Leslie AR39
Récit érotique écrit par Leslie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Leslie AR39
Leslie AR39 - Les confessions d’une adolescente, suite
Franck revient et me fait danser, puis il m’entraine dans le jardin et commence à
s’occuper de moi dans un coin sombre, il s’occupe tellement bien de moi que je me
retrouve sur ses genoux, la jupe retroussée et la main de Franck dans mon string
ouvert, il me doigte la chatte en me regardant…
S’il savait ce qu’il faisait, un rien aurait suffi à me transformer en furie, et là il
me doigte sans que je lui saute dessus trop à l’écoute du plaisir qu’il fait monter en
moi
Je me retiens, il ne m’aura pas ce soir, même si mon corps réclame, pas maintenant,
pas comme ça. Je l’embrasse et me lève, la soirée se termine et je suis très attaquée
par l’alcool, incapable de ramener ma voiture.
Franck se propose, et finalement, Audrey me supplie d’accepter en me disant que je
n’ai qu’à revenir avec Franck demain pour récupérer ma voiture. Je finis par accepter.
Nous montons dans la voiture de Franck qui me ramène doucement chez moi. Une fois en
bas de l’immeuble, alors que je m’apprête à descendre, il me dit :
- Tu ne veux pas venir dormir chez moi, cette nuit ?
- Non, pas ce soir, j’ai trop bu et je suis fatiguée.
- Tu es faite pour l’amour et j’espère que tu as aimé mes caresses.
- J’ai adoré.
Je ne dis rien de plus, s’il savait...
- Bon je passe de prendre demain matin vers onze heures, soit prête.
- Ok, encore merci.
Je me penche pour lui faire une bise et l’embrasse sur le coin de la bouche, puis me
sauve. Il me regarde au travers du pare-brise. Je sens son regard se poser sur moi. Je
suis sûre que ses yeux brillent.
Je m’engouffre dans la cage d’escalier et monte les cinq étages comme si j’avais le
diable à mes trousses. J’entre dans l’appartement et file dans ma chambre, me
déshabille et me jette à poil sur mon lit et sans perdre une minute je me mets à me
caresser frénétiquement. Puis dans mon délire je saisis un des godes de ma mère et en
l’appelant Franck, je me baise avec en hurlant de plaisir.
Puis je me mets deux doigts dans ma chatte et me branle à fond. Je me sens dégouliner
sur mes doigts et la jouissance arrive à la vitesse de l’éclair comme à chaque fois
que je me caresse.
Je vais devenir folle, je pousse un feulement de bête meurtrie et surtout frustrée de
ne pas avoir joui comme je l’espérais, du moins pas comme je l’aurais voulu, il me
faut un homme qui me baise. Ce sera Franck demain.
Je m’endors tant bien que mal et me réveille tout aussi excitée que la veille. Je n’ai
dormi que six heures et il me reste une heure pour me préparer.
Vite, une douche. Je ne peux m’empêcher de me caresser et de me pénétrer avec un gode
de ma mère, et je me fais jouir une fois de plus.
Rapidement, je me sèche. Il faut que je trouve une tenue, sage et sexy à la fois, il
faut qu’il me désire dès qu’il me verra.
J’opte pour un petit tailleur beige et un chemisier blanc, pas de soutien-gorge et un
string ouvert, et surtout des talons, je me regarde dans la glace et me trouve
parfaite.
Onze heures pétantes. J’entends une voiture dans la rue, je regarde par la fenêtre.
C’est lui, je venais juste de finir de me maquiller, j’attrape mon sac à main et
descends les escaliers. Une fois en bas, il sort pour m’ouvrir la porte de la voiture.
- Merci, dis-je, tu es un amour.
- Pour toi je ferais n’importe quoi !
- Attention je peux te mettre à l’épreuve.
- Tu es ravissante.
- Merci.
Il monte dans la voiture et je lui dépose un baiser sur le coin de la lèvre, comme la
veille au soir. Il sourit, mais ne se doute pas que je suis prête à lui sauter dessus.
Une fois arrivés chez Audrey et Michel nous passons leur dire bonjour, Audrey me fait
un clin d’œil discret, nous récupérons et ramenons ma voiture chez moi.
Arrivés en bas de chez moi, la voiture garée, je monte avec lui et nous voilà en route
pour chez lui.
De famille bourgeoise, il a une petite maison individuelle, on se gare dans l’allée du
garage et après m’avoir ouvert la porte de sa maison, il me dit :
- Viens, entrons.
Je le suis sans rien dire, la maison est superbe. Nous sommes dans l’entrée et
soudain, il me pousse légèrement contre la porte de sa chambre et dépose un baiser sur
ma bouche.
- Franck.
- Oui ?
- Je dois t’avouer quelque chose…
- Oui, Charlie, dis-moi.
- J’ai envie de toi !
Il repose ses lèvres sur les miennes et je sens sa langue s’insinuer et entrer dans ma
bouche. Je me sens déjà fondre et mouiller, tandis que mes seins pointent
instantanément.
- Oh, Franck ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour.
- Je le sens Charlie.
Tout en disant ces mots, il passe une main sous la jupe de mon tailleur et la remonte.
Il sent mon string fendu qui le laisse libre d’atteindre ma chatte dégoulinante et
apparemment content de la découverte, il me dit :
- J’adore les femmes qui portent des strings, c’est très sexy et en plus le
tient est ouvert, c’est super, tu mouilles comme hier.
Je le sens commencer à ouvrir son pantalon, pour me prendre à la hussarde debout
contre la cloison, le souvenir de Richard revient en moi et je lui dis :
- Franck, mon dieu non, pas comme ça. Pas ici.
Alors, il ouvre la porte de la chambre et m’allonge sur son lit, défait mon chemisier
et doucement me caresse les seins. Les pointes sont tendues à m’en faire mal tellement
je suis excitée.
Il me rend folle, je n’en peux plus
Puis doucement, il retire ma jupe, me laissant nue sur le lit, en string la vulve
apparente par la fente du string.
Il se déshabille et me présente sa queue déjà bandée.
Je le suce un moment et il a l’air d’apprécier, je ne suis pas novice mais je me sens
maladroite, il faudra qu’il m’apprenne comment bien sucer une queue, en le suçant j’en
profite pour lui passer un préservatif, un de ceux que m’a donné Audrey.
Puis il se place devant moi et présente son sexe, au travers du string qui ouvert, à
l’entrée de ma chatte et doucement il me pénètre.
Je sens son membre entrer en moi doucement, il est tellement épais qu’il me remplit
entièrement, je soupire de plaisir.
A cet instant, mon cœur bat la chamade, j’en avais tellement envie, depuis si
longtemps. Lentement, il va et il vient en moi, dans ma chatte brulante, que c’est
bon. Je mouille de plus en plus et enduit sa queue de ma jouissance, puis il accélère
de plus en plus vite, c’est bon et je hurle.
- Ohhh, Charlie !
- Oui chéri, vas-y donnes-moi tout.
Il me baise à fond et je sens que je vais partir, je l’ai senti se tendre
Il va certainement jouir, mais il s’arrête et se retient, au plus profond de moi, je
sens sa queue battre sur mes parois intimes, puis lentement, après s’être calmé, il
reprend lentement ses allers et venues, je repars aussitôt et je jouis en hurlant.
Pendant de longues minutes il me pilonne sans faille, puis soudain il s’arque au-
dessus de moi et je sens son foutre chaud emplir ma chatte, mon corps surchauffé se
tend et je pars dans un orgasme dévastateur en l’entendant dire :
- Ohhh ! Charlie.
Il reste en moi un moment, puis se retire et nous reposons ainsi un instant, allongés
l’un contre l’autre, lui dans mon dos je sens son sexe battre contre mes fesses, et
les désirs remontent en moi.
Je me redresse et lui dit :
- Franck, encules-moi !
Le temps de changer de préservatif, une caresse bien appuyée et le voilà à nouveau en
forme, je me mets en levrette devant lui et à nouveau, je lui dis :
- Prends-moi le cul chéri, encules-moi.
Il m’a sodomisée avec une infinie douceur, prenant son temps lors de la pénétration,
puis après, j’étais aux anges et j’ai jouis au-moins trois fois avant qu’il ne se
répande à nouveau en moi mais par l’entrée des artistes cette fois.
Nous sommes restés ensemble près d’un an, partageant ma vie entre mes études, l’appart
et sa maison.
Question sexe, nous faisions l’amour tous les jours et parfois deux ou trois fois
pendant la nuit et je dois avouer qu’il m’a appris et initier aux plaisirs du sexe.
Quand il me faisait l’amour, il me rendait folle, je jouissais de ses pénétrations
parfois douces et profondes et parfois sauvages, et surtout quand il me prenait dans
une nouvelle position.
Il m’a appris à accepter, apprécier et jouir de la sodomie, et aujourd’hui j’adore
offrir cette partie de mon corps à mes amants.
Tout paraissait si bien, jusqu’au jour où j’ai rencontré Sylvain…
Ah oui, je vous raconterais mon aventure avec Audrey dans mon prochain récit et
ensuite celle avec Sylvain… »
A suivre…
Franck revient et me fait danser, puis il m’entraine dans le jardin et commence à
s’occuper de moi dans un coin sombre, il s’occupe tellement bien de moi que je me
retrouve sur ses genoux, la jupe retroussée et la main de Franck dans mon string
ouvert, il me doigte la chatte en me regardant…
S’il savait ce qu’il faisait, un rien aurait suffi à me transformer en furie, et là il
me doigte sans que je lui saute dessus trop à l’écoute du plaisir qu’il fait monter en
moi
Je me retiens, il ne m’aura pas ce soir, même si mon corps réclame, pas maintenant,
pas comme ça. Je l’embrasse et me lève, la soirée se termine et je suis très attaquée
par l’alcool, incapable de ramener ma voiture.
Franck se propose, et finalement, Audrey me supplie d’accepter en me disant que je
n’ai qu’à revenir avec Franck demain pour récupérer ma voiture. Je finis par accepter.
Nous montons dans la voiture de Franck qui me ramène doucement chez moi. Une fois en
bas de l’immeuble, alors que je m’apprête à descendre, il me dit :
- Tu ne veux pas venir dormir chez moi, cette nuit ?
- Non, pas ce soir, j’ai trop bu et je suis fatiguée.
- Tu es faite pour l’amour et j’espère que tu as aimé mes caresses.
- J’ai adoré.
Je ne dis rien de plus, s’il savait...
- Bon je passe de prendre demain matin vers onze heures, soit prête.
- Ok, encore merci.
Je me penche pour lui faire une bise et l’embrasse sur le coin de la bouche, puis me
sauve. Il me regarde au travers du pare-brise. Je sens son regard se poser sur moi. Je
suis sûre que ses yeux brillent.
Je m’engouffre dans la cage d’escalier et monte les cinq étages comme si j’avais le
diable à mes trousses. J’entre dans l’appartement et file dans ma chambre, me
déshabille et me jette à poil sur mon lit et sans perdre une minute je me mets à me
caresser frénétiquement. Puis dans mon délire je saisis un des godes de ma mère et en
l’appelant Franck, je me baise avec en hurlant de plaisir.
Puis je me mets deux doigts dans ma chatte et me branle à fond. Je me sens dégouliner
sur mes doigts et la jouissance arrive à la vitesse de l’éclair comme à chaque fois
que je me caresse.
Je vais devenir folle, je pousse un feulement de bête meurtrie et surtout frustrée de
ne pas avoir joui comme je l’espérais, du moins pas comme je l’aurais voulu, il me
faut un homme qui me baise. Ce sera Franck demain.
Je m’endors tant bien que mal et me réveille tout aussi excitée que la veille. Je n’ai
dormi que six heures et il me reste une heure pour me préparer.
Vite, une douche. Je ne peux m’empêcher de me caresser et de me pénétrer avec un gode
de ma mère, et je me fais jouir une fois de plus.
Rapidement, je me sèche. Il faut que je trouve une tenue, sage et sexy à la fois, il
faut qu’il me désire dès qu’il me verra.
J’opte pour un petit tailleur beige et un chemisier blanc, pas de soutien-gorge et un
string ouvert, et surtout des talons, je me regarde dans la glace et me trouve
parfaite.
Onze heures pétantes. J’entends une voiture dans la rue, je regarde par la fenêtre.
C’est lui, je venais juste de finir de me maquiller, j’attrape mon sac à main et
descends les escaliers. Une fois en bas, il sort pour m’ouvrir la porte de la voiture.
- Merci, dis-je, tu es un amour.
- Pour toi je ferais n’importe quoi !
- Attention je peux te mettre à l’épreuve.
- Tu es ravissante.
- Merci.
Il monte dans la voiture et je lui dépose un baiser sur le coin de la lèvre, comme la
veille au soir. Il sourit, mais ne se doute pas que je suis prête à lui sauter dessus.
Une fois arrivés chez Audrey et Michel nous passons leur dire bonjour, Audrey me fait
un clin d’œil discret, nous récupérons et ramenons ma voiture chez moi.
Arrivés en bas de chez moi, la voiture garée, je monte avec lui et nous voilà en route
pour chez lui.
De famille bourgeoise, il a une petite maison individuelle, on se gare dans l’allée du
garage et après m’avoir ouvert la porte de sa maison, il me dit :
- Viens, entrons.
Je le suis sans rien dire, la maison est superbe. Nous sommes dans l’entrée et
soudain, il me pousse légèrement contre la porte de sa chambre et dépose un baiser sur
ma bouche.
- Franck.
- Oui ?
- Je dois t’avouer quelque chose…
- Oui, Charlie, dis-moi.
- J’ai envie de toi !
Il repose ses lèvres sur les miennes et je sens sa langue s’insinuer et entrer dans ma
bouche. Je me sens déjà fondre et mouiller, tandis que mes seins pointent
instantanément.
- Oh, Franck ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour.
- Je le sens Charlie.
Tout en disant ces mots, il passe une main sous la jupe de mon tailleur et la remonte.
Il sent mon string fendu qui le laisse libre d’atteindre ma chatte dégoulinante et
apparemment content de la découverte, il me dit :
- J’adore les femmes qui portent des strings, c’est très sexy et en plus le
tient est ouvert, c’est super, tu mouilles comme hier.
Je le sens commencer à ouvrir son pantalon, pour me prendre à la hussarde debout
contre la cloison, le souvenir de Richard revient en moi et je lui dis :
- Franck, mon dieu non, pas comme ça. Pas ici.
Alors, il ouvre la porte de la chambre et m’allonge sur son lit, défait mon chemisier
et doucement me caresse les seins. Les pointes sont tendues à m’en faire mal tellement
je suis excitée.
Il me rend folle, je n’en peux plus
Puis doucement, il retire ma jupe, me laissant nue sur le lit, en string la vulve
apparente par la fente du string.
Il se déshabille et me présente sa queue déjà bandée.
Je le suce un moment et il a l’air d’apprécier, je ne suis pas novice mais je me sens
maladroite, il faudra qu’il m’apprenne comment bien sucer une queue, en le suçant j’en
profite pour lui passer un préservatif, un de ceux que m’a donné Audrey.
Puis il se place devant moi et présente son sexe, au travers du string qui ouvert, à
l’entrée de ma chatte et doucement il me pénètre.
Je sens son membre entrer en moi doucement, il est tellement épais qu’il me remplit
entièrement, je soupire de plaisir.
A cet instant, mon cœur bat la chamade, j’en avais tellement envie, depuis si
longtemps. Lentement, il va et il vient en moi, dans ma chatte brulante, que c’est
bon. Je mouille de plus en plus et enduit sa queue de ma jouissance, puis il accélère
de plus en plus vite, c’est bon et je hurle.
- Ohhh, Charlie !
- Oui chéri, vas-y donnes-moi tout.
Il me baise à fond et je sens que je vais partir, je l’ai senti se tendre
Il va certainement jouir, mais il s’arrête et se retient, au plus profond de moi, je
sens sa queue battre sur mes parois intimes, puis lentement, après s’être calmé, il
reprend lentement ses allers et venues, je repars aussitôt et je jouis en hurlant.
Pendant de longues minutes il me pilonne sans faille, puis soudain il s’arque au-
dessus de moi et je sens son foutre chaud emplir ma chatte, mon corps surchauffé se
tend et je pars dans un orgasme dévastateur en l’entendant dire :
- Ohhh ! Charlie.
Il reste en moi un moment, puis se retire et nous reposons ainsi un instant, allongés
l’un contre l’autre, lui dans mon dos je sens son sexe battre contre mes fesses, et
les désirs remontent en moi.
Je me redresse et lui dit :
- Franck, encules-moi !
Le temps de changer de préservatif, une caresse bien appuyée et le voilà à nouveau en
forme, je me mets en levrette devant lui et à nouveau, je lui dis :
- Prends-moi le cul chéri, encules-moi.
Il m’a sodomisée avec une infinie douceur, prenant son temps lors de la pénétration,
puis après, j’étais aux anges et j’ai jouis au-moins trois fois avant qu’il ne se
répande à nouveau en moi mais par l’entrée des artistes cette fois.
Nous sommes restés ensemble près d’un an, partageant ma vie entre mes études, l’appart
et sa maison.
Question sexe, nous faisions l’amour tous les jours et parfois deux ou trois fois
pendant la nuit et je dois avouer qu’il m’a appris et initier aux plaisirs du sexe.
Quand il me faisait l’amour, il me rendait folle, je jouissais de ses pénétrations
parfois douces et profondes et parfois sauvages, et surtout quand il me prenait dans
une nouvelle position.
Il m’a appris à accepter, apprécier et jouir de la sodomie, et aujourd’hui j’adore
offrir cette partie de mon corps à mes amants.
Tout paraissait si bien, jusqu’au jour où j’ai rencontré Sylvain…
Ah oui, je vous raconterais mon aventure avec Audrey dans mon prochain récit et
ensuite celle avec Sylvain… »
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