Leslie AR34
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2012 dans la catégorie Plus on est
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Leslie AR34
Leslie AR34 – Benoît et Passy, un couple d’amis, suite et fin
Dimanche matin, je me réveille la première et pense allongée près de mes compagnons.
Je soupçonne Benoît d’être devenu accroc à la jolie paire de fesses de ma Laure chérie
et de sa petite rondelle, et aussi des miennes, Passy ne s’en offusque nullement
trouvant en moi un palliatif quand son homme est en panne d’érection.
Avec Benoît et Passy nous vivons un merveilleux week-end remplit d’un mélange de
malice, de complicité, de perversité et de charme.
Je me suis rendormie et quand j’ouvre à nouveau les yeux, seule Passy repose dans le
lit à mes côtés, des gémissements venant du salon attire mon attention et doucement,
intriguée je vais voir ce que c’est.
Benoît est avec Laure, elle est de dos, et la bouche de Benoît embrasse ses épaules,
son cou et bientôt sa langue traverse chaque parcelle de son dos nu.
Il descend jusqu’à la raie de mes fesses, partiellement barrée par un petit string
noir, puis il déplace la petite pièce de tissu sur le côté et sa langue prend
possession de son petit trou. Ce n’est pas un petit suçon pour l’excité, ni un passage
rapide de la langue, mais bel et bien une préparation avant de lui chevaucher les
reins. Avec une malice certaine, benoît prolonge la préparation entre les cuisses de
Laure.
Je le savais, il est accroc…
Puis après s’être relevé, doucement il présente son sexe entre les fesses de Laure.
Elle gémit quand il branle doucement son sexe en prenant appui sur son intimité.
Chaque pression et frottement de la longueur de son sexe sur son vagin est un
délicieux supplice. Bientôt son antre dégouline de plaisir, ses doigts viennent
prélever sa jouissance pour terminer la lubrification de son anus.
Et il sodomise Laure…
Je retourne dans la chambre, Passy est réveillée et nos bouches se trouvent, sans un
mot elle m’invite à me présenter mon sexe, qu’elle prend dans sa bouche ?
Bientôt je suis dur, alors Passy se mettant à quatre pattes sur le lit, me dit :
- Prends-moi !
Je m’installe derrière elle entre ses jambes et la pénètre par la vulve, mais Passy se
dérobe et prenant mon sexe dans la main le présente sur sa rondelle en disant :
- Là, c’est mieux !
Et je sodomise Passy.
Nous nous retrouvons pour le petit-déjeuner, il est dix heures du matin.
Après une bonne douche, Passy retourne dans la chambre pour se reposer encore un peu.
Laure va la rejoindre me laissant seule avec Benoît.
- Ohhh Leslie…
Il a le souffle court, la voix très basse et sensuelle, il se rapproche de moi par
derrière et son souffle chaud vient sur mon cou, ses mains ont enserré mes hanches et
avancent doucement vers mon ventre.
- Oui Benoît…
Il vient déposer un baiser dans le cou et lèche doucement le lobe de mon oreille
droite. Je n’ai pas bougé, attendant.
- Nous n’avons pas eu beaucoup de temps ensemble, alors que…
- Chut, dis-je, c’est la vie, seul le plaisir compte.
- Oui, mais…
- Nous allons partir, oui et alors, le bonheur lui restera.
Il reste quelques minutes serré à moi, m’embrassant et m’étreignant tour à tour. Après
cet interminable ballet de corps, sa main a trouvé mes seins.
Sa langue vient chercher mon cou, lèche doucement ma nuque, ses mains courent sur mon
corps
Tu es magnifique, une vraie déesse, un ange.
Son pied pousse le mien pour me faire écarter un peu mes jambes.
Il s’est agenouillé derrière moi, il écarte doucement mes fesses et sa langue vient
chercher mon intimité, par malice ou par vice il cherche mon anneau de sa langue.
Ses deux mains écartent mes fesses et il lèche mon anus. Je gémis de façon obscène en
me cambrant en arrière pour faciliter sa caresse buccale.
Je réalise que mon sexe durcit rapidement et que je ne retiens pas mes cris quand ses
doigts rejoignent sa langue. J’ai écarté grand les jambes et reste prostrée sous la
caresse, débout dans le salon.
Soudain, il se fait impatient, il me conduit jusqu’à la grande table du salon, et avec
une force surprenante il me couche dessus, la tiédeur de mon corps en ébullition le
rend fou.
Il a pris ma tête par les cheveux et juste entrouvert sa braguette.
- Suce-moi !
Docilement, j’ai pris sa tige déjà raide en bouche, son visage crispé, après quelques
va-et-vient il abandonne ma bouche et se place entre mes jambes.
Il me prend les jambes sur ses épaules et pose son gland sur ma rondelle en disant :
- J’ai tant envie !
- Oui mon chéri, encule moi !
D’un mouvement ample, il me pénètre, ressort et commence à me limer frénétiquement en
gémissant.
- Tu la sens ma queue en toi, Leslie, tu la sens, réponds !
- Oui…je la sens !
- Dis-moi que tu aimes, dis-le-moi !
- J’aime !
- Leslie, Leslie, ohhh, Leslie.
- Oui…
- Ton cul, ohhh, ton cul.
- Tu l’aimes.
- Ohhh.
Dans un dernier spasme il s’est répandu dans mes entrailles.
Puis après s’être retiré, il m’a dit :
- Je voudrais te demander quelque chose Leslie chérie.
- Oui, dis-moi.
- Je voudrais que tu sois la première, je voudrais avec toi connaître le plaisir
de la sodomie.
- Tu voudrais que…
- Oui, j’en rêve depuis les premiers jours de nos contacts sur internet !
Il s’est mis en levrette sur le canapé, m’offrant ses reins pour que je le sodomise.
Avec douceur je lui ai pris sa virginité, il a hurler de bonheur et m’a remercier de
toute mon attention.
La fin de la journée fut calme, nous avions tous les quatre eus notre ration de
plaisir et de sexe et nos orifices nous le rappelaient intimement.
Notre week-end, chez nos amis, aura donc été super, rempli de plaisir et d’échanges,
en partant, lundi matin, tout laisse à prévoir que nous allons nous revoir, nos amis
en nous quittant nous ont dit :
- A bientôt, dans le sud…
Rentrées à la maison, le lundi soir, je ne pouvais m’empêcher de penser à nos amis,
d’ailleurs Laure durant le voyage en a aussi longuement parlée.
J’ai été vers mon ordinateur pour ouvrier ma messagerie, et j’ai trouvé un message de
Benoît :
« Chère Leslie chérie, avec Passy, nous voulions vous remercier, toi et Laure, de ces
fabuleux moments, nous allons nous en souvenir pendant longtemps et nous souhaitons
vous revoir dès que l’occasion se présentera. On reste en contact... »
Leslie pour vous, mes tendres amis.
A suivre…
Dimanche matin, je me réveille la première et pense allongée près de mes compagnons.
Je soupçonne Benoît d’être devenu accroc à la jolie paire de fesses de ma Laure chérie
et de sa petite rondelle, et aussi des miennes, Passy ne s’en offusque nullement
trouvant en moi un palliatif quand son homme est en panne d’érection.
Avec Benoît et Passy nous vivons un merveilleux week-end remplit d’un mélange de
malice, de complicité, de perversité et de charme.
Je me suis rendormie et quand j’ouvre à nouveau les yeux, seule Passy repose dans le
lit à mes côtés, des gémissements venant du salon attire mon attention et doucement,
intriguée je vais voir ce que c’est.
Benoît est avec Laure, elle est de dos, et la bouche de Benoît embrasse ses épaules,
son cou et bientôt sa langue traverse chaque parcelle de son dos nu.
Il descend jusqu’à la raie de mes fesses, partiellement barrée par un petit string
noir, puis il déplace la petite pièce de tissu sur le côté et sa langue prend
possession de son petit trou. Ce n’est pas un petit suçon pour l’excité, ni un passage
rapide de la langue, mais bel et bien une préparation avant de lui chevaucher les
reins. Avec une malice certaine, benoît prolonge la préparation entre les cuisses de
Laure.
Je le savais, il est accroc…
Puis après s’être relevé, doucement il présente son sexe entre les fesses de Laure.
Elle gémit quand il branle doucement son sexe en prenant appui sur son intimité.
Chaque pression et frottement de la longueur de son sexe sur son vagin est un
délicieux supplice. Bientôt son antre dégouline de plaisir, ses doigts viennent
prélever sa jouissance pour terminer la lubrification de son anus.
Et il sodomise Laure…
Je retourne dans la chambre, Passy est réveillée et nos bouches se trouvent, sans un
mot elle m’invite à me présenter mon sexe, qu’elle prend dans sa bouche ?
Bientôt je suis dur, alors Passy se mettant à quatre pattes sur le lit, me dit :
- Prends-moi !
Je m’installe derrière elle entre ses jambes et la pénètre par la vulve, mais Passy se
dérobe et prenant mon sexe dans la main le présente sur sa rondelle en disant :
- Là, c’est mieux !
Et je sodomise Passy.
Nous nous retrouvons pour le petit-déjeuner, il est dix heures du matin.
Après une bonne douche, Passy retourne dans la chambre pour se reposer encore un peu.
Laure va la rejoindre me laissant seule avec Benoît.
- Ohhh Leslie…
Il a le souffle court, la voix très basse et sensuelle, il se rapproche de moi par
derrière et son souffle chaud vient sur mon cou, ses mains ont enserré mes hanches et
avancent doucement vers mon ventre.
- Oui Benoît…
Il vient déposer un baiser dans le cou et lèche doucement le lobe de mon oreille
droite. Je n’ai pas bougé, attendant.
- Nous n’avons pas eu beaucoup de temps ensemble, alors que…
- Chut, dis-je, c’est la vie, seul le plaisir compte.
- Oui, mais…
- Nous allons partir, oui et alors, le bonheur lui restera.
Il reste quelques minutes serré à moi, m’embrassant et m’étreignant tour à tour. Après
cet interminable ballet de corps, sa main a trouvé mes seins.
Sa langue vient chercher mon cou, lèche doucement ma nuque, ses mains courent sur mon
corps
Tu es magnifique, une vraie déesse, un ange.
Son pied pousse le mien pour me faire écarter un peu mes jambes.
Il s’est agenouillé derrière moi, il écarte doucement mes fesses et sa langue vient
chercher mon intimité, par malice ou par vice il cherche mon anneau de sa langue.
Ses deux mains écartent mes fesses et il lèche mon anus. Je gémis de façon obscène en
me cambrant en arrière pour faciliter sa caresse buccale.
Je réalise que mon sexe durcit rapidement et que je ne retiens pas mes cris quand ses
doigts rejoignent sa langue. J’ai écarté grand les jambes et reste prostrée sous la
caresse, débout dans le salon.
Soudain, il se fait impatient, il me conduit jusqu’à la grande table du salon, et avec
une force surprenante il me couche dessus, la tiédeur de mon corps en ébullition le
rend fou.
Il a pris ma tête par les cheveux et juste entrouvert sa braguette.
- Suce-moi !
Docilement, j’ai pris sa tige déjà raide en bouche, son visage crispé, après quelques
va-et-vient il abandonne ma bouche et se place entre mes jambes.
Il me prend les jambes sur ses épaules et pose son gland sur ma rondelle en disant :
- J’ai tant envie !
- Oui mon chéri, encule moi !
D’un mouvement ample, il me pénètre, ressort et commence à me limer frénétiquement en
gémissant.
- Tu la sens ma queue en toi, Leslie, tu la sens, réponds !
- Oui…je la sens !
- Dis-moi que tu aimes, dis-le-moi !
- J’aime !
- Leslie, Leslie, ohhh, Leslie.
- Oui…
- Ton cul, ohhh, ton cul.
- Tu l’aimes.
- Ohhh.
Dans un dernier spasme il s’est répandu dans mes entrailles.
Puis après s’être retiré, il m’a dit :
- Je voudrais te demander quelque chose Leslie chérie.
- Oui, dis-moi.
- Je voudrais que tu sois la première, je voudrais avec toi connaître le plaisir
de la sodomie.
- Tu voudrais que…
- Oui, j’en rêve depuis les premiers jours de nos contacts sur internet !
Il s’est mis en levrette sur le canapé, m’offrant ses reins pour que je le sodomise.
Avec douceur je lui ai pris sa virginité, il a hurler de bonheur et m’a remercier de
toute mon attention.
La fin de la journée fut calme, nous avions tous les quatre eus notre ration de
plaisir et de sexe et nos orifices nous le rappelaient intimement.
Notre week-end, chez nos amis, aura donc été super, rempli de plaisir et d’échanges,
en partant, lundi matin, tout laisse à prévoir que nous allons nous revoir, nos amis
en nous quittant nous ont dit :
- A bientôt, dans le sud…
Rentrées à la maison, le lundi soir, je ne pouvais m’empêcher de penser à nos amis,
d’ailleurs Laure durant le voyage en a aussi longuement parlée.
J’ai été vers mon ordinateur pour ouvrier ma messagerie, et j’ai trouvé un message de
Benoît :
« Chère Leslie chérie, avec Passy, nous voulions vous remercier, toi et Laure, de ces
fabuleux moments, nous allons nous en souvenir pendant longtemps et nous souhaitons
vous revoir dès que l’occasion se présentera. On reste en contact... »
Leslie pour vous, mes tendres amis.
A suivre…
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