Leslie AR30
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AR30
Leslie AR30 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite
Il est maintenant dix heures, et nous allons prendre un café, histoire de nous
remettre de cet épisode. Un peu de repos nous fera le plus grand bien.
Nous sommes nus tous les quatre et pouvons enfin profiter de cette nudité pour
découvrir et détaillé nos corps, qu’en fait nous n’avons jamais bien vu.
Pendant que nous buvons le café préparé par Passy, je sens que Laure n’est pas bien,
elle ne cesse de se caresser en soupirant, comme si elle était en manque. Certainement
que la petite séance dont elle a été spectatrice l’a mise dans tous ses états.
Benoît, lui aussi s’en est aperçu et il propose à Laure de venir le rejoindre sur le
canapé pour lui faire un gros câlin.
Sans se faire prier elle se place assise, nue contre lui, de dos, sur le canapé, je
remarque qu’un petit filet coule de son entre-jambe, témoin de son excitation et de
ses désirs.
Je bois mon café, pendant qu’abandonnant le sien, d’une main il commence à agacer la
pointe de ses seins, en lui disant :
- Tu sais que tu es belle et douce, un ange.
Sa deuxième main est déjà descendue à sa vulve, il la caresse doucement et Laure se
détends petit à petit et se laisse aller dans les bras de Benoît, excitée par cette
caresse et rassurée par la douceur dont fait preuve notre ami.
Ses seins finissent par durcir sous la caresse de la main, puis il suce les pointes
dures en les pinçant doucement. Laure a basculé la tête en arrière et gonflé le buste.
Je regarde du côté de Passy et je m’aperçois qu’elle est en train de se doigter la
vulve, son clitoris darde fièrement entre les lèvres de son intimité. Passy détourne
la tête et s’aperçois que je l’observe, d’un clin d’œil elle me fait signe de venir
près d’elle.
Je me suis assise à côté de ma belle métisse, afin que nous puissions nous donner du
plaisir, sans manquer le spectacle que nous offraient Benoît et Laure.
Ma main s’est perdue sur son sexe, aux poils frisés taillés courts, tandis que la
sienne tenait fermement mon membre et commençait un branle.
Laure maintenant gémit et a largement ouvert ses cuisses pour lui faciliter l’accès à
sa vulve, aussitôt ses doigts investissent l’intimité de Laure, la fouillent et
l’inondent de plaisir.
Le majeur s’enfonce dans son con, joue avec son plaisir et ressort. Puis il le ressort
le lèche doucement et le replonge en elle et ressort ainsi plusieurs fois.
Passy commence sous ma caresse à mouiller terriblement et mon sexe est dur comme du
bois, mais nous ne bougeons pas accaparés par le spectacle offert.
Il l’a placé de côté et l’a pénétré de son sexe bandé, puis dans cette position et l’a
fouillé de sa queue, le corps de Laure, tout entier, vibre de plaisir, elle mouille
abondement et il joue de son doigt, tantôt à secouer son petit bouton à la limite de
ses lèvres, tantôt à humidifier son petit trou.
Elle garde en bouche un doigt qu’il lui a offert et ferme les yeux quand il accélère
entre ses cuisses, il la lime à fond et elle gémit bruyamment.
- Ohhh oui, ohhh oui, soupire Laure.
Le spectacle est d’une incroyable indécence et Passy ne peut se retenir de venir me
chevaucher de dos, face aux protagonistes. Elle s’empale sur mon membre dressé et
prenant appui des deux mains sur mes cuisses commence de lentes montées et descentes.
Trempée comme elle est, Passy m’inonde le sexe de ses sécrétions intimes, je suis aux
anges.
Laure sursaute quand une curieuse sensation touche son bas ventre, Benoît tente de
forcer son petit anneau. Elle tente de se dégager mais il l’enserre fermement.
- Non, dit Laure, pas maintenant.
- Mais tu n’as rien dit hier, réponds Benoît, quand je t’ai sodomisée.
- Je me sens si serrée ce matin, réplique Laure.
Tout en parlant, il continue à progresser dans ses entrailles, Laure se laisse alors
aller, un peu crispée et au moment où la douleur se fait plus vive, elle hurle en
disant :
- Non, non ce n’est pas possible.
Benoît est maintenant fiché de toute la longueur de son sexe dans le cul de Laure et
immobile il attend que son amante lui demande de continuer. C’est le moment dont
profite Passy pour s’échapper de moi et prendre mon sexe dans sa main, puis le plus
naturellement du monde elle positionne le gland à l’entrée de son œillet et descend
lentement pour s’empaler le cul.
Laure de la main a attiré Benoît vers elle, signe de son acceptation et il a commencé
à lui limer le cul, Passy de son côté à adopter le même rythme pour s’enculer sur mon
membre et bien plus tard un orgasme les a foudroyé des pieds à la tête.
Pendant ce court laps de temps elles sont fouillées, puis souillée par nos sexes
fouillant leurs reins et remplissant leurs entrailles.
- Tu as aimé, demandais-je à Passy.
- Ohhh oui, avec le spectacle s’était encore mieux qu’hier.
Nous nous sommes douchés avant de déjeuner.
Et c’est Passy, pendant le repas, qui nous a annoncé que l’après-midi nous irions chez
des amis à eux nous baigner dans leur piscine.
Si ces amis étaient aussi des libertins l’après-midi s’annonçait chaude et les
orifices allaient encore être visités…
Après le déjeuner, le lave-vaisselle en marche, nous sommes partis. Il est deux heures
de l’après-midi quand nous arrivons enlacés et marchant d’un pas lent chez les amis de
Benoît et Passy.
Leur grande villa ressemble en rien à la maison que je m’attendais à trouver. Nous
sommes dans un petit village et la villa se trouve être un grand corps de ferme où
trône une magnifique piscine en son centre. La maison est entièrement retapée et doit
être confortable.
Nous arrivons donc pour le café et nous installons sur la terrasse pour le prendre.
Sitôt le déjeuner terminé, Passy me fait un petit clin d’œil et me dit :
- Bronzette et baignade. ?
Et aussitôt elle disparaît, avec son homme dans une chambre pour revêtir leurs
maillots de bain, avec Laure nous les suivons dans une autre chambre pour faire de
même.
Lorsque nous revenons près de la piscine, nos hôtes sont en tenue, sauf que Dalida, la
maîtresse des lieux, ne porte pas de haut, elle arbore une belle poitrine aux seins
magnifiques et fermes.
En nous voyant elle ne peut s’empêcher de dire :
- Le haut est interdit, le bas tout juste toléré !
Et elle enlève le bas de son maillot pour nous laisser découvrir son bas-ventre nu et
glabre décoré par un joli tatouage.
Dalida est une belle femme d’une cinquntaine d’années, blonde aux cheveux mi- longs,
son corps fin aux hanches étroites donne de l’arrogance à sa poitrine généreuse. Son
pubis glabre est décoré au-dessus du pubis par un tatouage ethnique de toute beauté,
donnant à son bas-ventre un attrait supplémentaire. En se penchant pour déposer son
bas de maillot sur son transat, j’ai pu découvrir son petit anneau plissé dépourvu de
pilosité, légèrement gonflé et entrouvert, signe d’une addiction certaine à la
sodomie.
J’ai ôté mon haut en même temps que Laure et nous avons vu que, Lionel, l’homme de la
maison en avait profité pour regarder nos poitrines.
Le couple ne faisait pas spécialement attention à nos amis, les connaissant
certainement dans les moindres détails de leur anatomie et ayant certainement eu
l’occasion de se retrouver dans une chaude intimité.
- Les nouvelles sont bonnes Benoît ? Demanda Lionel.
- Ohhh oui ! Tout va pour le mieux et nos deux amies sont de vrais cœurs.
Une très légère bosse déformait déjà le maillot de Lionel et je souris en le regardant
pour lui faire comprendre que je m’étais aperçue de son état, et comme j’aime plaire
aux hommes et les séduire, il savait maintenant que je ne me déroberais pas.
Passy a revêtu un petit bas de maillot rouge, très échancré mettant bien en valeur ses
fesses fermes et la douceur de son intimité.
- Tu es magnifique ! Lui dis-je.
- C’est pour te faire plaisir, ma chérie, répondis Passy.
La réponse de Passy interpella Lionel qui ne put s’empêcher de dire
- Vous avez l’air de bien vous connaitre les filles !
Sourire complice de Benoît et de Passy sur cette réflexion.
- Si tu savais, dit Benoît.
Sur-ce Passy nous gratifie d’un magnifique plongeon dans la piscine et nage avec grâce
et élégance une première longueur.
- Tu ne te joins pas à moi ? Me demande Passy.
- J’arrive, dis-je.
Mon entrée dans l’eau est digne d’une habituée, ce qui étonne tout de suite le couple,
maître des lieux. Laure vient se joindre à nous suivi de Dalida. Benoît et Lionel son
rester sur le bord à discuter.
L’après-midi se poursuit tranquillement entre baignade, bronzette, je ne peux
m’empêcher de regarder les corps du couple, puis on me parle, c’est Passy, je suis
restée ailleurs un moment.
- Que dirais-tu d’un petit sauna ?
Alors là je suis bluffée, ils ont aménagé un sauna dans la maison, rien que pour eux.
- Génial !
Mouvement vers le Sauna avec Laure et Dalida.
A suivre…
Il est maintenant dix heures, et nous allons prendre un café, histoire de nous
remettre de cet épisode. Un peu de repos nous fera le plus grand bien.
Nous sommes nus tous les quatre et pouvons enfin profiter de cette nudité pour
découvrir et détaillé nos corps, qu’en fait nous n’avons jamais bien vu.
Pendant que nous buvons le café préparé par Passy, je sens que Laure n’est pas bien,
elle ne cesse de se caresser en soupirant, comme si elle était en manque. Certainement
que la petite séance dont elle a été spectatrice l’a mise dans tous ses états.
Benoît, lui aussi s’en est aperçu et il propose à Laure de venir le rejoindre sur le
canapé pour lui faire un gros câlin.
Sans se faire prier elle se place assise, nue contre lui, de dos, sur le canapé, je
remarque qu’un petit filet coule de son entre-jambe, témoin de son excitation et de
ses désirs.
Je bois mon café, pendant qu’abandonnant le sien, d’une main il commence à agacer la
pointe de ses seins, en lui disant :
- Tu sais que tu es belle et douce, un ange.
Sa deuxième main est déjà descendue à sa vulve, il la caresse doucement et Laure se
détends petit à petit et se laisse aller dans les bras de Benoît, excitée par cette
caresse et rassurée par la douceur dont fait preuve notre ami.
Ses seins finissent par durcir sous la caresse de la main, puis il suce les pointes
dures en les pinçant doucement. Laure a basculé la tête en arrière et gonflé le buste.
Je regarde du côté de Passy et je m’aperçois qu’elle est en train de se doigter la
vulve, son clitoris darde fièrement entre les lèvres de son intimité. Passy détourne
la tête et s’aperçois que je l’observe, d’un clin d’œil elle me fait signe de venir
près d’elle.
Je me suis assise à côté de ma belle métisse, afin que nous puissions nous donner du
plaisir, sans manquer le spectacle que nous offraient Benoît et Laure.
Ma main s’est perdue sur son sexe, aux poils frisés taillés courts, tandis que la
sienne tenait fermement mon membre et commençait un branle.
Laure maintenant gémit et a largement ouvert ses cuisses pour lui faciliter l’accès à
sa vulve, aussitôt ses doigts investissent l’intimité de Laure, la fouillent et
l’inondent de plaisir.
Le majeur s’enfonce dans son con, joue avec son plaisir et ressort. Puis il le ressort
le lèche doucement et le replonge en elle et ressort ainsi plusieurs fois.
Passy commence sous ma caresse à mouiller terriblement et mon sexe est dur comme du
bois, mais nous ne bougeons pas accaparés par le spectacle offert.
Il l’a placé de côté et l’a pénétré de son sexe bandé, puis dans cette position et l’a
fouillé de sa queue, le corps de Laure, tout entier, vibre de plaisir, elle mouille
abondement et il joue de son doigt, tantôt à secouer son petit bouton à la limite de
ses lèvres, tantôt à humidifier son petit trou.
Elle garde en bouche un doigt qu’il lui a offert et ferme les yeux quand il accélère
entre ses cuisses, il la lime à fond et elle gémit bruyamment.
- Ohhh oui, ohhh oui, soupire Laure.
Le spectacle est d’une incroyable indécence et Passy ne peut se retenir de venir me
chevaucher de dos, face aux protagonistes. Elle s’empale sur mon membre dressé et
prenant appui des deux mains sur mes cuisses commence de lentes montées et descentes.
Trempée comme elle est, Passy m’inonde le sexe de ses sécrétions intimes, je suis aux
anges.
Laure sursaute quand une curieuse sensation touche son bas ventre, Benoît tente de
forcer son petit anneau. Elle tente de se dégager mais il l’enserre fermement.
- Non, dit Laure, pas maintenant.
- Mais tu n’as rien dit hier, réponds Benoît, quand je t’ai sodomisée.
- Je me sens si serrée ce matin, réplique Laure.
Tout en parlant, il continue à progresser dans ses entrailles, Laure se laisse alors
aller, un peu crispée et au moment où la douleur se fait plus vive, elle hurle en
disant :
- Non, non ce n’est pas possible.
Benoît est maintenant fiché de toute la longueur de son sexe dans le cul de Laure et
immobile il attend que son amante lui demande de continuer. C’est le moment dont
profite Passy pour s’échapper de moi et prendre mon sexe dans sa main, puis le plus
naturellement du monde elle positionne le gland à l’entrée de son œillet et descend
lentement pour s’empaler le cul.
Laure de la main a attiré Benoît vers elle, signe de son acceptation et il a commencé
à lui limer le cul, Passy de son côté à adopter le même rythme pour s’enculer sur mon
membre et bien plus tard un orgasme les a foudroyé des pieds à la tête.
Pendant ce court laps de temps elles sont fouillées, puis souillée par nos sexes
fouillant leurs reins et remplissant leurs entrailles.
- Tu as aimé, demandais-je à Passy.
- Ohhh oui, avec le spectacle s’était encore mieux qu’hier.
Nous nous sommes douchés avant de déjeuner.
Et c’est Passy, pendant le repas, qui nous a annoncé que l’après-midi nous irions chez
des amis à eux nous baigner dans leur piscine.
Si ces amis étaient aussi des libertins l’après-midi s’annonçait chaude et les
orifices allaient encore être visités…
Après le déjeuner, le lave-vaisselle en marche, nous sommes partis. Il est deux heures
de l’après-midi quand nous arrivons enlacés et marchant d’un pas lent chez les amis de
Benoît et Passy.
Leur grande villa ressemble en rien à la maison que je m’attendais à trouver. Nous
sommes dans un petit village et la villa se trouve être un grand corps de ferme où
trône une magnifique piscine en son centre. La maison est entièrement retapée et doit
être confortable.
Nous arrivons donc pour le café et nous installons sur la terrasse pour le prendre.
Sitôt le déjeuner terminé, Passy me fait un petit clin d’œil et me dit :
- Bronzette et baignade. ?
Et aussitôt elle disparaît, avec son homme dans une chambre pour revêtir leurs
maillots de bain, avec Laure nous les suivons dans une autre chambre pour faire de
même.
Lorsque nous revenons près de la piscine, nos hôtes sont en tenue, sauf que Dalida, la
maîtresse des lieux, ne porte pas de haut, elle arbore une belle poitrine aux seins
magnifiques et fermes.
En nous voyant elle ne peut s’empêcher de dire :
- Le haut est interdit, le bas tout juste toléré !
Et elle enlève le bas de son maillot pour nous laisser découvrir son bas-ventre nu et
glabre décoré par un joli tatouage.
Dalida est une belle femme d’une cinquntaine d’années, blonde aux cheveux mi- longs,
son corps fin aux hanches étroites donne de l’arrogance à sa poitrine généreuse. Son
pubis glabre est décoré au-dessus du pubis par un tatouage ethnique de toute beauté,
donnant à son bas-ventre un attrait supplémentaire. En se penchant pour déposer son
bas de maillot sur son transat, j’ai pu découvrir son petit anneau plissé dépourvu de
pilosité, légèrement gonflé et entrouvert, signe d’une addiction certaine à la
sodomie.
J’ai ôté mon haut en même temps que Laure et nous avons vu que, Lionel, l’homme de la
maison en avait profité pour regarder nos poitrines.
Le couple ne faisait pas spécialement attention à nos amis, les connaissant
certainement dans les moindres détails de leur anatomie et ayant certainement eu
l’occasion de se retrouver dans une chaude intimité.
- Les nouvelles sont bonnes Benoît ? Demanda Lionel.
- Ohhh oui ! Tout va pour le mieux et nos deux amies sont de vrais cœurs.
Une très légère bosse déformait déjà le maillot de Lionel et je souris en le regardant
pour lui faire comprendre que je m’étais aperçue de son état, et comme j’aime plaire
aux hommes et les séduire, il savait maintenant que je ne me déroberais pas.
Passy a revêtu un petit bas de maillot rouge, très échancré mettant bien en valeur ses
fesses fermes et la douceur de son intimité.
- Tu es magnifique ! Lui dis-je.
- C’est pour te faire plaisir, ma chérie, répondis Passy.
La réponse de Passy interpella Lionel qui ne put s’empêcher de dire
- Vous avez l’air de bien vous connaitre les filles !
Sourire complice de Benoît et de Passy sur cette réflexion.
- Si tu savais, dit Benoît.
Sur-ce Passy nous gratifie d’un magnifique plongeon dans la piscine et nage avec grâce
et élégance une première longueur.
- Tu ne te joins pas à moi ? Me demande Passy.
- J’arrive, dis-je.
Mon entrée dans l’eau est digne d’une habituée, ce qui étonne tout de suite le couple,
maître des lieux. Laure vient se joindre à nous suivi de Dalida. Benoît et Lionel son
rester sur le bord à discuter.
L’après-midi se poursuit tranquillement entre baignade, bronzette, je ne peux
m’empêcher de regarder les corps du couple, puis on me parle, c’est Passy, je suis
restée ailleurs un moment.
- Que dirais-tu d’un petit sauna ?
Alors là je suis bluffée, ils ont aménagé un sauna dans la maison, rien que pour eux.
- Génial !
Mouvement vers le Sauna avec Laure et Dalida.
A suivre…
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