombreuses premières fois. Il sait bien que la douleur qu’il va lui infliger en forçant ses sphincters avec son pénis lui sera intolérable. Elle a un trop petit cul, exagérément serré, il s’en est bien rendu compte avec le mal qu’il a eu à introduire son deuxième doigt cet après-midi.
Pourtant Gaëlle a l’air bien décidée. En un tour de main elle s’est mise nue et, se mettant à quatre pattes sur un sofa, elle se penche en avant et, avec ses deux mains, elle s’ouvre les fesses, attendant que son seigneur et maître la pourfende de son épée de chair. Jacques s’approche et flatte la croupe offerte, appréciant sous ses doigts le rebondi des petites fesses qu’il malaxe et empoigne avec envie. Pour calmer la belle châtelaine il lui annonce tout de même ce qu’il a concocté.
- Ma chérie, je ne vous cache pas qu’avec votre petit cul d’aristocrate, vous allez déguster. Vous n’avez pas la croupe de jument de votre sœur, aussi il va falloir une bonne partie de la soirée pour vous préparer à recevoir ma trique dans votre si joli fessier. J’ai apporté avec moi quelques accessoires qui vont aider à votre dépucelage anal. Tenez, regardez ! Voici trois anus picket de dimensions différentes. Ces semble verges sont destinés à des œillets comme le vôtre, ils vont habituer progressivement les muscles de vos sphincters à subir sans dommage l’écartèlement nécessaire au passage de ma verge. Croyez bien que je ne demanderai pas mieux que de vous fourrer mon vit immédiatement et à sec, cela me ferait jouir intensément de la souffrance que je vous occasionnerais, mais cela serait par trop inhumain. Considérez-vous comme une petite fille ma chère, votre corps est aussi gracile qu’une adolescente et je ne peux me résigner à l’abîmer. Mais ne vous y trompez pas. C’est avec beaucoup de délectation que je vais vous préparer pour pouvoir enculer tout à l’heure votre si mignon petit cul.
Tout en parlant, Jacques a enduit la rosace de la crème émolliente qu’il avait déjà utilisée avec Agathe, faisant pénétrer la crème dans l’anus à satiété, puis prenant le plus petit gode, qui est tout juste plus gros qu’un doigt, il le pousse dans le goulet étroit, vrillant l’objet en plastique pour qu’il entraîne la pommade sur toutes les parois du conduit rectal. Gaëlle a eu un petit sursaut au passage du sphincter, mais à présent elle accepte sans broncher le va-et-vient de l’olisbos qui prépare son derrière à la sodomisation. Jacques ne peut s’empêcher de passer les doigts de son autre main sous le ventre de sa proie, titillant le bouton d’amour et introduisant deux doigts dans le vagin qui secrète déjà une miction abondante. Une fois que l’olisbos glisse sans difficulté dans le noble croupion, il le retire délicatement et, enduisant le second de la pommade, il le présente devant l’orifice encore étroit.
L’engin fait trois centimètres de diamètres environ, aussi, l’introduction est plus difficile. Gaëlle, comme le lui a recommandé Jacques, pousse comme si elle allait à la selle, retenant les gémissements qu’elle devrait proférer à cette intromission difficile. Enfin, l’engin s’est engagé dans le fondement. Jacques enfonce très progressivement l’olisbos, alors que de grosses larmes coulent sur le visage de l’aristocrate. Jacques fait aller et venir le godemiché jusqu’à ce qu’il soit enfoui jusqu’à la garde. Puis il demande à Gaëlle de se reposer tout en gardant l’anus picket fiché entre ses fesses. Celle-ci, ne voulant pas trop réfléchir durant cette attente et risquer de renoncer, veut se rendre utile. Pour cela, elle dégrafe le pantalon de son amant, et sortant sa queue de son étui, elle lui fait une fellation comme si c’était une professionnelle. Jacques n’en revient pas, en si peu de temps elle vient d’acquérir une habileté incroyable. Cette femme est vraiment douée pour l’amour, quel dommage qu’il ait fallu qu’elle attende si longtemps pour se révéler à elle-même. Elle se comporte comme si elle voulait rattraper le temps perdu. Ayant complètement oubliée ses complexes de personne « bien née », elle se donne et agit comme les jeunes femmes actuelles qui utilisent le sexe comme les hommes d’autrefois.
- Ma chérie, je vous remercie de la petite gâterie que vous me faite, seulement, je ne pourrais tenir très longtemps si vous continuez à me sucer avec tant d’ardeur. Voyons un peu où en est votre ouverture anale ma chère. C’est cela qui nous importe pour le moment.
Gaëlle, docile, se repositionne sur le sofa, offrant ses globes charnus aux regards concupiscents de l’homme. Celui-ci retire très doucement le phallus artificiel, découvrant ainsi un petit cratère orangé qui palpite en cherchant à se refermer. Aussitôt, Jacques présente le plus gros des engins en plastique, celui-ci fait au bas mot quatre centimètres et demi, presque la grosseur du pénis de Jacques qui en fait bien cinq lorsqu’il est bandé. Cette fois, malgré la crème abondante, Jacques a le plus grand mal à enfoncer le bout de la verge postiche d’entre les sphincters qui refoulent l’intrus. Gaëlle hurle sa douleur.
- Aie ! Aiiieee !... Oh !... Doucement, je vous en prie !... C’est trop gros !... Nooon !.... Nooooon ! ..... Excusez-moi ! Continuez ! Ne vous arrêtez pas Oh !... C’est affreux !……. Oh ! Oh ! Oh ! Aaaaaaaaaaahhhh !........ Aaarrrrrrrr !... Aaaaarrrrrrrrrr...... Ne t’arrête pas je t’en supplie ! Défonce-moi ! Je le veux ! Oh ! Aiiieee !... Oh !... Aaaaassez !... Oh ! Mon Dieu ! Oui ! Va-y ! Oui ! Bien à fond ! Oui ! Oui ! Oh ! Je meurrrrrrrrrrrrrrr... Oh ! Oh ! Ah ! Ah ! Ah ! Je n’en peux plus…
La pauvre femme est en nage, tout son corps secoué de sanglots et de frémissements de douleur. Jacques l’a écouté, il a enfoncé très graduellement le pénis en plastique jusqu’au fond de la gaine anale. Puis il lui a imprimé un doux va-et-vient, élargissant et assouplissant les parois qui devront recevoir sa verge. La pauvre est écartelée par la grosse cartouche qui se meut dans son cul jusqu’ici inviolé. Jacques, retirant doucement l’olisbos, découvre avec délectation le cratère qui s’est enfin ouvert entre les fesses de la châtelaine. C’est à peine croyable qu’elle supporte cette intromission préparatoire, sachant que le pieu de chair qui va s’engouffrer bientôt dans son anus est encore plus gros. Doucement il enfonce à nouveau le gode entre les fesses altières, retenant de longues minutes le plus gros du plug anal dans l’ouverture des sphincters, afin que le passage le pus difficile s’habitue à recevoir un phallus de bonne taille. Elle sanglote éperdument, pourtant elle fait montre d’un courage à toute épreuve.
- Jacques, mon amour, prenez-moi maintenant. Je vous en prie sodomisez-moi et surtout ne m’écoutez pas si je vous dis d’arrêter. Je veux que vous m’enculiez mon amour. Mon cul est pour vous. C’est la seule virginité que je peux vous offrir avec ma bouche qui n’avait jamais touché le sexe d’un homme avant vous. Allez ! Je vous en supplie, il est temps avant que je ne renonce.
Jacques n’hésite plus. Rapidement il s’est mis nu et, son sexe en bataille, il s’approche de ce magnifique petit cul qu’il va martyriser. Adroitement il retire l’olisbos alors qu’immédiatement, il présente sa queue devant l’orifice cette fois largement ouvert. Pourtant il a du mal à s’engager, mais tenant fermement les cuisses de sa châtelaine, il pousse bien à fond de tout son bassin, s’engouffrant d’un seul coup dans le cul qu’il vient de « casser » en un instant. Gaëlle pousse un grand cri rauque lorsque le pieu de chair passe l’endroit le plus étroit de l’anus, puis, elle s’abat contre le montant du sofa, pleurant silencieusement pendant que Jacques la baratte avec force maintenant, ne lui laissant aucun répit, trop content d’enculer sa proie consentante. Sa verge glisse bientôt parfaitement dans les entrailles huilées de l’aristocrate, en frottant contre les parois nerveuses de l’anus qui enserre très étroitement sa verge. Le va et vient continu du membre dans la gaine anale déflorée commence à produire un début de jouissance à la femme, qui tout étonnée de n’avoir presque plus mal éprouve des sensations étranges. Sa main rejoint celle de Jacques qui lui masturbe sa vulve et son clito, tous deux agissant maintenant de concert afin qu’elle essaie de partir en même temps que lui. L’homme encule la croupe altière avec une joie sadique, sentant son sperme circuler dans le canal de l’urètre et prêt à bondir hors du gland pour inonder le postérieur si convoité. Pendant ce temps, une houle de jouissance envahit le corps de Gaëlle, où la douleur se transforme bientôt en une vague de chaleur délectable, sa main jointe à celle de Jacques astique sa moule avec frénésie alors qu’un plaisir diffus à l’action sodomite envahit ses entrailles. C’est ensemble, que tous les deux crient leur joie du bonheur qu’ils se donnent mutuellement.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui la notation c'est assez subjectif, moi en tout les cas j'adore vos textes
etoiles ou pas, vos histoires sont excellentes et je me délecte de venir les lire
Merci Didier pour ton appréciation.
Je ne pense pas que les notes attribuées aient une grande importance.
Seul le nombre de lecteurs de chaque histoire a vraiment une certaine valeur.
Cordialement.
VIEULOU
Je ne pense pas que les notes attribuées aient une grande importance.
Seul le nombre de lecteurs de chaque histoire a vraiment une certaine valeur.
Cordialement.
VIEULOU
Bonjour, vieux loup !
Je m'étonne que tu n’aies que quatre étoiles et demie ! Tu en méritais largement cinq ! Ton vieux (jeune) copain Didierr
Je m'étonne que tu n’aies que quatre étoiles et demie ! Tu en méritais largement cinq ! Ton vieux (jeune) copain Didierr