Leslie AN16
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2013 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AN16
Leslie AN16 - Anastasia, week-end à Epernay, la soirée chez Benoît, suite
Nous étions maintenant prêtes et en regardant Pierre nous vîmes qu’il était nu debout au pied du lit se branlant en nous regardant. Il ne put s’empêcher de dire :
- Vous avez un beau petit cul mes deux jolies cochonnes.
Et en portant la main sur le mien, il rajouta :
- Et si doux au toucher.
Au-dessus de Diane, je présentais mon petit cul à Pierre
Perverse, Diane avait écarté mes cuisses, ce qui fait que Pierre eut mes petites fesses dans la paume, mais que ses doigts furent immédiatement en contact avec ma petite chatte toute chaude et toute humide.
Pierre en profita et caressa à pleine main mes fesses, ma raie culière et mon sexe offert et maintenant légèrement ouvert, je sentis même son majeur s’introduire dans ma fente, qui devait être comme d’habitude, bien lubrifié.
- Oh ! Pierre, dis-je, continuez, vous aussi vous me faites du bien. Votre doigt là…
- C’est vrai qu’elles sont belles et douces tes fesses. Mais celles de ton amie, comment sont-elles ? demanda soudain Pierre qui s’enhardissait de plus en plus.
- Aussi douces, dis-je, mais il faut que vous puissiez comparer !
Nous nous sommes placées face à Pierre, les cuisses largement écartées afin de lui faciliter son investigation.
- Tenez, jugez par vous-même, dis Daine, mettez vos doigts dans ma chatte, vous verrez que je suis une vicieuse, c’est déjà tout trempé de cyprine et mes seins sont durs…
- Monsieur Pierre devrait goûter ton minet avec sa bouche, dis-je, ce serait mieux.
Je le pris par la main et l’attirais sur le lit où nous l’attendions cuisses ouvertes. Il se plaça entre nous deux et se penchant, brouta la motte à grands coups de langue tandis que son doigt faisait des ravages dans ma chatte.
Puis, Diane se redressa et prit en bouche la verge de notre homme, une grosse bite comme l’avait annoncé Diane qu’elle avait peine à prendre entièrement dans sa bouche.
- Monsieur Pierre, dis-je, votre bite est un vrai glaive, vous allez nous défoncer avec un tel engin.
Diane passait sa langue mutine sur le bout du vit de Pierre et recueillait les perles d’un liquide blanchâtre qui s’échappait du méat de la queue fabuleuse.
Pierre maintenant s’occupait de ma fente et ses lèvres poser sur mon intimité me donnait des frissons, sa langue légèrement râpeuse agaçait mon bouton avec délectation.
Puis elle, d’un effort surhumain, elle emboucha complètement le gland et se mit à lui tailler une pipe. Il gémit et me mordit légèrement le clitoris. Il semblait apprécier l’action de mon amie et tendait son sexe vers la bouche gourmande de Diane, essayant d’aller plus loin au fond de sa gorge, en enfonçant son engin assez loin il fit hoqueter Diane qui commençait à étouffer.
Pour lui venir en aide et surtout parce que j’avais vraiment envie d’essayer ce gros mandrin dans ma petite chatte, je me redressais et dit :
- Mon con brûle Monsieur Pierre ! J’ai besoin d’une bonne queue pour l’apaiser ! Allongez-vous s’il vous plaît !
Il s’exécuta et je me mis de suite à cheval au-dessus de son bassin. Diane d’une main experte dirigea le bout turgescent de sa grosse queue vers l’entrée de mon petit minet.
La première tentative fut un échec, ma petite chatte refusant de s’ouvrir, mais je tentais à nouveau sans perdre de temps et dès que j’ai sentis que je m’ouvrais et que le membre commençait à entrer en moi, je m’assis et m’empalais carrément dessus.
Pierre plaça ses mains sur mes hanches et m’aida à monter et descendre le long de sa colonne de chair. Vicieuse, Diane avait mis sa main entre nos deux corps et pelotait les couilles de mon amant en même temps que mon cul et mon clitoris, dans le but d’augmenter notre plaisir.
- Ah ! Monsieur Pierre, je l’ai déjà dit, quelle bonne queue vous avez ! Elle remplit bien ma chatte. Ah ! Salaud, tu vas me faire jouir avec ta grosse queue.
- Oui, petite salope ! Toi aussi tu me fais jouir ! Tu baises déjà rudement bien ! Tu tortilles du cul comme une pute, et ton plaisir inonde ma bite. Et ta copine qui nous fourre sa langue dans nos petits trous chaque fois qu’elle le peut c’est génial. Vous êtes de sacrées vicieuses toutes les deux.
- Oh oui, nous sommes vicieuses Monsieur Pierre, dis Diane, et vous aimé ça.
Il venait de pousser un petit cri et je compris que cette vicieuse de Diane venait de lui fourrer un doigt dans le cul, son sexe venait subitement de grossir en moi et je cru qu’il allait jouir.
- Ahhh, que c’est bon de te baiser ! Dis Pierre, ta chatte est toute chaude et toute gluante de mouille, je n’ai jamais été aussi serré par un con si étroit.
- Et vous êtes en train de visiter que le premier trou, dit Diane, il vous en reste d’autres à pénétrer, économisez-vous Monsieur Pierre, la nuit risque d’être longue…
- Mais tu jouis, petite salope ! Me dit-il, tu jouis ! Je sens ton liquide chaud qui recommence à gicler et ton petit con se resserre sur ma queue, attends que je te prenne l’anus tu vas hurler.
- Vous allez nous enculer Monsieur Pierre, dis-je entre deux gémissements.
- Je vais me gêner, répliqua-t-il.
Je n’ai pas répondu, anéantie de plaisir. Pierre sous moi donnait de violents coups de cul, et sa verge s’enfonçait au plus profond de moi, frappant ma matrice à chaque coup de reins.
Puis je suis tombée sur le côté, ravagé par le plaisir qui venait de m’emporter, dans ma semi inconscience j’ai entendu Diane dire :
- À moi maintenant Monsieur Pierre !
Elle s’allongea sur le lit, cuisses écartées dans une position hautement impudique, étalant sa chatte aux yeux de l’homme qui se jeta sur elle, dirigea son gland vers sa cible et la pénétra avec un han de bûcheron. Diane hurla en disant :
- Waouh, Monsieur Pierre vous me pourfendez de votre grosse queue, tel un glaive vous avez embroché mon petit chat si délicat !
Pierre qui limait violemment mon amie tout en lui pelotant les seins, hoqueta :
- Vous êtes toutes les mêmes, petites salopes, vous faites les mijaurées, mais vous en redemandées toutes !
- Vous l’aimez mon petit con bien serré, monsieur Pierre ?
- Ah oui, autant que de celui de ta copine !
Cela dura quelques minutes, puis Diane se mit à jouir comme une folle. Elle avait orgasme sur orgasme. Moi je les contemplais en me massant lentement le clitoris.
Enfin Pierre déchargea dans la chatte de Diane avec tant de force qu’il faillit s’évanouir de plaisir. »
- Bon, ça suffit pour l’instant, dit Benoît, nos amies doivent s’ennuyer, tu nous as mis dans un bel état avec tes histoires.
Benoît ne s’était pas encore rendu compte que, même si les histoires vde Delphine nous avaient fait de l’effet, nous n’étions pas en reste.
En effet après s’être mis me sucer, Anastasia s’est laissé lécher la chatte par Aurélie, si bien qu’à la fin de l’histoire nous étions excitées comme des puces et prêtes à nous joindre à nos deux complices.
Benoît se relevant se dirigea vers Anastasia et le sexe bandé lui doit :
- Allez, mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de te prendre en levrette.
- Avec plaisir ! Moi aussi ça m’a excitée d’entendre Delphine raconter ses souvenirs !
Anastasia s’exécuta et présenta son magnifique petit cul d’adolescente et son sexe déjà trempé à Benoît. Celui-ci commença par caresser les jolies petites fesses en titillant le petit anneau brun qui lui sembla bien souple.
- Tiens, dit-il, il faudra que j’essaye de t’enculer, ça doit être bon aussi et tu dois certainement en avoir envie.
Puis il pelota la chatte dans tous les recoins avant d’introduire deux doigts dans la fente. Il les fit aller et venir pendant un moment, puis les porta à sa bouche pour les lécher.
- Baise-moi, Benoît ! Baise-moi ! Tu m’as promis ta queue ! Alors vas-y je n’en peux plus !
Benoît venait de se placer derrière Anastasia et s’apprêtait à la prendre.
- Oh ! oui, hurla Anastasia, je sens ton gland qui est au bord ! Pousses que ça rentre et que tu me remplisse la chatte et lime moi bien !
La petite adolescente timide avait disparue et venait de laisser la place à une vraie cochonne assoiffée de sexe, Benoît aurait tôt fait de lui prendre sa deuxième virginité.
Benoît, tenant Anastasia aux hanches, avançait et reculait, entrant à chaque poussée sa queue jusqu’à la garde dans le vagin de sa partenaire. Son bas-ventre butait à chaque coup de queue sur les petites fesses de son amante. Il s’allongea sur le dos de la jeune fille, et s’empara des petits seins qui ballottaient au rythme de la copulation.
Le con d’Anastasia était si juteux que le sexe de Benoît glissait hors de la gaine de peau à chaque fois qu’il reculait un peu trop loin. Chaque poussée vers l’avant provoquait un petit bruit obscène qui excitait la jeune fille, se sentant bien baisé. Bientôt Anastasia, qui était découvrait les plaisirs du sexe, se mit à gémir, commentant en termes crus l’arrivée de son orgasme.
- Benoît, mon chéri, ça vient, ça monte, c’est fort ! Oui, c’est bon ! Elle est bonne ta queue et je vais jouir, Ca y est, je jouis !
Benoît, malgré l’excitation que lui procurait la chatte d’Anastasia, continuait ses allées et venues dans la moule qui mouillait terriblement. Anastasia jouissait sans retenue, son corps tout entier participait à l’orgasme. Enfin la tempête s’apaisa, et la jeune fille s’écroula anéantie.
A suivre…
Nous étions maintenant prêtes et en regardant Pierre nous vîmes qu’il était nu debout au pied du lit se branlant en nous regardant. Il ne put s’empêcher de dire :
- Vous avez un beau petit cul mes deux jolies cochonnes.
Et en portant la main sur le mien, il rajouta :
- Et si doux au toucher.
Au-dessus de Diane, je présentais mon petit cul à Pierre
Perverse, Diane avait écarté mes cuisses, ce qui fait que Pierre eut mes petites fesses dans la paume, mais que ses doigts furent immédiatement en contact avec ma petite chatte toute chaude et toute humide.
Pierre en profita et caressa à pleine main mes fesses, ma raie culière et mon sexe offert et maintenant légèrement ouvert, je sentis même son majeur s’introduire dans ma fente, qui devait être comme d’habitude, bien lubrifié.
- Oh ! Pierre, dis-je, continuez, vous aussi vous me faites du bien. Votre doigt là…
- C’est vrai qu’elles sont belles et douces tes fesses. Mais celles de ton amie, comment sont-elles ? demanda soudain Pierre qui s’enhardissait de plus en plus.
- Aussi douces, dis-je, mais il faut que vous puissiez comparer !
Nous nous sommes placées face à Pierre, les cuisses largement écartées afin de lui faciliter son investigation.
- Tenez, jugez par vous-même, dis Daine, mettez vos doigts dans ma chatte, vous verrez que je suis une vicieuse, c’est déjà tout trempé de cyprine et mes seins sont durs…
- Monsieur Pierre devrait goûter ton minet avec sa bouche, dis-je, ce serait mieux.
Je le pris par la main et l’attirais sur le lit où nous l’attendions cuisses ouvertes. Il se plaça entre nous deux et se penchant, brouta la motte à grands coups de langue tandis que son doigt faisait des ravages dans ma chatte.
Puis, Diane se redressa et prit en bouche la verge de notre homme, une grosse bite comme l’avait annoncé Diane qu’elle avait peine à prendre entièrement dans sa bouche.
- Monsieur Pierre, dis-je, votre bite est un vrai glaive, vous allez nous défoncer avec un tel engin.
Diane passait sa langue mutine sur le bout du vit de Pierre et recueillait les perles d’un liquide blanchâtre qui s’échappait du méat de la queue fabuleuse.
Pierre maintenant s’occupait de ma fente et ses lèvres poser sur mon intimité me donnait des frissons, sa langue légèrement râpeuse agaçait mon bouton avec délectation.
Puis elle, d’un effort surhumain, elle emboucha complètement le gland et se mit à lui tailler une pipe. Il gémit et me mordit légèrement le clitoris. Il semblait apprécier l’action de mon amie et tendait son sexe vers la bouche gourmande de Diane, essayant d’aller plus loin au fond de sa gorge, en enfonçant son engin assez loin il fit hoqueter Diane qui commençait à étouffer.
Pour lui venir en aide et surtout parce que j’avais vraiment envie d’essayer ce gros mandrin dans ma petite chatte, je me redressais et dit :
- Mon con brûle Monsieur Pierre ! J’ai besoin d’une bonne queue pour l’apaiser ! Allongez-vous s’il vous plaît !
Il s’exécuta et je me mis de suite à cheval au-dessus de son bassin. Diane d’une main experte dirigea le bout turgescent de sa grosse queue vers l’entrée de mon petit minet.
La première tentative fut un échec, ma petite chatte refusant de s’ouvrir, mais je tentais à nouveau sans perdre de temps et dès que j’ai sentis que je m’ouvrais et que le membre commençait à entrer en moi, je m’assis et m’empalais carrément dessus.
Pierre plaça ses mains sur mes hanches et m’aida à monter et descendre le long de sa colonne de chair. Vicieuse, Diane avait mis sa main entre nos deux corps et pelotait les couilles de mon amant en même temps que mon cul et mon clitoris, dans le but d’augmenter notre plaisir.
- Ah ! Monsieur Pierre, je l’ai déjà dit, quelle bonne queue vous avez ! Elle remplit bien ma chatte. Ah ! Salaud, tu vas me faire jouir avec ta grosse queue.
- Oui, petite salope ! Toi aussi tu me fais jouir ! Tu baises déjà rudement bien ! Tu tortilles du cul comme une pute, et ton plaisir inonde ma bite. Et ta copine qui nous fourre sa langue dans nos petits trous chaque fois qu’elle le peut c’est génial. Vous êtes de sacrées vicieuses toutes les deux.
- Oh oui, nous sommes vicieuses Monsieur Pierre, dis Diane, et vous aimé ça.
Il venait de pousser un petit cri et je compris que cette vicieuse de Diane venait de lui fourrer un doigt dans le cul, son sexe venait subitement de grossir en moi et je cru qu’il allait jouir.
- Ahhh, que c’est bon de te baiser ! Dis Pierre, ta chatte est toute chaude et toute gluante de mouille, je n’ai jamais été aussi serré par un con si étroit.
- Et vous êtes en train de visiter que le premier trou, dit Diane, il vous en reste d’autres à pénétrer, économisez-vous Monsieur Pierre, la nuit risque d’être longue…
- Mais tu jouis, petite salope ! Me dit-il, tu jouis ! Je sens ton liquide chaud qui recommence à gicler et ton petit con se resserre sur ma queue, attends que je te prenne l’anus tu vas hurler.
- Vous allez nous enculer Monsieur Pierre, dis-je entre deux gémissements.
- Je vais me gêner, répliqua-t-il.
Je n’ai pas répondu, anéantie de plaisir. Pierre sous moi donnait de violents coups de cul, et sa verge s’enfonçait au plus profond de moi, frappant ma matrice à chaque coup de reins.
Puis je suis tombée sur le côté, ravagé par le plaisir qui venait de m’emporter, dans ma semi inconscience j’ai entendu Diane dire :
- À moi maintenant Monsieur Pierre !
Elle s’allongea sur le lit, cuisses écartées dans une position hautement impudique, étalant sa chatte aux yeux de l’homme qui se jeta sur elle, dirigea son gland vers sa cible et la pénétra avec un han de bûcheron. Diane hurla en disant :
- Waouh, Monsieur Pierre vous me pourfendez de votre grosse queue, tel un glaive vous avez embroché mon petit chat si délicat !
Pierre qui limait violemment mon amie tout en lui pelotant les seins, hoqueta :
- Vous êtes toutes les mêmes, petites salopes, vous faites les mijaurées, mais vous en redemandées toutes !
- Vous l’aimez mon petit con bien serré, monsieur Pierre ?
- Ah oui, autant que de celui de ta copine !
Cela dura quelques minutes, puis Diane se mit à jouir comme une folle. Elle avait orgasme sur orgasme. Moi je les contemplais en me massant lentement le clitoris.
Enfin Pierre déchargea dans la chatte de Diane avec tant de force qu’il faillit s’évanouir de plaisir. »
- Bon, ça suffit pour l’instant, dit Benoît, nos amies doivent s’ennuyer, tu nous as mis dans un bel état avec tes histoires.
Benoît ne s’était pas encore rendu compte que, même si les histoires vde Delphine nous avaient fait de l’effet, nous n’étions pas en reste.
En effet après s’être mis me sucer, Anastasia s’est laissé lécher la chatte par Aurélie, si bien qu’à la fin de l’histoire nous étions excitées comme des puces et prêtes à nous joindre à nos deux complices.
Benoît se relevant se dirigea vers Anastasia et le sexe bandé lui doit :
- Allez, mets-toi à quatre pattes, j’ai envie de te prendre en levrette.
- Avec plaisir ! Moi aussi ça m’a excitée d’entendre Delphine raconter ses souvenirs !
Anastasia s’exécuta et présenta son magnifique petit cul d’adolescente et son sexe déjà trempé à Benoît. Celui-ci commença par caresser les jolies petites fesses en titillant le petit anneau brun qui lui sembla bien souple.
- Tiens, dit-il, il faudra que j’essaye de t’enculer, ça doit être bon aussi et tu dois certainement en avoir envie.
Puis il pelota la chatte dans tous les recoins avant d’introduire deux doigts dans la fente. Il les fit aller et venir pendant un moment, puis les porta à sa bouche pour les lécher.
- Baise-moi, Benoît ! Baise-moi ! Tu m’as promis ta queue ! Alors vas-y je n’en peux plus !
Benoît venait de se placer derrière Anastasia et s’apprêtait à la prendre.
- Oh ! oui, hurla Anastasia, je sens ton gland qui est au bord ! Pousses que ça rentre et que tu me remplisse la chatte et lime moi bien !
La petite adolescente timide avait disparue et venait de laisser la place à une vraie cochonne assoiffée de sexe, Benoît aurait tôt fait de lui prendre sa deuxième virginité.
Benoît, tenant Anastasia aux hanches, avançait et reculait, entrant à chaque poussée sa queue jusqu’à la garde dans le vagin de sa partenaire. Son bas-ventre butait à chaque coup de queue sur les petites fesses de son amante. Il s’allongea sur le dos de la jeune fille, et s’empara des petits seins qui ballottaient au rythme de la copulation.
Le con d’Anastasia était si juteux que le sexe de Benoît glissait hors de la gaine de peau à chaque fois qu’il reculait un peu trop loin. Chaque poussée vers l’avant provoquait un petit bruit obscène qui excitait la jeune fille, se sentant bien baisé. Bientôt Anastasia, qui était découvrait les plaisirs du sexe, se mit à gémir, commentant en termes crus l’arrivée de son orgasme.
- Benoît, mon chéri, ça vient, ça monte, c’est fort ! Oui, c’est bon ! Elle est bonne ta queue et je vais jouir, Ca y est, je jouis !
Benoît, malgré l’excitation que lui procurait la chatte d’Anastasia, continuait ses allées et venues dans la moule qui mouillait terriblement. Anastasia jouissait sans retenue, son corps tout entier participait à l’orgasme. Enfin la tempête s’apaisa, et la jeune fille s’écroula anéantie.
A suivre…
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