Leslie AN05
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Leslie AN05
Leslie AN05 – Anastasia, en route pour le week-end à Epernay, suite
Dans la nuit, j’ai été réveillé par du bruit, Aurélie près de moi était agitée, mais je n’ai pas bougé essayant de savoir ce qui se passait…
A la lueur de la lune éclairant la chambre, j’ai vu Aurélie allongée près de moi, nous nous étions endormies dans les bras l’une de l’autre après nous être aimées longuement, et là je voyais Aurélie qui se donnait du plaisir.
La main entourait son sexe, le contact devait lui apporter d’agréables sensations car elle gémissait doucement, je la voyais aussi de son autre main pousser son investigation plus en avant car le bout de l’index de cette autre main caressait son œillet.
Elle effleurait régulièrement son anus, certainement encore sensible des pénétrations subites avec un délicieux plaisir dans la journée, Aurélie était heureuse en s’endormant, elle n’était plus vierge du cul et m’avait sodomisé réalisant ses rêves les plus secrets.
La sensation était surement étrange, car des perles de sueur recouvraient son corps, elle devait avoir chaud et la caresse de son endroit intime devait l’exciter au plus haut point, car lorsque son index entrait dans son intimité, elle soupirait plus fort.
Enhardie par le plaisir l’envahissant, elle commença à faire des petits cercles autour de son œillet en prenant soin de le pénétrer régulièrement.
Je la voyais onduler du bassin, réceptive au plaisir qu’elle s’infligeait et ralentit même le mouvement de peur de me réveiller, mais sa deuxième continuait de branler lentement son membre raide
Le plaisir devait envahir son corps car les pointes de ses petits tétons étaient érigés et certainement durs, elle ne pouvait s’empêcher de feuler doucement en se mordant la lèvre inférieure.
Par moment le doigt qui caressait son anus devenait envahisseur en s’enfonçant plus profondément dans ses chairs intimes, son excitation était devenue si forte, que je vis monter son orgasme, et elle ne put se retenir de pousser un cri de plaisir.
Aussitôt elle n’osa plus bouger, cherchant à reprendre sa respiration, en essayant de savoir si elle m’avait réveillé, elle était couverte de sueur et sa peau brillait sous la lueur de la lune, mais qu’elle était belle dans son abandon au plaisir solitaire qu’elle venait de se donner.
Aurélie, reprenant ses esprits songea un moment :
« Jeune adolescent, Aurélien que j’étais, voulait devenir Aurélie, très jeune je me masturbais seule dans ma chambre en rêvant d’être femme, mes parents ne parlaient jamais de sexualité, alors je ne pouvais parler de me désirs, simplement en cachette dans la nuit, je rêvais. Maintenant, je ne suis plus vierge, Leslie ma posséder et j’ai aimé, ohhh oui, j’ai aimé, d’ailleurs quand je l’ai enculé j’ai aussi aimé et je voudrais bien encore recommencer, mais elle dort… »
Aurélie ne se rendormit pas tout de suite, elle devait penser à ce que sa vie allait devenir, avant que le sommeil l’engloutisse à nouveau.
Lorsqu’Aurélie se réveilla, j’avais quitté le lit et prenais ma douche.
Aurélie se leva, s’étira avant de me rejoindre sous la douche, sons sexe déjà raide montraient que ses désirs étaient encore présents.
En rentrant dans la salle de bains, elle me gratifia d’un :
- Bonjour, tu as bien dormi ?
- Ohhh, oui, dis-je, et toi ?
- Comme une princesse, mais j’ai le cul un peu douloureux.
- C’est normal, les premières fois c’est ainsi, mais ça va passer.
Aurélie hésita un instant avant de rajouter :
- J’espère car j’ai beaucoup aimé et je voudrais rapidement recommencer.
Je ne répondis rien, sachant le plaisir solitaire qu’elle s’était donné dans la nuit.
Aurélie entra dans la baignoire et passa sous la douche et se colla à moi, elle prit mon sexe en main et me dit :
- Chérie, je deviens accroc !
Nous avons pris notre douche en se caressant mutuellement, non sans oublier de se savonner aussi, puis nous sommes sorties nous nous séchées en nous embrassant avant de de rejoindre la chambre, Aurélie vint s’asseoir à côté de moi après nous avoir servi deux verres de whisky.
Les lèvres sur le verre, Aurélie ne disait rien et restait absorbée par ses pensées, la regardant je compris qu’Aurélie avait des problèmes et je décidais de rompre le silence.
- Aurélie, s’il te plaît, parle, que se passe-t-il !
Aurélie se ressaisit, me regarda dans les yeux et lâcha :
- Tu me trouves belle ?
J’ai failli lui demander pourquoi elle me posait cette question, mais la regardant je me suis abstenue.
- Mais quel est ton problème, ma chérie ?
- Cette nuit je me suis caressée en pensant à toi et j’ai eue du plaisir
- Et alors ?
- Comme je te l’ai dit, je suis en train de tomber accroc, et ça me fait peur !
Je ne comprenais pas comment ce joli petit bout de transexuelle, jolie comme un cœur, pouvait rester seule, presque femme, personne ne s’occupait d’elle alors qu’elle était un vrai bon coup.
Elle pouvait faire retourner les hommes dans la rue, sur sa silhouette, malgré ses dix-huit ans tout juste révolus, elle avait un goût prononcé pour le sexe, mais c’est le doute et sa solitude prolongée qui la tétanisaient et la rendaient si fragile.
- Ma chérie, dis-je, ma question va être brutale, tu es très belle, il suffit que tu le sache et que tu en prennes conscience et tu auras le monde à tes pieds, veux-tu être heureuse ?
La question l’a tellement surprise qu’Aurélie ne put que bégayer :
- Tu… tu crois ?
- Tu sais un homme normalement constitué ne peut rester insensible à tes charmes, il suffit que tu te laisses aller et tu trouveras le bonheur, mais peut-être pas avec moi.
Elle me regarda dans les yeux et compris que j’avais raison.
- Alors je dois me laisse aller ?
- Oui, profites de ce week-end et tu en ressortiras pleine de certitudes, et puis aussi tu prendras un maximum de plaisir.
- Je vais suivre ton conseil Leslie, promis, dis Aurélie avant de m’embrasser.
J’en ai profité pour poser ma main sur le haut de sa cuisse en disant :
- Laisse toi aller !
Et sans lui laisser le temps de réagir, j’ai appliqué une nouvelle fois mes lèvres contre les siennes.
Incapable de réagir, elle laissa ma langue investir sa bouche, devenant aussitôt actrice de son propre désir. Les mains d’Aurélie avaient glissé dans mon peignoir et caressaient ma peau, effleuraient ses seins, créant à chaque passage une onde électrique qui s’irradiait jusque dans mon dos.
Aurélie m’ôta le peignoir qui entravait ses mouvements et se rendant compte que je n’étais pas insensible à ses caresses à cet endroit, Aurélie pencha sa tête sur ma poitrine pour de sa langue faire des cercles autours de mes mamelons.
Elle rythmait ses gestes à mes gémissements et me poussa pour m’allonger sur le lit et sur le dos, avant d’ouvrir grand mon peignoir et me mettre nue à ses yeux.
Après ce que je lui avais dit et excité comme je l’étais, je ne pouvais lui refuser cette initiative.
Sa bouche quitta mes seins pour descendre petit à petit vers mon sexe, sa langue commença à lécher mon gland, provoquant en moi des ondes de plaisir, puis Aurélie se déshabilla à son tour et se mit à califourchon sur moi et me présenta sa croupe, en disant :
- Mange-moi le cul !
Je ne me suis pas fait prier et j’ai commencé à m’exécuter.
- Vas-y, mange-moi, avec tes propos tu m’as excitée, maintenant tu dois m’éteindre !
Aurélie regarda mon sexe dressé et le prit en bouche tout en enfonçant son index dans mon cul, puis entama à me sucer de bas en haut avec application.
De mon côté je me délectais du petit trou d’Aurélie, poussant ma langue darder à l’intérieur de son intimité légèrement entrouverte, à cet instant les peurs d’Aurélie avaient disparues, rendant largement le plaisir qu’elle recevait.
Le monde, pour elle avait disparu, soudain, Aurélie cria :
- Ohhh, oui continue, je vais jouir.
Et aussitôt après, Aurélie poussa un cri long sous l’effet du spasme orgasmique qui la saisit et je vis les contractions qui agitaient le périnée de ma partenaire.
Devinant qu’Aurélie était anéantie par son plaisir, je la repoussais tendrement pour me placer derrière elle, et relevant ses jambes et je me ms à la masturber.
Compte tenu de son degré d’excitation, elle ne mit pas longtemps à jouir à nouveau et c’est à cet instant que je me suis enfoncée dans son intimité…
Je l’ai sodomisée pour son plus grand plaisir, prenant le temps de la faire jouir et de la rendre heureuse et lui faire comprendre qu’elle était très désirable.
A suivre…
Dans la nuit, j’ai été réveillé par du bruit, Aurélie près de moi était agitée, mais je n’ai pas bougé essayant de savoir ce qui se passait…
A la lueur de la lune éclairant la chambre, j’ai vu Aurélie allongée près de moi, nous nous étions endormies dans les bras l’une de l’autre après nous être aimées longuement, et là je voyais Aurélie qui se donnait du plaisir.
La main entourait son sexe, le contact devait lui apporter d’agréables sensations car elle gémissait doucement, je la voyais aussi de son autre main pousser son investigation plus en avant car le bout de l’index de cette autre main caressait son œillet.
Elle effleurait régulièrement son anus, certainement encore sensible des pénétrations subites avec un délicieux plaisir dans la journée, Aurélie était heureuse en s’endormant, elle n’était plus vierge du cul et m’avait sodomisé réalisant ses rêves les plus secrets.
La sensation était surement étrange, car des perles de sueur recouvraient son corps, elle devait avoir chaud et la caresse de son endroit intime devait l’exciter au plus haut point, car lorsque son index entrait dans son intimité, elle soupirait plus fort.
Enhardie par le plaisir l’envahissant, elle commença à faire des petits cercles autour de son œillet en prenant soin de le pénétrer régulièrement.
Je la voyais onduler du bassin, réceptive au plaisir qu’elle s’infligeait et ralentit même le mouvement de peur de me réveiller, mais sa deuxième continuait de branler lentement son membre raide
Le plaisir devait envahir son corps car les pointes de ses petits tétons étaient érigés et certainement durs, elle ne pouvait s’empêcher de feuler doucement en se mordant la lèvre inférieure.
Par moment le doigt qui caressait son anus devenait envahisseur en s’enfonçant plus profondément dans ses chairs intimes, son excitation était devenue si forte, que je vis monter son orgasme, et elle ne put se retenir de pousser un cri de plaisir.
Aussitôt elle n’osa plus bouger, cherchant à reprendre sa respiration, en essayant de savoir si elle m’avait réveillé, elle était couverte de sueur et sa peau brillait sous la lueur de la lune, mais qu’elle était belle dans son abandon au plaisir solitaire qu’elle venait de se donner.
Aurélie, reprenant ses esprits songea un moment :
« Jeune adolescent, Aurélien que j’étais, voulait devenir Aurélie, très jeune je me masturbais seule dans ma chambre en rêvant d’être femme, mes parents ne parlaient jamais de sexualité, alors je ne pouvais parler de me désirs, simplement en cachette dans la nuit, je rêvais. Maintenant, je ne suis plus vierge, Leslie ma posséder et j’ai aimé, ohhh oui, j’ai aimé, d’ailleurs quand je l’ai enculé j’ai aussi aimé et je voudrais bien encore recommencer, mais elle dort… »
Aurélie ne se rendormit pas tout de suite, elle devait penser à ce que sa vie allait devenir, avant que le sommeil l’engloutisse à nouveau.
Lorsqu’Aurélie se réveilla, j’avais quitté le lit et prenais ma douche.
Aurélie se leva, s’étira avant de me rejoindre sous la douche, sons sexe déjà raide montraient que ses désirs étaient encore présents.
En rentrant dans la salle de bains, elle me gratifia d’un :
- Bonjour, tu as bien dormi ?
- Ohhh, oui, dis-je, et toi ?
- Comme une princesse, mais j’ai le cul un peu douloureux.
- C’est normal, les premières fois c’est ainsi, mais ça va passer.
Aurélie hésita un instant avant de rajouter :
- J’espère car j’ai beaucoup aimé et je voudrais rapidement recommencer.
Je ne répondis rien, sachant le plaisir solitaire qu’elle s’était donné dans la nuit.
Aurélie entra dans la baignoire et passa sous la douche et se colla à moi, elle prit mon sexe en main et me dit :
- Chérie, je deviens accroc !
Nous avons pris notre douche en se caressant mutuellement, non sans oublier de se savonner aussi, puis nous sommes sorties nous nous séchées en nous embrassant avant de de rejoindre la chambre, Aurélie vint s’asseoir à côté de moi après nous avoir servi deux verres de whisky.
Les lèvres sur le verre, Aurélie ne disait rien et restait absorbée par ses pensées, la regardant je compris qu’Aurélie avait des problèmes et je décidais de rompre le silence.
- Aurélie, s’il te plaît, parle, que se passe-t-il !
Aurélie se ressaisit, me regarda dans les yeux et lâcha :
- Tu me trouves belle ?
J’ai failli lui demander pourquoi elle me posait cette question, mais la regardant je me suis abstenue.
- Mais quel est ton problème, ma chérie ?
- Cette nuit je me suis caressée en pensant à toi et j’ai eue du plaisir
- Et alors ?
- Comme je te l’ai dit, je suis en train de tomber accroc, et ça me fait peur !
Je ne comprenais pas comment ce joli petit bout de transexuelle, jolie comme un cœur, pouvait rester seule, presque femme, personne ne s’occupait d’elle alors qu’elle était un vrai bon coup.
Elle pouvait faire retourner les hommes dans la rue, sur sa silhouette, malgré ses dix-huit ans tout juste révolus, elle avait un goût prononcé pour le sexe, mais c’est le doute et sa solitude prolongée qui la tétanisaient et la rendaient si fragile.
- Ma chérie, dis-je, ma question va être brutale, tu es très belle, il suffit que tu le sache et que tu en prennes conscience et tu auras le monde à tes pieds, veux-tu être heureuse ?
La question l’a tellement surprise qu’Aurélie ne put que bégayer :
- Tu… tu crois ?
- Tu sais un homme normalement constitué ne peut rester insensible à tes charmes, il suffit que tu te laisses aller et tu trouveras le bonheur, mais peut-être pas avec moi.
Elle me regarda dans les yeux et compris que j’avais raison.
- Alors je dois me laisse aller ?
- Oui, profites de ce week-end et tu en ressortiras pleine de certitudes, et puis aussi tu prendras un maximum de plaisir.
- Je vais suivre ton conseil Leslie, promis, dis Aurélie avant de m’embrasser.
J’en ai profité pour poser ma main sur le haut de sa cuisse en disant :
- Laisse toi aller !
Et sans lui laisser le temps de réagir, j’ai appliqué une nouvelle fois mes lèvres contre les siennes.
Incapable de réagir, elle laissa ma langue investir sa bouche, devenant aussitôt actrice de son propre désir. Les mains d’Aurélie avaient glissé dans mon peignoir et caressaient ma peau, effleuraient ses seins, créant à chaque passage une onde électrique qui s’irradiait jusque dans mon dos.
Aurélie m’ôta le peignoir qui entravait ses mouvements et se rendant compte que je n’étais pas insensible à ses caresses à cet endroit, Aurélie pencha sa tête sur ma poitrine pour de sa langue faire des cercles autours de mes mamelons.
Elle rythmait ses gestes à mes gémissements et me poussa pour m’allonger sur le lit et sur le dos, avant d’ouvrir grand mon peignoir et me mettre nue à ses yeux.
Après ce que je lui avais dit et excité comme je l’étais, je ne pouvais lui refuser cette initiative.
Sa bouche quitta mes seins pour descendre petit à petit vers mon sexe, sa langue commença à lécher mon gland, provoquant en moi des ondes de plaisir, puis Aurélie se déshabilla à son tour et se mit à califourchon sur moi et me présenta sa croupe, en disant :
- Mange-moi le cul !
Je ne me suis pas fait prier et j’ai commencé à m’exécuter.
- Vas-y, mange-moi, avec tes propos tu m’as excitée, maintenant tu dois m’éteindre !
Aurélie regarda mon sexe dressé et le prit en bouche tout en enfonçant son index dans mon cul, puis entama à me sucer de bas en haut avec application.
De mon côté je me délectais du petit trou d’Aurélie, poussant ma langue darder à l’intérieur de son intimité légèrement entrouverte, à cet instant les peurs d’Aurélie avaient disparues, rendant largement le plaisir qu’elle recevait.
Le monde, pour elle avait disparu, soudain, Aurélie cria :
- Ohhh, oui continue, je vais jouir.
Et aussitôt après, Aurélie poussa un cri long sous l’effet du spasme orgasmique qui la saisit et je vis les contractions qui agitaient le périnée de ma partenaire.
Devinant qu’Aurélie était anéantie par son plaisir, je la repoussais tendrement pour me placer derrière elle, et relevant ses jambes et je me ms à la masturber.
Compte tenu de son degré d’excitation, elle ne mit pas longtemps à jouir à nouveau et c’est à cet instant que je me suis enfoncée dans son intimité…
Je l’ai sodomisée pour son plus grand plaisir, prenant le temps de la faire jouir et de la rendre heureuse et lui faire comprendre qu’elle était très désirable.
A suivre…
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