Leslie AN04
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie AN04
Leslie AN04 - Anastasia, en route pour le week-end à Epernay, suite
Allongée sur le dos, provocante, elle ouvre lentement ses cuisses en me fixant d’un regard de braise. Impudique, elle écarte malicieusement les cuisses pour s’offrir à moi.
Je retire le plug et contemple son anneau qui palpite d’impatience en s’ouvrant comme une fleur. Sa queue dressée tremble d’excitation à quelques centimètres de mon visage.
- Baise-moi, et profites-en bien, car après ce sera mon tour, me dit-elle, j’ai tellement hâte de vivre cette expérience !
Elle s’abandonne et je ne résiste pas à l’envie de lui sucer tendrement le sexe un instant.
Elle attend sans un mot en souriant et dans un plaisir mêlé de craintes elle reste immobile dans son silence…
Elle tressaille de plaisir quand je pose mon sexe sur sa rondelle, ayant au préalable relevée ses jambes et poser ses talons aiguilles sur mes épaules, et je l’entends gémir quand je presse mon gland sur son anneau avec insistance pour m’introduire en elle.
La queue gonflée et dressée de désir, elle ouvre ses fesses avec ses deux mains pour m’aider à mieux l’explorer.
La pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui cède rapidement à mon ardeur.
Et aspirée par son cul sublime, ma queue s’engouffre entièrement dans ses fesses, alors je contemple son anneau qui se déroule sur ma hampe quand je me retire lentement et s’enroule à nouveau dessus quand je m’enfonce en elle.
Je m’enfonce en elle sans problème, Aurélie commence à s’habituer à mes pénétrations et c’est un véritable délice quand je sens son sphincter se contracter autour de ma verge, je la sodomise avec lenteur mais avec de larges coups de reins qui me font s’enfoncer en elle au plus profond de son intimité.
Le souffle court, Aurélie m’implore d’une voix suppliante :
- Arrête-toi un peu ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir et je voudrais moi aussi te sodomiser.
Alors, j’en profite après avoir fouillé dans ma table de nuit, pour glisser un anneau pénien autour de son sexe afin de garantir durablement sa rigidité.
Elle m’adresse un sourire en ondulant du bassin et contracte son muscle qui me serre puissamment le sexe, elle sait qu’à ce régime je ne vais pas résister longtemps.
Ses contractions anales se rapprochent et deviennent plus fortes.
Au moment crucial, elle m’enfonce sournoisement un doigt dans l’anus, ce qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans ses reins.
Puis je me retire doucement de ce nid d’amour, abandonnant au passage quelques gouttes de sperme sur ses suisses ouvertes.
Excitée par sa forte érection, j’ai une envie irrésistible de m’empaler sur son pieu. À genoux face à elle je guide sa queue pour me l’enfoncer dans les fesses. Je creuse mon dos au maximum pour m’embrocher à fond en sentant ses bourses me cogner l’intérieur des cuisses.
Je reste un moment immobile pour éviter qu’elle ne décharge trop vite. Les mains posées sur sa petite poitrine, j’entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière en la laissant au bord de l’orgasme. En alternance, je contracte fortement mon muscle anal et fais tourner mon bassin sur sa queue
Aurélie est toujours en moi et elle savoure à son tour ce moment alors qu’elle me possède de son membre généreux.
Je masse sa queue avec mon bassin et remue avec mes fesses jusqu’à ce que je la sente prête à défaillir. Je ne la quitte plus du regard en voyant monter son orgasme. Elle s’agite de plus en plus et je sais qu’elle va bientôt décharger sa semence.
Je m’enfonce au maximum sur son membre pour la faire exploser. Une vague de plaisir l’emporte, et je sens fuser son sperme en jets puissants dans mes entrailles.
Je prends mon temps, contractant puissamment mon sphincter autour de son sexe pour la vider complètement.
Puis, sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, j’introduis mon sexe brûlant dans sa bouche. Elle l’avale goulûment, gobe au passage mes bourses, avant que mon sexe bute au fond de sa gorge.
Puis sans dans un acte de complète soumission, elle me lèche le gland et creuse ses joues pour mieux m’aspirer. La queue tendue entre ses lèvres, je ne résiste pas longtemps et ma sève fuse en giclées lourdes et épaisses au fond de sa gorge.
Aurélie reprend ses esprits, mais je sens que maintenant elle a une envie folle de me baiser encore.
La laissant allongée sur le dos, je m’allonge auprès d’elle pour lui laisser maintenant l’initiative de la suite de ce moment intime.
Quelques instants plus tard, avec un regard coquin, Aurélie prend ma queue et la branle voluptueusement d’une main. Ce contact m’électrise et je m’abandonne un long moment à ses caresses pour retrouver mes forces.
Quand elle sent mon corps vibrer à nouveau sous ses doigts, elle remonte sa main vers le triangle de mes cuisses qui s’ouvrent, tremblantes de désir. Elle me masturbe lentement pendant que ses ongles égratignent mon frein.
Puis, d’un doigt elle caresse mon anneau intime en exerçant de petites pressions successives qui m’excitent l’anus.
- Tu vas va voir comme je vais bien t’enculer, me souffle-elle à l’oreille avec perversité
Elle écarte mes fesses et s’aide de tout son poids pour forcer mon passage. Avec un grand sourire de satisfaction, elle pousse son sexe dans mon œillet qui s’élargit sous la pression.
J’éprouve du plaisir quand son membre progresse en moi, elle l’enfonce lentement en me tenant par les hanches
- Ouvres-toi, ma chérie, que je t’enfile complètement, me dit-elle en pilonnant mon anneau.
Elle se trouble quand elle voit son sexe entrer en moi et redouble alors d’efficacité pour s’enfoncer entièrement dans mes fesses.
Elle m’oblige à détourner la tête vers elle pour coller ses lèvres sur les miennes afin d’étouffer mes plaintes et m’encule à fond en poussant son sexe en moi.
Avec un frisson d’excitation, elle me voit m’agiter et finit de m’empaler malgré moi de son membre vigoureux. J’ouvre les jambes et m’abandonne totalement à ses désirs. Appréciant ce geste de soumission, elle me dit :
- Ne bouge plus ma belle et laisse-moi faire.
Elle me chevauche et m’embroche de sa queue, elle me branle en regardant mon anneau se contracter de plus en plus rapidement sur son sexe et sait que je vais bientôt perdre mon contrôle.
Mes cuisses se mettent à trembler et j’essaie vainement de retenir mon sperme avant d’exploser. Aurélie gémit de plaisir quand elle sent fuser ma semence dans sa main et continue à s’activer pour prolonger mes contractions anales.
Ne me laissant aucun repos, elle me retourne sur le ventre et sa main s’attarde sur mes cuisses gainées de bas ornés de jarretières. Son désir monte et me elle me reprend en plantant profondément son sexe dans mes fesses.
Impatiente de jouir en moi, elle se pour regarder mon petit trou déjà très dilaté par ses pénétrations.
- J’ai maintenant une envie folle de jouir en toi, me dit-elle.
Stimulée par cette vue, la queue bien dure, elle me pénètre à nouveau.
Aurélie s’arrête dès que la couronne de son gland passe mon anneau et me dit :
- Cambre-toi bien mon ange pour que je puisse t’enfiler le plus loin possible.
La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée par l’orgasme précédent, je fais ressortir ma croupe en contractant mon œillet pour la serrer et lui donner un plaisir total. Je n’offre plus de résistance, et elle peut plonger lentement une nouvelle fois son pieu jusqu’à la garde. Le souffle court, je sens qu’elle écarte mes fesses pour s’enfoncer toujours plus profondément en moi en m’achevant de puissants coups de rein.
- Te voilà bien prise, maintenant !
Avec ardeur, elle me laboure les reins en me pelotant les seins. Totalement comblée par ce pieu qui me fouille, je vis pleinement ma féminité.
Au moment voulu, elle s’effondre sur mon dos et se vide abondamment en moi.
Prenant notre temps, nous restons allongées face à face reprenant une nouvelle fois nos esprits, la suite de la journée fut très sexe, ne s’arrêtant que pour une légère collation, dans la chambre que nous avons faite servir, vers vingt heures.
En fait nous n’avons pas quitté la chambre, je l’ai enculé plusieurs fois avec douceur en recherchant ses points faibles, elle m’a aussi enculé de manière plus virile en fouillant mes entrailles de son sexe qui jamais ne débandait, m’arrachant à chaque fois des cris de plaisir.
On s’est engodée en sentant nos queues durcir dans nos mains, alors qu’elle me fouillait les reins avec un gode, elle m’a dit :
- Je n’avais jamais fait l’amour, et je deviens folle de sexe, je crois que je ne vais plus pouvoir m’en passer. Et je dois avouer que j’adore me faire enfiler.
Maintenant nos corps ne font plus qu’un, et nos queues tremblent de désir en permanence,
Puis en position de soixante-neuf, j’écarte ses cuisses pour lui enlever le plug qu’elle avait depuis un moment, il me résiste, sans doute retenu par ses contractions anales, mais je finis par le lui retirer d’un coup sec en lui arrachant une plainte.
Je contemple son visage qui exprime tour à tour le plaisir et le vide que le plug a laissé lorsque je lui ai retiré, alors je lui caresse la queue réveillant aussitôt en elle l’envie de me baiser, elle est en pleine érection.
- Je vais te violer sans scrupule, me dit-elle en me plaquant avec autorité sur le lit.
Je ne lui résiste plus quand elle me lèche et gobe mes bourses en alternance pendant que l’un de ses doigts me pénètre perfidement l’anus. De son autre main, elle me masturbe sur des rythmes lents et rapides.
Au bout d’un moment, me voyant suffisamment excitée, elle me dit d’une voix rauque :
- Donne-moi tes fesses maintenant, ma chérie.
Je les écarte à deux mains et lui offre mon anneau encore bien ouvert par les pénétrations précédentes. Elle m’empale avec facilité du premier coup. Soumise, je relève mes jambes afin qu’elle saisisse mes chevilles pour mieux me fouiller le ventre.
Ainsi, à sa guise, elle ouvre mes cuisses, plie mes genoux, place mes talons aiguilles à la hauteur de mon visage pour me prendre de toutes les façons, en cherchant surtout à me pénétrer le profondément possible.
Martelant mon œillet, elle me fixe du regard pour suivre la montée de mon orgasme. Totalement empalée, je gémis de plaisir et Aurélie me sourit, satisfaite d’avoir enfin trouvé mon point sensible qu’elle pilonne avec précision en accélérant la cadence. Simultanément, elle me masturbe pour me faire jouir une dernière fois en petites giclées de jouissance, puis elle s’effondre sur mes seins en déversant ses dernières gouttes de liqueur brûlante dans mes reins, alors je croise mes jambes dans son dos pour la garder en moi et sentir ses ultimes contractions.
Enlacées tendrement nous nous sommes endormies.
A suivre…
Allongée sur le dos, provocante, elle ouvre lentement ses cuisses en me fixant d’un regard de braise. Impudique, elle écarte malicieusement les cuisses pour s’offrir à moi.
Je retire le plug et contemple son anneau qui palpite d’impatience en s’ouvrant comme une fleur. Sa queue dressée tremble d’excitation à quelques centimètres de mon visage.
- Baise-moi, et profites-en bien, car après ce sera mon tour, me dit-elle, j’ai tellement hâte de vivre cette expérience !
Elle s’abandonne et je ne résiste pas à l’envie de lui sucer tendrement le sexe un instant.
Elle attend sans un mot en souriant et dans un plaisir mêlé de craintes elle reste immobile dans son silence…
Elle tressaille de plaisir quand je pose mon sexe sur sa rondelle, ayant au préalable relevée ses jambes et poser ses talons aiguilles sur mes épaules, et je l’entends gémir quand je presse mon gland sur son anneau avec insistance pour m’introduire en elle.
La queue gonflée et dressée de désir, elle ouvre ses fesses avec ses deux mains pour m’aider à mieux l’explorer.
La pression de mon sexe efface peu à peu les plis de sa rosette qui cède rapidement à mon ardeur.
Et aspirée par son cul sublime, ma queue s’engouffre entièrement dans ses fesses, alors je contemple son anneau qui se déroule sur ma hampe quand je me retire lentement et s’enroule à nouveau dessus quand je m’enfonce en elle.
Je m’enfonce en elle sans problème, Aurélie commence à s’habituer à mes pénétrations et c’est un véritable délice quand je sens son sphincter se contracter autour de ma verge, je la sodomise avec lenteur mais avec de larges coups de reins qui me font s’enfoncer en elle au plus profond de son intimité.
Le souffle court, Aurélie m’implore d’une voix suppliante :
- Arrête-toi un peu ma chérie, ne me fais pas jouir trop vite. Je voudrais tellement prolonger ces instants de plaisir et je voudrais moi aussi te sodomiser.
Alors, j’en profite après avoir fouillé dans ma table de nuit, pour glisser un anneau pénien autour de son sexe afin de garantir durablement sa rigidité.
Elle m’adresse un sourire en ondulant du bassin et contracte son muscle qui me serre puissamment le sexe, elle sait qu’à ce régime je ne vais pas résister longtemps.
Ses contractions anales se rapprochent et deviennent plus fortes.
Au moment crucial, elle m’enfonce sournoisement un doigt dans l’anus, ce qui me fait décharger convulsivement toute ma semence dans ses reins.
Puis je me retire doucement de ce nid d’amour, abandonnant au passage quelques gouttes de sperme sur ses suisses ouvertes.
Excitée par sa forte érection, j’ai une envie irrésistible de m’empaler sur son pieu. À genoux face à elle je guide sa queue pour me l’enfoncer dans les fesses. Je creuse mon dos au maximum pour m’embrocher à fond en sentant ses bourses me cogner l’intérieur des cuisses.
Je reste un moment immobile pour éviter qu’elle ne décharge trop vite. Les mains posées sur sa petite poitrine, j’entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière en la laissant au bord de l’orgasme. En alternance, je contracte fortement mon muscle anal et fais tourner mon bassin sur sa queue
Aurélie est toujours en moi et elle savoure à son tour ce moment alors qu’elle me possède de son membre généreux.
Je masse sa queue avec mon bassin et remue avec mes fesses jusqu’à ce que je la sente prête à défaillir. Je ne la quitte plus du regard en voyant monter son orgasme. Elle s’agite de plus en plus et je sais qu’elle va bientôt décharger sa semence.
Je m’enfonce au maximum sur son membre pour la faire exploser. Une vague de plaisir l’emporte, et je sens fuser son sperme en jets puissants dans mes entrailles.
Je prends mon temps, contractant puissamment mon sphincter autour de son sexe pour la vider complètement.
Puis, sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, j’introduis mon sexe brûlant dans sa bouche. Elle l’avale goulûment, gobe au passage mes bourses, avant que mon sexe bute au fond de sa gorge.
Puis sans dans un acte de complète soumission, elle me lèche le gland et creuse ses joues pour mieux m’aspirer. La queue tendue entre ses lèvres, je ne résiste pas longtemps et ma sève fuse en giclées lourdes et épaisses au fond de sa gorge.
Aurélie reprend ses esprits, mais je sens que maintenant elle a une envie folle de me baiser encore.
La laissant allongée sur le dos, je m’allonge auprès d’elle pour lui laisser maintenant l’initiative de la suite de ce moment intime.
Quelques instants plus tard, avec un regard coquin, Aurélie prend ma queue et la branle voluptueusement d’une main. Ce contact m’électrise et je m’abandonne un long moment à ses caresses pour retrouver mes forces.
Quand elle sent mon corps vibrer à nouveau sous ses doigts, elle remonte sa main vers le triangle de mes cuisses qui s’ouvrent, tremblantes de désir. Elle me masturbe lentement pendant que ses ongles égratignent mon frein.
Puis, d’un doigt elle caresse mon anneau intime en exerçant de petites pressions successives qui m’excitent l’anus.
- Tu vas va voir comme je vais bien t’enculer, me souffle-elle à l’oreille avec perversité
Elle écarte mes fesses et s’aide de tout son poids pour forcer mon passage. Avec un grand sourire de satisfaction, elle pousse son sexe dans mon œillet qui s’élargit sous la pression.
J’éprouve du plaisir quand son membre progresse en moi, elle l’enfonce lentement en me tenant par les hanches
- Ouvres-toi, ma chérie, que je t’enfile complètement, me dit-elle en pilonnant mon anneau.
Elle se trouble quand elle voit son sexe entrer en moi et redouble alors d’efficacité pour s’enfoncer entièrement dans mes fesses.
Elle m’oblige à détourner la tête vers elle pour coller ses lèvres sur les miennes afin d’étouffer mes plaintes et m’encule à fond en poussant son sexe en moi.
Avec un frisson d’excitation, elle me voit m’agiter et finit de m’empaler malgré moi de son membre vigoureux. J’ouvre les jambes et m’abandonne totalement à ses désirs. Appréciant ce geste de soumission, elle me dit :
- Ne bouge plus ma belle et laisse-moi faire.
Elle me chevauche et m’embroche de sa queue, elle me branle en regardant mon anneau se contracter de plus en plus rapidement sur son sexe et sait que je vais bientôt perdre mon contrôle.
Mes cuisses se mettent à trembler et j’essaie vainement de retenir mon sperme avant d’exploser. Aurélie gémit de plaisir quand elle sent fuser ma semence dans sa main et continue à s’activer pour prolonger mes contractions anales.
Ne me laissant aucun repos, elle me retourne sur le ventre et sa main s’attarde sur mes cuisses gainées de bas ornés de jarretières. Son désir monte et me elle me reprend en plantant profondément son sexe dans mes fesses.
Impatiente de jouir en moi, elle se pour regarder mon petit trou déjà très dilaté par ses pénétrations.
- J’ai maintenant une envie folle de jouir en toi, me dit-elle.
Stimulée par cette vue, la queue bien dure, elle me pénètre à nouveau.
Aurélie s’arrête dès que la couronne de son gland passe mon anneau et me dit :
- Cambre-toi bien mon ange pour que je puisse t’enfiler le plus loin possible.
La tête dans l’oreiller, encore toute chavirée par l’orgasme précédent, je fais ressortir ma croupe en contractant mon œillet pour la serrer et lui donner un plaisir total. Je n’offre plus de résistance, et elle peut plonger lentement une nouvelle fois son pieu jusqu’à la garde. Le souffle court, je sens qu’elle écarte mes fesses pour s’enfoncer toujours plus profondément en moi en m’achevant de puissants coups de rein.
- Te voilà bien prise, maintenant !
Avec ardeur, elle me laboure les reins en me pelotant les seins. Totalement comblée par ce pieu qui me fouille, je vis pleinement ma féminité.
Au moment voulu, elle s’effondre sur mon dos et se vide abondamment en moi.
Prenant notre temps, nous restons allongées face à face reprenant une nouvelle fois nos esprits, la suite de la journée fut très sexe, ne s’arrêtant que pour une légère collation, dans la chambre que nous avons faite servir, vers vingt heures.
En fait nous n’avons pas quitté la chambre, je l’ai enculé plusieurs fois avec douceur en recherchant ses points faibles, elle m’a aussi enculé de manière plus virile en fouillant mes entrailles de son sexe qui jamais ne débandait, m’arrachant à chaque fois des cris de plaisir.
On s’est engodée en sentant nos queues durcir dans nos mains, alors qu’elle me fouillait les reins avec un gode, elle m’a dit :
- Je n’avais jamais fait l’amour, et je deviens folle de sexe, je crois que je ne vais plus pouvoir m’en passer. Et je dois avouer que j’adore me faire enfiler.
Maintenant nos corps ne font plus qu’un, et nos queues tremblent de désir en permanence,
Puis en position de soixante-neuf, j’écarte ses cuisses pour lui enlever le plug qu’elle avait depuis un moment, il me résiste, sans doute retenu par ses contractions anales, mais je finis par le lui retirer d’un coup sec en lui arrachant une plainte.
Je contemple son visage qui exprime tour à tour le plaisir et le vide que le plug a laissé lorsque je lui ai retiré, alors je lui caresse la queue réveillant aussitôt en elle l’envie de me baiser, elle est en pleine érection.
- Je vais te violer sans scrupule, me dit-elle en me plaquant avec autorité sur le lit.
Je ne lui résiste plus quand elle me lèche et gobe mes bourses en alternance pendant que l’un de ses doigts me pénètre perfidement l’anus. De son autre main, elle me masturbe sur des rythmes lents et rapides.
Au bout d’un moment, me voyant suffisamment excitée, elle me dit d’une voix rauque :
- Donne-moi tes fesses maintenant, ma chérie.
Je les écarte à deux mains et lui offre mon anneau encore bien ouvert par les pénétrations précédentes. Elle m’empale avec facilité du premier coup. Soumise, je relève mes jambes afin qu’elle saisisse mes chevilles pour mieux me fouiller le ventre.
Ainsi, à sa guise, elle ouvre mes cuisses, plie mes genoux, place mes talons aiguilles à la hauteur de mon visage pour me prendre de toutes les façons, en cherchant surtout à me pénétrer le profondément possible.
Martelant mon œillet, elle me fixe du regard pour suivre la montée de mon orgasme. Totalement empalée, je gémis de plaisir et Aurélie me sourit, satisfaite d’avoir enfin trouvé mon point sensible qu’elle pilonne avec précision en accélérant la cadence. Simultanément, elle me masturbe pour me faire jouir une dernière fois en petites giclées de jouissance, puis elle s’effondre sur mes seins en déversant ses dernières gouttes de liqueur brûlante dans mes reins, alors je croise mes jambes dans son dos pour la garder en moi et sentir ses ultimes contractions.
Enlacées tendrement nous nous sommes endormies.
A suivre…
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