Leslie AN03
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 812 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Leslie ont reçu un total de 3 090 158 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 957 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Leslie AN03
Leslie AN03 – Anastasia, en route pour le week-end à Epernay
Le lendemain matin, nous nous sommes, avec Aurélie réveillées dans les bras l’une de l’autre, un joli vendredi matin comme je les aime, avec en plus une petite amante transexuelle dans mon lit, qu’espérer de plus.
Après un petit déjeuner, nous avons un peu flâné, puis mon téléphone a sonné, en m’excusant auprès d’Aurélie, j’ai répondu…
- Allo, Leslie !
- Oui.
- Bonjour ma belle, c’est Delphine, tu te souviens de moi ?
- Bien sûr !
- Dis-moi, que fais-tu ce week-end ?
- Rien de spécial, pourquoi ?
- Ça te dirait de venir passer deux jours à Epernay ?
- Ohhh bien-sûr, mais je serais avec une amie, cela ne dérange pas ? Demandais-je à Delphine.
- Mais non, surtout si c’est une fille comme toi, ce sera un plaisir.
- C’est le cas.
- Alors c’est d’accord, en plus il y aura une surprise, avec Benoît nous organisons cela pour samedi soir.
- Bon nous arriverons en fin de matinée samedi, nous viendrons en voiture.
- Bon alors à samedi, bisous.
- Bisous ma belle !
Me retournant vers Aurélie, je lui annonce que nous sommes invitées chez une amie pour le week-end et que si elle est d’accord nous partirons dans l’après-midi.
- Super, me dit Aurélie, un week-end ensemble, avec ton amie, vous allez continuer mon éducation !
- Si tu le désires, en plus je pense que tu vas adorer.
- Mais ce soir nous dormirons où ?
- Nous irons à l’hôtel comme deux amoureuses que nous sommes.
- Alors je vais aller chez moi vite fait préparer un sac et je reviens aussitôt.
- Ça marche, je t’attends !
- Je fais vite ma chérie.
- Oui car j’ai envie que tu me fasses l’amour, alors ne tarde pas !
Et la voilà partie…
Une fois seule, je pense à Aurélie, et je me rends compte que je suis impatiente qu’elle revienne, depuis notre rencontre d’hier soir, elle est merveilleuse, ne montrant aucun tabou sur les pratiques du sexe, elle s’est abandonnée totalement dans la confiance et se montre très féminine, je pense que nous allons passer un merveilleux week-end.
Pendant qu’Aurélie s’est absentée, j’en profite pour prendre une douche et me faire belle pour le retour de ma chérie et réserver l’hôtel pour le soir même.
Lorsqu’elle revient à la maison je la trouve particulièrement en beauté et avec un visage rayonnant de bonheur, elle m’embrasse et me dit d’un air coquin :
- Je me suis habiller d’une manière craquante et je sens que ça va te plaire !
Impatiente, je dégrafe un bouton de sa veste et m’aperçois qu’elle n’a rien mis dessous et elle m’apparait seins nus, Aurélie a utilisé tous les artifices de la féminité pour se rendre la désirable.
J’admire, aussi, un instant sa jupe courte qui est déjà en soi un appel au viol d’autant qu’elle laisse deviner des jarretelles qui tendent des bas à coutures. Elle porte des escarpins à talons aiguilles qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées.
Provoquante, elle me regarde dans les yeux et me demande :
- Alors je te plais ?
Pour toute réponse je me glisse à genoux devant elle, et sans attendre je remonte lentement mes mains le long de ses jambes et lui retire son string, sa queue plaquée vers l’arrière jaillit d’un coup devant mes yeux, alors je la prends en bouche et commence à la sucer, son sexe durcit rapidement entre mes lèvres et Aurélie commence à soupirer.
La savoir, à cet instant, sans culotte avec son œillet exposer à mes volontés accroît mon désir, la tête entre ses jambes, je la suce et profite de cette position pour lubrifier généreusement son petit anneau, qui frémit légèrement sous la caresse de ma langue.
- Ecarte tes cuisses ma chérie, je vais t’assouplir l’anneau, lui dis-je.
Elle me sourit et ouvre ses jambes avec grâce et fouillant dans son sac à main elle en sort un plug qu’elle me tend en me disant :
- Enfonce-le en moi ma chérie !
Aurélie est vraiment incroyable, elle revient de chez elle et me demande de lui enfoncer un plug dans son œillet alors que nous venons tout juste de retrouver.
Elle se cambre un peu plus pour découvrir son œillet plissé pour me faciliter la tâche et lui enfiler le plug.
Je l’enfonce avec douceur dans son conduit intime et l’entends étouffer un soupir de plaisir, puis elle se dégage de mon étreinte et va s’asseoir devant la glace.
Là, assise, elle fait crisser ses bas avec volupté en frottant lascivement ses cuisses l’une contre l’autre, les yeux fermés, en contractant ses fesses pour sentir vivre l’objet dans son intimité.
Je ne résiste pas au plaisir de la regarder et sens ma queue se durcir quand je palpe ses petits seins sublimes. Soulevant à nouveau sa jupe, ma main se glisse dessous pour saisir son sexe rigide qui me fait découvrir ses attentes.
Elle frissonne de plaisir quand j’embrasse ses petits seins et que je tiraille, avec mes dents, ses petits bouts durcis d’envie.
- Ne sois pas si impatiente, me dit-elle ;
Puis prise d’une pulsion subite, elle se lève très excitée et se place devant moi, un gode à la main surgit de nulle part.
Elle admire à son tour ma guêpière bleue et noire sur laquelle sont accrochés, très haut sur mes cuisses, des bas à coutures de même couleur. Elle contemple un instant ma verge tendue par le désir qui jaillit de mon slip ouvert.
Elle se place derrière moi, me prenant par la taille, elle m’embrasse en caressant mes seins avant de me chuchoter à l’oreille :
- Je vais moi aussi t’élargir ton petit trou, ma belle.
Elle pose le pieu contre ma rosette en me serrant contre elle. Je suis peu assurée sur mes talons aiguilles et elle me déséquilibre facilement et sans que je puisse réagir, elle m’embroche sur le gode qu’elle visse activement dans mes reins.
Je ressens une douleur vive quand mes chairs s’écartent brutalement devant cette intrusion.
La rapidité d’Aurélie me fait vite oublier cet instant, car aussitôt elle tourne lentement le pal de droite à gauche et exerce de petites pressions successives pour stimuler ma glande intime. Elle progresse peu à peu et finit par m’enfoncer le gode jusqu’au ras des fesses en le poussant avec la paume de sa main.
- Ton cul doit être si accueillant, mais tu attendras encore un peu pour jouir, me dit-elle en le retirant.
Sa libido un peu calmée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage avant de me dire :
- Allons déjeuner, ma chérie, je t’invite au restaurant !
- Tu vas sortir ainsi, sans culotte avec un plug en toi ?
- Et pourquoi pas, ainsi je serais prête pour tout à l’heure !
- D’accord et après nous prendrons la route…
Avant de partir elle me demande de ne passer qu’une jupe courte et de rester comme elle seins nus sous ma veste de tailleur.
Nous avons été déjeunées dans un restaurant près de la maison, où j’ai mes habitudes, mais les désirs en moi ne sont pas retombés pour autant.
Après déjeuner nous avons pris la route pour nous rendre à Epernay et prendre nos quartiers à l’hôtel quelques heures plus tard.
Aurélie ne s’est pas gênée de m’exciter pendant tout le trajet, caressant mon sexe de la main où même parfois me prenant un instant dans sa bouche, parfois même elle se masturbait les pieds posés sur le tableau de bord en jouant avec le plug toujours enfoncé dans son cul…
Arrivées à l’hôtel, nous sommes montées directement dans la chambre et une fois la porte refermée derrière elle, Aurélie s’est déshabillée et je suis restée sous le charme quand elle a retiré ses vêtements, veste et jupe, pour me faire découvrir ses dessous.
Harnachée comme une courtisane, elle est apparue dans la splendeur de sa féminité avec une lueur d’excitation brillante dans son regard, quand elle se rend compte de l’effet qu’elle produit sur moi.
Je l’admire un moment, ses yeux et ses lèvres maquillés, puis son visage radieux, elle s’exhibe en porte-jarretelles de satin noir et rose, des bas noirs fixés par les jarretelles qui tendent ses bas à coutures, campée sur ses escarpins à talons aiguilles, je la sens prête pour l’amour. La taille ceinte par la lingerie qui met sa croupe en valeur, elle virevolte et se frotte, très chatte contre moi.
J’enlace et embrasse à pleine bouche cette merveilleuse petite salope qui devine si bien mes envies. Je bande comme une folle quand elle presse sournoisement son genou contre mon sexe, puis elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tenant la queue.
A suivre…
Le lendemain matin, nous nous sommes, avec Aurélie réveillées dans les bras l’une de l’autre, un joli vendredi matin comme je les aime, avec en plus une petite amante transexuelle dans mon lit, qu’espérer de plus.
Après un petit déjeuner, nous avons un peu flâné, puis mon téléphone a sonné, en m’excusant auprès d’Aurélie, j’ai répondu…
- Allo, Leslie !
- Oui.
- Bonjour ma belle, c’est Delphine, tu te souviens de moi ?
- Bien sûr !
- Dis-moi, que fais-tu ce week-end ?
- Rien de spécial, pourquoi ?
- Ça te dirait de venir passer deux jours à Epernay ?
- Ohhh bien-sûr, mais je serais avec une amie, cela ne dérange pas ? Demandais-je à Delphine.
- Mais non, surtout si c’est une fille comme toi, ce sera un plaisir.
- C’est le cas.
- Alors c’est d’accord, en plus il y aura une surprise, avec Benoît nous organisons cela pour samedi soir.
- Bon nous arriverons en fin de matinée samedi, nous viendrons en voiture.
- Bon alors à samedi, bisous.
- Bisous ma belle !
Me retournant vers Aurélie, je lui annonce que nous sommes invitées chez une amie pour le week-end et que si elle est d’accord nous partirons dans l’après-midi.
- Super, me dit Aurélie, un week-end ensemble, avec ton amie, vous allez continuer mon éducation !
- Si tu le désires, en plus je pense que tu vas adorer.
- Mais ce soir nous dormirons où ?
- Nous irons à l’hôtel comme deux amoureuses que nous sommes.
- Alors je vais aller chez moi vite fait préparer un sac et je reviens aussitôt.
- Ça marche, je t’attends !
- Je fais vite ma chérie.
- Oui car j’ai envie que tu me fasses l’amour, alors ne tarde pas !
Et la voilà partie…
Une fois seule, je pense à Aurélie, et je me rends compte que je suis impatiente qu’elle revienne, depuis notre rencontre d’hier soir, elle est merveilleuse, ne montrant aucun tabou sur les pratiques du sexe, elle s’est abandonnée totalement dans la confiance et se montre très féminine, je pense que nous allons passer un merveilleux week-end.
Pendant qu’Aurélie s’est absentée, j’en profite pour prendre une douche et me faire belle pour le retour de ma chérie et réserver l’hôtel pour le soir même.
Lorsqu’elle revient à la maison je la trouve particulièrement en beauté et avec un visage rayonnant de bonheur, elle m’embrasse et me dit d’un air coquin :
- Je me suis habiller d’une manière craquante et je sens que ça va te plaire !
Impatiente, je dégrafe un bouton de sa veste et m’aperçois qu’elle n’a rien mis dessous et elle m’apparait seins nus, Aurélie a utilisé tous les artifices de la féminité pour se rendre la désirable.
J’admire, aussi, un instant sa jupe courte qui est déjà en soi un appel au viol d’autant qu’elle laisse deviner des jarretelles qui tendent des bas à coutures. Elle porte des escarpins à talons aiguilles qui mettent en valeur ses longues jambes fuselées.
Provoquante, elle me regarde dans les yeux et me demande :
- Alors je te plais ?
Pour toute réponse je me glisse à genoux devant elle, et sans attendre je remonte lentement mes mains le long de ses jambes et lui retire son string, sa queue plaquée vers l’arrière jaillit d’un coup devant mes yeux, alors je la prends en bouche et commence à la sucer, son sexe durcit rapidement entre mes lèvres et Aurélie commence à soupirer.
La savoir, à cet instant, sans culotte avec son œillet exposer à mes volontés accroît mon désir, la tête entre ses jambes, je la suce et profite de cette position pour lubrifier généreusement son petit anneau, qui frémit légèrement sous la caresse de ma langue.
- Ecarte tes cuisses ma chérie, je vais t’assouplir l’anneau, lui dis-je.
Elle me sourit et ouvre ses jambes avec grâce et fouillant dans son sac à main elle en sort un plug qu’elle me tend en me disant :
- Enfonce-le en moi ma chérie !
Aurélie est vraiment incroyable, elle revient de chez elle et me demande de lui enfoncer un plug dans son œillet alors que nous venons tout juste de retrouver.
Elle se cambre un peu plus pour découvrir son œillet plissé pour me faciliter la tâche et lui enfiler le plug.
Je l’enfonce avec douceur dans son conduit intime et l’entends étouffer un soupir de plaisir, puis elle se dégage de mon étreinte et va s’asseoir devant la glace.
Là, assise, elle fait crisser ses bas avec volupté en frottant lascivement ses cuisses l’une contre l’autre, les yeux fermés, en contractant ses fesses pour sentir vivre l’objet dans son intimité.
Je ne résiste pas au plaisir de la regarder et sens ma queue se durcir quand je palpe ses petits seins sublimes. Soulevant à nouveau sa jupe, ma main se glisse dessous pour saisir son sexe rigide qui me fait découvrir ses attentes.
Elle frissonne de plaisir quand j’embrasse ses petits seins et que je tiraille, avec mes dents, ses petits bouts durcis d’envie.
- Ne sois pas si impatiente, me dit-elle ;
Puis prise d’une pulsion subite, elle se lève très excitée et se place devant moi, un gode à la main surgit de nulle part.
Elle admire à son tour ma guêpière bleue et noire sur laquelle sont accrochés, très haut sur mes cuisses, des bas à coutures de même couleur. Elle contemple un instant ma verge tendue par le désir qui jaillit de mon slip ouvert.
Elle se place derrière moi, me prenant par la taille, elle m’embrasse en caressant mes seins avant de me chuchoter à l’oreille :
- Je vais moi aussi t’élargir ton petit trou, ma belle.
Elle pose le pieu contre ma rosette en me serrant contre elle. Je suis peu assurée sur mes talons aiguilles et elle me déséquilibre facilement et sans que je puisse réagir, elle m’embroche sur le gode qu’elle visse activement dans mes reins.
Je ressens une douleur vive quand mes chairs s’écartent brutalement devant cette intrusion.
La rapidité d’Aurélie me fait vite oublier cet instant, car aussitôt elle tourne lentement le pal de droite à gauche et exerce de petites pressions successives pour stimuler ma glande intime. Elle progresse peu à peu et finit par m’enfoncer le gode jusqu’au ras des fesses en le poussant avec la paume de sa main.
- Ton cul doit être si accueillant, mais tu attendras encore un peu pour jouir, me dit-elle en le retirant.
Sa libido un peu calmée, elle s’assoit devant la coiffeuse pour faire une retouche à son maquillage avant de me dire :
- Allons déjeuner, ma chérie, je t’invite au restaurant !
- Tu vas sortir ainsi, sans culotte avec un plug en toi ?
- Et pourquoi pas, ainsi je serais prête pour tout à l’heure !
- D’accord et après nous prendrons la route…
Avant de partir elle me demande de ne passer qu’une jupe courte et de rester comme elle seins nus sous ma veste de tailleur.
Nous avons été déjeunées dans un restaurant près de la maison, où j’ai mes habitudes, mais les désirs en moi ne sont pas retombés pour autant.
Après déjeuner nous avons pris la route pour nous rendre à Epernay et prendre nos quartiers à l’hôtel quelques heures plus tard.
Aurélie ne s’est pas gênée de m’exciter pendant tout le trajet, caressant mon sexe de la main où même parfois me prenant un instant dans sa bouche, parfois même elle se masturbait les pieds posés sur le tableau de bord en jouant avec le plug toujours enfoncé dans son cul…
Arrivées à l’hôtel, nous sommes montées directement dans la chambre et une fois la porte refermée derrière elle, Aurélie s’est déshabillée et je suis restée sous le charme quand elle a retiré ses vêtements, veste et jupe, pour me faire découvrir ses dessous.
Harnachée comme une courtisane, elle est apparue dans la splendeur de sa féminité avec une lueur d’excitation brillante dans son regard, quand elle se rend compte de l’effet qu’elle produit sur moi.
Je l’admire un moment, ses yeux et ses lèvres maquillés, puis son visage radieux, elle s’exhibe en porte-jarretelles de satin noir et rose, des bas noirs fixés par les jarretelles qui tendent ses bas à coutures, campée sur ses escarpins à talons aiguilles, je la sens prête pour l’amour. La taille ceinte par la lingerie qui met sa croupe en valeur, elle virevolte et se frotte, très chatte contre moi.
J’enlace et embrasse à pleine bouche cette merveilleuse petite salope qui devine si bien mes envies. Je bande comme une folle quand elle presse sournoisement son genou contre mon sexe, puis elle sourit devant mon affolement et m’entraîne vers le lit en me tenant la queue.
A suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Leslie
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres belle histoire,j aimerai que ça m arrive.