Leslie AN02
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie AN02
Leslie AN02 – Anastasia, rencontre avant un week-end à Epernay, suite
Aurélie est venue me rejoindre dans la douche, son corps fin d’androgyne, sa petite poitrine aux seins ornés d’aréoles brunes et aux bouts érigés, sa petite ligne brune de poils pubiens, taillée finement juste au-dessus de son sexe, mais qui contraste avec le blanc de sa peau, et son sexe circoncis, encore au repos, qui donne l’apparence d’être assez long.
Je bande pour elle en la regardant, elle s’en aperçoit et à l’unisson nos corps se sont lancés dans une longue étreinte, où nos sexes se sont touchés et nos mains se sont égarées d’amour à la recherche de nos corps.
Les caresses et les baisers, sous cette douche chaude, nous ont tout juste apaisé, mais nous le savons toutes les deux, la patience nous mèneras au plaisir le plus intense…
Aurélie est sortie pour aller dans la chambre passer une de mes longues tuniques indiennes, une en coton vaporeux, dont la transparence permet de se régaler de la vue de ses tétons pointus et de son pubis poilu et de son sexe à peine dissimulé.
Je décide de n’enfiler qu’un pantalon paréo de couleur blanche, transparent bien sûr afin de laisser deviner toute mon anatomie, buste nu pour laisser ma poitrine nue et libre, et je vais rejoindre Aurélie.
Je viens de nous resservir un verre de vodka, Aurélie et moi sommes maintenant tendrement enlacées sur le canapé. Sa tunique est entrouverte jusqu’à son bassin. Mon pantalon est descendu à mi-cuisses. Chacun caresse le sexe de l’autre afin de réveiller nos corps et faire renaitre le désir que la douche a quelque peu étouffé.
Cela fait un moment que nous sommes installés dans le canapé à se caresser, quand Aurélie en regardant mon sexe me demande :
- C’est moi qui te fais cet effet-là ?
- Bien sûr.
- Je te plais ?
- Tu es super belle, Aurélie.
C’est au moment où j’allais demander à Aurélie ce qu’elle désirait, qu’elle se penche, à ma grande surprise, sur mon sexe pour le prendre dans sa bouche
Je ne sais pas si c’est la première fois qu’elle suce une queue, mais je trouve qu’elle se surpasse.
Surtout, que sa langue glisse le long de mon périnée et me gratifie d’une feuille de rose qui devient vite merveilleuse. Aurélie me lèche les fesses tout en me masturbant et j’aime ça, non, j’adore.
Certainement qu’elle a vu des films où ce genre de pratiques se faisaient et elle refait les mêmes gestes avec applications, ayant perdue toute pudeur elle laisse aller ses envies.
C’est tellement bon que, lorsqu’elle me demande de me mettre à quatre pattes, je n’hésite pas un seul instant, et elle se met à me dévorer l’anneau, dardant sa langue comme pour le pénétrer, s’aidant parfois d’un doigt.
- Tu aimes ? Me demande-t-elle.
- Oui, c’est délicieux, ma chérie.
- Tu sais c’est la première fois que je le fais, je l’ai vu dans un film alors je fais pareil, je ne te fais pas mal ?
- Non, j’adore.
- Alors je continue ?
- Oui…
Me voilà maintenant sur le dos allongée dans le canapé, les jambes bien écartées, les lèvres de ma belle autour de mon sexe et un de ses doigts qui cherche à rejoindre son copain entre mes fesses.
Je suis sur le point de jouir, Aurélie arrête de me sucer et me fait un grand sourire en me disant :
- Tu vas bien t’occuper de moi ?
- Ohhh oui, lui dis-je.
- Alors ne jouis pas de suite !
J’ai une trique d’enfer, difficile de rester de marbre sous les caresses d’Aurélie, qui pour une débutante se débrouille très bien et avec ses petits seins adorables, ma chérie du moment est trop craquante.
Elle a continué un moment avant que nous ne nous décidions d’aller dans la chambre, où nous serions certainement plus à l’aise…
Sitôt arrivées dans la chambre, Aurélie me colle au mur et me dévore la bouche, son excitation est aussi palpable que la mienne, mais là elle est déchainée.
J’ai l’impression d’avoir une furie dans mes bras, cette petite est dans tous ses états et elle se lèche dans cette relation si longtemps attendue. Nos baisers sont doux et nos caresses langoureuses.
Quand je m’agenouille pour prendre son sexe en bouche, je prends le temps de l’admirer et de le toucher, prendre ce moment pour lui faire sentir que je la désire. Puis du bout de la langue apprécier son gland offert, avant de l’introduire entre mes lèvres chaudes et humides et lui procurer un plaisir infini…
Aurélie soupire et se trémousse sous les caresses, d’autant que je prends un vrai plaisir de sucer Aurélie, elle s’offre aux caresses et réclame encore plus.
D’ailleurs, Aurélie ne se fait pas prier pour aller s’allonger sur le lit, son sexe maintenant est magnifique, long et lourd, dressé, presque arrogant, alors je reprends sa verge dans ma main, pour sentir le poids et la chaleur, ce mélange de raideur et de souplesse, Aurélie frémit et geint de plaisir.
Désormais, en soixante- neuf, je ne suce plus que pour le plaisir d’Aurélie, qui d’une main caresse délicatement mes cheveux pendant que son autre main tient mon sexe qu’elle branle doucement tout en le prenant de temps en temps dans sa bouche accueillante.
Aurélie, de sa main, vient de me stopper net pour éviter d’éjaculer sous ma fellation.
- C’est trop, me dit-elle dans un souffle.
Elle soupire doucement en continuant de tenir mon sexe dans sa main et rajoute :
- Tu sais Leslie, tout cela est tellement nouveau pour moi !
- Tu n’as jamais eue de relations, lui demandais-je.
- Non, que de petits flirts sans lendemain et quelques caresses avec un cousin en vacances, mais rien d’autre !
Je l’ai laissé reprendre son souffle en jouant du bout des doigts avec son sexe et ses testicules, mais je sens qu’Aurélie désire s’abandonner et devenir celle qu’elle a toujours rêvée d’être.
Mais je veux qu’Aurélie se sente le centre du monde, je suis maintenant dévouée à sa jouissance, une jouissance qui sera encore plus grande car nous serons complices dans le plaisir, liées dans cette pénétration intime avec nos lèvres s’effleurant et quand nos bouches recueilleront nos soupirs de bonheur.
Je la redresse pour qu’elle soit à genoux sur le lit, et je me place derrière elle pour lentement la préparer.
Je la fait se mettre en levrette de façon à être complètement offerte, les jambes largement écartées et fesses cambrées, puis me penchant vers elle ma langue ne tarde pas à darder son anus offert.
Aurélie trésaille sous cette caresse nouvelle pour elle, mais son petit anneau se détend et s’entrouvre, tout en soupirant de plaisir, Aurélie me dit :
- Tu sais, personne ne m’a jamais été sodomisée, mais je me suis déjà donné du plaisir en m’introduisant certains objets.
- Mais tu es encore bien serrée, lui dis-je.
Je prends le temps, léchage, puis doigté de son petit anneau pour l’ouvrir encore un peu plus, Aurélie se trémousse d’impatience, mais son dépucelage est pour bientôt.
À quatre pattes sur le lit, Aurélie est indécente, je me redresse et me positionne convenablement derrière elle pour la sodomiser. Elle sent que le moment est venu et inconsciemment elle se crispe un peu.
Je lui lubrifie le cul, ainsi que mon membre, avant de le placer à l’orée de son anneau, puis j’appuie mon gland doucement afin d’entrouvrir son intimité, ma poussée, lui fait douleur et elle crie un petit peu, puis elle s’arrête, souffle un peu et je reprends ma progression. Apparemment la douleur initiale a été brève.
Lentement mon sexe entre dans le petit trou serré d’Aurélie, qui feule en savourant ce premier membre qui entre en elle, bientôt mon sexe entier est en elle et je l’entends dire :
- Je suis complètement remplie, ohhh que c’est bon cette sensation, comme je suis heureuse !
Maintenant je suis en train de prendre Aurélie, mon sexe va-et-vient doucement dans son magnifique petit cul, une main posée à la base de sa queue et l’autre qui caresse sa poitrine, ma chérie feule de plaisir
La sensation d’inconfort qu’elle pouvait ressentir lors du début de la pénétration, compte tenu que c’était la première fois, fait place petit à petit à une chaleur qui lui prend les reins et se diffuse à son bas-ventre.
Je la surprends même à diriger le mouvement, poussant ses fesses vers mon bas-ventre afin de s’empaler sur mon sexe dressé et trouver le rythme à son propre plaisir.
Et puis il y a ses petits cris qui s’échappent d’entre ses lèvres et qui ne trompent pas, c’est sourd, profond, guttural, elle gémit et se met à jouir.
Sa jouissance est continue, accompagnée de gémissements et feulements, Aurélie hurle son plaisir, son sexe dur dans ma main n’en finit pas de durcir, son petit cul est ouvert à mes pénétrations.
J’accélère les mouvements dans son cul et branle son sexe afin de la faire jouir en même temps que moi, et c’est quelques instants plus tard que je lui remplis les entrailles de ma jouissance, tandis que ma main se remplit de la sienne.
Elle s’effondre sur le lit m’entrainant avec elle, ensuite Aurélie se retourne et m’embrasse à pleine bouche dans un fougueux baiser, où nos langues n’en finissent pas de se mêler.
Plus tard ayant calmé nos corps et nos désirs, nous passons sous la couette, Aurélie est venue dans mes bras en me disant ;
- Merci, mon amour !
- Tu es merveilleuse.
- Gardes moi près de toi !
C’est comme cela qu’Aurélie est restée blottie dans mes bras pour s’endormir près de moi et rester toute la nuit.
A suivre…
Aurélie est venue me rejoindre dans la douche, son corps fin d’androgyne, sa petite poitrine aux seins ornés d’aréoles brunes et aux bouts érigés, sa petite ligne brune de poils pubiens, taillée finement juste au-dessus de son sexe, mais qui contraste avec le blanc de sa peau, et son sexe circoncis, encore au repos, qui donne l’apparence d’être assez long.
Je bande pour elle en la regardant, elle s’en aperçoit et à l’unisson nos corps se sont lancés dans une longue étreinte, où nos sexes se sont touchés et nos mains se sont égarées d’amour à la recherche de nos corps.
Les caresses et les baisers, sous cette douche chaude, nous ont tout juste apaisé, mais nous le savons toutes les deux, la patience nous mèneras au plaisir le plus intense…
Aurélie est sortie pour aller dans la chambre passer une de mes longues tuniques indiennes, une en coton vaporeux, dont la transparence permet de se régaler de la vue de ses tétons pointus et de son pubis poilu et de son sexe à peine dissimulé.
Je décide de n’enfiler qu’un pantalon paréo de couleur blanche, transparent bien sûr afin de laisser deviner toute mon anatomie, buste nu pour laisser ma poitrine nue et libre, et je vais rejoindre Aurélie.
Je viens de nous resservir un verre de vodka, Aurélie et moi sommes maintenant tendrement enlacées sur le canapé. Sa tunique est entrouverte jusqu’à son bassin. Mon pantalon est descendu à mi-cuisses. Chacun caresse le sexe de l’autre afin de réveiller nos corps et faire renaitre le désir que la douche a quelque peu étouffé.
Cela fait un moment que nous sommes installés dans le canapé à se caresser, quand Aurélie en regardant mon sexe me demande :
- C’est moi qui te fais cet effet-là ?
- Bien sûr.
- Je te plais ?
- Tu es super belle, Aurélie.
C’est au moment où j’allais demander à Aurélie ce qu’elle désirait, qu’elle se penche, à ma grande surprise, sur mon sexe pour le prendre dans sa bouche
Je ne sais pas si c’est la première fois qu’elle suce une queue, mais je trouve qu’elle se surpasse.
Surtout, que sa langue glisse le long de mon périnée et me gratifie d’une feuille de rose qui devient vite merveilleuse. Aurélie me lèche les fesses tout en me masturbant et j’aime ça, non, j’adore.
Certainement qu’elle a vu des films où ce genre de pratiques se faisaient et elle refait les mêmes gestes avec applications, ayant perdue toute pudeur elle laisse aller ses envies.
C’est tellement bon que, lorsqu’elle me demande de me mettre à quatre pattes, je n’hésite pas un seul instant, et elle se met à me dévorer l’anneau, dardant sa langue comme pour le pénétrer, s’aidant parfois d’un doigt.
- Tu aimes ? Me demande-t-elle.
- Oui, c’est délicieux, ma chérie.
- Tu sais c’est la première fois que je le fais, je l’ai vu dans un film alors je fais pareil, je ne te fais pas mal ?
- Non, j’adore.
- Alors je continue ?
- Oui…
Me voilà maintenant sur le dos allongée dans le canapé, les jambes bien écartées, les lèvres de ma belle autour de mon sexe et un de ses doigts qui cherche à rejoindre son copain entre mes fesses.
Je suis sur le point de jouir, Aurélie arrête de me sucer et me fait un grand sourire en me disant :
- Tu vas bien t’occuper de moi ?
- Ohhh oui, lui dis-je.
- Alors ne jouis pas de suite !
J’ai une trique d’enfer, difficile de rester de marbre sous les caresses d’Aurélie, qui pour une débutante se débrouille très bien et avec ses petits seins adorables, ma chérie du moment est trop craquante.
Elle a continué un moment avant que nous ne nous décidions d’aller dans la chambre, où nous serions certainement plus à l’aise…
Sitôt arrivées dans la chambre, Aurélie me colle au mur et me dévore la bouche, son excitation est aussi palpable que la mienne, mais là elle est déchainée.
J’ai l’impression d’avoir une furie dans mes bras, cette petite est dans tous ses états et elle se lèche dans cette relation si longtemps attendue. Nos baisers sont doux et nos caresses langoureuses.
Quand je m’agenouille pour prendre son sexe en bouche, je prends le temps de l’admirer et de le toucher, prendre ce moment pour lui faire sentir que je la désire. Puis du bout de la langue apprécier son gland offert, avant de l’introduire entre mes lèvres chaudes et humides et lui procurer un plaisir infini…
Aurélie soupire et se trémousse sous les caresses, d’autant que je prends un vrai plaisir de sucer Aurélie, elle s’offre aux caresses et réclame encore plus.
D’ailleurs, Aurélie ne se fait pas prier pour aller s’allonger sur le lit, son sexe maintenant est magnifique, long et lourd, dressé, presque arrogant, alors je reprends sa verge dans ma main, pour sentir le poids et la chaleur, ce mélange de raideur et de souplesse, Aurélie frémit et geint de plaisir.
Désormais, en soixante- neuf, je ne suce plus que pour le plaisir d’Aurélie, qui d’une main caresse délicatement mes cheveux pendant que son autre main tient mon sexe qu’elle branle doucement tout en le prenant de temps en temps dans sa bouche accueillante.
Aurélie, de sa main, vient de me stopper net pour éviter d’éjaculer sous ma fellation.
- C’est trop, me dit-elle dans un souffle.
Elle soupire doucement en continuant de tenir mon sexe dans sa main et rajoute :
- Tu sais Leslie, tout cela est tellement nouveau pour moi !
- Tu n’as jamais eue de relations, lui demandais-je.
- Non, que de petits flirts sans lendemain et quelques caresses avec un cousin en vacances, mais rien d’autre !
Je l’ai laissé reprendre son souffle en jouant du bout des doigts avec son sexe et ses testicules, mais je sens qu’Aurélie désire s’abandonner et devenir celle qu’elle a toujours rêvée d’être.
Mais je veux qu’Aurélie se sente le centre du monde, je suis maintenant dévouée à sa jouissance, une jouissance qui sera encore plus grande car nous serons complices dans le plaisir, liées dans cette pénétration intime avec nos lèvres s’effleurant et quand nos bouches recueilleront nos soupirs de bonheur.
Je la redresse pour qu’elle soit à genoux sur le lit, et je me place derrière elle pour lentement la préparer.
Je la fait se mettre en levrette de façon à être complètement offerte, les jambes largement écartées et fesses cambrées, puis me penchant vers elle ma langue ne tarde pas à darder son anus offert.
Aurélie trésaille sous cette caresse nouvelle pour elle, mais son petit anneau se détend et s’entrouvre, tout en soupirant de plaisir, Aurélie me dit :
- Tu sais, personne ne m’a jamais été sodomisée, mais je me suis déjà donné du plaisir en m’introduisant certains objets.
- Mais tu es encore bien serrée, lui dis-je.
Je prends le temps, léchage, puis doigté de son petit anneau pour l’ouvrir encore un peu plus, Aurélie se trémousse d’impatience, mais son dépucelage est pour bientôt.
À quatre pattes sur le lit, Aurélie est indécente, je me redresse et me positionne convenablement derrière elle pour la sodomiser. Elle sent que le moment est venu et inconsciemment elle se crispe un peu.
Je lui lubrifie le cul, ainsi que mon membre, avant de le placer à l’orée de son anneau, puis j’appuie mon gland doucement afin d’entrouvrir son intimité, ma poussée, lui fait douleur et elle crie un petit peu, puis elle s’arrête, souffle un peu et je reprends ma progression. Apparemment la douleur initiale a été brève.
Lentement mon sexe entre dans le petit trou serré d’Aurélie, qui feule en savourant ce premier membre qui entre en elle, bientôt mon sexe entier est en elle et je l’entends dire :
- Je suis complètement remplie, ohhh que c’est bon cette sensation, comme je suis heureuse !
Maintenant je suis en train de prendre Aurélie, mon sexe va-et-vient doucement dans son magnifique petit cul, une main posée à la base de sa queue et l’autre qui caresse sa poitrine, ma chérie feule de plaisir
La sensation d’inconfort qu’elle pouvait ressentir lors du début de la pénétration, compte tenu que c’était la première fois, fait place petit à petit à une chaleur qui lui prend les reins et se diffuse à son bas-ventre.
Je la surprends même à diriger le mouvement, poussant ses fesses vers mon bas-ventre afin de s’empaler sur mon sexe dressé et trouver le rythme à son propre plaisir.
Et puis il y a ses petits cris qui s’échappent d’entre ses lèvres et qui ne trompent pas, c’est sourd, profond, guttural, elle gémit et se met à jouir.
Sa jouissance est continue, accompagnée de gémissements et feulements, Aurélie hurle son plaisir, son sexe dur dans ma main n’en finit pas de durcir, son petit cul est ouvert à mes pénétrations.
J’accélère les mouvements dans son cul et branle son sexe afin de la faire jouir en même temps que moi, et c’est quelques instants plus tard que je lui remplis les entrailles de ma jouissance, tandis que ma main se remplit de la sienne.
Elle s’effondre sur le lit m’entrainant avec elle, ensuite Aurélie se retourne et m’embrasse à pleine bouche dans un fougueux baiser, où nos langues n’en finissent pas de se mêler.
Plus tard ayant calmé nos corps et nos désirs, nous passons sous la couette, Aurélie est venue dans mes bras en me disant ;
- Merci, mon amour !
- Tu es merveilleuse.
- Gardes moi près de toi !
C’est comme cela qu’Aurélie est restée blottie dans mes bras pour s’endormir près de moi et rester toute la nuit.
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Je le connais par cœur ce roman... Mais je ne me lasse pas de le relire. Bise. Benoît