Leslie AR36
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR36
Leslie AR36 - Les confessions d’une adolescente, suite
« Je ne regardais plus Richard, le gardien, de la même façon.
Je savais maintenant, quand Maman ne travaillait pas, c’est Richard qui venait la
sauter, la journée et peut-être aussi parfois la nuit. Mais je n’ai jamais vu ses
amants de la nuit.
C’est à partir de cette époque que je suis devenue accroc à la masturbation nocturne,
seule dans mon lit je me caressais jusqu'à me faire jouir en écoutant ma mère hurler
et en repensant au membre de Richard.
Deux semaines plus tard, m’ayant acheté le nécessaire, je me suis épilée entièrement
pour la première fois.
Très tôt, Maman m’a fait prendre la pilule et m’a expliqué comment me servir d’un
préservatif, elle me disait qu’on ne savait jamais et qu’à mon âge, on tombait
amoureuse comme on attrape un rhume et que mieux valait prévenir que guérir.
Elle savait de quoi elle parlait.
Plus de deux ans se sont écoulés depuis ce jour.
J’ai eu des flirts avec des garçons mais rien d’intéressant. Je me consacrais à mes
études et me contentais du plaisir que je m’offrais la nuit, je me suis achetée un
gode, qui est devenu le compagnon de mes nuits. Avec lui j’ai visité tous mes orifices
pendant de nombreux moi, remplaçant les amants que je n’avais pas.
Puis je me suis acheté des sous-vêtements de plus en plus osés, mais surtout des
strings ouverts, je trouvais cela excitant et me permettait de me caresser à volonté.
Maman m’a offert mon permis de conduire et j’ai perdu ma virginité le soir de fête de
la musique l’année de mon bac.
Alors que la soirée avançait et que je commençais à drôlement être attaquée par la
boisson, j’ai suivi un mec après avoir danser une série de slows avec lui.
Je ne le connaissais pas et il m’a entraînée dehors dans un endroit isolé, quand il
m’a embrassé et je me suis laissé faire en frissonnant un peu, ensuite il m’a peloté
et j’ai gémit sous ses caresses.
J’ai été surprise quand il m’a pénétré la vulve d’un doigt et toujours sans rien dire,
il s’est assis sur le banc. Après avoir ouvert son pantalon et sortit son sexe raide,
il m’a fait assoir sur lui pour me pénétrer…
Je n’en revenais pas, j’avais une queue en moi et je ne ressentais rien, je venais de
perdre ma virginité sans un mot, je ne l’ai pas laissé jouir en moi, me relevant d’un
coup, je me suis rajuster en lui disant :
- Terminé !
Je suis partie danser et retrouver mes copains, le laissant seul la bite à l’air.
Je n’avais rien ressenti, et je venais bêtement de perdre ma virginité, mais
maintenant je savais que j’allais en profiter, d’ailleurs ainsi je serais prête pour
mon futur amant…
Un mois plus tard, nous étions en vacances et des copines à moi voulaient m’emmener en
boîte pour fêter nos bacs...
Maman travaillait encore, et elle a dit oui en me faisait promettre de ne pas boire et
d’être prudente.
Je mis une jupe mi-cuisse noire, relativement courte, un string fendu, un chemisier
transparent sans soutien-gorge et mes talons aiguilles,
Je me maquillais un peu plus que d’habitude et nous voilà parties. Peut-être
qu’inconsciemment, ce soir-là, j’avais envie d’u mâle…
Mais je fus sage…
Vers quatre heures du matin, alors que j’avais déposé mes copines chez elles et que
j’avais quand même légèrement picolé, je bataillais à vouloir rentrer la voiture dans
le garage. Soudain, Richard est apparu devant le capot.
J’ai failli faire un infarctus tellement j’ai eu peur. Je suis sorti de la voiture, il
m’a regardé comme à son habitude et a sifflé.
- Dis donc, tu es drôlement mignonne comme ça, une vraie petite femme…
- Pardonnez-moi, mais pourriez-vous m’aider à rentrer la voiture, dis-je.
- Toi, tu as picolé, dit-il.
- Un peu, mais il ne faut pas en parler à ma mère.
- Ok, mais tu me donneras un bisou.
- D’accord, dis-je.
Il rentra la voiture et je lui demandais ce qu’il faisait à cette heure, il me
répondit qu’il sortait les poubelles, comme toujours chaque samedi matin.
- Allez, donnes-moi mon bisou maintenant.
Je me suis approchée timidement de lui et j’ai tendu la bouche pour l’embrasser sur la
joue. Il se laissa embrasser puis, me prenant par la taille, il me souleva et
m’embrassa sur la bouche. Sa langue força mes lèvres et se fraya un passage entre mes
dents, il ne lutta pas beaucoup car j’ouvris ma bouche et nos langues se mêlèrent.
Les images de sa grosse queue revinrent à mon esprit et je me sentis mouiller.
Il me tenait par les fesses sous ma courte jupe et il se mit à me les malaxer
fermement et à me les écarter, c’est là qu’il s’aperçut que j’avais un string ouvert,
car ses doigts, rencontrant mon intimité dénudée, touchèrent la jouissance qui
s’écoulait de moi.
J’ai adoré cette sensation, quand ses doigts ont touché ma vulve, tandis qu’il me
disait :
- Toi, t’es une cochonne !
Puis il m’a collée contre le mur du parking, et tout en libérant son sexe il m’a fait
passer mes jambes autour de ses reins, et d’un coup de reins s’est enfoncé en moi.
J’ai hurlé de plaisir et de surprise, cette soudaine pénétration m’ayant coupé le
souffle, mais que c’était bon de le sentir en moi.
Rien à voir avec la bite qui m’avait défloré, là je prenais de la grosse bite et je me
sentais complètement dilatée.
Il a trouvé bon de rajouter :
- T’es super, je vais bien m’occuper de toi.
Richard me tenait fermement me faisant monter et descendre sur son pieu érigé, me
transperçant la vulve, dilatée par la pénétration qu’il lui infligeait.
Puis il m’a relâché et me posant le corps sur le capot de la voiture il m’a prise
comme une petite salope que j’étais, son sexe rentrait et sortait de moi me faisant
hurler.
Il m’a baisé pendant de longues minutes avant de se répandre en moi tandis que je
jouissais une fois de plus.
En se rajustant il me dit :
- T’es trop bonne, je viendrais te voir souvent, en plus t’as l’air d’aimer ça…
Puis il disparut pour s’occuper de son travail.
J’ai récupéré mes clefs sans rien dire, sentant un liquide chaud couler le long de mes
cuisses et je suis rentrée.
J’ai pris une bonne douche et je me suis couchée.
Dans mon lit j’ai touché ma chatte, j’étais fière et heureuse de m’être fait baiser
dans le parking par une grosse bite, et je savais que j’allais en redemander, avec
Richard ou avec un autre.
Mais pour l’instant je ne faisais que penser à Richard, j’avais envie qu’il
recommence. Oui je voulais me faire prendre, je voulais sentir à nouveau son sexe dans
mon corps.
Je me suis endormie, la main sur la chatte. »
A suivre…
« Je ne regardais plus Richard, le gardien, de la même façon.
Je savais maintenant, quand Maman ne travaillait pas, c’est Richard qui venait la
sauter, la journée et peut-être aussi parfois la nuit. Mais je n’ai jamais vu ses
amants de la nuit.
C’est à partir de cette époque que je suis devenue accroc à la masturbation nocturne,
seule dans mon lit je me caressais jusqu'à me faire jouir en écoutant ma mère hurler
et en repensant au membre de Richard.
Deux semaines plus tard, m’ayant acheté le nécessaire, je me suis épilée entièrement
pour la première fois.
Très tôt, Maman m’a fait prendre la pilule et m’a expliqué comment me servir d’un
préservatif, elle me disait qu’on ne savait jamais et qu’à mon âge, on tombait
amoureuse comme on attrape un rhume et que mieux valait prévenir que guérir.
Elle savait de quoi elle parlait.
Plus de deux ans se sont écoulés depuis ce jour.
J’ai eu des flirts avec des garçons mais rien d’intéressant. Je me consacrais à mes
études et me contentais du plaisir que je m’offrais la nuit, je me suis achetée un
gode, qui est devenu le compagnon de mes nuits. Avec lui j’ai visité tous mes orifices
pendant de nombreux moi, remplaçant les amants que je n’avais pas.
Puis je me suis acheté des sous-vêtements de plus en plus osés, mais surtout des
strings ouverts, je trouvais cela excitant et me permettait de me caresser à volonté.
Maman m’a offert mon permis de conduire et j’ai perdu ma virginité le soir de fête de
la musique l’année de mon bac.
Alors que la soirée avançait et que je commençais à drôlement être attaquée par la
boisson, j’ai suivi un mec après avoir danser une série de slows avec lui.
Je ne le connaissais pas et il m’a entraînée dehors dans un endroit isolé, quand il
m’a embrassé et je me suis laissé faire en frissonnant un peu, ensuite il m’a peloté
et j’ai gémit sous ses caresses.
J’ai été surprise quand il m’a pénétré la vulve d’un doigt et toujours sans rien dire,
il s’est assis sur le banc. Après avoir ouvert son pantalon et sortit son sexe raide,
il m’a fait assoir sur lui pour me pénétrer…
Je n’en revenais pas, j’avais une queue en moi et je ne ressentais rien, je venais de
perdre ma virginité sans un mot, je ne l’ai pas laissé jouir en moi, me relevant d’un
coup, je me suis rajuster en lui disant :
- Terminé !
Je suis partie danser et retrouver mes copains, le laissant seul la bite à l’air.
Je n’avais rien ressenti, et je venais bêtement de perdre ma virginité, mais
maintenant je savais que j’allais en profiter, d’ailleurs ainsi je serais prête pour
mon futur amant…
Un mois plus tard, nous étions en vacances et des copines à moi voulaient m’emmener en
boîte pour fêter nos bacs...
Maman travaillait encore, et elle a dit oui en me faisait promettre de ne pas boire et
d’être prudente.
Je mis une jupe mi-cuisse noire, relativement courte, un string fendu, un chemisier
transparent sans soutien-gorge et mes talons aiguilles,
Je me maquillais un peu plus que d’habitude et nous voilà parties. Peut-être
qu’inconsciemment, ce soir-là, j’avais envie d’u mâle…
Mais je fus sage…
Vers quatre heures du matin, alors que j’avais déposé mes copines chez elles et que
j’avais quand même légèrement picolé, je bataillais à vouloir rentrer la voiture dans
le garage. Soudain, Richard est apparu devant le capot.
J’ai failli faire un infarctus tellement j’ai eu peur. Je suis sorti de la voiture, il
m’a regardé comme à son habitude et a sifflé.
- Dis donc, tu es drôlement mignonne comme ça, une vraie petite femme…
- Pardonnez-moi, mais pourriez-vous m’aider à rentrer la voiture, dis-je.
- Toi, tu as picolé, dit-il.
- Un peu, mais il ne faut pas en parler à ma mère.
- Ok, mais tu me donneras un bisou.
- D’accord, dis-je.
Il rentra la voiture et je lui demandais ce qu’il faisait à cette heure, il me
répondit qu’il sortait les poubelles, comme toujours chaque samedi matin.
- Allez, donnes-moi mon bisou maintenant.
Je me suis approchée timidement de lui et j’ai tendu la bouche pour l’embrasser sur la
joue. Il se laissa embrasser puis, me prenant par la taille, il me souleva et
m’embrassa sur la bouche. Sa langue força mes lèvres et se fraya un passage entre mes
dents, il ne lutta pas beaucoup car j’ouvris ma bouche et nos langues se mêlèrent.
Les images de sa grosse queue revinrent à mon esprit et je me sentis mouiller.
Il me tenait par les fesses sous ma courte jupe et il se mit à me les malaxer
fermement et à me les écarter, c’est là qu’il s’aperçut que j’avais un string ouvert,
car ses doigts, rencontrant mon intimité dénudée, touchèrent la jouissance qui
s’écoulait de moi.
J’ai adoré cette sensation, quand ses doigts ont touché ma vulve, tandis qu’il me
disait :
- Toi, t’es une cochonne !
Puis il m’a collée contre le mur du parking, et tout en libérant son sexe il m’a fait
passer mes jambes autour de ses reins, et d’un coup de reins s’est enfoncé en moi.
J’ai hurlé de plaisir et de surprise, cette soudaine pénétration m’ayant coupé le
souffle, mais que c’était bon de le sentir en moi.
Rien à voir avec la bite qui m’avait défloré, là je prenais de la grosse bite et je me
sentais complètement dilatée.
Il a trouvé bon de rajouter :
- T’es super, je vais bien m’occuper de toi.
Richard me tenait fermement me faisant monter et descendre sur son pieu érigé, me
transperçant la vulve, dilatée par la pénétration qu’il lui infligeait.
Puis il m’a relâché et me posant le corps sur le capot de la voiture il m’a prise
comme une petite salope que j’étais, son sexe rentrait et sortait de moi me faisant
hurler.
Il m’a baisé pendant de longues minutes avant de se répandre en moi tandis que je
jouissais une fois de plus.
En se rajustant il me dit :
- T’es trop bonne, je viendrais te voir souvent, en plus t’as l’air d’aimer ça…
Puis il disparut pour s’occuper de son travail.
J’ai récupéré mes clefs sans rien dire, sentant un liquide chaud couler le long de mes
cuisses et je suis rentrée.
J’ai pris une bonne douche et je me suis couchée.
Dans mon lit j’ai touché ma chatte, j’étais fière et heureuse de m’être fait baiser
dans le parking par une grosse bite, et je savais que j’allais en redemander, avec
Richard ou avec un autre.
Mais pour l’instant je ne faisais que penser à Richard, j’avais envie qu’il
recommence. Oui je voulais me faire prendre, je voulais sentir à nouveau son sexe dans
mon corps.
Je me suis endormie, la main sur la chatte. »
A suivre…
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